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CHAPITRE 1

CHAPITRE 2

CHAPITRE 3 36

CHAPITRE 4

CHAPITRE 7 84

PaI’is 16

Le métro parisian

LaSeine

Les personnalités du cimetiére


ilu Pére-Lachaise

71,93

94

Le texte est intégralement enregistré.


Ce symbole indiqiie les exercices d'écoiite et Ie numéro de la piste.
pyyy Les exercises qui présentent cette mention préparerit aux
compéterices requises pour l'examen.
Quand on parle de Paris, on pense aux monuments historiques, aux
musées, aux théatres et... au métro ! Le plan ci-dessous vous dorine un
aperqu de quelques—unes de see lignes et de ses stations. Les lieux ou se
déroule l'histoire y sont également représentés : vous pourrez amet
suivre a chaque chapitre Ie parcoiirs de Max et Lucie.

An fil de votre lecture, insérez les lettres dans les cases en respectant la
chronologie de I’histoire.
a La station Argentine b Le parc des Buttes—Charirriont
c Le cimetiére du Pere—Lachaise d La station La Défense-Grande Arche
e Quai des Orfevres (la Pot ice) f Le port de l'Arserial
g La station ChateIet—Les I-Salles
Vocabulaire
Les mots servants sont utilisés dans Ie chapitre 1. Associez chaque mot
a I'image correspondante.

a un bank b on réporideur c un portable d urie caméra e one enveloppe


I une tache g une poubeJie h uri montre i un blouson

Déja deux heures et quart de I’aprés-midi ! Lucie est en retard,


Max s’impatiente. II espére qu elle n’a pas oublié leur rendez-
vous. « A deux heures » lui a-t-iI dit hier, a la sortie du lycée.
Max n’a pas précisé Ie I ie u dU Pe ndez—vous. Ce n'est pas la
p e I n e, i I s s e re t ro uve n t Io uj o u rs d a n s I e p arc d es B utte s -
Chaumont, sur un bpnc situé a coté du pet it I ac. Max et Lucie
connaissent ce paTc com me leur poche. c est normal : iIs habitent
dans ie quartier depuis qu'ils sont tout pet its ! Aujourd'hui, iIs out
quinze ans et sont toujours Jes me iIIeurs amis du monde. Trés
souvent, its se donnent rendez-vous dans ie parc et décident de ce
QU'ils vont fame. Aujourd'hui, iIs veulent aIIer an cinéma.
— Lais qii’est—ce qLi'eIJe fart ? se derriande Max.
I I p re nd s on po Stabie, co nip ose ie nu me rO de Luc ie, in ais
tom be malheUreusement sur ie répondeur. ‹• Salut, c’est bien moi,
Lucie, mais je ne peux pas vous parler ! Laissez—moi un message et
Je vous rappelle. BIsous •›. NI ax d it d’une voix énervée .
— $a fart déja un quart d’heure que je t'attends... On va rater
la séance. T’es ou ?
M ax s o ri p i re . I I se I eve , Ia it q we I q ue s p as p u i s s’ as s o it d e
nouveau. La séance c oin in eri c e dans vingt—cinq in mates. S i as
in o iris Lucie répon d art au télép hone, its p ou rr a i ent se donne r
directe ment rendez—vous as cinéma.
Des bruits de pas I It i to nt to rirner I a téte. Mat he rire use me nt,
ce n'est pas Lucie mais un how me habillé curieusement pour la
s a i s o n. Le s o Ie i I d e j u in est d éja c hau d et I' h o mine p o rte un
impe rméable et riri chapeau. Peut—étre est—ce un acterir en train
de Lorimer un film ? tax regarde dans toutes les directions a la
recherche d'une caméra, mais il ne voit rien.
L’homine a rrive decant M ax. I I I'attrape au con. flax se d éb at
mais I’how me ie tient ter me me nt. 11 fur d it a 1'ore il Ie avec one
certai ne di If ic ri I té :
— L’enveloppe... Services secrets fran$ai s... cet aprés —midi.
qu at re h eures... Argenti ne... Monsie tir Tino... Gu it are... Atte rition
a lix a litres.
Max parvient fi nalement a se dégager .
— Vous devez vous tromper de personne, fur dit— il. J'attends
une copine et. .
L'homme ne ie laisse pas finir. I I Isi gl isse l'enveloppe dans les
mains et s’éloigne en trainant I a jam be. Du san g co It ie dv bas de
son impermé able. Max se leve et lui crie -
— Vons étes blessé !
L'homme s'arréte. II ouvre sort imperméab ie et regarde Max. I I
y a one grosse tache rouge sur son pantalon.
— Ce s o ri I I e s ri s q u es d u in é t i e r, d it — i I e n g r i in a $ a n I d e
douleur. Je te l'ai dit : fais attention aux autres.
I I se retourne et accélere Ie pas. Max tente une derniére lots
de Ie retenir :
— Atteridez ! Je vous assure que je ne compre nds rien a votre
h istome.
M a i s I ' h o in in e d i s p a r art d a n s I e p a r c . NI a x r e t o u r n e
l'eriveloppe dans tons les seris. Que peiit—i I en fame ?
I I s'ass o it et cherche one so tation. Cinq in in utes p I us tard,
deux autres hommes accoiirent dans sa direction. I Is portent de
gros b loiisons et des I uriettes de soJett. Déci dément, se dit f4ax,
Yes gens s'habi Ilent bien curie use ment aujourd'hui !
h4ax cache l’eriveJoppe sons son tee—shirt. Lorsqu'i1s arrivent a
sa h aiiteur, Ie plus grand des deux hommes fur demande -
— T'as pas vu un dro!e de type avec un inn per ?
Max hés ite a In i répo n d re. Ce sont peut— étre ces •• autres »
dorit l'homme a l’enveloppe fur a dit de se méfier ? A qui peut—il
fame conuance ?
— Al O rs, p tlt, i nsI SU ID deuxié me how me, I’as vu que I qu’u n
on pas ?
Nlax a toujours détesté qri'ori 1’appel ie ‹• p’tit ••. Mat rite ri an t
qu’i I a go inze ans, il tro tive cei a vraiment rid ic ale.
— Non, dit—i i fermemerit. Pourquoi ?
Les deux hommes ne répondent pas. lls viennent d’apercevoir
quel que chose stir Ie sol.
— Do sang ! I I n'ma pas bien loin. Dépéchons —no us !
11s rep arte rit en courant. Si Max ne sait p I us qu oi penser, il est
a u in o i n s s II r d’ u n e c h o s e : g a r d e r I ' e ri v e I o p p e e s I Ir o p
d an gere ux. 11 d o it s'e n sép are r an p I u s vite. 11 ne s art p as ce
qu’elle contient mais cette histoire ri'a pas l'air d’étre un jeu. Sa
premiere idée est de la jeter darts urie poubelle. Apres tout, c'est DCL.- Lisez Ie chapitre et dites st les affirmations suivantes sont vraies (V)
la met lleure talon de fame disparaitre ce prob Ie me. I I se leve et ou fausses (F).

se dirige vers la poubelle la pI us proc he. I I y enfonce l’enveloppe


V F
bien au fond, apres s'étre assuré que persorine ne 1'observe. C'est la premiére tois que Max va dans Ie parc
Max se sent s oulagé, in ais queI q tie chose le p réoc cPipe e ncore. des Buttes—Chaumorit.
L’enveloppe doit p rob ab ie me nt contenir des inform at ions tres Max a rendez—vous avec on ami.
importante s. Cet how me lui a fait confi ance pour conti n ue r sa Lucie h abite juste a coté dv parc.
mission, et lui, il jette l’enveloppe dans une potibelle : ce n'est pas L’1iistoire se passe a Paris, en hiver.
tres courageux de sa part ! Et puts cet inconnu est blessé, sa vie L'homme a l'enveloppe est blessé.
est peut—étre en danger ! f4ax sent qii'il ne peut pas en rester la. t4 ax sait ce qu’il y a darts l’eriveloppe.
— Je dois prévenir la police ! Les déiix hoinmes qui accourerit vers Max portent
I I reto ri rue to u i 11 e r la p ou be He : ‹• Be urk ! Pourq u oI j'at in i s des blousons.
I'eriveloppe tout au fond ? •›. Un pet it garb on qui passe avec sa 8 Max décide d’ouvrir I'enveloppe.
mere Ie regarde d’un d role d’aI r . 9 Lucie arrive en avarice an Mendez—vous.
— C’est s a I e de me ttre Yes in at ris d a us Ie s p oii b e 11 es , he i n , IO Troshusonatoardp oura
a miners !

Ecoutez I’enregistrement de Max et Lucie.


M ax fe r in e l e s ye ux, p I o n ge I a in a I n d an s I a p o u b e II e e I
les images suivantes a Max on a Lucie (ou a tous les deux).
rep rend rap ide me rit l’e we I oppe. I I se d irige vers la s o rtie du
DCL.‹ °ssociez
Justifies votre réponse.
parc. Soudai n, une main fur tape sur l'épatile. Max sursaute.
— T’at I ais p as partir sans in oi ?
— Lucie ! Tu m'as fart peur ! pu'est—ce que tu fa is la ?
— On avait rendez—vous, non ?
— Oii i, ou i. Excuse—mo i, je s u is un pen..
Max regarde sa montre : il est trois heures morns Ie quart !
Ad ieu Ie cIné !
C'est mo i qui m’excuse, dit LUCI C2. Je sri is un peu en retard.
On va ou ?
— A I a po I ice !
Récrivez ce texte en langage courant.

J'sais pas quoi faIre tout seul. Y’a rien a fame ici. Si p’pa m’avait filé son
bouquin, j’pourrais au morns Ie lire. Tiens, j’connais ce type la—bas.
J'devTais p’tét’ alter fur parler. II est plus p’tit que moi mais pa fait rien,
on peut devenir copain. Ah ! Mon poTtable qcii sonne ! ‹ All© ! Ouais, qa
boume. Tu fats quoi ? On va ari ciné alors ? OK. J't’attends dans Ie parc.
Salut. »

Trouvez les mots gut se cachent derriére leur abréviation familiére.

1 Le ciné Z Les infos


3 Le resto 4 L’aprém
5 Un pro O Les maths
7 La pub 8 Un prof
9 Le foot IO Un appart

Dans Ie chapitre 1, relevez cinq expressions du langage familier et


GrOrrtrT3£3irO transformer-Ies en langage courant.

Le langage familier
Le langage farther est utilisé dans la vie courante, en Camille ou entTé
amis. 11 se caractérise notamrrient par :
l’utilisatiori d'abréviations, d’élisioris et de mots familiers : Production orale
tu as I'as, ’
télévision télé, DELL Présentez-vous a un camarade en prenant com me modéle les
enregistrements de Max et de Lucie.
petit-déjeurier -÷ petit—déj,
homme type..
la suppression de « ne › darts la forme riégative :
je n’a true pos attendre. — ]’airrie pos ntteftdre.
Vous savez bien sitr que Paris est la capitale de la France. Pout—étre
connaissez—vous aussi Ie nombre de ses habitants ? Ils sont plus de
deux millions !!! (Plus de dix millions avec les villes de la petite et de
la grande couronne autour de Paris !)
Mais savez—vous qu’i1 y a vingt arrondissements a Paris ? Le premier
est situé au centre de la ville, prés de la Seine et de l ile dc la Cité. Les
autres s enroulent autour de lui dans Ie serie des aiguilles d'une
montre a la manure d'une coquille d'escargot.

Chaque arrondissement est divisé administrativement en quatre


quartie rs. Max et Lucie, par exemple, habitent dans le 19°
arrondissement, dans le quartier appelé ‹• Combat ›
Dans Paris, la circulation en voiture est parfois trés d ifficile.
Pourtant, la ville compte plus de 5 900 voies de circulation. Si vous
aimez les chiffres, sachez que la rue de Vaugi rard (6• et 15e
arrondissements) est la plus longue (environ 4 400 in), la rue des
Degrés ( é la plus courte (morns do 6 in), la rue du Chat-‹jui—péche
(5°) la plus étroite, et l'avenue Foch (16°) la plus large (120 in !).
Enfiri, si on mettait los rues de Paris bout a bout, on obtiendrait une
route de 1 700 kilométres.
Si la ville de Paris est connue dans Ie monde entier pour ses
monuments (tour Eiffel, Arc de triomphe, Notre-Dame, la Granule
Arche. . .) et pour sa vie artistique et culturelle (la mode, 1'Opéra, les
elles fervent également a 1’approviS1OI1I1ént en eau et au passage de
cables pour les communications.
11 y a également 285 kilométres de souterrains trés mystérieux : les
catacombes. Ce sont a 1’origine les carriéres qui, pendant des siécles,
ont produit les pierres nécessaires a la construction de Paris. A la fin
du XVIII é siécle, on y a transporté les ossements des cimetiéres
parisiens devenus trop petits et trés pollués (envirori six millions de
personnes !). C'est pourquoi on leur a donné Ie nom de catacombes,
comme les cimetiéres souterrains de Rome on se réunissaient les
premiers chrétiens.
Mais attention ! II est facile de se perdre dans toutes ces galeries, et i1
est interdit de les visiter en dehors des parcours balisés !

musées, les théatres. . .), la « ville lumiére » dissimule également des


endroits plus secrets. .
Citons par exemple les rues couvertes d'un toit en verre. On les
appelle des ‹• passages •›. Construits au début du XIX é siécle, ils
regroupaient de nombreux commerces et permettaient ainsi aux
dames de 1’époque de se promener loin de la foule et a 1’abri des
intempéries. 11s servaient aussi de raccourci pour passer d'un
quartier a un autre. 11 y en avait autrefois plus de 150 dans Paris.
Aiijourd'hui, i1 n’en reste qu’une vingtaine : le plus long est Ie
passage Choiseul, dans Ie 2e arrondissement.
Mais les lieux les plus cachés se situent en réalité sous les pieds des
Parisiens. . . On y trouve en effet les égouts de la ville, dont les
Valeries se déploient sur 2 400 kllométres. Les premiéres orit été
Les catacombes.
creusées vers 1850 pour 1'évacuation des eaux sales. Aujourd’hui,
Vocabulaire
Compréhension écrite
Les mots suivants appartiennent an champ lexical du métro. Associez
Cochez la bonne réponse. chaque mot a l'image correspondante.

