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PLAN
PLAN......................................................................................................................1
INTRODUCTION.......................................................................................................4
A- Généralités..................................................................................4
a- Définition :..........................................................................................5
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2-2-Formulation de la demande ................................................................9
2-3-Négociation patrimoniale...................................................................10
Indique :.........................................................................................16
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b- Transfert de gestion des plages.......................................................18
2-1-Aspect juridique.................................................................................20
2-3-Aspects environnementaux...............................................................22
2-4-Aspects sociaux.................................................................................22
2-5-Aspect économique...........................................................................23
D- La décentralisation et la fiscalité.................................................26
CONCLUSION........................................................................................................29
BIBLIOGRAPHIE.....................................................................................................30
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INTRODUCTION
En septembre 1996 fut promulguée la loi 96-025 sur la gestion locale des
ressources naturelles renouvelables (RNR), puis en 1997 fut instituée dans la deuxième phase
(1997-2001) du Plan d’Action Environnemental (P.A.E), financé conjointement par divers
bailleurs de fonds dont la banque mondiale, la coopération française et l’USAID, une
composante « transversale » dite GELOSE ou Gestion Locale Sécurisé. Cette composante du
PAE est chargée de la mise en place de tous les outils institutionnels, réglementaires, fiscaux
et économiques nécessaires pour la mise en place sur l’ensemble du territoire malgache, dans
un délai raisonnable de 10 à 20 ans des contrats de transfert de gestion des ressources
naturelles renouvelables aux communautés de base dit « contrats GELOSE »
A- Généralités
1-Définition du contrat :
Selon l’article 123 du code civil malgache, le contrat a été défini comme étant un
accord de volonté entre les parties. Le contrat est par conséquent un acte juridique reliant
deux personnes physiques ou morales.
2-Définition de GELOSE :
La GELOSE ou Gestion Locale Sécurisé est une forme de gestion des ressources
naturelles renouvelables instituée par la loi n°96-025 du 30 septembre 1996. Il s’agit
également d’une composante transversale du programme Environnemental II (PE II)
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Elle consiste à confier aux communautés de base la gestion de certaines
ressources comprises dans la limite de leur terroir.
a- Définition :
-Ressources forestières :
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En général, la ressource forestière est l’ensemble des potentialités qu’offre le
milieu physique, notamment dans le domaine forestier. Les forestiers de l’état ont donc un
double rôle primordial qui est :
− fournir une assistance technique et une formation au groupe d’utilisateur conforme aux
besoins.
-Ressources halieutiques :
− Les ressources halieutiques sont l’ensemble des techniques qui concerne la pêche,
donc ce sont des ressources à la relation avec la pêche. On distingue deux ressources
halieutiques :
-Ressources pastorales :
-Les plages :
Ce sont des étendues de sables ou de galets au bord de la mer, sur la rivière, d’un
cours d’eau, d’un lac.
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comme leurs domaines inaliénables, elles ont laissé une grande latitude aux populations
locales pour gérer directement ce domaine. Les interdits étaient peu nombreux.
− une réglementation
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B- Contrat et gestion des RNR
− sa motivation et de sa volonté.
− ses besoins.
Pour faciliter l’émergence d’une vision commune de la gestion à long terme des
RNR et la définition consensuelle des procédures permettant leur gestion effective, la loi
Gelose prévoit l’intervention d’un médiateur environnemental.
Elle fait l’objet des articles 17 à37 de la loi 96-025 du 30/09/96.En application de
celle-ci, un décret entier portant le n°2000-028 du 13 janvier 2000 est consacré au médiateur
environnemental. Celle-ci dispose en son article que la médiation environnementale a pour
but de faciliter les discussions et les négociations entre différents partenaires dans la gestion
locale des ressources en contribuant par l’établissement d’un courant d’information entre les
parties pour rapprocher les points de vue et objectifs en présence. Aux termes de l’article 4
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du même décret « la désignation du médiateur relève de la diligence et de l’appréciation
consensuelle des parties. »
− la compagne d’information.
− la formulation de la demande.
2-2-Formulation de la demande
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2-3-Négociation patrimoniale
− Du maire.
Afin d’examiner les biens fondés de celle-ci, une séance de réunion des parties
prenantes menée par le médiateur environnemental a lieu, assisté par le président de VOI
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locale, les chefs des quartiers limitrophes ainsi que le président du fokontany. Après lecture
de la demande et explication du règlement intérieur de la COBA suivie des débats, la
délimitation des ressources proposées. La COBA attend l’avis des entités locales. Si l’avis est
négatif, ils informent la COBA pour redresser la situation tandis que si elle est positive, on
procède à l’évaluation de la capacité de gestion du VOI. Un PV en quatre exemplaires sera
signé par les commissions d’enquête et adressé aux conseils communaux de rattachement.
Remarque :
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− la détermination d’un plan d’aménagement et un programme de travail à effectuer par
le CLB concerné.
Les droits et obligations des gestionnaires des RNR se réfèrent à la loi gelose de
l’article 43 à 48. Elle mentionne qu’à compter de sa notification, l’agrément confère à la
COBA bénéficière pendant la période indiquée dans l’acte :
Sous respect des prescriptions et des règles d’exploitation définie dans le contrat
des gestions.
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Avant tout action en justice : la COBA peut demander au président du conseil
communal d’user de ces pouvoirs de conciliation. Le litige peut être soumis à l’arbitrage du
président du conseil si les deux parties consentent
b- venant de l’administration :
Remarque :
4-1-responsabilité de la COBA :
− Respecter le plan d’aménagement qui a été approuvé par les autorités administratives.
4-2-Responsabilité de la commune :
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− Contrôler le respect des Dina.
Les rapports entre les membres gestionnaires sont réglés par la voie du Dina. Le
Dina est élaboré par la COBA .il est un des outils très importants pour le mode gestion. Les
prescriptions qu’ils contiennent doivent être conformes à la disposition constitutionnelle,
législative et réglementaire en vigueur. Le dina est appliqué :
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6-1-Contrat de transfert de gestion
Transfert de gestion :
− présentation de la COBA.
Disposition générale :
− responsabilité du COBA.
− responsabilité de la commune.
Dispositions diverses.
Titre4 : la résolution
Dans le cas où l’association a décidé de ne plus continuer à gérer, il faut aviser les
services techniques à l’avance. (Ex : 6 mois).
− le Président de la COBA.
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Le cahier de charge est un document administratif détaillant, généralement avec
minutie les obligations et éventuellement les droits du titulaire de certains contrats
administratifs.
Section I
A- disposition générale
-présentation de la COBA.
Indique :
- la responsabilité de la COBA.
-le maire.
-le sous-préfet.
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Ce document est subdivisé en plusieurs articles où les grands points sont sur les
membres, l’AG, la démission destitution, les sanctions diverses, les ressources financières, les
dépenses et les dispositions diverses.
− le secrétaire.
− le président de la COBA.
− le médiateur environnemental.
− le maire.
− le sous-préfet.
Les ressources forestières sont l’une des potentialités qu’offre le milieu physique,
notamment dans le domaine forestier.
Il faut noter que le contrat est bipartie c'est-à-dire qui se fait par deux
communautés de personnes (COBA et service forestier).
Le plan d’aménagement :
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reconnue par le service forestier, il peut orienter son objectif vers l’exploitation des produits
de l’écosystème.
Le commencement pour le transfert de gestion des autres RNR non forestière ont
commencé après la mise en application de la loi 96-025. Voici quelques exemples de transfert
de gestion des ressources naturelles non forestière.
-transfert de gestion des ressources halieutiques marines : permet aux VOI de gérer la
gestion des ressources halieutiques marines sur une surface 8777 ha.
Les ressources halieutiques possèdent une spécificité en elle même car elles sont constituées
par divers types d’espèces dont chacune possède leur propre texte juridique. Donc il en
résulte une différence entre gestion de crevettes et de langoustes par exemple et celle des
poissons pélagiques, des poulpes et des crabes. Le premier étant considéré comme des
ressources stratégiques. Donc non transférable selon l’article 135 de la constitution.
Il faut noter alors que seules les ressources halieutiques marines concernées par le
domaine public sont transférables.
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L’inscription de plage dans les domaines des RN transférables est illogique mais
un cahier de charge tout à fait différent de celui relatif au transfert de gestion des ressources
naturelles et qui sera signé entre le VOI, commune, département ministériel concerné par le
tourisme.
En 1996, a été mis en place la loi 96-025 relative à la gestion locale des RNR
(Gelose) qui vise principalement à assurer une gestion durable des ressources par les
communautés locales de base en liaison avec les communes de rattachement et les services
techniques déconcentrés concernés. Une dizaine de sites des ressources pastorales a été
transférée dans les grandes zones d’élevage, 100000 ha sont prévues dans le cadre du
programme d’environnemental III.
L’évaluation de la mise en œuvre des contrats de transfert telle qu’elle a été réalisé
en 2004 permet de faire un état comparatif d’une réalité de terrain que les objectifs contenus
dans le texte. Cette étude a évalué une trentaine de contrat de transfert de gestion de toutes
ressources dans toute situation en considérant les aspects suivants : aspects juridiques,
administratifs, d’intégration des TGRNR aux politiques de développements, socio-
économique et environnementaux.
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articles de l’ouvrage en témoignent. On remarque aussi qu’il y a des liens entre les autres
aspects, comme les aspects administratifs et sociaux.
D’une façon générale, il est donc ressorti des enquêtes réalisé que les conditions
d’application dans la mise en œuvre du contrat, des règles et procédures contenues dans le
texte explique les écarts entre les objectifs visés et la réalité constatée. Les résultats des
évaluations par critère se résument de la manière suivante :
2-1-Aspect juridique
− l’absence de politique propre de TG RNR (voir aspects liés à l’intégration dans les
autres politiques de développement).
− l’absence des textes législatifs ou réglementaires sur les avantages considérés aux VOI
(art 54).
Sur terrain, les aspects juridiques ne sont pas des obstacles majeurs à la mise en
œuvre de la TGRNR. Mais il apparaît une tendance à limiter le Dina à la simple fonction de
règlement intérieur du VOI de façon stéréotypée, alors que le Dina devrait normalement
englober l’ensemble du système de gestion. Cette tendance risque d’affaiblir les TGRNR,
surtout dans la communauté traditionnelle. Il faut donc réaffirmer l’existence indépendante du
dina en tant qu’élément de processus du TGRNR. La manière d’appliquer le processus peut
avoir des conséquences juridiques notamment pénales. Par exemple la non-implication
effective des services techniques ou de la commune conduit, si un conflit apparaît, à un
manque d’appui mutuel entre les autorités compétentes et les VOI. Ceux-ci ne peuvent pas
faire appliquer seuls les clauses du cahier des charges voir le « dina ». La conséquence est la
multiplication des conflits et infractions.
− les VOI constitués sous la loi 60-133 devrait voir leur existence confirmée en
application du décret 2000-027.
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2-2- Aspect administratif
-le statut du VOI n’a pas toujours été adapté à leur fonction (article 3 de la loi 96-
025) donne aux VOI un cadre de fonctionnement d’ONG qui a été prise par le décret 2000-
027. Avant la parution du décret 2000-027, les acteurs du TG RNR ont été amené à
officialiser les VOI selon les règles de la loi 60-133, notamment que ses association seraient à
but non-lucratif et à affiliation sélective alors que le décret 2000-027 permet un
fonctionnement à but lucratif et stipule que l’adhésion peut être volontaire.
Enfin, l’absence des textes relatifs au transfert de gestion par domaine (ex :
ressource halieutique, pastorales).
