ES,
L,
S
Compte
rendu
DST
4
:
Balzac,
Hugo,
Zola,
Proust
Attention
aux
homonymes
:
Léa,
Léa
D.,
Leah
et
Adrien,
Adrien
H.
Toutes
les
fautes
du
DST
1,
2
et
3
sont
répétées
par
bq
d’élèves
:
Gloria,
Gabriel,
Léa,
Antoine,
Hyun,
donc
pas
de
progrès
possible
pour
eux
puisqu’il
n’y
a
pas
Ruben,
Snowden,
Sara,
Thorbjorn,
d’amélioration
dans
des
domaines
sur
lesquels
ils
peuvent
agir
car
Nicolas,
Lina,
Léah.,
Stacy,
Muna,
il
leur
suffit
de
mémoriser
et
d’appliquer
ces
méthodes
pour
Justine,
améliorer
leur
devoir.
En
revanche
la
compréhension
des
textes
reste
une
autre
difficulté
qui,
elle,
ne
peut
pas
être
surmontée
par
une
simple
mémorisation.
Des
élèves
partent
avant
la
fin
de
l’épreuve
alors
que
leur
devoir
est
inachevé,
ou
bien
rempli
de
fautes
qu’il
aurait
fallu
corriger
avant
de
partir
…
Antoine,
Oscar,
1H30
avant
:
Gloria,
1H20
avant
:
Maylis,
1H10
avant
:
Pierrick,
Justine,
Léa
D.,
1H
avant
:
Sidoine,
45
mn
avant
:
Il
faudra
aussi
prendre
l’habitude
d’une
marge
à
droite
:
encore
Presque
les
mêmes
que
la
dernière
oubliée
par
fois
:
Antoine,
Maylis,
Léah,
Azénor,
Céline,
Léa
D.,
Adam,
Ruben,
Juliette,
Muna,
Oscar,
Gloria,
Sidoine,
Devoirs qui commencent mal : oubli du « ç » à « français » dès le titre :
Thorbjorn, Léa, Pierrick,
GRAPHIE De grosses améliorations chez Sidoine et Stacy : très encourageant car
vous serez lus donc corrigés le jour du bac !!
Demeure
parfois
illisible
:
contraint
le
correcteur
à
«
deviner
»
…
ce
Oscar, Pierrick,
Ruben,
Gabriel, qui
est
pénalisant
…
TYPOGRAPHIE Encore
«
texte1
»,
«
texte
2
»,
etc.
«
texte
A
»,
«
texte
B
»,
etc.
Gloria, Théo,
Antoine,
Nicolas,
Encore
fautive
en
février:
inquiétant
!
Sara,
Adam,
Pierrick,
Justine,
Nicolas,
Lydia,
Antoine,
Stacy,
Alessandra,
Ruben,
Dominique
(celle
de
la
réponse
à
la
question
de
corpus),
Snowden,
Justine,
et
Caleb
(encore
des
mini-‐ parties
??),
Les
titres
de
recueils
ne
sont
toujours
pas
tous
soulignés
en
janvier
Pierrick,
Sara,
Snowden,
Adam,
Théo,
très
pénalisant
!!
Gabriel,
Antoine,
Hyun,
Ruben,
Stacy,
Lea,
Sidoine,
Lina,
Léah,
Céline,
Léa
D.,
1er
axe
=
3
§
=
bien
Caleb,
2
axe
=
1§ : très pénalisant
e
1 axe = 1§ : très pénalisant Léa
D.,
Lina,
4
§
au
lieu
de
6
attendus
??
Léa,
Des retours à la ligne sans alinéas ?? Gloria,
Antoine,
Thorbjorn,
Léa,
Maylis,
Ne
pas
passer
de
lignes
dans
un
texte
manuscrit
Dominique,
Léa
D.,
SYNTAXE/EXPRESSION
Des phrases bien trop longues donc forcément fautives …
Gloria,
Sidoine,
Votre
expression
ne
parvient
pas
tjrs
à
exprimer
ce
que
vous
Alessandra,
voulez
dire
…
pénalisant
…
Emploi fautif de « faire preuve » encore : on ne peut pas écrire : « faire Adrien,
preuve d’ *absurdités » ? « faire preuve d’ *habitudes », « faire preuve de * richesse », « faire preuve de *fatigue », etc.: on « fait preuve de courage » par ex. «
connotation
»
(positive
ou
négative)
mais
pas
«
emphatique
»
par
Stacy,
ex.
=
aucun
sens
!!
«
montrer
»
n’est
pas
«
démontrer
»
différence
?