ParIs Compte plus de... a iine bouche de métro b un escalier mécanique c un portillon
a deiix cent mille habitants. d Ie nom de la station e uri quais, voies I une rame de métro
b virigt millions d’habitants. g les passagers h un ticket i un plan du métro
c deiix millions d’habitants.

Le 2 ()é arroridissement de Paris est sitcié


a au centre de la ville.
eritre Ie 1 e et Ie 21 S arrondissement.
au riord—est de la ville.

Les arrondissements de la capItale s'enroulerit a la manure...


a des défenses d'éléphant.

Les passages parisiens ont été construits...


a avant Jésus-Christ.
b au XIX siécle.
darts les aririées 2OOO.

Yes earix sales de la ville coulent...


a dans les rites.
b dans les égouts.
c darts les catacombes.

Les catacombes orit été creusées pour...


extraire des pierres.
enterrer les worts.
servir de parking.
— 11 in’a p arlé de se rvices se crets fran q ais et d'un certain
l4onsieur Tino. 11 m’a également dit de fame attention aux autres.
NI ais, to sais, i I était d iffi cile a c ore pre nd re. Ah, out ! 11 a auss i
part é de I’Arge ritine.
L’Ar ge n Ii n e ? Nlax et Lu c i e ri e v ori t p as a 11 e r s i I o i n p o ur
remettre une lettre a un inconnu.
— 11 a dit aussi : « Qu at re hen res, cet apres—mid i •
— Voila qui est mieux, extra méme !
Max rie comprend pas pos rquoi c'est st formidable. Lucie fur
explique sa théorie : si ie rendez—vous est aujourd'hui, l4onsieur
Tino n'est ce rtaine ment p as en Arge rit me. 11 do it mé me étre ici, a
Paris. El Ie regarde s a montre.
— Trois heures. Nous devons fame vite.
— Et on Ie tro»ve ou, d'aprés toi, ce M orisieur Tino ?
Les services secrets fran ais ! Mais c'est super ! — Sans d o ute dans ii n e ridro it a Paris qu i a un rapp ort avec

M ax ne s' ét o n ne p as d e I a ré act to n d e so n am i e. Elle est l'Argeritine : une rue gut porte ce nom, par exemple. Ou bien un
toujours préte pour l'aventure et rien ne lui fait peur. Lui se sent restau ra rit de sp éci alit és arge ntines. Ou e rico re. .

encore impre ssionné par ce qu’il vient de vivre. Quand il lui dit Lucie fart plusie mrs lots Ie tour dii banc en réfléch issant a voIX

qu'il a décidé de donner I'envel oppe a la pot ice, Luc Ie propose haute, puts s’arréte et reproche a son ami de rie pas l'aider. h4ax sourit.

a titre ch ose : — Ou'est—ce q ii'il y a de si drole ? I ui de in ande Lucie.

— Po urquoi ne pas trouve r no us —mémes ce M o ns ietir Tino — Rien, ri en, j'atte rids de vo ir si tu as d’autres id ées gé males.

p our I u i don ner l'enve I oppe ? De to ute talon, avec un temps Potirq u oi ? T'en as, tot ?

pareil, on va pas s'enfermer dans un ciné ! — Bi e n su r, d it— il e ri se levant. S u i s— in o i , sin on n o us at I ons

— Tu oublies que celui gut m'a donné l'enveloppe est blessé ! rater le rendez—vous ! Arge ntirie : c'est Ie nom de la station de
Un agent des services secrets n'a pas be soin de tot pour se rriétro a coté de chez ma grand—mere !
fame so igner... Le s de u x am i s s o rte n I d u p arc de s B u ttes — Ch au in o n I et
Lucie a ratson. Et puts, M ax est un grand amateur de romans in a re h e n I e n d i re ct i o n d e I a s Iat i o n d e in é t r o B o I iv a r. 11 s
p o li c i e rs. Ce s e r a p e u t — é t re I a s e u l e Io i s d a n s s a v i e q u' i I d e sc en d e nt les escal i ers, p assent leur ticket dans Ie po rtillo n
re nc o ntre ra d e s es p i o n s. Luc i e In i de in an d e d e se s o uven ir d'acces et vorit sur ie quai •× Direction Louis— Blanc •

exactement des mots de l'homme a I'enveIoppe. Une jeune few me s’ad resse a M ax .
— Excusez—moi, pour alter a 1'Arc de triomphe, s'il vous plait ?
EI Ie a uri acce nt esp agno 1. b4ax hés ite a répo nd re. L’Arc de
trio nip he est a p roxi in ité de la statio n Arge ntine. Pe ut — étre
conriait—elle I from me a l'eriveloppe ? LUCID devine l'embarras de
so n am i. P oii r ie rass ure r, elle I u i mo ntre les tro is e nfants qu i
accompagnerit la jeiine few me. 11s ressemblent davantage a des
touristes Strangers qu’a des membres des services secrets. hlax
s o u r I t. <• Ce It e h i S Io I re va in e re n d re Io u ! •› s e d it — I I ava n t
d'mid I que r Ie chem I n.
— Vo us at ie z jus qu'a i a statio n J arirés avec la I igne 7bis. La,
vo u s c h an ge z e t p re n e z I a I ig ne n u in é ro 2 d i re c t i o n P o rte
Dauphine ; veus descendez ensuite a Charles de Gaulle —stone.
Le métro, c'est facile quarid on connait !
U ne rame e ntre dans I a statio n. M ax et Luc i e monte nt et
s'i nstal I e nt s ur de cx strap o nt I ns. 11s p ar lent pe u pendant ie
Ir aJ e t. LiI S I tu at i o n e s I Ire s é t r a n ge : u n h o in in e qu’ i I s n e
c onn a i ssent pas lead a I ridiqué un rende z —vous avec un autre
i n c o n n u ! M a x s e d e in a ri d e s ' i I a b i e n Ia i I d e r é c u p é r e r
l'enve I oppe dans la poubelle. Lucie, elle, se dit qu’el1e a peut—étre
en tort d'encourager M ax a chercher Monsieur Tino. Les de ux
amis se torment an méme instant l'un vers l’autre -
— Tu cro is qu’on a bIen fart de..
I Is éclatent de rire ! La rame entre dans la station Jaurés. C'est
la qu'i Is changent de ligne. flax a pris ce métro tellement de lots
q u ' I I p o u r r a i I p r e s q u e Ia i r e I e Ir aj e I I e s y e u x fe r in é s . I I s
emp ru ntent Ie co ulo ir et p re nrie nt la I i grie 2 directio n Porte
D aup h I ne. Tre i ze stat i oris p l us tard, M ax et Luc ie change nt
encore une lots. I is prennent la ligne 1 direction La Défense.
Le métro me fart parfois l'effet d’un immense labyrinthe !
dIt Max.
Plus qu'iine statio ri.
Argentine Les vo i I a sur Ie I ie u d u rende z—volts. I I est quatre
heures morns ciriq.
M ax et Lu c ie ne so nt p as les se u Is a desce n dre d ii in étro.
Tandis que Yes autres pers on ne s se dirigent vers la sortie, nos
deux amis restent sur Ie quai. Lucie va s’asseoir sur uri siege en
plastique bleu. h4ax préfere marcher Ie long du qu at. Une rame de
métro entre dans I a station. El ie s'arréte. Les portes s’ouvrent et
des voyageurs descendent. A quoi peut bien re s se mbler Monsieur
Tino ? A cet how me gut porte urie valise ? A ce I ui —la, plus jeurie,
qui semble chercher sa d irection ? Ou encore as vieux monsieur
qu i s’app tire so r sa canrie po iir marcher ?
Le qu at se vide. Max reJo int Luc ie.
— On ne va quand méme pas demander leur now a chaciine
de ces pers o ri nes, d it- il, n i agiter un pap ter avec I'ins cription
‹× Mons ie ur Tirio •› !
A ce moment—la, les notes d'une gmt are attirent l’attention de
Lucie. Elles provien nent dv couloir qui conduit a la sortie de la
statio n. I Is s'ap p roche nt d u in u s ic ie n. « M one ieur Tino ? » Le
anus icieri sour it. M ax sort l'enveloppe et la lvi tend. L'how me
s’appréte a la prendre puts arréte son geste.
Non ! dit i I. Detix types noirs su rve i II ent dep u is ie q iiai d'en
face. C’est trop dangere ux. Doc nez l'enveloppe d irecteme rit au
Mann. Vous le trouve rez sur Ie port ou a I'écl use.
Le in usic ie n ne donne pas pl us de préc is ions et s’e nfuit e n
courant. Une voix interpe lie Max depuis le quai d’en face
— Bouge pas, p’tit, on arrive !
Max reconn art tout de suite les deux hommes en blouson : ce
sont ceux du parc des Buttes—Chaumont !
d La—bas, il y a deux places fibres.
e Pre rioris la ligne 7bis et erisuite la ligne 2 !
Df k- Mettez les mots dans l’ordre, puts dites st les affirmations suivantes I Now, je perise go'il est plus jeune que lui.
sont vraies (V) on fausses (F).
V F
1 l'eriveloppe Z Lucie / ne 7 downer Z a la police Z vent / pas

U n mot posséde un sens q iii I ui est propre. Mais celul—ci peut étre
Z Ie now Z Argentine / d'u rie ? est Z de rnétro Z station
détourrié quarid Ie mot est associé avec on autre. On dit alors qu’il est
em to é au sens fi uré.
Exemple : salé(e) : qui coritient du seI. (sees propre)
une addition salée : one addition dorit Ie prix est tres élevé.
4 station Z a proximité Z a Z J’Arc Z est Z de triompheZ (sens figuré)
de la Z Argentine
' Retrouvez Ie sens des expressions suivantes.

I tJrie idée creuse. a Urie ldée sans iritérét.


b LJ rie Idée a creuser.

’ LJne idée géniale.

Z Fame one fleur. Offrir des fleurs.


Acc order on avantage.
Cueillir des fleurs.

Lucie et Max s’interrogent. Associez les questions aux réponses. 3 Mettre sort grain de set. a Ajouter du set darts on plat.
J n terve rim saris y avoir été inv it .
1 One faisoris—noirs de l’eriveloppe ? Passer ie set.
2 Quel métro ailons—rious preridre ?
3 Qu’a dit l'homrrie a l’enveloppe ? 4 Tomber doris les porrimes. a Boire dv jus de pomrne.
4 Oh rio us asseyons—rio us ? Eplucher one pomme.
5 Cet how me... C'est IIorisieur Tirio, a ton avis ? S'évanou ir.
O Connais—tu Yes detix hommes sur ie quai d'en face ?
5 Parler en l’air. a Parler sans réfléchir.
a I I a dit : « Reridez—vous a quatre heores cet aprés—midi » b Parier en regardarit Ie ciel.
b OuI ! Je les ai déja vus darts Ie parc. Prler.
c Nous aHons la donner d irectement a Monsieur Tino.
Associez chaque expression a la phrase correspondante. 5 L’embarras de Max est visible.
a 11 sait exactement ce qri'il fact fame.
Vert de rage Avoir la plume facile b II est tres real a 1’a1se.
LI ri échec cu isant Line histoire savoureuse c I I a real an bras.
LJri accueil glacial
6 LV métTo est un vrai lab rinthe.

Tso na , 'act on y d ro a d a I I est trés bien décoré.


pa s onnan . b JD est tres vie x.
JJ est devenu furieux guard J'ai eu 1’idée de déchirer c On se perd dans ses iiombreux couloirs.
l’eriveloppe.
7 Le jeune how me cherche sa diTéction.
C'est la troisieme to is qu’il rate son examen.
a II fouilie darts son sae pour trouver quelque chose.
Pour fur, écrire n'est pas vraiment un probléme.
b Jl réfléchit sur Ie chemist qu'iI doit prendre.
I I entre dans Ie commissariat et tout Ie monde Ie regarde saris
c II essaie de trouver un ami dans la foule.
fur adresser la parole.
8 Les notes d'une guitare attiTent l’attentiori de Lucie.
mots soulignés sont utilisés dans Ie chapitre Z. Retrotivez leur sens.
a Lucie remarqiie ia iriusique.

II s'étoririe de sa réaction. b Lucie ri’aime pas cette musique.


a I I trouve sa réaction Strange. c La musique est trop forte QOUT Lucie.
b 11 est d’accord.
I I n’est pas d’accord.

Elle est toujoiirs préte.


a Eire accepte avec plaisir.
b Elle pleure tocijours. DIAL.- En vous promenant dans la rue avec un ami, vous trouvez un paquet
Elle rie sait jamais ce go'elle vent. par terre. Vous voulez l’apporter ii la police, mais votre ami veut
l'ouvrir.
Max est irnpressio nné par sa rencoritre avec les trois hommes.
11 en rlt encore. • Imagines votre conversation.
b I I est troublé. Ecrivez erisuite uri courrieJ a on autre ami pour lui présenter les
I I rie s’en souvient plus. arguments de chaciin.

