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L informatique de gestion

1-le système d information :


Vu le rôle primordial que joue l'information dans cette nouvelle ère ( ère de
l'information toute organisation quelle qu'elle soit,doit consacrer une partie
de son effort et de son activité à récolter, traiter, stocker et diffuser
l'information issue de son propre fonctionnement dans le cadre de ce qu'on
appelle système d'information. C'est la tâche principale du système
d'information, qu'on va tenter de définir dans les pages qui suivent.
Pour introduire d'une manière un peu formelle le concept de système
d'information, on va recourir à ce qu'on appelle la vision systémique d'une
entreprise.
On distingue d'abord le système opérant où les produits finaux sont
fabriqués à partir d'une certaine matière première. On réduit l'organisation à
une sorte d'usine, qui travaille sur la matière première pour fournir un
produit final.

Toute organisation est pilotée par une direction, une équipe dirigeante. Ce
système de pilotage a pour mission de conduire l'organisation vers des
objectifs qui lui sont fixés, et de vérifier que ces objectifs ont bien été
atteints. Ce qui nécessite souvent un contrôle continu du fonctionnement du
système opérant et d' éventuelles modifications (recrutement,
investissement, nouveaux développements...) à apporter au système
opérant.
Et c'est dans ce contexte qu'apparaît le système d'information. Ce sous-
système de l'organisation s'occupe de récolter l'information, de la stocker,
de la traiter et de la diffuser dans le système opérant et dans le système de
pilotage. Dans le système opérant, cette information va permettre à celui-ci
de fonctionner. Car chaque individu et chaque tâche ont besoin d'être
informés sur le flux physique qui la traverse.
La tâche principal du SI est
donc de fournir un flux d'information qui d'une part, reflète le plus fidèlement
possible le flux physique, et d'autre part fournit au système opérationnel les
éléments nécessaires pour son fonctionnement quotidien et au système de
pilotage les éléments nécessaires à une prise correcte de décision. (le rôle
du système d information )
les fonctions du systèmes d information :
traiter : des données stockées ( fonction dynamique )
collecter : les informations provenant des autres éléments
mémoriser : données manipulées par le système
transmettre : des informations vers les autres composantes du système
ainsi que vers l environnement externe au système, fonction dynamique
alors on a 3 fonctions dynamique et une seule statique le SI est donc
dynamique
les qualités de SI :le SI permet de
connaître le présent
de prévoir
comprendre
d informer rapidement

les composants du système d information


humain : capable de faire fonctionner le système d effectuer la maintenance
,
moyens matériels:disposition physique de degré de technicité plus ou moins
permettant de recevoir , manipuler ; émettre l information ( ex ordinateur , logiciel
, moyens de communication )
bases de données : ensembles des informations recueillies par l
organisation ( information internes et externes )
logiciels et procédures : correspond a l ensemble des programme d
application et de services nécessaire au fonctionnement du SI

la classification du système d information :


il existe non pas une seule information mais des informations divers ,
malgré que toutes ont en commun le fait d utiliser l ordinateur
système de traitement des transaction :STT
désigne également système de traitement transactionnel ; exécute
et enregistre les transactions quotidiennes et routinière associes
a des événements parfaitement identifié
système d information de gestion :SIG
fournit aux gestionnaire des indicateurs et des rapports sur l
efficience a court terme
système d aide a la décision : SAD ou SIAD
aide a la prise de décision sur des problèmes qui ne sont pas
prédéterminé a l avance , ces système s appuient sur les données issues
des STT des SIG mais ils requiert également des informations
externe s
tableau de bord ou dash bord
permet d obtenir une vue d ensemble de l entreprise ,il synthétise les
points clés de l activités et poursuit deux objectifs :
-prévenir des difficultés
-aider a piloter l entreprise
il alerte sur les actions correctrice a mettre en place
il constitue des indicateurs d ensemble ( économique , physique ,
humains et de suivies des projets )
SIAD : est une partie du SI permettant d accompagner les décideurs
dans le processus de prise de décision les fonctions de SIAD permette
de collecter , intégrer , synthétiser et transformer les données
organisationnelles
information :
il faut distinguer en premier temps l « information » et « données »
les données sont des faits qui n ont pas encore été traités et dont on ne peut
a ce stade tirer aucun enseignement

Données
traitement
Information
Les informations sont des données traitées ou transformées qui aident quelqu un a
prendre des décisions ou tirer des conclusion
exemple
information =données +modèle d interprétation
12101995 donné
interprétation 12/10/1995 information

caractéristique de l information
caractéristique explication et : ou exemple
de l info forme
orales textuelles conversation en face a face ou au
téléphone
visuelle sonore lettre commerciale note de service photos
photos shema bruit d ambiance etc,,,
nature
quantitative et
qualitative nombre de salariées prix ; quantités de
commande raison d achat de pdts
format
numérique alphabétique x des chiffres ( qtés ) des textes une
désignation des lettres une adresse
communication
usages internes note d information lettre de
réclamation
usages externes a un fournisseur
support
support manuel papier , fichiers cartonnées fichiers faits a
support électronique partir d un logiciel ( word , excel comme celui
la = D ETC ,,,)
traitement
brute ou primaire information n ayant pas subit de
résultante ou secondaire traitement information résultant d un
traitement
l information doit remplir ces qualités
fiable ; information vérifiée ou provenant d une source digne de
confiance
précise : datée ; chiffrée , détaillé
objective : ne constituent aucun élément subjectif présente des faits
des données incontestables
stable : ne change pas sur une longue durée
actuelle : mise a jour récemment
pertinente : adapté a nos besoins a l utilisation que l on veut en
faire
confidentielle : ne doit pas être proposé a quiconque
architecture d ordinateur
Un système d'exploitation (Operating System ou OS) est un ensemble de
programmes spécialisés qui permet l'utilisation des ressources matérielles d'un ou
plusieurs ordinateurs. Il assure le démarrage (Boot) de l'ordinateur et l'exécution
des logicielsapplicatifs. Il remplit deux fonctions majeures : d'une part, la gestion des
ressources matérielles (la mémoire, le processeur et les périphériques), en
répartissant leur utilisation entre les différents logiciels ; d'autre part, la fourniture de
services aux applications, en offrant une interface de plus haut niveau que celle de la
machine physique. Cette interface présente la vision d'une « machine virtuelle »,
fournissant un ensemble de fonctions de base (appels système) pour l'écriture des
applications.
Un système d'exploitation doit assurer le fonctionnement d'un système informatique
composé d'une unité centrale (un processeur universel), d'une mémoire vive et d'un
certain nombre d'unités d'échange ou contrôleurs. Ces derniers sont des
processeurs spécialisés dans le transfert de données entre les périphériques
(disques magnétiques, accès réseau...) et la mémoire vive. Des bus (ensemble de fils
d'interconnexion) permettent les échanges d'informations entre ces différents
composants

