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Pr. EL ATTAR
Omar Berrayti
Plan du Cours
Acteurs Objectifs
Analystes financiers Informer les institutions et le public sur la santé financière de l’entreprise.
Opération
Cycles financiers consistant à faire
face aux besoins
Opérations de trésorerie des
correspondant deux autres
au « métier de Cycle Cycle de
d'exploitaion financement fonctions
l’entreprise »
L’analyse financière
Le bilan
ACTIF PASSIF
Actif immobilisé (Class 2) Financement permanent (class 1)
Actif circulant (class 3) Passif circulant (class 4)
Trésorerie actif (rubrique 51) Trésorerie passif (rubrique 55)
Analyse
financière
Introduction:
L’objet du compte de résultat est d’enregistrer l’activité de l’entreprise durant une période limité,
généralement une année.
Ce compte est destiné à mettre en lumière la formation de richesse de l’entreprise durant un
exercice.
Le résultat dégagé (positif ou négatif) provient généralement des rentrées et des dépenses liées à
l’exploitation ainsi que la dépréciation des actifs possédés par l’entreprise.
Les soldes intermédiaire de gestion (SIG) est une représentation simplifiée du CPC permettant de
calculer les résultats partiels.
Le calcul des SIG se faut en partant du chiffre d’affaires jusqu’au résultat net comptable.
= ventes de marchandises en l’état diminuées des RRRA (accordés) par l’entreprise - achats
revendus de marchandises nets augmentés des RRRO (obtenues) sur achats.
Elle dépend :
Production de l’exercice:
La production de l’exercice constitue un indicateur de gestion qui n’est pas homogène, car :
Valeur ajoutés :
La répartition de la valeur ajoutée produite se fait entre les cinq grands partenaires qui ont
contribué à sa formation : les actionnaires, le personnel, les bailleurs de fonds, l’Etat et l’entreprise
elle-même
Gestion de Gestion de
production personnel
Consitution du
résultat
EBE : mesure la
performance
L’EBE est un indicateur à privilégier pour plusieurs raisons :
Il exclut les coûts liés au mode de financement (puisque calculé avant les frais financiers et
les dividendes). Il n’est pas influencé par la politique de financement.
Il révèle donc la capacité de l’entreprise à dégager du profit indépendamment de celui qui
finance le capital (banquier ou actionnaire). Il n’est pas influencé par la politique
d’investissement.
Il exclut les coûts liés à la fiscalité. Il n’est pas influencé par la forme juridique de
l’entreprise.
L’EBE n’est pas influencé par des charges calculées forfaitairement (dotations aux
amortissements et provisions).
A ce titre, il présente une plus grande fiabilité que les soldes qui vont le suivre.
Résultat d’exploitation :
Le Résultat d’Exploitation mesure le résultat généré par l’activité courante de l’entreprise. Il tient
compte de la perte de valeur des investissements en déduisant les dotations aux amortissements
(installations immobiliers, matériels, agencement, véhicules …) et des risques (ou annulation de
risque) qui pèsent sur l’entreprise en déduisant les provisions (perte sur créances, dépréciation de
stocks, …).
Ce solde met en évidence le résultat lié à l’activité habituelle de l’entreprise hors éléments
financiers (charges financières liées au financement de l’entreprise, produits financiers issus des
activités spéculatives sur les marchés financiers) et hors éléments exceptionnels (ventes
d’immobilisations).
C’est le solde découlant des produits et des charges relatifs aux décisions financières de
l’entreprise. C’est un résultat qui permet d’apprécier la performance de l’entreprise quant à sa
politique de financement.
Résultat net de l’exercice = résultat courant + ou – résultat non courant – impôt sur le résultat.
Il est souvent le seul résultat connu des tiers. Il apparaît au passif du bilan.
De façon à obtenir des indicateurs pertinents, il est indispensable de retraiter certains postes, à
condition que leur montant soit significatif.