Adam,
Lydia,
Est-‐ce
la
«
description
»
qui
est
ambiguë
ou
est-‐ce
le
personnage
Muna,
décrit
???
«
au
XVIe
siècle
»
«
au
XVIIe
siècle
»
pas
«
dans
le
»
Le
présent
est
le
seul
temps
de
l’argumentation,
de
l’essai
donc
de
Dominique,
Céline,
Justine,
Léa
D.,
vos
devoirs
scolaires
(sauf
invention
si
on
vous
demande
une
narration)
donc
pas
de
conditionnel
par
ex.
«
afin
de
*confondre
le
personnage
»
?
anglais
?
Muna,
ORTHOGRAPHE
Très
malmenée
Gloria,
Ruben
Comptine
du
cours
primaire
:
«
je
m’aperçois
qu’apercevoir
ne
Gloria,
Alessandra,
prend
qu’un
«
p
»
.
«
malgré
»
et
«
parmi
»
pas
de
«
s
»
!!
Oscar,
«
d’abord
»
jamais
de
«
s
»
(systématique
dans
votre
copie)
Muna,
«
existe
»
;
«
excès
»
;
pas
d’accent
devant
«
x
»
(et
2
consonnes)
Muna
(systématiquement)
«
exagération
»
«
notamment
»
:
un
seul
«
t
»
mais
2
«
m
»
et
un
«
a
»
après
le
«
t
»
Céline,
Nicolas,
«
quatre
»
invariable
Maylis,
Céline,
Sidoine,
Nicolas,
Léa
D.,
Pas
de
faute
aux
titres
présents
dans
le
sujet
:
très
pénalisant
!
ex.
:
Maylis,
Antoine,
Ruben,
Thorbjorn,
L’Assommoir
»
2
«
s
»,
2
«
m
»
!!
«
davantage
»
en
un
seul
mot
=
«
plus
de
»
ne
pas
confondre
avec
le
Adam,
Léa
D.,
substantif
:
«
un
avantage
»/
«
des
avantages
»
/«
pas
d’avantage
»
(c’est
ce
dernier
qui
mène
à
la
confusion).
«
S’intéresser
à
»
:
un
seul
«
r
»
donc
un
accent
sur
«
é
»
et
deux
Snowden,
«
s
»
«
personne
»
et
les
mots
de
sa
famille
avec
2
«
n
»
:
personnification
Lydia,
etc.
«
vieillard
»
oubli
systématique
du
2e
«
i
»
!?
Lydia,
Muna
(sauf
une
fois)
«
rime
»
avec
un
«
i
»
en
français
Lina,
«
aucun
»
pas
avec
un
«
qu
»
!!
Pierrick,
GRAMMAIRE
Trop
malmenée
(accords
simples
par
ex.)
et
pourtant
ce
n’est
pas
le
Gloria,
Sidoine,
Antoine,
temps
qui
vous
manque
puisque
vous
partez
plus
d’une
heure/45mn/1H30
avant
la
fin
de
l’épreuve
???
Manque
de
temps
pour
vous
relire
?
Hyun,
Céline,
Ruben, Adam,
Léa,
Les
verbes
conjugués
à
la
1ère
personne
du
singulier
ne
peuvent
pas
Sidoine,
s’achever
sur
un
«
t
»
!!
faute
de
primaire
très
pénalisante
!!
Faute
éternelle
donc
pénalisante
en
février
:
«
il
s’agit
de»
ce
verbe
Pierrick,
Sidoine,
NE
peut
être
conjugué
qu’avec
l’impersonnel
sujet
«
il
»
:
aucun
autre
sujet
n’est
possible
…
«
chaque
»
est
suivi
du
singulier
Justine,
«
un
extrait
»
donc
«
cet
extrait
»
!!
Sara,
«
qu’il
fût
»
(subjonctif)
mais
«
il
fut
»
passé
simple
!!
(le
circonflexe
Antoine,
pour
le
passé
simple
n’existe
que
pour
«
nous
fûmes
»
et
«
vous
fûtes
»)
«
ces
»
et
«
ses
»
encore
confondus
!!??
Céline,
BANNIR
Encore
la
1ère
personne
dans
un
devoir
scolaire
:
«
je
est
haïssable
»
Théo,
Ruben,
disait
Pascal.