InformatiqueInformatique : système d'exploitation dans l'architecture d'un


système d'informatique• Les gros systèmes
Les gros systèmes (mainframes) sont apparus dans les années 1960. Ils ont introduit
les principaux concepts des systèmes d'exploitation modernes : la
multiprogrammation, le temps partagé et la mémoire virtuelle.
La multiprogrammation et le traitement par lots
L'accès aux périphériques d'entrées/sorties (tels que les bandes magnétiques et les
cartes perforées) étant particulièrement lent, l'unité centrale était souvent inoccupée.
Pour optimiser l'utilisation de cette ressource onéreuse, des processeurs autonomes,
spécialisés dans les transferts de données et appelés unités d'échanges ou canaux,
ont été introduits au cours des années 1960. Ceux-ci permettaient une simultanéité
d'exécution entre les programmes de l'unité centrale et le transfert de données
depuis ou vers les périphériques.

Le rôle de direction du systeme d information


 d'anticiper les évolutions imposées par la stratégie de l'entreprise, les évolutions du contexte, les
lois ;
 d'avoir un rôle d'assistance à la maîtrise d'ouvrage (et non pas seulement de maîtrise d'œuvre)
de l'informatique dans une organisation ;
 de commander les projets auprès des prestataires (éventuellement internes) ;
 d'administrer les bases de données ainsi que les serveurs d'applications.
Exemples de pôles d'activités :
 gérer les réseaux et postes administratifs : support technique, installations téléphoniques (PABX)
et réseaux (Wi-Fi), gestion des profils ;
 études et développements applicatifs
Thèmes actuellement à la mode :
 environnement numérique du travail ;
 urbanisation (informatique) des SI (donc cartographie des processus-métiers) ;
 mise en place de VPN, IPsec ;
 diminution des coûts fixes à travers l'appel à des SSII, l'externalisation…

L’infogérance est la délégation à un prestataire extérieur de la gestion, l’exploitation,
l’optimisation et la sécurisation du système d’information d’une société. En d’autres termes, vous
confiez la gestion de vos ordinateurs, de vos données et de vos logiciels à un spécialiste.
Ce type de prestation peut être gérer à distance via la société à laquelle vous faîtes appel, ou par
le déplacement régulier de l’un de ses techniciens.

L’infogérance va donc prendre en charge différente ressources de l’entreprise : son matériel


informatique, les logiciels et progiciels, tous les systèmes de télécommunications et le réseau
informatique.

Y a-t-il des risques ?


Théoriquement, non. Tout dépend en réalité du prestataire que vous allez choisir pour gérer votre
parc informatique et l’ensemble de la prestation d’infogérance.

ComputerLand propose ses services depuis 30 ans aux entreprises d’Ile de France. Découvrez
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000 collaborateurs du réseau, vous vous assurez de faire appel à un prestataire de confiance. Nous
sommes en effet reconnus comme un expert dans le domaine de la gestion de parc informatique,
des télécoms et de vos données.

 Parties prenantes du SI Le système d'information doit assurer au mieux le traitement de


l'information de gestion, en fonction des attentes de l'organisation exprimées au travers de
demandes de la direction et d’utilisateurs. Les parties prenantes peuvent être différenciées à partir
du rôle qu'elles jouent dans sa gestion : - l'utilisateur final qui exprime et définit précisément ses
besoins d'information, puis met en œuvre les applications ; - le gestionnaire du système
d'information qui assure le pilotage et fixe les grandes orientations pour le système d'information
; - l'informaticien qui prend en charge les études, les différentes expertises techniques,
l'administration, la gestion et l'exploitation du système d'information.

 Cas pratique du DSI



Directeur des systèmes d'information
CIO, Chief information officer
Responsable du traitement de l'information dans une organisation. Cela recouvre
principalement l'architecture des systèmes, les développements entrepris, la gestion des bases
de données, la sécurité de fonctionnement de l'ensemble. Une part importante du rôle du DSI
consiste à convaincre son management de débloquer les budgets nécessaires pour faire
évoluer les systèmes mis en place et offrir de nouveaux services aux collaborateurs de
l'organisation. Le DSI peut également constituer une force de proposition pour développer de
nouvelles opportunités d'affaires exploitant les technologies de l'Internet, autrement dit pour
développer l'e-business dans l'entreprise.

Les missions de la Direction du Système d’Information

La DSI a pour missions le suivi, la mise en cohérence et le développement du Système


d’Information global (SI) de l’université, dont les orientations stratégiques et les priorités
sont définies par le comité de pilotage du SI. Elle est chargée de la maîtrise d’oeuvre
des projets définis par ce comité devant lequel elle rend compte de l’état d’avancement
des travaux. Elle assure également un rôle d’assistance à maîtrise d’ouvrage auprès de
ce comité, de la direction et des instances de l’université.

Dans ce cadre, elle est chargée de l’établissement et de la mise en oeuvre du schéma


directeur, mettant en cohérence les initiatives prises et les projets portés par les
différents acteurs (services, composantes, personnels enseignants et BIATOSS) en
rationalisant l’utilisation des moyens techniques et humains dont dispose l’université.

La DSI est, dans le cas où elle n’en assure pas directement la gestion, chargée de
coordonner les activités des services et composantes dans les domaines du SI :
réseaux et infrastructure, informatique de gestion et pédagogique, web, environnement
numérique de travail et technologies de l’information et de la communication au sens
large.