2- Loyer de location-financement
3- Subventions d’exploitation
4- Impôts et taxes
Considérés comme :
Justificatif Des rémunérations des services payés à l’état
Des taxes relatives à des charges de personnel
Ajouter aux consommations intermédiaires Ou Aux charges de
Retraitement
personnel
5- La sous-traitance
Justificatif Avoir une idée claire sur l’activité économique réelle de l’entreprise.
Ne pas inclure la sous-traitance dans le calcul de consommation et la
production de l’exercice, lorsque cette sous-traitance n’a pas entraîné
de valeur ajoutée significative, créée par la structure propre de
Retraitement
l’entreprise. Dans ce cas, le produit de la sous-traitance est considéré
comme un produit accessoire et figurera au niveau des autres produits
d’exploitation.
Définition :
La capacité d’autofinancement est la ressource interne dégagée par les opérations enregistrées en
produits et charges au cours d’une période et qui reste à la disposition de l’entreprise après
encaissement des produits et décaissement des charges concernés.
Cette notion s’oppose aux ressources externes provenant des partenaires de l’entreprise.
Utilisation de la CAF :
Financement des
Financement total ou
investissements
partiel
Capacité
d'autofinancement
Augmentation des
capitaux propres Amélioration du fonds
de roulement
En fonction de la
Distribution des politique de
dividendes distribution de
l'entreprise
Calcul de la CAF :
1- La méthode soustractive :
EBE
+ Autres produits monétaires :
Autres produits d’exploitation
Produits des titres de participation et autres titres immobilières
Intérêts et autres produits financiers
Gains de change
Autres produits non courants
- Autres charges monétaires
Autres charges d’exploitation
Charges d’intérêts
Pertes de change
Autres charges non courantes
Impôts sur le résultat
CAF
Distribution de bénéfices
Autofinancement
(a): à l’exclusion des reprises d’Exploitation, Financières et non courantes hors éléments circulants.
(b): à l’exclusion des dotations d’Exploitation, Financières et non courantes hors éléments
circulants.
2- La méthode additive :
Introduction:
Un ratio est un rapport entre deux grandeurs d’ordre comptable et financière.
Un ratio n’a pas de véritable signification que dans la mesure où il est comparé dans le
temps à lui-même ou à d’autres ratios semblables ou à une référence connue.
Il existe un grand nombre de ratios qui traitent les différents points de la vie de l’entreprise.
Ces ratios peuvent être liés aux valeurs du Bilan ou du CPC ou les deux à la fois.
Ils peuvent être classés selon plusieurs critères.
Ce sont donc des outils d’aide à la décision.
L’analyse par les ratios a pour objet de mettre en lumière les forces et les faiblesses de
l’entreprise.
Il convient de sélectionner les ratios les plus significatifs compte tenu de la situation et de la
problématique de l’entreprise.
Compte tenu des différents niveaux de résultat, il y a trois niveaux d’analyse de la rentabilité
d’une entreprise :
- La rentabilité d’exploitation,
- La rentabilité économique,
- La rentabilité financière.
Les ratios de rentabilité mesurent à cet égard les résultats par rapport :
𝑀𝑎𝑟𝑔𝑒 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒𝑟𝑐𝑖𝑎𝑙𝑒
Taux de marge :
𝐴𝑐ℎ𝑎𝑡𝑠 𝑑𝑒 𝑚𝑎𝑟𝑐ℎ𝑎𝑛𝑑𝑖𝑠𝑒𝑠 (𝐻𝑇)
𝑉𝐴𝑛− 𝑉𝐴𝑛−1
Taux de croissance de la valeur ajoutée :
𝑉𝐴𝑛−1
L’évolution de la valeur ajoutée est un indicateur de croissance plus significatif que le taux de
croissance du chiffre d’affaires.
𝑉𝐴
Taux d’intégration :
𝐶𝐴 (𝐻𝑇)𝑜𝑢 𝑃𝑟𝑜𝑑𝑢𝑐𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑′𝑒𝑥𝑒𝑟𝑐𝑖𝑐𝑒
Il mesure le taux d’intégration de l’entreprise dans le processus de production ainsi que le poids de
charges externes.
