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UNE CONQUÊTE MILITAIRE

ET UNE CONQUÊTE SPIRITUELLE


Les valeurs et l'aspect éducatif qu'elles ont laissé

Par le Professeur JOEL NEGRETE HERNÁNDEZ


Après une conquête militaire, elle suit une conquête spirituelle, pour que de cette forme le
peuple conquis reste dans un domaine complet de ses conquistadors. C'est le facteur
commun qui s'est suivi dans certains des grandes conquêtes réalisées à travers de
l'histoire. L'Espagne a suivi le même schéma. Elle a continué avec des actions similaires,
dans ses domaines coloniaux en grande partie de l'Amérique. Dans les nouvelles terres,
récemment reconnaissance, la chose qu'elle a eue sûrement apprise pour avoir été
conquis et subjugué par le domaine Arabe, par plus d'un millénaire.

En Nouvelle Espagne, au XVIe siècle on réalisait la conquête des nouvelles terres, de


la même manière on commence à réaliser le processus d'évangélisation, de la part des
espagnols. Une conquête armée et une conquête spirituelle, comme il est bien déjà su par
tous les spécialistes de l'histoire du Mexique. Dès que Hernán Cortés et ses hommes (avec
l'aide principalement de beaucoup de peuples mésoaméricains) réussissent à battre les
mexicas, les premiers ordres religieux sont arrivés, pour réaliser l'évangélisation. Trois
sont les principaux ordres religieux; les Ordres du San Francisco, Dominicains, aussi
l'Ordre dénommé de Prédicateurs et l’Ordre d’Augustins. "Les franciscains sont arrivés
en 1524, les dominicains en 1526 et les augustins, sept ans plus tard. Tout le travail a été
réalisé par ces ordres, les autres Ordres sont arrivées quand le processus y avait déjà le
pratiquement fini".1

En attendant en Nouvelle Espagne le travail évangélisateur est entrepris, en Europe,


entre les XVIe et XVIIe siècles on donne beaucoup de processus historiques qui ont
répercuté plus tard ce continent qui aurait à porter d'un nom l'Amérique et qui a été
découvert d'une manière fortuite.

1
Enrique Semo ( Coord. ), México un pueblo en la historia, México, Editorial Nueva
Imagen, 1982, p. 227.
Dans la même période coloniale dans l'art, s'est développé le Baroque, qui a duré le
temps beaucoup plus grand en Nouvelle Espagne que dans la même Métropole, et dont
les représentations maximales, elles sont observés dans les constructions magnifiques
architectoniques de différentes églises. Dans la peinture il y a eu une exigence pour
représenter des images en utilisant comme élément de texture la technique clair-obscur.

Une continuation de l'évangélisation a existé. Cela est réalisé au moyen du théâtre


évangélisateur qui a permis au barroquismo de donner un pas en Nouvelle Espagne. Le
barroquismo a pris un caractère plus propre et authentique dans ce lieu. Il est important
de souligner que les premiers travaux littéraires de Juan Ruiz de Alarcón surgissent, mais
sa meilleure option est de partir pour la métropole où il s'est fait remarquer amplement.
Il se suit avec les constructions de temples, de séminaires, de collèges et de monastère.

Dans une époque de faim, de révoltes, de tumultes, d'orages et des inondations qui
ont caractérisé la deuxième moitié du XVIIe siècle, en Nouvelle Espagne, de grandes
personnalités ont aussi surgi comme ils sont été : Sor Juana Inés de la Cruz, Juan López
de Avilés, Francisco de Sandoval, Alonso Ramírez de Vargas et l'homme illustre de
science et un écrivain respecté Carlos de Sigüenza y Góngora.

À l'arrivée des moines, et entre ceux-ci nous pouvons mentionner quatre grandes
personnalités comme ils, ils sont été : Pedro de Gante, Vasco de Quiroga, Bernardino de
Sahagún et Bartolomé de las Casas. Les indigènes de la Nouvelle Espagne, étaient encore
polythéistes, cependant ces moines se sont rendus à la tâche de; d'abord donner une
protection aux aborigènes des nouvelles terres, tout de suite étudier ses coutumes, sa
langue, ils l'ont appris des arts, des métiers, une agriculture, entre d'autres choses. Avec
quel but ? Dans le but de les diriger vers la conversion du païen vers le christianisme.
Pourquoi ? Comme dans les premières lignes de ce texte je l'ai mentionné, il est été de
réaliser une conquête effective mais de plus, du fait d'avoir une intention d'accomplir cela
qui a été promu fort en Europe: Le salut universel que l'on traduit comme
l'accomplissement des promesses de Dieu en peuple choisi.2

Pour les espagnols, la Colonie a servi comme fontaine inépuisable de richesse, pour
les habitants de la Nouvelle Espagne au XVIe siècle c'était un siècle de soumission,
choquez transcultural, une période traumatique; cependant, les ordres religieux ont

2
Guy Rozat Dupeyron, Indios imaginarios e indios reales, TAVA Editorial, México, 1992,
p.p 8-13.
apporté de très bonnes choses, en étant cette l'institution qui a assumé la responsabilité
de l'éducation des indigènes. Sa posture est différente de celle-là du conquérant.

Nous dirons finalement, que les plus grandes exploitations en Amérique se sont
présentées entre les XVIe et XVIIe siècles, mais aussi le plus grand nombre d'hôpitaux se
sont appuyés entre ces siècles, dans l'époque coloniale. Ce qui nous indique un sens de
protection vers les habitants de Nouvelle Espagne, mais elle n'a rien d'une mission
providentielle; est seul un acte humain, la partie généreuse de la conquête.

Le Mars 2008.

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