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Résumé
REB 50 1992 France p. 87-112
J. Dabrouzès, Notes de littérature et de géographie ecclésiastiques. — L'article contient trente-six notices concernant autant
d'églises ou de monastères de Bithynie et de Paphlagonie. Elles sont regroupées sous les trois éparchies de l'Asie Mineure
septentrionale : Honoriade, Paphlagonie, Hélénopont.
Darrouzès Jean. Notes de littérature et de géographie ecclésiastiques. In: Revue des études byzantines, tome 50, 1992. pp. 87-
112.
http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/rebyz_0766-5598_1992_num_50_1_1853
NOTES DE LITTÉRATURE
ET DE GÉOGRAPHIE ECCLÉSIASTIQUES
Jean DARROUZES
1. R. Janin, Les églises et les monastères des grands centres byzantins (Bithynie, Hel
lespont, Latros, Galèsios, Trébizonde, Athènes, Thessalonique), Paris 1975. [Jean Darrou-
zès m'avait confié ce manuscrit en 1989, en précisant qu'il s'agissait d'un chapitre qu'il
avait envisagé d'insérer dans l'ouvrage qu'on vient de mentionner, ouvrage qu'il avait
entièrement revu et récrit après la mort de Raymond Janin ; il y avait renoncé, pour ne
pas introduire un déséquilibre dans un volume qui devait contenir uniquement des
ensembles importants de monastères ou d'églises urbaines: voir aussi FŒB 49. 1991.
p. 340. Albert Failler.]
2. Monastère de Krateia
978. 1146. L'intervalle entre le premier départ d'Abraamios et son retour est aussi de
plus de quatre ans, car· Platon était encore en vie en juillet 518 ibidem, p. 6533 = 1047.
:
gique n'en a pas encore fourni la démonstration 10; s'il y avait autour
d'une grotte des constructions semblables à celles de la Théosképastos
de Trébizonde ", il n'en reste aucune trace.
6. Monastère de Prousias
29. E. Schwartz, ACO, III, p. 6526 27 = Mansi, VIII, 1047; cf. M. Le Quien,
Oriens christianus, I, Paris 1740. col. 577-578.
30. 11 est bien question d'une impératrice qui sollicite l'envoi au Palais de la croix
que le saint avait dressée sur sa colonne : Vita prior, 22 (Delehaye, p. 1642635). Aucun
indice de datation ou d'identification n'est donné en cet endroit.
31. Vita prior, 9 (Delehaye, p. 15445) : τω δε τύμβω κίων ύπήρχεν έφεστηκώς έπ' άκρω
της κορυφής ίδρυμένον έχων ταυρολέοντα. Je n'ai trouvé nulle part le terme de taurolion ; il
s'agit peut-être d'un lion tauroctone ou d'une association du lion et du taureau sur une
même stèle; cf. F. Cumont. Les religions orientales dans le paganisme romain, Paris
1929. p. 221 n. 7 (voir aussi pi. XIIT2). Il semble qu'un symbole funéraire n'aurait pas
été dressé au sommet d'une colonne.
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32. G. Mendei,, Inscriptions de Bithynie, BCH 25, 1901, p. 7-23; voir le type de
tombeau ou de niche votive dans R. Lkonhard, Paphlagonia. Reisen und Forschungen
im nördlichen Kleinasien, Berlin 1915, p. 345 (ce doit être la photographie de la niche
que décrit G. Mendei, p. 8).
33. Vie de saint Alype (Vita prior, BUG 65), 9-12 : Delehaye, p. 154-157. Néophyte
le Reclus (ibidem, p. 19213) considère l'église Sainte-Euphémie comme celle de la
communauté monastique des frères.
34. Syn. CP, 18 juillet : Delehaye, p. 827-828 ; par distraction, le nom d'Hèrakleidès
est cité comme Basilcidcs dans V. Schultzk, Altchristliche Städte und Landschaften. 11.
Kleinasien, 1, Gütersloh 1922, p. 215.