«
c’est
»
présentatif
de
l’oral
Céline,
Dominique,
Antoine,
Adam,
Léa
D.,
«
cela
»
/
«
ceci
»
Oscar,
Antoine,
Céline,
Juliette,
Caleb,
pire
encore
«
ça
»
oral
et
familier
Ruben,
Léa
D.,
Pas de jugements de valeur : « affreux» ; « cruel »; « vilain» ; Gloria,
Lydia,
Léa
D.,
« ridicule », « normal » etc. sont à bannir : pourquoi ? parce qu’en soit ils ne veulent rien dire : ex. « ridicule », « normal », etc. selon qui ? par rapport à quelle norme ? etc. = subjectif … or un devoir scolaire = une démonstration fondée sur la raison et l’objectivité (scientifique) … + si vous voyez qu’un de ces mots se répète alors votre propos lui aussi se répète, votre argumentation n’avance plus et tourne en rond, etc. Bannir
:
tel
procédé
auquel
vous
ajoutez
systématiquement
:
«
est
Adam,
Gabriel,
présent
»
;
«
est
mentionné
»
;
«
est
proposé
»
;
«
est
employé
»
tous
ces
ajouts
sont
terriblement
lourds
car
redondants
…
Vous,
vous
ajoutez
«
tel
procédé
…
*renforce
ce
fait
»
idem
Stacy,
terriblement
lourd
et
inutile
!!
Bannir
le
«
lecteur
»
:
dès
que
l’on
essaye
de
s’intéresse
à
«
un
Pierrick,
Antoine,
Céline,
Azénor,
lecteur
»
on
se
détourne
du
texte
…
or
un
commentaire
NE
porte
Justine,
QUE
sur
un
texte
pas
sur
les
réactions
d’un
«
hypothétique
lecteur
»
…
lequel
?
une
infinité
…
donc
bannir
«
nous
»
(qui
remplace
le
lecteur)
:
«
il
*nous
dit
»
;
«
il
*nous
montre
»
etc.
(SAUF
bien
sûr
quand
le
narrateur
l’interpelle
avec
des
impératifs
:
«
mettez,
entourez,
jetez,
…)
Bannir
l’auteur/le
narrateur
:
on
étudie
les
effets
de
sens
d’un
texte
Pierrick,
Léah,
Caleb,
Justine,
Léa
D.,
pas
les
«
intentions
»
d’un
auteur
…
on
ne
doit
pas
les
confondre.
Lina,
Muna
Bannir
«
chose
»
«
quelque
chose
»
Bannir
l’oral
à
l’écrit
donc
on
ne
peut
pas
trouver
des
termes
de
Antoine,
l’énonciation
comme
:
«
maintenant
»
;
«
nous
allons
nous
poser
la
question
suivante
»
à
la
place
posez-‐la
directement
…
Bannir
:
«
message
»
déjà
banni
dans
Weebly
!!
pourquoi
?
Adrien,
Bannir
:
«
il
utilise
»
+
procédé
:
on
sait
qu’il
faut
commencer
par
le
Léah,
Léa
D.,
procédé
qui
suit
…
«
La
métaphore
…
etc.
»
De
même
«
il
est
*devinable
(barbarisme)
que
…
»
dites
ce
que
vous
Lina,
avez
deviné
à
la
place
!!
BARBARISMES/ANGLICISMES
«
*contrairiante
»
;
«
*envihable
»
;
«
*resplendisseur
»
;
etc.
Gloria
«
*adorner
»
Dominique,
«
*écrivant
»
au
lieu
d’
«
écrivain
»
Hyun,
«
*lister
»
Nicolas,
« *de première part » ??? Adam,
« *péculiarité » ??? / « *beaucoup pire » ??? Gabriel
«
To
contrast
»,
faux
ami,
peut
être
traduit
par
«s’opposer
à
»
Lydia,
Léa
D.,
« *que rien qu’à » Alessandra,
Emploi de « dénoncer » souvent fautif … emploi correcte : « Voltaire Alessandra,
dénonce l’intolérance religieuse » emploi incorrect : « les adj. de connotation négative *dénoncent le monstre » … «
*depicter
»
encore
au
lieu
de
«
décrire
»
Lina,
« *réaliser » au lieu de « dessiner » « dresser » (un portrait) Stacy,
« inventer » etc.
MÉTHODE DE LA QUESTION DE CORPUS
Toujours
pas
mémorisée,
appliquée
en
février:
pénalisant
!
Hyun,
Sara,
Intro. méthode complètement oubliée très pénalisant en février : oubli Gloria,
Hyun,
de la problématique ???? comment répondre alors à une question qui
n’a pas été posée ???
Ne pas ajouter d’annonce de plan (contrairement au commentaire) !! Théo,
A peine esquissée … Pierrick,
Adrien,
Léah,
Azénor,
Lina,
Peut-on ne solliciter qu’un seul texte pour soutenir un de vos Thorbjorn,
arguments ? Question mal comprise … Dominique,
Léa,
Inachevée alors que vous aviez tout le temps pour la finir ??? Sidoine,
Commence-‐t-‐on
la
réponse
par
«
Pour
commencer
»
?
