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Ministère
de l'Equipement,
des Transports
et du Logement
FEVRIER 1999
DIRECTION GENERALE
DE L'URBANISME, DE L’HABITAT ET DE LA CONSTRUCTION
SYSTEMES D’INFORMATION
GEOGRAPHIQUE
dossier documentaire
DIRECTION GENERALE
*
DE L'URBANISME, DE L’HABITAT ET DE LA CONSTRUCTION
**
CENTRE DE DOCUMENTATION DE L'URBANISME
Arche de La Défense - 92055 Paris La Défense cedex
***
INSTITUT GEOGRAPHIQUE NATIONAL
6/8, avenue Blaise Pascal - Cité Descartes - Champs-sur-Marne
77455 Marne-la-Vallée cedex 2
*
DGUHC : Directorate general for town planning, ‘habitat and construction ; Dirección general de urbanismo, del
hábitat y de la construcción.
**
CDU : Town planning documentation centre ; Centro de documentación del urbanismo.
***
IGN : National geographical institute ; Instituto geográfico nacional.
3
La note de synthèse présente d’abord des éléments de l’histoire des banques de données urbaines
afin d’appréhender les problématiques actuelles des systèmes d’information géographiques. Un choix
de points thématiques et méthodologiques résume ensuite les questions soulevées par le recours
aux systèmes d’information géographiques dans des thématiques urbaines.
La bibliographique fait suite à l’« orientation bibliographique » éditée par le CDU en 1992 sous le
même titre. Elle n’est pas exhaustive et prend essentiellement en compte les ouvrages et articles
parus au cours des cinq dernières années. Les références signalées proviennent de différentes
sources :
- interrogation d’Urbadisc, d’Urbamet, de Francis et de Pascal
- consultation des fonds documentaires du Centre de documentation de l’urbanisme (CDU), du centre
de documentation de l’Institut géographique national (IGN), de la bibliothèque de Ecole supérieure des
travaux publics, du bâtiment et de l’industrie (ESTP), de la bibliothèque de l’Institut français
d’urbanisme (IFU), de la documentation du Centre d'études sur les réseaux, les transports,
l'urbanisme et les constructions publiques (CERTU), et de la documentation de l’Ordre des géomètres-
experts,
- dépouillement de revues et d’actes de congrès, colloques, ...
Les références, selon leur origine, ne sont pas toujours suivies d’un résumé. Elles sont classées, tous
documents confondus, par ordre chronologique inversé, les plus récentes en premier. Enfin, pour aider
à la compréhension de certains titres en langues étrangères, Anne BERRY a proposé une traduction
entre crochets.
Les documents signalés sont accessibles auprès des organismes listés en fin d’ouvrage.
4
sommaire
INTRODUCTION
BIBLIOGRAPHIE
SYSTEMES D’INFORMATION
GEOGRAPHIQUE
pour la gestion et l’aménagement urbain
NOTE DE SYNTHESE
6
introduction
Actuellement, et ce depuis maintenant plus de 15 ans, un des meilleurs choix possibles pour
organiser l'information technique et sociale de la ville s'appelle le Système d'Information
Géographique (SIG).
En fait, une définition simple présente un SIG comme : "un système pour collecter, stocker,
vérifier, manipuler, analyser et restituer des données spatialement référencées à la surface
de la Terre" (DoE, 1987).
Cependant des équivoques persistent encore sur la stricte définition des SIG. Elles sont
essentiellement dues au fait que le vocable désigne à la fois :
- le concept de chaîne de traitement de l'information géographique numérique ;
- les outils informatiques qui permettent de l'instrumenter ;
- et les applications qui sont construites avec cet outil.
1
Ces différents points de vue entraînent des définitions multiples qu'il serait fastidieux de
reprendre ici, mais dont il faut souligner que le plus petit dénominateur commun est souvent,
et de façon quelque peu réductrice, l'outil informatique.
Un SIG est d'abord un Système d'information (SI) dont l'objectif est de décrire un territoire
de façon à améliorer sa connaissance et à permettre la description et l'analyse des
phénomènes naturels ou humains qui s'y produisent.
1
A ce sujet voir un panel choisi de définitions dans Maguire (1991).
7
Le postulat des SIG, outils fédérateurs des approches de traitement des données
géographiques est largement repris dans la littérature sous des formes différentes et comme
le souligne Shepherd (1991) : "par l'intermédiaire de l'intégration de données qui étaient
préalablement le domaine de spécialistes de disciplines individuelles, une perspective
interdisciplinaire pour résoudre les problèmes géographiques est encouragée".
Cependant, dans la réalité, les différentes disciplines continuent à privilégier leurs données
"naturelles" et leurs méthodes de traitements associés d'où une certaine "parcellisation du
savoir" en termes d'analyse urbaine (DAU, 1996). L'innovation est encore trop récente pour
avoir modifié en profondeur les méthodes d'analyse de chacun.
A la croisée des chemins de nombreuses disciplines, les SIG concentrent des modes de
description et de formalisation de l'espace très différents et ce particulièrement dans des
milieux complexes comme la gestion et l'analyse urbaine.
Maîtriser les SIG, et parvenir à la définition de méthodes d'analyse solides, implique d'être
capable d'assimiler une part des langages différents et de leurs concepts associés, de façon
à pouvoir dialoguer dans une véritable approche multidisciplinaire, mais surtout d'être à
même de formaliser les questions dans un langage compatible avec les différentes
composantes du système d'information.
La multiplicité des intervenants et des compétences en milieu urbain rend le sujet de la place
des SIG en milieu urbain trop vaste pour être résumé dans l'ensemble de ces composantes
(dont la richesse de cette bibliographie est la preuve).
Ainsi quelques thèmes d'utilisation des SIG en milieu urbain sont abordés ici notamment sur
l'aspect de gestion technique de la ville (par un rappel sur les logiques de mise en place des
Banques de données urbaines) puis plutôt sur des conceptions d'aménagement "supra-
communal". Il est bien évident que ce choix n'est pas restrictif des champs d'utilisation des
SIG en milieu urbain mais représente plutôt une accentuation de certaines de ses facettes.
Cette synthèse fait donc sciemment le choix d'établir un rappel historique des conditions du
développement de ces méthodes et outils en milieu urbain, puis propose quelques points de
réflexion plus méthodologiques applicables aux problématiques de l'aménagement de ces
territoires.
8
Seules quelques collectivités ont inscrit dans leurs premiers programmes informatiques ce
qui n’était à l’époque qu’une gestion automatique des plans. Ces orientations premières ont
joué manifestement un rôle indirect sur la constitution et l’utilisation des données localisées
dans les villes.
Les années 1980 ont manifestement vu une évolution fondamentale des priorités et le
démarrage réel de nombreuses applications urbaines. Au-delà des fonctions de gestion
urbaines (assainissement, éclairage public, évacuation des déchets, etc.) d'autres enjeux
ont vu le jour. G. Dupuy (1992) en distingue trois : "le service rendu au citoyen, l’économie
du système, la réorganisation territoriale". C’est sans doute dans cet esprit que s’inscrivent
les nouvelles démarches entreprises autour des SIG. Cependant, le poids des réalisations
antérieures, les échecs anciens, les cultures des équipes, etc., jouent encore un rôle
important dans l’orientation et l’utilisation pratique de ces systèmes. On ne saurait
aujourd’hui parler des tendances de l’utilisation des SIG dans l’espace urbain sans tenir
compte des traces du passé.
De façon simplifiée, on désigne par Banque de données urbaines (BDU) : "le stockage d’une
quantité éparse de données dans un même lieu, la transformation de cette information en
données utilisables, et leur mise à disposition d’acteurs pour un domaine d’application : la
ville" (Aillaud, 1992).
Les précurseurs des BDU sont peu nombreux. Certaines villes ont commencé la mise en
place d’un système informatisé utilisant l’information localisée à partir du début des années
1970. Ces expériences ont à la fois, et paradoxalement, servi de test de la faisabilité des
BDU (la plupart des créations récentes ayant tenu compte de ces expériences pionnières),
9
et de "cobayes" pour ceux qui ont pu, parfois à juste titre, douter de leur utilité au regard des
premiers résultats.
Paris fut une des premières BDU françaises. Créée en 1969 à l’initiative de l’APUR (Atelier
parisien d’urbanisme) et de l’IAURP (Institut d’aménagement et d’urbanisme de la Région
2
parisienne) , elle contenait, entre autres, des informations sur le bâti, le fichier du parcellaire
de la ville, des informations INSEE.
Quatre autres expériences marquantes ont jalonnés ces années de mise en place :
- Les essais de mise en place du RGU (Recensement général urbain) dans les grandes
villes
Ces essais s'intégraient dans un vaste plan inter-administrations dont l'objectif était de
mettre sur pied dans les communes un RGU (Répertoire géographique urbain), qui devait
être initialement complété par un RGP (Recensement géographique des parcelles) et un
4
répertoire de voies (le répertoire RIVOLI ). Le RGU a été mis en place dans de nombreuses
communes. L'INSEE a alors essayé de mettre au point des outils spécifiques pour tenter
d'utiliser les données statistiques en liaison avec le RGU. Des tentatives d'utilisation de ces
passerelles ont été menées pour les recensements de 1975 et de 1982, elles n'ont pas été
concluantes. De plus la plupart des RGU ont souffert très rapidement de l'absence de mise à
jour, leurs informations devenant alors incomplètes.
2
Aujourd'hui : IAURIF (Institut d’aménagement et d’urbanisme de la Région d’Ile-de-France).
3
Programme actuellement en voie d'aménagement avec le projet de mise à disposition par le DGI de planches
scannées des plans cadastraux.
4
RIVOLI n'est plus aujourd'hui qu'un nom de code dans le fichier FANTOIR.
10
RIVOLI) crée en 1971 par la DGI ; le RGU (cité plus haut), démarré sous l’égide de plusieurs
ministères et de l’INSEE en 1973 ; la création de grands fichiers statistiques nationaux
comme le fichier SIRENE.
Le souci de l’époque n’est pas thématique mais technique. L’informatisation est perçue
comme une possibilité d’automatisation et d’accélération de travaux répétitifs ou fastidieux.
C’est pourquoi les objectifs initiaux se sont principalement cantonnés dans une optique de
diminution du temps de recherche, de mise à jour et de production de plans. Notons
d’ailleurs que les premières BDU ont été confiée le plus souvent aux services informatiques
et aux services du plan. Ces éléments, d’apparence anecdotique, expliquent en partie les
choix principaux faits il y a vingt ans. Les données de référence (types, échelles, précision,
référentiel géographique notamment), ainsi que les types d’applications (au départ assez
éloignés des notions d’aménagement du territoire urbain), ont été proposés à partir de ces
orientations.
Il s’agit d’une période de transition pendant laquelle certaines des BDU pionnières
continuent et fortifient leur base (comme Paris ou Marseille) alors que d’autres entament une
évolution vers la constitution de nouvelles bases. La base de données de référence est alors
essentiellement le plan des corps de rues au 1:200e (Grenoble, Valence…). L’orientation est
essentiellement tournée vers une production de plans de référence pour la connaissance et
les travaux sur les réseaux enterrés. Un exemple de cette orientation est donné par la BDU
de Toulouse, mise en place en 1984 et dont le plan au 1:200e s’est achevé en 1989.
En pratique, "il semble que ces interventions sur l’espace urbain se réduisent souvent à la
gestion, c’est-à-dire à un processus de calcul guidé par des contraintes de rentabilité. De la
même façon, les BDU sont devenues un outil de gestion urbaine au sens le plus strict du
terme. La ville, appréhendée par la BDU communale, n’apparaît-elle pas comme un objet à
gérer et non plus comme un lieu et une entité porteur de projets de nature diverses ?"
(Aillaud, 1992).
Les bases de données urbaines ne sont plus cantonnées aux villes les plus importantes
(même si la tendance d’équipement suit encore très exactement la taille de la ville, cf. infra).
Il devient alors clair pour de nombreux spécialistes que "l’enjeu pour la décennie à venir est
de permettre à de villes moyennes et petites d’accéder en grand nombre à des SIG
répondant à leurs besoins pour un prix abordable [et de passer ainsi] de l’expérimentation et
de l’innovation à la gestion industrialisée des informations géographiques" (Daull, 1992).
Le second élément à retenir est sans nul doute la combinaison de plus en plus marquée
entre base de données pour la gestion, mais aussi pour l'aménagement, et la décision
stratégique (cf. infra).
Ces dernières années ont aussi vu le développement rapide des bases de données
numériques accessibles directement auprès de fournisseurs comme l'IGN, Michelin,
SPOT Image par exemple. Ainsi, au-delà des informations des découpages administratifs, la
multiplication des bases d'informations routières, voire de rues en milieu intra-urbain,
d'occupation du sol ou la facilité d'accès aux données socio-économiques ont
considérablement modifié les pratiques des gestionnaires et des aménageurs urbains.
Enfin, l'évolution des mentalités autour de l'information tend à permettre de plus en plus
d'interactions entre différents détenteurs d'informations sur la ville et permet des synergies
plus fortes entre collectivités locales et services de l'Etat, parfois autour (voire grâce) au SIG
qui devient alors un outil de médiation territoriale.
L’évolution des SIG dans les collectivités urbaines est encore difficile à évaluer avec
précision. De nombreuses études cherchent régulièrement à donner un état de la diffusion
sur ce secteur de marché très porteur. Les résultats sont nécessairement partiels, en effet
en période de transition, de nombreuses villes évoluent actuellement en migrant par
exemple d’un système de type DAO/CAO vers des logiciels SIG. Dès lors, seules quelques
tendances peuvent être données.
La situation actuelle est le résultat de la période de transition de ces dernières années. Les
rapports inversement proportionnels entre la taille des collectivités et leur niveau
d’équipement est flagrant. Des éléments issus de l'Observatoire Géomatique (IETI, 1998)
montrent que 77 % des villes de plus de 100.000 habitants sont aujourd'hui équipées de
logiciels de type SIG, DAO ou cartographiques. Ce chiffre décroît bien évidemment
rapidement avec la taille des villes (environ 64 % des villes de taille comprise entre 50.000 et
100.000 habitants, environ 16 % entre 10.000 et 50.000 habitants, etc.).
On peut aussi noter que la quasi-totalité des villes nouvelles et des communautés urbaines
sont aujourd'hui équipées.
Il est évident que ces chiffres sont en évolution assez rapide, notamment en ce qui concerne
12
les villes moyennes. Il est intéressant de noter que les principaux obstacles mentionnés par
les responsables de services (toutes tailles de villes confondues) sont dans
l’ordre : financiers, puis organisationnels, alors que le facteur technique n’apparaît qu’en
dernier, preuve d’une évolution rapide depuis quelques années (Eurovista, 1995).
Les petites villes sont encore hésitantes sur ces méthodologies (6 % environ de communes
entre 5.000 et 10.000 habitants sont équipées d'après le recensement IETI). On y trouve
pourtant des démarches de mise en œuvre de SIG, mais elles sont la plupart du temps
menées avec des partenaires locaux (comme des géomètres). Il est, de ce fait,
extrêmement difficile d’en avoir une vision globale, d’autant plus qu’il s’agit essentiellement
d’applications thématiques uniques construites sur micro-ordinateur en interne.
Il est clair pourtant que ce marché, dans une optique d’application d’aide à l’aménagement,
est essentiel. Sur des espaces réduits, avec des problèmes organisationnels a priori moins
complexes que pour les grandes unités urbaines, il est possible de développer des SIG
opérationnels en liaison avec des outils de gestion foncière ou de gestion du patrimoine par
exemple dont l’échelle des données est compatible avec une prise de décision pour
l’aménagement du territoire.
La tendance générale est donc une extension forte des SIG dans les collectivités urbaines.
S’inscrivant parfois dans la continuité d’efforts anciens autour des premières BDU, les
développements nouveaux bénéficient des enseignements issus des expériences passées.
Le concept même de Banque de données est en pleine transformation et s’enrichit d’une
démarche de mise en place d’applications précises et thématiques qui répondent aux
besoins d’utilisateurs divers. La conjonction de cette demande d’applications diversifiées,
mêlant gestion et décision d’aménagement, avec la maturité des SIG comme mode de
structuration et de traitement de l’information géographique, permet la mise en place de
BDU/SIG dans lesquelles l’orientation d’analyse des territoires urbains tient une place
importante.
Par une conjonction heureuse, l’irruption d’outils de gestion de données proposant des
13
Une des fonctions du SIG urbain devient alors, après l'administration des services urbains,
la constitution d'observatoires thématiques. "Les observatoires développés dans le cadre
des BDU sont des outils de connaissance externe qui doivent répondre à des objectifs
dépassant la responsabilité propre du gestionnaire du territoire… [à ce titre, ce sont] des
outils de prise en compte du contexte, de l'environnement, de la gestion municipale. Ils
constituent une tendance lourde des SIG urbains" (Joliveau, 1995).
Un bon exemple de cette évolution est donnée par la BDU de la Communauté urbaine de
Lyon, qui démarre en 1985 une étude de faisabilité d’envergure pour la mise en place de la
BDU "nouvelle formule" dès 1987. Le choix d'un logiciel clairement affiché comme outil SIG
montre la détermination de s’inscrire dans une démarche "multi-usage", en pleine évolution
par rapport aux BDU orientées uniquement vers la gestion.
Ces nouvelles possibilités, liées en partie à de nouvelles approches logicielles dues aux SIG,
ont d’ailleurs entraîné le véritable démarrage de nombreuses BDU dans les années 1989-
1991 et l'apparition de nouvelles tendances, la plupart compatibles avec une évolution vers
l’utilisation combinée de données de gestion et de prise de décision stratégique.
Un exemple de ces BDU polyvalentes est celui de la Communauté urbaine de Brest. Dès
1989, des objectifs de développement économique et territorial pour la ville (incluant des
préoccupations fortes en matière d’environnement) prédisposait la BDU à une orientation
d’analyse. Ses données de base sont un ensemble d’informations sur des fonds cadastraux
ou topographiques à l’échelle du 1:5.000e. Le logiciel choisi est résolument SIG standard du
marché rompant avec une tradition de produits hybrides internes souvent inadaptés aux
besoins. Ce choix est d’ailleurs en partie justifié du fait que la préoccupation de localisation
précise (de type photogrammétrie) ne faisait pas partie des impératifs.
Les premières utilisations ont montré une orientation résolument tournée vers le thématique
avec des cartographies du recensement à l’îlot, le recensement du patrimoine historique ou
des plans de paysage. L’application de localisation des entreprises à l’adresse postale sur le
territoire de la commune est un des exemples des types de préoccupations et d’applications
qui émergent aujourd’hui dans les villes, et pour lesquelles les BDU sont dorénavant
conçues à des fins d’aide à la décision en s'appuyant sur des SIG.
En l’espace d’une dizaine d’années la vocation même des BDU s’est transformée. Les
implications majeures sont tout d’abord l’évolution de l’échelle de référence. Le plan de
corps de rue n’est plus en effet un passage obligé, et les échelles choisies sont bien souvent
beaucoup plus compatibles avec le travail des développeurs ou des urbanistes. Cette
évolution peut avoir une incidence importante sur les temps et les coûts de constitution des
14
données et il est probable que les dizaines d’années de saisie nécessaires il y a vingt ans
pour constituer le fond numérique de référence font désormais partie d’un malheureux effet
précurseur.
La "mise en image de la ville" par le recours au SIG permet d'assurer une fonction de
"médiation" notamment lors des présentations par les élus des projets en cours, mais aussi
de sensibilisation au territoire urbain auprès de la population : par le biais d'actions
pédagogiques, auprès des écoles ou lors de conférence publiques.
Cette évolution de certaines bases de données urbaines montre sans doute qu'un stade de
maturité dans la maîtrise de l'information géographique est en phase d'être atteint. D'un outil
essentiellement technique, le SIG devient un vecteur de communication pour la ville et
valorise le travail technique de constitution et de mise à jour de l'information.
5
Ce titre est emprunté à Eliane Bouet (1998).
15
Jusqu'au début des années 1990, les enjeux de la diffusion de l'information géographique et
des SIG dans les collectivités territoriales et/ou les services de l'Etat ont d'abord été perçus
comme liés à l'informatisation de méthodes de travail dans un environnement à évolution
lente. On a pu avancer ainsi, sans doute de façon provocatrice, que "les collectivités locales
françaises ne cherchent pas, sauf rares exceptions, de bouleversements organisationnels.
Les élus n’ont pas véritablement pris conscience des enjeux de l’informatique. Les
personnels ont été très lents à s’approprier l’outil informatique" (Dupuy, 1992).
Cette mise en lumière d'écueils organisationnels, dont la conséquence peut aller jusqu'à
l'échec de l'introduction de l'innovation, a donné lieu à des tentatives de formalisation de
méthodes de mise en œuvre des SIG. Pour la plupart issues des théories de mise en œuvre
de systèmes d'informations, elles sont souvent utilisées dans les collectivités. C'est le plus
souvent des adaptations de la méthode MERISE qui ont été tentées (Rouet, 1991).
L'avantage de ces démarches a été de montrer l'importance d'études structurées et
complètes préalables à toute réalisation. En mettant en lumière de façon formalisée les
complexités dues à la structuration de l'information géographique dans un contexte
opérationnel, elles offrent un support de réflexion sur les possibilités de transfert de
connaissance de la recherche fondamentale vers l'application.
Dans un autre ordre d'idées, elles ont souvent révélé les blocages institutionnels liés à la
détention d'informations localisées. Là encore, et avant même la moindre réalisation
d'application, on doit modifier le discours théorique d'un accès aux données en pleine
évolution. Car si les bases de données se multiplient, ce sont encore les hommes qui en
fixent les modalités de diffusion.
Malgré le côté positif de la mise en perspective d'un certain nombre d'éléments importants,
dont ceux mentionnés précédemment, on s'accorde en général pour admettre que la
transposition des méthodes d'analyse de mise en œuvre de SIG issues de domaines
fondamentalement différents (mise en place d'une structure bancaire, écriture de logiciel,
etc.) rencontrent des limites quand elles traitent des chaînes de traitement de l'information
géographique numérique. Une grande part de la difficulté de mise en œuvre de démarches
cohérentes tient à la multiplicité des demandes autour d'un outil qui, s'il semble au premier
abord homogène, désarme des protocoles trop univoques par sa complexité et
l'hétérogénéité des résultats qu'ont peut en attendre. C'est pourquoi toute mise en œuvre
16
L’ouverture des SIG urbains à des applications plus thématiques qu’auparavant permet-elle
d’envisager une amélioration des résultats opérationnels issus des traitements de
l’information numérique ? Le principal écueil vient une fois encore des types de données
disponibles dans ces BDU "nouvelle formule". Sont-ils différents de ceux d’hier, et si oui,
jusqu’où peuvent-ils être utilisés dans la prise de décision stratégique ?
M. Wolf (1993), souligne à juste titre que les données actuellement constituées par les villes
sont de trois natures différentes : les données "naturelles" (site, sous-sol, contraintes
paysagères, etc.), dont la prise en compte devient, avec la préoccupation environnementale,
un passage obligé ; les données "artificielles", que sont toutes les infrastructures construites
de la ville ; et les données "immatérielles" qui sont en fait les indicateurs sur les habitants de
la ville.
Les collectivités urbaines sont dans une position particulière, au carrefour des besoins de
gestion technique et des prises de décision stratégiques pour l’aménagement. La question
fondamentale à laquelle se trouve confrontée aujourd’hui l'analyse urbaine utilisant les SIG
6
Une polémique s'est engagée très tôt aux USA concernant ce problème, provoquant un échange de points de
vue dans IJGIS (Dickinson & Calkins, 1988, 1990 ; Wilcox, 1990).
17
est liée à ces différents niveaux de prises de décision, et les impacts que cela entraîne sur
les politiques de constitution et d'utilisation de l’information.
Document d’urbanisme
tactique (1:5000)
Ces préoccupations sont résumées par J. Chevalier (1990), qui rappelle que chaque niveau
de cette pyramide correspond non seulement à un besoin précis, mais aussi à un public
particulier. Les décisions stratégiques aux élus, la planification aux directions des services,
l’exécution pratique et l’opération par les personnels techniques. Ce triangle "montre qu’à
chacun des niveaux de responsabilité correspond un besoin en information bien particulier,
différent aussi bien par le volume de données, le niveau de généralisation et de précision
que la forme sous laquelle cette information est remise aux intéressés".
Dès lors, les choix initiaux de constitution de l’information de base doivent prendre en
compte la dimension stratégique. Il ne suffit pas de généraliser un plan au 1:200e à une
échelle plus petite pour offrir un document support de décision ! La base de données doit
comporter des couches multi-échelles et multi-thématiques. Cette approche, absente des
premières BDU, semble maintenant admise, et la participation de nombreux services à la
mise en œuvre des SIG en milieu urbain permet d’envisager la cohabitation des informations
destinées à des usages différents.
La situation actuelle est encore en phase de transition. La prise de conscience à la fin des
années 1980 des possibilités des BDU/SIG dans des démarches d’aménagement est, au
bout du compte, assez récente. Les exemples de réalisations nouvelles illustrent deux
tendances : soit la mise en place dans un premier temps de la base de données technique
nécessaire à la bonne gestion de l’espace urbain, pour ouvrir dans un second temps cette
base à des applicatifs dont les résultats pourront être utilisés par les décideurs (ex. BDU de
la COURLY) ; soit développer directement une collecte d’informations spécifiques à
destination des développeurs et ce principalement dans les villes moyennes (ex. CU Brest).
Ces questions posent bien entendu le problème global d’un territoire inégalement couvert
par l’information. Il convient de souligner l’incompatibilité apparente d’une base restreinte à
l’espace d’action de la ville, comparé à l’extension spatiale à prendre en compte pour asseoir
son développement. Ainsi "les cadres pertinents d’une politique d’intervention deviennent
des « unités rurales-urbaines » aux différentes échelles des relations entre les deux
catégories d’espaces traditionnellement traités séparément par l’aménagement du territoire"
(Ascher & al., 1993).
L’enjeu, dans une optique d’aménagement est de parvenir à développer des bases de
données géographiques complémentaires, sans solution de continuité, dans des espaces
différents, administrativement ou géographiquement, mais cohérents en termes d’action
stratégique.
Du point de vue des villes, c’est bien entendu le lien avec les SIG développés à des
échelons territoriaux directement supérieurs (intercommunalité, département ou région) qui
pourrait répondre à cette nécessaire complémentarité territoriale.
Pour la plupart des experts, trois échelles de travail principales coexistent dans les
démarches d'aménagement en milieu urbain :
- le 1:100.000e, c'est l'échelle de la planification générale, celle de la compréhension des
dynamiques urbaines et des consommations de l'espace. Elle permet de suivre l'évolution
du territoire et de mieux comprendre les secteurs à enjeux en termes d'aménagement ;
- le 1:25.000e, c'est l'échelle de l'analyse urbaine détaillée, du fonctionnement urbain, de
certaines études d'habitat, de déplacements et de transports, d'implantations économiques,
etc.
- du 1:2.000e au 1:500e, ce sont les échelles du projet urbain détaillé, des améliorations de
voiries, de la gestion des services, etc.
Bien que l'articulation des phénomènes aux divers échelons territoriaux et leur portée sur le
19
territoire ne soit pas aujourd'hui parfaitement maîtrisée, il semble admis qu'une réflexion
multi-échelles est la démarche la plus efficace en termes de stratégie de développement
territorial. Cet impératif conduit à chercher la complémentarité des informations à ces
différentes échelles au sein des SIG urbains.
Une mise en situation des capacités de l'outil avec la démarche théorique soulève des
problèmes de deux ordres : les premiers concernent les méthodologies de traitement multi-
échelles, les seconds les données géographiques elles-mêmes et leur pertinence.
Il y a en effet une différence non négligeable entre des capacités réelles de mise en
correspondance de données géographiques d'échelles diverses dans les SIG, et la portée
de leur utilisation conjointe en termes d'analyse, la signification de traitements combinés de
ce type restant encore critiquable.
Si les SIG sont capables de stocker des couches d'informations correspondant à des
échelons territoriaux différents, leurs capacités à traduire la complémentarité des espaces
tient plus à une possibilité de zoom successifs qu'à une réelle possibilité de traitements
combinés. Cette critique ne s'adresse pas à la conception de l'outil lui-même, mais
beaucoup plus à la portée méthodologique de tels traitements au regard des types
d'informations disponibles.
Du fait même de la tradition cartographique dont les SIG sont issus, l'échelle traduit, dans
ces outils, une notion d'emboîtements graphiques beaucoup plus qu'une complémentarité
thématique.
Certains ont pu parler au sujet des données urbaines de "formatage imparfait des données"
(Prouzet, Hernandez, 1995) en démontrant les risques de bases de données soit
surdimensionnée soit sous-dimensionnées par rapport aux problèmes de gestion et
d'aménagement urbains.
7
Un décalage profond existe aujourd'hui entre la nécessité d'un "polymorphisme" des
7
Gaudemar (1992).
20
données qui répondrait aux attentes d'une démarche multi-échelles nécessaire à l'action
stratégique, et la réalité de l'offre de données numériques sur laquelle le poids de l'histoire
pèse de façon considérable et constitue d'une certaine façon encore aujourd'hui un frein à la
mise au point de méthodes opérationnelles tirant pleinement partie des possibilités ouvertes
par les SIG.
Une des problématique de demain réside dans l'articulation des bases d'information et leur
comparabilité (a minima) voire leur compatibilité (au mieux). C'est à ce prix que l'expert
thématicien pourra alors trouver dans les SIG un outil qui répondra pleinement à sa
demande orientée métier.
De la même façon des voix s'élèvent aujourd'hui, constatant le fossé qui existe entre SIG et
action d'aménagement pour souligner qu'une "attention bien plus importante doit être
donnée à la construction et au développement de systèmes d'information reflétant les
processus socio-économiques, de façon à obtenir une meilleure représentation des
systèmes spatiaux qui s'adapterait mieux aux besoins des aménageurs urbains et
régionaux" (Nijkamp et Scholten, 1993). La mise en place et l'adaptation de ces systèmes
ne peut s'envisager sans une réflexion sur l'offre de données géographiques et leurs
utilisations possibles pour un type d'usages particulier.
Il s'agit notamment de l'enjeu de l'articulation des SIG avec la collecte et la structuration des
données issues des recensements de population. C'est pourquoi l'INSEE travaille
actuellement en collaboration avec l'IGN pour parvenir à mettre en place une base d'îlots
dont l'objectif est de constituer une cartographie infracommunale numérisée sur les
communes de plus de 10.000 habitants.
On peut d'ores et déjà annoncer que les prochaines avancées se feront sans nul doute vers
des recensements entièrement réalisés à partir du SIG, qui garderont l'information dans un
niveau de détail de type immeuble ou maison et qui seront ensuite réagrégeables selon des
périmètres variés selon les demandes et l'objectif de l'étude (Martin, 1998). Une telle
évolution irait dans le sens du règlement d'un certains nombre de problèmes liés à
l'adéquation des territoires d'études avec ceux décrits dans les SIG (cf. infra).
21
Prenons d'abord comme exemple des perceptions différentes d'un même espace telles que
les propose S. Wachter (1993) qui distingue trois niveaux d'ordres dans les institutions
territoriales :
- la fonction politiques des territoires (périmètres géographiques où sont assurées les
fonctions représentatives nationales et locales) ;
- la fonction administrative (cadre où l'Etat et les collectivités territoriales gèrent les affaires
publiques) ;
- les fonctions économiques et fonctionnelles (lieux où s'effectuent les activités
productrices).
Selon le niveau d'ordre choisi, et dans l'optique d'une meilleure compréhension des
structures du territoire, il faudrait pouvoir mobiliser différents types d'informations, elles-
mêmes reliées à des systèmes multi-échelles différents, en un mot adapter la fourniture de
données à la flexibilité de la démarche. On est loin encore aujourd'hui d'une telle possibilité,
et l'aspect figé d'une couche d'information dans un SIG ne prédispose pas à des variations
thématiques de cet ordre.
De la même façon, il paraît trivial d'affirmer qu'un territoire, vu à différentes échelles, révèle
des structures et des dynamiques différentes. C'est d'ailleurs pourquoi l'aménageur privilégie
une analyse emboîtée. Le spécialiste des SIG est aussi préoccupé par les phénomènes
d'emboîtements d'informations à différentes échelles. Sa vision est néanmoins le plus
souvent réduite à des problèmes (non négligeables techniquement et méthodologiquement)
d'agrégations des données spatiales et attributaires lors des changements d'échelles. Mais
est-ce là le principal problème ?