𝑉𝐴 𝑉𝐴
Taux de rendement du capital et de la main d’œuvre :
𝐶𝑎𝑝𝑖𝑡𝑎𝑢𝑥 𝑖𝑛𝑣𝑒𝑠𝑡𝑖𝑠 𝐸𝑓𝑓𝑒𝑐𝑡𝑖𝑓𝑠
Ces ratios sont des indicateurs du nombre de DH de VA créés par DH de capitaux investis et par
tête d’employé.
𝐸𝐵𝐸 𝐸𝐵𝐸
Taux de rentabilité de l’activité ou taux de profitabilité : ou
𝐶𝐴 (𝐻𝑇) 𝑃𝑟𝑜𝑑𝑢𝑐𝑡𝑖𝑜𝑛
𝑅é𝑠𝑢𝑙𝑡𝑎𝑡 𝑑′𝑒𝑥𝑝𝑙𝑜𝑖𝑡𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛
𝐶𝐴 (𝐻𝑇)
Il est à comparer au ratio précédent car il permet ainsi de mesurer l’impact de la politique de
financement extérieur de l’entreprise.
𝑅é𝑠𝑢𝑙𝑡𝑎𝑡 𝑛𝑒𝑡
Taux de marge nette :
𝐶𝐴 (𝐻𝑇)
Il mesure le résultat obtenu à partir de toutes les ressources à long terme (fonds propres +
emprunts) mises à la disposition de l’entreprise.
𝐸𝐵𝐸
Taux de rentabilité économique :
𝐴𝑐𝑡𝑖𝑓 é𝑐𝑜𝑛𝑜𝑚𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑜𝑢 𝑐𝑎𝑝𝑖𝑡𝑎𝑢𝑥 𝑖𝑛𝑣𝑒𝑠𝑡𝑖𝑠
L’importance de ces ratios est de les comparer avec le taux moyen de rendement des placements
à revenu fixe.
La structure du Bilan:
Un bilan est un document comptable de synthèse qui donne, à un moment précis, une photographie
de l’entreprise. Le bilan se présente sous la forme d’un inventaire, à une date donnée, récapitulant
l’ensemble des ressources dont dispose l’entreprise et la façon dont elle les a utilisées.
L’observation du bilan comptable fournit des informations utiles sur la santé financière de
l’entreprise, et cela par :
La comparaison des bilans pour la même entreprise peuvent mettre en évidence les éléments
de stratégie de l’entreprise.
La comparaison des bilans de l’entreprise avec les bilans des sociétés similaires.
Le bilan est composé par un actif et un passif sous la forme d’un tableau divisé en masses ou
classes. Celles-ci sont divisées en rubriques, elles-mêmes scindées en postes.
Actif Passif
Actif immobilisé (classe 2) Financement permanent (classe 1)
Actif circulant (classe 3) Passif circulant (classe 4)
Trésorerie -actif- (rubrique 51) Trésorerie –passif- (rubrique 55)
Voir la structure officielle dans le plan comptable.
Il s’agit des emplois temporaires de l’entreprise : stocks, clients et créances diverses … Ce sont
des emplois temporaires car ils vont par la suite : les stocks sont devenus et transformés en
créances sur les clients. Les créances sont encaissées et transformées en trésorerie. C’est pourquoi
on les appelle actifs circulants.
Il s’agit :
Classe 5 : Trésorerie.
Il s’agit :
- Soit des disponibilités financières de l’entreprise, en banque ou en caisse, qui sont inscrites
sous la rubrique 51 de l’actif du bilan.
- Soit des facilités de trésorerie inscrites au passif du bilan sous la rubrique 55 (découverte,
emprunt à moins d’un an, crédits d’escompte …).
Le bilan fonctionnel n’est autre que le bilan préconisé par le plan comptable. Il est dit fonctionnel
parce que les postes y sont classés d’après la fonction à laquelle ils se rapportent.
Cette approche repose sur le principe d’affectation des ressources stables aux emplois stables. Elle
commence généralement par l’examen du besoin de financement.
