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TRAVAUX DIRIGÉS
Montrer que la mesure de la pression pM en M peut se faire par la mesure de la hauteur z en donnant la
relation qui relie les deux variables.
A.N. Quelles sont les hauteurs de fluide correspondant à une différence de pression de 1 atm dans les
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deux cas suivants : le fluide est du mercure (ρ = 13 600 kg/m ) ; le fluide est de l’eau (ρ = 1 000 kg/m ).
Exercice 3 – Siphon
Un siphon est essentiellement constitué par un tube en J
renversé, dont les deux extrémités ouvertes plongent dans
deux récipients situés à des niveaux différents. Supposons
qu’un robinet soit placé à l’extrémité inférieure et soit tout
d’abord fermé. Les deux récipients contiennent un même
liquide et le siphon est aussi rempli intégralement de ce
liquide.
1
Exercice 4 - Tube en U
Un tube en U de section uniforme contient du mercure. Dans une des branches, on verse de l’eau ; dans
l’autre, on verse de l’alcool. On constate que les surfaces libres de l’eau et de l’alcool (surfaces en contact
avec l’atmosphère) sont dans un même plan horizontal et que le mercure présente une différence de
niveau de 0,5 cm entre les deux branches du U.
3 3
= 10 kg/m .
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Forces hydrostatiques
z
Exercice 7 - Force de pression
Une porte rectangulaire de 2 m de large est placée 0
dans la paroi verticale d'un réservoir contenant de
l'eau (voir figure ci-contre). On souhaite que cette
porte s'ouvre automatiquement quand le niveau d'eau H = 10 m
par rapport au bord supérieur de la porte dépasse
10 m.
h=4m dz
1. Établir l'expression littérale de la force de pression
exercée sur la porte en fonction du niveau d'eau H, de
la hauteur h de la porte et de sa largeur l.
Calculer la force de pression du liquide sur chacune des parois du vase décrit ci-dessous. Quelle est la
résultante ? La comparer au poids du liquide.
A
α
Les deux parois
latérales sont
α inclinées d’un angle
α. Les deux autres
h parois sont
verticales. La base
est carrée.
B
a
Exercice 9 - Aréomètre
Un aréomètre sert à mesurer la densité d’un liquide. C’est une sphère de volume V surmontée d’un tube
capillaire gradué de section s et de longueur l. L’ensemble est étanche et lesté de façon que, lorsque
l’appareil est plongé dans l’eau pure (de masse volumique ρ0), le niveau de l’eau arrive à la graduation 0.
Si on le plonge dans un liquide de masse volumique ρ, l’appareil flotte et s’enfonce d’une hauteur x. La
masse volumique ρ est-elle plus grande ou plus petite que ρ0 ?
3
TD 2 Cinématique
des fluides
Trajectoires et lignes de courant
Exercice 1
Un écoulement est défini par les composantes du vecteur vitesse :
u = u0, v = v0 + at, w = 0
Rotation et déformation
Exercice 2
On considère un écoulement permanent dont le champ de vitesse admet comme composantes, en
coordonnées cylindriques et pour r ≠ 0 :
B
v r = 0, v θ = Ar + , vz = 0
r
Après avoir identifié les lignes de courant, discuter les cas particuliers A = 0 et B = 0 et interpréter
physiquement les résultats.
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Dynamique des
TD 3 fluides parfaits
v
n dm(t )
Quelle est alors l’expression de ?
r dt
r v2 Que devient cette expression lorsque l’écoulement
v1
est stationnaire ?
Que devient cette expression lorsque l’écoulement
A1 A2 est stationnaire et incompressible ?
3. Calculer le débit massique à travers l’entrée du tuyau de rayon R. Calculer le débit à la sortie du tuyau.
r
4. Calculer le champ d’accélération du fluide a .
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Théorème de Bernoulli
Valeurs numériques :
ρ = 1000 kg/m
3
H = 0,82 m D = 2,0 cm
En supposant qu’une ligne de courant (au moins) passe par des points voisins de chacun des orifices de
prise de pression, calculer la valeur du débit volumique d’huile, lorsque la dénivellation observée dans le
tube en U est ∆h = 200 mm. On prendra g = 9,81 m/s .
2
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On procède d’une autre manière pour aboutir au résultat. On supprime l’hypothèse de la ligne de courant
passant par les deux orifices et on suppose à la place que l’écoulement est rectiligne en chacune des
deux sections A0 et A1. Retrouver le résultat précédent en vous appuyant sur la ligne de courant médiane.
conduite à un effort F qu’il s’agit de calculer en négligeant les forces de pesanteur et de viscosité. Les
profils de vitesse et de pression seront pris uniformes dans les deux sections Ae et As.
1
Le résultat n’aura de sens en pratique qu’en l’absence de décollement dans le divergent. Cette condition est en général
vérifiée pour une valeur de l’angle du divergent inférieure ou de l’ordre de 7 à 8 degrés.
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Exercice 7 – Poussée d’un moteur à réaction
La figure ci-dessous représente le modèle du moteur qui sert de base à l’analyse. Nous utilisons un
système de coordonnées en translation uniforme avec le moteur ; dans ce système, le moteur est au
repos et le fluide situé en amont se dirige vers le moteur à la vitesse v0.