=
oral
mais
surtout
pas
à
l’écrit
…
Est-‐ce
que
l’on
propose
un
résumé
des
textes
dans
l’intro
?
Thorbjorn,
Sara,
Azénor,
Commence-t-on brutalement par « Les textes sont … » ? Préférez : Léa,
« Le corpus est composé de … » (c’est
l’endroit
de
lier
les
textes
entre
eux
par
leur
genre,
leur
époque,
etc.)
Ne
pas
passer
en
revue
les
textes
un
par
un,
ne
pas
les
Thorbjorn,
juxtaposer
les
faire
dialoguer
…
La
1ère
phrase
de
votre
réponse
doit
poser
la
thèse
donc
impossible
de
lire
:
«
Dans
la
ligne
1,
on
trouve
…
»
ou
«
Dans
le
texte
de
…
»
ou
Thorbjorn,
Gloria,
Dominique,
Ruben,
une
référence
à
un
procédé
«
Le
point
de
vue
…
»
car
il
s’agit
d’une
Hyun,
Adam,
Sara,
Juliette,
Alessandra,
description
du
texte
au
lieu
de
l’idée
que
vous
allez
défendre
…
Vrai
pour
toutes
les
1ères
phrases
:
axes
et
§
!!
de
commentaire,
de
dissertation,
etc.
Pierrick,
Idem
pour
les
1ères
phrases
qui
annoncent
un
procédé
:
impossible
car
on
veut
une
thèse
à
défendre
et
non
pas
un
procédé
…
etc.
Citations
encore
fautives
Léah,
Question
de
corpus
mal
lue,
mal
comprise
donc
réponse
Nicolas,
Alessandra,
compromise
…
sens
de
«
transposer
»
?
On
vous
demandait
une
trentaine
de
lignes
vous
en
proposez
une
Adrien,
dizaine
???
MÉTHODE DU COMMENTAIRE
On ne cite jamais donc on doit recopier encore moins le chapeau !! Leah,
Snowden,
Adam,
Gabriel,
Sara,
Thorbjorn,
Lina,
1
axe
=
1§
au
lieu
de
3
attendus
x2
=
6
§
???
devoir
très
incomplet.
Ruben,
2
§
au
total
au
lieu
de
6
!?
Azénor,
Hélas,
à
peine
esquissé
alors
que
vous
semblez
avoir
compris
ce
Hyun,
Léa
D.,
que
l’on
attendait
de
vous,
dommage
!!
:
très
pénalisant
:
manque
de
temps
?
Faute
majeure
=
contresens
…
le
personnage
décrit
n’est
pas
Hyun,
Gabriel,
Sara,
l’homme
que
Poussin
va
voir
…
c’était
marqué
noir
sur
blanc
dans
les
notes
en
bas
de
page
!!
Bien préciser le numéro de ligne des citations !! Gabriel,
Appelle-‐t-‐on
un
personnage
par
son
prénom
«
Nicolas
»
si
l’on
Caleb,
parle
de
«
Nicolas
Poussin
»
?
en
revanche
pourquoi
peut-‐on
nommer
«
Thérèse
Desquéroux
»
«
Thérèse
»
dans
un
devoir?
L’argumentation
ne
respecte
tjrs
pas
l’ordre
de
la
méthode
:
idée,
Adam
procédé,
citation
et
analyse
…
(certaines
de
ces
étapes
sont
oubliées)
On
ne
cherche
pas
à
prouver
que
le
texte
est
une
description
ou
une
Léah,
narration
!
on
cherche
à
prouver
comment
cette
description,
cette
narration
sont
organisées,
leur
intérêt,
leur
fonction
…
sinon
vous
en
restez
au
constat,
à
la
paraphrase
=
0
Citations
fautives
car
trop
longues
et
souvent
sans
rapport
avec
ce
Sara,
qui
précède
et
rarement
présentes
pour
illustre
un
procédé
…
DANGER
DES
RÉVISIONS
MAL
DIGÉRÉÉES
Presque
tous
les
élèves.
Comme
nous
avons
revu
des
mouvements
littéraires
avant
le
DST
les
élèves
ne
peuvent
résister
à
les
nommer
mais
est-‐ce
intéressant
?
Pourquoi
en
revanche
est-‐ce
si
important
de
connaître
leur
existence
et
leur
signification
?
à
quel
moment
dans
un
commentaire
on
va
reconnaître
que
l’élève
possède
ces
connaissances
?
est-‐ce
seulement
s’il
«
nomme
»
le
mouvement
?