35. BUG 608 : PG 105, 417, 440.
LITTÉRATURE ET GÉOGRAPHIE ECCLÉSIASTIQUES 95
36. PG 105, 421 '~υ. Au sujet de la place commerciale que fréquentent les Scythes du
nord, le témoignage de Nicétas le Paphlagonien revêt une importance particulière,
relevée par A. A. Vastmev, The Russian attack on Constantinople in 860, Cambridge
Mass. 1946, p. 88; si l'attaque russe dont, parle la Vie de Georges d'Amastris datait de
860, il est vraisemblable qu'elle aurait, été évoquée aussi dans le discours du Paphlagon
ien.
37. PG 105, 436''.
38. Ibidem, 437-440 (le § 22).
39. Ibidem, 437D : το τοϋ τάφου στόμα και τήν καλύπτουσαν λαρνακοειδώς οίκοδομίαν.
40. Syn. CP, 21 février : Delehaye, p. 481-482.
41. V. Grumel, Regestes, n" 367. Tous les renseignements qui suivent sont tirés de
la Vie de Georges d'Amastris (BHG 668). dans l'édition de V. Vasilievskij. Il n'y a pas
lieu de retenir l'hypothèse de M. Le Quien (I, col. 363) sur l'identification de Grégoire
et de Georges «1 Aniasti'is.
42. Dans le Synaxaire, Agriosèrikè devient Sèrikè.
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4. Bonisai
48. Aufhauser (p. 18) utilise le Mosquensis 381 [Vladimir], daté de l'année 1023.
49. M ANsi, ΧΠΤ. 156; cf. R. .Ianin, op. cit., p. 438, n" 97 le nom est écrit Βονισών
:
(génitif).
50. Vie de Georges d'Amastris, 12 : Vasilievskij, p. 22; le nom est écrit Βόνυσσαν
(accusatif): cf. Syn. CP Delehaye, p. 48215 (Βόνυσαν) et p. 21624 (Βόνιτα de l'Anatoli-
:
koii).
51. G. Dru Ht.icT. Inscriptions de Paphlagonie, BCIl 13, 1889, p. 311-313;
!.. Hokkut, Villes d'Asie Mineure2. Pans 1962. p. 311.
52. MM. H. n" 661, p. 370-372.
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53. Paris, gr. 1233 : notes éditées dans Άρχεΐον Πόντου 26, 1964, p. 36-37.
54. MM, II, n" 465, p. 491-492.
55. Vie d'Hypatios
F.' de Gangres (BUG 759a), éditée par S. Ferri ; voir la critique de
l'édition par Halkin, An. Boll. 51, 1933, p. 392-394.
56. Mansi, II, 1095; cf. Ch.-J. Hefele, Histoire des conciles, 1/2, Paris 1907,
p. 1030.
57. Le décret impérial fut gravé sur une stèle de bronze et exposé en pleine ville (Vie
d'Hypatios, 10 : Ferri, p. 83); l'impôt était destiné aux soldats en stationnement ou de
passage.
58. Malalas, XVIII : Bonn, p. 4371718.
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59. Vie d'Hypatios, 13 : Ferri, p. 84. Il n'y a sans doute aucun rapport entre le nom
de ce village (Κοβάρων, au génitif) et celui du roi scythe Χωβάρ ou Χαβάρ cité dans la
Passion légendaire : ibidem, p. 98, début du § 21. A propos d'une rencontre antérieure
d'Hypatios avec des Novatiens de Lazianè, l'éditeur met en note : cf. Aizanoi in Phry-
gia (p. 83). Il y avait aussi des Novatiens en Paphlagonie, mais dans la partie ouest, à
Mantineion : Sozomène, IV, 21 : Bidez-Hansen, p. 171. Les indications topographiques
de cette Vie concernent certainement la région proche de Gangres ; ainsi on évitera de
corriger Άλμυρώ en "Αλυι (p. 79, début du § 7). L'Halys est assez éloigné de la ville, et la
rivière «salée», à l'est de la ville, correspond à une saline, indiquée sur la carte de
H. Lf.onhard (Paphlagonia. Reisen und Forschungen im nördlichen Kleinasien, Berlin
1915). Le mont Mala doit se trouver entre l'IIalmyros et l'IIalys, toujours en allant vers
l'est.