La section d’entrée du fluide dans le volume de contrôle (voir figure) est placée suffisamment en amont du
moteur de telle sorte que la pression et la vitesse qui règnent dans cette section soient respectivement p0
et v0 (les conditions à l’infini amont dans l’écoulement libre).
La section de sortie du fluide est la section de sortie du moteur et les conditions qui règnent dans cette
& et le débit sortant, constitué
section d’éjection sont pe, ve. Le débit masse rentrant dans le moteur est m a
& = m
par la somme du débit d’air et du débit de carburant est : m & +m& .
e a f
Calculer la poussée développée par le moteur en appliquant le théorème des quantités de mouvement.
On négligera les forces de pesanteur.
A.N. : Un turboréacteur propulse un avion à une vitesse constante de 300 m/s. Le débit masse d’air qui
passe dans le turboréacteur est de 90 kg/s, le débit de carburant est de 2 kg/s. La vitesse d’éjection des
gaz est de 620 m/s et la pression d’éjection est égale à la pression ambiante.
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Dynamique des
TD 4 fluides réels
Viscosité
On suppose que la charge sur l’axe est très faible, de telle sorte que les forces de frottement associées à
la viscosité sont seules importantes. Calculer la contrainte agissant sur le fluide au niveau de l’axe, la force
de frottement développé sur l’axe, le couple correspondant et la puissance nécessaire pour faire tourner
l’axe.
Équation de Navier-Stokes
2. Écrire les équations de bilan des quantités de mouvement. On posera, sans le démontrer, que la
pression ne varie pas suivant x (car plaques infinies).
3. Montrer que la pression varie, sur une verticale, suivant une loi hydrostatique.
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4. Déterminer la distribution de vitesse entre les plaques en intégrant l’équation du mouvement et en
utilisant les conditions aux limites correspondantes.
5. Considérons la situation pour laquelle le fluide est de l’huile pour moteur et h = 3 mm. La vitesse de la
plaque en mouvement est V = 10 m/s. On suppose que les propriétés de l’huile sont constantes. On
donne :
ρ = 888,2 kg/m
3
ν = µ/ρ = 900 10 m /s
-6 2
Déterminer les contraintes de viscosité et en déduire l'expression de la force par unité de surface
nécessaire pour assurer le mouvement de la plaque supérieure à vitesse constante V.
-h
Conformément aux notations de la figure, on prend l’axe des x colinéaire à celui du mouvement, la
direction normale aux plans étant prise pour axe y. L’axe z, orthogonal au plan de la figure complète le
trièdre orthonormé. On désigne par vx, vy et vz les composantes du vecteur vitesse dans le repère ainsi
constitué et par p la pression.
7. Écrire les équations de bilan des quantités de mouvement (en les simplifiant au maximum compte
tenu des hypothèses).
8. Comment la pression varie-t-elle sur une verticale (suivant y) ? De quelle variable dépend la vitesse
vx ?
re
Réécrivez alors la 1 équation de Navier-Stokes sous la forme d’une égalité de deux fonctions
inconnues à variables séparées.
11. Déduire des résultats précédents le tenseur des contraintes visqueuses et calculer la contrainte de
cisaillement τ xy en fonction de A. Que vaut en particulier le frottement τp à la paroi supérieure.
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12. Exprimer A en fonction de τp . En déduire l’expression de la perte de pression le long de l’écoulement
dp
en fonction de τp .
dx
La pression dans la section basse 1, p1, est maintenue égale à 3 bars, la pression dans la section
haute, p2, étant égale à 1,5 bars.
Vérifier d’abord que l’écoulement se fait bien de bas en haut (dans le sens 1 → 2), puis calculer le
débit de liquide dans la canalisation ainsi que le nombre de Reynolds de l’écoulement.
Données : le fluide considéré est de l’eau. On supposera qu’il s’agit d’un liquide incompressible pour
lequel ρ = 10 kg/m et µ = 10 kgm s . Pour des écoulements turbulents en conduite hydrauliquement
3 3 -3 -1 -1
5
lisses et un nombre de Reynolds inférieur ou égal à 10 , le facteur de frottement (ou coefficient de perte de
3
charge linéaire ) est donné par la formule de Blasius :
λ = 0,316(Re )−1 4
5
Pour des nombres de Reynolds supérieurs à 10 , on peut utiliser la formule de Nikuradsé :
1
λ
( )
= 2 log λRe − 0,8
∆pt 32µvm
=
2
On rappelle la formule de Poiseuille :
L D2
∆Pt L
3
On rappelle que ce coefficient est défini par λ =
1
ρv 2 D
2 m
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Représentation monodimensionnelle d’un
écoulement permanent en conduite
On considère l’écoulement d’un fluide incompressible dans un conduit de section circulaire de rayon R et
on envisage :
r2
(b) un écoulement laminaire de profil de vitesse dans une section droite : v ( r ) = v L 1 − 2 ;
R
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(c) un écoulement correspondant à un nombre de Reynolds Re = 10 . Le profil de vitesse est bien
1
r n
représenté par : v ( r ) = v T 1 − avec n = 7.
R
Pour effectuer la comparaison, on suppose que les trois écoulements assurent le même débit massique
m& .
1
& ∫∫
β= ρv 2 dA
mv A
1
α= ∫∫ ρv dA
3
& 2
mv A
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