Une très bonne synthèse de ce problème crucial a été donnée par Lacour et Puissant (1992)
qui avancent que de "la tectonique des territoires naissent de nouveaux problèmes. On est,
en effet, confronté à un décalage croissant entre unités institutionnelles (communes,
départements, régions…) pour lesquelles potentiellement des informations existent, et les
nouveaux territoires - macro et micro espaces - pour lesquels évidemment, compte tenu de
leur géométrie flexible, de leur réalité et de leurs frontières changeantes, il n'est pas possible
d'avoir les informations de base, permettant de fonder un diagnostic sérieux et des
stratégies de choix éventuels […], la référence obligée reste [alors] la comparaison de
données homogénéisées sur les limites institutionnelles qui exprime une réalité statistique
doublement déphasée des problèmes ressentis par les acteurs et les responsables de ces
nouveaux territoires".
Pour des raisons pratiques, historiques et financières, les SIG mis en place ont le plus
souvent privilégié une vision univoque du territoire urbain sans véritablement entrevoir ses
diverses facettes. Un important travail a été fait pour fixer les règles de la modélisation du
réel et de sa traduction numérique, mais on a occulté ce que devait être une modélisation
des territoires ou des indicateurs pertinents pour une action de développement opérationnel.
22
Cette situation a pendant longtemps été accentuée par le caractère soit strictement
descriptif soit administratif des grandes bases de données géographiques d'ampleur
nationale.
Cette situation n'est donc pas entièrement imputable à la démarche de mise en place d'un
SIG. Le problème de la définition d'indicateurs pertinents sur le territoire est un domaine en
pleine évolution.
Dans la prise en compte des liens entre SIG et missions des services publics, on considère
le plus souvent le SIG soit dans sa dimension d’outil informatique, soit dans sa dimension de
système d’information (assemblage multiple de matériels, de procédures, et de contenus).
Mais on oublie souvent de prendre en compte une des dimensions fondamentales : la
temporalité selon laquelle évoluent les composantes d’un SIG, pour la confronter à celle des
missions des collectivités.
Comme toute innovation informatique, les SIG sont tributaires des rythmes d’évolution des
matériels et des innovations méthodologiques. Or, ces rythmes sont beaucoup plus rapides
que les rythmes de prise de décision dans les services publics. Au-delà de cet état de fait,
encore souvent déterminant pour permettre la mise en place de bases de données urbaines
efficaces, l’essentiel du problème structurel que rencontrent les services publics tient à la
différence de temporalité entre l’action territoriale à entreprendre et la constitution de
données.
Ainsi par exemple, si on considère les opérations de gestion des collectivités pour lesquelles
les SIG sont souvent requis, notamment dans les villes, le décalage entre l’objet réel (un
corps de rue, une borne) est réduit du fait des grandes échelles auxquelles on travaille
généralement (1:200e, 1:500e). En revanche, le décalage entre la vitesse d’évolution du
monde réel (sur laquelle l’action doit s’ajuster) et le temps de la base de données est quant
à lui important.
Il est bien évident que le monde réel évolue sans lien direct avec l’échelle de travail.
Cependant, sur un support à petite échelle, les objets sont généralement moins nombreux,
et l’on travaille plus sur des temporalités longues que sur le quotidien. Dès lors, la question
posée est de savoir comment les collectivités peuvent gérer des temporalités différentes à
partir de bases de données particulières ?
Dans le cas des SIG de gestion urbaine, la mise à jour d’informations particulières doit être
effectuée quotidiennement (cadastre, réseaux…). Cette mise à jour n’est possible que si la
ville possède les données, les moyens humains et la maîtrise des procédures de mise à jour
(parfois sous convention avec des fournisseurs institutionnels). Mais qu’en est-il pour les
bases de données achetées, sur lesquelles les possibilités de mise à jour sont plus
complexes ?
23
Les temporalités de mise à jour des bases de données des fournisseurs sont-elles
fondamentalement compatibles avec les temporalités d’action de la collectivité ? C’est sur
les échelons territoriaux intermédiaires que cette question doit être prise le plus
sérieusement en compte. On ne peut prétendre constituer une base de données utile si son
évolution ne s’adapte pas aux besoins opérationnels de la collectivité.
Le problème du temps de rafraîchissement des bases de données doit être posé de façon
claire, et ce surtout en milieu urbain à dynamique rapide. C’est un des obstacles majeurs à
l’utilisation optimale de l’outil SIG. Peu de collectivités tiennent compte de l'écueil plus
conceptuel que technique qu’il y a à stocker, par exemple, des données de recensement (à
temporalité de 10 ans), des images de télédétection à temporalité annuelle, des données
techniques à modifications quotidiennes, etc. et à assurer leurs évolutions consécutives.
La pertinence de l'information liée à sa "fraîcheur" sera d'autant plus à assurer que les
moyens d'accès à des données accessibles par chargement sur réseau informatique va se
multiplier rapidement dans les années à venir. A ce moment le ratio entre données
résidentes et données déportées et la gestion de leur cohabitation seront sans doute un des
éléments clé de la fiabilité du SIG.
Les SIG sont donc aujourd'hui des outils incontournables de la gestion urbaine. Par le
développement des bases de données géographiques, l'évolution des savoir-faire et
l'amélioration des outils et des méthodes, ils sont de plus en plus intégrés dans les
processus d'études et d'aménagement urbain.
Cette évolution se résume notamment par la glissement d'une notion de BDU (Banque de
données urbaine) vers celle de SIGU (Système d'information géographique urbain).
Cependant, la complexité de la ville et de son intégration dans les territoires d'échelles
différentes n'est pas encore aujourd'hui pleinement prise en compte dans les SIG urbains.
Du chemin reste encore à parcourir pour optimiser l'apport de ces outils et une meilleure
intégration des savoir-faire des spécialistes de la ville avec les possibilités d'accès à
l'information aux traitements d'analyse.
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IGN
27
GEOGRAPHICAL INFORMATION
SYSTEMS
for urban management and planning
SYNTHESIS
28
This dossier, “Geographical information systems”, has been prepared at the request of the Centre de
1
documentation de l’urbanisme (CDU) by :
2
Anne BERRY (Institut géographique national) , bibliography,
and Philippe MIELLET (EDATER), synthesis,
3
under the supervision of Claude ECOBICHON (Conseil général des ponts et chaussées) ,
The summary first presents some elements about the history of urban data banks in order to
understand the current problems for geographical information systems. A selection of the thematic
and methodological points then a summary of the questions arising from the use geographical
information systems in urban planning topics.
The person preparing the bibliography follows up the “bibliographical approach” published by the CDU
in 1992 under the same title. It is not exhaustive and basically takes into account the books and articles that
have appeared over the last five years. The references pointed out come from different sources :
- question about Urbadisc, Urbamet, Francis and Pascal
- consultation of the documentary archives at the Centre de documentation de l’urbanisme (CDU), at the Institut
géographique national’s documentation centre (IGN), at the library of the Ecole supérieure des travaux
8
publics, du bâtiment et de l’industrie (ESTP) , at the library of the Institut français d’architecture (IFU)
9
, the documentation in the Centre d’études sur les réseaux, les transports, l’urbanisme et les
10 ;
constructions publiques (CERTU), and the documentation at the Ordre des géomètres-experts
- study of journals and reports from congresses, symposiums, ...
The references, depending on their source, are not always followed by an abstract. They are classed,
with all the documents mixed together, in reverse chronological order, with the most recent ones first.
Finally, so as to help us to understand some titles in foreign languages, Anne BERRY has offered a
translation between square brackets.
The documents mentioned may be inspected at the organisations listed at the end of the works.
1
CDU : Town planning documentation centre.
2
IGN : National geographical institute.
3
CGPC : Civil engineering council.
4
CERTU : Centre for studies on networks, transport, town planning and public buildings.
5
CNIG : National council for geographical information.
6
Creations advisory services.
7
Institute of geography, Laboratory for Images and towns.
8
ESTP : University civil engineering school.
9
IFU : French town planning institute.
10
Professional surveyors’ association.
29
contents
INTRODUCTION
BIBLIOGRAPHY
introduction
Urban growth is accompanied by the multiplication of the data which describes the urban
territory and those who live there : localisation of the activities, of the means of transport, of
the facilities…management of property taxes and heritage taxes, etc.
All this information brings, in one way or another, an attribute of localisation, whether it is
accessible under the form of exact pinpointing on a map or under the form of aggregation
available according to some pre-defined divisions. Their display in the form of plans or maps
is still one of the simplest ways to show them.
This double obligation from the management of information to the growing complexity and
territorial display of its size and its dynamics imposes a process of rationalisation on the
storage and access to localised data.
At the present time, and this has been so now for over 15 years, one of the best possible
choices for organising the technical and social information for cities is called the
Geographical information system (GIS).
What is a GIS ?
The growth in the approaches for storing and processing geographical information is
accompanied by a proliferation of the tools capable of structuring and processing it, grouped
together for comfort’s sake under the acronym GIS.
In fact, a simple definition presents a GIS as : "a system for collecting, storing, verifying,
handling, analysing and restoring data that is spatially referenced to the surface of the
Earth" (DoE, 1987).
However some misunderstandings still persist about the strict definition of the GIS. These
are essentially due to the fact that the acronym covers the following at the same time :
- the concept of a string for processing digital geographical information ;
- the computer tools that allow it to be instrumented ;
- and the applications which are built with this tool.
8
These different points of view lead to multiple definitions which would be too time-
consuming to go through again here, but from which it should be pointed out that the
smallest common denominator is often, and in a rather limited way, the computer tool.
A GIS is above all an Information system (IS) the objective of which is to describe a territory
so as to enhance the knowledge about it and to allow the description and analysis of the
natural or human phenomena which occur therein.
8
On this subject see a chosen panel of definitions in MAGUIRE (1991).
31
Through a standardisation of the way for handling geographical information (both in the tools
and in the ways for processing it), the current trend is to gather together under the name of
GIS a certain number of methods and domains of application, especially in urban analysis
without seeking to specifically distinguish between the advantages and the drawbacks of
such a mixture.
The postulate of the GIS, tools that unite the approaches for processing geographical data
and are widely covered in the literature under different forms and as Shepherd (1991) points
out : "through the intermediary of the integration of data which used to be previously the
domain of specialists in individual disciplines, an interdisciplinary approach for solving
geographical problems has been encouraged".
However, in reality, the different disciplines continue to give priority to their "natural" data and
their related methods for processing or a certain "compartmentalisation of knowledge" in
terms of urban analysis (DAU, 1996). This innovation is still too recent to have changed the
methods for analysis for any of them in depth.
At the crossroads of many disciplines, GIS concentrate some very different ways for
describing and formalising space and this is particularly true in some complex environments
such as urban management and analysis.
Mastering GIS, and achieving the definition of solid methods for analysis, means being able
to assimilate part of the different languages and their related concepts, so as to be able to
discuss them with a truly multidisciplinary approach, but above all being capable of
formalising the questions in a language compatible with the different components of the
information system.
The multiple nature of those intervening and of the powers in an urban environment makes
the subject of the place of the GIS in an urban environment too big to be summed up for all
of these components (whose wealth in this bibliography is the evidence).
Hence some subjects about the use of the GIS in an urban environment are dealt with here,
especially regarding the aspect of technical management of the town (through a review of
the logistics for the implementation of Urban data banks) then rather about the conceptions
of "supra-communal" planning. It is quite clear that this choice is not restrictive on the fields
of use of the GIS in an urban environment but represents rather an exaggeration of certain
of its features.
Hence this synthesis knowingly makes the choice of establishing an historical review of the
conditions for the development of these methods and tools in an urban environment then it
proposes some more methodological points to reflect on that are applicable to the planning
problems for these territories.
32
The development of the specific domain of urban data management should, above all, be
replaced by a more general progress which is the computerisation of towns. In effect, the
development of the process of acquisition and of restitution of the geographical data from
the urban community does not form part of the original cores for the development of urban
computing. The latter are firstly centred on accountancy on the one hand and
telecommunications on the other hand. The first software applications generally involved the
establishment of the electoral lists, pay for the employees, etc.
Only a few authorities included in their first software programmes what, at that time, was
merely automatic management of the plans. These approaches first have obviously played
an indirect role in the formation and the use of the data located in the towns.
The eighties clearly witnessed an essential change in the priorities and the real start -up for
numerous urban applications. Beyond the functions of urban management (sewage, street
lighting, waste disposal, etc.) other stakes have arisen. G. Dupuy (1992) distinguishes three
of them : "the service provided for the citizen, the economy of the system, territorial
reorganisation". It is undoubtedly within this spirit that the new procedures undertaken are
included for the GIS. However, the weight of the previous work, the old failures, the team
culture, etc., still play an important role in the orientation and the practical use of these
systems. Today we could not talk about the trends for the use of GIS in the urban space
without bearing in mind the traces from the past.
Put simply, an Urban data bank (UDB) means : "the storage of a wide range of data in the
same place, the conversion of this information into usable data, and placing it at the
disposal of the agents for a domain of application : the town" (Aillaud, 1992).
It may be interesting to go over the great periods for the development of these urban data
banks, to put them into perspective with respect to the methodological and technical
capacities, as well as with respect to the change in needs over the last twenty years, so as to
better understand the current situation.
The seventies
The forerunners of the UDB are scant in number. Certain cities began the implementation of
a computerised system using the localised information as from the start of the seventies.
These experiments have in turn, and paradoxically, been used for testing the feasibility of the
UDB (with most recent systems having taken into account these pioneering experiments),
and have been used as "guinea-pigs" for those who have been able, sometimes rightly so, to
doubt their usefulness in view of the first results.
Paris had one of the first French UDB. Created in 1969 at the initiative of the APUR (Paris
33
workshop on urbanism), and the IAURP (Institute for planning and urbanism in the Region of
9
Paris) , it contained, amongst others, some information about building, the file on the
division of the city into parcels, some information on the INSEE.
- The survey for the cadastral plan and the complementary topographical plan of the
city of Marseilles
The implementation of the UDB dates back to 1972, one of the very first ones, and the data
collection for the cadastral survey started off in 1973. This cadastral survey was the object of
an agreement with the Directorate general for taxes (DGI) in 1991. The first topographical
plan at a scale of 1:200 was printed in colour (quite a feat back then) in 1978. The
experiment in Marseilles is undoubtedly one of the successful examples of the
implementation of a large UDB. The base is still "alive" and is regularly enriched with new
applications.
- The preparation, by the Directorate general for taxes (DGI), of the first computerised
cadastres for the cities of Paris, Lyon, St-Etienne, Bordeaux, Montbéliard
These programmes, completed in the mid 80s, were the first configuration for the launch, in
1991, of the CCP (Computerised cadastral plan) throughout the country and for a duration
10
initially planned for 30 years .
- The trials for the implementation of the GUC (General urban census) in the large
cities
These trials were included in a vast plan between the different authorities, the objective of
which was to set up an UGD (Urban geographical directory) on the local districts, which was
initially meant to be completed by a GCP (Geographical census of parcels) and a directory of
11
roads (the RIVOLI directory). The RGU has been implemented in numerous local districts.
The INSEE then tried to set up the specific tools for attempting to use the statistical data in
collaboration with the RGU. Some attempts to use these firewalls were carried out for the
census in 1975 and in 1982, they were not conclusive. Moreover, most of the RGU very soon
suffered from the lack of updating, with their information soon becoming outdated.
Other towns or urban comunities such as Lyon or Toulouse joined in this great launch. It is
important to understand the context in which these experiments came about. The first years
of the seventies were in effect marked by the numerous operations performed, sometimes
without any real agreement amongst the different actors, seeking to produce some
geographical information of reference. Without going into detail, let’s remember the creation
of the computerised streets and place names directory (FINATO then RIVOLI) created in
1971 by the DGI ; the RGU (mentioned above), launched, under the aegis of several
Ministries and the INSEE in 1973, the creation of large national statistical files such as the
9
Nowadays IAURIF (Institut d’aménagement et d’urbanisme de la Région d’Île-de-France).
10
Programme currently being planned with the project for the publication by the DGI of scanned plates of the
cadastral plans.
11
RIVOLI today is just a code name in the FANTOIR file.
34
SIRENE file.
The concern back then was not thematic but technical. Computerisation was perceived as a
possibility for automation and speeding-up repetitive or boring jobs. That is why the initial
objectives were mainly limited to a viewpoint for the reduction in the time for researching,
updating and producing plans. Let’s also take into account the fact that the first UDB were
usually entrusted to the computer departments and the planning departments. These facts,
which sound like a fairy story, in fact partly explain the main choices made twenty years ago.
The data of reference (types, scales, accuracy, referential and especially geographical), as
well as the types of applications (at the start quite far removed from the notions of planning
for the urban territory), were proposed based on these approaches.
The lessons learnt from this period are both linked to the economic climate and structural.
Linked to the economic climate firstly, because the major difficulties could not be explained
(delay and overspending amongst others), that were encountered by these pioneering towns
without putting them into perspective with the technical environment of the age. The lack of
performance of the tools back then, the limitations of the tools chosen for data collection, the
absence of qualified staff, etc., played an important role in the progress of these few
experiments without however being the only sources of their difficulties.
It was a period of transition during which certain of the pioneering UDB continued and
strengthened their bases (such as Paris or Marseilles), whilst others started a change
towards the setting-up of new bases. The data base of reference was then basically the plan
for roads on a scale of 1:200 (Grenoble, Valence…). The approach basically turned towards
the production of plans of reference for knowledge about and the works on the underground
networks. One example of this approach is provided by the UDB in Toulouse, set up in 1984
and whose plan at a scale of 1:200 was completed in 1989.
The revolution in software allowed the modernisation of the production of plans and CAD
applications to be introduced more easily (Computer-aided design). Hence the applications
of these UDB had basically turned towards supplying management data for the technical
services, and not towards the implementation of a true information system for the
community. Urban planning was firstly understood in its technical dimension, and the
localised information as a support for the plan.
In practice, "it seems that these interventions on the urban space are often limited to
management, that is to say, to a process for calculation governed by the restraints of
profitability. In the same way, the UDB have become a tool for urban management in the
strictest sense of the word. The town would now appear, as recorded by the district UDB, to
be an object to be managed and no longer as a place and an entity that includes different
kinds of projects, don’t you think?" (Aillaud, 1992).
So this was a period of transition, from which some new concerns arose, accompanied by
the highly significant breakthroughs in computing, and especially the arrival of the first
standard GIS in Europe and in France.
One of the elements marking this period is the speeding-up in the diffusion of the
methodologies for processing geographical information within the different levels of local
district authorities but also within the State services, especially due to the fact of the
development of personal computers
Urban data bases were no longer confined to the largest cities (even if the trend for
equipment still follows very accurately the size of the town, see below). It became clear for
many experts that "the stake for the coming decade is to allow the small and medium-sized
towns to gain access to the GIS in large numbers, thereby meeting their needs at an
affordable price [and hence to pass over] from experimentation and innovation to the
management of geographical information on an industrial scale" (Daull, 1992).
The second element to highlight is undoubtedly the ever more significant combination
between data bases for management but also for planning and strategic decision-making
(see below).
The last few years have also seen the fast development of digital data bases accessible
directly from suppliers such as the IGN, Michelin, SPOT Image, for example. Thus, beyond
the data on the administrative divisions, the multiplication of the bases with road data, indeed
for roads in an environment within the city, land use or the ease of access to socio-economic
data considerably altered the practises for administrators and urban planners.
To sum up, the change in thinking about information tends to allow more and more
interactions between different holders of data about the town and allows stronger synergies
between local authorities and the State services often through (indeed thanks to) the GIS
which has now become a tool for regional arbitration.
The progress of the GIS in the urban authorities is still difficult to assess exactly. Numerous
studies regularly attempt to report on the diffusion in this very buoyant market sector. The
results are necessarily partial, in fact in a period of transition, many towns currently evolve by
migrating, for example, from a CAD/CAM type system towards GIS software. Of course, only
a few trends can make up the data.
The current situation is the result of the period of transition over the last few years. The
inversely proportional ratios between the size of the authorities and their level of equipment
is patently obvious. Some results taken from the Géomatique Observatory (IETI, 1998) show
that 77 % of the towns with over 100,000 inhabitants are today equipped with GIS, CAD or
cartographic type software. This figure decreases, quite obviously, rapidly according to the
size of the towns (around 64 % for the towns of a size ranging between 50,000 and 100,000
inhabitants, around 16 % between 10,000 and 50,000 inhabitants etc.).
It may also be noted that almost all of the new towns and the urban communities are already
equipped today.
It is clear that these figures are evolving quite rapidly, especially as far as average-sized
towns are concerned. It is interesting to note that the main obstacles mentioned by the
heads of services (all sizes of towns together) come in the following order : financial, then
organisational, whereas the technical factor only appears in the final spot, proving the fast
change over the last few years (Eurovista, 1995).
36
Small towns are still dubious about these methodologies (around 6 % of local districts with
between 5,000 and 10,000 inhabitants are equipped according to the IETI census).
Nevertheless the procedures may be found there for setting-up GIS but they are mostly
carried out with local partners (such as the surveyors). Hence it is extremely difficult to gain
an overall view, even more so when it basically involves single subject applications built
internally with a personal computer.
It is however clear that this market, from a viewpoint for its application for helping planning,
is essential. Over small spaces, a priori, with less complex organisational problems than for
the large urban units, it is possible to develop operational GIS in connection with
management tools or heritage management, for example, for which the scale of the data is
compatible with decision-making for regional planning.
The general trend is therefore a great expansion in the GIS in the urban authorities.
Sometimes included in the continuity of old efforts from the first UDB, the new developments
benefit from the lessons learnt from past experiments. The very concept of a Data bank is
going through a complete transformation and is being enriched by a process of
implementation of accurate and thematic applications which meet the needs of different
users. The joint appearance of this demand for different applications, mixing management
and decision-making for planning, with the maturity of the GIS as a way for structuring and
processing the geographical information, allows the implementation of UDB/GIS in which the
analytical approach to urban territories holds an important place.
« Decentralisation has made the local districts responsible for planning, land use and
operational planning, with the State remaining as the vouchsafe for general balances and the
performance of the projects of public interest. As a result, we are now witnessing the
diversification and multiplication of the works managers, as well as a new expression of the
needs, but not any new needs » (Wolf, 1993).
The same author underlines, and rightly so, the modifications in the financial and
technological environment which partly explain the change in demands and in thinking. So
amongst these characteristics : the need for more adaptable and more modular planning in a
period of low economic growth, taking into account the demand in view of technological
advances, the management of the environment as a necessity and the will to preserve the
existing one. The fundamental change which is taking place is linked to the understanding by
a certain number of decision-makers that "the priority need is no longer the production of
precise plans for performing the works but rather the implementation of tools for managing
urban data" (Fournillier, 1989).
Through a lucky combination of events, the explosion in data management tools, offering
much more powerful functions for processing than the tools from previous decades, which
came about on the French market as from 1985. The UDB then took a new course by
attempting to combine the old functions (still necessary and useful for management) with the
analytical functions that only the GIS allow. Hence : "it is interesting to note that the recent
37
Urban Information Systems are more oriented towards prospective purposes, like the urban
project for Sélestat, the micro-geographical data base for planning in Le Havre than those
which started in the seventies" (Weber, 1995).
One of the main functions of the urban GIS has now become, after the administration of the
urban services, the settig-up of thematic observatories. "The observatories developed in the
framework of the UDB are tools for external knowledge which have to meet objectives which
exceed the responsibility as such of the regional planner…[in this respect, these are] tools
which will take into account the context, the environment, municipal management. They
constitute a strong trend for the urban GIS " (Joliveau, 1995).
A good example of this change is given by the UDB for the Urban community of Lyon, which
started off, in 1985, a large feasibility study, for the implementation of the "new formula" UDB
as from 1987. The choice of a software clearly tagged as a GIS tool shows the determination
to join in a "multi-use " process, as it evolves, as compared to the UDB oriented only towards
management.
Lyon’s example shows how management and analysis procedures may cohabit in the same
project. The detailed analysis of the phases for setting them up show that after the formation
of the basic data (especially the cadastral survey) and the development of management
applications (street lighting, POS, trees for lining the roads, etc.), a second phase included in
the computer master plan for 1992 included numerous approaches for planning : a real
estate and financial observatory, an observatory for urban ecology, management of the sites
for welcoming companies.
These new possibilities, linked partly to some new software approaches due to the GIS, also
involved the true take-off for numerous UDB in the years from 1989 to 1991 and the
appearance new trends, the most compatible with a progress towards the combined use of
data management and strategic decision-making.
One example of these polyvalent UDB is that of the Urban community of Brest. Since 1989,
some objectives for economic and regional development for the town (including some the
serious concerns about the environment) predisposed the UDB to an approach for analysis.
Its basic data represent a set of information on the cadastral or topographic records at a
scale of 1:5,000. The software chosen is absolutely GIS market standard, thus breaking with
a tradition of internal hybrid products often unsuited to needs. This choice is also partly
justified by the fact that the concern for precise localisation (of the photogrammetry type) did
not form part of the demands.
The first uses have shown an orientation decidedly turned towards the theme with the
cartography from the census on a block scale, the census of historical heritage or the plans
for the landscape. The application of localisation of the companies to the postal address
within the territory of the municipal district is one of the examples of the types of concerns
and applications which are emerging today in the towns, and for which the UDB are
henceforth designed for the purposes of helping the decision by using the GIS.
Within the space of ten years, the very purpose of the UDB has been transformed. The
major implications are above all the progress in the scale of reference. The road plan is no
longer in fact an obligatory step, and the scales chosen are quite often much more
compatible with the work of the developers or town planners. This progress may have a
significant effect on the time and the costs for collecting the data, and it is probable that the
whole decades of data collection work that would have been needed twenty years ago for
forming the digital directory of reference will from now on form part of an unfortunate
preceding effect .
38
The explosion in the possible applications has led the administrators of urban GIS to place
the data at the disposal of numerous services or partners. Firstly limited to the computer
services, then to the surveying services, now information is shared with numerous other
users (highways, green areas, economic development etc.) and not long since with the
citizens themselves.
The knowledge and management of the town are in fact included today very directly in the
changes in the context of the information society. It is interesting to note that the first towns
to make information available for their technical services and the population often use the
GIS as one of the vectors for access to the resources. This is the case, for example, of Issy-
les -Moulineaux which promoted, in 1996, the GIS as one of the vectors of its "Local
information plan" (Bouet, 1998). So, since 1997, the public has had access to the public
cadastral data, to the aerial photographs of the town as well as to a certain amount of useful
technical information.
"Putting the town into pictures" through resorting to the GIS allows it to ensure a function of
"arbitration" especially after the presentations by the elected politicians of the projects under
way, but also for making them aware of the urban territory through the population : through
the use of educational work, at schools or though public conferences.
This progress in certain urban data bases shows without doubt that a stage of maturity in the
use of geographical information is about to be achieved. From being a basically technical
tool, the GIS has now become a vector for communication for the town and gives value to
the technical work for creating and updating the information.
12
This title was borrowed from Eliane Bouet (1998).
39
If we consider the French and foreign literature over the last few years on the
implementation of GIS, especially in an urban environment, we may find some recurrent
subjects : cost-profit analysis of the GIS, institutional pitfalls, problem of implementation, etc.
These approaches have taken up a large part of the work of the experts and reveal some
obstacles that have as yet not been completely solved, the existence of which is without
doubt partly linked to more general causes, unfortunately mostly hidden away, such as the
validity of the data bases themselves.
Until the nineties, the stakes for the diffusion of geographical information and the GIS in the
territorial authorities and/or the State services, were perceived as being linked to the
computerisation of working methods in a slowly evolving environment. So it has been put
forward, without doubt as a provocation, that "French local authorities do not seek, except for
rare exception, any organisational upheavals. Those elected have not really become aware
of the stakes involved in computing. Personnel managers have been very slow to take
advantage of computer tools" (Dupuy, 1992).
This highlighting of organisational pitfalls, the consequence of which may go as far as the
failure of the introduction of innovation, has given rise to the attempts to formalise methods
for implementing GIS. Mostly resulting from the theories for implementing information
systems, they are often used by the authorities. It is most often one of the adaptations of the
MERISE method that have been attempted (Rouet, 1991). The advantage of these
procedures has been to show the importance of structured and complete studies prior to any
action. By highlighting in a formal manner the complexities due to the structure of
geographical information in an operational context, they offer support for reflecting on the
possibilities of knowledge transfer from the basic research to its ultimate application.
In another connection, they have often revealed the institutional blocks linked to the holding
of localised information. There again, and before even the slightest implementation for the
application, the theoretical argument for access to data must be altered whilst it is still being
decided. Because if the data bases are multiplied, it is still people who set the means for
their diffusion.
Despite the positive side of putting a certain number of important elements from those
mentioned earlier into perspective, it has generally been agreed to admit that the
transposition of the methods for analysis for implementing GIS arise from domains that are
basically different (implementation of a banking structure, writing software, etc.) and
encounter limitations when they involve strings for processing digital geographical
information. A large part of the difficulty for implementing coherent procedures lies in the
multiple nature of the demands on a tool which, if at first it seems homogeneous, deactivates
protocols that are too univocal through its complexity and the heterogeneity of the results
that might have been expected from it. That is why any sizeable implementation always
40
The cost-profit analysis of the use of digital information is one of the other gambles which
have mobilised a great deal of energy without as yet being solved (see Chapter in the
bibliography). This type of question really took shape some years ago, at the same time
when faced with the size of the costs for gathering information, and as a result of failures in
the implementation of spatial information systems for which the balance of the investments
compared to the profits of the application were negative. Some attempts have since been
made to formalise the principles for the economic assessment of the introduction of digital
data in the processing of localised information. It was first carried out in the United States
(Dickinson and Calkins, 1988), this type of study has found an opening in France with
several works now published (Didier, 1990 ; Didier and Bouveyron, 1993).
Even if these attempts have undeniably contributed some new elements for understanding
the domain, it must be said that some years back these attempts were still incomplete, due
to the fact that they were too theoretical or not complete enough to be able to form an
13
accurate basis for assessment (Wilcox, 1990) . Once again, geographical information
rebels against a robust formalisation of the principles for its use. In the cases of public
services, the problem is complex because the idea postulated is not only that of financial
profitability but also that of social utility, still badly perceived today.
Does opening-up urban GIS to more thematic applications than before allow an improvement
in the operational results arising from the processing of digital information to be envisaged ?
The main pitfall comes once again from the types of data available in these "new formula"
UDB. Are they different from those that used to exist, and if so, to what extent may they be
used in strategic decision-making ?
M. Wolf (1993), underlines, and rightly so, that currently data stored by the towns come in
three different types : "natural" data (site, subsoil, landscape restrictions etc.), which is an
obligatory step to be taken into account, with environmental concerns ; "artificial" data which
are all the infrastructures built in the town ; and "intangible" data which are in fact the
indicators on the inhabitants of the town.
Nowadays the swap to information systems software allows these different types of data to
be collected and stored in the same working environment. However, the technical
performance does not guarantee optimum use, and every expert in urban planning today
finds himself faced with the methodological adjustments needed for combining "natural" and
"intangible" data in the analyses.
The urban authorities are in a special position, at the crossroads of the needs for technical
management and strategic decision-making for planning. The fundamental question that
urban analysis is faced with when using GIS is linked to these different levels of decision-
making, and the impacts that it has on the policies for collecting and using information.
Hence the role of the "decision pyramid" in geographical information is of the utmost
13
A discussion broke out very early in the USA concerning this problem, causing an exchange of viewpoints in
IJGIS (Dickinson & Calkins, 1988, 1990 ; Wilcox, 1990).
41
importance.
These concerns are summed up by J. Chevalier (1990), who recalls that each level in this
pyramid corresponds not just to a precise need, but also to a specific public need. The
strategic decision corresponds to those elected, the planning to the management of the
services, the practical execution and the operation for the technical staff. This triangle
"shows that at each one of the levels of responsibility there corresponds a need for quite
specific information, also different either through the volume of data, the level of
generalisation and accuracy or the form in which this information is sent to the interested
parties".
Consequently, the initial choices for the collection of the basic information must take into
account the strategic dimension. It is not suffice to generalise a plan for 1:200 to a smaller
scale to offer a support document for decision-making! The data base must entail multi-scale
and multi-thematic layers. This approach, lacking in the first UDB, would now seem to have
been allowed, and the participation of numerous services in the implementation of the GIS in
an urban environment, allows us to envisage the cohabitation of information meant for some
different uses.
However, the problem which seems to remain today is knowing what is the strategic
information for the town ? How to introduce some elements for decision-making into a digital
data base ? Who can even structure data with a strategic vocation for their use by the GIS ?
The current situation is still in a transitional phase. Awareness, at the end of the eighties,
about the possibilities of the UDB/GIS in some planning procedures is, after all, fairly recent.