Le comité de pilotage du système d’information

Il a en charge la définition des orientations stratégiques et des priorités de


l’universitédans les domaines du système d’information.

Il est présidé par le président de l’université, se réunit une ou deux fois par an, et ses
membres sont :
 le président de l’université ;
 les vice-présidents des conseils centraux ;
 le chargé de mission informatique ;
 un représentant de chacun des conseils centraux ;
 deux représentants des directeurs d’UFR et d’instituts ;
 le directeur général des services ;
 le directeur du système d’information et son adjointe.

Organisation et activités de la Direction du Système d’Information


(DSI)
Pour mener à bien ses missions, la DSI est organisée en pôles chargés chacun d’un
ensemble de domaines de compétences. La synergie entre les pôles garantit la
cohérence des actions et donc du système d’information. Les 21 membres actuels et les
deux autres en cours de recrutement sont répartis au sein des trois pôles (voir
l’organigramme ci-dessous) dont les activités sont les suivantes :
La structure de base de l’ordinateur
définition :

un ordinateur est une machine automatique de traitement de l information


permettant de conserver , d élaborer et de restituer des données ,il est capable d
acquérir et de stocker des informations d effectuer des traitements et de restituer des
informations

Les composants d’un ordinateur


Le système d'exploitation joue un rôle clé entre le matériel et les programmes utilisateurs. Constitué d'un
noyau, qui s'exécute en mode privilégié (mode système), il gère l'accès aux différentes ressources du matériel.
Au sein de son noyau, des pilotes soUn ordinateur est constitué essentiellement des éléments
suivants :
1-Unité centrale :
Elle se présente sous forme d’un boîtier ayant deux formes,Toweret,Desktop.
Elle comporte essentiellement les éléments suivants :
1.1-La carte mère:
C’est l’élément constitutif principal de l’ordinateur, c’est sur cette carte que
sont connecté ou soudés l’ensemble des éléments de l’ordinateur.
La carte mère contient les éléments embarqués (intégrés à la carte) suivants:
1.1.1-Le chipset:
C’est un circuit électronique qui contrôle la majorité des ressources (mémoire
cache, mémoire vive, slots d’extensions,…).
Le chipset est chargé de coordonner les échanges de données entre les divers
composants de l’ordinateur.
1.1.2- L’horloge et la Pile de CMOS:
L’horloge est un circuit chargé de la synchronisation des signaux du système.
Elle est constitué d’un cristal qui, en vibrant, donne des impulsions (appelées
tops d’horloge) afin de cadencer le système.
Lorsque vous mettez votre ordinateur hors tension, l’alimentation cesse de
fournir du courant à la carte mère, lorsque vous rebranchez votre ordinateur
votre système d’exploitation est toujours à l’heure, c’est un circuit électronique
appeléCMOS (Complementary Metal-Oxide Semiconductor) qui conserve
l’heure et la date système. Le CMOS est continuellement alimenté par
une pile située sur la carte mère appelée Pile de CMOS.
1.1.3-Le BIOS (Basic Input/Output System):
C’est le programme basique servant d’interface entre le système
d’exploitation et la carte mère. Il est stocké dans
une ROM (Read Only Memory, mémoire en lecture seule) située sur la carte
mère.
1.1.4-Le processeur (microprocesseur):
C’est l’élément de l’ordinateur qui interprète et exécute les instructions des
programmes grâce à un jeu d’instructions. C’est le cerveau de l’ordinateur.
Le processeur se compose en général de trois unités:
-L’unité de calcul [Unité Arithmétique et Logique: UAL]:
Cette unité est chargée de l’exécution des opérations booléennes (ET, OU, OUI,
NON …) et des opérationsArithmétiques (+,-,/,*,%,<,>,…).
- L’unité de commande:
Elle dirige le fonctionnement de tous les autres éléments de l’unité centrale en
leurs envoyant des signaux de commande.
- L’unité de traitement :
Elle est dédiée aux opérations multimédia (traitement des images, et du son).
nt spécialisés dans le dialogue avec les contrôleurs de périphériques (disque, réseau...). Les programmes
u1.1.5-Les mémoires :

On appelle mémoire tout dispositif capable de stocker des informations de


telle sorte que l’organe qui les utilise puisse à n’importe quel moment accéder à
l’information qu’il demande.
1.1.5.1- La mémoire Vive [RAM : Random Access Memory] :
C'est-à-dire, mémoire à accès aléatoire, ce qui signifie que l’on peut accéder
instantanément à n’importe quelle partie de la mémoire (contrairement à l’accès
séquentiel). Elle permet de stocker des informations pendent tout le temps de
fonctionnement de l’ordinateur, par contre elle est détruite quand on l’éteint
(appelée aussi mémoire volatile).
1.1.5.2- La mémoire morte [ROM: Read Only Memory]:
C’est une mémoire en lecture seule, elle est appelée parfois mémoire non
volatile car elle ne s’efface pas lors de la mise hors tension du système. Elle
contient les éléments essentiels au démarrage :
-BIOS : le programme permettant de piloter les interfaces
d’entrée/sortie principales du système.
- Le chargeur d’amorçage : un programme permettant de charger le
système d’exploitation et de le lancer.
-…etc.
1.1.5.3- La mémoire cache :
Elle permet au processeur de se rappeler des opérations déjà effectuées
auparavant. En effet, elle stocke les opérations effectuées par le processeur, pour
qu’il ne perde de temps à recalculer des choses déjà faites précédemment (ex :
512Ko).
1.1.6-Les slots d’extensions :
Ceux sont des réceptacles dans les quels on peut enficher des cartes
d’extensions comme la carte son, carte graphique, la carte réseau, …etc. c'est-à-
dire des cartes offrant de nouvelles fonctionnalités ou de meilleures
performances à l’ordinateur. On cite les slots PCI, AGP, ISA,…
1.2-Les ports d’entrée /sortie :
Ceux sont des éléments matériels de l’ordinateur permettant au système de
communiquer avec des éléments extérieurs :
-Ports séries : clavier, souris,…
-Ports parallèles : Imprimante…
-Ports USB (Univesal Serial Bus, Ports séries universel) plus rapide.
2-Les unités de stockage :
Ceux sont des mémoires auxiliaires qui conservent les informations de manière
quasi permanente, comme:
Disque dur
Disquette
Les CD-ROM
Les DVD
Clé USB
3-Les périphériques d’entrée/sortie :
-Lecteur CD-ROM (Compact Disc-Read Only Memory): Permettant
de lire des CD-ROM(P.E).
-Lecteur disquettes : pour lire des disquettes (P.E/S).
-Le clavier : permet de saisir des caractères (lettres, chiffres,…), il
s’agit donc d’un périphérique d’entée essentiel pour l’ordinateur, car,
c’est grâce à lui qu’il est possible d’envoyer des commandes. (P.E)
-La souris : le déplacement de la souris permet de déplacer un curseur
sur l’écran avec lequel on peut sélectionner, déplacer et manipuler des
objets à l’écran.(P.E)
-L’écran (moniteur): permet d’afficher les données (P.S).
-Imprimante : Pour faire une sortie imprimée (sur papier) des
données de l’ordinateur (P.S).
-Scanner : permet de numériser des photos et des documents pour les
faire entrer à l’ordinateur (P.E).
-Haut parleurs : pour sortir du son (P.S).
-Microphone : pour entrer du son (P.E).
-…etc.
tilisateurs exécutent, en mode non privilégié (mode utilisateur), leur code spécifique et peuvent, via des appels
systèmes, demander des services au noyau. Pour réaliser certaines fonctions, le système d'exploitation e1.
Présentation : de l'ordinateur au réseau informatique st aidé par des services externes.