60. Vie d'Hypatios, 14 : Ferri, p. 86. Dans ce contexte, Γοΐκος qui abrite la dépouille
est un édifice distinct de la Grande Église elle-même; mais l'emploi des termes μητρό
πολις et μεγάλη εκκλησία dénote une rédaction assez éloignée de la vie du saint.
61 Vie d'Hypatios de Gangres, 2 : Ferri, p. 76 ; dans le contexte, την καλλίστην ημών
.
Le village de Didia avait pour principale église celle qui était dédiée
au martyr Georges ; ce devait être aussi un lieu de pèlerinage assez
fréquenté, car le personnage qui est le héros du récit, un habitant du
village nommé Léon, avait une dévotion à tous les saints réputés et
envoyait son fils Manuel porter une offrande à Saint-Michel de Cho-
nai66; ce fut à l'occasion de ce pèlerinage de Manuel que saint Georges
délivra le voyageur dans une auberge de l'Anatolikon qui était un
véritable coupe-gorge.
Didia devait être un bourg assez important des alentours de la ville
ou de son ressort administratif67.
(esquissée à gauche). S'il s'agit d'Hypatios, peut-être l'image veut-elle indiquer le rap
port entre la cathédrale et l'église qui conservait les reliques.
65. Colophon du manuscrit flalki Panagia 4 : EEBS 10, 1933, p. 248.
66. Miracula s. Georgii, 11 : Aufhauser, p. 108e"12.
67. Dans le contexte, περιοικίδι, appliqué à la métropole, indique plutôt la dépen
dance administrative.
68. Syn. CP, 26 juillet : Dclchaye, p. 853-854; Passion de Callinique (BUG 286y) :
PG 115, 477-488.
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Une église Saint-Étienne existait au 19P siècle; elle est citée une
première fois par G. Doublet au sujet d'une inscription que lui
communiqua un diacre Hiérothéos73, mais dont la pierre n'a pas été
localisée ; cependant, É. Legrand a copié une autre inscription
métrique dans la même église74.
Une fois éliminée l'identification de Safranbolu (Zafaranboli) avec
Euchaïta proposée par G. Doublet75, qui rapportait une opinion
1922, p. 201-202.
73. G. Doublet, Inscriptions de Paphlagonie, BCH 13, 1889, p. 294-299.
74. K. Lkurand. Inscriptions de Paphlagonie, BCH 21, 1897, p. 92-93 : inscription
funéraire, sans aucun nom d'édifice chrétien.
75. W. M. Ramsay, op. cit. p. 319-320; Π. Grégoire, BZ 19. 1910, p. 59-60;
,
76. Dans les diverses mentions de reliques de saint Etienne, il n'y a pas de localisa
tion en Paphlagonie; une relique du pied est située dans la ville de Genova après les
croisades : R. Janin, Les églises et les monastères (de Constantinople)2, Paris 1969,
p. 472 (d'après Riant, Exuviae sacrae Constaniinopolitanae, II, Genève 1878, p. 185-
187). Il n'y a pas d'évêché à Safranbolu, dont le rapport avec un toponyme byzantin est
encore indécis; cf. D. J. Georgacas, The names for the Asia Minor Peninsula and a
Register of surviving Anatolian pre-Turkish placenames, Heidelberg 1971, p. 121. L'équi
valence avec Germia indiquée sur des cartes (par exemple R. Leonhard, op. cit.) et
avancée par W. M. Ramsay est tout à fait exclue d'après la liste des évèchés.
77. Vie de Marcel l'Acémète (BUG 1027z), 24 : Dagron, p. 306-307. Dans ce récit, la
ville est considérée comme appartenant au Pont.