The examples of new actions illustrate two trends : either the implementation in a first phase
of the technical data base technique needed for the good management of the urban space,
for opening up, in a second phase, this base to some applications for which the results may
be used by the decision-makers (e.g., UDB in COURLY) ; or directly develop a collection of
specific dated aimed at the developers and this mainly in the average-sized towns (e.g.,
Urban community of Brest).
It is also worthwhile asking ourselves questions about the integration of these urban data
42
bases in the surrounding territories. For the problems of urban management, the choice of
the space of reference was not raised as being crucial, unless it is through the need for
updating the data base as and when the equipment and the infrastructures are extended.
From a planning viewpoint, and bearing in mind the demands of multi-scale integration for
the territories, how should the existing data bases or those being creating be used ? What
links can they, and should they hold with the surrounding territories ? How should we control
the existence of hyper-computerised spaces, and the territorial divide induced by the limit on
the size of these data bases?
These questions of course pose the overall problem of a territory unequally covered by the
information. It should be highlighted that the apparent incompatibility of a base restricted to
the space of action in the town, compared to the spatial size to be taken into account to
establish its development. Hence "the pertinent frameworks of a policy for intervention
become the rural-urban units on different scales of the relations between the two categories
of spaces traditionally dealt with separately by regional planning" (Ascher & al., 1993).
From the point of view of the towns, it is of course the link with the GIS developed at directly
higher territorial layers (inter-municipal, departmental or regional) which might meet this
necessary territorial complementary nature.
For most experts, three main working scales coexist in the procedures for planning in an
urban environment :
- the 1:100,000, this is the scale for general planning, the one for understanding dynamics
and uses of the space. It allows the progress of the territory to be followed and to better
understand the sectors at stake in terms of planning ;
- the 1:25,000, this is the scale for detailed urban analysis, for urban working, for certain
studies on habitat, travel and transport, for economic implementations, etc.
- the 1:2,000 to 1:500, these are the scales of the detailed urban project, road
improvements, for management of the services, etc.
Whether this is on the level of the statutory procedures (Plans for urban travelling, Dossier of
asphalt highways, etc.) or general studies on the urban environment, the combination of
analysis on several levels of territorial scales is essential.
Large territorial restructuring work linked to decentralisation in France and the pursuit of
European integration, have increased the importance of the combinations of scales in urban
planning by involving new actors acting on different geographical levels.
Although the articulation of the phenomena to the different territorial levels and their scope
on the territory is not well mastered today, it seems to be accepted that a multi-scale
reflection is the most effective process in terms of the strategy for territorial development.
This requirement leads us to look for the complementary nature of the information to these
different scales within the urban GIS.
43
The practical result of this type of approach is a large increase the demand in terms of basic
information on different scales. Since most of the tools used till now gave priority to a single
scale approach (classic cartography, quantitative analyses, etc.) thereby prohibiting an
integrating approach, the GIS, by providing the ossibility of making the information relating to
the territories cohabit with different scales, offer an enhanced capacity for processing. Is it
then suffice to make them operational in multi-scale analysis procedures ?
An example for situating the capacities of the tool with the theoretical process raises
problems of two kinds : the former deal with the multi-scale processing methodologies, the
latter the geographical data themselves and their pertinence.
There is in fact a significant difference between the real capacities for making geographical
data from different scales correspond in the GIS, and the scope of their joint use in terms of
analysis, the significance of combined processing of this type are still easy to criticise.
If the GIS are capable of storing layers of information corresponding to the different territorial
layers, their capacities to convert the complementary nature of the spaces tends more
towards a possibility of successive zooms than to a real possibility of combined processing.
This criticism does not address the conception of the tool itself, but rather the
methodological scope of such processing with regards to the types of information available.
From the very fact that the cartographic tradition from which GIS are taken, the scale
translates in these tools, a notion of graphic bottlenecks much more than a thematic
complementary nature.
The whole of these remarks systematically go back to the basis itself for processing and
analysis : the geographical information, proving, once again, that the true gamble in the GIS
is less their potential than the validity of the elements that they handle.
Some people have talked on the subject of urban data for "imperfect formation of the data"
(Prouzet, Hernandez, 1995) by demonstrating the risks for data bases being either oversized
or undersized with respect to the problems of urban management and planning.
14
Nowadays there is a deep gap today between the need for the "polymorphism" of the data
which would respond to the multi-scale process needed for the strategic action, and the
reality of the supply of digital data on which the weight of history weighs considerably and
still today constitutes, in a certain way, a brake to the achievement of operational methods
for taking full advantage of the possibilities opened up by the GIS.
The multiplicity of the possible sources (vector data bases, satellite pictures, aerial land
photography, stores of scanned maps, etc.) allows us, in theory, to answer a good number of
demands in terms of access to information. However it is more often through the possible
mismatching of the future nomenclatures proposed with the needs of the specialist work, or
14
Gaudemar (1992).
44
through the lack of updating for this data that bottlenecks appear in the future.
One of the problems for the future lies in the articulation of the data bases and their
comparability (at the minimum) indeed their compatibility (at the best). This is the price so
that the expert on the subject may then be able to find in the GIS a tool which will fully
answer his demand-oriented job.
Equally, certain people are speaking out against them nowadays, describing the gulf that
exists between GIS and action for planning in order to underline that "much greater care
must be paid to the construction and development of information systems in order to reflect
the socio-economic processes, in such a way as to obtain a better representation of the
spatial systems which would better match the needs of urban and regional planners"
(Nijkamp and Scholten, 1993). The implementation and adaptation of these systems cannot
be envisaged without reflecting on the provision of geographical data and their possible uses
for a specific type of use.
It especially involves the gamble of the articulation of the GIS with the collection and the
structuring of the data taken from the population censuses. That is why the INSEE is
currently working in collaboration with the IGN to manage to implement a base of blocks
whose objective is to form a computerised cartography at a district level in municipal districts
with over 10,000 inhabitants.
This base should allow us, beyond the use of the results from the 1999 census to associate
any geocoded object "thus contributing towards a better way of taking into account the
administrative sources in the studies for planning by authorising localised statistical
processing linked or not to the zoning into blocks or neighbourhoods" (Houssay, 1998).
The improvement in the integration of the data from the census in the GIS methodologies
appears to be a crucial point for their development as a true tool for analysis in the urban
environment. This advance, which should be ready for the next census in France, is all the
more essential since the gap between the long periods between censuses (9 to 10 years)
and the development of the GIS methodologies during this interval of time is considerable.
It may already be announced that the forthcoming advances will be made, without any doubt,
towards censuses made on the basis of the GIS and which will keep the information at a
level of detail of the building or house type which may then be returned according to the
demands and the objective of the study (Martin, 1998). Such progress would head towards
solving a certain number of problems linked to matching the territories for studies with those
described in the GIS (see below).
The planner or the politician defines the spaces or the territories according to thematic or
geographical approaches. This often leads them to alter these spaces of reference
depending on the problem which concerns them, or, on the contrary, to alter the lighting that
they provide for the same space. This power of necessarily adapting to the implementation
of processes for analysis, is quite badly dealt with in the universe of data bases and the GIS
suffer from it.
First, let’s take as an example some different perceptions of the same space such as that
45
Depending on the level of order chosen, and with a view to the best understanding of the
structures of the territory, it must be able to mobilise different types of information, with the
latter linked to turn to the different multi-scale systems, in a word adapting the provision of
data to the flexibility of the process. We are still far away from such a possibility today, and
the aspect fixed for a layer of information in a GIS does not presuppose thematic variations
of this order.
In the same way, it seems trivial to state that a territory seen on different scales would reveal
the different structures and the dynamics therein. This is also why the planner gives priority
to an analysis that fits in. The specialist in the GIS is also concerned with the phenomena of
fitting information into different scales. His view is nevertheless more often limited to
problems (not technically and methodologically negligible ones) of adding the spatial and
complementary data at the time of the changes in scales. But is that the main problem ?
One very good synthesis of this crucial problem was given by Lacour and Puissant (1992)
who maintain that "new problems arise from the tectonics of the territories. We are in fact
confronted by a growing gap between institutional units (local districts, departments,
regions…) for which information potentially exists, and the new territories -macro and micro
spaces- for which obviously bearing in mind their flexible size, their reality and their changing
borders, it is not possible to find the basic data, thus allowing a serious diagnosis and
strategies for possible choices to be founded […] the obligatory reference remains [then] the
comparison of standardised data on the institutional limits which expresses a doubly
outdated statistical reality about the problems felt by the actors and the heads of these new
territories".
For practical, historical and financial reasons, the GIS implemented have most often given
priority to a single view of the urban territory without really catching sight of its different
facets. Significant work has been done to establish the rules for modelling what is real and
for its digital conversion, but it has hidden what should be the modelling of the territories or
the pertinent indicators for an action for operational development. For a long time this
situation has been exacerbated by the either strictly descriptive or administrative nature of
the big geographical data bases on a national scale.
This situation may not be entirely blamed on the process for the implementation of a GIS.
The problem of the definition of pertinent indicators about the territory is a domain that is still
very much in the developmental stage.
When taking into account the links between GIS and the missions of the public services, GIS
are most often dealt with either in their dimension as a computer tool, or in their dimension
as an information system (multiple assembly of materials, procedures and contents). But it is
46
often forgotten that the essential dimensions should also be taken into account : the time
scale according to which the components of a GIS evolve, in order to compare them with
that for the missions of the authorities.
Like any other computer innovation, the GIS are bound by the rate of evolution of the
hardware and methodological innovations. But, these rates are much faster than the rates
for decision-making in the public services. Beside this state of affairs, quite often decisive for
allowing the implementation of effective urban data bases, the essential part of the structural
problem that public services find involves the difference of time scale between the territorial
action to be undertaken and the collection of the data.
Thus, for example, if we consider the management operations in the authorities for which the
GIS are often required, especially in the towns, the gap between the real object (a street
map, a milestone) is limited by the fact of the large scales on which they usually work (1:200,
1:500). On the other hand, the gap between the speed of progress in the real world (on
which the action should be based) and the time in the data base is important as regards to
the question.
Put simply, one could only advance according to the change in the working scale (from the
largest to the smallest), one may observe the opposite progress between the "gap of
abstraction" (level of correspondence between the geographical entity and the digital object),
and "the time gap" (level of matching the updating of the digital objects with respect to the
progress of the geographical entities).
It is quite obvious that the real world evolves without any direct link to the working scale.
However, on a small scale support, the objects are generally not so numerous and we work
more on the long time scales than on the daily time scale. Certainly, the question posed is to
find how the authorities can manage the different time scales on the basis of individual data
bases?
In the case of the GIS for urban management, the updating of individual information must be
performed daily (cadastre, networks…). This updating is only possible if the town has the
data, the human means and masters (sometimes under license with institutional suppliers),
the procedures for updating them. But what about the data bases that are bought, for which
the possibilities of updating are more complex ?
Are the time scales for updating data bases from the suppliers essentially compatible with
the time scales for action from the community ? It is on the intermediate territorial layers that
this question must be taken into account most seriously. You cannot expect to form a useful
data base if its progress does not adapt to the operational needs of the community.
The problem of refreshment time for data bases should be clearly posed, and this is
especially so in an urban environment with fast changes. It is one of the major obstacles for
the optimum use of the GIS tool. Few authorities bear in mind the pitfall, which is more
conceptual than technical, it has to store in it, for example, part of the data from the census
(with a time scale of 10 years), the images from remote detection with a yearly time scale,
the technical data with daily changes, etc. and ensure their consecutive changes.
The pertinence of the information linked to its "freshness" shall be even more so for ensuring
that the means for accessing the data accessible since downloading from computer
networks is going to growth quickly in the years to come. At this time, the ratio between
resident data and exported data and the management of their cohabitation shall undoubtedly
be one of the key elements for the reliability of the GIS.
Therefore GIS are today inescapable tools for urban management. Through the
47
development of geographical data bases, the progress in know-how and the improvement in
the tools and the methods, they are becoming more and more integrated within the
processes for urban studies and planning.
This progress may be summed up especially by the slide from a notion of UDB (Urban data
bank) towards that of UGIS (Urban geographical information system). However, the
complexity of the town and the integration in the territories with different scales is not yet
today taken into account fully in the urban GIS.
There is still a long way to go to optimise the contribution from these tools and a better
integration of the know-how from the experts in town planning with the possibilities ranging
from access to the information to processing analyses.
The road travelled in 30 years, and the speed-up in the last decade (for which the wealth of
this bibliography is part of the evidence) show that the subject created from the reflection
and methodology whose results may only come through a wish for more knowledge about
and management of the territories.
48
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50
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IGN
51
SISTEMAS DE INFORMACIÓN
GEOGRÁFICA
para la gestión y el acondicionamiento urbano
NOTA DE SINTESIS
52
Este informe, «Sistemas de información geográfica», ha sido realizado a la demanda del Centre de
1
documentation de l’urbanisme (CDU) por :
2
Anne BERRY (Institut géographique national) , bibliografía,
y Philippe MIELLET (EDATER), nota de síntesis,
3
bajo la dirección de Claude ECOBICHON (Conseil général des ponts et chaussées)
con el asesoramiento de :
Michel BERNARD (Siage Conseil),
Georges BERTRAND (Urbatique),
Yves BONIN, Serge BONNET y Jean-Pierre DUCUING (Institut géographique national),
Patrice BOURSIER (Universidad La Rochelle, LRI),
Laurent COUDERCY (Centre d’études sur les réseaux, les transports,
4
l’urbanisme et les constructions publiques) ,
André DEL (Escuela de arquitectura de Paris-Conflans),
5
Christiane HORTEFEUX (Conseil national de l’information géographique) ,
Claude SOIROT (Créations conseils services),
6
Christiane WEBER (Institut de géographie, Laboratoire Images et villes) .
La nota de síntesis presenta primero una serie de elementos de la historia de las bases de datos
urbanos para entender las problemáticas actuales de los sistemas de información geográfica. Un
enfoque de ejes temáticos y metodológicos resume luego los interrogantes planteados por el recurso
a los sistemas de información geográfica en la temática urbana.
Las referencias, según su origen, no siempre llevan un resumen adjunto. Están clasificadas, utilizando
todos los documentos, por orden cronológico inverso, de las más recientes a las primeras. Para
ayudar en la comprensión de determinados títulos de idioma extranjero, Anne BERRY ha propuesto
una traducción entre corchetes.
A los documentos señalados puede accederse a través de los organismos citados al final de la obra.
1
CDU : Centro de documentación del urbanismo.
2
IGN : Instituto geográfico nacional.
3
CGPC : Consejo general de puentes y calzadas.
4
CERTU : Centro de estudios sobre las redes, los transportes, el urbanismo y las construcciones públicas.
5
CNIG : Consejo nacional de información geográfica.
6
Instituto de geografía, Laboratorio Images et villes.
7
ESTB : Escuela superior de obras públicas, de la construcción y de la industria.
8
IFU : Instituto francés de urbanismo.
9
Colegio de geómetros peritos.
53
índice
INTRODUCCION
BIBLIOGRAFIA
introduccíon
Actualmente, desde hace ya más de 15 años, una de las mejores posibilidades para
organizar la información técnica y social de la ciudad es el Sistema de información
geográfica (SIG).
¿Qué es un SIG?
De hecho, una definición simple presenta un SIG como «un sistema para la recolecta, el
almacenamiento, la verificación, manipulación, análisis y restitución de datos espacialmente
referenciados en la superficie de la Tierra» (DoE, 1987).
Sin embargo, aún persisten equívocos sobre la definición estricta de los SIG. Estos
equívocos se deben, esencialmente, al hecho de que el vocablo designa al mismo tiempo :
- el concepto de cadena de tratamiento de la información geográfica numérica,
- las herramientas informáticas que permiten instrumentarla,
- y las aplicaciones que se construyen con dicho instrumento.
15
Estos diferentes puntos de vista originan definiciones múltiples que sería fastidioso
describir aquí, pero es preciso señalar que el más pequeño denominador común suele ser,
de manera un poco reductora, la herramienta informática.
Un SIG es, en primer lugar, un Sistema de Información (SI) cuyo objeto es describir un
territorio de tal manera que se mejore su conocimiento y que se permita la descripción y el
análisis de los fenómenos naturales o humanos que en él se producen.
15
Al respecto, véase un panel variado de definiciones en MAGUIRE, 1991.
55
Sin embargo, en la realidad las diferentes disciplinas siguen dando prioridad a sus datos
«naturales» y sus métodos de tratamientos asociados, lo que origina una determinada
«parcelación» del saber en términos de análisis urbano (DAU, 1996). La innovación es aún
demasiado reciente para haber modificado profundamente los métodos de análisis de cada
uno.
Dominar los SIG y lograr una definición de métodos de análisis sólidos implica ser capaz de
asimilar una parte de los lenguajes diferentes y de sus conceptos asociados de tal forma
que se pueda dialogar en un verdadero enfoque multidisciplinario pero, sobre todo, estar en
condiciones de formalizar las cuestiones en un lenguaje compatible con los diferentes
componentes del sistema de información.
Algunos temas de utilización de los SIG en entorno urbano se tratan aquí, especialmente
bajo el aspecto de la gestión técnica de la ciudad (con una síntesis de las lógicas de
implantación de las Bases de datos urbanos) y luego más bien sobre conceptos de
acondicionamiento «supramunicipal». Está claro que esta elección no es restrictiva de los
campos de utilización de los SIG en entorno urbano sino que representa más bien una
acentuación de algunas de estas facetas.
Esta síntesis se pronuncia conscientemente por establecer una reseña histórica de las
condiciones de desarrollo de estos métodos e instrumentos en entorno urbano y luego
propone algunos puntos de reflexión más metodológicos que pueden aplicarse a las
problemáticas del acondicionamiento de estos territorios.
56
El desarrollo del sector particular de la gestión de los datos urbanos debe, antes que nada,
ser situado en relación con una evolución más general que es la informatización de las
ciudades. El desarrollo del proceso de adquisición y de restitución de los datos geográficos
de la colectividad urbana no forma parte de los ejes originales del desarrollo de la
informática urbana. Estos procesos ser concentraron primero en el cómputo por un lado y
en las telecomunicaciones por el otro lado. Las primeras aplicaciones informáticas trataban
generalmente de elaborar archivos electorales, nóminas para los empleados, etc.
Sólo algunos poderes locales inscribieron en sus primeros programas informáticos lo que en
aquella época sólo era una gestión automática de los planos. Estas orientaciones primeras
tuvieron manifiestamente un papel director sobre la elaboración y la utilización de los datos
estructurados a nivel local en las ciudades.
En los años 1980 se produjo manifiestamente una evolución fundamental de las prioridades
así como el inicio real de numerosas aplicaciones urbanas. Más allá de las funciones de
gestión urbana (saneamiento, alumbrado público, evacuación de residuos, etc.) aparecieron
otros retos. G. Dupuy (1992) diferencia tres de ellos : «el servicio rendido al ciudadano, la
economía del sistema, la reorganización territorial». Sin lugar a dudas en este enfoque se
inscriben las nuevas acciones emprendidas en torno a los SIG. Sin embargo, la importancia
de las realizaciones anteriores, los fracasos antiguos, las culturas de equipo, etc.
desempeñan aún un papel importante en la orientación y la utilización práctica de estos
sistemas. No se puede hablar hoy de tendencias en la utilización de los SIG en el espacio
urbano sin tener en cuenta las huellas del pasado.
Puede ser interesante aquí hablar de los grandes períodos de desarrollo de estas bases de
datos urbanos, ubicarlas en relación con las capacidades metodológicas y técnicas así
como en relación con la evolución de las necesidades en el transcurso de los veinte últimos
años, con el fin de entender mejor la situación actual.
Años 70
Los precursores de las BDU son poco numerosos. Algunas ciudades empezaron la
implantación de un sistema informatizado utilizando la información local a partir del principio
de los años 70. Paradójicamente estas experiencias sirvieron al mismo tiempo de test para
la factibilidad de las BDU (la mayoría de las creaciones recientes han tenido en cuenta estas
57
experiencias pioneras) y de «cobayas» para los que pudieron, a veces a justo título, dudar
de su utilidad en función de los primeros resultados.
París tuvo una de las primeras BDU francesas. Creada en 1969 por iniciativa del APUR
(Taller Parisino de Urbanismo) y del AURP (Instituto para el acondicionamiento y el
16
urbanismo de la Región Parisina) contenía, entre otras, las informaciones referentes a la
edificación, el archivo parcelario de la ciudad e informaciones estadísticas del INSEE.
Estos años de implantación estuvieron jalonados por cuatro otras experiencias de gran
relevancia :
- Los ensayos de implantación del RGU (Censo general urbano) en las grandes
ciudades
Estos ensayos se integraban en un amplio plan interadministraciones cuyo objetivo era
elaborar en los municipios un RGU (Repertorio geográfico urbano), que debía ser
completado inicialmente con un RGP (Censo geográfico de las parcelas) y un repertorio de
18
las vías (repertorio RIVOLI ). El RGU fue implantado en numerosos municipios. El INSEE
(Instituto nacional de estadística) intentó poner a punto una serie de herramientas
específicas para intentar utilizar los datos estadísticos, en coordinación con el RGU. Para
los censos de 1975 y de 1982 se hicieron intentos de utilización de estas parcelas pero no
fueron concluyentes. Además, la mayoría de los RGU sufrieron rápidamente de la ausencia
de actualización, con informaciones en adelante incompletas.
16
Actualmente el IAURIF (Instituto para el acondicionamiento y el urbanismo de la Región «Ile-de-France»).
17
Programa actualmente en vías de acondicionamiento con el proyecto de puesta a disposición, por parte de la
Dirección general de los impuestos (DGI), de las láminas digitalizadas de los planos catastrales.
18
RIVOLI sólo es actualmente un nombre de código en el archivo FANTOIR.
58
realizadas, a veces sin real concertación, por actores diferentes que intentan crear una
información geográfica de referencia. Sin entrar en los detalles, recordemos la creación del
repertorio informático de las calles y lugares (FINATO y luego RIVOLI) creado en 1971 por
la Dirección general de los impuestos ; el RGU (citado arriba) se inicia bajo la égida de
varios ministerios y del INSEE en 1973 y se crean grandes archivos estadísticos nacionales,
como el archivo SIRENE.
Las lecciones sacas de este período son al mismo tiempo coyunturales y estructurales.
Coyunturales primero, ya que no podrían explicarse las dificultades mayores (retraso y
desbordamiento de los presupuestos entre otras) encontradas por estas ciudades pioneras
sin situarlas en relación con el entorno técnico de la época. La falta de eficiencia de las
herramientas de entonces, la insuficiencia de herramientas adaptadas para la introducción
de datos, la carencia de personal cualificado, etc. tuvieron un papel importante en el
desarrollo de estas experiencias sin que sean, aún así, el origen exclusivo de sus
dificultades.
Años 1980-1990
Se trata de un período de transición durante el que algunas de las BDU pioneras continúan
su base y la fortalecen (como París y Marsella) mientras que otras inician una evolución
hacia la elaboración de nuevas bases. La base de datos de referencia es entonces
esencialmente el plano de los trazados de las calles de escala 1:200 (Grenoble, Valence...).
La orientación cambia esencialmente hacia una elaboración de planos de referencia para el
conocimiento y las obras en las redes enterradas. Un ejemplo de esta orientación la da la
BDU de Toulouse, implantada en 1984, con plano de escala 1:200 terminado en 1989.
Años 1990-1998
Las bases de datos urbanos ya no se limitan a las ciudades más importantes (aunque la
tendencia de equipamiento siga aún muy de cerca el tamaño de la ciudad, consultar Infra).
Para numerosos especialistas está claro en adelante que «el reto para la década venidera
será permitir que las ciudades de tamaño mediano y pequeño accedan en su mayoría a SIG
que respondan a sus necesidades por un precio razonable (y que pasen así) de la
experimentación y de la innovación a la gestión industrializada de las informaciones
geográficas» (Daull, 1992).
El segundo elemento importante es sin lugar a dudas la conjunción cada vez más
pronunciada entre la base de datos para la gestión y el acondicionamiento con la decisión
estratégica (consultar infra).
En estos últimos años también se produce el desarrollo rápido de las bases de datos
numéricos accesibles directamente ante proveedores como el IGN, Michelin, SPOT Image,
por ejemplo. Más allá de las informaciones de las subdivisiones administrativas, la
multiplicación de las bases de informaciones viales, incluso de las calles en medio
intraurbano, de ocupación del suelo o la facilidad de acceso a los datos socioeconómicos
modifican considerablemente las prácticas de los responsables de gestión y del
acondicionamiento urbano.
La evolución de los SIG en las colectividades urbanas es aún de difícil evaluación con
precisión. Numerosos estudios intentan proporcionar regularmente un estado de la difusión
en este sector de mercado de gran futuro. Los resultados son necesariamente parciales ya
que, en período de transición, numerosas ciudades evolucionan actualmente migrando, por
ejemplo, de un sistema del tipo CAD/DAO hacia softwares del tipo SIG. En esta situación
sólo pueden entresacarse algunas tendencias.
La situación actual es el resultado del período de transición de estos últimos años. Las
relaciones inversamente proporcionales entre el tamaño de las colectividades y su nivel de
equipamiento son fragantes. Los elementos procedentes del Observatorio Geográfico (IETI,
60
También ha de anotarse que la casi totalidad de las ciudades nuevas y de las comunidades
urbanas están actualmente equipadas con tales herramientas.
Es evidente que estas cifras tienen una evolución bastante rápida, especialmente en lo
referente a las ciudades medias. Debe anotarse además que los principales obstáculos
mencionados por los responsables de los departamentos (indiferentemente del tamaño de
las ciudades) son, en este orden, financieros, luego de organización, mientras que le factor
técnico sólo aparece en último lugar, prueba de una evolución rápida desde hace algunos
años (Eurovista, 1995).
Está claro, sin embargo, que este mercado, en una óptica de aplicación de ayuda al
acondicionamiento, es esencial. En espacios reducidos, con problemas de organización en
principio menos complejos que en el caso de grandes unidades urbanas, es posible
desarrollar SIG operacionales en conjunción con herramientas de gestión territorial o de
gestión del patrimonio por ejemplo, cuya escala de datos sea compatible con una toma de
decisión para el acondicionamiento del territorio.
El mismo autor subraya a justo título las modificaciones del entorno económico y
tecnológico que explican en parte la evolución de las demandas y de las mentalidades.
Entre estas características, la necesidad de una planificación más flexible y más modular en
período de crecimiento económico bajo, la toma en cuenta de la demanda en función de los
adelantos tecnológicos, la gestión del medio ambiente como una necesidad y la voluntad de
preservar lo existente. El cambio fundamental que se produce está vinculado con la
comprensión por parte de un determinado número de dirigentes de que la «necesidad
prioritaria no es ya la elaboración de planos precisos para realizar obras sino la implantación
de instrumentos de gestión de los datos urbanos» (Fournillier, 1989).
Una de las funciones del SIG urbano será entonces, después de la administración de los
servicios urbanos, la elaboración de observatorios temáticos. «Los observatorios
desarrollados en el marco de las BDU son instrumentos de conocimiento externo que deben
responder a objetivos que sobrepasan la responsabilidad específica del gestor del
territorio... (a este título se trata de) instrumentos de toma en cuenta del contexto, del medio
ambiente, de la gestión municipal. Constituyen una tendencia importante de los SIG
urbanos» (Joliveau, 1995).
Esta evolución de algunas bases de datos urbanos muestra sin lugar a dudas que se está
alcanzado una fase de madurez en el dominio de la información geográfica. De un
19
Este título es un «préstamo» de Eliane Bouet (1998).
63
Hasta principios de los años 1990, los retos de la difusión de la información geográfica y de
los SIG en las colectividades territoriales y/o los servicios del estado se percibieron primero
como relacionados con la informatización de métodos de trabajo en un entorno de evolución
lenta. Así pudo afirmarse, sin duda de manera provocadora, que «las colectividades locales
francesas no buscaban, salvo raras excepciones, las conmociones organizacionales. El
personal electo no tenía verdaderamente consciencia de los retos de la informática. El
personal se apropia de la herramienta informática de manera muy paulatina» (Dupuy, 1992).
El realce de los escollos organizacionales, cuya consecuencia puede llegar hasta el fracaso
de la introducción de la innovación, provocó intentos de formalización de métodos de
implantación de los SIG. En su mayoría nacidos de las teorías de implantación de los
sistemas de informaciones, se utilizan con frecuencia en las colectividades. Se trata
generalmente de las adaptaciones del método MERISE (Rouet, 1991). La ventaja de estos
procedimientos ha sido demostrar la importancia de los estudios estructurados y completos
previos a cualquier realización. Al poner de realce de manera formalizada la complejidad
debida a la estructuración de la información geográfica en un contexto operacional, ofrecen
un soporte de reflexión sobre las posibilidades de transferencia de conocimiento de la
investigación fundamental hacia la aplicación.
A pesar del lado positivo que tiene la puesta en perspectiva de un determinado número de
elementos importantes, algunos de ellos mencionados arriba, generalmente se puede
admitir que la transposición de los métodos de análisis de implantación de los SIG nacidos
de ámbitos fundamentalmente diferentes (implantación de una estructura bancaria,
escritura de un software, etc.) encuentra límites cuando se tratan cadenas de tratamiento de
la información geográfica numérica. Una gran parte de la dificultad de implantación de
procedimientos coherentes está relacionada con la multiplicidad de las demandas en torno a
una herramienta que, aunque en un primer enfoque parezca homogénea, desarma
protocolos demasiado unívocos por su complejidad y la heterogeneidad de los resultados
65
que de ella podemos esperar. Por esta razón, la implantación de gran magnitud necesita la
definición de fases de análisis previamente consecuentes.
Aunque estos intentos hayan aportado, sin lugar a dudas, nuevos elementos de
comprensión del ámbito, debe constatarse, con unos años de experiencia, que estos
intentos siguen incompletos debido a su carácter demasiado teórico o demasiado
20
incompleto para poder constituir una base precisa de evaluación (Wilcox, 1990) . Una vez
más, la información geográfica se resiste a una formalización robusta de los principios de su
utilización. En el caso de los servicios públicos, el problema es complejo ya que el postulado
no es sólo el de la rentabilidad financiera sino también el de una entidad social, aún mal
percibida en nuestros días.
La apertura de los SIG urbanos a aplicaciones más temáticas que antes, ¿permite
considerar una mejora de los resultados operacionales nacidos de los tratamientos de la
información numérica? El principal escollo viene una vez más de los tipos de datos
disponibles en estas BDU «nueva fórmula». ¿Son diferentes de los de ayer? En caso
afirmativo ¿pueden ser utilizados en la toma de decisión estratégica?
M. Wolf (1993) subraya a justo título que los datos actualmente constituidos por las
ciudades son de tres naturalezas diferentes : los datos «naturales» (lugar, subsuelo,
exigencias del paisaje, etc.) cuya toma en cuenta es, con la preocupación medioambiental,
de paso obligado. Los datos «artificiales» que son todas las infraestructuras constituidas de
la ciudad. Los datos «inmateriales» que son, de hecho, los indicadores sobre los habitantes
de la ciudad.
Las colectividades urbanas están en una posición particular, en el cruce de las necesidades
de gestión técnica y de las tomas de decisión estratégicas para el acondicionamiento. La
20
En Estados Unidos se desencadena muy pronto una polémica sobre este problema, lo que provoca un
cambio de puntos de vista en IJGIS (Dickinson y Calkins, 1988, 1990 ; Wilcox, 1990).
66
cuestión fundamental a la que se encuentra confrontado hoy día el análisis urbano que
utiliza los SIG está vinculada a estos diferentes niveles de tomas de decisión, y los impactos
que esto implica en las políticas de estructuración y de utilización de la información.
Document d’urbanisme
tactique (1:5000)
Estas preocupaciones las resume J. Chevalier (1990) que recuerda que cada nivel de esta
pirámide corresponde no sólo a una necesidad precisa, sino también a un público particular.
Las decisiones estratégicas al personal electo, la planificación a las direcciones de
departamentos, la ejecución práctica y la operación al personal técnico. Este triángulo
«muestra que a cada uno de los niveles de responsabilidad corresponde una necesidad en
información bien específica, diferente tanto por el volumen de los datos, el nivel de
generalización y de precisión, como por la forma bajo la que esta información se entrega a
los interesados».
Sin embargo, el problema que parece aún no resuelto hoy es saber lo que es la información
estratégica para la ciudad. ¿Cómo introducir elementos de toma de decisión en una base de
datos numérica? ¿Quién está en condiciones de estructurar datos de vocación estratégica
para su utilización por los SIG?
La situación actual está aún en fase de transición. La toma de conciencia a finales de los
años 1980 de las posibilidades de las BDU/SIG en procedimientos de acondicionamientos
es, al fin y al cabo, bastante reciente. Los ejemplos de realizaciones nuevas ilustran dos
tendencias : por un lado la implantación en un primer tiempo de la base de datos técnica,
necesaria para la buena gestión del espacio urbano, para abrir en un segundo tiempo esta
base a aplicaciones cuyos resultados podrán ser utilizados para la toma de decisiones (Ej.
BDU de la Comunidad urbana de Lyon), y por el otro lado el desarrollo directo de una
recolecta de informaciones específicas destinadas a los desarrolladores y esto,
principalmente, en las ciudades de tamaño medio (Ej. Comunidad urbana de Brest).
Es conveniente también plantear aquí las cuestiones de integración de estas bases de datos
urbanos en los territorios circundantes. Para los problemas de gestión urbana, la elección
del espacio de referencia no se planteaba de manera crucial, si no es por la necesidad de
actualización de la base de datos a medida que se extienden los equipos y las
infraestructuras. En una óptica de acondicionamiento, y teniendo en cuenta imperativos de
integración multiescala de los territorios, ¿cómo utilizar las bases de datos existentes o en
fase de creación? ¿Qué vínculos pueden y deben tener con los territorios circundantes?
¿Cómo administrar la existencia de espacios hiperinformados y la ruptura territorial inducida
por el límite de extensión de estas bases de datos?
Estos interrogantes plantean, por supuesto, el problema global de un territorio cubierto por
la información de manera desigual. Es conveniente subrayar la incompatibilidad aparente de
una base limitada al espacio de acción de la ciudad, comparada con la extensión espacial
que debe tomarse en cuenta para asentar su desarrollo. Así, los «marcos pertinentes de
una política de intervención, se convierten en unidades rurales-urbanas en las diferentes
escalas de las relaciones entre las dos categorías de espacios tradicionalmente tratados por
separado en el acondicionamiento del territorio» (Ascher y al., 1993).
Desde el punto de vista de las ciudades es, por supuesto, el vínculo con los SIG
desarrollados a escalas territoriales directamente superiores (intermunicipalidad,
departamento o región) lo que podría responder a esta necesaria complementariedad
territorial.
Para la mayoría de los expertos, coexisten tres escalas de trabajo principales en los
procedimientos de acondicionamiento en entorno urbano :
- la escala 1:100.000. Es la escala de la planificación general, la de la comprensión de las
dinámicas urbanas y de consumos de los espacios. Permite el seguimiento de la evolución
del territorio y entender mejor los sectores con retos en términos de acondicionamiento ;
- la escala 1:25.000. Es la escala del análisis urbano pormenorizado, del funcionamiento
urbano, de determinados estudios de hábitat, de desplazamientos y de transportes, de
implantaciones económicas, etc. ;
- la escala 1:2000 a 1:500. Son las escalas del proyecto urbano pormenorizado, de las
mejoras de las redes viales, de la gestión de los servicios, etc.
Hay una diferencia nada despreciable entre las capacidades reales de puesta en
correspondencia de datos geográficos de escalas diversas en los SIG y el alcance de su
utilización conjunta en términos de análisis, ya que el sentido de tratamientos combinados
de este tipo sigue aún sometido a críticas.
Si los SIG son capaces de almacenar capas de informaciones que corresponden a escalas
territoriales diferentes, sus capacidades para plasmar la complementariedad de los espacios
se debe más a una posibilidad de ampliación sucesiva que a una real posibilidad de
tratamientos combinados. Esta crítica no se dirige al diseño en sí mismo de la herramienta,
sino más bien al alcance metodológico de tales tratamientos en función de los tipos de
informaciones disponibles.
Por el mero hecho de la tradición cartográfica de la que salen los SIG, la escala traduce, en
estas herramientas, una noción de inserción gráfica mucho más que una
complementariedad temática.
Algunas personas han podido hablar, refiriéndose a los datos urbanos, de «formateado
imperfecto de los datos» (Prouzet, Hernández, 1995) demostrando los riesgos de las bases
de datos, bien sea supradimensionadas o infradimensionadas, en relación con los
problemas de gestión y de acondicionamiento urbanos.
70
21
Actualmente existe un desfase profundo entre la necesidad de un «polimorfismo» de los
datos que respondería a las expectativas de un proceder multiescalas, necesario para la
acción estratégica, y la realidad de la oferta de datos numéricos en la que el peso de la
historia tiene una incidencia considerable y constituye una cierta manera, aún hoy, de frenar
la puesta a punto de métodos operacionales que sacan partido plenamente de las
posibilidades abiertas por los SIG.
Una de las problemáticas del futuro reside en la articulación de las bases de información y
en su comparación (nivel mínimo) o compatibilidad (nivel máximo). A este precio el experto
temático podrá encontrar en los SIG una herramienta que responderá plenamente a su
demanda de orientación profesional.
De la misma forma, hoy se levantan voces que ponen de manifiesto el foso existente entre
el SIG y la acción de acondicionamiento y que subrayan que una «atención mucho más
importante debe acordarse a la construcción y al desarrollo de sistemas de información que
reflejen los procesos socioeconómicos, para obtener una mejor representación de los
sistemas espaciales que se adapten mejor a las necesidades de los responsables de los
acondicionamientos urbanos y regionales» (Nijkamp y Scholten, 1993). La implantación y la
adaptación de estos sistema sólo puede considerarse en una reflexión sobre la oferta de
datos geográficos y sus utilizaciones posibles para este tipo de usos particulares.
La mejora de la integración de los datos del censo en las metodologías SIG parece un punto
primordial para su desarrollo como verdadera herramienta de análisis en entorno urbano.
Este adelanto, que debería realizarse para el próximo censo de Francia, es mucho más
indispensable si tenemos en cuenta el desfase existente entre el largo período entre cada
censo (9 a 10 años) y el desarrollo de las metodologías SIG durante este intervalo de
tiempo, desarrollo considerable.
Podemos anunciar ya desde ahora que los próximos adelantos se harán, seguramente,
hacia censos totalmente realizados a partir del SIG y que conservarán la información en un
nivel de detalle del tipo edificio o casa, que serán luego limados según diferentes perímetros
y en función de las demandas y del objetivo del estudio (Martin, 1998). Tal evolución iría en
el sentido de la resolución de un determinado número de problemas vinculados a la
adecuación de los territorios de estudio con los descritos en los SIG (Véase infra).
21
Gaudemar (1992).
71
Tomemos primero como ejemplo las percepciones diferentes de un mismo espacio, tal y
como las propone S. Wachter (1993), que distingue tres niveles de órdenes en las
instituciones territoriales :
- la función de políticas de los territorios (perímetros geográficos donde se aseguran las
funciones representativas nacionales y locales) ;
- la función administrativa (marco donde el estado y los poderes locales administran los
asuntos públicos) ;
- las funciones económicas y funcionales (lugares en los que se efectúan las actividades de
producción).
De la misma manera, parece trivial afirmar que un territorio, visto desde diferentes escalas,
revela estructuras y dinamismos diferentes. Es por esta razón, además, por la que el
responsable del acondicionamiento da prioridad a un análisis del tipo «inserción». El
especialista de los SIG está así dentro de los fenómenos de inserción de las informaciones
en diferentes escalas. Su visión, sin embargo, se encuentra reducida a problemas (nada
despreciables técnica y metodológicamente) de agregación de datos espaciales que son, a
su vez, tributarios de los cambios de escala. Pero ¿es éste el principal problema?
Una buena síntesis de este problema crucial lo dan Lacour y Puissant (1992) que afirman
que de «la tectónica de los territorios nacen nuevos problemas. Estamos, efectivamente,
confrontados a un desfase creciente entre unidades institucionales (municipios,
departamentos, regiones...) para las que existen potencialmente las informaciones y los
nuevos territorios -macro y microespacios-, para los que teniendo en cuenta,
evidentemente, su geometría flexible, su realidad y sus fronteras cambiantes, no es posible
tener las informaciones de base que permitan fundamentar un diagnóstico serio y las
eventuales estrategias de elección [...] y la referencia obligada sigue siendo entonces la
comparación de datos homogeneizados, sobre los límites institucionales que expresan una
realidad estratégica doblemente desfasada de los problemas entendidos por los actores y
los responsables de estos nuevos territorios».
Por razones prácticas, históricas y financieras, los SIG implantados han dado prioridad con
mayor frecuencia a una visión unívoca del territorio urbano, sin entrever verdaderamente
sus diversas facetas. Se ha hecho un importante trabajo para fijar las reglas de la
72
En la toma en cuenta de los vínculos entre los SIG y las misiones de los servicios públicos,
se considera con frecuencia el SIG en su dimensión de herramienta informática o en su
dimensión de sistema de información (agrupación múltiple de materiales, de procedimientos
y de contenidos). Pero se suele olvidar tomar en cuenta una de las dimensiones
fundamentales : la temporalidad en la que evolucionan los componentes de un SIG, para
cotejarla con la de las misiones de las colectividades.
Como toda clase de innovación informática, los SIG dependen de los ritmos de evolución de
los materiales y de las innovaciones metodológicas. Pero estos ritmos son mucho más
rápidos que los ritmos de toma de decisión en los servicios públicos. Más allá de esta
realidad, aún determinante con frecuencia para permitir la implantación de bases de datos
urbanos eficaces, lo esencial del problema estructural con el que topan los servicios
públicos se debe a la diferencia de temporalidad entre la acción territorial que debe
emprenderse y la constitución de los datos.
Así, por ejemplo, si consideramos las operaciones de gestión de las colectividades para las
que se requieren con frecuencia los SIG, especialmente en las ciudades, el desfase entre el
objeto real (un trazado de calle, un borne) se reduce de hecho a las grandes escalas en las
que se trabaja generalmente (1:200, 1:500). Sin embargo, el desfase entre la velocidad de
evolución del mundo real (en la que debe ajustarse la acción) y el tiempo de la base de
datos es mucho más importante.
Es evidente que el mundo real evoluciona sin nexo directo con la escala de trabajo. Sin
embargo, sobre un soporte de pequeña escala, los objetos suelen ser menos numerosos y
trabajamos más sobre temporalidades largas que sobre lo diario. Entonces, la pregunta
planteada es saber cómo las colectividades pueden administrar temporalidades diferentes a
partir de bases de datos particulares.
ocurre con las bases de datos compradas, sobre las que las posibilidades de actualización
son más complejas?
El problema del tiempo de reactualización de las bases de datos debe ser planteado de
manera clara, sobre todo en entorno urbano de dinámica rápida. Es uno de los obstáculos
más importantes para una utilización óptima de la herramienta SIG. Pocas colectividades
tienen en cuenta el escollo, más conceptual que técnico, que hay en almacenar, por
ejemplo, una parte de los datos del censo (con una temporalidad de 10 años), las imágenes
de teledetección de temporalidad anual, los datos técnicos modificados diariamente, etc. y a
asegurar sus evoluciones consecutivas.
Los SIG son actualmente herramientas de paso obligado para la gestión urbana. Por el
desarrollo de las bases de datos geográficas, la evolución de la maestría y experiencia y la
mejora de las herramientas y de los métodos, cada vez se integrarán más en los procesos
de estudios y de acondicionamiento urbanos.
Esta evolución se resume especialmente por el paso de una noción de BDU (base de datos
urbanos) hacia la noción de SIGU (Sistema de información geográfica urbana). Sin
embargo, la complejidad de la ciudad y de su integración en los territorios de escalas
diferentes aún no se toma totalmente en cuenta en los SIG urbanos.
Aún queda mucho camino por recorrer para optimar la aportación de estas herramientas y
una mejor integración del profesionalismo de los especialistas de la ciudad, con las
posibilidades de acceso a la información en los tratamientos de análisis.
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IGN
77
ГЕОГРАФИЧЕСКИЕ
ИНФОРМАЦИОННЫЕ СИСТЕМЫ
для управления и благоустройства
городской среды
АНАЛИТИЧЕСКАџ ЗАПИСКА
78
консультанты
Мишель БЕРНАР (Совет SIAGE)
Жорж БЕРТРАН (Urbatique),
Ив БОНЕН, Серж БОННЕ и Жан-Пьер ДЮСЮИН (IGN) ,
Патрис БУРСЬЕ (Университет Ла Рошели, LRI)
Лоран КУДЕРСИ (CERTU) 4 ,
Андре ДЕЛ (Школа архитектуры Париж-Конфланс),
Кристиан ОРТЕФЕ (CNIG) 5 ,
Клод СУАРО (Créations conseils services),
Кристиан ВЕБЕР (Институт географии, Лаборатория съемки и городов).
Аналитическая записка знакомит вас, в первую очередь, с элементами истории банков городских данных
с целью выявления актуальных вопросов систем географической информации. Ответы на поднятые
тематические и методологические вопросы основываются на применении систем географической
информации для решения вопросов городского хозяйства.
1
CDU (Centre de documentation de l’urbanisme) : Центр документации по управлению городским хозяйством.
2
IGN (Institut gйographique national) : Государственный географический институт.
3
CGPC (Conseil gйnйral des ponts et chaussйes) : Генеральный совет по мостам и шоссейным дорогам.
4
CERTU (Centre d’йtudes sur les rйseaux, les transports, l’urbanisme et les constructions publiques) : Центр изучения
общественных сетей, транспорта, городского хозяйства и строительства.
5
CNIG (Conseil national de l’information gйographique) : Государственный совет географической информации.
6
ESTP (Ecole supйrieure des travaux publics, du bвtiment et de l’industrie) : Высшая школа общественных работ,
строительства и промышленности.
7
Ordre des géomètres-experts.
79
содержание
ВВЕДЕНИЕ
БИБЛИОГРАФИџ
введение
Вся совокупность этой информации тем или иным образом привязывается к местности, и такая
привязка может существовать как в виде точного задания координат, так и в виде подразделения
на заранее определенные участки. Отображение всей этой информации в виде планов или карт
остается одним из наиболее простых способов ее представления.
Действительно, согласно простому определению ГИС — это: «система для сбора, хранения,
проверки, обработки, анализа и воспроизведения данных, имеющих пространственную
привязку к поверхности Земли» (DoE, 1987).
Тем не менее, до сих пор существуют разногласия по поводу строгого определения ГИС. Это в
первую очередь вызвано тем, что данный термин одновременно обозначает следующие
понятия:
- принцип организации системы обработки цифровой географической информации;
- вычислительные средства, позволяющие реализовать ее на практике;
- прикладные системы, построение которых осуществляется на базе этих средств.
Наличие различных точек зрения породило наличие многочисленных определений 22, излагать
которые в настоящем документе нет смысла, однако следует подчеркнуть, что все эти
определения зачастую могут быть сведены к «наименьшему общему знаменателю» (хотя и
немного сужающему их смысл) — «вычислительное средство».
Информацию по этой теме см. в документе рабочей группы по терминологии, приведенном в MAGUIRE
22
(1991).
81
ГИС, в первую очередь, является Информационной системой (SI), цель которой заключается в
описании территории таким образом, чтобы усовершенствовать знания о ней и обеспечить
возможность описания и анализа природных и социальных явлений, происходящих на этой
территории.
Упрощенное определение Городского банка данных (ГБД) звучит так: «хранение значительных
объемов данных в одном месте, преобразование этой информации в пригодные к
использованию данные, и их предоставление в распоряжение действующих лиц
соответствующей области применения: в данном случае — города» (Айо [Aillaud], 1992).
1970-е годы
84
В Париже был создан один из первых французских ГБД. Созданный в 1969 по инициативе
APUR (Парижского отделения городского строительства) и IAURP (Института благоустройства
и городского строительства парижского региона) 23, он содержал, помимо прочих данных,
информацию о фонде зданий, файл земельных участков города, информацию INSEE.
В настоящее время — IAURIF (Института благоустройства и городского строительства региона Иль де Франс).
23
24
Программа в настоящее время приспосабливается для предоставления DGI отсканированных чертежей планов
кадастра.
25
RIVOLI в настоящее время представляет собой всего лишь кодовое слово в файле FANTOIR.
85
результатов. Более того, результаты большинства RGU крайне быстро теряли достоверность,
поскольку из-за отсутствия обновления информации она становилась неполной.
Другие города и административные единицы городского типа, такие как Лион или Тулуза,
также внесли свой вклад в бурное начало этой деятельности. Необходимо понять условия, в
которых проводились эти опытные работы. Первые годы 70-го столетия действительно
ознаменовались многочисленными работами, проводимыми различными сторонами (зачастую
без реальной координации) в попытке разработки опорной географической информации. Не
вдаваясь в подробности, упомянем создание компьютерного каталога улиц и известных мест
(FINATO, затем — RIVOLI), составленного DGI в 1971 г.; программу RGU (описывается выше),
работы по которой были начаты под эгидой нескольких министерств и INSEE в
1973 г.; создание обширных статистических файлов в масштабах страны, таких как файл
SIRENE.
1980-1990-е годы
Тем не менее, речь идет о переходном периоде, который дал начало новым направлениям
деятельности, сопровождавшимися значительным прогрессом в области вычислительной
технике, и в частности — появлением первых стандартов системы ГИС в Европе и во Франции.
1990-1998 годы
Вторым элементом, заслуживающим упоминания, несомненно является все более и более ярко
выраженное сочетание использования баз данных не только для функций управления, но также
и для работ по благоустройству и принятия стратегических решений (см. ниже).
Эти последние годы были также отмечены быстрым развитием баз цифровых данных, доступ к
которым обеспечивается непосредственно такими компаниями-поставщиками, как например
IGN, Michelin, SPOT Image. Таким образом, выйдя за рамки информации об административно-
территориальном делении, широкое развитие информационных баз, содержащих данные о
дорогах, или об улицах в случае внутригородской среды, о пользовании земельными участками,
а также упрощение доступа к социально-экономической информации вызвали существенное
изменение методов, применяемых руководящими работниками и службами благоустройства.
Точная оценка развития ГИС в городских административных единицах является еще более
сложным делом. В многочисленных исследовательских работах совершаются регулярные
попытки оценки распространенности этих систем на этом весьма передовом секторе рынка.
Результаты таких работ не могут быть всеохватывающими, поскольку для нынешнего
переходного периода характерен постепенный отказ многих городов, например, от систем типа
САПР/машинного проектирования в пользу программных средств ГИС. Исходя из этого могут
быть определены лишь некоторые тенденции.
Можно также отметить тот факт, что практически все новые города и административные
единицы городского типа оснащены рассматриваемыми средствами.
Очевидно, что эти данные представляет собой лишь весьма приблизительную оценку, особенно
— в отношении средних городов. Интересно отметить, что лицами, ответственными за
соответствующие службы (сводные данные по городам с разной численностью населения) в
качестве основных трудностей назывались в порядке убывания: финансовые, затем
организационные, в то время как технический фактор указывался самым последним. Это
доказывает быстрое развитие, имеющее место несколько последних лет (Eurovista, 1995).
Небольшие города пока еще сомневаются в необходимости применения этих методологий (по
данным опроса, проведенного IETI, ими оснащено около 6% административных единиц
численностью от 5 до 10 тысяч жителей). Тем не менее, существуют примеры внедрения
систем ГИС на местах, но их сопровождение чаще всего осуществляется местными
сотрудниками (например, местными топографами). Именно по этой причине очень сложно
ожидать широкомасштабного охвата от таких систем, не говоря уже о том, что речь идет в
основном об отдельных прикладных задачах, решаемых собственными силами с
использованием микро-ЭВМ.
Тем не менее ясно, что это рынок, если рассматривать его с точки зрения оказания содействия
работам по благоустройству, является основным. На ограниченных пространствах, где задачи
организационного характера не являются такими сложными, как в случае крупных городских
административных единиц, существует возможность разработки действующих средств ГИС,
привязанных, например, к средствам управления земельной собственностью и
имущественными правами, масштаб данных которых соизмерим с системами принятия
решений по благоустройству территории.
Поэтому одной из функций городской системы ГИС стала, помимо управления городскими
службами, создание тематических аналитических средств. «Аналитические средства,
разработанные в рамках ГБД, представляют собой внешние экспертные системы, которые
должны отвечать задачам, выходящим за рамки собственной ответственности за
управление территорией... [и в этом качестве они представляют собой] средства,
позволяющие учитывать внешние условия, окружающую среду, муниципальное управление.
Они представляют собой весомую тенденцию в развитии городских систем ГИС» (Joliveau,
1995).
Хорошим примером такого развития является ГБД Городского комитета Лиона, которым в 1985
году было выполнено технико-экономическое обоснование внедрения с 1987 года «нового
типа» ГБД. Выбор программного обеспечения с очевидностью показал, насколько системы
89
На примере города Лион становится очевидным, что цели управления и анализа могут
сосуществовать в рамках одного и того же проекта. Подробный анализ стадий разработки
показывает, что после формирования базовых данных (в частности — кадастра) и разработки
прикладных программ для управления (освещение, торговые точки, насаждения и т.п.), вторая
стадия, определенная в схеме развития программных средств в 1992 году, включала в себя
многочисленные направления, связанные с функциями управления: экспертные системы по
недвижимости и собственности на землю, экспертные системы по городской экологии.
Примером одной из таких многогранных ГБД является городская база данных Бреста. Начиная
с 1989 года цели экономического и территориального развития города (включая сильно
выраженную заботу о состоянии окружающей среды) предопределяли развитие ГБД в
аналитическом направлении. Эти базовые данные представляют собой набор информации
кадастровых или топографических фондов в масштабе 1:5000. В качестве программного
обеспечения без сомнений была выбрана стандартная коммерческая система ГИС, и таким
образом была нарушена традиция применения собственных программных систем, зачастую
неприспособленных к требованиям. Этот выбор частично обоснован тем фактом, что в
постановке основных задач отсутствовала необходимость точной привязки по координатам
(типа фотограмметрии).
Первый опыт применения показал, что система четко ориентирована на решение частных задач,
включая картографические функции переписи населения по участкам, переписи исторических
памятников или пейзажных планов. Прикладная задача определения положения предприятий
на территории коммуны по почтовому адресу является одним из примеров решаемых задач и
прикладных систем, появляющихся сегодня в городах, для которых ГБД были исходно
разработаны с целью способствованию принятию решений с опорой на системы ГИС.
Увеличение числа возможных прикладных задач заставляет операторов городских систем ГИС
предоставлять данные в распоряжение многочисленных служб и партнеров. Поначалу
связанная с вычислительными, а затем — с топографическими службами в настоящее время
Составление «картины города» при помощи средств ГИС позволяет не только обеспечить
выполнение «посреднических» функций, в частности — в ходе презентаций, проводимых по
отдельным выполняемым проектам, но и использовать знания о городской территории в работе
с населением: путем переориентации педагогических усилий, осуществляемых в рамках школ
или конференций для общественности.
Такая эволюция некоторых городских баз данных несомненно указывает на то, что наступает
стадия зрелого освоения географической информации. Из чисто технического средства система
ГИС превратилась в движущую силу общения в масштабах города, что подтверждает
значимость технической работы по сбору и обновлению информации.
91
Несмотря на то, что эти усилия несомненно способствовали пониманию новых элементов этой
области знаний, необходимо констатировать факт, что после нескольких лет отступления эти
попытки остаются незавершенными, и что это вызвано их чрезмерно теоретическим или
неполным характером, не позволяющим создать на их основе базу для проведения точных
оценок ((Wilcox, 1990) 27. Повторим мысль о том, что географическая информация не
подчиняется жесткой формализации принципов своего применения. В случае коммунальных
служб проблема является крайне сложной, поскольку цель заключается не только в
обеспечении финансовой рентабельности, но и в получении общественной пользы,
представления о которой в настоящее время все еще крайне поверхностны.
Позволяет ли большая открытость городских систем ГИС для более специализированных, чем
раньше, прикладных задач, ожидать получения лучших результатов выполняемых работ
благодаря применению цифровой обработки информации? Главным подводным камнем, как и
раньше, являются типы данных, имеющиеся в этих ГБД «нового типа». Отличаются ли они от
данных, которые использовались раньше, и если да, то в какой степени они могут
использоваться при принятии стратегических решений?
Полемика по этому вопросу началась в США еще на раннем этапе, и это вызвало обмен мнениями в рамках
27
Document d’urbanisme
tactique (1:5000)
Эти проблемы кратко изложены Ж. Шевалье (J. Chevalier, 1990), который напоминает о том, что
каждый уровень этой пирамиды соответствует не только конкретно определенной потребности,
но и определенной части общества. Принятие стратегических решений для депутатов,
планирование для руководства служб, реализация практических мер и эксплуатация для
технического персонала. Этот треугольник «показывает, что каждый из уровней
ответственности соответствует потребности в информации совершенно определенного
типа, различающейся как по объему данных, степени обобщения и точности, так и по форме,
в которой данная информация предоставляется заинтересованным лицам».
Опираясь на эти положения, первоначальные решения при сборе базовой информации должны
приниматься с учетом параметров, находящихся в стратегическом измерении. Недостаточно
просто обобщить данные, имеющиеся на плане масштаба 1:200, и на их основе составить план
в более мелком масштабе, чтобы получить документ, на который можно опираться при
принятии решений!
Современная ситуация также характеризуется как переходная. Признание в конце 80-х годов
возможности применения средств ГБД/ГИС в работах по градоустройству, в конце концов,
произошло сравнительно недавно. Примеры последних разработок иллюстрируют наличие
двух тенденций: либо создание на начальном этапе технической базы данных, необходимой для
удовлетворительного управления городской средой, с последующим открытием этой базы
данных для доступа к ней прикладных программ, результаты работы которых могут
использоваться лицами, принимающими решения (например, ГБД в COURLY); либо
непосредственная разработка набора конкретной информации, предназначенной для
использования непосредственно разработчиками, что главным образом имеет место в средних
городах (например, CU Бреста).
Стоит также поставить вопросы интеграции этих баз данных о городском хозяйстве с
окружающими их территориями. Что касается вопросов управления городским хозяйством,
проблема выбора опорного пространства не вставала так остро, поскольку это происходило
только при необходимости обновления базы данных и по мере того, как происходило развитие
инфраструктуры. В свете задач градоустройства, и учитывая потребности многоуровневой
интеграции территорий, необходимо определить возможности применения существующих или
создаваемых баз данных. Какие связи могут и должны поддерживаться ими с окружающими
территориями? Как осуществлять управление создаваемыми гиперинформационными
пространствами, и как справляться с территориальной разрозненностью, вызванной
ограничениями, накладываемыми на рост размеров этих баз данных?
С точки зрения городов эту роль играет связь с системами ГИС, разработанными в
непосредственно вышестоящих территориальных единицах (межкоммунальных, департамента
или региона), которые могут предоставить решения для обеспечения требуемой
территориальной взаимосвязанности.
95
Тот факт, что в созданных системах ГИС крепки картографические традиции, масштаб для этих
средств в первую очередь означает соотношение между наборами графических данных, нежели
взаимную дополняемость по тематическому признаку.
Точно так же, сегодня поднимаются голоса, констатирующие наличие пропасти между ГИС и
выполняемыми работами по благоустройству, чтобы подчеркнуть, что «первоочередное
внимание должно быть уделено построению и развитию информационных систем,
отражающих социально-экономические процессы, таким образом, чтобы обеспечить
наилучшее представление пространственных систем, которые лучше адаптируются к
требованиям городских и региональных служб благоустройства» (Nijkamp et Scholten, 1993).
Создание и адаптация этих систем не могут быть представлены без изучения набора
предоставляемых географических данных и возможных способов их использования отдельным
видом пользователя.
В частности, речь идет о задаче создания связей между ГИС и процессами сбора и
структуризации данных переписей населения. Именно поэтому INSEE работает в настоящее
время в сотрудничестве с IGN (Государственным географическим институтом), чтобы добиться
внедрения базы данных по микрорайонам, целью которой является создание цифровой
картографической системы внутри административных единиц для населенных пунктов,
насчитывающих свыше 10 тысяч жителей.
Эта база должна позволить, помимо использования результатов переписи населения 1999 года
выполнить привязку всех объектов с закодированной географической информацией, «внеся
таким образом вклад в наилучшее принятие во внимание административных источников в
изучении вопросов благоустройства, обеспечив возможность выполнения локализованной
статистической обработки, как связанной с информацией, собранной для микрорайонов и
кварталов, так и нет» (Houssay, 1998).
Уочтера (S. Wachter, 1993), который различает три качественных уровня в территориальных
организациях:
- политические функции территорий (географические границы, в которых реализуются
функции представительной власти государственного и местного уровней);
- административная функция (рамки, в которых государство и территориальные единицы
управляют общественными делами);
- экономические и функциональные функции (места, где осуществляется производственная
деятельность).
Очень удачную формулировку сущности этой критичной задачи дали Lacour и Puissant (1992),
выдвинувшие положение о том, что «тектонические процессы среди территорий порождают
новые проблемы. Действительно, на практике приходится сталкиваться с возрастающимися
расхождениями между административными единицами (коммунами, департаментами,
районами...), для которых потенциально существует информация, и новыми территориями —
микро- и макропространствами — для которых, учитывая их гибкие геометрические
очертания, реалии и изменяющиеся границы, невозможно получение базовых наборов
информации, позволяющих создать серьезные диагностические средства и определить
вероятные стратегии выбора […], и [поэтому] вынужденным отправным пунктом для
сравнения остается сравнение усредненных данных для установленных официально границ,
что выражается в двойном искажении реальных статистических данных за счет проблем, с
которыми сталкиваются как действующие стороны, так и ответственные лица этих новых
территорий».
охватывающие всю страну, носили либо чисто описательный, либо сугубо административный
характер.
При учете связей, существующих между ГИС и задачами общественных служб, системы ГИС
чаще всего рассматриваются в разрезе выполняемой ими функции вычислительного
инструмента, либо функции информационной системы (объединение воедино многообразия
материалов, методик и содержимого).
Как и любое другое нововведение в области вычислительной техники, ГИС зависят от темпов
изменения материалов и методологических нововведений. Однако эти темпы оказываются
намного более быстрыми по сравнению с темпами принятия решений общественными
службами. Помимо этого состояния дел, которое до сих пор часто является определяющим для
обеспечения возможности внедрения эффективных баз городских данных, суть структурной
проблемы, с которой сталкиваются общественные службы заключается в несовпадении по
времени между деятельностью, которая должна предприниматься на территории, и получением
данных.
Совершенно очевидно, что изменения в реальном мире происходят без непосредственной связи
с рабочим масштабом. Однако, на носителе с более мелким масштабом обычно располагается
меньшее число объектов, и работа ведется с интервалами времени, обычно более
продолжительными, чем при решении повседневных задач. Из этого рассуждения вытекает
вопрос об определении того, как административные единицы могут реализовать функции
управления в различных временных масштабах, опираясь на конкретные базы данных?
100
В случае ГИС для управления городским хозяйством обновление отдельных видов информации
должно осуществляться ежедневно (кадастры, сети...). Такое обновление возможно лишь
благодаря тому, что город располагает данными, людскими ресурсами и опытом (зачастую по
соглашению с организациями-поставщиками информации) и разработанными методиками
обновления информации. Но как же быть с покупными базами данных, для которых
обновление представляется более затруднительным?
Могут ли темпы обновления баз данных сторонних поставщиков по своей сути соответствовать
темпам деятельности, осуществляемой административной единицей? Этот вопрос должен
наиболее серьезно приниматься во внимание на промежуточных территориальных уровнях.
Нельзя утверждать о том, что созданная база данных является полезной, если темпы ее
изменения отстают от оперативных потребностей административной единицы.
Задача определения времени обновления баз данных должна быть поставлена однозначно,
особенно — для городской среды с высокой динамикой происходящих процессов. Это является
одним из основных препятствий для оптимального применения технических средств ГИС.
Лишь отдельные административные единицы осведомлены о наличии такого «подводного
камня» (в большей степени концептуального, нежели технического), как необходимость
хранения, например, с одной стороны данных переписи населения (с периодичность
обновления в 10 лет), данных аэрофотосъемки, обновляемых раз в год, и технических данных,
обновляемых ежедневно, и т.п., и обеспечение последовательности их изменения.
Таким образом, ГИС являются сегодня средствами, без которых нельзя обойтись в управлении
городским хозяйством. Развитие баз географических данных, наработка «ноу-хау» и
совершенствование технических средств и методов все в большей степени делает их
неотъемлемым звеном процесса изучения и благоустройства городской среды.
Такая эволюция выражается в частности в переходе от понятия ГБД (Городской банк данных) к
понятию SIGU (Городская географическая информационная система). Тем не менее, сложность
городского хозяйства и его территориальной интеграции с использованием различных
масштабов в настоящее время еще не полностью принимается во внимание в городских ГИС.
Еще предстоит пройти длинный путь для достижения оптимального соотношения отдачи,
обеспечиваемой этими инструментами, и применения опыта, накопленного специалистами
города, с возможностями доступа к информации, формируемой аналитическими средствами.
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méthodologie. [Базовые участки IGN-INSEE в ESRI'98 : распространение, опыт, данные,
кртография, методология ]
Paris, Hermès, 1998.- pp.117-124
IETI
Observatoire gйomatique. [ Вестник географических информационных технологий ]
Mâcon, IETI, 1998
IGN
JOLIVEAU T.
De la gestion à l'analyse des villes : un panorama des SIG urbains. in : Télédétection et
systèmes d'information urbains (C. Weber, F. Dureau, dir.). [ От управления городами к
анализу: обзор городских систем ГИС ]
Paris, Anthropos, 1995.- pp.29-39
CDU 32324
MAGUIRE D.J.
An overview and definition of GIS. in : GIS : principles and applications (Goodchild, Maguire,
103
MARTIN D.
Optimizing census geography : the separation of collection and output geographies. [
Оптимизация географии переписи населения: разделение сбора и вывода географических данных
]
in IJGIS, Vol. 7, n° 12, 1998.- pp.673-685
IGN
ROUET P.
Les SIG et MERISE questions de méthode. [ ГИС и MERISE - методические вопросы ]
in SIGAS, Vol. 1, n° 2, 1991.- pp.153-179
WACHTER S.
Institutions et enjeux pour l'aménagement des territoires. in : Entre l'Europe et la
décentralisation : les institutions territoriales françaises (J.-C. Nemery, S. Wachter, dir.). [
Организации и задачи благоустройства территорий ]
Paris, DATAR/Editions de l'Aube, 1993.- pp.19-30
CDU 32774
WEBER C.
De la banque de données urbaines au SIGU. in : Télédétection et systèmes d'information
urbains (C. Weber, F. Dureau, dir.). [ От банка городских данных к Городской
географической информационной системе ]
Paris, Anthropos, 1995.- pp.15-27
CDU 32324
WILCOX D.
Comment on the economic evaluation of implementing a GIS. [Комментарии к
экономическому обоснованию внедрения ГИС ]
in IJGIS, Vol. 4, n° 2, avril-juin 1990.- pp.203-210
IGN
104
105
SYSTEMES D’INFORMATION
GEOGRAPHIQUE
29
GEOGRAPHICAL INFORMATION SYSTEMS - economic, legal and organisational aspects and applications in
planning and in urbanism ; bibliography. SISTEMAS DE INFORMACIÓN GEOGRÁFICA - aspectos económicos,
jurídicos y de organización y aplicaciones de acondicionamiento y de urbanismo ; bibliografía. СИСТЕМЫ
ГЕОГРАФИЧЕСКОЙ ИНФОРМАЦИИ - экономические, юридические и организационные аспекты, и применение в
благоустройстве и городском хозяйстве ; библиография.
106
sommaire
1. OUVRAGES GENERAUX
3. APPLICATIONS ACTUELLES
DE L’INFORMATION GEOGRAPHIQUE NUMERIQUE
EN URBANISME ET HABITAT
Aménagement du territoire, planification des territoires
et modélisation des dynamiques urbaines
Planification et conception urbaines
Gestion foncière et plan cadastral informatisé
Aménagement urbain et architecture (paysage urbain)
Génie urbain : gestion technique urbaine et systèmes d’information urbains
Habitat et logement
SIG et collectivités territoriales : applications multiples
Environnement urbain
Observatoires thématiques locaux
contents
1. GENERAL WORKS
3. CURRENT APPLICATIONS
FOR COMPUTERISED GEOGRAPHICAL INFORMATION
IN TOWN PLANNING AND HABITAT STUDIES
Regional planning, planning for the territories
and modelling for urban dynamics
Urban planning and conception
Financial management and computerised cadastral plan
Urban planning and architecture (urban landscape)
Urban engineering : urban technical management
and urban information systems
Habitat and housing
GIS and territorial communities : multiple applications
Urban environment
Local thematic observatories
índice
1. OBRAS GENERALES
содержание
1. ОБЩИЕ ИЗДАНИЯ
2. ГЕОГРАФИЧЕСКАЯ ИНФОРМАЦИЯ
В КОНТЕКСТЕ ИНФОРМАЦИОННОГО ОБЩЕСТВА
экономические и юридические аспекты
Развитие рынка географической информации и ГИС
Развитие юридических и экономических правил
Стандартизация, взаимодействие и метаданные
Экономические вопросы
1
OUVRAGES GENERAUX
PORNON (Henri)
Systèmes d’information géographique, pouvoir et organisations : géomatique et stratégies
d’acteurs
Paris, L’Harmattan, 1998.- 255 p., bibliogr.
L’auteur, consultant spécialiste des SIG depuis 1987, aborde les conflits de pouvoir que suscite
l’introduction des SIG dans les organisations, en étudiant une dizaine de projets au regard des
concepts de la sociologie des organisations et des concepts systémiques du nouveau management.
Tout informaticien ou géomaticien peut trouver, dans cet ouvrage, de quoi alimenter sa réflexion sur
l’utilité de l’informatique, la conduite de projet, la transformation des organisations à l’aide des
nouvelles technologies ou la légitimité de ses interventions.
IGN 68251 ; CDU 36712
DEMERS (M.N.)
NEW MEXICO STATE UNIVERSITY
Fundamentals of geographic information systems
New York, John Wiley & sons, inc., 1997.- 486 p., 18 x 26 cm, glossaire ; en anglais
IGN 67726
JONES (C.B.)
UNIVERSITY OF GLAMORGAN - ROYAUME-UNI
Geographical information systems and computer cartography
Edinburgh, Longman, 1997.- 319 p., 19 x 24 cm, bibliogr. ; en anglais ; ISBN : 0-582-04439-1
IGN 67728
111
CARON (Claude)
Cadre descriptif des projets d’implantation de technologies géomatiques dans les
organisations
Québec, CRG - Université de Laval, 1996.- thèse de doctorat
http ://www.bibl.ulaval.ca
SCHOLL (Michel), VOISARD (Agnès), PELOUX (Jean-Paul), RAYNAL (Laurent), RIGAUX (Philippe)
SGDB géographiques : spécificités
Paris, International Thomson Publishing France, 1996.- 185 p., bibliogr.
Les auteurs étudient les spécificités de l’information géographique mal prises en compte par la
technologie actuelle des SGBD. A partir d’exemples, ils illustrent les problèmes méritant d’être
clairement identifiés et résolus ayant trait à la gestion des données issues des applications à
thématique géographique.
IGN 66024
ECOBICHON (Claude)
L'information géographique : nouvelles techniques, nouvelles pratiques
Paris, Ed. Hermès, 1994.- 122 p., 17 x 24 cm, notes, bibliogr. (coll. Perspectives)
Réflexion sur la dimension culturelle des difficultés techniques, juridiques et économiques du secteur
de l'information géographique. Il est question du marché de l'information géographique, du traitement
des données et des réactions du milieu professionnel et politique face aux innovations technologiques.
Le sujet central n'est pas tant la technique en elle-même que la façon dont en usent les techniciens.
CDU 29534 ; IGN 62239
Paris, Ed. Hermès, 1993.- 340 p., bibliogr., index, tabl. (coll. Traité des nouvelles technologies, série
Géographie assistée par ordinateur)
Après avoir présenté les caractéristiques des données géographiques, l'étude évoque la culture des
bases de données, met l'accent sur les spécificités des bases de données géographiques et aborde
des techniques avancées en matière de base de données dans les systèmes d'information
géographique.
CDU 29077 ; IGN 61567 ; IA 34368
BERNHARDSEN (T.)
Geographic information systems
Arendal (Norvège), VIAK IT, 1992.- 318 p., 16 x 24 cm, bibliogr. ; ISBN : 82-991928-3-8 ; en anglais
IGN 60895
PORNON (Henri)
Les SIG : mise en oeuvre et applications
Paris, Ed. Hermès, 1992.- 159 p., ind., bibliogr. (coll. Traité des nouvelles technologies. Série
géographie assisté par ordinateur)
Ouvrage de synthèse et guide pratique pour le choix, la mise en place et l'utilisation d'un système
d'information géographique (SIG). Historique sur l'évolution des technologies du traitement de
l'information ; présentation des SIG et de leurs utilisations, de leur inscription au sein d’autres outils
informatiques de l'organisation, des utilisateurs de SIG, du marché et de son évolution prévisible. Mise
en oeuvre d'un SIG sous ses aspects méthodologiques, économiques, humains et organisationnels
puis institutionnels. Aspects techniques de la mise en oeuvre : matériels et périphériques, logiciels et
fournisseurs, applications, données et évolution du système.
CDU 27229 ; IGN 60747 ; IA 32757 ; EPC NY4930
PORNON (Henri)
SERVICE TECHNIQUE DE L'URBANISME (STU)
Systèmes d'information géographique pour petites communes : guide méthodologique
Paris, STU, 1992.- 127 p., tabl., bibliogr. (dir. C. Hortefeux)
Ouvrage pratique sur les systèmes d'information géographique (SIG) et les banques de données
urbaines (BDU) pour les communes de moins de 20.000 habitants ; il donne une définition d’un SIG,
de son intérêt, de ses données. Il liste les questions techniques, économiques, humaines,
organisationnelles et institutionnelles à se poser pour mettre en oeuvre un SIG. Il donne une méthode
pour la conduite des projets de SIG : étude d'opportunité, de faisabilité, les étapes et les délais. Il
présente trois séries de fiches relatives aux méthodes de réalisations dans une dizaine de communes
et quelques logiciels parmi les plus courants.
CDU 26138 ; DRE 7078 ; IAB 2871 ; IA 31493 ; DCN 72-263 ; EPC NY4524 ; TU ST11 2562 ; IGN
60459
ROUET (P.)
ATELIER PARISIEN D’URBANISME (APUR)
Les données dans les systèmes d’information géographique
Paris, Ed. Hermès, 1991.- 278 p., fig., bibliogr. ; ISBN : 2-86601-295-X
Cet ouvrage rappelle les éléments essentiels nécessaires aux SIG : la forme de la terre et les
systèmes de référence, la constitution et la saisie des différentes données cartographiques. Il dresse
un panorama de l’offre de données informatisées pour SIG avant d’aborder quelques grandes
questions encore d’actualité : la qualité et la précision des données, la gestion des données et la
liaison entre données géométriques et données attributaires.
IGN 60051
DIDIER (M.)
SERVICE TECHNIQUE DE L'URBANISME (STU) ; CONSEIL NATIONAL D'INFORMATION
GÉOGRAPHIQUE (CNIG)
114
2
L’INFORMATION GEOGRAPHIQUE
DANS LE CONTEXTE
DE LA SOCIETE DE L’INFORMATION
aspects économiques et juridiques
BIQUAND (Jack)
AFIGEO, l’information géographique française dans la société de l’information
in XYZ n° 75, 1998.- pp.53-56 ; ISSN : 0290-9057
L’article fait le point sur la démarche du livre blanc lancée par le CNIG et l’AFIGEO sur l’information
géographique française dans la société de l’information : la situation en France, la comparaison avec
d’autres pays européens et les Etats-Unis, les enjeux et les propositions d’action.
IGN P112
L’auteur dresse un bref historique des initiatives relatives aux données géographiques internationales
en Europe. Il analyse les forces internes qui poussent à l’internationalisation dans l’information
géographique en Europe ainsi que les forces externes qui l’affectent, les facteurs de différence entre
pays européens et Etats-Unis, les résistances en Europe. Il propose de tirer des leçons des tentatives
de gérer les problèmes par discipline, des développements technologiques et théoriques dans
l’analyse des données géographiques et des relations entre pays développés, avant de préciser les
dangers perçus et les recommandations pour réaliser utilement les projets autour de l’information
géographique.
IGN 67323
GI 2000
Towards a European policy framework for geographic information : a discussion document
Emerging global spatial data infrastructure, Königswinter, Allemagne, 4-6 sept. 1996.- 25 p. ; en
anglais
Ce papier présente le contexte politique de l’information géographique, les raisons de l’importance de
l’information géographique et les collecteurs de l’information géographique. Il analyse les forces et les
faiblesses du marché européen. Enfin, il propose une stratégie d’évolution, des actions pratiques et
suggère d’impliquer des organisations dans cette politique de l’information géographique.
IGN 67323
GI 2000
Towards a European policy framework for geographic information : a working document. The
EGII [European geographic information infrastructure] policy document
1996.- 35 p. ; en anglais
IGN 67019 ; http://www2.echo.lu/gi/gi2000/en/gi2000dd.html
KOK B.C.
RAVI
Use and necessity of an EGII [European geographic information infrastructure]
Emerging global spatial data infrastructure, Königswinter, Allemagne, 4-6 sept. 1996.- 14 p., ann. ; en
anglais
Après avoir rappelé le développement d’une infrastructure pour l’information géographique aux Pays-
Bas, l’auteur énumère les raisons de créer une telle infrastructure au niveau européen et propose
différentes étapes de développement.
IGN 67323
SALGE (François)
INSTITUT GEOGRAPHIQUE NATIONAL (IGN) ; MEGRIN
A twelve years impact of spatial data handling research on the GIS community
SDH ’96, 7th international symposium on spatial data handling, Delft, Pays-Bas, 12-16 august 1996.-
19 p. ; en anglais
L’auteur retrace l’évolution des prémices de l’infrastructure européenne pour l’information
géographique et fait le point sur l’état actuel.
IGN 67324
OBERMEYER (Nancy)
INDIANA STATE UNIVERSITY - USA
GIS and society. in : Geographic information systems-materials for a post-graduate course
Vienne, COMETT, 1995.- pp.827-864 (coll. Geo-info 6, vol. 3 : GIS organization)
In recent years, geographic information systems (GIS) have gained greater acceptance in both the
public and private sectors. As this occurs, it means that GIS will play an increasingly larger role in our
lives, whether we are aware of it or not. These days, GIS is used for applications as varied as natural
resources and urban planning, routing delivery vehicles (both locally and cross-country), analyzing
crime data for the purpose of catching criminals, and planning national election campaign strategies.
The many and varied applications of GIS have significant implications for us, both individually and as
members of society. It is imperative that we gain an understanding of these implications.
IGN 64245
117
DEVELOPPEMENT DU MARCHE
DE L’INFORMATION GEOGRAPHIQUE ET DES SIG
LAWRENCE (V.)
European geoinformation data publishing : understanding the commercial industry. in :
European geographic information infrastructures : opportunities and pitfalls
Londres, Taylor & Francis, 1998.- pp.87-99 (GISDATA 5)
Organisations are run by data ; they collect them, analyse them and, from these analyses, determine
how they might be run more effectively. In the 1980s, as more organisations adopted geographic
information systems, it became known that the cost of the hardware and software needed for a GIS
often represented only approximately 30 per cent of the final costs of implementing the GIS project ;
the majority of the budget was being spent on data collection and conversion. These percentages are
changing as the commercial data market starts to operate efficiently in the GIS arena. The 70:30 ratio
is now only representative of high value, low volume situations involving start-ups of operational
systems such as utilities. It is estimated that between 60 and 80 per cent of all data held by
government departments can be classed as geospatial, where this is defined as any data that have
associated with them some geographical referencing, including to a national grid, a postcode system,
latitude/longtitude or defined areas such as parliamentary constituencies. As government and private
sector organisations realised the huge investment they were making in the collection of data, the
organisations’ accountants started to assess the advantages and disadvantages of allowing others to
use the data that had been collected by their organisations as against using data created by third
parties. This chapter explores the emergence of the commercial geoinformation data publishing
market and considers its future.
IGN 66981
PORNON (Henri)
IETI CONSULTANTS
1992-1997 : le marché des SIG ; 1997-2002 : évolutions et perspectives
in XYZ n° 75, 1998.- pp.68-70 ; ISSN : 0290-9057
Deux publications récentes de IETI Consultants permettent de dresser un état des lieux des évolutions
et des perspectives pour le marché des SIG.
IGN P112
SALGE (F.)
INSTITUT GEOGRAPHIQUE NATIONAL (IGN)
From an understanding of European GI economic activity to the reality of a European data set.
in : European geographic information infrastructures : opportunities and pitfalls
Londres, Taylor & Francis, 1998.- pp.17-29 (GISDATA 5)
As the title suggest, this chapter is divided into two parts. The first part considers the nature of the
economic sector of geographic information. Many qualitative arguments exist in documents such as
GI2000 explaining why investing in the ‘Europeanisation’ of geographic information is so important
(CEC, 1996), but very few figures exist showing the size of the sector. Many people think that the GI
sector will influence the future of the information technology (IT) field but very few facts (or figures) are
available to prove the assertion. The second part of the chapter considers the issue from a rather
different perspective. It describes the reality of creating pan-European products. It reports on practical
experience in that field and tries to extrapolate the costs of producing a European topographical
information template on the basis of this experience. In the final section of this chapter, it is argued that
such attempts to promote the cooperation of public bodies create dilemmas for those public bodies
also involved in offering services. It also voices the user schizophrenia which combines the threat of
118
potential unfair competition from the public bodies with the request for free access to public data
(Policy Studies Institute, 1995).
IGN 66981
ANDERSEN (Arthur)
BARBIER FRINAULT & ASSOCIES
Etude sur le prix de la donnée d’information géographique : stratégies possibles pour l’Etat ;
rapport
Paris, CNIG, sept. 1997.- 200 p.
Ce rapport évoque les difficultés du marché de l’information géographique au travers de ses
spécificités, de son potentiel de développement, des prix et de l’action possible de l’Etat et des
producteurs publics.
IGN 68267
FANTUZZI (A.)
L'OGC [Open GIS Consortium] bouscule la communauté mondiale de la géomatique
in Géomètre n° 11, nov. 1997.- pp.24
L'OGC, association internationale très américaine, oeuvre sur "l'interopérabilité" des données
géographiques. A suivre ...
IGN P063
FRANK (A.U.), BURROUGH (P.), CRAGLIA (M.), MASSER (I.), RHIND (D.)
Study on policy issues relating to geographic information in Europe : final report on the work
carried out for contract code GI-policy 10338 within the framework of the impact program of the
European community
CE - DGXIII, 1997.- 76 p., 21 x 30 cm ; en anglais
L’étude délimite et clarifie « les aspects de la politique des données propres à l’information
géographique », formule des recommandations pour renforcer la sensibilisation dans ce domaine et
résoudre certains des problèmes constatés.
IGN 66982
LEGER (Christian)
INSTITUT GEOGRAPHIQUE NATIONAL (IGN)
Bilan de l’aide de l’Etat aux exportateurs français d’information géographique : rapport d’étude
Paris, CNIG, sept. 1997.- 20 p.
Inventaire des projets et actions de coopération internationale ou d’exportation ayant bénéficié d’une
aide de l’Etat ; analyse thématique ; typologie des actions et des bénéficiaires de ces financements.
IGN 67005
LITTLEJOHN (Martin)
Résultats des études lancées sur l'information géographique en Europe
in XYZ n° 72, 3ème trim. 1997.- pp.52-54
La Commission européenne développe un cadre politique pour l’information géographique en Europe,
afin de créer un environnement propice à la fourniture abondante, diversifiée et compétitive de
données géographiques. Elle a lancé trois études sur différents aspects du marché de l’information
géographique : GI-BASE pour déterminer et chiffrer le marché européen de l’information, GI-META
pour comprendre les besoins en services de métadonnées pour l’industrie européenne, GI-POLICY
pour identifier et clarifier les éléments de politique spécifiques aux informations géographiques.
IGN P112
PRODGER (D.), SUTHERLAND (N.), WEVERS (K.), MISSAGIA (M.), HECHT (G.)
NAVIGATION TECHNOLOGIES, ORDNANCE SURVEY, EL. DA INGEGNERIA
GI-base final report : study on demand and supply for geographic information in Europe
prepared for directorate general 13 of the European commission
Royaume-Uni, Ordnance Survey, 1997.- version 1.1, 243 p., 21 x 30 cm ; en anglais
Ce rapport présente les résultats de l’étude demandée par la DG XIII sur l’évolution du marché
existant et potentiel en Europe. L’étude passe en revue les grands groupes d’utilisateurs (secteurs
d’utilisation traditionnelle, les nouveaux secteurs d’utilisation et les secteurs encore peu utilisés), les
données de base, les coûts et avantages pour la prise de décision dans les organisations utilisatrices
et propose des recommandations pour réaliser de nouvelles études.
IGN 66984
RHIND (D.)
Framework for the world
Cambridge, Geoinformation International, 1997.- 325 p., 16 x 24 cm ; ISBN : 0-470-24440-2
IGN 66712
URBATIQUE
Etude du marché européen de l’information géographique numérique
Paris, CNIG / AFIGEO, 1997.- 90 p.
Cette synthèse présente un cadrage général permettant d’évaluer la taille et le dynamisme du marché
européen, une analyse approfondie de l’offre, de la demande et de la structure du marché ainsi qu’un
recensement des freins et des obstacles au développement du marché.
IGN 68265
ECOBICHON (Claude)
Le « I » de SIG. in : Points de vue
in Les cahiers du génie urbain n° 11, juin 1996.- pp.31-32
120
Les SIG ne tirent pas leur originalité du seul fait qu’ils sont informatiques. Au-delà de leur aspect
technique, ils impliquent une nouvelle conception de l’information et de son traitement, recomposant le
marché des données, quel qu’en soit le secteur.
CDU
FISCHER (M.), SCHOLTEN (H.J.), UNWIN (D.), OPENSHAW (S.), CLARKE (G.), BIVAND (R.S.),
HAINING (R.), OLIVER (M.A.), GUNNINK (J.L.), et al.
Spatial analytical perspectives on GIS
Londres, Taylor et Francis, 1996.- 256 p., 17 x 26 cm, bibliogr. ; ISBN : 0-7484-0340-X ; en
anglais (coll. GISDATA n° 4)
IGN 67713
GOLDFINGER (Charles)
GEF
De l’économie de l’information vers l’économie de l’immatériel
MARI Europe 96, « Les Géoconférences », 2 au 4 avril 1996.- pp.143-150 ; en anglais
L’économie de l’information est une économie de l’immatériel : la valeur essentielle ne réside pas dans
le support physique mais dans le contenu. Les flux essentiels ne sont plus ceux des biens physiques
mais des images, des symboles et des données. On peut appréhender l’économie de l’immatériel
sous trois dimensions : la demande (les artefacts immatériels constituent les objets premiers de la
consommation), l’offre (les actifs intangibles sont les vecteurs déterminants de l’avantage concurrentiel
de l’entreprise) et le marché (la logique de l’avantage de la dématérialisation régit les relations entre
agents économiques). La nouvelle économie fonctionne selon des règles différentes. Le cyberespace
de l’Internet est l’espace-temps de l’économie de l’immatériel. Dans cet espace, les notions
traditionnelles de proximité et d’éloignement, de l’intérieur et de l’extérieur s’atténuent. Toutefois, le
cyberespace n’est pas homogène, il est infiniment différencié et individualisé.
IGN 67022
COUDERCY (L.)
Les révolutions en cours dans le monde de l'information géographique
in Signature n° 0, déc. 1994.- pp.8-10
Par son utilisation opérationnelle sous forme informatique, l’information géographique subit une série
de révolutions liées aux potentialités d’usage de l’information géographique, à la multiplication des
possibilités de traitement de l’information géographique et à l’impact de l’informatisation sur les
professions liées à l’information géographique.
IGN P245
PEEL (J.)
BUSINESS RESEARCH CENTRE
GIS in local government : market research report
Business research centre, sep. 1994.- unpaged 6pp., diags (BRC, Laystalls, Cross Hayes,
Malmesbury, Wilts SN16 9BE) RP71669A
Presents the findings of a survey of local authority planning and technical services departments, with a
higher percentage of planners responding compared with technical officers. Looks at future plans to
implement geographical information systems, which commercial databases are used, who are the
suppliers, and how satisfied users are with the systems. Also covers the subject areas of interest to
users of GIS systems.
ACOMPLINE Localisation P71669
FROISSART (Jacques)
Aspect économique et marché des systèmes d’information géographique
in Géomètre n° 11, nov. 1991.- pp.59-61
Les SIG sont devenus une activité économique réelle, avec de nombreux partenaires concernés.
Toutefois, cette activité est mal identifiée. Le marché serait moyen.
IGN P063
• Textes de base
Loi n° 98-536 du 1er juillet 1998 portant transposition dans le code de la propriété intellectuelle
de la directive 96/9/CE du Parlement européen et du Conseil, du 11 mars 1996, concernant la
protection juridique des bases de données
in Journal officiel ; JO n° 151, 2 juillet 1998.- pp.10075-10077
Dipositions relatives au droit d’auteur et aux droits des producteurs de bases de données. Droits des
producteurs de bases de données. Dispositions diverses et transitoires.
CDU
COMMUNAUTE EUROPEENNE
Directive 96/9/CE du Parlement européen et du Conseil, du 11 mars 1996, concernant la
protection juridique des bases de données
in Journal officiel des Communautés européennes ; JO CE n° L 77 du 27 mars 1996.- pp. 20-28
Cette directive établit la possibilité d’une double protection pour les bases de données structurées : le
droit d’auteur, lié à la propriété intellectuelle, est un droit spécifique « sui generis » permettant
d’interdire l’extraction non autorisée d’une base de données dont la réalisation a fait l’objet d’un
investissement conséquent.
Sources d’Europe
• Autres documents
SERVICE PUBLIC
HENRY (Claude)
Concurrence et service public dans l’Union européenne
Paris, PUF, 1997.- 225 p.
Dans le cadre de l’Union européenne, il est possible d’évoluer vers un modèle où le service public soit
clairement défini et solidement assuré, où des entreprises publiques rénovées et efficaces, parce que
soumises à des formes appropriées de concurrence, continuent de jouer un rôle central, plutôt que de
découper et privatiser les entreprises de service public. L’auteur analyse des exemples tirés des pays
122
voisins : Allemagne, Pays-Bas, Suède, Grande-Bretagne et prône l’émergence d’un modèle européen
de services publics pour lesquels les impératifs de service public se combinent avec les stimulants que
sont la concurrence et la régulation.
IGN 68201
DROIT D’AUTEUR
ET PROPRIETE INTELLECTUELLE
ASLESEN (L.)
Intellectual property and mapping : a European perspective. in : European geographic
information infrastructures : opportunities and pitfalls
Londres, Taylor & Francis, 1998.- pp.127-135 (GISDATA 5)
GIS is moving from electronic versions of traditional mapping and charting products into multimedia
systems ; where the products create the basis for the use of other types of work. An endless possibility
for new applications arises. A number of legal aspects also arise, many just as important as intellectual
property. This chapter gives an overview of the legal situation on intellectual property and GIS, and
focuses on some specific GIS problems, as well as the dilemma of how to make data available without
compromising protection.
IGN 66981
LECLERE (Jean-Philippe)
Circulation des données géographiques : aspects juridiques
« La circulation des données au service des technologies de l’information géographique », Conférence
IMAR, 25 juin 1998.- 13 p.
Présentation des caractéristiques du marché de l’information géographique. Le statut des données
géographiques est exposé en termes de protections, de sanctions et de droits attribués aux créateurs.
Les restrictions d’accès à certaines données sont explicitées ainsi que les problèmes liés à la diffusion
des données (tarification et respect des règles de concurrence).
IGN 67020
IGN 66981
HEIDE (Thomas)
Réinterpréter le droit au respect de l’oeuvre énoncé à l’article 6 bis de la Convention de Berne
in Bulletin du droit d’auteur, vol. XXXI, n° 3, 1997.- pp.5-20
Après avoir examiné le droit au respect de l’oeuvre, sa justification, les critiques dont il fait l’objet et le
rapport existant entre ce droit et les préoccupations relatives à l’authenticité, l’auteur propose une
interprétation du droit au respect fondée sur une approche factorielle de ce droit.
IGN P033
KEREVER (André)
Droit d’auteur et Internet : jurisprudence
in Bulletin du droit d’auteur, vol. XXXI, n° 3, 1997.- pp.40-41
Commentaire de deux décisions judiciaires qui précisent la nature et l’étendue des droits d’auteur mis
en jeu par la mise en circulation d’oeuvres protégées sur le réseau Internet et de manière générale, en
cas de transmission numérique.
IGN P033
KEREVER (André)
La problématique de l’adaptation du droit de reproduction et du droit de représentation
publique dans l’environnement numérique multimédia
in Bulletin du droit d’auteur, vol. XXXI, n° 2, 1997.- pp.4-24
Cette étude commence par le rappel des nouveaux modes d’exploitation des oeuvres protégées par le
droit d’auteur permis par les technologies de numérisation. Ce rappel permet dans une deuxième
partie, d’identifier les problèmes posés en matière de droit d’auteur par des exploitations inconnues
dans l’ère analogique. La troisième partie présente des propositions de solutions aux problèmes
recensés.
IGN P033
LECLERE (Jean-Philippe)
Droits d’auteur et diffusion de données géographiques. in : Dossier : Internet et la géomatique
in Géomètre n° 8-9, août-sept. 1997.- pp.35-37
La diffusion des bases de données géographiques sur Internet, si elle ne remet pas en cause les
principes traditionnels de droit d’auteur, rend toutefois leur application plus délicate. Regard sur : les
mécanismes juridiques susceptibles de s’appliquer à la diffusion des données géographiques ; la
diffusion sur Internet d’une œuvre protégée par le droit d’auteur ; l’évolution récente du régime
juridique des bases de données, suite à l’adoption de la directive du 11 mars 1996.
CDU ; IGN
KEREVER (André)
Propriété intellectuelle : la détermination de la loi applicable aux transmissions numérisées
in Bulletin du droit d’auteur, vol. XXX, n° 2, 1996.- pp.11-24
L’auteur fait des remarques générales sur la territorialité du droit d’auteur avant d’examiner
l’exploitation des oeuvres par transmission numérique et la position de la Convention de Berne.
IGN P033
LARNER (Andrew)
Balancing rights in data elementary ?
Londres, Taylor & Francis, 1996.- pp.31-41 (Innovations in GIS n° 3)
This chapter summarises some of the research carried out for a PhD entiled, ‘The legal and
institutional restrictions upon the handling of digital land-related data’. It starts with a review of what is
meant by rights and interests in data. Then, examines what is meant by information and data and how
well the current legal framework protects interest in data. This chapter focuses more upon the best
method of protecting interests in a dataset rather than whether or not those rights are justified. It is
suggested that the current legal framework is inadequate for protecting rights in data. A new method of
protecting rights is proposed which is based upon the examination of the full spectrum of current
intellectual property and real property law as well as the history of copyright. The chapter concludes
with a brief assessment of the practicalities of implementing the proposed method of protecting rights
in data.
IGN 67731
LECLERE (J.-P.)
Les contraintes juridiques soulevées par l'introduction d'un système d'information
géographique
Paris, IVF Services, 1996.- 11 p., 21 x 30 cm (Séminaire SIG : connaissance et utilisation)
L’auteur présente les problèmes juridiques soulevés en droit français, lors de la collecte, du traitement
et de la diffusion des données géographiques dans le cadre d’un SIG autour de deux axes : l’accès
aux données et la diffusion des données. Il conclut sur l’importance à formaliser par convention les
relations entre partenaires.
IGN 66977
RODRIGO (Elena)
Les droits d’auteur et d’éditeur dans l’édition électronique
in Bulletin du droit d’auteur, vol. XXX, n° 3, 1996.- pp.6-17
Un débat mondial ; le livre vert de la Commission des Communautés européennes ; acquisition et
gestion des droits ; systèmes techniques d’identification et de protection ; répartition et gestion
collective ; loi espagnole sur la propriété intellectuelle.
IGN P033
Compte-rendu de la Conférence PECARI (Lille, juin 1995) : problèmes juridiques des échanges
de données informatisées
6 p., 1995
Après une introduction de J.-P. Leclere sur les motifs du débat autour de la propriété des informations
géographiques, différents intervenants (fournisseurs et utilisateurs) exposent les évolutions du droit
d’auteur dans leur pratique et leurs questions quant à la protection des données géographiques.
IGN 68266 ; www.spdg.org/Pecari/conf95.htm
LECLERE (Jean-Philippe)
Les SIG et le droit
Paris, Ed. Hermès, 1995.- 249 p., index (Mémento guide Alain Bensoussan)
Cet ouvrage traite des principales dispositions juridiques applicables aux SIG, des problèmes liés à la
propriété des données géographiques et de ceux relatifs à la responsabilité du producteur quant à la
qualité de l’information. Après une présentation générale des SIG, il est traité des droits d’auteur, de la
125
VERCKEN (Gilles)
Guide pratique du droit d'auteur pour les producteurs de multimédia
Luxembourg, OPOCE, 1995.- 228 p., fig., tabl., bibliogr.
Une approche européenne du droit d’auteur dans le domaine du multimédia.
CP 5655
AILLAUD (Valérie)
INSTITUT FRANÇAIS D'URBANISME (IFU)
La protection des données personnelles dans les systèmes d'information géographique mis en
oeuvre par les collectivités locales
Paris, IFU, 1992.- 101 p. + ann., fig., bibliogr.
Tout au long de cette recherche, l'auteur s'intéresse aux risques potentiels des systèmes d'information
géographique (SIG) et aux dangers de leur utilisation. Dans un premier temps, il présente et
commente le cadre légal de leur mise en oeuvre. Cette étude ne concerne que les SIG, implantés
dans les collectivités locales et se fonde sur des interviews réalisés auprès des responsables de SIG.
Dans un deuxième temps, l'auteur fait des propositions techniques, organisationnelles et juridiques
pour tous les acteurs locaux.
CDU 32378 ; IFU
LECLERE (Jean-Philippe)
La cartographie numérique et le droit
in Gazette du Palais du 17 et 18 juill. 1992.- pp.4-10
Après avoir rappelé ce que sont les données cartographiques, l’article expose la protection des droits
relatifs aux données cartographiques et à la production cartographique, notamment au sein des
systèmes d’information géographique et définit le cadre de responsabilité.
IGN 67007
LARNER (A.)
Legal and institutional issues to be resolved with respect to the integration of European data.
in : European geographic information infrastructures : opportunities and pitfalls
Londres, Taylor & Francis, 1998.- pp.137-152 (GISDATA 5)
The integration of geographic data raises a number of legal and institutional issues. The importance of
particular issues will vary among member states. This chapter is written from the UK perspective. In
some ways, the UK position is an anomaly within the EU because of the emphasis on government cost
recovery and cross-charging within and between public sector organisations. However, it is contended
that the UK market approach has reflections in other member states and that these similarities may
become stronger as the financial effects of the increasing average age of the European population are
felt.
IGN 66981
BRUGGEMANN (H.)
MINISTRY OF THE INTERIOR, NORTHRHINE-WESTFALIA - ALLEMAGNE
Data privacy and geoinformation
International workshop « Current status and challenges of geoinformation systems » IUSM working
group on GIS/LIS, Hannovre 25-28 septembre 1995.- pp.299-306, bibliogr.
In Germany, protection of data privacy is a basic right at constitutional level, called « right on
informational self-determination ». Personal data are defined in a wide sense par Data Protection Acts
of the Federation. More and more, geoinformation is being integrated with personal data. How far it is
allowed to bring together these data in digital datasets to make use of them for public and private
purposes ? In the fields of surveying and cadastre, Survey and Cadastre Laws of the Länder made
some restrictions. But Commissioners for Data Protection are critizing cadastre offices because of their
way of handling cadastral and related information. But the Netherlands and Austria don’t see problems
in handling cadastral data in a free manner without data protection. So, the question is how a common
European understanding can be reached and how it should look like.
IGN 64222
LECLERE (Jean-Philippe)
Les SIG et le droit
Paris, Ed. Hermès, 1995.- 249 p., index (Mémento guide Alain Bensoussan)
Les principales dispositions juridiques applicables aux SIG et les problèmes liés à la propriété des
données géographiques ainsi qu’à la responsabilité du producteur quant à la qualité de l’information :
droit d’auteur, diffusion et exploitation des données, protection des données nominatives, cadastre,
accès aux documents administratifs, commercialisation des données publiques.
CDU 31950 ; IGN 63731
Strasbourg, Conseil régional de l'ordre des géomètres experts de Strasbourg - Brumath : OGE, 1992.-
63 p. non pag., 1 doc. et 2 plaquettes
Les réflexions de ce congrès portaient sur : la détermination de l'information foncière, le système
d'information géographique (informatisation), la mensuration officielle suisse pour une information
foncière de qualité, les limites d'emprise de la voirie des communes, limite juridique et information
graphique, pour la sécurité dans les informations foncières.
CDU 26183 ; IGN 60452
PROBLEMES LIES
AU COMMERCE ELECTRONIQUE SUR INTERNET
ALBERGANTI (Michel)
Comment attirer le chaland français sur Internet
in Le Monde du 15 sept. 1998.- pp. VI
Le rapport Lorentz met en évidence l’importance des enjeux du commerce électronique pour l’Europe.
CDU
KEREVER (André)
Droit d’auteur et Internet : jurisprudence
in Bulletin du droit d’auteur, vol. XXXI, n° 3, 1997.- pp.40-41
Commentaire de deux décisions judiciaires qui précisent la nature et l’étendue des droits d’auteur mis
en jeu par la mise en circulation d’oeuvres protégées sur le réseau Internet et de manière générale, en
cas de transmission numérique.
IGN P033
LECLERE (J.-P.)
Droits d'auteur et diffusion de données géographiques
in Géomètre n° 8-9, août-sept. 1997.- pp.35-37
La diffusion des bases de données géographiques sur Internet, si elle ne remet pas en cause les
principes traditionnels de droit d'auteur, rend toutefois leur application plus délicate.
IGN P063
KEREVER (André)
Propriété intellectuelle. La détermination de la loi applicable aux transmissions numérisées
in Bulletin du droit d’auteur, vol. XXX, n° 2, 1996.- pp.11-24
L’auteur fait des remarques générales sur la territorialité du droit d’auteur avant d’examiner
l’exploitation des oeuvres par transmission numérique et la position de la Convention de Berne.
IGN P033
RODRIGO (Elena)
Les droits d’auteur et d’éditeur dans l’édition électronique
in Bulletin du droit d’auteur, vol. XXX, n° 3, 1996.- pp.6-17
128
KEREVER (André)
Le niveau de protection de droits d’auteur et voisins dans l’Accord ADPIC de Marrakech
in Bulletin du droit d’auteur, vol. XXVIII, n° 4, 1994.- pp.3-14
Après avoir rappelé le contenu des normes de protection apprécié par rapport aux conventions
internationales, l’auteur examine le contenu des droits et la spécificité de l’Accord « Aspects des droits
de propriété intellectuelle qui touchent au commerce » signé à Marrakech le 15 avril 1994, lors de
l’Uruguay Round.
IGN P033
SALGE (François)
INSTITUT GEOGRAPHIQUE NATIONAL (IGN)
Point sur la normalisation dans le domaine de l’information géographique
MARI Europe 98, avril 1998.- 4 p.
Cette présentation fait le point sur les travaux de normalisation du CEN, de l’ISO en incluant les
interventions de l’Open GIS Consortium et envisage des futurs possibles pour la France et l’Europe.
IGN 67008
CHENEZ (C.)
EUROGI et la normalisation en information géographique
129
FLOCHEL (J.)
La certification des échanges EDIGEO réalisée par le CNIG
in Géomètre n° 2, févr. 1996.- pp.40-41
Afin de réduire au strict minimum le coût des échanges de données géographiques entre SIG, le CNIG
a mis au point le standard d’échanges de données géographiques EDIGEO et créé une organisation
évolutive chargée de vérifier la conformité des fichiers et logiciels faisant référence à ce produit.
IGN P063
FOURNILLIER (Jean-Marie)
Systèmes d’information géographique et normalisation des données. in : Points de vue
in Les cahiers du génie urbain n° 11, juin 1996.- pp.33-35
Le développement des SIG, outils essentiels dans la gestion technique urbaine, n’est pas sans
soulever des difficultés en matière d’échange des données. J.-M. Fournillier, ingénieur en chef du
service des systèmes d’information du Grand Lyon, précise les pistes possibles en matière de
normalisation, tout en présentant le expérimentations menées par la Communauté urbaine.
CDU
LUMMAUX (J.-C.)
La normalisation en information géographique : pourquoi ?
in Géomètre n° 2, févr. 1996.- pp.32-33
Depuis plusieurs années, les activités de normalisation dans le domaine de l’information géographique
se multiplient au niveau français, européen et même mondial. Parallèlement des groupes d’utilisateurs
ont mis au point des normes sectorielles pour leurs besoins. Les motifs de ces normalisations sont à
rechercher dans l’identification des obstacles au développement de l’activité économique liée à
l’information géographique.
IGN P063
SALGE (F.)
Normalisation dans le domaine de l'information géographique : les efforts européens
in Géomètre n° 2, févr. 1996.- pp.42-48
Dès 1989, le défi de la normalisation en information géographique devenait européen. Aujourd’hui, le
rapprochement des efforts en ce domaine ne se limite plus aux seuls aspects de la normalisation
officielle. Divers organismes oeuvrent pour générer une nouvelle vision de l’information géographique,
promouvoir la mise en réseau des SIG locaux, favoriser la constitution d’un marché et d’une
infrastructure européenne, encadrer les modalités financières de mise à disposition des données sur le
territoire européen.
IGN P063
SALGE (F.)
Normalisation centrée sur les données, normalisation centrée sur les traitements : le cas "Open
GIS" [Open GIS Consortium]
in Géomètre n° 2, févr. 1996.- pp.53-56
La marche vers un SIG virtuel à l'échelle planétaire est inéluctable. L'interopérabilité des SIG ouverts
s'imposera à terme. L'Open GIS Consortium l'a bien compris, qui représente le seul courant de
standardisation à vocation généraliste, à la fois centré sur les données et les traitements et qui n'entre
pas dans un cadre normatif officiel.
IGN P063
SCLAFER (M.-N.)
Normalisation militaire et normalisation civile. Méfiance ou partage des ressources, influence
ou coopération ?
in Géomètre n° 2, févr. 1996.- pp.57-59
130
JIBBS (Tony)
Progress in the standardization of geographic data : a UK, European and international
perspective
International workshop « Current status and challenges of geoinformation systems » IUSM working
group on GIS/LIS, Hannovre, 25 au 28 sept. 1995.- pp.257-271
The standardisation of geographical data becomes necessary as the transfer of geographical
information between systems becomes important. As the data held within the systems becomes more
complex ; it also becomes necessary to transfer a description of the data, and the standardisation
process inevitably moves towards explicit consideration of such medata. This paper describes
something of the history of the transfer of geographical data, concentrating on the problems arising
from the need to transfer both the data and its description. Current work in European standardisation is
considered, and the author explains why he believes that, whilst standardisation of geographical data
as such is not possible, other techniques will lead to appropriate solutions.
131
IGN 64222
OSTENSEN (Olaf)
Standardization in the field of Digital geographic information
International workshop « Current status and challenges of geoinformation systems » IUSM working
group on GIS/LIS, Hannovre, 25 au 28 sept. 1995.- pp.201-215
The field of geographic information is both one of the oldest scientific areas, and also an area where
standardization has been recognized for hundreds of years. It is therefore natural and in due time that
this important area has been taken up by the global de jure standardization body - the International
Organization for Standardization, ISO. This paper will emphasize and present the framework of ISO/TC
211 and its proposed programme of work, and some of the factors to be taken into account, specifically
the relationship to ongoing international de facto standardization. It will also briefly describe some other
major players on the geomatics standardization ground and the relationship between these. Efforts at
national level is outside the scope of this paper, but it should be recognized that most international
efforts originate from a national starting point.
IGN 64222
PREVOST (Yves)
Data standards and harmonization : a view from the World Bank
International workshop « Current status and challenges of geoinformation systems » IUSM working
group on GIS/LIS, Hannovre, 25 au 28 sept. 1995.- pp.243-255
As the use of GIS tehnology and of geo-referenced databases in the World Bank becomes mores
widespread, ill-defined data standards and inconsistencies between databases have become a major
barrier in using data more efficiently, both within the Bank and in components of lending programs to
client countries. The problem is particularly acute in the case of environmental issues because they
require integrating an array of information originating from different sources. Standards concern
database design and specifications, including databased models, dictionaries of geographic entities,
lists of attributes and their values, and relationships between entities. Standards also include database
construction procedures that ensure quality across a data set. It is important to document database
specifications as metadata, also including information on source, procedures and data quality.
IGN 64222
SALGE (F.)
Commission ACI sur les normes d'échange de données localisées : normalisation dans le
domaine de l'information géographique, les tentatives européennes. 17ème Conférence
cartographique internationale
in Bulletin du Comité français de cartographie n° 146-147, 1995.- pp.218-231
La communication décrit les activités des différents intervenants en matière de normalisation dans le
domaine de l'information géographique : Comité européen de normalisation, CERCO, MEGRIN,
EUROGI, Commission européenne, lieux de discussion. En conclusion, quelques commentaires
insistent sur les lacunes du débat sur la normalisation en Europe.
132
IGN P021
• Interopérabilité
Interoperability in GIS
in IJGIS. The international journal of geographical information science (Royaume-Uni), vol. 12, n° 4,
june 1998.- 428 p. ; ISSN : 0269-3798
IGN P079
MC KEE (Lance)
133
SALGE (F.)
Normalisation centrée sur les données, normalisation centrée sur les traitements : le cas "Open
GIS" [Open GIS Consortium]
in Géomètre n° 2, févr. 1996.- pp.53-56
La marche vers un SIG virtuel à l'échelle planétaire est inéluctable. L'interopérabilité des SIG ouverts
s'imposera à terme. L'Open GIS Consortium l'a bien compris, qui représente le seul courant de
standardisation à vocation généraliste, à la fois centré sur les données et les traitements et qui n'entre
pas dans un cadre normatif officiel.
IGN P063
• Métadonnées
RABU (D.)
Catalogue des métadonnées en Pays de la Loire
« La circulation des données au service des technologies de l’information géographique », Conférence
IMAR, 25 juin 1998.- 2 p.
Un programme de recensement des métadonnées a débuté en 1997 en Pays de la Loire avec pour
objectif le catalogage de toutes les données numériques ou numérisées géoréférencées en Pays de la
Loire.
IGN 67020
CHENEZ (Christian)
EUROPEAN UMBRELLA ORGANISATION FOR GEOGRAPHIC INFORMATION (EUROGI)
Le catalogage des données : état des lieux et contexte
« Le catalogage des données », 9ème journée annuelle de la recherche géographique, 12 juin 1997.-
5 p.
Au niveau européen comme au niveau mondial, la nécessité d’un meilleur catalogage est reconnu
pour développer le marché. Les actions entreprises le montrent. En Europe, différents travaux ont
débuté pour appréhender la question : proposition d’une politique européenne pour l’information
géographique, travaux de normalisation, livre vert sur la diffusion des données publiques, études
financées par la DGXIII, équipement de services européens de services de métadonnées.
IGN 67013
HUDON (Yves-Luc)
134
METIVIER (Romain)
MINISTERE DES RESSOURCES NATURELLES DU QUEBEC
Appuis techniques pour l’application de la norme métadonnées
« Le catalogage des données », 9ème journée annuelle de la recherche géographique, 12 juin 1997.-
7 p.
IGN 67013
MOTET (Serge)
INSTITUT GEOGRAPHIQUE NATIONAL (IGN)
Appuis techniques pour la structuration des bases utilisateurs
« Le catalogage des données », 9ème journée annuelle de la recherche géographique, 12 juin 1997.-
5 p.
Dans le cadre des échanges d’informations, deux problèmes sont bien connus : catalogage des
données et livraison des mises à jour. Des recherches sont menées pour y répondre : autour des
techniques logicielles et sur la formalisation du « sens » de l’information géographique.
IGN 67013
RABU (Dominique)
BUREAU DE RECHERCHES GEOLOGIQUES ET MINIERES (BRGM)
Les attentes des utilisateurs au plan méthodologique : création d’une base de métadonnées en
Pays de la Loire
« Le catalogage des données », 9ème journée annuelle de la recherche géographique, 12 juin 1997.-
22 p. (copies de transparents)
Un programme est lancé en 1997 pour réaliser un catalogue des données numériques géoréférencées
en Pays de la Loire et le diffuser auprès des utilisateurs. La démarche se découpe en plusieurs étapes
explicitées : définition du cadre du programme, recensement des producteurs de données, définition
des mots-clés, recueil des données, définition du vecteur de diffusion, structure de la base et diffusion.
IGN 67013
CREPEAU (C.)
Méta-données et géomanagement
in SIG et télédétection n° 14, juill. 1995.- pp.7-10
La problématique du domaine de l’information géographique s’est déplacée peu à peu vers les
données. Deux éléments à la fois distincts et fortement liés sont présentés ici : les métadonnées
(données sur les données) et le géomanagement qui permet de gérer les métadonnées.
IGN P072
customers within Europe. To realize this, MEGRIN follows the aim to provide for : 1. a system
describing which geographical data are, or will be, available for which areas, i.e.a geographical Data
Description Directory (GDDD), 2. a system transferring geographical data in standardized for but
converted to specifications if required, 3. a system monitoring and controlling the commercial aspects
of the transactions. Further MEGRIN serves for the needs of the European Commission in the field of
topographic data. That means the building of unified and homogeneous geographical data sets by
using existing data from the NMAs of Europe. As a first result of this work the seamless Administrative
Boundaries of Europe (SABE) were created and other data sets like a digital elevation model,
gazetteer and digital raster data sets of topographic maps will follow.
IGN 64222
ASPECTS ECONOMIQUES
LAWRENCE (V.)
European geoinformation data publishing : understanding the commercial industry. in :
European geographic information infrastructures : opportunities and pitfalls
Londres, Taylor & Francis, 1998.- pp.87-99 (GISDATA 5)
Organisations are run by data ; they collect them, analyse them and, from these analyses, determine
how they might be run more effectively. In the 1980s, as more organisations adopted geographic
information systems, it became known that the cost of the hardware and software needed for a GIS
often represented only approximately 30 per cent of the final costs of implementing the GIS project ;
the majority of the budget was being spent on data collection and conversion. These percentages are
changing as the commercial data market starts to operate efficiently in the GIS arena. The 70:30 ratio
is now only representative of high value, low volume situations involving start-ups of operational
systems such as utilities. It is estimated that between 60 and 80 per cent of all data held by
government departments can be classed as geospatial, where this is defined as any data that have
associated with them some geographical referencing, including to a national grid, a postcode system,
latitude/longtitude or defined areas such as parliamentary constituencies. As government and private
sector organisations realised the huge investment theywere making in the collection of data, the
organisations’ accountants started to assess the advantages and disadvantages of allowing others to
use the data that had been collected by their organisations as against using data created by third
parties. This chapter explores the emergence of the commercial geoinformation data publishing
market and considers its future.
IGN 66981
DALAINE (Bruno)
VILLE DE RENNES
Les attentes des utilisateurs au plan économique : étude du cas de la Ville de Rennes
« Le catalogage des données », 9ème journée annuelle de la recherche géographique, 12 juin 1997.-
10 p.
Après une présentation du SIG de Rennes et de ses avantages attendus, l’approche économique est
abordée au travers de la ventilation des coûts, de l’évolution prévisible par poste et de la recherche
d’une méthodologie rentable.
IGN 67013
DAVAINE (Bruno)
Quelles diffusions des données informatiques ? in : Etat des lieux
in Les cahiers du génie urbain n° 11, juin 1996.- pp.13-14
Les outils de gestion actuels démultiplient le marché des données publiques et urbaines. Quelles
politiques de diffusion les collectivités peuvent-elles mettre en place ? B. Dalaine, ingénieur en chef à
la Ville de Rennes, fait le point sur les enjeux économiques et juridiques dans ce domaine.
CDU
DIDIER (M.)
SERVICE TECHNIQUE DE L’URBANISME (STU) ; CONSEIL NATIONAL D'INFORMATION
GÉOGRAPHIQUE (CNIG)
Utilité et valeur de l'information géographique
Paris, Economica, 1990.- 255 p., 16 x 24 cm, fig., tabl., bibliogr. ; ISBN : 2-7178-1898-7
137
L'analyse économique peut être utilement appliquée au secteur de l'information géographique. Les
méthodes de coût-bénéfice apportent des éléments essentiels avant le lancement d'un projet pour
faire le meilleur choix ou après sa réalisation pour l'évaluer.
CDU 22694 ; IGN 58924
138
3
APPLICATIONS ACTUELLES
DE L’INFORMATION GEOGRAPHIQUE
NUMERIQUE
EN URBANISME ET HABITAT
AMENAGEMENT DU TERRITOIRE,
PLANIFICATION DES TERRITOIRES
ET MODELISATION DES DYNAMIQUES URBAINES
MONTANT (Henri)
Les démarches territoriales en DDE
in Equipement magazine n° 96, avr. 1998.- pp.13-17, phot., carte
Les Directions départementales de l’équipement (DDE) sont actuellement dans une phase de réflexion
sur leurs modalités d'intervention. Cette réflexion est notamment axée sur l'amélioration des relations
avec les partenaires locaux et sur la prise en compte des réalités territoriales (telles que celles qui
émergent avec la mise en place des ''pays''). L'article rend compte de ces évolutions, grâce à un
reportage mené dans la DDE du Maine-et-Loire. Ce texte est complété par une interview de P.
Chantereau, Directeur du personnel et des services au Ministère de l'équipement, ainsi que par deux
brefs encadrés, qui présentent respectivement le programme d'évaluation des politiques publiques mis
en place par le Plan urbain, et le système d'information géographique de la DDE de l'Aude.
CDU
CA RB 15(98: 39)
BOURAHLA (A.)
Mise au point d'outils prospectifs pour les zones côtières méditerranéennes : cas du Grand
Sfax en Tunisie
in ESRI '97.- pp.29-40
Ce texte présente les différentes étapes de réalisation d'un outil d'aide à la décision en matière de
planification et d'aménagement du territoire pour les régions côtières méditerranéennes, depuis
l'acquisition et les traitements d'images satellites multi-temporelles jusqu’à l'élaboration de scénarios
de développement et d'impacts sur l'environnement. Le SIG ARC/VIEW est utilisé.
IGN 66963
CHARTIER (A.)
Une synergie géomatique en région Provence-Alpes-Côte d'Azur à travers le Tour de table
régional
in ESRI '97.- pp.139-149
En mars 1993, autour du problème de l’acquisition par plusieurs organismes régionaux et
départementaux de la BDCARTO de l’IGN, s’est réunie puis formée une structure informelle mais
néanmoins active, le Tour de table PACA. Depuis, cet ensemble de partenaires a travaillé activement à
l’équipement en SIG des organismes participants et a mené à bien ses propres projets.
IGN 66963
CHEYLAN (Jean-Paul)
GIP RECLUS
Appuis techniques en matière de modélisation du territoire et des phénomènes
« Le catalogage des données », 9ème journée annuelle de la recherche géographique, 12 juin 1997.-
6 p.
IGN 67013
ESRI FRANCE
140
FAURE Corinne
CENTRE D'ETUDES SUR LES RESEAUX, LES TRANSPORTS, L'URBANISME ET LES
CONSTRUCTIONS PUBLIQUES (CERTU)
Directives territoriales d’aménagement et système d’information géographique ; état des lieux
DTA et SIG : état des lieux
Lyon, CERTU, sept. 1997.- 33 p. + ann., cartes
Présentation des résultats d’une enquête relative à l’utilisation des systèmes d’information
géographiques (SIG) dans les directives territoriales d’aménagement (DTA). Enquête auprès d’une
trentaine d’intervenants du Ministère de l’équipement, de DIREN et de SGAR sur la base d’une grille
de questions informelles.
CDU
PENG (Z.R.)
DEP. OF URBAN PLANNING, UNIV. OF WISCONSIN, MILWAUKEE - USA
The jobs-housing balance and urban commuting
in Urban studies (Royaume-Uni), vol. 34, n° 8, 1997.- pp.1215-1235, fig., tabl., bibliogr. ; ISSN : 0042-
0980
The paper applies GIS techniques and a non-linear model (spline functions) to analyse empirically the
relationship between the job-housing ratio and urban commuting patterns in terms of vehicle miles
travelled and trip length. A dynamic buffering process in GIS is developed to measure the jobs-housing
ratio within floating catchment areas of a 8-11 radius as opposed to pre-defined and arbitrary
jurisdictional boundaries. A non-linear relationship is found between the job-housings ratio and VMT
and trip length in the Portland, Oregon, metropolitan area.
FRANCIS : INTG
CIRETTE-SARAZIN (Catherine)
Système d'informations géographiques, agglomération transfrontalière du pôle européen de
développement
in Actualités internationales du logement n° 18, 1996.- pp.21-23
143
L'initiative Pôle européen de développement vise à mettre en oeuvre, depuis 1985, une dynamique
transfrontalière de redéveloppement - sur les frontières belge, luxembourgeoise et française - de la
région de Longwy, pour répondre à la disparition massive et brutale de l'activité sidérurgique. En
complément de ces premiers objectifs de réindustrialisation, les trois Etats ont décidé en 1991, de
lancer une étude pour un projet d'agglomération transfrontalière. Le projet commun est développé à
l'aide d'un SIG commun aux trois pays chargé de définir une charte d'agglomération transfrontalière
destinée à être traduite dans les systèmes réglementaires nationaux.
CDU
DUMOLARD (P.)
Système d'information géographique et images de synthèse pour l'aménagement
in Courrier du CNRS n° 82, mai 1996.- pp.87-88
L'urbaniste, l'architecte, le promoteur, pour construire un projet d'aménagement, tout comme les
collectivités et les décideurs pour en juger, ne disposent pas encore d'outil logiciel permettant
simulation et négociation. L'outil IDERALPE a pour but de combler cette lacune.
IGN P276
DUNNICO (S.)
Connecting the Channel Tunnel to London's rail network
in Mapping awareness (Royaume-Uni), (3), apr. 1996.- pp.30-33
Looks at the difficulties which have been encountered since the late 1980s in selecting a route for the
rail link between London and the Channel tunnel. Describes how the project team have used a Graphic
144
design system to manage the large volumes of graphic and alphanumeric data and analyse it in the
short time scales imposed by the Government. Reports that the final route of the rail link has now been
decided, but construction is not due to begin until 1997.
ACOMPLINE Localisation 033063
KLAMMER (D.)
INSTITUT FUR GEOGRAPHIE DER UNIVERSITAT KLAGENFURT - AUTRICHE
Generelle okologische Raumbewertung, eine Entscheidungshilfe für die Regionalplanung.
[Evaluation écologique générale de l'espace, une aide décisive pour la planification régionale]]
Mitteilungen der Osterreichischen geographischen Gesellschaft (Autriche), vol. 138, 1996.- pp.91-102,
cartes, bibliogr. ; en allemand ; ISSN : 0029-9138
L'auteur présente un schéma de classification développé pour caractériser la structure écologique
générale d'une région, rapidement et à faible coût. Les données disponibles sont traitées au moyen
d'un SIG. Cette méthode n'est pas une alternative aux analyses détaillées, mais donne une vue
d'ensemble. Une combinaison des techniques générales et détaillées, réduisant les coûts et le temps
nécessaire, est très utile pour la planification régionale. Cette méthode définit également les régions
dans lesquelles une étude détaillée est nécessaire.
FRANCIS : INTG
MIELLET (Philippe)
France : a historical perspective on GIS diffusion. in : GIS diffusion : the adoption and use of
GIS in local gouvernment in Europe
Londres, Taylor & Francis, 1996.- pp.163-182 (GISDATA 3)
As with any methodological innovation, geographic information systems (GIS) have mobilized interest
and their diffusion has even been considered as worthy of research. GIS are not a homogenous area
of study because of the multitude of agents representing different groups. The speed of diffusion within
these groups varies depending on the geographic environment and the specific needs of the groups’
activities. A map of French GIS usage today would show ‘spatial’ disparities that have different
consequences according to the agent or to the area concerned. GIS are part of a technological
environment in a phase of complete transformation for which the two convergent fields (information
technology and information services) are today among the most dynamic sectors of the economy. The
diffusion of GIS is no longer solely driven by technical progress but also by the increasing number of
agents involved particularly in local government. Some local government organizations have favoured
these new approaches that are transforming GIS seemlessly from a management tool to a decision
support tool in France as elsewhere. This evolution is a significant and seminal change of recent times
that could become, given favourable conditions, a significant trend in the GIS of tomorrow. In order to
understand the current situation of the state of GIS diffusion in French local government it is necessary
to briefly go over the major stages of digital geographic information diffusion and to run through their
implications in today’s market.
IGN 64649
NASCIMENTO (Iuli)
La télédétection pour gérer l'environnement urbain
in Note rapide sur l'environnement n° 11, déc. 1996.- 4 p., phot., bibliogr.
Neuf agglomérations de plus de 100.000 habitants ont tenté l'expérience d'utiliser les images
satellitales pour gérer l'environnement urbain dans le cadre d'un programme initié par le Ministère de
l'environnement. Le point est fait sur ces travaux et des actions sont proposées pour une meilleure
utilisation de la télédétection par les villes.
IA P.246
PAEGELOW (M.)
UNIVERSITE DE TOULOUSE
Système d’information géographique et dynamique des milieux montagnards méditerrannéens
in Bulletin du Comité français de cartographie n° 146-147, déc. 1995-mars 1996.- pp.186-189
La dynamique des milieux montagnards méditerranéens en France, depuis le milieu du XIXe siècle,
est régie par l’exode rural, provoquant la dislocation de l’économie de subsistance et l’abandon des
terres marginales. Ces changements modifient le paysage dont l’état est documenté par des photos
aériennes et des plans cadastraux. L’étude retrace la dynamique paysagère d’une région dans les
Pyrénées-Orientales et la met en relation avec des descripteurs pertinents du milieu. La constitution de
la base de données et son analyse par des techniques classiques dans le domaine des SIG permet de
comprendre la dynamique passée afin de mieux pressentir les changements futurs. La simulation de
l’état paysager futur se base sur l’extrapolation du poids surfacique des différentes catégories
paysagères, leur comportement spatio-temporel étudié par morphologie mathématique et des
corrélations entre occupation du sol et descripteurs du milieu traduites en contraintes spatiales sous
forme de masques. Les résultats seront illustrés en 3D par l’imagerie de synthèse et transférés sur
support vidéo.
IGN P021
CHATAIN (M.)
Les impacts des autoroutes : utilisation des SIG pour la conception des projets et les bilans
après la mise en service
in MARI Europe '95.- pp.173-178
Les SIG se sont avérés être des outils très intéressants pour l'aide à la décision dans les différentes
phases d'études d'un projet autoroutier. La Direction des routes a jugé nécessaire la réalisation de
bilans environnementaux : ils dressent le constat des mesures de réduction ou de compensation
d'impacts effectivement mises en oeuvre et inventorient les impacts directs ou indirects créés par
l'autoroute. Les SIG sont des outils précieux pour la mise en évidence des évolutions des territoires
traversés par les aménagements. Constitués pour des objectifs opérationnels bien définis, ces outils
sont valorisés par une longue période d'observation concernant tous les thèmes relevant de
l'organisation spatiale.
IGN 64462
DAYRE (P.)
La révision du Schéma directeur de la Région Ile-de-France ou le processus d'accélération de
l'implantation des SIG dans les DDE d'Ile-de-France
in MARI Europe '95.- pp.194-196
La révision du Schéma directeur d'Ile-de-France a été l'occasion pour l'ensemble des services de
l'Equipement au niveau régional de se doter d'un outil SIG. Cette expérience représente un excellent
exercice d'application de ce que pourrait être l'organisation d'un SIG Equipement Ile-de-France
confrontant contraintes régionales et locales.
IGN 64462
Paris, Anthropos, 1995.- XVIII-379 p., tabl., fig., phot. coul., bibliogr. (publié avec le concours du
Ministère de la recherche et de la technologie et la Société SPOT Image ; coll. Villes)
Construit à partir d'une sélection des contributions réunies par le Réseau ADOC, cet ouvrage aborde
les problèmes conceptuels, humains et organisationnels que soulève l'emploi de nouveaux outils de
production, gestion et analyse de l'information urbaine. La première partie est consacrée aux objectifs
des systèmes d'informations urbains. La seconde traite de la mise en place et de l'évolution de ces
systèmes à travers des expériences menées en France, en Amérique latine et en Afrique. Le troisième
chapitre étudie le problème de la mobilisation de l'information avec les principaux domaines
d'application actuelle de la télédétection. Une présentation synthétique des systèmes informatiques,
ainsi qu'une liste des principaux colloques, revues et institutions intervenant dans le domaine viennent
compléter ce livre.
CDU 32324 ; CA C8796 ; IA 36831 ; IGN 63979
GOMEZ (Montserrat), RODRIGUEZ (Victor M.), RODRIGUEZ (Ana E.), CHUVIECO (José),
CHUVIECO (Emilio)
Diseño de carreteras mediante un sistema de información geogràfica : costes de construcción
y costes ambientales. [Dessin de routes au travers d’un SIG : coûts de construction et coûts
environnementaux]
in Ciudad y territorio. Estudios territoriales (Espagne), 104, 1995.- pp.361-373, bibliogr.
URBATERR Bibliothèque ISOC
sets. That revealed that many abandoned areas has reverted to urban undeveloped, riverwash and
riparian, and public land. These may present an environmental risk.
IGN P105
PRELAZ-DROUX (Roland)
Système d'information et gestion du territoire
Lausanne, Presses polytechniques et universitaires romandes, 1995.- 156 p. + ann., fig., bibliogr. (coll.
Meta)
Présentation d'une approche systémique et d'une procédure de réalisation pour l'élaboration de
l'architecture de l'information d'un système d'information à référence spatiale (SIRS), sur la base d'une
représentation systémique du territoire (RST). La RST intervient comme base commune d'élaboration
et d'exploitation du SIRS et comme support à la mise en oeuvre d'un réseau d'échange entre des
partenaires possédant des applications géomatiques et appelés à travailler ensemble dans le cadre de
l'aménagement et de la gestion du territoire. La démarche méthodologique proposée repose sur une
analyse systémique du territoire et des SIRS, ainsi que sur l'intégration d'un ensemble de concepts
relatifs aux dimensions spatiales et temporelles des phénomènes et des processus du territoire. Elle
fait donc plus référence au domaine de la géographie qu'à celui de l'informatique.
CDU 33013
WEBER (Christiane)
CENTRE NATIONAL DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE (CNRS)
Images satellitaires et milieu urbain
Paris, Ed. Hermès, 1995.- 185 p., bibliogr., 16 x 24 cm, ISBN: 2-86601-504-5 ; ISSN : 1248-6957
Une synthèse sur l’utilisation des images satellitaires en milieu urbain.
IGN 66032
BROSSARD T.
LABORATOIRE ENVIRONNEMENT ET PAYSAGES
Pratique des systèmes d’information géographiques et analyse des paysages
Lyon, 1994.- (Journées de la recherche Cassini, Lyon, 13 et 14 octobre 1994)
Une approche de détermination des paysages vus au sol, selon la succession d’éléments d’occupation
du sol accessibles à l’œil.
TU
COURET (Dominique)
Système d'information géographique, inégalité dans le logement et ségrégation spatiale à
Quito (Equateur)
Paris, ORSTOM éditions, 1994.- 235 p., tabl., fig., bibliogr. (Thèse de doctorat en géographie,
Université de Rouen, 1990 ; coll. Etudes et thèses)
L'exploitation, qui présente des données censitaires, s'inscrit dans un contexte expérimental particulier
: la création d'une base de données urbaines sur la ville de Quito (Equateur). Par rapport au projet
global de connaissance de l'organisation de la ville de Quito, ce travail participe à l'élaboration d'une
typologie fonctionnelle de l'habitat. L’objectif de l'étude consiste à montrer de quelle manière le
traitement géographique de ces données, à l'aide de l'outil SIG, permet la mise en valeur des éléments
de description matérielle de l'habitat participant à la différenciation de l'espace intra-urbain.
CA C8293 ; FRANCIS
CRANSTON (C.)
Devon county council puts GIS to work on road safety
in Mapping awareness (Royaume-Uni), nov. 1994, 8 (9).- pp.20-23
Explains how geographical information system tools are helping Devon county council manage its
9,000 miles of highway network. The system developed by the Council is known as ANSWER (A new
street works electronic register). Outlines proposed future developments.
148
DAMAS (Christophe)
DAVIS : un SIG pour affecter le trafic
in Ecrans n° spécial nov. 1994.- pp.15
Aux fins d’études macroscopiques de trafic au niveau d’une zone urbaine, le CETE de Lyon a
développé une méthodologie qui sépare gestion et conservation des données nécessaires au calcul
d’affectation du trafic, en s’appuyant sur un SIG du commerce, MAPINFO.
IGN P132 ; CDU
ILIC (M.)
GEOGRAFSKI ODJEL PMF, ZAGREB - CROATIE
Cestovna mreza Varazdinske regije ; neki rezultati racunalne primjene teorije grafa. [Le réseau
routier de la région de Varazdin ; quelques résultats de l'application par ordinateur de la théorie
des graphes]]
in Geografski Glasnik, vol. 56, 1994.- pp.145-162, fig., tabl., bibliogr. ; résumé en anglais ; ISSN :
0016-7258
The article deals with the computer application of the graph theory method in traffic network analysis.
GIS PC ARC/INFO program package was used. Topological, kilometer distance and time - consuming
distance accessibility of nodes in road network of Varazdin region were calculated.
FRANCIS : INTG
LOUBERSAC (L.)
SILLAGE : systèmes d'informations localisées pour l'aménagement et la gestion des espaces
maritimes et côtiers
in Information environnementale et information géographique, 1994.- pp 97-101
IGN 66616
MAUS (Oliver)
Neue Trends und Entwicklungen zur Gewinnung von Flaechennutzungsdaten fuer Zwecke der
Stadt-und Raumplanung. [Nouvelles tendances et développement de l’extraction de données
d’exploitation des sols aux fins d’aménagement de la ville et du territoire]
in Vermessungswesen und Raumordn (Allemagne), nr.3, 56, 1994.- S.178-186, Kt., Abb., Lit. ; ISSN :
0340-5141
ORLIS SEBI: Zs 2997; IRB: Z 952
POTTIER (Patrick)
Dîtes-le avec des cartes
in Mappemonde n° 1, 1994.- pp.37-39, cartes ; résumé en anglais et en espagnol
Exemple d'application des systèmes de traitement numérique de l'information géographique au suivi
de l'urbanisation du littoral : l'Ile de Noirmoutier.
CDU ; IGN P086
VIGNERON V.
149
IGA
Risques de la péri-urbanisation et accessibilité routière : aide à la décision dans le cas de
Grenoble-Sisteron
Lyon, 1994.- (Journées de la recherche Cassini, Lyon, 13 et 14 octobre 1994)
Démarche visant à estimer un potentiel d’urbanisation future, en tenant compte de l’effet du réseau
routier (et donc des temps d’accès) mais aussi d’effets locaux.
TU
JAGER (Peter)
Application GIS dans un office cantonal de la protection de la nature et du paysage
in Anthos (Suisse) n° 2, 1993.- pp.35-38, cartes
Cet article explique comment le canton d'Argovie (Suisse) applique avec succès depuis plusieurs
années, un système d'information géographique à la protection de la nature et du paysage. Ce
système sert à la saisie, à l'archivage, à l'analyse et à la représentation de données. Son importance
en tant qu'instrument de travail se voit chaque jour confirmée sur le plan des prises de décision et de
l'appréciation de mesures planifiées ou réalisées.
CDU
OTT (T.)
UNIVERSITAT MANNHEIM - ALLEMAGNE
GIS in der Anthropogeographie ; Regionale Disparitaten und Sdatesystem in Europa. [SIG dans
la géographie humaine ; disparités régionales et systèmes urbains en Europe]]
Mannheim, Universitat ; Materialen zur Géographie, 1993.- 162 p., fig., tabl., bibliogr. (Thèse de
Diplomarbeit, Géographie ; en allemand)
En utilisant un SIG, l'auteur essaie de dresser un modèle des disparités régionales d'agglomérations
urbaines de la CEE. Travail à caractère méthodique qui essaie d'évaluer les possibilités d'utilisation
d'un SIG en géographie économique et sociale appliquée. Dans la bibliographie se trouvent recensés
tous les essais d'application d'un SIG en géographie humaine allemande.
FRANCIS : RESBGI
schools) and area-wide analysis. The system developed was demonstrated on the Central business
district of Haifa.
ACOMPLINE Localisation 026242
RASE (Wolf-Dieter)
Karten in einem Geo-Informationssystem fuer die grossraeumige Planung. [Les cartes dans un
SIG pour l’aménagement des grands espaces]
Bonn, Kirschbaum, 1993.- S.109-116; Kt., Abb., Lit. (Kartogr.Schr.; 1) ; Kartographie und Geo-
Informationssysteme. HRSG.: Arbeitskreis Kartogr.u.Geo-Informationssyst.d.Dt.Gesell.f.Kar togr.e.V.
ORLIS
STRAND (Geir-Harald)
Settlement planning with GIS, a case study of Thmarpouk, Cambodia
in Habitat international (Royaume-Uni), vol. 17, n° 3, 1993.- pp.75-85, tabl., fig., bibliogr.
Un système d’information géographique a été utilisé pour analyser certains aspects d’un plan de
rapatriement pour Thmarpouk (Cambodge). Ce plan propose la construction de 170 nouveaux villages
destinés à reloger des personnes déplacées revenant de camps en Thaïlande. Il propose aussi
d’organiser les villages avec une nouvelle unité : la province Thmarpouk, basée autour du district du
même nom dans le nord-est du Cambodge.
CA RB40(93:3)
152
VENARD (Jean-Louis)
AREA INTERNATIONAL
Dix ans d'études urbaines. Tome IX : Agenges urbaines, supervision de l'Atelier d'urbanisme du
Cameroun, appui à la transformation du SERHAU en SEM, préparation des projets à Libreville,
Luanda et Maurice
Paris, Area International, 1992.- mult., tabl., fig., bibliogr.
Ces missions devaient identifier et superviser des actions de coopération pour créer ou transformer
des agences urbaines. Classés en six sections, les rapports proposent une méthodologie de projets de
systèmes de gestion de données urbaines localisées, un bilan des actions de coopération menées
pour des projets d’appui à la gestion de la politique urbaine et à l’assistance technique aux agences
d’urbanisme en Côte d’Ivoire, au Bénin, à Maurice, à Luanda et au Cameroun.
CA C6918
153
ASSAKO-ASSAKO (René-Joly)
Apport de la télédétection et du SIG dans la recherche des zones constructibles d’un site
urbain de collines : le cas de Yaoundé (Cameroun)
in L’Espace géographique n° 2, 1998
Yaoundé est en proie à une croissance spatiale anarchique et précaire, et à des risques d’inondation,
d’érosion et de glissements de terrain. Pour remédier à cette situation, les pouvoirs publics peuvent
mener une action qui consisterait à réorienter le développement urbain tout en résorbant les poches
d’anarchie urbaine représentées par les quartiers spontanés et d’habitat précaire. Ceci exige du
décideur qu’il distingue les zones adaptées à une densification urbaine de celles qui ne le sont pas.
L’imagerie satellitale et le SIG sont particulièrement adaptés à une telle problématique.
IGN P051
LACOSTES Patrice
CENTRE D’ETUDES SUR LES RESEAUX, LES TRANSPORTS, L’URBANISME ET LES
CONSTRUCTIONS PUBLIQUES (CERTU)
Table d’assemblage des POS : objectifs et orientations techniques. Rapport d’étude
Lyon, CERTU, juillet 1998.- 90 p. (pour le compte de la Direction générale de l’urbanisme, de l’habitat
et de la construction)
Les POS expriment des prévisions et règles en matière d’urbanisme, et en tant que tels, sont porteurs
d’une dimension prospective. Dans le cadre de leurs activités, les services aménageurs sont amenés
à réaliser des « tables d’assemblage des POS », c’est-à-dire la saisie sous forme de base de données
géographiques de l’information contenue dans ces documents d’urbanisme, à une échelle dite
moyenne (1/50.000 à 1/100.000e). Le présent document propose une méthode de saisie de cette
information, répondant à un souci d’harmonisation des méthodes et d’une nomenclature de base, mais
assurant aussi la possibilité de développer des nomenclatures et des usages locaux, tout en
garantissant un réemploi et une mise à jour de ces données. La méthode proposée est basée sur la
digitalisation de tous les périmètres des POS, selon plusieurs méthodes au choix. Les périmètres ainsi
saisis sont renseignés par analyse du règlement des POS, par un type légal et par une destination
dominante, ainsi que par tout attribut souhaité localement. Des exemples de réalisation de ces tables
d’assemblage des POS sont présentés.
www.certu.fr
SCHMIT (B.)
POS et informatique : demain le POS sans zonage ?
in Diagonal n° 129, févr. 1998.- pp.51-53
La représentation graphique d'un plan d'occupation des sols n'est pas neutre. L'utilisation de
l'informatique pour traduire la règle de droit dans les documents d'urbanisme ne se résume pas à une
révolution technologique : en privilégiant les thèmes plutôt que les zones, la singularité plutôt que la
norme, on bouscule la logique planificatrice classique.
IGN P042 ; CDU
SERVAS (Jean-Pierre)
CHAMBRE DE COMMERCE ET D’INDUSTRIE DE LA MOSELLE (CCI)
SCODEC : un outil d’aide à la décision pour l’aménagement commercial
MARI Europe 98, avril 1998.- 4 p.
Ce Système convivial d’observation départementale d’équipement commercial (SCODEC) est un outil
original qui permet de positionner les pôles commerciaux et leurs zones d’attraction, d’analyser leurs
points forts et leurs faiblesses, de mesurer leur aire d’influence, ... sans se soucier des limites
administratives.
IGN 67008
GEERTMAN (S)
UNIVERSITE D’UTRECHT - PAYS-BAS
Geographical information technology as a planning tool
154
Geographical information ‘97 Joint european conference and exhibition on geographical information :
from research to application through cooperation ; Vienne, Autriche, 16/18 avril 1997. Proceedings, vol.
1.- pp.708-717, bibliogr.
Despite the worldwide Geo-IT boom since the early 1990s, the function of the geographical information
technology (Geo-IT) as an instrument to support policy in the field of physical planning in general and
in the preparation of large scale spatial interventions in particular is limited. Up till now the use which
have been made of these instruments have been largely restricted to so-called ‘lower-order’ planning
activities : primarily the management and cartographic visualisation of spatial data. The so-called
‘higher-order’ planning activities in the framework of strategic spatial policy (e.g., physical design and
research) predominantly lacks the broad scale application of this technology. However, the need of the
highly complex physical planning activities for support is substantial. In this article, we look closer to the
contribution of the Geo-IT to the mentioned ‘higher-order’ planning activities, to the obstacles which
block the way to a fuller performance of the function of the Geo-IT in this framework, to recent Geo-IT
developments which are surmounting some of these obstacles, and to some methodological proposals
that could contribute to the policy-support function of the Geo-IT in the framework of strategic spatial
policy (‘higher-order’ planning activities).
IGN 66170
PEDRAZZINI (Luisa)
Sistema informativo ambientale e pianificazione urbanistica a Berlino. [Le système
d’information sur l’environnement et la planification urbaine à Berlin]
in DST Territorio (Italie) n° 4, 1997.- pp.39 - 53, tabl., carte, bibliogr. ; en italien
La politica pianificatoria di Berlino ha preso le mosse da un preventivo studio sui fondamenti ecologico
ambientali organizzati in un Atlante ambientale tematico : i Piani urbani sostenibili.
BIBLIODATA
MeMoPlan (Methods and Modells for spatial Planing) that offers a library of multicriteria evaluation
procedures. The program will be demonstrated by the reports of two projects : a study of residential
quality in built-up areas and an evaluation of the suitability of open urban space for residential
developoment.
IGN P058
YOSHIKAWA (Shin)
Computer-assisted environmental design system : regional information visualizer
in International planning studies (Royaume-Uni), vol. 2, n° 2, juin 1997.- pp.211-228, fig., phot., cartes,
tabl., bibliogr.
L'auteur a développé des systèmes de conception environnementale assistés par ordinateur, destinés
à la cartographie automatique ou à la simulation du paysage. L'article traite seulement d'un système
de cartographie automatique du point de vue des considérations spatiales. Ce système couvre une
surface étendue, basée sur une carte à petite échelle (1:25.000e). Il est combiné avec un système de
dessin assisté par ordinateur (AUTOCAD), un SGBD et des bases de données, afin de visualiser les
informations géographiques relatives à la cité scientifique de Keihanna et à une partie de la rivière
Yodo, au Japon. L'accent est mis sur la génération d'une représentation tridimensionnelle du territoire.
Les données visualisées peuvent être importées à partir d'applications utilisant un format de données
standard CAD, ou exportées vers ces dernières. Ainsi, des techniques de génération automatique
peuvent être utilisées facilement. L'article décrit le processus de développement du système et le
processus de conversion des données visualisées.
CDU
ESPOSITO (M.A.)
UNIVERSITA DEGLI STUDI DI FIRENZE - ITALIE
School geo-marketing : services management from the users point of view
Proceedings of the 2nd EC-GIS Workshop, Genova (Italy), 26-28 june 1996.- pp.121-130 ; en anglais
Local administration in Europe has to manage two appearingly contradicting tasks : the quality
improvement in services according to user needs and the requirement to meet the optimised use of
lower budgets. The case of study of school service management in Italy clearly shows these elements
and outlines the need of new decision support implements to achieve the optimisation of planning
resources in relation to the scenario of a specific territory expressed in terms of objectives and criteria.
The schools facility has been considered as a service network related to user catchment areas. This
way e model for geo-marketing management school facilities has been built, relating localisation,
technical profile of building facilities, characterics of catchment area, final users profile, available
annual resources.
IGN 67322
GLATTHARD (Thomas)
SCHWEIZERISCHE VEREINIGUNG FUER LANDESPLANUNG (VLP)
Geo-Informationssysteme im Dienste der Raumplanung. [Les SIG au service de la planification
de l’espace]
Bern, 1996.- 93 S. ; Abb., Lit. (VLP-Schrift ; 66)
Die haushaelterische Nutzung des Bodens und die Abstimmung der raumwirksamen Taetigkeit sind
die wichtigsten Aufgaben der Raumplanung. Dabei gilt es, unter Beachtung der natuerlichen
Gegebenheiten sowie der Beduerfnisse von Bevoelkerung und Wirtschaft eine auf die gewuenschte
Entwicklung des Landes ausgerichtete Ordnung der Besiedlung zu verwirklichen. Voraussetzung dazu
sind umfassende Informationen ueber die Entwicklung und den aktuellen Zustand des Raumes, ueber
geplante Vorhaben sowie ueber die Auswirkung von geplanten Massnahmen. Solche Informationen
156
sind z.B. in den Geo-Informationssystemen der Schweiz zugaenglich, ueber die diese Broschuere
informieren will. Sie gibt eine Uebersicht ueber die Anwendungsmoeglichkeiten von Geo-
Informationssystemen, z.B. in Form von Planauswertungen, Landschaftsvisualisierungen, statistischen
Auswertungen. Sie gibt Auskunft darueber, welche Daten wo und wie auf Bundes- und Kantonsebene
erreichbar sind und will damit Gemeinden, Planer und Planerinnen den Zugang zu diesem
Arbeitsmittel erleichtern.
ORLIS SEBI: 96/2216
LLOYD-JONES (Tony)
Computers in urban spatial planning
in ODA Urbanisation (Royaume-Uni) n° 2, 1996.- pp.7-8, fig.
De nouvelles technologies (système d'information géographique, logiciels...) et leurs applications à
l'aménagement spatial et à la planification urbaine sont succinctement présentées
CA RB306(96:2)
SERRA (Pau)
Analisis espacial y modelos urbanos en un entorno SIG
in Urbana (Vénézuela), vol. 1, n° 19, août-déc. 1996.- pp.99-116, fig., bibliogr.
Les systèmes d'information géographique peuvent être utilisés pour une analyse spatiale et pour une
simulation des modèles urbains et par conséquent de la planification urbaine. La littérature anglo-
saxonne récente sur le sujet est signalée.
IA P.413
CHATELAIN (J.-L.), GUILLIER (B.), SOURIS (M.), DUPERIER (E.), YEPES (H.)
SIG et évaluation des risques naturels : application aux risques sismiques de Quito
in Mappemonde n° 3, 1995.- pp.17-22, cartes, bibliogr.
157
L'article retrace rapidement les principales étapes de la réalisation d'un scénario sismique sur la ville
de Quito. Les croisements nécessaires entre les données venant de domaines variés (sciences de la
terre, ingénierie civile, sociodémographie) ont pu être effectués rapidement grâce à l'utilisation du SIG
Savane. Le SIG a permis l'édition de documents graphiques décrivant de façon concrète la
vulnérabilité sismique de la ville, facilitant ainsi la prise de conscience des responsables politiques et
économiques.
CDU ; IGN P086
KAM (Tin-Seong)
UNITED NATIONS CENTRE FOR REGIONAL DEVELOPMENT - JAPON
Integrating GIS and remote sensing techniques for urban land-cover and land-use analysis
in Geocarto international (Hong Kong), vol. 10, n° 1, 1995.- pp.39-49, bibliogr. ; ISSN : 1010-6049
The computer-based GIS has become a very useful tool for urban planning. Yet the utility of GIS in
urban planning and management is often hampered by a lack of current and sequential land-cover and
land-use information. This paper discusses a relatively simple but accurate automated land-cover and
land-use classification technique using a microcomputer-based image analysis and geographic
information system. Results obtained with this technique suggest that the integration of GIS capabilities
and image analysis techniques can improve significantly the conventional multispectral classification
procedure.
IGN P059
LOBER (Douglas-J.)
Resolving the siting impasse : modeling social and environmental locational criteria with a
geographic information system
in Journal of the American planning association (USA), vol. 61, n° 4, 1995.- pp.482-495, bibliogr.
A travers l'étude de la localisation d'une unité de recyclage dans la ville de Madison au Connecticut,
l'auteur analyse comment il est possible d'intégrer à un système d'information géographique (SIG), un
modèle social et un critère de localisation tenant compte de l'environnement. Il étudie l'opposition du
public au projet, caractérisée par le comportement ''nimby'' (not in my backyard ou ''pas dans mon
jardin''). Il examine la notion de distance, la perception de la proximité.
CDU
WANGLIN (Yan)
A knowledge base and GIS integrated system for urban planning
in GIS. Geo-Informations-Systeme (Allemagne), vol. 8, n° 1, janv. 1995.- pp.10-14, bibliogr. ; en anglais
With the challenge of environmental changes and information innovation urban planning can only
survive and make progresses with the support of powerful computer systems for handling spatial data
as well as human knowledge. This paper presents an integrated approach of a GIS, knowledge bases
and CAD for urban environmental planning and proposes a prototype system for urban environmental
evaluation. Knowledge is acquired by cognitive methods and represented by hierarchical structures. it
is a user-friendly system and can be applied to any evaluation problems in urban planning and
resource management.
IGN P058
GEORGES (Michael)
ECOLE NATIONALE DES SCIENCES GÉOGRAPHIQUES (ENSG) ; INSTITUT D'AMÉNAGEMENT
ET D'URBANISME DE LA RÉGION D'ILE-DE-FRANCE (IAURIF)
SIG appliqué au transport des matières dangereuses
Saint-Mandé, ENSG, 1994.- 53 p., bibliogr.
Rapport de stage, effectué à l'IAURIF, sous la direction d’Alain Le Saux, qui entre dans le cadre d'un
DESS de cartographie numérique de l’ENSG, Université Paris I. Ce stage avait pour objet d'évaluer un
certain nombre d'indicateurs liés au risque de transport des matières dangereuses le long de six
itinéraires du Val-de-Marne à l'aide du système d'information géographique. Le mode opératoire utilisé,
le déroulement du projet et les contraintes ayant limité les calculs sont exposés.
IA 35240 ; IGN 64574
SUI (D.Z.)
159
TAISNE (Marie-Hélène)
SIGR : méthode d'intégration des ZAC, spécifications et exploitation d'un modèle de données
Evry, ESGT, 1994.- 52 p., ann., cartes, tabl. (Mémoire pour le diplôme d'ingénieur de l'Ecole supérieure
des géomètres)
Après avoir évalué les besoins par rapport aux données, aux traitements et à l'historique, on peut
modéliser les données et concevoir une maquette d'applicatif standard. Un test est effectué sur quatre
communes des Hauts-de-Seine (Boulogne-Billancourt, Issy-les-Moulineaux, Meudon et Sèvres)
permettant ainsi de valider la démarche suivie pour la mise en place de ce projet et de constituer un
élément d'aide à la décision face à des situations réelles.
IA 34762
PERRIN (Laurent)
INSTITUT D’AMENAGEMENT ET D’URBANISME DE LA REGION ILE-DE-FRANCE (IAURIF)
Planning land use changes in the metropolitan region of Paris
EGIS ’93.- pp.106-115
Urban planners are often confronted with complex urbanization issues which they cannot adequately
address with their usual analytical tools. Among these issues, the redevelopment of derelict industrial
sites, the protection of natural and urban landscapes against uncontrolled growth and the
enhancement of the manmade environment, are but a few that the metropolitan region of Paris (Ile-de-
France) is facing. To improve its planning instruments, IAURIF set up a GIS, the regional geographic
information system (SIGR). It was applied in the framework of a master planning study concerning a
strategic sector of the region : the Val-de-Seine. Located in the innerring of the metropolis, this area
encompasses a section of the seine river along wich significant redevelopments occur due strong
economic and real estate pressures. Most of the old industries formerly located on the river banks are
shuting down and are being replaced by middle-rise office and housing developments. At the same
time, major infrastructure works, both for new expressways, a tramway and a subway, are
programmed in the sector. All these transformations, if not coherently planned, may threaten the
historical landscape which constitute a major asset of the site. To address these issues, the study team
developed a specific SIGR application aimed at analyzing past and potential land use changes. Base
on a multidate comparison of 1982’ and 1990’ land use inventories, and on the combination of various
layers such as building permits, building conditions, or cadastral parcels, this application significantly
enhanced the scope of the study.
IGN 61092
SHAW (Shih-Lung)
GIS for urban travel demand analysis : requirements and alternatives
in Computers environment and urban systems (USA), vol. 17, n° 1, janv.-févr. 1993.- pp.15-29
Analyse de la nécessité d'intégrer des applications spécifiques de modélisations à des systèmes
d'information géographique pour des modèles de demande de transport urbain. Evaluation d'autres
méthodes d'intégration de cette nécessité pratique.
EPC
VICO (Franco)
POLITECNICO DI TORINO
Aside-track in improving GIS applications in urban planning
EGIS ’93.- pp.1076-1082
Although urban planning is an obvious application for GIS its introduction as not affected the planning
process as much as could be expected. GIS implementation is a long process, specially since it
requires the drafting of digital base maps. This paper suggests one need not wait for GIS to be fully
implemented, but start exploring how urban planning can incorporate, modify and extend this new tool.
Planners do not require extremely detailed data, but they must have the right information and they may
use simple digital maps, now available in most cities. This paper explores a side-track in improving GIS
applications in urban planning and describes the circumstances which make it a viable proposition, as
well illustrating some of the possible results. Materials and results produced during a workshop held in
1992 with a group of students from the Torino Faculty of Architecture are used as a case. Two issues
161
were highlighted : a) how street segment geographic unit and line thematicmaps are a effective means
to describe urban patterns and b) how quality variables can be employed in describing urban
morphology.
IGN 61092
ROY (G. G.), SNICKARS (F.), FISCHER (M. M.) ed., NIJKAMP (P.) ed.
Computer-aided regional planning. Applications for the Perth and Helsinki regions. in :
Geographic information systems (GIS)
162
in Annals of regional science (Allemagne), vol. 26, n° 1, 1992.- pp.79-95, fig., tabl., bibliogr. ; en anglais
; ISSN : 0570-1864
Présentation d'un système informatisé de planification spatiale interactive qui sert à établir des
modèles d'utilisation du sol urbain. Flexibilité de la procédure et proposition de diverses alternatives.
Application aux villes de Perth et d'Helsinki.
FRANCIS : INTG
GIERHAKE (Klaus)
UNIV. GIESSEN, ZENTRUM FUER REGIONALE ENTWICKLUNGSFORSCHUNG
Moeglichkeiten einer einfachen Bewertung von Raumentwicklung auf Gemeindeebene -Beispiel
Mittelhessen. [Possibilités d’une valorisation simple du développement des sites et des
communes]]
Giessen, Selbstverlag, 1992.- X, 137 S., Kt., tab., lit. (Mater.d.Zentrums f.Regionale
Entwicklungsforsch.d.Justus-Liebig-Univ.Giessen. ; 22)
Ziel der Studie ist es, einen Vorschlag zur differenzierten Auswertung raumwirtschaftlicher
Entwicklungen auf Gemeindeebene zu machen. Dabei zeigt der Verf. nicht nur die Moeglichkeiten der
Ausschoepfung statistischen Datenmaterials auf, sondern auch die limitierenden
Rahmenbedingungen, die sich zum Beispiel durch den Zielkonflikt zwischen Wunsch (statistische
Exaktheit) und Machbarkeit (Umsetzung der Ergebnisse in die Praxis) ergeben. Als
Untersuchungsgebiet werden die Landkreise Giessen und Lahn-Dill herangezogen, die anhand von
Daten zur Bevoelkerungsstruktur, zum Arbeitsmarkt, zur Wirtschaftskraft und zur Flaechennutzung
charakterisiert werden. Der Gedanke an eine weiterfuehrende Prozessanalyse wird aus methodischen
Gruenden zugunsten einer ueberschaubaren Bestandsaufnahme zurueckgestellt; dadurch erhaelt die
Transparenz raeumlicher Gegebenheiten den Vorzug vor mit komplexen Prognosetechniken erzielten
Ergebnissen. Eine genaue Kenntnis des Untersuchungsgebietes ist in jedem Falle erforderlich, denn
durch sie wird das Problem einer unzureichenden Datenverfuegbarkeit entschaerft.
ORLIS SEBI: 93/234
GESTION FONCIERE
ET PLAN CADASTRAL INFORMATISE
COOLEN (F.)
Le cadastre de 126 communes de l'Ardèche sera numérisé
in Géomètre n° 3, mars 1998.- 1 p.
Après les treize communes pilotes de 1993, ce sont 113 nouvelles municipalités qui se sont engagées
sur la voie des SIG, soit un tiers du territoire et deux tiers de la population.
IGN P063
163
PRODIG
L'information géographique au Luxembourg : constitution d'une base de données nationale de
l'information géographique ; le cadastre luxembourgeois choisit le numérique
in La Lettre Intergéo n° 2, mars 1997.- pp.5
L’administration a lancé un projet de constitution d’une base de données nationale centralisée qui
permettra à toute partie intéressée d’obtenir des informations précises sur le territoire luxembourgeois.
IGN P217
LAVIGNE (Stephane)
Le cadastre de la France
Paris, PUF, 1996.- 126 p., bibliogr. (coll. Que sais-je ? n° 3174)
Le cadastre, qui existe depuis l'Antiquité, remplit des missions techniques, documentaires, juridiques
et fiscales. Il dispose, à cet effet, du plan cadastral qui constitue le support de toute identification et de
toute description physique de la propriété foncière. La confection et la maintenance du plan cadastral
constituent les éléments essentiels de la mission technique. La documentation cadastrale se compose
du plan cadastral ainsi que d'une documentation littérale. Le cadastre sert à identifier et à déterminer
physiquement les biens ainsi qu'à identifier les propriétaires et leurs droits. La mission fiscale est la
mission originelle et fondamentale du cadastre, elle a pour objectif une évaluation qui indique, pour
chaque unité foncière bâtie ou non bâtie, la valeur locative cadastrale servant de base à l'assiette et au
calcul des impôts directs locaux. Le cadastre est géré par une administration fortement structurée qui
s'efforce aussi de participer à sa modernisation.
CDU 35305 ; IGN 65669
Après des généralités sur les systèmes d'information géographique, l'étude présente les
caractéristiques des applications logicielles pour SIG, la conduite du projet informatique et la
numérisation du plan cadastral.
CDU 31669 ; IA 36395
CHATEAU-THIERRY (V.)
CIRAD-FORET
Optimisation d'un tracé de routes forestières à l'aide d'un système d'information géographique
Paris, Université Paris I, 1995.- 75 p., bibliogr., 21 x 30 cm (DESS de cartographie thématique)
IGN 58627
LESNES (Jacques)
Les besoins d'un département ; le système d'information géographique du département du
Nord
in Géomètre n° 6, juin 1995.- pp.39-40, carte
Le système d'information géographique a permis d'améliorer et améliorera encore la gestion
quotidienne de la gestion du patrimoine foncier et immobilier départemental, la gestion du patrimoine
routier départemental et la gestion des transports départementaux.