Un
paragraphe
s’achève-‐t-‐ils
sur
une
citation
?
Sara,
INTRODUCTION
Pas de présentation du texte dans le sens où on ignore ce dont il parle Justine,
Lina,
…
Où
est
la
problématique
?
Sara,
Caleb
et
Lina
(+
absence
d’annonce
de
plan
pourquoi
?),
Tjrs
pas
4
étapes
:
ou
du
moins
elles
sont
toutes
ou
en
parties
Léah,
Léa,
Muna,
fautives
:
pourquoi
?
Une
problématique
ne
porte
pas
sur
un
procédé
(la
focalisation
par
Justine,
ex.)
puisqu’elle
doit
poser
une
thèse
à
défendre
…
Bannir
ce
préambule
à
votre
problématique:
«
nous
allons
nous
Théo,
poser
la
question
suivante
»
posez-‐la
directement
!
sinon
terriblement
lourd
et
maladroit
:
pourquoi
cette
erreur
nouvelle
?
parce
que
vous
suivez
le
modèle
de
l’oral
où
cette
annonce
est
tout
à
fait
correcte
…
L’annonce
de
plan
commence-‐t-‐elle
par
«
Les
axes
sont
…
»
???
Juliette,
DEVELOPPEMENT
Au
cœur
d’un
§
vous
écrivez
:
«
Le
XIXe
siècle
laisse
les
lecteurs
Stacy,
déchiffrer
…
»
1)
ce
n’est
pas
du
tout
une
spécificité
du
XIXe
siècle
2)
il
est
interdit
de
quitter
le
texte
pour
faire
des
généralités
=
hors
sujet
!!
Un
commentaire
porte-‐t-‐il
sur
«
un
roman
»
ou
un
«
extrait
»
?
donc
Snowden,
impossible
de
vous
demander
:
«
en
quoi
ce
*roman
est-‐il
une
description
?
»
Vous
ne
pouvez
résister
à
répéter
ce
que
vous
venez
de
dire
:
Gabriel,
Snowden,
Léa,
étrange
?
alourdit
votre
devoir
;
perte
de
temps
précieux
;
etc.
«
abstrait
»
«
abstrait
»
n
fois
!!!
au
lieu
de
définir
le
terme,
ce
que
vous
entendez
par
«
abstrait
»
etc.
Il
ne
faut
pas
à
la
fin
de
chaque
§
proposer
un
bilan
qui
répète
ce
Théo,
qui
vient
d’être
dit
…
pénalisant
!
CONCLUSION
Pas
d’ouverture
:
Antoine,
Sara,
Caleb,
Muna,
Point
commun
essentiel
?
alors
que
vous
aviez
tout
le
temps
de
le
développer
…
MÉTHODE DE LA DISSERTATION
Danger
possible:
«
le
roman
imite
le
réel
quand
il
crée
des
Céline,
personnages
…
etc.
»
alors
l’argumentation
peut
glisser
sans
que
l’élève
s’en
aperçoive
sur
le
«
rôle
du
personnage
»
dans
le
roman
OR
si
on
parle
des
personnages,
on
ne
peut
jamais
parler
d’eux
sans
lien
avec
le
problème
de
la
mimésis
(=
imitation
du
réel)
sinon
hors
sujet
…
du
moins
pour
l’axe
I
…
pour
l’axe
II
:
ils
doivent
être
associés
aux
autres
ambitions
du
roman
:
l’imagination,
la
fantaisie,
le
fantastique,
la
science
fiction,
le
merveilleux,
etc.
…
pour
l’axe
III
=
synthèse
de
l’axe
I
et
II
:
en
fait
l’axe
II
n’est
qu’un
détour
pour
mieux
parler
du
réel
…
etc.
Faiblesse
des
dissertations
:
pauvreté
des
exemples
(en
nombre
et
Céline,
en
qualité)
:
on
ne
peut
se
lancer
dans
une
dissertation
sur
le
roman
que
si
on
dispose
de
nombreux
exemples
de
romans
sinon
l’argumentation
ne
tient
pas
…
Autre
faiblesse
:
les
élèves
oublient
d’exploiter
les
textes
du
corpus
Céline,
qui
sont
pourtant
sous
leurs
yeux
donc
très
utiles
ou
bien
encore
les
textes
sur
lesquels
ils
travaillent
pour
l’oral
et
qu’ils
connaissent
bien
…
et
quand
des
œuvres
sont
citées,
l’essentiel
POUR
LE
SUJET
QUI
SE
POSE
n’est
pas
forcément
exploité
…
Vous
vous
cantonnez
à
trois
ou
quatre
œuvres
:
bien
trop
peu
!!!
il
faut
autant
d’œuvres
citées
que
de
citations
variées
dans
un
commentaire
composé
!!