I4ax est amateur de romans policiers.


a I I ri’en a jamais lus.
b Ii déteste qa.
II aime en lire.
Le métro parisien

Impossible de rater Ie métro dans Paris ! Les lignes forment en effet


une grande toile d'araignée qui couvre toute la capitale. Et les
stations sont facilement repérables grace a leur architecture II existe aujourd'hui 16 ligries, 211 km de voies et 380 stations, dont
particuliére et a 1’indication « Métro » (ou « M ›²) qui signale leur vingt-six aériennes. De nombreuses stations sont particuliérement
emplacement. bien décorées : Louvre-Rivoli ressemble par exemple a un véritable
LV métro parisien est né a la fin du XIX é siécle pour laciliter la musée, la Déclaration des droits de 1'homme est inscribe sur les murs
circulation dans la capitale. C'est l'ingénieur Fulgence Bienveniie qui de la station Concorde, et on se croit dans une Strange machine a la
est responsable du chantier. La station de la gare Montparnasse station Arts et Métiers.
porte d'ai11eurs son nom (Montparnasse—Bienveniie). Mais i1 y a en réalité beaucoup plus de 380 stations. Certaines,
La ligne la plus ancienne — la ligne 1 — a été wise en service le 19
fermées durant la Deuxiéme Guerre mondiale, n'ont pas été rouvertes
juillet 1900. Elle traverse Paris d’est en ouest. Err 1905, on a construit
depuis. D'autres n’ont jamais été utilisées aprés leur construction.
une ligne qui passe sous la Seine. La premiére ligne entiérement
Parfois, i1 n’existe méme aucun accés a ces stations fantomes !
automatique (la ligne 14) date de 1998 : les rames y circulent sans
Si le métro ressemble a un grand labyrinthe, on y circule facilement
conducteur.
avec un peu d'habitude. Chaque ligne est représentée par un
Vocabulaire
numéro, une couleur et une direction. 11 y a dans les stations et dans
Les mots suivants appartiennent an champ lexical du port. Associez
les rames de nombreux plans qui permettent de ne pas se perdre !
chaque mot a l’image correspondante.
Ouvert de 5h20 a 1h10, Ie métro transporte chaque jour 5 millions de
b urie périiche c une écluse d urie capitainerie e un canal
passagers. La grande majorité 1'uti1ise pour ses déplacements
h on bateau i on fleuve k un ponton
professionnels. Une expression familiére résume d'ai11eurs la journée
des Parisiens : « Métro, boulot, dodo »
Pour accéder aux quais, i1 taut se procurer un ticket. On peut
1’acheter a un guichet ou a un distributeur automatique. 11 donne Ie
droit de parcourir toutes les lignes pendant deux heures, saris sortir
du métro. Et si on rate Ie passage d'une rame. . . pas de panique ! La
suivante arrive quelques minutes plus tard (de 2 a 8 minutes, selon Ie
moment de la journée).
Prendre Ie métro n’est doric pas difficile. Mais attention ! « Avoir un
métro de retard » ne veut pas dire avoir raté une rame. . . Cette
expression familiére signifie « ne pas étre au courant des derniéres
nouvelles » !

Compréhension écrite
Dites st les affirmations suivantes sont vraies (V) on fausses (F).

V F
1 Les lignes dv métro desserverit une partie de Pairs.
2 La premiére ligrie de métro date de 19OO.
3 Toutes Yes stations sont souterraines.
4 Chaque ligne est repérée pad un riuméTo, one couleur
et une direction.
S Certaines lignes passent sous la Seine.
O Les stations sont toutes décorées de la méme faqon.
7 Le métro est ouvert toute la riuit.
8 Il taut attendre urie heure entre deux rames de métro.
L e s d e u x h o in in e s e n b l o u s o n s e in e IIe n t a c o u r i r e I
d i sparais se nt dan s Ie couI oi r de Ia stat i on Arge nt me. Dan s
in cms de de iix in in rites, il s seront certai n ement sur Ie in éme
quai que Max et Luc ie. Nos de ux am is n'ont pas Ie te nip s de
s'enfuir.
Heureusemerit, un métro entre dans la station. Max et Lucie
content dans la rame en bouscuJant les gens gut descendent. Le
s ig n at d e fe ran eture d es p o rtes rete nt it. Le s de ux h o in rues
arrivent sur le quai mais les portes se ferment juste devant eux.
Le métro quitte la station, Max et Lucie sont en séc urité.
— Out, on l’a échappé belle ! A ton avis, c'est gut ? demande Lucie.
Max ne sait pas. I l ne sait pas non plus qui sont l’homme a
I'enve1oppe et Monsieur Tino. 11 ne sait méme pas pourquoi Lucie
et fur prennent autant de risques. Urie chose est sfire : beaucoup
de monde s’intéresse a cette enveloppe.
— NOUs pourrIo ns I'ouvrir, dIt— il a Lucie.
— I ci, dans ie métro ? Tu es fou, i I y a trop de monde.
— T’as ratson. Je crois aussi qu'il est préférable d’en savoir ie dans ce po rt. Elle commence a lu i raconter toute sa vie in ais
moms possible. I I taut vraiment s’en dé barrasser rapt de ment. An Lucie 1'interrompt :
fait, qu'est-ce qu'i1 a dit ie mtisicien déja ? — EXCusez—moi, Madame, mais je suis pressée et..
— ‹• D o n n e z I e n veto p p e d i re c te in e nt a u M a r i n . Vo u s I e — Bon, bon, répond la vieille dame. Le port de l'Arsenal est
Irouve rez an p ort ou a l’écluse. › e ntre la Se irie et Ie canal Saint— M art in. 11 rie se trouve p as trés
Lucie a retenti la phrase par cceur te Element elle fur semblait I o in de I a p I ace de la B astitle. Si vous at lez a la cap ita i ne ri e, dites
cu rieuse : u n p ort a ParI S ? E He co n nait I a Se me, b ie n s ur, Ie borijour a Marcel de ma part. Oh, je su is béte, il ne do it plus y
fleuve qu i coule a Paris. El ie sait bien que des péniches y circa lent travai He r. 11 est beaucoup plus agé que moi et. .
mais e lie ri'a jamais entend u parler d'rin port d ans la c apital e . Lucie n’a pas vraiment ie temps d'écouter Ie récit de la vie de
M ax pense aux bateaiix—couches. M arce 1. E He re mercie I a vie i!ie dame et rejo irit NI ax.
— J'y suis allé one lots avec un cousin gin habite en province. On Miss ion ac complie. I I taut at ie r pl ace de I a B astil Ie ; Ie port
a embarqué pres de la place de la Concorde. C’est peut—étre la—bas. de l'Arsenal est la—bas.
Lricie rie semble pas convaincue par I'idée de M ax — Bravo, Lucie. On va desce ridre a La Défense et prendre Ie
— Je crois qu'il ri'y a pas d'écluses a cet endroit—la. RER. On y ser a plus rapi dement.
— Tit as pe at-étre raisori, répond M ax. Alors, je ne vo is pas. A I a station La D éfe nse, II ax et La ci e p renrie nt Ie RE R A q or
— Attends, d it Lucie, yai une idée. fi Ie s o us Pa r i s a to ute vitesse. N os de rix am is desce n de nt a
Elle se leve et s’approche d’une perso nne. Chate let— Les I—I a lies, et a tors qu'i is marc he nt dans u n co u I o ir, i 1s
— Excusez—moi, je prépare on exposé sur ie port et l'écluse de Paris entende nt derriere eux .
pour mon cours de géographie. Pourriez—vous m'aider, s'il vous plait ? — I—I é ! Vo us deux la—bas, arrétez—vous !
l4ax reste sans voix : Lucie a une telle assurance ! La jeune 14ax se retourne -
title p arco urt I a rame en p os ant I a in é me quest i o n a to ut le — Oh, no n, Yes de ux hommes en blouso n ! Com me nt its orit
in o n d e . M a i s I e s r é s u I Iats n e s o n I p as Ire s s at i s Ia i s a n ts . fart po ur n ous re tro uve r ?
Cert a i nes pe rson nes ne levent mé me pas les yeux de leur I IVPN. l4ax et Lucie se mettent a cou rir. H e ure u s e me nt, la station
Un how me d'urie quarantaine d'années éclate de rire : Chatelet—Les Ha!les est pleine de couloirs et de lignes de métro,
— Qu'est—ce qu’on vo us apprend a l'école ? 11 taut at ter a la et en plus, il y a toujours plein de monde. C’est plus facile pour
mer pour trouver des ports ! server qrie!qii'un.
Dé couragée, Lucie décide d'abandonner grand une dame agée — Ligne 1, a gauche, vite, crie Lac ie.
I ui fart on pet it signe. Les deux ad Olesce nts se pré c ipI te nt dan s l’escal ie r in écan ique,
— Vous voulez peut—étre parler du port de i'Arsenal, MadémOISélle ? et sa utent les marches trois par trois. Max se retourrie : les deux
La dame lui explique qu'el1e a travai llé de nombreuses armies hommes sont toujours derriére eiix.
U n con loir a gauche... un cou loir a droite... Its arriverit dans un
grand hal 1.
— On ri’ arrive ra pas a les server, dit Lucie essouffl é e.
M ax a per port at o rs ii ri p h oto in ato n. 11 attrape Luc ie par Ie
bras :
— Su I s — lTlO i !
Les de ux adolesce nts tirent Ie rideati et s'ass oient sur Ie pet it
tabouret. lls se serrerit I’ un contre I'autre pour prendre ie morns
de place possible.
— S i que lqu’un d oit fame des photos d'identité in at rite n ant,
noas somines perdus, murmtire Lucie.
Les hommes en blocs on arrivent dans Ie grand hal 1. Devarit
eux, il y a cinq couloirs. 11s rie savent pas lequel prendre.
— 11s rio us out échappé ! dit ie plus grand.
— Ne t'inquiete pas, on va Yes retrouver, ce ne sont que des gamiris !
Le patron va étre furieux !
— Tu verrais la téte que tu fa is ! Y’a on photomaton la—bas, va
te prendre en photo, tu vas bien rigoler !
Le plus pet it entraine son ami vers Ie photom at on. I I attrape
le rideau et commence a Ie soulever.
— Je t'assure que pa en vast la peine.
— Arréte ! On n'a pas de temps a perdre. Viens, on essaie ce couloir !
Le rid ea u re to mbe et les deux h o in rues s'e ri vo nt. D ans Ie
p hoto in ato n, Luc ie et M ax res p i re nt : c’éta it in o ins u ne ! I I s
attendent encore que I ques in inutes, puts sortent du photomaton.
I I y a to uJ o u rs a u t ant de in o n de d ans ie h a 11, in at s les d e ux
hommes en blouson ne sont plus la.
Luc i e et M ax s e d i r I ge nt s an s p I u s atte n d re ve rs I a I igrie
nu mé ro 1, direction Chate an de Vince rines.
Gompréhensonechleelo½e 3 11s ne I event méme pas les yeux de leur livre.

4 Elle demande a Lucie de dire borijour a Marcel de sa part.


Cochez la bonne réponse.
Lucie et tax pre rinent Ie métro pour. . 5 IIs tirerit ie rideaii et s'assoient stir ie pet it tabo uret.
a échapper aux deux hommes.
b se promener. 6 II entrairie son collegue vers ie photomaton.
c alter voir la grand-mére de tax.

Urie lots dans Ie métro, tax et Lucie décident..


a d'ouvrir l'enveloppe.
b de chercher Ie Warin.
Les mots soulignés sont utilisés dans Ie chapitre 3. Associez les
c de Jeter I'eoveloppe.
phrases gut vont ensemble.
Pour iriterroger Yes gens darts Ie métro, Lucie. .
a monte sur Ie strapontin et crie. I Urie soririerie de té léphorie retentit.
b parcourt Ie métro. 2 I I est référabie de rie pas ouvrir I’eriveloppe.
c utilise son télephone. 3 flax et Lucie rie veulerit pas se débarrasser de l’enveloppe.
4 / Le cousin de N4ax habite en rovirice.
La vieille dame dv métro corinait Ie port de l'Arserial car..
S b4ax at me fame des ex oses.
a sort man y travaille.
6 Le métro file a toute allure.
b elle y travaille.
7 11s les orit semés !
c elle y a travail ié.
a Poor eel a, its orit cours tres vite.
Poor échapper aux horrimes en blousori, Lucie et flax se cachent..
b I I va d’uri point a uri autre de Paris en per de temps.
a derriere urie publicité. c Lucie réporid : c'est sa mere get vent savoir or elle est.
b dans on photom atori. d II adore parler d'un s ujet devarit tin publ ie.
c dans tin distributeur de boiss oris. e li vast inie cx en effet we pas connaitre sort conteriu.
f Max, lu i, préfere vrairnerit vivre a Paris.
Dans Ie chapitre 3, trouvez qui a fart quoi et dites pourquoi : Max (M), g I I serait pourtant trés facile de la jeter dans one poubelle.
Lucie (L), les passagers (P), la vieille dame (V), l’un des hommes en
blouson (H).