78. Éditée par G. Doublet, Inscriptions de Paphlagonie, BCH 13, 1889, p. 309; cf.
V. Schultze, op. cit., II/l, p. 211 ; F. Ηαι,κιν, art. cil., p. 96.
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79. La Vie d' Hésychius n'est connue que par les notices du synaxaire, composées
vraisemblablement à l'occasion du transfert (.4/tS.S, Mart., I, p. 879) ; cf. Syn. CP,
6 mars (Delehaye, p. 515, donne seulement le début et la fin du texte). La mention du
10 mai, qui concerne peut-être le transfert lui-même, est un abrégé de la notice pré
cédente (Delehaye, p. 673-674).
80. J. G. G. Anderson, F. Gi'mont et IL Grégoire, Studia Pontica. III. Recueil défi
inscriptions grecques et latines du Pont et de F Arménie, Bruxelles 1910, p. 87 [dans la
suite de l'article, cet ouvrage sera cité sous le titre abrégé de Studia Pontica, III; de
même, on citera sous le simple titre de Studia Pontica, II, le volume précédent, qui
porte le titre suivant : F. Cumont et E. Cumont, Studia Pontica. II. Voyage d'explorat
ion archéologique dans le Pont et la Petite Arménie, Bruxelles 1906]; V. Schultze,
op. cit.. 1I/L p. 139-14-2.
SI. M. Le Ouif.n. 1, col. 528.
8:2. Vie d'Eutychios {BIIG 657), 5 : .1.1. S.S. April.. 1. p. i.xi (PC 86. ·2334Γ'-·2336Β). Οτι
remarque l'emploi unique de τίγν^ τοϋ μουσάρου : cf. Ducangtc. sub verbo μουσώτης.
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83. Entre les années 565 et, 577 ; le saint décéda le 6 avril 582.
84. Vie d'Eutychios, 21 : AASS, April., I, p. lv (PC, 86, 2297). Thalélaios est un
martyr de Cilicie, fêté le 20 mai.
85. Photographies dans Sludia Pontica, II ; c'est surtout l'Acropole qui a été visitée,
parce que les vestiges de la forteresse subsistent. Du temps de Strabon, les deux som
mets étaient compris dans l'enceinte fortifiée.
UTTÉRATl'BE ET GÉOGRAPHIE ECGLÉS1AST lOlJES 105
6. Monastère d'Amasée
86. Vie d'Eutychios, 41-42 : AASS, April., I, p. lix (PG 86, 2321e).
87. Ibidem, 55-56 : p. i.xi (2337(\ 2340B).
88. V. Schultze, op. cil., IÎ/1, p. 104, 106; au contraire, J. G. C Anderson,
I7. Gumont et II. Grégoire [Studio Pontica, III, p. 112) distinguent les deux monast
ères, de même que M. Gédéon (Βυζαντινον 'Εορτολόγιο^, Constantinople 1899, p. 90);
cependant, F. Cumont, dans une édition antérieure (Stadia Pontica. II, p. 166 n. 7),
confondait aussi les deux établissements.
89. Sludia Pontica, II, p. 150-158, avec des photographies (datant de 1900 et dues à
M. Struck voir p. 159 n. 4) et un plan de la citadelle.
:
90. Vie d'Eutychios, 16 : .-1/1 S.S. April., I. p. liv {PG 86, 2293).
91. Les trois fondateurs sont cités vraisemblablement dans l'ordre chronologique
:
97. Il faut relever ces dates (14 septembre -3 octobre), qui donnent une idée du
voyage d'Amasée à la capitale. La mention de deux étapes, Euchaïta et Nicomédie,
l'une au début et l'autre à la fin de la route, indique en effet l'itinéraire suivi par le
patriarche : c'était la voie impériale du nord, qui était encore celle des caravanes au
171' siècle (Tavernier).