Sujet
simple
pourtant
car
explicité
par
la
question
de
corpus
:
Céline
I. le
roman
«
imite
le
réel
»
:
en
quoi/
comment
un
roman
imite-‐t-‐il
le
réel
?
II. Le
roman
comme
fiction/création/produit
de
l’imagination
etc.
Erreur
principale
:
partir
du
monde
réel
pour
parler
du
«
roman
»
=
contresens
!!
il
faut
partir
du
roman
qui
«
imite
le
réel
»
…
or
dans
votre
dissertation
vous
sombrez
souvent
dans
le
contresens
sans
vous
en
rendre
compte
dès
que
vous
partez
du
réel
car
dans
ce
cas
vous
sortez
du
roman
=
vous
prenez
le
problème
posé
À
L’ENVERS
:
ex.
:
digression
sur
«
le
rôle
des
femmes
dans
la
société
»
;
ou
bien
«
les
vices
de
la
société
»
etc.
puis
vous
revenez
à
la
littérature
qui
les
dénonce;
ou
bien
«
les
épreuves
que
l’on
doit
surmonter
dans
la
vie
»
;
etc.
pour
revenir
ensuite
vers
le
roman
…
Dès
que
vous
quittez
la
littérature
vous
êtes
dans
le
hors
sujet
!!!
Ce
sera
toujours
le
cas,
dans
toutes
les
dissertations
car
les
sujets
de
dissertation
par
définition
sont
toujours
littéraires
…
JAMAIS
sociaux,
économiques,
politiques,
historiques,
philosophiques,
etc.
MÉTHODE DE L’INVENTION
Trop
succincte
alors
que
vous
partez
plus
d’une
heure
avant
la
fin
Gloria
de
l’épreuve
…
Problème
majeur
:
le
recours
à
des
temps
et
des
conjugaisons
Oscar,
Sidoine,
inconnus
du
commentaire,
de
l’essai
scolaire
donc
rarement
utilisés
par
les
élèves
…
il
faut
donc
qu’ils
revoient
leurs
temps
et
modes
du
passé
:
surtout
la
conjugaison
du
passé
simple
:
pour
les
verbes
en
«
-‐er
»
:
«
-‐ai
»,
«
-‐as
»,
«
-‐a
»
et
«
reconnaître
»
:
«
je
reconnus
»
;
«
apercevoir
»
:
«
j’aperçus
»,
etc.
absence
de
circonflexe
à
la
3e
pers
du
singulier
:
«
il
put
»,
«
il
vit
»
etc.
(le
circonflexe
est
réservé
à
cette
personne
au
subjonctif
«
qu’il
fût
»,
«
qu’il
fît
»,
etc.
…
vont
faire
de
grosses
erreurs
pénalisantes
…
CHARABIA
Adam,
«
En
effet,
de
dire
explicitement
d’
«
imaginer
»
laisse
une
place
à
prendre
la
description
suivante
et
de
l’apprécier
vraiment,
résultant
à
une
image
claire
»
???
le
propos
lui
ne
l’est
pas
…
«
Afin
de
regrouper
les
éléments
menant
à
une
telle
description,
la
Muna,
scène
est
aussi
*dressée
//à
ce
qu’elle
semble
aussi
vague
et
singulier
que
le
vieillard
»
??
INCOHERENCES/INCOMPREHENSION
Des
remarques
justes
mais
souvent
isolées
qui
ne
construisent
pas
Justine,
un
tout
cohérent
…
car
vous
avez
du
mal
à
avoir
une
vue
d’ensemble
qui
répondrait
à
la
question
suivante
:
quelle
est
la
fonction
de
ce
portrait
?
Vous
avancez
l’idée
de
«
monstre
»
mais
sans
vous
rendre
compte
Dominique,
que
vous
ne
la
prouvez/justifiez
jamais
…
oubli
?
ou
impossibilité
?
Ne
JAMAIS
dire
«
puisque
le
texte
appartient
à
tel
mouvement
Dominique,
littéraire
alors
on
va
y
trouver
…
»
c’est
ne
pas
comprendre
ce
qu’est
un
mouvement
littéraire
:
vous
prenez
le
problème
à
l’envers
:
c’est
parce
que
vous
trouvez
dans
le
texte
par
ex.
la
description
de
la
nature
comme
le
miroir
des
émotions
du
personnage
qui
la
regarde
que
vous
pouvez
associer
ce
texte
au
mouvement
romantique
(même
s’il
s’agit
d’un
texte
de
Zola
qui
est
pourtant
associé
au
mouvement
naturaliste)
…
etc.