: système d'exploitrappel Rappel r :a la composante technologique du système d'information


repose principalement sur l'architecture structurelle et technique informatique : les ordinateurs et leurs
moyens de communiquer entre eux. tion dans l'architecture d'un système d'informatique
Le système d'exploitation joue un rôle clé entre le matériel et les programmes utilisateurs. Constitué d'un
noyau, qui aujourAujourd’hui d’hui, pour tous (spécialiste ou simple utilsateur) la notion d’ordinateur
individuel a de moins en moins de sens en tant que tel. Chaque ordinateur est raccordé aux autres par
l’intermédiaire d’un réseau informatique :

• local à l'exemple des réseaux d'entreprises qui permettent aux différents acteurs du système
d'information de pouvoir communiquer et échanger des informations internes à l'organisation,

• étendu à l’exemple d’Internet (réseau mondial d’interconnexion de réseaux d’ordinateurs) ; ce qui fait
que chaque ordinateur sera client d’un autre (appelé serveur) quelque part dans le monde ; on utilise des
informations ou des logiciels distants, ou encore on téléphone, regarde la télévision, on joue (et pourquoi
pas mettre en route un lave linge ou un four, domaine de la domotique)... xécute en mode privilégié (mode
système), il gère l'accès aux différentes ressources du matériel. Au sein de son noyau, des pilotes sont
spéca. Qu'est-ce qu'un réseau informatique ialisés dans le dia Qu'est-ce qu'un réseau informatique ?
Un réseau informatique est un ensemble de matériels informatiques reliés entre eux par des voies de
télécommunication (fils, fibre optique, ondes), qui vont pouvoir échanger des informations (données)
et partager des ressources (programmes, imprimantes, disques ...).
logue avec les contrôleurs de périphériques (disque, réseau...). Les programmes utilisateurs exécutent, en mode
non privilégié (mode e spécifique et peuvent, via des appels systèmes, demander desklPour réaliser certaines
fonctions, le système d'exploitation est aidé par des services externes.
b. Les intérêts des réseaux informatiques
Au niveau de la transmission d’informations : la mondialisation des échanges économiques,
commerciaux... entraîne une consommation de plus en plus en plus importante d'informations de toutes
natures ; ces informations doivent être acheminées le plus vite possible et avec un maximum de
sécurité (à la fois dans transport, et dans la confidentialité des informations transmises)

Au niveau du partage des ressources : l'utilisation de l'informatique moderne n'est plus réduit à une
simple manipulation d'un ordinateur, d'une console ou d'une imprimante.

De nouveaux besoins de plus en plus fréquents viennent se greffer :


- accès à d'autres réseaux (Internet, interconnexion de réseaux),
- accès à des services (messagerie électronique, navigation Web, autorisation d'accès…)
- mémoires de stockage (capacité en disque dur, optique ou bande magnétique de sauvegarde),
- accès à l'information (bases de données),
- puissance de calcul (processeurs ou calculateurs puissants),
- moyens sophistiqués d'impression (imprimantes lasers, photocopieuses couleurs).

La nécessité d'adjonction des périphériques de ce type n'est pas rentable pour un ordinateur isolé, en
effet le besoin d'utilisation de chaque périphérique est faible. Il convient donc de permettre à plusieurs
utilisateurs donc ordinateurs le partage de ces ressources.
Télécommunication : procédé de transmission d'informations à distance.

Télématique : ensemble des techniques de communication appliquées à la transmission de données,


d'images ou de sons élaborés dans les structures informatiques. Ce terme est généralement employé
pour désigner la diffusion grand public d'information (le symbole historique français : le Minitel ; les outils
d'accès à Internet comme les micro-ordinateurs, consoles, télévisions… Network

Computers correspondant du Minitel pour les accès à Internet) mais aussi les techniques de
téléconférence, télécopie...

Téléinformatique : mise en œuvre de traitements de données intégrant la transmission des données


entre des matériels informatiques situés dans des lieux géographiquement éloignés au moyen de voies de
télécommunication (lignes optiques ou téléphoniques, ondes hertziennes, satellite, wifi...). On parle de
travail coopératif de plusieurs ordinateurs distants par des moyens de télécommunication.

LAN (Local Area Network) représente les réseaux locaux, c’est-à-dire géographiquement restreint à un
seul propriétaire.

MAN (Metropolitan Area Network) représente les réseaux habituellement implantés dans les
communautés urbaines ou régions (il s'agit d'une volonté politique de permettre l'accès aux réseaux dont
Internet, aux habitants de la communauté urbaine ou de la région).