98. C'est le nom que lui donne M. Gédéon (op. cit., p. 90); la dénomination est
suggérée par la mention des trois fondateurs au début de la Vie d'Eutychios. Dans le
catalogue des patriarches et dans la chronique de Théophane, Eutychios est signalé
simplement comme prêtre du monastère d'Amasée ; voir PG 1 19, 910 ; Théophane : De
Boor, p. 228. De la même manière, le monastère principal d'Amorion est cité par le
nom de la ville au concile de 787.
99. Éloge de saint Basileus d'Amasée (BHG 240) AASS, April., HT, p. xlvii ; cf.
:
Des restes d'une église et d'un grand bâtiment contigu ont été
reconnus près du village d'Oulou-Keui à l'est d'Alala 109 ; on y faisait
un pèlerinage en l'honneur de saint Théodore encore à la fin du
19e siècle, mais la dédicace ne repose sur aucun document ancien,
épigraphique ou autre.
105. Passion de Basileus (BHG 239), '20 AASS, April., Ill, p. xi.v. Le trajet en
:
cinq jours ne doit pas être matériellement impossible, bien que la distance soit de plus
de 150 km. Les inventeurs de la relique avaient fait cependant le trajet de Nicomédie à
Sinope par mer et, semble-t-il, en moins d'un mois (entre le 28 mars et le 21 avril) : ce
qui est proprement exceptionnel.
106. C'est là que fut déposée la relique de l'évêque martyrisé à Nicomédie : εις τον
νεόκτιστον αύτοΰ αποθεμένοι ναόν ; et un peu plus loin : πρό της ύπ' αύτοϋ πηχθείσης εκκλησίας,
κατά το ανατολικών μέρος, ένθα λέγεται και λοιπών αγίων μαρτύρων πολλά κατακεΐσθαι σώματα
κατέθεντο.
107. Voir, en dernier lieu, F. H ai. kin. Euphémie de Chakédoine. Légende» byzantines,
Bruxelles 1965. p. 1-8.
108. Vie d'Eutychios. 52 AASS, April.. I, p. i.x {PC, 86. 2333).
:
109. Sfudia Pontica. Il, p. 143 n. 3; selon cette note, il ne peut y avoir de rapport
entre ces ruines, situées dans la plaine, et le monastère de Dorothée, dressé au sommet
d'une petite hauteur.
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110. Vie de Dorothée (BHG 565), 12 : Lagarde, p. 212. Je renvoie aux divisions de
cette édition, plus précises que celles des AASS, Jun., I (PG 120, 1051-1074).
111. Ibidem, 3 : p. 210. A ma connaissance, le seul patrice Génésios cité est datable
du début du 11'* siècle, dans un acte du patriarche Serge cité par Dèmètrios de
Cyzique : V. Grumel, Regestes, n" 822 (PG 119, 1 113 = Rhallès-Potlès, V, p. 364).
La remarque sur le caractère héréditaire du patriciat ne manque pas d'intérêt; elle
signifie que l'auteur de la Vie avait connu plusieurs membres de cette famille.
112. Vie de Dorothée, 5 : Lagarde, p. 210.
113. Lorsque l'ordination déroge quelque peu à l'âge canonique des trente ans, les
biographes le signalent; par exemple, Cyrille de Scythopolis note l'ordination d'Abraa-
mios à vingt-sept ans; cf. Vie d'Abraamios {BHG 12) : Schwartz, p. 24425.
1 14. Les dédicaces anciennes à la sainte Trinité ne sont pas très fréquentes ; dans la
liste du concile de Nicée (787), il n'y a qu'un monastère, non localisé, dédié à la Trinité ;
cf. R. Jantn, Les églises et les monastères des grands centres byzantins, Paris 1975, p. 439,
n» 100.
LITTÉRATUBE ET GÉOGHAPH1E EGCLÉSIAST^UKS 111
115. Sludia Pontica. II. p. 142-144: dans la carte de Kiepert (A IV Sinob) de 1914,
un Monastir est indiqué près de Kyr Köi. à une altitude de 520 m.
I Hi. Vie de Dorothée. 37 hagarde, p. 217.
: