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Importance de la ville et du phénomène urbain dans les sociétés de ce début du XXI Siècle :
L’image de la ville est ambivalente : (lieu convoité) par ses multiple avantages :
La sociologie de Chicago sont apte en favorisent le fait que la ville : Favorise l’émergence de
l’individu (l’anonymat) d’où la procuration d’une certaine liberté.
Définition :
L’urbain : tout ce qui est produit par la ville est pour qui elle génère comme complexe divers.
En 1995 2.5 milliards de personnes vivaient dans les villes- en 2025 il attteindra 5 milliards selon un
rapport des nations unis.( 86% de la population vivera dans les villes)
3% au début du 19em s
La population urbaine passe de 335 millions entre 1910 à 724 million en 1950(dont 450 millions pour
les pays pauvres) et 1 milliard 806 m pour les pays pauvre.
Le phénomène d’urbanisation :
L’urbanisation des pays occidentaux et d’états unis (pays industrialisés c’est ralenti) après la
révolution industrielle du 18 et du 19em S)
Economiques
Technologique
Les citadins d’aujourd’hui étaient les ruraux d’autrefois il se sont installés en villes en grande partie à
cause de :
Dominations coloniales
(Exode rurale) La ruine des compagnes et déracinement des populations rurales qui viennent
gonfler les périphéries des villes
Crise urbanistique
Pauvreté
Manque de logement
Conflits
Violence urbaine
Marginalisation et exclusion de certaine classe sociales.
Précarité
RESUME DE SOCIO DE L HABITAT 2013-2014 BY THE KING
« … produites bien plus par cet effet direct et indirect de l’exode rurale que par une production de
bien qui justifient l’attraction de la main d’œuvre » BB BRET
Marcel Roncayalo dit : il s’agit d’une définition très classique qui se focalise sur les aspects matériels
de la ville » selon l’auteur ce schéma structurel de la ville peut conduire qui ne prenent pas en compte
l’aspect HITORIQUE et CIVILISATIONNEL
Il faut considérer le fait que : « ce sont les sociétés urbaines. Localisées qui sont capable ou non
d’entretenir ces flux de les accroitre ou de les renouveler et non la situation ou la position de la ville »
Marcel RONCAYOLO, et GRAFMEYER soulignent les limites voire le non sens quand cela est poussée à
la caricature.
« … entre la société et les formes urbaines, le reflet n’est pas immédiat, ni le résultat d’un mécanisme
simple ».
La ville doit être abordée non pas par la matérialité mais Comme FAIT DE SOCIETE
RESUME DE SOCIO DE L HABITAT 2013-2014 BY THE KING
La sociologie urbaine :
Sa particularité :
Elle se focalise sur les Acteurs, jeux et enjeux dans la ville pour produire la ville
L’urbanisme recherche les outils pour permettre l’ordre et produire l’ordre urbain, la sociologie quant
à elle adopte une démarche pour : Approcher l’ordre urbain. Pour le sociologue le plus important
n’est pas le projet urbain mais la MANIERE dans les agents agissent et Manipulent l’intention porté à
l’urbain autrement dit : elle s’intéresse au processus de d’ajustement produit par les auteurs du
projet urbain
Exemple :
Le développement des transports : leur but majeur est d’articuler de nouveaux axes urbains et les
réseaux de communication la sociologie se souciera d’étudier les comportements qui sont liés au
temps et à la distance avec ce que cela implique
Définition de la ville :
Selon Y GREFMEYER « la ville est à la fois territoire et population, cadre matériel et unité de vie
collective, configuration d’objets physique et nœud de relation entre sujets sociaux » IN SOCIOLOGIE P
8.
R.LEDRUT résume cela de façon très percutante : « … le site et les distributions matérielles de la vie
sont le théâtre de la vie collective »
Il dit que : l’aspect matériel peut influencer le forme de la vie sociale, il estime que :
L’étendue urbaine : est telle parce qu’elle est à chaque instant VECUE ET ASSUMEE par des hommes.
Y GREFMEYER dit : la ville n’est donc pas une chose, un objet, voire une machine qui doit bien
fonctionner mais c’est une communauté humaine, une collectivité territoriale»
NB/ pour définir la ville il ne faut pas chercher l’élément invariant s mais l’aspect typiques cad les
dimensions sociologiques pertinentes
Aspect hygiéniste
L’interconnaissance territoire qu’on peut quitter facilement
L’anonymat et procuration d’une certaine liberté
Au 19eme S avec le boom industriel plusieurs maladie font leur apparition (tuberculose, peste
choléra)
Dimensions sociologiques :
Exemple :
Les dimension sociologique de la ville sont appuyées par l’école de chicago , la sociologie actuelle
insiste sur l’observation et l’étude de la ville par rapport aux interaction entre acteur et donc de la
production et de relations par le jeu de la rencontre que favorise le milieu urbain .
La population et les activités ne se distribuent pas de manière uniforme de même pour le cadre
bâtit :
La centralité urbaine
M.WEBER estime que là où il y a organisation politique propre (un endroit municipal) en plus des
autres fonctions qui lui sont conférée.
Ainsi le facteur de la politique et administrative est central dans la mise en ordre de la ville, elle est
aussi d’ordre économique (existence d’un marché régulateur, dispositif qui organisent la division du
travail
Exemple un centre historique d’une ville. Qui devient le principal point d’appui et lieu emblématique
d’un grand nombre de fonctions centrales.
La centralité n’est pas univoque ce n’est pas une caractéristique qui est propre à la ville.
En somme : le centre serait : le lieu où s’installent les activités considéré comme les plus vitales,
plus noble, les plus décisives où se dressent les décisives et les édifices les plus représentatifs , il
est porteur des valeurs sociales , les plus avancées , il désigne et joue un rôle actif dans la
formation de la conscience collective .
RESUME DE SOCIO DE L HABITAT 2013-2014 BY THE KING
a- Le Courant dit de L’écologie urbaine : représenté par l’école de Chicago dans les années
20/30, il fonctionne selon le modèle de l’écologie animal. Les nouveaux citadins son observés
autant dans leur comportement que dans la manière dont ils occupent des espaces dans la
ville.
b- Le Courant Culturaliste : il succède à l’écologie urbaine, l’observation portent sur les petites
villes celles de la nouvelle Angleterre, la dimension des villes et la diversification de leur
population inspire le PARADIGME de a « grassroot society ou démocratie locale »
c- L’école fonctionnaliste( 1950) : elle se base sur La nouvelle forme de mobilité spatiale Les
transformation du modèle économique Américain à savoir le développement des couches
moyenne dites « les travailleurs en col blancs)
d- L’interactionnisme symbolique (1960) : dont les paradigmes et préoccupations demeure de
nos jours, il centre son intérêt sur la vie quotidienne ordinaire du citadin, les espaces publics,
lieu d’interconnaissance, ils sont analysés sous l’angle du model scénique.
Exemple : le mode d’urbanisation américain (précoce, massif, est porté trop tôt sur les grande
métropoles)
Mais aussi le système économique d’absorption de flux humain d’origine ethnique diversifiés et
colonisation étatiques est propre à l’Europe. Particulièrement la France surtout après la 2 eme
guerre mondiale et la reconstruction.
En effet le modèle économique dominant repose sur une articulation entre production de masse,
une politique de salaires élevés et une main d’œuvre nombreuse peu qualifié. C’est ce qu’on
appelle le modèle FRODSTE.
Aussi l’urbanisme de zoning, cette situation favorise considérablement des approches de la ville
en termes de relation mode de production et processus d’urbanisation.
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L’école de Chicago :
Principales sociologues
R E PARK
E W BURGESS
R D MACKENZI
Ils sont connus pour leur travaux dans la mesure où « les villes constituent … pour le sociologue,
les indicateurs d’une mutation visible à l’œil nu qui aboutit à la formation des types sociaux
nouveau type professionnel, type tempérament et pathologique.
Exemple : la ville de Chicago comme objet d’étude, qui a conduit à dire que :
La ville est un tout complexe rassemblant les éléments matériels, sociaux, culturel en perpétuelle
interaction. Reprenant ainsi le modèle de l’écologie animale et végétale (… les humains sont liés
par une interdépendance à travers le partage d’un territoire.
Louis WIRTH : pose le principe que la ville est à la fois un mode de vie et engendre une
personnalité urbaine (mentalité urbaine) il part d’une distinction entre :
L’individuation :
Existence dans la proximité induite par la densité urbaine de la distance sociale.
Nouvelle manières de se lier et de se rencontrer (sociabilité)
Naissance de mécanisme de délégation et de représentation
Phénomène de déviance
Les Relations entre individus :
L-WIRTH dit :
Les contactes en ville peuvent être effectivement de face à face mais ils ne sont pas moins
superficiels, éphémères, et segmentaire. WIRTH estime que comparer au village ou la
communauté, prime sur l’individu, la ville donne pour sa part un primat sur à ce dernier. Cela
s’ajoute que « les citadins vivent au rythme des horloges et des sociaux de circulation. En fait il y
aurait selon WIRTH une mentalité urbaine (ethos urbain) et une culture urbaine.
L’éthos désigne selon M WEBBER un système de valeurs intériorisé, la conduite de vie et morale
pratique, propres à un groupe social.
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La ville fonctionne comme un système clos. « … la ville exerce sur son environnement une
emprise liée à son pouvoir de diffusion et à sa capacité de reproduire dans cet environnement sa
propre image.
Définition : la culture qui est liée à ce type de ville « système culturel caractéristique de la
société industriel capitaliste » M. Castels
1- Approche macro sociologique : processus historique, type de système économique et social,
type de ville et de mode de vie »
2- Approche microsociologique « étude des relation et des relation et des comportement
Approche microsociologique s’inspire de la sociologie de l’école, sont celle qui occupent
pratiquement devant la scène.
Les courants de microsociologique :
a- Le courant Marxiste
b- L’interactionnisme symbolique (année 20-30 et 60) : les sociologues remettent en
question les approche d les approches déterministes selon lesquelles les réalités sociales,
s’imposent telle que quelles aux individus aux groupes sociaux
« .. Les individus réagissent en fonction de stimulus. L’individu n’es pas passif, c’est un
acteur, il peut s’écarter peut s’écarter des rôles institutionnels (assigné) il a des
capacités d’ajustement en fonction des situations. Face aux autres l’individu produit ses
propres comportements en fonction de ce qu’ils attendent des actions des autres.
HS BEKER résume cela ainsi : « les individus cherches à ajuster mutuellement leurs lignes
d’action sur les actions des autres perçues ou attendue ».
GOFMAN transpose cette analyse aux comportements des individus dans les espaces
sociaux particulièrement les espaces public, ce courant prend « … comme référence les
espaces public où coexistent et prolifère les groupes malgré la variété de leur
orientation… » Les espaces publics mettent donc en contact de façon très dense des
individus et des groupes sociaux, socialement culturellement diffèrent