Autre
syllogisme
absurde:
«
comme
le
roman
est
à
la
mode
au
XIXe
Antoine,
siècle,
comme
Balzac
est
un
écrivain
du
XIXe
siècle
alors
Balzac
écrit
des
romans
»
????
Idem
quand
l’élève
écrit
qu’un
auteur
vise
à
faire
«
réaliste
»
là
Hyun,
aussi
c’est
l’inverse
:
des
choix
qu’il
fait
on
va
déduire
ou
pas
que
le
texte
est
réaliste
:
ce
n’est
pas
un
but
en
soit
!!
De
même,
ce
n’est
pas
parce
que
le
surréalisme
naît
après
la
1re
Maylis,
Dominique,
guerre
que
tout
les
textes
d’après
cette
date
«
sont
»
surréalistes
:
ex.
ici
Proust
qui
publie
en
1927
et
qui
n’a
rien
à
voir
avec
le
surréalisme
…
Avant
de
dire
en
quoi
tel
texte
«
dépasse
»
les
spécificités
du
Dominique,
réalisme,
il
faut
d’abord,
avant
tout,
défendre
en
quoi
il
«
imite
»
le
réel
!!!!
I)
En
quoi
le
texte
est-‐il
réaliste
?
II)
En
quoi
il
propose
une
autre
dimension
du
monde
?
(mystère,
surnaturel,
métamorphose
artistique,
etc.)
«
évoquer
»
(rappeler
à
la
mémoire)
et
«
invoquer
»
(faire
appel
Snowden,
aux
dieux)
Raisonnement
logique
mis
à
mal
:
vous
annoncez
la
présence
d’une
Gabriel,
description
des
«
habits
»
et
de
la
«
démarche
»
du
personnage
donc
on
attend
une
étude
de
ces
deux
descriptions
…
mais
étrangement
à
la
place
on
trouve
ce
charabia
:
«
Effectivement,
une
répétition
de
«
à
la
»
suivie
par
*un
caractéristique
spécifique
permet
de
rassembler
*toute
les
informations
(illisible)
un
raisonnement
sur
qui
est
ce
personnage
et
sa
connection
avec
maître
Porbus
».
?????
Votre
raisonnement
tourne
souvent
en
rond
:
«
texte
réaliste
»
/
preuves
/
«
donc
texte
réaliste
»
???
D’étranges
raisonnements
:
«
la
nouveauté
entraîne
des
Sara,
énumérations
»
???
ensuite
«
gradation
(qui
va)
du
moins
détaillé
au
plus
détaillé
»
et
vous
vous
arrêtez
là
!?
que
manque-‐t-‐il
?
Vous
recensez
toutes
les
«
antithèses
»
mais
vous
ne
montrez
pas
Léa
D.,
en
quoi
elles
permettent
de
répondre
à
la
question
…
Des
adj.
sont
pour
vous
les
marques
du
«
monstre
»
que
manque-‐t-‐ Alessandra,
il
entre
la
citation
de
ces
adj.
et
votre
déduction
qu’il
s’agit
d’un
monstre
pour
que
nous
comprenions
ce
que
vous
vouliez
dire
?
Idem
:
idée
d’
«
abondance
»
dont
vous
déduisez
le
«
diabolique
»
:
que
manque-‐t-‐il
là
encore
entre
ces
deux
extrémités
?
CONNAISSANCES
LITTÉRAIRES
Pour
le
commentaire
vous
n’avez
qu’à
parler
d’un
seul
texte
et
faire
Céline,
allusion
à
un
autre
en
ouverture,
c’est
tout
!!
en
revanche
pour
la
dissertation
vous
devez
faire
des
références
nombreuses
à
des
œuvres
littéraires,
des
mouvements,
etc.
Graves
erreurs
très
pénalisantes
:
«
réalisme
»
confondu
avec
«
romantisme
»
;
les
romans
du
XVIe
siècle
et
du
XVIIe
siècle
associés
au
mouvement
réaliste
????
Vous
ne
pouvez
pas
d’une
manière
simpliste
confondre
l’auteur
et
son
personnage
:
Camus
n’est
pas
Meursault,
Camus
n’a
pas
tué
un
Arabe,
etc.