WAN (Wide Area Network) représente les réseaux étendus au niveau national ou international, qu’ils
soient privés ou publics (il y a Internet et les autres).
Exemples :

• Les réseaux locaux d'entreprises composés ordinateurs reliées par des voies de télécommunication
les uns aux autres (LAN) qui permettent aux utilisateurs du système d'information d'effectuer leur travail
au sein de l'entreprise.

• L'utilisation d'un terminal bancaire, les grands réseaux publics ou privés nationaux et internationaux
(WAN tels que ceux utilisant le réseau téléphonique commuté, ou d'autres réseaux spécialisés, ou le
réseau mondial Internet...).

• Les structures de réseaux de grandes villes telles que Nancy (Meurthe-et-Moselle) qui propose à ses
habitants les infrastructures du réseau Stannet de type boucle urbaine. Ces réseaux ont vocation à
permettre la généralisation de démocratisation des accès aux réseaux informatiques distants (MAN)

3. L'évolution des systèmes informatiques vers l'intégration des réseaux


a. L'évolution des systèmes informatiques

réseau
Ethernet : ethernet est un protocole réseau. Il est notamment utilisé avec la connectique RJ45 dans le but de brancher plusieurs
périphériques au sein d'un réseau local.
Un intranet est un ensemble de
services internet (par exemple un serveur web) internes à un réseau local, c'est-à-dire accessibles
uniquement à partir des postes d'un réseau local, ou bien d'un ensemble de réseaux bien définis, et
invisibles (ou inaccessibles) de l'extérieur. Il consiste à utiliser les standards client-serveur de
l'internet (en utilisant les protocoles TCP/IP), comme par exemple l'utilisation denavigateurs
internet (client basé sur le protocole HTTP) et des serveurs web (protocole HTTP), pour réaliser
un système d'information interne à une organisation ou une entreprise.
Le
serveur : Ordinateur qui exécute des opérations à la demande d'autres ordinateurs, surnommés clients. De
ce fait, on parle d'architecture réseau client serveur. Un serveur HTTP fournit des pages web à la
demande d'un navigateur par exemple.

Les systèmes décisionnels SIAD


1. But d’un SIAD
Le SIAD est un outil d’observation et de description qui vise, à partir de données de gestion et/ou
de statistiques, à donner aux managers d’une entreprise les moyens d’identifier des alertes de
gestion, de suivre l’évolution de l’activité et de disposer d’outils d’investigation de sujets ou
phénomènes particuliers. Il ne fournit pas les explications ni les commentaires qui relèvent d’une
phase de travail postérieure à l’observation.
Le SIAD tire parti de l’ensemble des données produites ou acquises par l’entreprise, ensemble
dont il fournit une présentation synthétique. Cela suppose (1) que le SIAD soit alimenté
potentiellement par toutes les applications de l’entreprise, (2) qu’il résolve les problèmes de
comparabilité et de redressement des données qui se posent inévitablement lorsque l’on utilise
des sources diverses.
Le SIAD vise à présenter des informations utiles. Ceci implique qu’il soit construit selon des
critères de sélectivité en choisissant, parmi toutes les statistiques qu’il est possible de produire,
celles qui peuvent servir à telle ou telle catégorie d’utilisateurs. Sa construction suppose donc une
analyse des besoins, elle même fondée sur une segmentation des utilisateurs en sous-populations
homogènes chacune en ce qui concerne les missions à remplir et les besoins correspondants.
Produire des statistiques en adressant au coup par coup des requêtes à une application opérationnelle
est coûteux en traitement. Le SIAD protège donc les bases de données opérationnelles en s’intercalant
comme un tampon entre elles et les utilisateurs et en préparant la plupart des statistiques dont ces
derniers ont besoin.
Les outils fournis par le SIAD pour remplir ces divers objectifs sont :
-le tableau de bord comportant des alertes ;
-des tableaux préformatés contenant l’essentiel de la statistique d’activité et d’environnement ;
-des tableaux et graphiques restituant les résultats d’interrogations en utilisant la technologie
" hypercubes " ;
-la restitution d’analyses sophistiquées (analyse de corrélation, simulation etc.) utilisant les outils de
" datamining ".
1) La technologie " hypercubes "
Cette technologie permet à l’utilisateur, par la production de tableaux multidimensionnels intermédiaires,
de construire par sélection les séries chronologiques ou les tableaux croisés dont il a besoin. Le contenu
de ces hypercubes doit être défini a priori, à partir de l’analyse des besoins, de sorte qu’ils satisfassent au
mieux les besoins des utilisateurs
2) Le " datamining "
Etant sélectif, le SIAD ne peut pas répondre à toutes les questions imaginables mais seulement à la
plupart des questions. Il peut donc arriver qu’un utilisateur recherche une information que le SIAD ne
fournit pas. Il faut pourtant que l’on puisse lui répondre. Ce sera la tâche d’une équipe d’analystes en
région et à la DG, habilités à utiliser des requêtes et à interroger la base de données intermédiaire pour
répondre à l’utilisateur. Toutefois le délai de réponse sera plus long (quelques heures ou quelques jours)
que celui de la consultation des hypercubes (quelques secondes).

BI:business intelligence
L’informatique décisionnelle ou Business Intelligence représente les outils ainsi que les méthodes
permettant de récupérer, de transformer, de calculer et de fournir les données d'une entreprise. Elle
permet donc d'offrir une aide à la décision et, par conséquent, permet d’établir la stratégie d'entreprise
car elle fournit l’ensemble des informations de l’activité. La Business Intelligence a donc pour but de
permettre la meilleure décision possible à un instant donné. De manière générale, l’informatique de
décision suit le schéma suivant :
Le but de l'informatique décisionnelle est de transformer les données de l'entreprise en
'Intelligence'. Il est important de préciser que le mot 'intelligence' est à prendre dans son
acception anglo-saxonne, c'est-à-dire connaissance de l'entreprise ; connaissance de son
fonctionnement, de ses partenaires : clients et fournisseurs, de sa structure : groupe et filiale,
de ses produits, de ses processus, de son organisation, de ses ressources humaines, de son
histoire, de son présent, mais aussi de son futur probable.