1 11s pénetrerit dans ie métro en bousc start les gens get


descendent. II vous est certainement arrivé un jour de courir a vive allure
comme Lucie et Max (en jouant avec un camarade, pour prendre un
2 Elle parcourt la rame dri métro en posarit a tout le moride la train, pour ne pas arriver en retard a l'école, on encore pour server
méme question. quelqu’un). Racontez ce souvenir en quelques phrases.
Les mots suivants appartiennent au champ lexical du café. Associez
chaque mot a l'image correspondante.
a on comptoir b use table c urie chaise d on tabo uret
Iu ne bouteille g on verre h on porte—manteaux i un croque—morisieur
j urie pendule k uri ceridrler 1 on client in u rie serveuse (uri serveur or
un garq on de café) n one bariqciette o uri joueur de cartes p iirie caisse
q true clierite qui appelle la serveuse r on client go 1 pare l'addltion
s us sandwich t urie tasse

Max et Lucie arrivent an port de I’ArsenaI. De l'eau, des bateaux,


une capitainerie : pas de doute, c'est un vrai port ! 11s marchent
Ie I ong du quai et interrogent p lusieurs personnes occupées a
nettoyer leur bateau.
— Excuse z — n o u s, s ave z —vo u s o u n ous p o uvo us trouve r Ie
MarIn, s'i1 vous pl art ?
Tout Ie monde souhaiterait les aider, mais leur question est
Ir op v a g ue ! M ax e t LU C i e I e s ave nt b i e n, in a I s i I s n' ont p as
d’autres indices a donner. 11s se dirigent ensuite vers 1’écluse, qui
permet aux bateaux de passer de la Seine au bass in de I'ArsenaI
avant de rejoI ndre ie canal Saint—Martin. I Is posent de nouveau la
méme question a pl usieurs pe isonne s. On leur fait rem argue r
encore une foIS qU'ils ne sont pas tres précis.
— Autant chercher une aiguille dans une botte de to In, leur dit
un jeune how me.
' Quand, soridain.
I I y a bien q ue I q It'riri q rii se fart appele r ie Marm par ici. MaIs
il met autant Yes pieds sur un bateau qrie moi dans one église. I I
est tres soevent au Café de l’Ecluse, juste a l'entrée du port. Avec
un pe u de chance, c'est lu i que vo as che rche z..
Voila une bonne norivelle ! En effet, monsieur Tino a dit a nos
deiix amis qu’ils trouveraierit Ie Mann ‹• sur Ie port ou a l’écluse •› !
Max et Luc ie se d urgent rapide ment vers ie café. J 1s y eritrent
et s’ in stat lent a u ne table. LJne jeune few me vient pre ndre I a
comm ande. La pours uite dans ie métro leur a donné farm et soil.
M ax pren d u n coca et un cro qri e — in ons ie ur, Lu cie cho is it u ne
limonade et un sandwich as jambon.
— U n coca, u ne limo nade, un croque et un jam bori — beurre,
répete tout haut la serve ose en s'éloignant.
Le café est p I utot b r riya rit. Six ho mines so rit en train de jouer
a It x c a rte s a i u n e de s Ia b I e s d u Io n d . S o u d a i n, I’ u n d e u x
reproche a son voisin d’avoir triché. Bientot, to us les jo ue urs se
d tsp ri te rit et c'est a ce I u i qu i c r i e ra 1 e p I us to rt. lls se cal men t
fin ale me rit et red istr i bee nt les cartes.
M ax et Lucie re g ard e ri I atte nt we me nt les clients : la d awe
avec Ie pet it chien sur Yes gerioux, l’homme qu i lit ie jo urnal en
b irvant urie b ié re, les d eux types perichés sur ie co nipto ir qu i
d i s c It te n I ave c 1 e p at r o n , I e s a in o ure ux q u i p e ri s e rit p I u s a
s'embrasser q u'a boire letir café. 11s obse rvent chaque table saris
d e v i n e r c e p e n d a ri I q u i p o u r r a i I b i e ri é Ire I e M a r i n q u ' i 1 s
rec he rchent.
La serve use leur apporte la comm aride. Lucie est en train de
in o rdre d aris s on san dwich q u an d un h ore me de petite tai lie
entre dans ie café. Le patron ie same .
— Bonjour, Ie Marin ! Bieri n avigu é aujo urd’hu i ? NI aX com mence a raconter en long et en large comment ils out
L’homme rie répond pas et va s’asseoir a urie table pres d'une fart mais Lucie Jim don ne d i sc re te in e nt riri coup de coude : e i ie
fenétre. trouve qu'i! en fart un peu trop. Max sort a tors l’enveloppe de sa
— C'est lvi ! chuchote 14 ax. veste et la dorine as Mann qui la glisse immédi atement darts soia
Ari cu ri do ute p ossib Ie : vo i I a not re h oin me ! S es véte me nts sac. Le vie cx I O uQ de rrie r fart on s igrie de I a téte et regarde d e
sont cetix d'un vrai to up de mer : casquette, tee—shirt rayé bleu et nouveau par la feriétre. Les deux amis ne bougent pas. Le Alarm
blan c, bottes en caoutchouc jaunes. La serve use lrii apporte un les i nte rroge
verre de vin rouge. — Vous vouiez autre chose ?
— Tit vois, dit tax, i1 n'a rien commandé mais eIie sait déJa ce — Non, rien, réporid tax.
go ’i1 veut : ii ri vrai h abItUé. Bon, j'y vats. — AI ors, au revoir, d it—il d’un ton sec.
— J e views auss i, dit Lucie. En se Levant, Max tend la main au Marm pour lui dire au revo ir
Nos deux amis s'approchent d u M ariri. Nlax demande in ais ce I u i —ci Ie regarde saris bouger. Max insiste -
— On peut s'asseo ir a coté de vous ? — $a in'a fart plais ir de trava i lle r pour les services secrets
L' h o mine, s urp ris, ne rép o nd p as. I I fart méme co mine s'il fr ari $ at s.
n’avait rien e ntend u. Le NI arm se met a rire pins se reprerid aussitot .
— C’es I M o ris ie u r Ti ri o q u i ri o u s e nvo i e, in s i ste Luc ie a vo ix — US quo i ? dem ari de—t-i J.
basse. M ax regarde autour de I u i. Pe ut—étre a—t— il part é trop fort. I I se
L'homme rie sour it pas davantage mais fart uri geste get do it penche et dit
probab!eme rit signifier • asseyez—vous » — L’h O1T11T1 e q It i in'a do rin é l’envelop pe me I’a d it. Vous faites
— Vons avez bien d it Monsieur Tino ? I I ne travaille pas avec tous part ie des services secrets fran$ais, c’est bien pa ?
des gens st je unes d'habitude. — Je... C’eSt a dire... ou i... c'est pa... des services secrets, tres
Max I ri i dit qu'its ne Ie connaisserit que depuis cet apres —midi. secrets méme.
Le Mann regarde par la fenétre. I l est ings iet et demande st on A Ce moment—la, Lucie attrape Ie sac dv I4arin et ie vide par
Yes a suivis jusqu’ici. Max Ie rassure et fur explique go'il a en I'idée 1€ Ie. Elle s'empare de I’eriveloppe et crie a Max -
d e s e c a c h e r d a n s u ri p h o I o in a I o n p o u r é c h a p p e r a I e u rs — Viens, on sort, vite !
po u rs u wants. NI ax n e c o in p re n d p a s , in a i s I a s u i I s a ri s h é s i te r. I I s s e
— II n photomaton ? s'étorine ie Mann. To trouves que c’est précip iterit vers la porte et sortent du café. Le Mann se Jeve a

une bonne cachette ? son tour pour les pours uivre. La serve ftse l’arréte :
CompréhensonécrReeiocae
DKk.+ Cochez la bonne réponse. Le discoiirs indirect act present
• LV dI SCOtirS lridire ct est uti Jisé pour rapporter
1 Combien y a—I—il de bateaux darts ie port de l'Arsenal ? Jes propos de queIqii’iiri.
• La corijoriction gut introduit ie discours indirect
a Vingt. b Deux cents. c On rie sait pas. dépend de la forme
dv discours indirect q U’fJ rem place (affirmative,
Z Qui cherchent Max et Lucie darts Ie port ? interrogative).
a MorisieuT Tirio. b Le h4arin. c On rie sait pas.
3 Qu1 salue ie Maria quand il entre dans Ie café ?
a Max. b Le patron dii café. c On ne salt pas. (Jdem avec qii’est-ce
4 Ou t4ax et Lucie trouverit—its le Mann ?
Le potron demonde : <‹ Ou’est ce qtii se posse ici ? »
a Dans un café. b Sur l’écluse. c On ne sait pas.
II dC'rrlOride ce qui se posse ici.
S Que boivent lms joueo rs de cartes ?
Le elm
a Do viri. b Du café. c Onnesatpas.
O One comrriaride Lucie ?
a tJn sandwich. b Uri croque-monsieur.
c On ne sait pas.
T Comment s'appelle ie Mariri ?
a Michel. b Fd ax. c On ne sait pas.
8 Combien coute ie repas de rios deux amis ? Transformez les phrases an discours indirect.
a Quince euros. b Dix euros. c On rie sait pas.
t l4ax dit : Je vats questioririer Jes gens [a—bas •›
a U ne chaise. b LJne biere. c On ne sait pas. R LV MOPiri dernaride a tax et Lucie : ‹ @ui vo as
encore ? »
IO 9ue1 moyeri de transport prerinerit nos decix amis a la fin du 3 La serveuse lili deiriaride « One prenez—vous ?
chapitre ?
a IJri bus. b U n taxi. c On rie sait pas.

Ecoutez Ie texte enre gistré et trouvez les diffé rence s avec Ie


DcL.« chapitre 4.
Le sens de certairis adjectifs change siiivant ie
or place pad rapport as
now qu'iIs qualifieri t (avarit ou aprés).
Trouvez la signification de chaque expression.

Un grand how me Il mesure presque 2 métrl2S !


I I a fait des choses
extraordinaires darts sa vie. Pendant des siécles, la Seine a joué un role trés important dans lo
Mon ancien bateau 11 a été fabriqué il y a cent ans ! développement de Paris : elle permettait en effet de transporter
Je ne l'ai plus, j'en at acheté un facilement les marchandises dans la ville. La vie s’est donc organisée
riouveau. autour d'e11e. Et celui qui controlait Ie fleuve, controlait la ville. Ce
Sa propre casquette C'est la sienrie. n’est doric pas un hasard si ie centre de Paris est situé sur 1 llé de la
Sa casquette propre Elle vient d'étre lavée. Cité, et si de nombreux monuments out été construits juste a coté des
Un curieux warm I I vent tout savoir. berges du fleuve.
Un marin curieux If parait Strange. Mais Ie fleuve peut aussi représenter un véritable danger : les
Un seul cl test dans Ie café I i n’y a que lui dans Ie café. Vikings — les guerriers des pays scandinaves — ont par exemple
to Sri client sent darts Ie café 11 ri'y a personne avec lvi. remonté la Seine et sont arrivés jusqu’a Paris dans les années 800 !
U n sacré persoririage it est hOTS du commun.
Lin personriage sacré II est llé a un dieu.

Uri sale chieri If ri'est pas gentil.


U n chlen sale If n'est pas propre.

Production ecrite et orale


direct et
Imaginez que vous étes assis dans un cafe. Utilisez Ie style
indirect pour en décrire l’ambiance en quelques lignes.

des
Max et Lucid Observent les clients du Café de l’Ecluse et font
commentaires sur leurs attitudes, leurs vétements, leurs expressions...

Imagines leur conversation en utilisarit Ie style direct et indirect.


De retour chez fur, Max note sur un cahier la description de
plusieurs clterits. Aidi2Z-1C2.
aujourd’hui, aux voitures, piétons et métros de franchir la seine.
Malgré son now, c’est le plus vieux pont de Paris ! 11 date de 1607.
Les ponts de Paris sont trés différents les uns des autres. Le pont de
la Concorde a par exemple été construit avec des pierres de la prison
de la Bastille, Ie pont Alexandre III est Ie plus décoré, Ie pont
Mirabeau est en acier, Ie pont Charles-de-Gaulle a la forme d'une aile
d'avion.
Ces ponts permettent également d’accéder a trois iles : 1'i1e des
Cygnes, sur laquelle se trouve une réplique en miniature de la statue
de la Liberté, 1 ile de la Cité, centre historique de Paris on se trouve
Notre-Dame, et 1 tie Saint-Louis, reliée a la « terre ferme » par- cinq
ponts différents.
On peut affirmer, sans crainte de se trooper, que la Seine coulera
sous les ponts de Paris pendant trés longtemps encore.

Gompréhension écrite
Le pont Alexandre III.
Dans un guide touristique, vous trouvez cette fiche sur la Seine.
Pouvez-vous la corriger ?
De plus, la Seine a trés souvent débordé au cours des siécles,
provoquant parfois d’énormes dégats. En janvier 1910, par exemple,
La Seine en bref :
1'eau est montée a environ 8 métres au—dessus de son niveau normal.
Importance sur la vie de Paris : riulle .
La moitié de Paris a été inondée !
Date d’une grande inoridation : 2006 ..
Dés 1'Antiquité, Ie Petit et le Grand Pont permettent de passer d'une
Ponts construits durant l'Aritiquité : ciriq .
rive a l'autre. De nombreux ponts vont ensuite étre construits. Trés
Nombre de porits a Paris : entre O et too .
fragiles, ils ont réguliérement été détruits par des incendies ou
Age du plus vieux pont actuel : quelques mots .
emportés par les eaux de la Seine. Ils out donc saris cesse été
Nom du plus vieux port : Ie vieux pont .
reconstruits !
Ie ou se trouve Notre-Dame : I He déserte .
Le Pont Neuf est l'un des trente—sept ponts dans Paris qui permettent
Les expressions et les mots suivants sont utilises dans Ie chapitre 5.
Associez-les a la phrase correspondante.

a Condulre an hasard b Uri espion


c Cooper la parole d Repre ridre Ie fil de son discoiirs
e Uri auteur dramatique f Avoir de la culture
g Uri passloririé de cinéma h Alter jusqu'au boot

1 I I écrit des piéces de théatre.


2 Router saws connaitre Ie chemin a l'avance.
3 Avoir des coririaissarices sur de nombTeux siijets.
4 Contiriuer d'exposer son idée apres avoir été iriterrompu.
S I I recce ille des informations secretes.
O l riterrorripre quelqu'un go i parle.
7 I I adore voir des films.
On voulez-vous aller ?
8 Firiir ce que l'ori a commencé.
C’est I a tro is iéme to is que Ie chauffe ur du taxi pose cette
q uestio n. M a i s i I o btie nt to ujo u rs i a in é me ré p o nse : ‹• To ut
droit •›. Alors, il conduit en choisissant son chem in au hasard.
Complétez les phrases avec les mots on expressions de 1'exercice
précédent. Max ne comprend pas I’attItude de Lucie dans ie café.
— J ' at me p as ce M a ri n, exp I iq ue —I —e I Ie. Tu Ie tro uves p as
1 Moliere était tin grand . bizarre, to i ?
2 Suffit-il de i me beaucoup poor . — Si tu parles de ses vetements, je te rappelle que rio us étions
3 On we corinait jarnais Ie nom des grands dans un port.
4 ATréte de rrie .................................... tout ie temps ! L U C i e p e ri s e p I ut oI a I a Ia $ o n d o ri t i I a p a r !é de s se rv i c e s
S Surpris par Ie bra it, il arréte de parier, puts il s e c re ts. E st — ce QH' u n e sp i on avo tie a u s s i lac i Ie in e ri t e ri Ia me
O J'ai oublié la carte roiitiere et je s iris obligé de . part ie ? Max reconn art que c'est Strange.
7 Qiiels que sorent les d arige rs, il taut .................................... de — Je ne crois plus a cette histome de services secrets, dit Lucie.
l'aventure. — C'est qu i tOUs ces h oin rues at ors ?
8 II coririait tout sur les acteurs et 1'histoire d u cinérna, c'est vraimerit — De d arige re ux trafiqu ants de drogue, ou des terro rIstes
peut—étre.
— Tu regardes trop la télé.
— C'est un pass I Onne de cinéma comme tot qui me dit pa ?
Ntax sour it : un point pour Lucie ! I I soripire
— yétais content de me débarrasser de I'enveI oppe. Qu'est—ce
qu'on va en fame maintenarit ?
— Je crois qu'on va afler la donner a la police.
Hé ! Ho ! C’était ma premiere idée, pa ! Mais je ne suis plus
d’accord. Nous devons aIted jusqu’au bout maintenant.
— Qu'est—ce que to veux di re ? No u s ne savo us p I us a q or
donner 1'enveloppe. On ne va pas retourrier au Café de l'Ec!use,
s'excuser et I a rerid re an Marm, non ?
— J at une me i 11 eufé I dée. None aHons...
Le chauffeur de taxi fur coupe ators la parole :
— On continue d'aller tout droit ?
Luc i e re garde p ar I a fe ri étre. Le ii r vo iture p asse devant ie
Louvre.
— Tout droit, out, répond Lucie. On vous dira...
Du moment que voris avez de quoi me payer, je veux bien
fame Ie tour de Paris jusqu’a demain mat in, répond Ie chauffeLlT
en riant.
Max reprend Ie fil de son idée.
Nous a lions ouvrir 1'erive loppe.
Lucie pousse on cri d’étonriemerit. Le chauffeur se réjouit -
— Ah, vous savez enfiri on alter ?
— Pas encore, l u i dit-elle. Nlais rio us savours ce que noris aHons
fame.
— C’est déja quelque chose ! s'excI awe Ie chauffeur.
NI ax ouvre !’enveloppe its vont enfin découvrir po urquoi its
courent depuis ie déb ut de i'aprés—midi. A I’intérieur, i I y a une
leur lie blanche avec d'étrariges indIcatioris.
tax retourrie I a fertile. Quatre noins y sont iriscrits. II les lit a
voix haute : ‹• MoI ie re, Proust, Oscar Wilde, J inn Morriso n »
— M ais qu'est—ce que c’est ? demaride Lucie.
— Tro is écr iva in s et un c h a nteu r, lv i d it IIax.
Merci, je ie savais. Je me demand ais simplement ce que pa
voulait dire.
— Je ne vois pas de rapport entre eux, sinon qu'ils sont tous worts.
— T'as ratson ! Et quel rapport avec les rectangles, les fleches
et Yes chiffres situés de J'autre coté de la feuille ?
Max et Lucie observent é tour de role la feuille de papier. Its la
tourrie nt, I a reto urne nt et 1’exam me rit attentive ment. Its n'y
troiivent cependant rien de plus.
Le taxi arrive en face de 1’Arc de triomphe. 11 fait Ie tour de la
p!ace de l'Etoi ie et redescerid les Champs —E lys ées. I is sont assez
loin du port de 1’Arserial et its n'ont donc plus be soin de rester
d ans Ie taxi. Lorsque Luc i e s’ app réte a d me au c hauffeur de
s'arréter, celui —ci s’excl awe
— M o I i e re 1 6 2 2 -1 6 7'3, aute ur d r am at i q ue et c o in é d i e n
fran q ais ; P ro ust : 1871— 1922, écr iva in Iran qais ; Oscar Wi Ide .
1 8 54 — 1 9 O O , é c r i v a i n i r I a ri d a i s ; J i in M o r r i s o ri 1 9 4 3 — 1 9 7’ 1 ,
chanteur de rock américain.
— O u ah ! s' excl a in e L u c i e. Vo u s c o n ri at s s e z I es d ates de
nais s ance et de wort de beaucoup de monde comme pa ? Cochez la bonne réponse.

— Seulement de quelques personnage s célebre s. Je peux vous


Pourquoi Ie chauffeur de taxi demande—I—il : « On voulez—vous
emmener au Pere —Lachaise, st vous vouJez. alter ? »
Non, dit Lucie, je crois qu'on va desce ndre la. Err réalité, on a 11 ne connait pas bien Paris.
sait to ujours pas ou at ler. b I I vent savoir on coriduire ses che rits.
— C'est pour pa que je vous propos at s cette destination. c II refuse de coriduire rios deux arriis.
— Pourquoi ? Je ne compre nds pas, dit Lucie.
2 Pourquoi Max et Lucie ne réporident—its pas au chauffeu r ?
Le c h a uffe u r r at e n Iit et s e gare I e I o n g d u trott o ir. I I s e
a 11s troiiverit sa question stupide.
retourne et regarde Yes deux adolescents :
b Us ne saverit pas ou aHer.
— M ol iére, Proust, Oscar Wil de et J inn M o rrison rie se so nt
c Its lu i font une blague.
p e ut — étre p as re n c o rit ré s de I e u r vivant. M a i s a ujou rd' h u i , i 1s
so at to u s les quatre ente rrés d ans Ie 2 () arro n d i sse me nt de Pourquoi Lucie veut—elle desceodre dv taxi ?
Paris, au cimetiére du Pere—Lachaise. a Le chauffeur conduit rrial.
Max et Lucie restent bouche bée ! b Elle a real au cceur.
— Commerit vo as savez tort pa ? c 11s sont suffls amine nt Join du port de l’Arserial.
— On peut étre chauffeur de taxi et avoir on pe It de culture ! 4 Pourquoi Ie chauffeur propose—I-il de Yes conduire au
— C'est p as ce que j'ai vo It I ri dire, s'excuse Luc ie. Pere Lachalse ?
Max demande au chauffeur de répéter les dates anniversaires. a Parce qu'il a un rendez-vous la—bas.
Les années de déces des qriatre personnages correspondent aux b 11 choisit cette destination as hasard.
chiffres indiqués sur la feuille : 1922, 19OO, 1673 et 1971 ! c Parce que les quatre personriages célebres dont parlent Max
— Les re ct arig I e s re pré se nte nt c e rta i ri e in e nt les to mbes de et Lucie y sont enterrés.
ces gens —la, dit tax.
D'apres Fax, que signifierit Jes chiffres stir la feciille de l'enveloppe ?
— Les IIé c he s d o we nt in d i q u e r les d i rect I o n s a p re n d re,
a Les aririées de décés dC2S peTsonnages celebres.
corit i nue Lucie.
b Les années de riaissance de ses grands-parents.
— Dari s ce c as, l e s c h if tres éc rits s It r les II ec hes s ig n if i e nt
c Le nombre de visiteurs du cimetiére.
peat—étre ie nombre de metres ou de pas a parcourir..
— . pour arriver jusqu'a une autre tom be et trouver... quoi ?
C’est justement la question, conclue ie chauffeur. Alors, je
vous emméne as Pere—Lachaise ?
— Le plus vite possible ! réporident en méme temps Lucie et Max.
Pour chaque personnage, trouvez l’affirmation fausse.

1 Le chauffeur de taxi Les homophones


a I I coririait les dates de riaissarice des pers orinages célebres Les homophones sont des mots qui se pronoricerit de la méme fag on
cités darts Ie papier de l'enveloppe. mais qui ont une orthographe et uri sens différents.
b it reste sileric ie cx pendant tout Ie trajet. mére (la maman de Lucie) mer (la mer IIéditerranée)
c 11 propose de coriduire M ax et Lucie as c imetieré dv maire (Ie maire de la commune)
Pere—Lachaise.
2 Lucie Replaces les homophones suivants a la bonne place.
a Elle rie croit pas que ie M aria soit uri membre des services
secrets.
b Elle sait gut sont les persorinages célébres de l'eriveloppe. Lucie réve parfois qu’elle se prome rie stir on .......... et que Ie en d'uri
c Elle vent abaridonner l'aventure et retourner chez elle. la fart transpirer par tons les .......... de sa peau.
3 Max paire, perds, pére.
a I] propose d'ouvrir l'enveloppe. Mon .......... pose sur la table urie .......... d’as et me dit : « To .......... la
b !1 perise que l'homme a l'eriveloppe est uri terroriste. part ie. »
c I I veut alter Ie plus vite possible as Pere—Lachaise. maitre, mettre, metres.
Max dit a Lucie : ‹• 11 taut .......... l'eriveloppe a ia poubelle, mais je
vois uri chien sans sort ........ . qui passe a quelques .......... de moi ! »
4 |a|ata|as.
Associez!ess ituationssuivantesauxphrasesproposé es. N1ax est st .......... qu’i1 veut rester .........., dans Ie taxi, et dormir
toute .......... jo urnée. Il .......... bien mérité.
I Us gar$ori regarde uri plan du métro.
vert, verre, ver.
2 Q vn couple fart signe a uri taxi dans la roe.
Uri énorme .......... tout .......... grirripe ie long de mon .......... !
3 LJne dame agée parle avec l'employé du gu ichet darts Ie métro.
c’est, ses, sais, sait.
4 in how me s'adresse as serveur d'un restaurant, un billet de
Lucie .......... que .......... darigererix d’ouvrir l'enveloppe. .......... mains
banque a la main.
tremblent quarid elle voit les ind ications. Max lv i dit : ‹ Je .......... ce
s Le chauffeur de taxi questionne sort client.
qu’elles représeriterit. »
o LJne jeune few me parle a la serveuse d'uri café tout en
regardant la carte.

a « L'additiori, 5'il vous plait ! •›


b ‹• La ligrie 1 jusqu’a Etoile, psis ligne 6 vets Nation ›
c « Une salade aux rioix et uri café, s'il vous plait ›
d • Hep, taxi ! » OIL.U Vous étes dans un taxi a Paris. Le chauffeur vous demande d'ou vous
venez, ce que vous faites en France, combien de temps vous restez et
e •• on voulez-vous aller ? •
ce que vous comptez visiter. Imaginez votre réponse.
f ‹• Combieri coute un carnet de tickets ? °°
Georges Eugéne Haussmann (1809—1891) et Fulgence Bienveniie
Les personnalités du cimetiére (1852—1936)

da Pere—Lnchnise Ces deux no ins sont liés a 1’histoire de Paris. A partir de 18.5?,
Haussmann transforme la capitale : destruction des vieux quartiers,
Le cimetiére du Pére—Lachaise est connu pour les personnages création de larges avenues et de grandes places (comme la (olacc'
Charles—de—Gaulle d'oii portent les Champs—Elysées), aménagemeia t
célébres de toutes les époques qui y sont enterrés : on y trouve par
des jardins (dont les Buttes—Chaumont), modernisation des égouts.
exemple les peintres Delacroix, Cailleb otte et Modigliani, les
Le style haussmannien a sensib lenient marqué les rues et let
musiciens Chopin, Bellini et Rossini, ou encore les écrivains Colette,
immeuliles cle Paris.
Balzac et Apollinaire.
Vous connaissez Fulgence Bienveniie : i1 est considéré commo « Ie
Mais d’autres noms évoquent aussi des destins extraordinaires.
pére ›• du métro parisien. Dernier d'une famille de treize enfants, il .i
été amputé d'un bras a l'age de 29 ans. Cet ingénieur a aussi tr‹av.i il ID
dans les chemins de ter, et i1 a joué un role capital c4 ‹i ia s
l’aménagement de Paris (rues, éclairage, canaux. . .). 11 n'a [o ris s.i
retraite qu'a 80 ans !

Georges Méliés (1861—1938)


On dit parfois que c'est le pére des trucages de cinéiiia. Ceorges
Méliés est en effet Ie premier a faire des films avec des acteurs, des
décors. .. et d€'S éffets spéciaux ! 11 crée méme une société dc
p re duction trés
moderne, ‹ Star Film », ainsi
qu'un studio. A partir de 1897, Devinez quel persorinage du dossier aurait pu prononcer chacune
des phrases suivantes.
i1 tourne plus de 500 films qui
durent de 1 a 40 minutes : Ie
plus célébres est sans doute Le
soi/ndc dD?1S In tune tourné en 2 « La greriooille get veut se faire aussi grosse que ie bceuf. Voila
uri bori titre ! •›
1902. Mais Ie cinéma n a pas
3 ‹' Je crois que Paris portera encore rna marque dans deux cents
encore Ie succés d'aujourd'hui
aris. '
et Mélies, ruirié, arréte ses
4 ‹ Urie caméra et quelques trucages suffiserit pour irivente r u ri
activité s en 1913. 11 est riouveau coude '
reconnu aujourd'hui comme
1'un des plus grands noms de
1’histoire du cinéma.
Le Pére-Lachaise n’est pas Ie seul cimetiére parisien. En effectuant
une recherche sur Internet a partir de I’expression ‹• cimetiéres de
Paris », connectez-vous au site de la mairie de Paris.
I‘ Combien y a-t-il de cimetiéres a Paris ?
k Dans la rubrique •• Histoire et patrimoine », trouvez quels sont
Jean-Fran ois Champollion (1790—1832)
US m‹3tiers specifiques qu’on y trouve.
Que1 est cet Strange personnage qui, dit—on, sait parler latin, hébreu F Dans la rubrique des cimetiéres intra-muros (dans Paris), vous
et arabe a 14 ans ? Un éléve surdoué sans doute ! Mais Champollion tFOUV£3F£?Z Ie Clmetiére de Montparnasse.
a Quand a-t-il ouvert ses portes ?
ne s'arréte pas la. II se lance dans l'étude d'autres langues orientates
b André Citroen y est enterré dans la 2 e division. Qui était-il ?
et anc ienne s a fin de réaliser son réve : percer le secret des k Le cimetiére de Passy est également situé dans Paris.
hiérogly(›1ies, 1'écriture des E gyptiens ! II étudie notamment a Consultez son plan. Quelle est la station de métro la plus
l'extraordinaire pierre de Rosette. Sur cette pierre, découverte en proche ?
b QueI acteur fran$ais ayant joué ie role de Don Camillo est
Egypte en 1799, est gravé en trois langues (dont les hiéroglyphes) un
enterré dans la 1 ér • division ?
texte datant de 196 avant Jésus—Christ ! Aprés de nombreuses années k Le cimetiére d’Ivry est situé hors de Paris (extra-muros).
de recherches, Champollion réussit a déchiffrer les hiéroglyphes en a Combien compte-t-il d’arbres ?
1822. b De quelles nationalités sont les soldats qui y sont enterrés ?
Les expressions et les mots servants sont utilisés dans le chapitre 6.
A l’aide des définitions, replacez les mots dans la grille.

se garer se faufiler froissé indices bouquet fouiller


éclatante on vous doit combien défauts

Lucie déteste quarid sa mere Ie fart darts ses affaires.