Zola
est-‐il
romantique
?
très
pénalisant
…
(même
si
on
peut
trouver
Lydia,
des
textes
isolés
de
Zola
qui
renvoie
au
romantisme)
Encore
des
confusions
dans
les
focalisations
«
interne
»,
«
externe
»
Justine,
Dominique,
Pierrick,
Ruben,
et
«
omnisciente
»
:
alors
qu’ici
il
n’existait
aucune
ambiguïté
:
la
Thorbjorn,
Juliette,
Léa
D.,
Stacy,
scène
est
vue/perçue
par
Nicolas
Poussin
donc
il
s’agit
d’une
focalisation
INTERNE
:
on
NE
voit
QUE
ce
que
voit,
imagine
Nicolas
Poussin
…
La
focalisation
«
descriptive
»
et
«
du
réel
»
inventée
par
…
Muna
et
Dominique
On
ne
doit
pas
confondre
le
«
réel
»
et
le
«
réalisme
»
Pierrick,
Sidoine,
Hyun,
Ruben,
Adrien,
On
peut
donc
écrire
«
le
texte
imite
le
réel
»
mais
«
le
texte
est
Adam,
Snowden,
Juliette,
Stacy,
Muna,
réaliste
»
…
«
le
réel
»
est
en
dehors
du
texte
!!
si
vous
dites
que
le
texte
est
«
réel
»
on
le
comprend
dans
le
sens
où
le
texte
est
une
«
réalité
»
que
l’on
peut
toucher
en
tant
qu’objet
…
ce
qu’essaye
de
nous
faire
croire
le
narrateur
1
dans
La
Vie
de
Marianne
en
inventant
un
manuscrit
découvert
dans
sa
maison
de
campagne:
le
texte
est
alors
«
réel
»
…
façon
de
faire
croire
que
l’histoire
qu’il
contient
est
«
réelle
»
aussi
mais
c’est
une
ruse
…
une
«
illusion
de
réel
»
…
«
Un
personnage
réel
»
a
existé
dans
le
réel
sinon
on
parle
d’un
«
personnage
réaliste
»
qui
ressemble
à
un
personnage
réel
=
qui
est
«
vraisemblable
»
…
mais
n’a
pas
existé
…
Le
contraire
en
littérature
d’un
texte
«
réaliste
»
est-‐il
un
texte
Oscar,
Maylis,
«
irréel
»
????
sens
???
en
revanche
un
texte
«
fantastique
»,
«
merveilleux
»,
«
surnaturel
»
semble
en
effet
s’opposer
à
un
texte
«
réaliste
»
…
Extrêmement
pénalisant
quand
un
élève
fait
une
référence
aux
Pierrick,
œuvres
étudiées
cette
année
pour
le
bac
de
fin
d’année
et
mélange
titre
et
auteur
!!??
ex
:
La
Vie
de
Marianne
n’est
pas
écrite
par
Mauriac,
etc.
Confusion
dans
les
mouvements
littéraires
:
le
naturalisme
vu
en
Sidoine,
seconde
doit
vous
permettre
de
connaître
le
nom
d’un
ou
deux
auteurs
de
ce
mouvement
…
Etrange
affirmation
:
«
Le
chef
d’œuvre
inconnu
et
Le
temps
Adrien,
retrouvé
sont
tous
les
deux
écrits
au
début
du
XIXe
siècle
»
????
Personne
n’exploite
correctement
la
référence
à
Rabelais
pourtant
Tous
les
élèves.
déjà
vue
dans
L’Ingénu
puisque
Kerkabon
lit,
nous
dit-‐on,
Rabelais
:
quelles
connotations
lui
sont
associées
?
Le
cas
de
Socrate
est
plus
facile
:
philosophe
=
sagesse,
mais
aussi
Socrate
=
laideur
physique.
Ne
pas
confondre
«
action
»
donc
«
narration
»
avec
«
description
»
Snowden,
L’auteur,
ici
Balzac,
n’est
pas
un
«
protagoniste
»
!!!
seulement
Gabriel,
Poussin
et
Frenhofer
et
ici
Poussin
est
de
surcroît
le
témoin
du
portrait
…
Définir
le
roman
du
XIXe
siècle
ainsi
:
«
observe
la
nature,
l’amour
Lydia,
et
les
Hommes
»
est
bq
trop
vague
…
trahit
une
méconnaissance
du
roman
du
XIXe
siècle
donc
pénalisant
…
Selon
un
élève
La
Vie
de
Marianne
est
un
roman
du
«
**XIXe
Stacy,
siècle
»
!!!???
très
pénalisant
quand
il
s’agit
d’un
texte
étudié
en
cours
!!
La
page
du
Chef
d’œuvre
inconnu
à
étudier
est-‐elle
un
incipit
?
Stacy,
«
Au
XIXe
siècle
les
écrivains
créent
des
romans
**surréalistes
»
:
Léa,
très
pénalisant
car
programme
de
seconde
!!