Le concept d'entrepôt de données (DataWarehouse) est bien plus ancien que ce que la
croyance commune veut. Par un concept trop divers, trop ambigu et carrément déroutant, la
route pour y arriver a été rude. Heureusement, nous sommes entrés dans une phase de
synthèse dans laquelle un nouveau consensus de la conception a émergé. Nous vivons dans
un monde où les décisions ne peuvent plus être prises uniquement sur des coups de génie.
Nous pouvons aujourd'hui fournir des informations de qualité aux managers qui en ont
besoin pour comprendre le présent et simuler l'avenir. Mais le cheminement n'est pas fini, car
nous sommes sur le point de prendre un chemin plus radical : celui de l'entreposage de
données en temps réel.

Un DataWarehouse est un orienté sujet, intégré, variant dans le temps, possédant une collection de
données non volatiles permettant la prise de décisions.
 Orienté sujets : contrairement aux bases de données opérationnelles généralement
orientées processus, les bases des entrepôts décisionnels sont modélisées pour répondre
facilement à toutes les questions d'utilisateurs non-informaticiens. Il faut donc apporter à
l'utilisateur l'information selon sa définition métier.
 Intégré : regroupant généralement des sources hétérogènes de données. Exemple : pour
avoir la connaissance métier d'un client, il faut souvent rassembler les informations issues
des systèmes opérationnels
 De gestion des forces de ventes pour connaître ses dernières commandes
 De la comptabilité pour savoir s'il a payé sa dernière facture
 Du service après vente s'il l'a utilisée
 Du serveur Web s'il s'est connecté sur le site
 Variant dans le temps : c'est à dire datés, afin de conserver un historique. Cela permet
les analyses comparatives. Exemple : le solde du compte en banque du client est une
variable volatile qui change à chaque transaction. On va donc retrouver généralement, si la
volumétrie le permet, l'information de détail, le plus petit dénominateur commun à différents
problèmes. Ayant ce détail daté, il sera alors toujours possible de recalculer un indicateur à
un instant t.
 Non volatile : stables, non modifiables. Contrairement à un système opérationnel modifié
après chaque transaction, les informations d'un système décisionnel ne changent
quasiment pas.

-Acteurs de la Business Intelligence

Les DataWarehouses, ou plutôt en français, les entrepôts de données, sont devenus


aujourd’hui un outil indispensable à la bonne marche d’une organisation. En effet, 95%
du top 500 des entreprises américaines ont mis en place des entrepôts de données. A la
base, le DataWarehouse était essentiellement destiné au marketing, mais il est
maintenant un puissant outil de reporting aux entreprises.

A) Intérêt des DataWarehouses aux entreprises : entrepot de données


La vocation du DataWarehouse est de donner aux entreprises une nouvelle façon de
prendre des décisions autour de leurs activités majeures. Le principe du reporting prend
tout son sens lorsque l’entreprise peut poser des questions (les « requêtes ») au
DataWarehouse et obtenir des réponses. Ces réponses peuvent constituer des données qui
permettront d’élaborer des documents, modèles graphiques, afin de « mesurer » le futur
proche, ou de déterminer des associations entre deux produits, par exemple.
Il est évident qu’à partir de là, si on peut « prédire » le futur ou connaître les besoins des
clients, à partir des données passées, qui sont donc stockées dans les entrepôts de
données, les entreprises pourront prendre les meilleures décisions, et ainsi accroître leurs
bénéfices ou encore donner une meilleure structure à l’entreprise pour accroître la
productivité. Mais pas seulement, les interrogations aux DataWarehouses peuvent apporter
d’autres éléments, pouvant être appliqués à beaucoup de domaines, et donc créer une
valeur ajoutée à l’entreprise.
Bien que les entreprises appartiennent à de nombreux domaines différents, toutes ont un
objectif, faire encore et toujours mieux. Le Business Intelligence le permet. Nous allons voir
des exemples de sociétés
exemple
Wal-Mart, une grosse entreprise américaine de distribution grand public (équivalent à
Carrefour en France) a prouvé les avantages du reporting par l’informatique en démarrant
un projet de BI très peu de temps après la création de l'entreprise. Aujourd’hui,
l'entreprise est indétrônable, sa gestion interne est parfaite, la gestion des stocks
impeccable, et sa capacité à prévoir les tendances et habitudes des consommateurs
nous met à la fois en admiration et en crainte : ils sont capables de prévoir ce que le
client moyen va acheter avant même qu'il ne rentre dans un magasin.
Qu'est ce que les datamarts et le datamining ?
Le datamart est une extraction d'une partie d'un entrepôt de données pour
répondre à une application dédiée (ex : le règlement de contentieux chez une
banque). Pour ne pas multiplier l'espace de stockage réservé à l'entrepôt de
données, la création de datamarts est souvent limitée. Cependant, elle permet de
gagner parfois en efficacité sur le temps d'exécution des requêtes SQL.
Les datamarts sont aussi souvent utilisés lorsqu'une entreprise ne peut plus
multiplier les optimisations sur son entrepôt de données sans pénaliser d'autres
applications. Elle crée alors un nouvel environnement dédié à cette nouvelle
application dont elle peut gérer librement les index. Le datamining regroupe
toutes les solutions à même de piocher dans des données éparses pour en tirer
des informations d'aide à la décision.
Pourquoi rattache-t-on les ETL des entrepôts de données ?
Une solution ETL (pour Extract-Transform-Load) correspond à la phase amont
d'un entrepôt de données, celle qui consiste à collecter l'information. Un ETL
extrait les données, les transforme et les charge dans la base finale. Cela
nécessite des connecteurs particuliers car l'information dans l'entreprise est
souvent disséminée entre les gros systèmes de type mainframe, l'intranet
d'entreprise, les fichiers plats ou encore les documents papiers.