Si Max était amoureux de Lucie, peat-étre fur en offrirait—il uri avec
des herrs différentes.
LOrsqu'urie pierre est éclairée avec use forte lurriiéTé, e$lé QéU1
parlors ie deveriir.
II ri’est pas toujours facile pour des véios de Ie faire dans la circulation.
Max et Lucie utilisent cette phrase pour payer 4
true addition as restaurant ou
pour payer tin taxi.
Uri papier Ie devient qtiand '
on Ie garde trop longtemps
darts sa poche.
Nous y voila, dit Ie chauffeur de taxi.
I I gare Ie taxi devant l'e ntrée du c imetiére d u Pe re— Lach a ise.
— On vous doit combien ?
— Rien ! C’est gratu it. $a in'a fart p laisir de vous aider. MaIs st
v o u s t r o rive z u n Ir é s o r, p e n s e z a in o i . D é p é c h e z —v o u s , I e
cimetiére ter me a dix—fruit heures Ie samedi. Mais j'y perise, j’ai peat—
étre quelque chose pour vous.
Le c h asffeu r se pe nche vers I a boite a gants de sa vo iture. I I
1'o rivre et loft il Ie a I'i nté rie ur. I I e n s ort un p apter froissé.
Le plan du ci metiére. Un client l’a oublié l'autre jo ur dans
T 11s ardent les polic ters a retrouver ma voiture. Je garde tout, c’est mon grand défaut. Mais pour une
9
la trace des voleurs. lots, eela va rendre service a quelqu'un.
Comme tort ie moride, Max en a des — Mere I beaucoup ! Vous étes trés syrup a, et vo us étes u n
pet its et, peat—étre aussi, des grands.
super guI de ! d I sent Max et Lucie en descendant de la vo ItUSA.
Mais il a siirtout beaucoup de qti alltés.
9 Cela demande parfois beaucoup de A tors qu'i Is vont franch I r les grilles du c i meti ere, Ie gardien
terrips a Paris, car il est difflc i ie de les arréte.
trouver des places de parking fibres.
— Désolé, on ter me. Revenez demain.
— S' il vo as p I art, ins iste Luc ie. N o us avoris que I que c hose
d'urgent a faire.
— Urgent ? répete ie gardien en riant. Je ne vois pas ce qu'i1 y
a d'urgent a faire d ans riri ci met i ére !
Une sonnerie de téléphone retentit dans la maison dii gard ten,
située pres de l’entrée.
— Pas moyen d'étre tranqu the, s'énerve ie gard ten en all ant
répondre.
Pendant que ie gardien Ie ur to urne ie d os, M ax et Lucie en
profitent pour se faufiler entre Yes grilles encore ouvertes et se
cacher derriére la premiere tom be. Deux in iriutes p Ins tard, Ie
gardieri ré apparait. I I we perise déjé pl Its aux de ux adolescents et
ter me les portes. flax et Lucie se ret roiive rit enterrés dans Ie
c i met i ere. La sit u at i ori est id éale pour cherche r trariqu il Ienne rit.

A l'aide dv plan donné par Ie c hauffeur de taxi, flax repere les


d iffé re ri te s tom bes. 11 marque les ind nations sur l’enveloppe,
p ri is d éch me ce lie—ci en deux.
— Ti errs ! d it— il a Lucie. To t'occripes d e NI orriso n et de Mof ie re.
Je prends Proust et Wi I de. On se retroiive ici dans virigt minutes,
ok ?
— D' ac co rd, rép o n d Liz cie e n se de in an d ant ce qu’ its vo nt
motive r grace a ces étra ri ge s in dices.
Le s de u x am i s p arte nt c h ac u n de I e ur c oté. 11 s in arc he nt
Ieatewe rit, en se cach ant de rrie re Yes to mbes et e o essayant de
faire ie moiris de brit it possible : ie gardien est peut—étre encore
torit proche.
Tout a coup, Ie portable de Lucie se met a sonner. Elle réporid
ie pl U 5 Vite poss i ble et parle a vo ix basse :
— AHo ? l4aman ! J’allais t'appeler... Si, st, c’est vrai... Je parle Petrucc rant. Elle connait ce nom. C'est celu i d'un pianiste de jazz.
do uce me nt ? C’ est que... n o u s so in rues an ci né in a, e n p Ie me EHe regarde plus atte ntive me nt la tom be : ו 1962—19 99 °›.

s é an ce. Je ne pe ux p as p arle r d avant age a c a use d u fi lan, tu — J'ai tro uvé !


comprends.... Non, je vais diner chez M ax. Je serai a la maison Elle note Ie nom de Petrucciani sur Ie plan.
vers neuf heures, d’accord ?... A tout a 1'heure. E He fa it e ris ii ite I a in é in e c h o s e a p a rt ir d e I a t o in b e d e
Luc ie éteint son portable et se dirige ve rs la to mbe de J inn M o I ie re. Cette to is —c i, c' est b e auco up plus lac i Ie : I a to in be
Morrison. C'est impress ion nant de marcher toute se me a ii in il ieu marqu ée 1021 est juste a coté. 11 s'agit de ce lie de Jean de La
d’un c imet iere. Certaine s to mbes se mble rit tres vieil Jes, presque Fontaine, cel u i gut a écrit Yes fame uses Feb Yes.
a b an don n ée s. I I y en a de trés grandes qui ressem blent a des Lucie revient ensuite au point de rendez—vous. Max est déja la.
— La Fontaine et Petru cc i ari i , a n n once fié reme nt Lu c ie, u n
monuments, d’autres sont beaucoup plus petites, beaucou p plus
simp les. Et ce lie de Morris on, c'est I aquel Ie ? Ce in on riment de
poéte et un musicien.
— Z av a It a e t D e I a c r o i x , I u i r é p o ri d M ax, ri ri c I ow n e I ii ri
p ierres noI res ? Elle s'approche. Non ! Cette be lie chapelle ? Non !
Lu cie qu itte I'all ée et s'ave nture e ritre 1 es tom bes. EHe e n vo it une peintre.
11s rapprochent les deux parties du plan sur lesquelle s chacu ii
plus simple que les autres, avec des fleurs fraiches posées
a inscrit les n ores qu'il a tro uvés.
dessris. EHe s'avance : J a rues Dor gl as MoPrison. El Ie y est.
Elle regarde le papier que fur a donrié Nlax .

bs|qaroM 2qVq±tq Uq9ontmne Petrura|Rn:


E lie in arc he e n co mptant Ie no in b re de p as i ndiqu é sur I a
Les deux amis restent de longues minutes a chercher ce qtie
feuille, 2T5 puts 89. Elle s'arréte ensuite, et se penche sur chaque
pe uve nt s i gri if i e r I es c h iffre s i n d i q u é s e n Ire p ate nth e s e s.
tom be a la recherche du nom bre 1962. Elle s'agenouille parfois
Soudain, h4 ax a urie idée.
pour déchiffrer les dates presque effacé es. Une tom be a la pierre
tres b lanc he attire son regard. Elle s’approche et lit : M iche I
— C'est pe ut- étre la p ositio n d'u ne I ettre. PaF' exe nip ie : I a
troisiéme lettre de La Fontaine est Ie F, la deuxiéme de Zavatta,
ie A ; la huitiéme de Delacroix, ie I et la premiére de etrucciani,
le P.
— F, A, I, P, résume Lucie. Ce n'est pas beaucoup plus clair.
M ax et Lucie essaient a tors de IOF me r des in ots avec ces
quatre lettres : FAI P, P I FA, F I PA, API F, PIAF...
— PIAF ! s'écrie Lucie, c'était une chanteuse ! Tu crois que...
Elle se jette sur Ie plan.
— La : Edith Piaf ! Elle aussi est enterrée au Pére-Lachaise.
Lucie et Max courent dans les at Jées en diTection de la tom be
d’Edith Piaf. 11s n'ont pas de real a la trouver : Ie marbre noir est
éclatant et envahi de fleurs, com me st la chanteuse était morte il
y a quelques jours.
— Elle a encore beaucoup de fans, on dirait, dit Lucie.
— 11 nous reste plus qu'a chercher autouT de sa tom be.
M ax et Lucie souléve nt les fleurs en essayant de ne pas les
abimer. Lucie attrape un énol’me bouquet d€! F’OSes eveloppé dans
du papier. Elle Ie soul éve pour regarder en dessous. Le bouquet
I ui échappe des mains et tom be sur ie so1. Le papier s'est déchiré.
— I I s e n mette n t d u p ap ie r auto ur de ces roses... M a is...
Qu'est—ce que c’est que pa ? On dIrait de la toile.
Max s'approche. Ensemble, ils déroulent ie morceau de toile et
découvrent pet it a pet it la peinture d'un tableau.
— Tu crois que c'est ce qu’on cherche ? demande Max.
Une voix d'homme fur répond :
— Les mains en I'air, ne bougez plus !
Complétez les questions en utilisant gut, comment, on, pourquoi, que.
Associez ensuite chaque question a sa réponse.
DCL.- Dites st les affirmations suivantes sont vraies (V) on fausses (F).
Corrigez les affirmations fausses. Questions
1 .................... ie taxi se gate—t—il ?
1 Lucie trouve la tom be de NIof iére. 2 .................... N4ax et Lucie vorit—us as cimetiere dv Pere—Lachaise ?
3 .................... les accueillerit a l'entrée du clmetiere ?
4 .................... Ie gardieri retourrie—I—il vers sa maisori ?
S .................... Lucie sait—elle qu' il s’ag1t de la tom be qu'elle cherche ?
3 Lucie trouve cii tableau dans urie poubelle.
O .................... trouvent nos deux airiis dans Ie bouquet de fleurs ?
4 Le gardieri ne les voit pas eritrer darts Ie cirrietiére.
Réponses

5 Its penserit qu'iIs dowent chercher autour de la tom be a Pour découvri r ce que cache Ie plan troiivé darts l'enveloppe.
de Zavatta. b Car la date de riaissance correspo rid avec les inscriptions de la
fen i Ie de papier.
6 Le chauffe or de taxi donne a rios deux amis on plan c Devarit Ie c iiiietiére dv Pere—Lachaise.
dv c imetiere. d Un tableau.
e Le gardieri du cimetiere.
7 Lorsque Lucie et flax arrivent au cimetie re, ceIui—ci I Parce qrie sort té léphone sorine.
est fermé.

Remettez les affirmations de l’exercice précé dent dans l’ordre


chronologique de l’histoire. Complétez la biographie de Moliere a l’aide des mots proposés.

1 a célebTéS b eririiiyeox c chers


2 a théatre b norri c métier
3 a pays b rue c ville
4 a iriais b car c ators
Les phrases interrogatives peuverit étre introduites par des mots—outils
(prorioms or adve rbes) go i de's1grierit l’objet de la question. Celui—ci peut S a films b photos c pieces
étre 6 a attaques b fé I ic itatioris c aventures

use persoririe. Qui es -tu ? une chose. Que cherches—to ? 7 a tot b tard c apres

on lieu. On es -tu ? one manure. Comment es-to sorti ? h4oliere est l'uri des auteiirs dram atiques et comédieris Granqa is les
une raison. Pourquoi es-th parti ? plus (1) .................... . Ii est rié a Paris en 1622. Son vrai (Z)
est Jean—Baptiste Poqueliri. En 1043, aprés ses études, il décide de
devenir comédien. Aprés des débrits difficiles, il quitte Paris et Vocabulaire
parcoiirt la province avec one troupe de théatre pour jocier des piéces
de ville en (3) .................... . C'est a cette époque qu’il se rriet a écrire. TPouvéz les mots dans Ie ‹• serpent de lettres » en vous aidant des
Lorsqu’il revierit a Paris, Ie there dii rot l’installe darts un théatre. I I indications données. Attention aux lettres en trop !
conriait (4) .................... beaucoup de succes. En qriinze ans, il écrit et
monte plus de trente piéces (Les Précieuses ridicules, L’Ecole des
femmes, Tortu e, Dow Juon, be Misorithrope, L’Avare, ...). Les
(S) .................... de bloliere décriverit saris concession les défauts de la
société et de ses coritemporains. Ainsi, malgré Ie succés, Mollére doit
faire face a de nombreuses (O) .................... sur ses textes. Err 167’3, il
est pris d'us trial arse en jouarit Le Nla lode imoginoire. 11 meart chez lii i
quelq res heures plus (7) . 1 Réagir brusque me nt apres avoir été stirpris :
2 Urie arme qui tire des balles :
3 Se faire arréter par la police (familier) :
4 Se dit de quelqu’uri or de quelqtie chose de trés con riu -

S Une labor de raconter u n éveriemerit '


DIAL.U Qui prononce a votre avis la derniére phrase du chapitre ? Imagines ce
qui se passe dans Ie dernier chapitre de l’histoire. 6 Dit avec conviction
T I.I n groupe de personries rrialhonriétes
8 Des dangers :
DC-L.U Les indices ci—dessous donnent les pistes de trois scénarios possibles
9 La ruse de N4ax pout echapper aux hommes en blouson :
pour Ie dernier chapitre. Ecrivez Ie résumé de chacun d'eux. A vous de
décider de la fin...