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l’absence de feu de brousse, la simple volonté de conservation des ressources ne constitue pas
une activité économique génératrice de revenue pour le VOI qui aura besoin d’activité
complémentaire, source de profit plus rémunérateur.
Rares ont été les sites ou le calcul précis quantitatif des impacts économiques du
transfert de’ gestion a pu être fait.
2-3-Aspects environnementaux
2-4-Aspects sociaux
Sur le plan social, la loi 96-025 insiste sur la formation d’une communauté de
base constituée par le « groupement volontaire d’individus unis par les même intérêts et
obéissant à des règles de vie commune (dina) ». La loi insiste aussi sur l’importance de
l’adhésion sociale, de la représentativité réelle du VOI et sa capacité de gestion (article 3 et
13). Toute fois l’évaluation globale a constaté la carence telle que l’absence d’obligation
explicite, du contrat et du cahier de charge, du VOI envers le ou les fokonolona.
Les évaluations sur terrain démontrent, d’une façon générale que le TGRNR
permet un renforcement de la cohésion sociale et que l’institutionnalisation du VOI donne
l’occasion de discuter ouvertement des désaccords éventuels et de parvenir à un compromis. Il
est aussi constaté que l’habitation du gestionnaire est très sensible aux facteurs sociaux,
surtout dans les communautés traditionnelles. La non prise en compte du contexte social peut
avoir comme conséquence des contrats non mise en œuvre et des dina non appliqués.
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Notamment l’ignorance ou la méconnaissance des contextes sociologiques et
historiques des communautés villageoises ou de l’absence de négociation a été constaté
comme carence d ‘aspects sociaux. Un projet mal installé a toutes les chances de mettre à bas
les système de gestion traditionnelle des ressources naturelles prés existant au TGRNR en
occasionnant, au sein de la communauté, des conflits, des fractures , des modifications
structurelles souvent irréversibles qui parfois entrainent l’exacerbation d’usage et des
comportement en opposition totale avec les objectifs d’un transfert de gestion.
2-5-Aspect économique
Les TGRNR semblent alors perçu plus comme une décentralisation des charges de
l’administration forestière (notamment celle de surveillance-gardiennage) que comme une
vraie décentralisation de la gestion des RNR.
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la valorisation durable des ressources. Le TGRNR constitue un élément important de la
politique environnementale –Plan Nationale d’Action Environnementale) et la politique
forestière.
Sur le terrain, il a été observé que presque toutes les initiatives de TGRNR ne sont
ni insérées, ni prises en compte dans les référentiels de développement au niveau communal,
même si au niveau régional, les problématiques touchant le TGRNR sont soulevés. De 34
contrats de transfert de gestion évalués par l’étude, seul 3 (- de 10%) étaient intégrés dans le
plan locaux de développement.
Il y a une insécurité créée par l’indivision : même si les terres ont pu être
immatriculées, les mutations ne sont généralement pas assurées sur plusieurs générations du
fait des populations et de l’administration. Cela entraine des conflits permanents entre les
héritiers et débouchant vers une situation inextricable. L’insécurité résulte aussi du risque
réel de l’intrusion d’individus « mahitahita » qui utilisent les procédures légales pour
dépouiller les occupants coutumiers légitimes, mais juridiquement « occupant de fait » sur
des terres domaniales. C’est la situation de la grande majorité des paysans malgaches.
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La succession des anciens domaines coloniaux constitue une autre situation
d’insécurité. La procédure de réintégration du domaine privé de l’Etat n’on jamais été
réalisées. Le plus souvent, des initiés ont pu récupérer des titres fonciers légaux alors que les
terres sont occupées parfois depuis plusieurs générations, par d’anciens ouvriers agricoles. Il
en résulte des conflits parfois violents et une situation juridique très confuse.