Pour obtenir un bilan fonctionnel, à partir du bilan du plan comptable général, il faut procéder à des
retraitements de certaines postes d’un bilan. De même, certaines précisions sont nécessaires pour
expliquer le contenu de chaque bloc.
1- Le calcul du fond de roulement net se fait à partir du bilan avant répartition. Le résultat de
l’exercice est inclus dans les capitaux propres.
2- Toutes les provisions font partie des ressources durables, à intégrer dans le bilan fonctionnel
3- Pour le crédit-bail :
La valeur d’origine est ajoutée à l’actif immobilisé.
La part des annuités correspondra à des amortissements, elle est ajoutée aux
ressources propres.
La valeur nette, c’est-à-dire la partie restante à rembourser est ajoutée aux dettes
financières.
4- Les effets réescomptés non échus sont à retenir dans leur trésorerie passive ajoutés au solde
créditeur des banques et ajoutés à l’actif circulant d’exploitation à l’actif.
Ainsi la présentation du bilan fonctionnel permet de répondre à deux questions :
Le fond de roulement fonctionnel est égal à l’excédent des ressources de financement sur les
emplois permanents. Il correspond au montant des ressources qui, après financement de l’actif
immobilisé, demeure disponible pour couvrir les besoins de financement de l’actif du cycle
d’exploitation de l’entreprise ou besoins de financement globale (B.F.G).
Le besoin de financement global se calcul par la différence entre l’actif circulant hors trésorerie, et
le passif circulant hors trésorerie.
B.F.G > 0 : Il s’agit d’un besoin, cela signifie que les emplois sont supérieurs aux ressources,
ce qui traduit un besoin de financement global qui doit être comblé.
B.F.G < 0 : Il s’agit d’une ressource de financement qui peut être utilisée par l’entreprise.
Dans le bilan fonctionnel, la trésorerie ne correspond pas au disponible (compte caisse et banque),
mais à la différence entre la trésorerie – actif et la trésorerie – passif.
La trésorerie nette peut être également calculée par la différence entre F.R.F et le B.F.G.
Situation 1 : F.R.F > 0, B.F.G > 0, TN > 0 : Dans cette hypothèse, le F.R.F couvre le B.F.G
et permet de dégager des liquidités.
Situation 2 : F.R.F > 0, B.F.G > 0, TN < 0 : Dans cette hypothèse, le B.F.G est financé à la
fois par le financement permanent et par des concours bancaires.
Situation 1 : F.R.F < 0, B.F.G > 0, TN < 0 : Cette situation déséquilibrée est extrêmement
dangereuse, car les concours bancaires couvrent non seulement le B.F.G et les
disponibilités, mais également une partie de l’actif immobilisé.
Situation 1 : F.R.F > 0, B.F.G < 0, TN > 0 : Cette situation est favorable car les ressources
de financement induites par le cycle d’exploitation, associées aux excédents du
financement permanent sur l’actif immobilisé, permettent de dégager une trésorerie
positive.
Situation 2 : F.R.F < 0, B.F.G < 0, TN > 0 : Cette situation est déséquilibrée car les
ressources de financement d’exploitation couvrent la trésorerie nette de l’entreprise et
une partie de l’actif immobilisé (F.R.F < 0).
Situation 1 : F.R.F < 0, B.F.G < 0, TN < 0 : Cette situation est totalement déséquilibrée
dans la mesure où le financement permanent ne couvre qu’une partie de l’actif immobilisé
(F.R.F < 0), cette insuffisance était compensée par l’actif circulant.
Le bilan financier est un bilan organisé en vue d’évaluer le patrimoine de l’entreprise et d’apprécier
le risque de faillite à court terme. Les postes du bilan financier sont :
Ayant pour objectif l’évaluation du patrimoine réel de l’entreprise, l’analyse part du bilan après
l’affectation du résultat et travaille sur des valeurs nettes après déduction des amortissements et
des provisions pour dépréciation. La poursuite de cet objectif explique les corrections qui doivent
être apportées au bilan fonctionnel pour obtenir le bilan financier.