Qui a parlé ? Pourquoi ? Que se passe-t-il ? Rassemblez les lettres en trop et découvrez un indice sur le tableau
1 Le chauffeUT 11 pensait bien que ax et Lucie que Lucie a trouvé enroute dans Ie papier du bouquet de fleurs.
de taxi N4ax et Lucie l 'assommerit.
trouveraierit de
l'argerit.
2 L'homme a Max et Lucie ont 11 attache Max C’est un tableau du peintre Jean—Franqois Millet. II a été peint en
l'enveloppe déchlffré Ie message et Lucie. 1858 et représente decix paysans gem se recueillerit dans leur champ
de l’enveloppe pour lvi. a l'héUTé de la priére de l’angélus. I I est exposé au Musée d'Orsay a
Paris. Que fait—il alors dans Ie cimetiére du pére Lachaise, caché
I I prend NIax et Lucie Les deux amis s'enfuient
dans tin bouquet de fieurs ?
pour des voles rs. dans ie c imetiere.
Max et Luc ie sursaute nt. IIs se ret cement. Deux he mines e n
b I ous on p o i rite nt Ieur p i sto I e t d a n s Ieur d i re ction. Max I es
reconnait tout de suite : ce sont cetix gut les suivent depuis le
parc des Buttes—Chaumont !
— Eh bien ! On peut dire que vous nous avez fart courir.
— Attention ! répond Max. Nous travailloris pour les services
secrets fr arid at s. Nos col légues vorit bientot arriver.
Les deux hommes éclatent de rire. Le plus grand lui répond :
— Tres drole. Et moi, je suis Ie prési dent de la République et je
te présente mon ami, la reine d'AngIeterre !
— J e ne p I ais ante p as. Vo us ne con n a issez pe cit— étre p as
MonsIeur TIno et ie Mann ? I Is sont ..
Le plus grand des deux hommes s'approche de Max et fur met
sa carte d'Inspecteur de police devant les yeux.
Nous les connaissons tres bien et nous les avoris également — J at vri rin report age é la té I évisiori la sesame dern iére,
arrétés. Vos « co I i egues › vo us at ten de nt mé me au Qu at des répond Max. C'est un tableau célebre qui a été volé. Mais je ne
Orfévres, a la Crim. AI lez, on vous embarque ! me souvIens plus de son nom.
Max regarde Lucie d' un air in quiet. Le Quai des Orfevres, c'est Max racorite a son torir tout ce qui s'est passé depuis Ie début
Ie siege de I a p ol ice ju d I c rame a Paris. La Crim , c’est I a b rigade de I'ap res— in idi. L'inspecte ur l'é coute avec autant d'attention. La
crimine I ie, autant dire que ce sont des policiers gin s’occupent de V é rs i O II d e M a x e s t i d e n t i q ii e a c e I I e d e L u c i e. L'i n s pe c te u r
grosses affaires... demaride a nos de ux am is :
LJ ne he ii re plu s Iard, Lu c i e e st as s i s e d ans I e b ure as de — Oue savez—vo us de MonsIeUT Tirio et dli Marm ?
I i n s p e c Ie u r a u Ir o i s i é in e é Ia g e d u Qu a i d e s O r fe v r e s . Seuleiiie nt ce que no us venous de vous dire, déc I a rent Max
L'irispecteur a placé devant lu i Ie tableau gut était enroulé dans ie et Lucie.
bouquet de fleurs. Le teJéphorie pI acé sur ie bureau se met a sourer. L'inspecteur
— Tu sais ce que c'est, pa ? liii demande—I—il. rép orid.
— C’est ii n tableau, rép orid Lu cie. — Oui... D’accord... To es sG r ? ...Parfa it..
— Bravo ! MaIs enco re. 11 racc roe he et regarde Max et Luc ie e ri so uriant .
Lu c i e ne s ait p as. L'i rispecte ii r I u i e xp I iq ue qu' il s'agit d'u n — Vo ii s ave z d e I a c h a n c e Io u s l e s d e iJ x . Le s a u Ire s o n I
tab lean tres cé ie bre, L’Angélus peint par Mi !I et. I I a été volé I a affirmé ne pas vous conriaitre.
sesame derniere aft h4usée d'Orsay a Paris. Lucie d it qu’elle ne — Ouels ‹ autres •› ? demaride Max.
1'avait jamais vu avant ce som. L’ i n s p e c te ii r I e u r e x p I i q u e q u e 1’h o in in e a 1’ e nve I o p p e ,
Darts ce cas, que faisais—tu avec ce tableau entre les mains M o n s i e u r T l ri o e 1 1 e M a r i n a p p a rt i e ri ri e n I a u n e b a n d e d e
pres de la tom be d’Edith Piaf ? trafiquants d’ceuvres d'art. Ce sont eux gin ont volé L ' rigélus de
Lucie racorite toute 1'histoire. Ei ie c ommeric e avec l'homme a Mi JJet la sesame derniere.

l’enveloppe darts Ie parc des Buttes —Chaumont et termine avec la — M ais p o urqu o i 1' h o in me a l'e rive I oppe in’a—I — i I p an é des
tom be d'E d ith P iaf au c imetié re du P ére — Lach arse. L'i uspecte u r St2Fvices se crets fran $ at s? demande M ax.
— Tu aura is rec he rché IIoris ie ur Tin o s'il t’avait d it I a vérité ?
é c o u te atte nt we in e n t. 11 fart e n s u ite e n tre r NI ax d a n s s o n
E n p arlarit d es services secrets, i I esp érait I’imp ression rie r. I I a
bureau, fur montre Ie tableau et Int pose la méme question qu'a
réussi.
Lucie.
4ax s’excuse et d it qu'ils orit été stupi des.
— Tu sais ce qrie c'est, pa ?
— AU ContraiTe, répond l'inspecteur, vous avez mené une belle
enquéte. Sans vous, nous n'aurions peut—étre jamais retrouvé Ie
tableau. Vous no us avez bien fait courir aussi. Mais po urquo I
avez—vous pris tons ces risques ?
M ax et LU C ie se regaTde nt. Pourqu o i ? I l s ne Ie save nt p as
vraiment.
— Je crois q ue M ax vo ulait in'impress to nner, d it Luc ie en
sourt ant.
— Tu exagéres ! C’est toi qui disais qu'i! faisait trop beau pour
alter au cinéma...
— Disons ators qu’on voulaIt to us les deux vivre quelque chose
quit sort de I'ordinaire ! On peut partir maIntenant ?
— Vous étes mineurs. On va demander a vos parents de venir
vous che rc her. Encore une question tout de méme : comment
avez—vous fart pour disparaitre a la station Chatelet-Les Halles ?
Max regarde fiérement Lucie.
— C'est tin vieux triic d'agent secret, dit—i I. On appel ie qa ie
coup du photomaton...
4 Ce sont des policiers qui s’occuperit de ........................ affaires.
(seorsgs)
DKk.+ Cochez la bonne réponse. S Vons avez mené one ........................ eri uete. (leb!e).
6 C'est on .......... . true d'agerit secret. (xvuei).
1 Que pointent les deux homrries a Leur carte de police.
7 Max et Lucie dowent attendre leurs parents car ils sont
vers Lucie et Max ? b LJn boribon.
(srueriim)
Leur pistolet.
8 L'homme a l'eriveloppe a dit qu'il travaillait pour les services
2 @u’appe1le-t—on Ie Quai des Orfevres ? a LJri port. (rcesste)
Lin cimetiére.
Le siege de la po lice. L’inspecteiir iriterroge Max. Retrouvez les questions qu’iI fur pose en
mettant les mots dans Ie bon ordre.
3 On l'irispecteur iriterroge—I—il a Darts sort bureau.
Lucie et hlax ? b Darts on jardiri.
c As cinéma.
2 |enveoppe?/a/vous/donné/Qui
4 Qu'a volé la baride de trafiquarits ? a
b U ri bo iiquet de fleurs.
tin tableau. 3 station Chatelet ? Z Co mment / a la Z disparti 7 avez—vous

S Avec get J'inspecteur parle—t-iJ as a Le chau ffe or de taxi.


4 tableau ? Z ce Z Corinaissez—vo us
téléphone? b Uri collegue.
c Le pere de Lucie.
5 dans ¼ cimetiére ? / faisiez—vous / 9rie / Ie
6 Qui va veriir chercher nos deux amis ? a
b Let rs parents.
Le II ariri.

Vérifiez les questions en écoutant l’enregistrement.

Retrouvez les adjectifs qui qualifient les mots soulignés en remettant Ecoutez les réponses de Max et associez-les aux questions
les lettres dans 1’ordre. correspondantes.

1 Le plus ........................ des deux homrries s'approche de 14ax. (ragdn)


2 NIax regarde Lucie d’uri air ........................ . (tqriileu)
3 C’est uri tableau .... . . get a été volé. (bélerce)
Les anagrammes
Ce sont des mots composts des mémes lettres, mais darts un ordre Le tableau volé
différent. L’AngéIus de Jean-Franpois Millet est exposé au Musée d’Orsay a
Exemple : mai (ie cinquiéme mots de l’année) Z ami (Ie copain) Paris. En tapant « Musée d’Orsay » sur un moteur de recherche,
connectez-vous au site du musée.
Cherchez les réponses aux questions dans les différentes rubriques
Trouvez les anagrammes en vous aidant des lettres et des definitions. du site.
b Dans quels batiments est installé ie musée ?
in, e, r, a
k' En quelle année a-t-il ouvert ses portes ?
a Elle sert pos r faire avaricer une barque. b Quelle est sa fréquentation annuelle ?
b Les deux policiers la pointerit vers Max et Lucie au début dv k' Le musée abrite-t-il seulement des peintures ?
chapitre 7. k' Cherchez une représentation de L’AngéIus dans les collections de
c Se dit de quelque chose qui a un gout désagréable. peintures.
k Citez ie nom d’une sculpture qui y est exposée.
d Urie petite étendue d’eau.
I' Quelles sont les expositions en cours ?
i, c, n, e, h k' Quelle est l’adresse du musée ?
a II aboie. k' Quelle station de métro faut-il emprunter pour accéder au musée ?
k' QueI jour de la semaine ie musée est-il fermé ?

i,r, enp,s,ai
a Un habitant de Paris.
b lJri médicamerit gut soulage lms maux de tétes.

u, i, e , c, I
a C'est la meilleure amie de Max. .
b Comme celle mais pour uri garq on. .

i, s, p, r, a
a On peut y visited ID métro et les catacombes et y croiser Lucie
et Max. .
b Quatre et six Ie sont, mais trois et rieuf ne ie sont pas.

c Uri pen de conjugaisori : passé simple, ¶ ersonrie dv sirigulier,


verbe du premier groupe. .
d Encore un passé st mple, é persorine du singul ier, poUT tln
ver be get signifie ospirer jo ar ie riez. .
F N A L F N A L

Devinez quel (s) personnage (s) se cache(nt) derriére chaque Ecrivez une phrase sur chacun des personnages (un trait de caractére,
affirmation. un détail physique ou d'apparence, une action qu’iI accomplit...).

I I joue de la miisiqiie SUB Ie quai du métro. 1 Le Main.


2 Its poursuivent Max et Lucie dans Ie métro. Z La vieille dame dans le métro.
I! va souvent an Café de l’Ecluse. 3 Le chauffeur de taxi.
11s surprennent flax et Lucie dans un cimetiére. 4 Lucie.
5a mére J’appelle sur son portable. 5 L’homme a l’enveloppe.
11s font part ie d’une bande de trafiquants. O Les policiers en blouson.
I I décide d’ouvrir l’enveloppe dans Ie taxi. 7 Max.
Elle pose une question aux voyageurs du métTo.
9 II a un plan du cimetiére dU Pike—Lachaise. Complétez les phrases.
IO I I est blessé et donne une enveloppe a Max.
1 Max attend Lucie dans ie .................... des Buttes—Chaumont. II
l'appelle avec son
Répondez aux questions et découvrez Ie mot mystérieux. Z Pour alter a la .................... Argentine, Max et Lucie prennent Ie

3 Max et Lucie courent darts les .................... du métro. Puts its se


dans un photomaton.
4 Lorsqu’ils arrivent au .................... de l'ATsenal, les deux amis
marcherit ie long du .
5 Dans Ie café, la .................... prend leur commande. Max obsei v‹ l‹
autres .................... assis dans la salle.
G Pour échapper au Mann, les deux amis content darts un
. qui démarre aussitot. Le .................... leur demande c›Li
its veulent alter.
7 Lucie est impressionnée de marcher toute dans un
9 au milieu des to mbes.
8 L’inspecteur de .................. leur apprend Ie nom du
a été volé : I 'driQélus.
LIRE ET S’ENTRAÎNER
Niveau Deux A2

Poursuite Nicolas Gerrier

dans
SOLUTIONS
Paris
Page 6 – exercice 1 Je m’appelle Lucie. J’ai beaucoup de
1a 2i 3d 4e 5h 6b 7c 8f points communs avec Max : j’ai le
9g même âge, j’habite dans la même rue
et je suis dans la même classe que lui.
Chapitre 1 Moi aussi, j’aime lire, mais surtout
des récits de voyages autour du
Page 13 – exercice 1 monde. Par contre, je suis brune, j’ai
1F 2F 3V 4F 5V 6F 7V 8F les yeux marron, et j’ai deux frères
9 F 10 V qui sont plus grands que moi. Ce que
je préfère par-dessus tout, c’est le
Page 13 – exercice 2 sport ! Je pratique le judo et le tennis.
Piste 3 – Transcriptionde Mes copines disent que je n’arrête
l’enregistrement pas de bouger. Ça vient peut-être de
Je m’appelle Max et j’ai quinze ans. Je ma mère : elle est prof de gym !
suis en classe de seconde au lycée
1 Max et Lucie. Ils habitent tous les
Henri Bergson, à Paris. J’habite rue du
deux rue du Plateau, près du Parc
Plateau, juste à côté du parc des
des Buttes-Chaumont.
Buttes-Chaumont. Je suis blond et j’ai
2 Max et Lucie. Ils ont quinze ans
les yeux bleus. Ma petite sœur s’appelle
tous les deux.
Marie, elle a dix ans. Mes occupations
3 Max. Il est passionné de cinéma et
préférées sont le cinéma et la lecture.
d’histoires policières.
Je lis aussi bien des bandes dessinées
4 Lucie. Elle est très sportive et
que des romans, et j’aime surtout les
pratique le judo.
histoires policières. Mais attention ! Ça
5 Lucie. Elle a deux frères plus âgés
ne veut pas dire que je reste toute la
qu’elle.
journée plongé dans des bouquins !
6 Max et Lucie. Lire est une des
D’ailleurs, avec Lucie, ma meilleure
activités préférées de Max. Lucie
amie, ce serait impossible !
aime lire quant à elle des romans
d’aventures.