" ...Plus récemment, les fabricants de bases de données relationnelles se sont mis à vendre leurs
bases de données comme étant des outils pour construire des entrepôts de données. Un entrepôt de
données garde les informations tactiques (stratégiques) qui répondent aux questions du type "qui ?"
et "quoi" à propos d'événements passés. Une requête type utilisée dans un entrepôt de données
serait : "Quel a été le revenu total pour la région Est dans le troisième trimestre?"
Il est important de distinguer les capacités d'un entrepôt de données de celles d'un
système OLAP (On-Line Analytical Processing). À l'inverse des entrepôts de données, qui
se basent sur une technologie relationnelle, OLAP utilise une vue multidimensionnelle de
données agrégées pour fournir un accès rapide à l'information stratégique pour des
analyses plus poussées.
OLAP permet aux analystes, gestionnaires et au personnel exécutif de mieux comprendre
les données via un accès rapide, consistant et interactif à une large variété de vues
possibles de l'information. OLAP transforme les données du plus bas niveau afin de
montrer leur véritable dimension dans l'entreprise, selon la compréhension de
l'utilisateur.
Les systèmes OLAP permettent non seulement de répondre aux questions de type "qui"
et "quoi", mais permettent aussi de répondre aux "que se passe t il si …?(what-if)" et aux
"pourquoi?". Chose qui les distingue des entrepôts de données. OLAP permet la prise de
décision sur des actions futures. Un calcul OLAP typique est plus complexe qu'une
simple somme sur les données, par exemple : "Que serait l'effet sur les coûts des
distributeurs de soft Drink si le prix du sirop augmentait de 0.10$ le gallon et que le coût
de transport baissait de 0.05$/mile?"
OLAP et les entrepôts de données sont complémentaires. Un entrepôt de données stocke
et gère les données. OLAP transforme les données de l'entrepôt en informations
stratégiques. OLAP peut passer d'une navigation basique (connue aussi comme "slice
and dice"), à des calculs ou des analyses plus sérieuses comme les séries temporelles
ou la modélisation complexe. Ainsi, les décideurs expérimenteront les capacités
avancées de OLAP, et pourront passer d'accès aux données à information, à
connaissance. ".
Un outil OLAP, selon The Olap Report doit être rapide (Fast), doit permettre de faire des
analyses complexes (Analysis), répondre à une architecture Client/Serveur avec tout ce
que cela implique en terme de sécurité et de gestion d'accès concurrent (Server). Un outil
OLAP doit, comme dit plus haut, se baser sur une vue multidimensionnelle des données
(Multidimensional) et finalement le volume d'information que peut prendre en charge ses
outils (Information). Ces critères ont été simplifiés par l'acronyme FASMI.

I. Cloud BI

A) Le principe du Cloud et la Cloud BI


Une solution de Business Intelligence basée sur le Cloud est une des nouvelles tendances
du marché de l’informatique. Elle s’appuie sur la généralisation et le développement du
Cloud Computing.

1) Le Cloud Computing
Ce terme désigne la virtualisation et la mutualisation des ressources et des services. Les
données et les services sont déportés sur des parcs de serveurs distants et non plus
stockés ou exécutés en local ou sur le poste utilisateur. Selon le National Institute of
Standards and Technology (NIST), le Cloud Computing est l'accès via le réseau, à la
demande et en libre-service à des ressources informatiques virtualisées et mutualisées.

2) La Cloud BI
Le terme Cloud BI est souvent utilisé pour rassembler l’informatique décisionnelle en mode
SaaS (Software as a Service), en mode PaaS (Platform as a Service) et les applications SaaS
offrant des fonctionnalités spécifiques de Business Intelligence. De plus, l’informatique
décisionnelle peut également être présente sur le Cloud en tant que IaaS (Infrastructure as a
Service). Il est donc important de spécifier ces termes différemment :
SaaS : le client accède à un logiciel d’application auprès d’un fournisseur de solution. Ce
service est présent sur les Clouds publiques.
 PaaS : le fournisseur de la solution BI développe, maintient, exploite et héberge la
solution pour le client (Clouds publiques ou privés externes où la solution BI est gérée par
un prestataire spécialisé).
 IaaS : le client loue l’accès au matériel en déployant son système de BI sur des serveurs
distants. Seule une partie limitée de la gestion du serveur échoue au client (Clouds privés
externes).
La différence entre maîtrise d ouvrage et maître d œuvre :
la différence entre maîtrise d ouvrage et d œuvre :
Aujourd'hui les systèmes d'information sont de plus en plus
complexes. Les entreprises dépendent grandement voire même
dangereusement du bon fonctionnement de leur système
informationnel. Ainsi le processus d'informatisation nécessite une
certaine préparation et doit être conduit avec prudence. Cette
mission est généralement confiée à une société d'ingénierie et de
conseil en informatique agissant en qualité de maître d'oeuvre.
Toutefois le maître d'oeuvre, malgré ses compétences et son
expertise notable, ne peut deviner à lui seul le besoin de son client,
destinataire du système informatique. Sans une définition précise et
claire du besoin le système ainsi mis en oeuvre risque fort de se
révéler insuffisant et non satisfaisant. Aussi le client est tenu à une
nécessaire obligation de collaboration dans la définition et la
formalisation de son besoin. Cette intervention constitue la maîtrise
d'ouvrage du système.

Maître d'ouvrage
On appelle maître d'ouvrage (parfois maîtrise d'ouvrage, notée MOA) l'entité porteuse du
besoin, définissant l'objectif du projet, son calendrier et le budget consacré à ce projet. Le
résultat attendu du projet est la réalisation d'un produit, appelé ouvrage.
La maîtrise d'ouvrage (en anglais Project Owner) maîtrise l'idée de base du projet, et
représente à ce titre les utilisateurs finaux à qui l'ouvrage est destiné.
Ainsi, le maître d'ouvrage est responsable de l'expression fonctionnelle des besoins mais n'a
pas forcément les compétences techniques liées à la réalisation de l'ouvrage. (on utilise dans
ce cas un cahier de charge fonctionnel )

Maître d'ouvrage délégué


Lorsque le maître d'ouvrage ne possède pas l'expérience métier nécessaire au pilotage du
projet, il peut faire appel à une maîtrise d'ouvrage déléguée (dont la gestion de projet est le
métier). On parle ainsi d'assistance à maîtrise d'ouvrage(notée AMO). La maîtrise d'ouvrage
déléguée (notée parfois MOAd) est chargée de faire l'interface entre le maître d'oeuvre et le
maître d'ouvrage afin d'aider le maître d'ouvrage à définir clairement ses besoins et de vérifier
auprès du maître d'oeuvre si l'objectif est techniquement réalisable. La maîtrise d'ouvrage
déléguée ne se substitue pas pour autant à la maîtrise d'ouvrage et n'a donc pas de
responsabilité directe avec le maître d'oeuvre.