Bilan fonctionnel
Actif Passif
Actif Immobilisé Financement permanent
Actif circulant (hors trésorerie) Passif circulant (hors trésorerie)
Trésorerie actif Trésorerie passif
Bilan financier
Actif Passif
Actif immobilisé (plus d’un an) Capitaux permanents (plus d’un an)
Valeurs d’exploitation (moins d’un an) - Capitaux propres
Valeurs réalisables (moins d’un an) - Dettes à long et moyen terme
Valeurs disponibles (moins d’un an) Dettes à court terme (moins d’un an)
Trésorerie passif (moins d’un an)
Les retraitements financiers du bilan comptable viennent à mettre en évidence les emplois de fonds
et les engagements significatifs afin de mieux coller à la réalité économique de l’entreprise.
RESSOURCES DURABLES
Actif Passif
Dettes
Eléments à Dettes
à long
Actif Valeurs Valeurs Valeurs Capitaux à Trésorerie
retraiter et
immobilisé d’exploitation réalisables disponibles propres court passif
moyen
terme
terme
Total bilan
fonctionnel
Retraiteme
nt
+ -----
+ -----
+ -----
Total bilan
financier
FRF > 0 : l’équilibre financier est respecté. L’entreprise est en principe solvable.
FRF < 0 : l’équilibre financier n’est pas respecté. Des risques d’insolvabilité sont probables.
- Le besoin en fonds de roulement est la partie des besoins d'exploitation qui n’est pas
assurée par les ressources d’exploitation.
- Il est le résultat de la soustraction entre les ressources et les emplois disponibles pour un
délai d’au moins d’un an.
BFR > 0 : il s’agit d’un besoin à financier. Il faut chercher les ressources nécessaires pour
financer ce besoin soit au niveau du F.R.F et/ou de la trésorerie.
BFR < 0 : il s’agit d’une ressource qui peut être utilisée pour améliorer la situation financière
de l’entreprise.
La trésorerie nette peut également être calculée par la différence entre F.R.F et le B.F.R. Cela
découle de l’égalité fondamentale entre l’actif et le passif du bilan.
F.R.F > B.F.R : le fonds de roulement finance en totalité le besoin en fonds de roulement et il
existe des ressources qui se trouvent en trésorerie.
F.R.F < B.F.R : le fonds de roulement ne finance qu’une partie du besoin en fonds de
roulement, la différence doit être financée par des crédits bancaires.
Les ratios issus du bilan:
Analyse de la liquidité :
Une bonne analyse de la situation de la liquidité de l’entreprise nécessite une étude détaillée du
cycle d’exploitation. Il est toutefois possible de calculer un certain nombre de ratios comparant le
degré de liquidité des actifs au degré d’exigibilité des dettes du passif.
Liquidité générale :
Plus le Fonds de Roulement sera élevé (ratio de liquidité générale supérieur à 1), plus faible sera la
part du Passif Circulant face à l’actif circulant qui pourra couvrir ces dettes.
Liquidité réduite :
La liquidité des stocks n’est pas toujours évidente (stock outil, durée de processus de production …
etc.), pour sortir de cette hypothèse, les analystes retiennent généralement le ratio de liquidité
réduite.
Liquidité immédiate :
Ce ratio mesure la capacité de l’entreprise à honorer ses engagements à court terme grâce à ses
moyens disponibles.
L’étude de la structure financière se concentre sur l’étude du passif du bilan et plus précisément
sur l’endettement et le choix des modes de financement.
Autonomie financière :
Endettement à terme :
R1 = Dettes de Financement / Capit. propres ou R2 = Capit.Propres / Financement permanent
Ils traduisent soit une capacité d’endettement potentielle ; signe de flexibilité financière, soit la
saturation de cette capacité et la nécessité de recourir à des fonds propres.
R1 traduit le nombre d’années nécessaires à l’entreprise pour assurer le remboursement total des
dettes à terme, au moyen de sa C.A.F.