On relèvera enfin l’insécurité qui pèse à des pâturages et des terres coutumières
régis par le Dina. Des paysans vendent à des immigrants des terres qui sont en fait des
pâturages communautaires à l’ensemble des Ray Aman-dReny (Tangalamena…) chargé de
tenir la gestion.
-la liste effective des utilisateurs du foncier est connue, qui permet de mieux
régler les litiges.
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-Inventaire foncier : IL consiste à délimiter l’ensemble de terroir et les limites de la zone
objet de la demande de transfert de gestion. IL est précédé ensuite à un inventaire foncier
systématique base sur la constatation administrative et publique des parcelles sur le terroir
concerné. On fait alors un livret simplifié consensuel et transparent des propriétés immatriculé
ou cadastré.
- la confection du plan parcellaire : le plan parcellaire est annexé au contrat gelose. Il peut
être sous réaliser à partir d’une photographie aérienne.
D- La décentralisation et la fiscalité
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surtout les communes rurales en ce qui concerne les RNR, la principale difficulté est
d’acquérir une légitimité auprès de la population.
L’intérêt par l’administration centrale dans la décentralisation pour les RNR est
surtout financier. On souligne également que la dévolution des RNR peut rendre les services
forestiers, qui sont les plus souvent considéré avec méfiance par les populations plus
efficaces. Par exemple dans le cas de réserve de biosphère, il y a une pénurie des personnelles
du service public.
Pour les communautés rurales, c’est aussi une occasion de s’impliquer dans la
gestion des RNR locale .Cette participation va dépendre du degré de la décentralisation en
cours dans chaque pays et du rôle que l’état donne aux acteurs locaux. D’une manière
générale, les avantages de la décentralisation peuvent se résumer comme suit :
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manière durable. Tous les domaines d’activités rurales lucratives sont susceptibles d’alimenter
d’une manière ou d’une autre les fonds communaux.
Le défi est alors de mobiliser équitablement les ressources au niveau local sans
affaiblir l’économie local et la durabilité, en particulier les RNR.
-Difficulté de
l’administration à
laisser une partie de
son pouvoir à la
population et de celle
à l’assumer.
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CONCLUSION
Les ressources naturelles sont en général des propriétés de l’Etat alors on ne peut
faire que des transferts de gestion. La gestion des RNR détient une importance dans le cadre
de l’épanouissement du monde rurale. En effet, elles représentent des potentialités énormes
dans le cadre de l’amélioration des vies rurales en incitant les communautés de base à se
solidariser afin d’avoir des résultats profitables à tous.
Une fois que le contrat est conclu, la communauté gestionnaire peut s’activer en
obtenant ainsi un certain droit dans le cadre de la gestion des RNR qui lui sont conférées.
Mais on doit aussi souligner qu’afin que la gestion des ressources puisse aboutir à des
résultats fructueux, les activités de gestion doivent s’effectuer au niveau d’un cadre de
contrôle et de suivi. Les communautés de base doivent être tenues à certaine obligation. Il est
primordial de tenir compte de la relation étroite entre foncier et gestion de ces ressources
naturelles renouvelables.
Nombreuses sont les richesses dont notre territoire rural dispose mais il suffit d’un
certain effort de chaque agent concerné afin que celles-ci puissent être multipliées, conservées
et valorisées.
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BIBLIOGRAPHIE
-1000 TEXTE MALGACHE : Loi 96-025 du 30 septembre 1996 relative à la Gestion locale
des Ressources Naturelles renouvelables.
-Décret 98-616 du 13 Aoûte 1998 réglementant les modalités de mise en œuvre de la SFR.
-Décret n° 2001-122. Fixant les conditions de mise en œuvre de la gestion contractualisée des
forets de l’Etat.
-LIVRE TANTEZA.
-Droit, pratiques locales et gestion durable des ressources renouvelables : Etude de cas sur
l’application de la gelose à Ambohirano Merimanjaka ; par Ralalarimanga Honorine Claire
Soa, Février 2006.
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ABREVIATIONS :
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