CIDEB
S O L U T I O N S

Page 15 – exercice 1 2 Argentine est le nom d’une station


Je ne sais pas quoi faire tout seul. Il de métro. V
n’y a rien à faire ici. Si papa m’avait 3 Max rencontrent des touristes
prêté son livre, je pourrais au moins espagnols dans le métro. V
le lire. Tiens, je connais ce garçon là- 4 L’arc de triomphe est à proximité
bas. Je devrais peut-être aller lui de la station Argentine. V
parler. Il est plus petit que moi mais 5 Les deux amis sont assis sur des
cela ne fait rien, nous pouvons strapontins. V
devenir amis. Ah ! Mon téléphone 6 Monsieur Tino joue de la
portable qui sonne ! « Allô ! Oui, ça va. trompette. F
Qu’est-ce que tu fais ? Nous allons au 7 Le musicien prend l’enveloppe. F
cinéma alors ? D’accord. Je t’attends 8 Lucie attrape la guitare et s’enfuit
dans le parc. Au revoir. » en courant. F

Page 15 – exercice 2 Page 28 – exercice 2


1 le cinéma 2 les informations 1c 2e 3a 4d 5f 6b
3 le restaurant 4 l’après-midi 5 un Page 29 – exercice 1
professionnel 6 les mathématiques
1a 2b 3b 4c 5a
7 la publicité 8 un professeur 9 le
football 10 un appartement Page 30 – exercice 2
Page 15 – exercice 3 1d 2a 3c 4b 5e
T’es où ? : Où es-tu ? ; P’tit : petit ; Page 30 – exercice 3
Ciné : cinéma ; un drôle de type : un 1a 2a 3b 4c 5b 6c 7b 8a
homme étrange ; T’as vu quelqu’un ? :
est-ce que tu as vu quelqu’un ? Page 31 – exercice 1

Production orale Production libre


Page 15 – exercice 1 Compréhension écrite
Production libre Page 34 – exercice 1
1F 2V 3F 4V 5V 6F 7F 8F
Compréhension écrite
Page 20 – exercice 1 Vocabulaire
1c 2c 3b 4b 5b 6a Page 35 – exercice 1
1a 2c 3f 4j 5g 6e 7k 8d
Vocabulaire
9 b 10 i 11 h
Page 21 – exercice 1
1a 2b 3d 4g 5i 6c 7e 8f 9h Chapitre 3
Chapitre 2 Page 42 – exercice 1
1a 2b 3b 4c 5b
Page 28 – exercice 1
1 Lucie ne veut pas donner Page 42 – exercice 2
l’enveloppe à la police. V 1 Max et Lucie, pour échapper aux
hommes en blouson.

2
S O L U T I O N S

2 Lucie, pour avoir des informations café. Il est habillé avec un uniforme
sur le port de l’Arsenal. de l’armée et porte une casquette. Il
3 Les passagers, car ils n’aiment pas serre la main de Max et embrasse
être dérangés dans le métro. Lucie. Max lui donne l’enveloppe. Le
4 La vieille dame, car Marcel était un « Marin » le remercie beaucoup. Il met
ami. l’enveloppe dans son sac. Ils
5 Lucie et Max, pour se cacher et ne commencent tous les trois une partie
pas se faire prendre par les deux de cartes. Soudain, Lucie renverse le
hommes en blouson. sac du « Marin » et prend l’enveloppe.
6 L’un des hommes en blouson, car il Les deux amis sortent calmement du
trouve que son collègue devrait se café pendant que le « Marin » paye
faire prendre en photo. leur repas. Le « Marin » les poursuit
car il veut faire une nouvelle partie
Page 43 – exercice 1
de cartes avec eux.
1c 2e 3g 4f 5d 6b 7a
Page 53 – exercice 1
Production écrite et orale
1 Max dit qu’il va questionner les
Page 43 – exercice 1
gens là-bas.
Production libre 2 Le « Marin » demande à Max et
Vocabulaire Lucie qui les envoie.
Page 44 – exercice 1 3 La serveuse lui demande ce qu’il
prend.
1j 2f 3p 4e 5g 6m 7h 8a
4 Le joueur de carte demande à son
9 r 10 l 11 d 12 q 13 n 14 t 15 o
ami quand il arrêtera de tricher.
16 k 17 b 18 i 19 s 20 u 21 c
5 Lucie se demande comment ils
vont sortir du café.
Chapitre 4
Enrichissez votre vocabulaire
Page 52 – exercice 1 Page 54 – exercice 1
1c 2b 3b 4a 5c 6a 7c 8c 1b 2a 3b 4a 5a 6b 7b 8a
9 b 10 b 9 a 10 b 11 a 12 b 13 b 14 a
Page 52 – exercice 2 Production écrite et orale
Piste 7 – Transcriptionde Page 54 – exercice 1
l’enregistrement et solution Production libre
Max et Lucie arrivent sur le port de
l’Arsenal. Ils demandent à plusieurs Page 54 – exercice 2
personnes où se trouve le « Marin ». Production libre
Elles leur disent toutes qu’il est en ce
Page 57 – exercice 1
moment au « café du port ». Nos deux
amis se dirigent alors en vélo vers le Importance sur la vie de Paris : Très
café. Celui-ci est désert. Ils s’installent importante.
au comptoir et commande une Date d’une grande inondation : 1910.
assiette de frites et deux verres d’eau. Ponts construits durant l’antiquité :
Après quelques instants, le « Marin » Le Petit et le Grand pont.
entre dans le

3
S O L U T I O N S

Nombre de ponts à Paris : 37. Compréhension écrite


Âge du plus vieux pont actuel : 400 ans. Page 71 – exercice 1
Nom du plus vieux pont : Le pont neuf. 1 Champollion 2 La Fontaine
3 Haussmann 4 Méliès
Île où se trouve Notre-Dame : L’île de
la cité. Page 71 – Projet Internet
Vocabulaire – Il y a vingt cimetières à Paris.
Page 58 – exercice 1 – Les métiers spécifiques qu’on y
1e 2a 3f 4d 5b 6c 7g 8h trouve sont : personnel
administratif, agent de
Page 58 – exercice 2 surveillance, fossoyeurs,
1 auteur dramatique cantonniers, jardiniers,
2 avoir de la culture conférencières, inspecteurs de
3 espions sécurité des Parcs et Promenades,
4 couper la parole bûcherons.
5 reprend le fil de son idée – a Le cimetière de Montparnasse a
6 conduire au hasard ouvert ses portes le 25 juillet
7 aller jusqu’au bout 1824.
8 passionné de cinéma b André Citroën était un industriel
à l’origine de la fabrication des
Chapitre 5 voitures qui porte son nom.
Page 65 – exercice 1 – a La station de métro la plus
proche est Trocadéro.
1b 2b 3c 4c 5a
b Il s’agit de Fernandel.
Page 66 – exercice 2 – a Il compte près de 1800 arbres.
1b 2c 3b b Il y a des soldats français,
italiens, yougoslaves, roumains
Page 66 – exercice 1
et allemands.
1b 2d 3f 4a 5e 6c
Page 72 – exercice 1
Grammaire
1 fouiller 2 bouquet 3 éclatante
Page 67 – exercice 1
4 se faufiler 5 on vous doit combien
1 port, porc, pore 6 froissé 7 indices 8 défauts
2 père, paire, perds 9 se garer
3 mettre, maître, mètres
4 las, là, la, l’a
5 ver, vert, verre Chapitre 6
6 sait, c’est, ses, sais
Page 80 – exercice 1
Production écrite et orale
Page 67 – exercice 1 1V 2F 3F 4V 5F 6V 7F
Production libre Page 80 – exercice 2
L’ordre chronologique de l’histoire est :
6, 7, 4, 2, 1, 5, 3

4
S O L U T I O N S

Page 81 – exercice 1 6 Êtes-vous des amis du « Marin » ?


1 Où, c 2 Pourquoi, a 3 Qui, e Page 91 – exercice 3
4 Pourquoi, f 5 Comment, b
Piste 12 – Transcriptionde
6 Que, d
l’enregistrement
Enrichissez votre vocabulaire a Nous nous sommes cachés dans un
Page 81 – exercice 1 photomaton.
1 a (célèbres) 2 b (nom) 3 c (ville) b Nous l’avons vu à la station de
4 c (alors) 5 c (pièces) 6 a (attaques) métro Argentine.
7 b (tard) c Un homme que je ne connaissais
pas.
Production écrite et orale d J’ai vu un reportage sur lui, mais je
Page 82 – exercice 1 ne me souviens plus de son nom.
Production libre e Nous suivions les indications de la
feuille que nous avions trouvée
Page 82 – exercice 2 dans l’enveloppe.
Production libre f Non ! C’est Monsieur Tino qui nous
Page 83 – exercice 1 a dit où nous pourrions le trouver.
1 sursauter 2 le pistolet 3 embarquer a3 b1 c2 d4 5e 6f
4 célèbre 5 une version 6 affirmer page 92 – exercice 4
7 une bande de trafiquants 8 des 1 a rame, b arme, c amer, d mare
risques 9 le coup du photomaton 2 a chien, b niche, c chine
Le tableau que Lucie a trouvé est 3 a parisien, b aspirine
L’Angélus. 4 a Lucie, b celui
5 a Paris, b pairs, c prias, d prisa
Chapitre 7
Page 93 – Projet Internet
Page 90 – exercice 1 – Le musée est installé dans les
1c 2c 3a 4c 5b 6b bâtiments de l’ancienne gare
d’Orsay.
Enrichissez votre vocabulaire
Page 90 – exercice 1 – Il a ouvert ses portes en 1986.
1 grand 2 inquiet 3 célèbre – Environ 2 600 000 personnes
4 grosses 5 belle 6 vieux 7 mineurs visitent le musée chaque année.
8 secrets – Il y a aussi des collections de
sculptures, objets d’arts, photos et
Page 91 – exercice 2
architecture.
1 Où avez-vous rencontré Monsieur
– Chercher dans la rubrique
Tino ?
« collections/peintures et pastels ».
2 Qui vous a donné l’enveloppe ?
3 Comment avez-vous disparu à la – Par exemple : Petite danseuse de
station Châtelet ? quatorze ans d’Edgar Degas.
4 Connaissez-vous ce tableau ? – Rechercher dans les rubriques
5 Que faisiez-vous dans le cimetière ? « programme/expositions ».

5
S O L U T I O N S

– Adresse : 62 rue de Lille, 75343 parle beaucoup, mais renseigne les


Paris, 7e arrondissement. deux adolescents. Elle a travaillé au
– Ligne 12, station Solferino. port de l’Arsenal.
Le chauffeur de taxi : il emmène Lucie
– Le musée est fermé le lundi.
et Max au cimetière du Père-Lachaise
TEST FINAL et leur donne le plan du cimetière. Il a
de la culture.
Page 94 – exercice 1 Lucie : elle est brune et a les yeux
1 Monsieur Tino. marron. Elle adore le sport et est
2 Les hommes en blouson. toujours partante.
3 Le « Marin ». L’homme à l’enveloppe : il porte un
4 Les hommes en blouson. imperméable et un chapeau. Il est
5 Lucie. blessé. Il donne une enveloppe à Max.
6 L’homme à l’enveloppe, Monsieur Les policiers en blouson : ils
Tino, le « Marin ». poursuivent Lucie et Max dans les
7 Max. couloirs. Ils arrêtent Lucie et Max
8 Lucie. dans le cimetière.
9 Le chauffeur de taxi. Max : il est blond et a les yeux bleus.
10 L’homme à l’enveloppe. Il aime les histoires policières. Il se
cache dans le photomaton pour
Page 94 – exercice 2 échapper aux hommes en blouson.
1 Paris 2 Métro 3 Égouts
4 Cimetière 5 Escargot 6 Neuf Page 95 – exercice 4
7 Seine 8 Catacombes 9 Ticket 1 parc, portable 2 station, métro
Mot mystérieux : POURSUITE 3 couloirs, cachent 4 port, quai
5 la serveuse, clients 6 taxi, chauffeur
Page 95 – exercice 3 7 seule, cimetière 8 police, tableau
Production libre. Voilà quelques Page 96 – exercice 5
suggestions :
Le « Marin » : c’est un homme de A9 B3 C8 D2 E6 F5 G7 H4
petite taille, vêtu comme un marin. I1
La vielle dame dans le métro : elle

© 2007 Cideb Editrice, Gênes

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