Maître d'oeuvre
Le maître d'oeuvre (ou maîtrise d'oeuvre, notée MOE) est l'entité retenue par le maître
d'ouvrage pour réaliser l'ouvrage, dans les conditions de délais, de qualité et de coût fixées
par ce dernier conformément à un contrat. La maîtrise d'oeuvre est donc responsable des
choix techniques inhérents à la réalisation de l'ouvrage conformément aux exigences de la
maîtrise d'ouvrage. Le maître d'oeuvre (en anglais Project Supervisor) a ainsi la
responsabilité dans le cadre de sa mission de désigner une personne physique chargée du
bon déroulement du projet (on parle généralement de maîtrise du projet), il s'agit du chef de
projet. ( on utilise dans ce cas un cahier de charge technique )

Sous-traitance
Pour la réalisation de certaines tâches du projet, lorsqu'il ne possède pas en interne les
ressources nécessaires, le maître d'oeuvre peut faire appel à une ou plusieurs entreprises
externes, on parle alors de sous-traitance (et chaque entreprise est appelée sous-
traitant ou prestataire). Chaque sous-traitant réalise un sous-ensemble du projet directement
avec le maître d'oeuvre mais n'a aucune responsabilité directe avec la maîtrise d'ouvrage,
même si celle-ci a un " droit de regard " sur sa façon de travailler.

les langages de programmation permettent de créer des programmes, des applications


mobiles, des sites Internet, des systèmes d'exploitation, etc. Certains langages de
programmation sont extrêmement populaires. En mai 2012, les 10 langages de
programmation les plus populaires étaient le C, le Java, le C++, l'Objective-C, le C#, le PHP, le
Basic, le Python, le Perl et le Javascript.
Les langages de requêtes permettent quant à eux d'interroger des structures qui contiennent
des données. Parmi les langages de requête les plus connus, on peut par exemple citer le
SQL pour les bases de données relationnelles, le SPARQL pour les graphes RDF et les
ontologies OWL ou encore le XQuery pour les documents XML.
Enfin, les langages de description permettent de décrire et structurer un ensemble de
données selon un jeu de règles et des contraintes définies. On peut par exemple utiliser ce
type de langage pour décrire l'ensemble des livres d'une bibliothèque, ou encore la liste des
chansons d'un CD, etc. Parmi les langages de description les plus connus, on peut citer le
SGML, le XML ou encore le HTML.

Un langage de balisage générique

Un langage de balisage est un langage qui s'écrit grâce à des balises. Ces balises permettent
de structurer de manière hiérarchisée et organisée les données d'un document.
Le terme générique signifie que nous allons pouvoir créer nos propres balises. Nous ne
sommes pas obligés d'utiliser un ensemble de balises existantes comme c'est par exemple le
cas en HTML.
HTML – Définition
Le HTML (« HyperText Mark-Up Language ») est un langage dit de « marquage » (de «
structuration » ou de « balisage ») dont le rôle est de formaliser l'écriture d'un document
avec des balises de formatage. Les balises permettent d'indiquer la façon dont doit être
présenté le document et les liens qu'il établit avec d'autres documents.

Langage HTML
Le langage HTML permet notamment la lecture de documents sur Internet à partir de
machines différentes, grâce auprotocole HTTP, permettant d'accèder via le réseau à des
documents repérés par une adresse unique, appelée URL.

On appelle World Wide Web (noté WWW) ou tout simplementWeb (mot anglais
signifiant toile) la "toile virtuelle" formée par les différents documents (appelés « pages
web ») liés entre-eux par des hyperliens

-Le principe du Web

Le web est composé de pages web stockées sur des serveurs web, c'est-à-dire des machines
connectées à Internet en permanence et chargées de fournir les pages web demandées.
Chacune des pages web, et plus généralement toute ressource en ligne (image, vidéo,
musique, animation, etc.), est repérée par une adresse unique appelée URL.
L'élément clé pour la navigation au sein des pages web est lenavigateur (en anglais browser,
parfois également appeléfureteur, fouineur, feuilleteur ou butineur au Québec), c'est-à-dire le
logiciel client capable d'interroger les serveurs web, d'exploiter leurs résultats et de mettre en
page les informations grâce aux instructions contenues dans la page HTML.
Parmi les principaux navigateurs utilisés sur Internet, citons notamment les suivants :
 Mozilla Firefox,
 Microsoft Internet Explorer,
 Chrome,
 Safari.

Standard HTML
Il est important de comprendre que le langage HTML est un standard, c'est-à-dire qu'il s'agit
de recommandations publiées par un consortium international : le World Wide Web
Consortium (W3C).
Les spécifications officielles du HTML décrivent donc les "instructions" HTML mais en aucun
cas leur implémentation, c'est-à-dire leur traduction en programmes d'ordinateur, afin de
permettre la consultation de pages web indépendamment du système d'exploitation ou de
l'architecture de l'ordinateur.
Toutefois, aussi étoffées les spécifications soient-elles, il existe toujours une marge
d'interprétation de la part des navigateurs, ce qui explique qu'une même page web puisse
s'afficher différemment d'un navigateur Internet à l'autre.
De plus, il arrive parfois que certains éditeurs de logiciels ajoutent des instructions HTML
propriétaires, c'est-à-dire ne faisant pas partie des spécifications du W3C. Ainsi des pages
web contenant ce type d'instruction pourront être parfaitement affichées sur un navigateur et
seront totalement ou en partie illisibles sur les autres, d'où la nécessité de créer des pages
web respectant les recommandations du W3C afin de permettre leur consultation par le plus
grand nombre.
le langage XML est un langage qui permet de décrire des données à l'aide debalises et de
règles que l'on peut personnaliser.

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