Professional Documents
Culture Documents
Les poutres dalles sont des plaques présentant deux libres, sensiblement parallèles et
distants d’au moins trois fois leurs épaisseurs.
Elles reçoivent les charges et les transmettent aux poutrelles et poutres qui reçoivent en
outre ponctuellement les actions des poutres. L’ensemble des efforts est repris par les poteaux
ou par des murs porteurs.
𝒍𝒙
Avec α = 𝒍𝒚 ≤ 𝟏
SI α ≤ 0.40
Le panneau porte dans le seul sens porteur 𝑙𝑥 .
SI α ≥ 0.40
Hypothèses :
La charge à L’ELU :
Avec :
3ℎ0
𝑆𝑡𝑚𝑎𝑥 ≤ 𝑀𝑖𝑛 { } 𝑎𝑟𝑚𝑎𝑡𝑢𝑟𝑒 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑥 .
33 𝑐𝑚
4ℎ0
𝑆𝑡𝑚𝑎𝑥 ≤ 𝑀𝑖𝑛 { } 𝑎𝑟𝑚𝑎𝑡𝑢𝑟𝑒 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑦 .
45 𝑐𝑚
Espacement calculé des barres dans la bande de 1m.
100𝑐𝑚
𝑆𝑡 =𝑁𝑏𝑟𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑏𝑎𝑟𝑟𝑒𝑠
Terrasse :
PL.H.RDC:
Aucune armature transversale d’effort tranchant n’est requise si les conditions suivantes sont
remplies :
Conclusion
De très nombreuses techniques sont disponibles pour fonder les bâtiments. Il faut
effectuer un choix au regard des considérations techniques (qualité du sol et
caractéristiques du bâtiment en projet) et économiques (coût relatif des différentes
solutions possibles).
2. Choix du type de fondation
Rapport géotechnique du site
La réaction du sol sous une structure peut être le plus souvent caractérisée par une
valeur ultime 𝑞𝑢 . La capacité portante d'un sol se caractérise par sa résistance au
tassement en fonction de la cohésion et des frictions internes.
La mesure de la contrainte admissible est une performance technique spécifique
qu'il est indispensable de connaître pour établir le système de fondation d'un ouvrage.
La mesure de cette performance s'acquiert par des essais de sol superficiels (essais à la table)
ou par des sondages.
Le rapport de sol, établi par le laboratoire en vue d’une construction, a pour objet
notamment de préciser la valeur de la contrainte de calcul q, La nature des sols rencontrés est
relevée à travers les sondages.
On fixe B=0.6m ;
𝑁𝑠𝑒𝑟
On calcul A : A≥ ;
0,6 𝑥 𝜎𝑠𝑜𝑙
𝐵−𝑏
d≥ ; H=d+0.05 ;
4
Type de semelle :
ENROBAGE= 3 cm ;
X. Poutre de redressement
Application sur la semelle excentrée S31-sous poteau 32 :
On a fixé B a 60cm,
𝐵−𝑏
𝑀𝑢 = −𝑁𝑢 ∗ ( ) = −0.032𝑀𝑁. 𝑚
2
On a une poutre de b=25cm et h = max(h. s. 31; h. s. 32)
Cette poutre de redressement est située entres les semelles excentrées S31 et S32
α = 1.25 ∗ (1 − √1 − 2 ∗ μ)
Puisque α dans ce cas est non valable donc, on reprend le coffrage de la semelle excentrée
32. En vérifiant toujours la condition de la stabilité sur le sol.
Cette poutre de redressement est située entres les semelles excentrées S31 et S32
Mu = -0,04290 MN
Mu
μ = b∗d²∗f =0,250
bc
On a
α < α lim = 0.617 donc on a pasd′ armatures comprimées
fe
σa =
1.15
Mu
Au =
d ∗ (1 − 0.4α) ∗ σa
Au = 7,48m2 (5 HA14=7,70)
𝑉𝑢0 = 306,9 𝐾𝑁
Vérification du béton :
𝑉𝑢0
ԏ𝑢0 =
𝑏0 𝑥 𝑑
306.9 𝑥 10−3
ԏ𝑢0 =
0,3 𝑥 0,22
Vérification :
0,15 𝑥 𝑓𝑐28
Fissuration préjudiciable ԏ𝑢 = min( ; 4 𝑀𝑃𝐴) = 2,5 MPA
𝛾𝑏
Condition : 𝛼=45°
𝐴𝑡 𝑓𝑒 𝜏𝑢 − 0,3 𝑥 𝐾 𝑥𝑓𝑡28
𝑥 ≥
𝑏0 𝑥 𝑆𝑡 𝛾𝑠 0,9 𝑥 ( sin 𝛼 + cos 𝛼)
Pourcentage minimal :
𝐴𝑡
𝑥 𝑓 ≥ 0,4 𝑀𝑃𝐴
𝑏0 𝑥 𝑆𝑡 𝑒
∅𝑡 ≤ min⟨14|7.14|30⟩
∅𝑡 = 8 𝑚𝑚
0,9 𝑥 𝐴𝑡 𝑥𝑓𝑒
𝑆𝑡 ≤
𝛾𝑠 𝑥 𝑏0 𝑥 (𝜏𝑢 − 0,3𝑥 𝑓𝑡28 )
𝑆𝑡 ≤ 6.616 𝑐𝑚
On prend st= 6 cm ;
𝑺𝒕𝟎 (cm) 6
𝑺𝒕𝒎𝒂𝒙 22,5
Condition vérifié OUI
L travée (m) 5.4
𝑺𝒕𝟎 3
(cm)
𝟐
𝑺 3
Entier ( 𝟐𝒕𝟎) (m)
N 3
Tableau de Caquot :
Il reste (cm) : 41
17 - 3*8 - 3*9- 3*10-3*11-3*16-3*20-3.