CDU ; IGN P063
SCHULTE (Volker)
Schneller zur digitalen Liegenschaftskarte. [Plus vite vers la carte numérique des biens
fonciers]
in Der Vermessungsingenieur (Allemagne), nr.1, 46, 1995.- S.8-11 ; abb., lit. ; ISSN : 0042-4099
Fuer den Aufbau der Automatisierten Liegenschaftskarte (ALK) muessen die bestehenden Kataster-
und Liegenschaftsplaene digitalisiert werden. ARISTO Graphic Systeme bietet mit CADig Oemap ein
neues unabhaengiges Datenerfassungssystem an, welches die bisherigen Digitalisierverfahren
erweitert um das rechnerunterstuetzte Digitalisieren, das "Computer Aided Digitizing". Das auf einem
PC unter MS-Windows laufende System hilft, in kuerzerer Zeit Liegenschaftsplaene in eine digitale
Form zu ueberfuehren und damit die Kosten der Datenerfassung zu senken. Das Ergebnis sind
homogenisierte, von den moeglichen systematischen Fehlern optimal bereinigte Daten, die direkt in ein
Geoinformationssystem uebernommen werden koennen.
ORLIS IRB: Z 1382
data library used as a framework for the DLC data model is described. The INTGU software application
enables maintenance of the corporate database and monitoring of administrative procedures. The
advantages of GIS technology when developing INTGU are discussed, as well as some problems that
have had to be evercome.
IGN 61878 ; IA 34631
AFI CEGI
Informatisation du plan cadastral en Savoie
in XYZ n° 56, 1993.- pp.31-32 ; ISSN : 0290-9057
Présentation du projet de numérisation du cadastre pour l’ensemble du département avec création de
la SAEM InfoSavoie et l’aide la DGI qui développe une politique conventionnelle avec les collectivités
territoriales.
IGN P112
HECKER (Roger)
Du cadastre à buts multiples au SIG urbain
MARI 93, « L’information géographique numérique », exposition et conférences, CNIT, Paris-La
Défense, 7 au 9 avril 1993.- pp.51-57
Le SIG de Saint-Nazaire est bâti sur une approche pragmatique. C’est essentiellement une nouvelle
direction des activités qui permet, étape par étape, d’atteindre le statut d’un véritable SIG. Le modèle
graphique utilisé actuellement est obtenu à partir de levés topométriques simplifiés et économiques qui
remplace le modèle cadastral numérisé initial. L’organisation interne du système permet l’échange de
données grâce au réseau reliant stations UNIX et périphériques. La production courante est déjà
suffisante pour justifier les investissements consentis. A partir de cette longue et parfois obscure
activité, on produira, en temps voulu, un SIG réellement opérationnel.
IGN 63781 ; CDU 27751(1-2)
L’information géographique numérique. MARI 93, 7-8-9 avril 1993, CNIT, Paris-La Défense.
[Digital geographic information. MARI ‘93, 7-8-9 april 1993, CNIT, Paris-La Défense]]
Paris, ORTECH, avr. 1993.- 111 p. + 29 p., tabl., schémas
Document traitant des cibles de développement du marché de l'information géographique :
géomarketing, gestion du patrimoine, commerce et industrie, collectivités locales. Etat du
développement du marché de l'information géographique au Royaume-Uni. Intérêt qualitatif et
quantitatif des systèmes d'information géographique pour les études d'aménagement et le cadastre.
Formation des métiers liés à l'information géographique numérique puis de la gestion des données
(acquisition, maintenance et disponibilité) et des problèmes juridiques liés aux SIG. En annexe, un
catalogue des exposants présents au colloque.
CDU 27751(1-2)
MEVA'A (C.)
GDTA ; ENSG ; IGN
Apport de l'imagerie satellitaire dans un SIG, enrichissement d'une base de données à partir
d'une classification parcellaire
Toulouse, GDTA, 1993.- 33 p., 21 x 30 cm, ann., bibliogr. (mémoire de DESS télédétection)
IGN 61196
de la valeur vénale, valeur locative et valeur comparative. Le système CAMA a été testé sur la ville de
Cracovie.
CDU 27630(6)
MAURIN (André)
Le cadastre en France. Histoire et rénovation
Paris, Ed. du CNRS, 1990.- 413 p., bibliogr., index, gloss. (préface de Jean-Louis Bergel)
Ouvrage traitant des liens du droit fiscal avec les autres branches du droit ou de son autonomie, de la
preuve du droit de propriété, du caractère simplement fiscal ou juridique du cadastre à travers les
divers modèles qu'en offrent l'histoire et le droit comparé. Il révèle aussi les méthodes utilisées dans la
rénovation du cadastre, qu'il s'agisse de travaux d'ordre topographique d'ensemble ou de détail, des
calculs topométriques, de dessin ou des contenances parcellaires, ou de l'évolution et de la mise à
jour des documents cadastraux.
CDU 24120 ; IA 28951 ; DCN 25-958 ; IGN 61157
AMENAGEMENT URBAIN
ET ARCHITECTURE (PAYSAGE URBAIN)
BARON (Norbert)
INSTITUT D'AMENAGEMENT ET D'URBANISME DE LA REGION D'ILE-DE-FRANCE (IAURIF)
La localisation des données bibliographiques dans les systèmes d'information sur
l'environnement
Paris, IAURIF, 1998.- 45 p., tabl., cartes, bibliogr. (DESS espace et milieux, Universite Paris VII, dir. R.
Delavigne)
Cette étude présente les résultats d'un test de mise en relation de deux outils informatiques conçus au
départ en toute independance : le Système d'information géographique régional (SIGR) et la banque
de données bibliographiques ECOTHEK. Le test porte sur la spatialisation des données
bibliographiques concernant les thèmes liés au patrimoine naturel de huit vallées d'Ile-de-France.
IA 39370
CARVER (S.)
SCHOOL OF GEOGRAPHY UNIVERSITY OF LEEDS
Innovations in GIS 5 [GISRUK 97]. Selected papers from the fifth national conference on GIS
Research UK
Bristol, Taylor & Francis, 1998.- 246 p., 17 x 25 cm, bibliogr. ; en anglais ; ISBN : 0-7484-0810-X
IGN 68304
OUD (John)
ROTTERDAM DEPARTMENT OF PUBLIC WORKS
Selling the city
in GIS Europe (Royaume-Uni), vol. 6, n° 10, oct. 1997.- pp.22-24
Nowhere is the marketability of GIS better demonstrated than Rotterdam, where Europort, the River
Maas delta and a city of 600,000 people have been exhaustively mapped. The item explains how the
investment has paid off with a versatile visualisation system that is about to embrace virtual reality.
IGN P066
PIERRE (Catherine)
Le système d'information géographique au coeur de la fusion DRE/DDE
in Equipement magazine n° 90, août-sept. 1997.- pp.22-23, phot.
168
NICKENS (Eddie)
Mapmaker
in Landscape architecture (USA), vol. 86, n° 12, déc. 1996.- pp.74-79, cartes, phot.
Propos de Jack Dangermond, diffuseur de systèmes d'information géographique (SIG), sur l’avenir
des SIG et sur les besoins des paysagistes en la matière.
IA P.224 ; CDU
PERRIN (Laurent)
Simulation des grands paysages en images de synthèse. in : La cartographie urbaine
aujourd'hui
in Les Cahiers du CREPIF n° 54, mars 1996.- pp.133-146, phot.
Laurent Perrin (IAURIF), présente le projet de recherche sur la simulation des grands paysages en
images de synthèse, initié depuis quelques années par l'IAURIF. Baptisé « Imago metropolis » en
hommage aux cartographes de la Renaissance, ce projet a pour objectif de concevoir un système de
simulation et de prospective paysagère pour appuyer des études de planification et d'aménagement de
grands paysages. De plus, ce système permet d'établir des maquettes virtuelles en trois dimensions,
afin de mieux percevoir l'occupation du sol, et visualiser l'identité et la structure du paysage. Ce
système s'applique dans le domaine de la planification des grands paysages ruraux ou péri-urbains.
CDU ; IA 37428 ; IGN 47770
BOUKHAFFA (Mohammed)
Apports des SIG en matière de suivi et d'évaluation des projets de développement urbain
in Al Maouil (Maroc) n° 9, avr. 1995.- pp.36-43, bibliogr., fig.
Dans cet article on se propose d'énoncer les contours d'un cadre global de réflexion sur l'apport des
systèmes d'information géographique dans le suivi et les évaluations de projets de développement
urbain. Il s'agit d'un ''balisage'' qui fixe les repères conceptuels et méthodologiques qui vont permettre
de positionner ces outils, de mesurer leur intérêt dans l'amélioration des outils de connaissance en
milieu urbain.
CA RB249(95:9)
DEVERS (José)
CENTRE D'ETUDES TECHNIQUES DE L'EQUIPEMENT DE MÉDITERRANÉE (CETE) ; MINISTÈRE
DE L’EQUIPEMENT, DIRECTION DE LA RECHERCHE ET DES AFFAIRES SCIENTIFIQUES ET
TECHNIQUES (DRAST)
Intérêt de la BDTOPO dans les études d'urbanisme
Aix-en-Provence, CETE Méditerranée, mars 1995.- 46 p. + ann.
Cette étude s'inscrit dans un ensemble d'études que la DRAST a confié au CETE Méditerranée, avec
d'abord l'analyse des pratiques cartographiques dans les départements du CETE, ensuite le montage
d'un SIG régional autour de la BDCARTO, sans oublier l'enquête sur l'utilisation des produits papier de
l'IGN. Le rapport décrit l'organisation de cette expérience, les résultats obtenus et les suites possibles
à travers quatre parties : le montage de l'opération, la réalisation du SIG, les exploitations qui ont été
faites, un bilan et des enseignements à en tirer et les suites à donner. Des annexes contiennent les
principaux documents mis au point, élaborés et produits lors du déroulement de cette affaire.
170
CTA 11789
RERICHA (J.)
GDTA ; ENSG ; IGN ; MATRA CAP SYSTEMES
Validation de l'aptitude des images SPOT à discriminer des éléments du paysage par photo-
interprétation
Toulouse, GDTA, 1995.- 26 p., 21 X 30 cm, bibliogr. (mémoire de DESS télédétection)
IGN 63501
TATOM (Jacqueline)
The making of metropolitan landscape : urban form and urban change at the periphery of Lyon,
France. 1812-1994
Bron-Parilly, Faculté GHHAT, 1995.- 289 p., cartes, plans, fig., tabl., phot., bibliogr., ann. (Doctorat
Graduate school of design, Harvard university / Cambridge, Massachussets ; dir. prof. M. Benes, P.
Rone, E. Robbins)
La périphérie des villes est souvent qualifiée de ''paysage de désordre''. Le propos de cette thèse est
d'affirmer le contraire. L'exemple choisi est l'est lyonnais : Bron, Chassieu. L’analyse porte sur la
structure parcellaire. Elle révèle que les changements d'occupation, d'utilisation et d'architecture du
bâti se développent conformément à des principes et à des mécanismes récurrents, entre 1812 et
1994. La terminologie harmonise les traditions méthodologiques anglo-germanique de ''town-plan
analysis'' (principe des changements urbains) et franco-italienne (permanence des formes urbaines).
Les cartes, issues de techniques infographiques spécifiques (SIG), visualisent, par superposition, une
représentation, en simultané, de la diachronie de cette évolution. L'interprétation est fondée sur
l'association des caractéristiques du parcellaire (forme, taille) à des catégories subordonnées (type
d'occupation, mode de transaction). L'auteur conclut à un changement diversifié, mais ordonné, du
paysage, lié aux circonstances économiques, aux initiatives politiques, à la disponibilité et à
l'occupation préalable des parcelles, dans la structure elle-même.
CDU 32892 ; LUM TUH001
GUILLOPE (P.)
Télédétection et SIG : réviser le SDAU de Rouen
in Ecrans n° spécial nov. 1994.- pp.12
Le CETE de Normandie-centre a réalisé une étude pour transformer l’information radiométrique
fournie par satellite en données sur l’occupation des sols. Les résultats obtenus par SIG sont des
documents d’aide à la réflexion, car ils révèlent les caractéristiques de cette vaste région urbaine
organisée autour du fleuve.
IGN P132 ; CDU
Mapping landscapes
in Landscape research (Royaume-Uni), vol. 19, n° 3, hiver 1994.- pp.105-152, phot., cartes, tabl.,
bibliogr.
Le rôle des systèmes d'information géographique dans la cartographie de l'évolution des paysages, les
représentations de la beauté, les cartes comme source d'information sur le paysage, la cartographie
du paysage culturel, le contexte français, l'utilisation des photographies aériennes en Angleterre, le
déclin du paysage rural gallois, sont examinés.
IA P.225
GIOMBOLINI (Gerardo)
Un sistema informativo per il governo della pianificazione paesistica
in IBC. Informazioni commenti e inchieste sui beni culturali (Italie) n° 5, 1993.- pp.55-58
L'articolo espone un progetto per fornire alla Regione e alle autonomie locali un quadro di strumenti
operativi, di tecnologie e metodi per rendere piú efficaci le politiche di governo del territorio.
172
BIBLIODATA
CARILLO (Jacques)
AGENCE D'URBANISME DE L'AGGLOMÉRATION MARSEILLAISE (AGAM)
L’infographie appliquée aux systèmes d'information géographique
Marseille, AGAM, mars 1992.- non paginé, fig.
Ce rapport présente une évaluation partielle de l'utilisation actuelle de l'infographie appliquée aux
systèmes d'information géographique ou aux banques de données localisées. Cette évaluation s'inscrit
comme un complément à l'analyse réalisée par l'AGAM pour la mise en oeuvre d'un système
d'information urbain. En outre, cette démarche vise à enrichir la réflexion sur les SIG ou SIU par
l'apport d'expériences extérieures.
AGM 11784-OUT4
STAERCK (Isabelle)
Banque de données urbaines et collectivités locales : mariage d'amour ou mariage de raison ?
Grenoble, IUG, 1991.- 130 p., carte, bibliogr., ann. (mémoire de DESS urbanisme-aménagement, dir.
S. Martin)
La banque de données urbaines, ensemble constitué par une base de données et par les matériels et
logiciels de son utilisation et dont le thème d'intérêt est la ville, représente une solution au besoin
d'informations géographiques numérisées destinée à fournir une vision la plus complète possible d'un
territoire donné. Cette étude tente de caractériser la nature des liens existants entre BDU et
collectivités locales en analysant le pourquoi et le comment de la mise en place de tels outils dans les
communes, au travers de l'expérience vécue par Grenoble, Moirans, Eybens.
IUG B2053
La France numérisée et en trois dimensions : quels enjeux pour les services techniques ?
in La Gazette des communes n° 19-1405, mai 1997.- pp.6-8
L’Institut géographique national (IGN) a entrepris de réaliser la carte numérique de la France en trois
dimensions. Cette base de données topographiques, qui ne couvre pour l’instant que 20 % du
territoire, concerne toutefois 53 % de la population. Représentation en relief du sol et du sous-sol,
hydrographie, voies de communication, limites administratives, altimétrie, bâtiments sont contenus
e e
dans cette base, qui ouvre un champ d’applications allant du 1/5000 au 1/25.000 . Tour d’horizon des
premières expérimentations et mises en garde des hommes de l’art.
CDU
174
GLATRON (Sandrine)
L’évaluation des risques technologiques majeurs en milieu urbain : approche géographique : le
cas de la distribution des carburants dans la Région Ile-de-France : tome 1
Sl., 1997.- 393 p., cartes, tabl., graph., phot., bibliogr. (thèse de doctorat en géographie, dir. J.
Malézieux, Université Paris I)
Le tableau du contexte dans lequel émergent les risques technologiques majeurs aide à mieux
comprendre la pression sociale exercée sur les décideurs. Un corpus règlementaire complexe et
détaillé a été construit pour faire ressortir les enjeux spatiaux ; il propose des outils utilisés pour
l'évaluation géographique des risques technologiques majeurs. L'étude de la distribution des
carburants en Ile-de-France permet d'appliquer cette méthodologie en sachant que l'articulation entre
les risques-site et risques-transport est particulièrement forte dans cette branche. Ces deux types de
risques sont examinés et comparés. Des propositions d'accueil de dépôts pétroliers sont formulées
afin de mettre en oeuvre le SIG. L'intérêt et les limites du SIG pour l'aménagement de l'espace et
l'orientation des politiques industrielle et environnementale sont discutés.
IA 39119(1)
LEDRICH (Yves)
Etude et mise en place d’un système de gestion de l’éclairage public sous APIC-Space pour
Windows
Strasbourg, ENSAIS, 1997.- 61 p. + ann. (mémoire pour le diplôme d’ingénieur ENSAIS, spécialité
topographie)
La cellule « Eclairage public » de la ville de Metz souhaite le développement d’un applicatif métier qui
permettrait le passage d’une gestion manuelle complexe basée sur de multiples documents
graphiques et alphanumériques difficiles à mettre à jour, vers un nouveau mode gestion informatisé
plus souple et plus clair. L’objet de l’étude a été de créer, puis de mettre en place ce moyen permettant
de gérer plus simplement et de manière conviviale le réseau d’éclairage public de la ville. Le projet
devait aussi prévoir la mise à jour régulière des données et leur exploitation par des traitements
automatiques, des tirages de plans et des cartes thématiques. C’est le logiciel APIC-Space qui
accueillera cette nouvelle base de données géolocalisées ainsi que ses diverses applications au sein
du SIG de la ville de Metz.
IGN 67016
e
Paris, IAURIF, 1997.- 4 vol., mult. + 1 carte h-t. au 1/150.000 (pour le compte de la Région d’Ile-de-
France, dir. R. Delavigne)
L'IAURIF a intégré dans son système d'information géographique regional (SIGR) un découpage en
bassins versants ''topographiques'' qui correspondent à la collecte des eaux pluviales. Ce travail a été
effectué en utilisant la couche du réseau hydrographique et celle de la topographie (modèle numérique
de terrain). Près de 700 bassins versants élémentaires ont été dessinés. Les caractéristiques des
différents bassins sont présentés dans quatre répertoires : bassins élémentaires ; bassins de plus de
500 hectares ; bassins de moins de 500 hectares ; bassins des principales rivières d'Ile-de-France.
IA 38731(1-5)
BONTEMPS (L.)
CENTRE DE RECHERCHE PUBLIC HENRI TUDOR - LUXEMBOURG
Utilisation d'un SIG dans l'étude des aspects géographiques de l'implantation des décharges
au Grand-Duché de Luxembourg. in : Le Luxembourg
in Revue géographique de l'Est, vol. 35, n° 1, 1996.- pp.73-92, fig., tabl., bibliogr. ; ISSN : 0035-3213
Sur la base d'une recherche concernant les pollutions provoquées par le stockage des déchets,
l'auteur propose une étude de l'environnement des sites d'enfouissement (échelle 1/100.000e). Il
utilise un SIG qui, via une modélisation de l'environnement sur des critères sélectionnés, permet une
évaluation qualitative des différents points du territoire. Cartes thématiques caractérisant l'aptitude de
l'environnement à accueillir les décharges. Possibilités diverses selon les régions et unités prioritaires
pour une réhabilitation
FRANCIS : INIST 1935
DEKKER (C.)
GIS fringe benefits
in Surveyor (Royaume-Uni), 183(5405), 19 sep. 1996.- pp.16-18
Discusses the provision of public transport in Croydon and the problems for transport planners trying to
ensure equal accessibility to public transport across the borough. Describes the introduction of a
geographic information system to the planning process and discusses how it is used to address some
of the problems. Uses the calculation of walking times to the nearest bus stop as a case study to
illustrate the working of the system.
ACOMPLINE Localisation 033903
DELAVIGNE (Raymond)
Regional workshop on the utilization of GIS in urban planning and management : the use of
GIS in solid waste management
Alexandrie, CEDARE, 1996.- 7 p. (Congrès organisé par le Centre for environment and development
for the Arab region and Europe, Alexandrie (Egypte), 9-11 juill. 1996)
Présentation des objectifs de l'Observatoire régional des déchets d'Ile-de-France, de l'utilisation du
système d'information géographique et de la télédétection pour la gestion des déchets solides.
IA T.6401
176
DELAVIGNE (Raymond)
Regional workshop on the utilization of GIS in urban planning and management : remote
sensing by satellite and geographic information systems, tools for urban and regional planning
and development
Alexandrie, CEDARE, 1996.- non pag., tabl., cartes, phot. (Congrès organisé par le Centre for
environment and development for the Arab region and Europe, Alexandrie (Egypte), 9- 11 juill. 1996)
L'approche pratique d'un écosystème d'une région urbaine requiert des données de plus en plus
précises pour faire face au nouveau défi que représente le développement durable. La télédétection et
les systèmes d'information géographique sont des outils efficaces pour obtenir ces données. Le
programme de cartographie des écozones en Ile-de-France et l'analyse du développement de
l'agglomération Cairote grâce au satellite SPOT sont présentés.
IA T.6402
PEEL (R.)
Safer systems
in Surveyor (Royaume-Uni), 183(5377), 29 feb. 1996.- pp.21-23
Discusses how Burnley Borough Council is using geographic information systems (GIS) to reduce road
traffic accidents, improve street lighting and traffic regulation maintenance, as well as reducing crime in
selected areas. Describes the GIS system, which runs on personal computers and does not need
dedicated information technology support, and is used to record traffic regulations on maps, making
maps easy to update, more accurate and allowing colour maps at any scale and for any area to be
produced. Also covers parking, street lighting, accident records and crime data. Burnley is also linked
to the national register of street works.
ACOMPLINE Localisation 032458
PIJOURLET (Paul)
L’utilisation de la photoaérienne dans le système d'information géographique du grand Lyon. in
: La cartographie urbaine aujourd'hui
in Les Cahiers du CREPIF n° 54, mars 1996.- pp.89-98, cartes
Paul Pijourjet (directeur du Centre de données urbaines de Lyon) informe que son centre a réalisé
différentes prises de vues aériennes, pour mieux analyser les possibilités d'intégration de
l'orthophotographie dans le système urbain de référence. Puis, il présente des exemples
d'orthophotographies réalisés depuis 1988, l'intérêt et les objectifs, ainsi que les nouvelles orientations
économiques de ce procédé, enfin, l'évolution et la perception de l'orthophotographie dans le domaine
de l'aménagement urbain.
CDU ; IA 37428
Sviluppo metodologie GIS per l'individuazione di aree idonee alla localizzazione di discariche di
rifiuti solidi. [Développement d’une méthodologie par SIG pour l’individualisation de territoires
à la localisation de décharges de déchets solides]
in Paesaggio urbano (Italie) n° 3, 1996.- pp.118-123, tabl., carte, bibliogr. ; en italien
Applicazione degli strumenti del GIS per individuare i suoli adatti alla localizzazione delle discariche.
BIBLIODATA
STEPHAN (L.)
L'informatique met la géographie au service de la commune
in Journal des maires n° 12, 1996.- pp.20-21 ; ISSN : 0294-8095
L'alliance des données géographiques avec le dessin assisté par ordinateur produit une nouvelle
génération d'outils : les SIG. Après avoir séduit les spécialistes urbains des grandes villes, ceux-ci
intéressent les agents des services techniques et certains élus des communes rurales
FRANCIS
TOZSA (I.)
Varosfoldrajzi terinformacios rendszer alkalmazasa ferencvarosi teszterruleten. [Application
d'un SIG urbain à un quartier test de Budapest, Ferencvaros]]
in Fldrajzi Ertesito (Hongrie), vol. 45, n° 1-2, 1996.- pp.55-72, fig., tabl., phot., bibliogr. ; en hongrois,
résumé en anglais ; ISSN : 0015-5403
This study presents an experimental GIS application to assess the optimal utilisation of the properties
in a test area chosen in the dilapidated central part of Budapest (in District 9, called Ferencvaros). The
method can be used to evaluate social, traffic, polluting, criminal environment and potentials of
properties. It is also possible to take into consideration different utilisation purposes.
FRANCIS : INIST 13486
WITTKUGEL (Uwe)
Standortplanung fuer eine Muelldeponie im Grossraum Toronto, Kanada. Die Suche nach
einem Standort zur Deponierung von 40 Mio. t Hausmuell wurde mit Hilfe eines
geographischen Systems ausgewaehlt. [Planification des lieux de stationnement pour une
décharge à Toronto, Canada. La recherche d’un lieu de dépôt d’ordures de 40 Mio t avec un
SIG]
in Wasser und Boden (Allemagne), nr.3, 48, 1996.- S.14-18 ; Abb., Tab. ; ISSN : 0043-0951
Die in Kanada bislang wohl aufwendigste Deponiestandortplanung ist vor geraumer Zeit im
staedtischen Ballungsraum von Toronto zum Abschluss gekommen. Die Suche nach einem Standort
zur Deponierung von 40 Mio. t Hausmuell erfolgte in sechs Teilschritten. Nach dem Aussondern
vollkommen ungeeigneter Flaechen wurden die Umweltauswirkungen moeglicher Standorte mit Hilfe
von aufwendigen Analysen der Wirkungsbereiche der Standorte und Transportwege mit zunehmender
Detailschaerfe bewertet. Die Analysen und Bewertungen wurden mit Hilfe eines Geographischen
Informationssystems durchgefuehrt.
ORLIS IRB: Z 617
CALANDRUCCIO Rosario
Un sistema informativo territoriale per lo studio della mobilità : tecnologie informatiche
avanzate per la pianificazione del trasporto pubblico urbano a Firenze
in Paesaggio urbano (Italie) n° 3, 1995.- pp.100-105, bibliogr.
Il Laboratorio multimediale del Dipartimento di Urbanistica della Facoltà di Architettura ha elaborato un
programma di gestione informatizzata per il trasporto pubblico.
BIBLIODATA
CROSNIER (Gilles)
Expérimentation d'un système d'information géographique appliqué à la gestion des eaux dans
le département d'Indre-et-Loire
in Techniques sciences méthodes n° 6, juin 1995.- pp.491-494, fig. (voir aussi in Informations déchets
n° 135, avr. 1994.- pp.29-31)
L'expérimentation, menée avec le logiciel GÉOCONCEPT, visait à identifier et résoudre les différents
problèmes posés par la mise en oeuvre d'un système d'information géographique avant de généraliser
son application. Réalisée d'avril à octobre 1993, elle consistait à concevoir, réaliser et évaluer une
maquette sur le bassin de la Vienne. L’article expose la philosophie générale du projet, les étapes de
réalisation de la maquette ainsi que les premières leçons à en tirer.
178
ESCOLIN (B.)
Le SIG du Havre, de la gestion du mobilier urbain à la prévention des accidents
in La Gazette des communes n° 1328, 9 oct. 1995.- pp.21
IGN P056
GLATRON (Sandrine)
Industries dangereuses et planification : cartographier les risques technologiques majeurs
in Mappemonde n° 2, 1995.- pp.32-35, cartes
Cet article présente une méthode d'analyse pour l'élaboration d'une cartographie des risques majeurs
en zone urbaine. Le SIG présenté ici recense les établissements dangereux et fixe leur zone
d'isolement dans un tissu urbain dense.
CDU ; IGN P086
LE BLANC (F.)
SIG pour transports urbains
in TPE. Techniques & politiques d'équipement n° 127, févr. 1995.- pp.36-39
Le Syndicat des transports parisiens a créé en 1991 un Observatoire régional des déplacements qui
sert d’outil d’observation et d’évaluation des politiques des déplacements. Dans une approche
multimodale, cet observatoire est conçu comme un outil régional et collectif. Il s’est doté d’un SIG basé
sur le logiciel ARC/INFO détaillant un nombre important de données intermodales sur le réseau de
transports et de déplacements.
IGN P152
LEMONIER (Marc)
Dossier : Le regard infini des systèmes d'information géographique
in Diagonal n° 116, déc. 1995.- pp.10-31, phot.
Les systèmes d'information géographique, issus des progrès réalisés dans le domaine de la gestion
des banques de données et de la cartographie assistée par ordinateur, sont devenus un outil de
gestion urbaine et un instrument d'aide à la décision en matière de planification urbaine. Le présent
dossier analyse les interrogations soulevées par son utilisation : problèmes éthiques, partenariat entre
acteurs hier antagonistes, fiabilité des données, rapports avec la cartographie ''traditionnelle''. Le
dossier présente en outre quelques expériences particulières : le suivi du Schéma directeur d'Ile-de-
France, le SIG sans frontières de Lille, l'appui au POS d'Evry, etc.
CDU ; IGN P042
point un système d'information spécialisé sur ce thème. Un projet pilote a été élaboré sur le bassin de
la rivière Paranoa par les équipes de l'IAURIF et de la CODEPLAN (organisme brésilien).
IA 36162 ; DRE 7812
ALBERT (Véronique)
L’organisation et la gestion des réseaux à Grenoble
Grenoble, IUG, 1994.- 22 p., tabl., bibliogr. + ann. (notes documentaire et de synthèse, dir. J. Tucny)
Le territoire est maillé de réseaux qui amènent l'electricité, l'eau potable, la télévision, etc. On distingue
deux types de réseaux : les ''réseaux-supports'' qui écoulent des flux physiques (l'eau,
l'assainissement, le réseau téléphonique...) ; les ''réseaux-services'' (mises en relation physiques et
sociales des éléments localisés du système urbain). Ce type de réseau est rendu complexe depuis
l'arrivée du câble, du réseau Numéris. Ce travail essaie de déterminer l'organisation, à Grenoble, des
réseaux en les identifiant et en insistant sur le rôle croissant des interfaces techniques. Il analyse
ensuite la gestion de ces réseaux : passage d'une gestion directe de la commune à une gestion
déléguée. Enfin, analyse de la gestion technique de la densification des réseaux.
IUG B2377
BAUDOT (Olivier)
VILLE DE REIMS
Projet métier sur un SIG : l’adduction en eau potable dans le district de Reims
in XYZ n° 60, 1994.- pp.64-69 ; ISSN : 0290-9057
Le district de Reims a lancé un projet de SIG en 1989 pour répondre à des besoins variés, dont
l’exploitation de l’adduction en eau potable : analyse des besoins du service, description du réseau,
saisie et contrôle de l’information, exploitation des données.
IGN P112
JAN (Laurence)
Un système d'information géographique modèle à Marseille
in La Gazette des communes n° 1260, 2 mai 1994.- pp.18-21, phot.
Créé en 1974 pour optimiser la gestion du domaine public, le système d'information géographique de
Marseille a évolué et vu ses applications s’étendre aux secteurs les plus divers comme la gestion des
risques majeurs ou de l'environnement.
CDU ; IA P.188 ; IGN P056
POULAIN (Corinne)
Informatique : l'âge de la maturité
in Communes et régions de France n° 331, nov. 1994.- pp.33-38, phot.
Dossier sur l'équipement en matériel informatique des collectivités locales. Il est expliqué comment,
avec la décentralisation, l'informatique est devenue un outil indispensable pour la gestion des
dépenses et des actions sociales, pour la coopération intercommunale à travers la mise en place de
systèmes d'information géographiques (SIG).
CDU
ROCHE (J.-L.)
SERVICE INFORMATIQUE DE LA VILLE D’ARLES
De l’usage du SIG Arles Camargue durant les inondations d’octobre 93 et de janvier 94
« Systèmes d’informations géographiques : la qualité de données », Lyon, 22-24 nov. 1994.- pp.118-
123
Le SIG Arles Camargue, système d’aide à la décision pour la gestion territoriale, a permis lors des
inondations de 1993 et de 1994, de dresser un état des lieux en temps réel et un bilan provisoire du
sinistre de façon rapide.
IGN 66986
JONES (A.)
Using GIS to link road accident outcomes with health service accessibility
in Mapping awareness (Royaume-Uni), 7(8), oct 1993.- pp.33-37, bibliogr.
Describes a research project which employed a geographical information system to estimate
ambulance travel times for a grid-referenced dataset of road accidents collected by Norfolk police.
Demonstrates how this enables an assessment to be made of how optimally planned the emergency
medical service network is, as well as the relationship between ambulance response time and
subsequent casualty survival probability. Discusses the benefits GIS technology offers in this area, as
well as its potential for investigating more general questions of resource allocation within health
services.
ACOMPLINE Localisation 026668
MARTIN (E.)
GDTA ; ENSG ; IGN
Production de la couche occupation du sol de la base de données cartographique, élaboration
et validation de la méthode
Toulouse, GDTA, 1993.- 21 p., 21 x 30 cm, ann., bibliogr. (mémoire de DESS télédétection)
IGN 61188
STEPHAN (Luc)
La cartographie à l'heure des choix informatiques
in Urbanisme n° 267-268, oct.-nov. 1993.- pp.78-81, fig.
Les collectivités locales sont aujourd'hui en face de choix techniques et financiers importants en
matière de cartographie informatisée. La numérisation du cadastre doit permettre à la fois une
meilleure gestion quotidienne des équipements urbains et une réflexion prospective.
182
CDU ; IA P.414
BEKKADA (Zaza)
La cartographie des réseaux, un outil d'aide à la décision. [Geographical information systems,
mapping the way for water management]]
in Hydro + n° 24, juin 1992.- pp.16-24, fig.
L'utilisation de la cartographie et de système d'information géographique pour améliorer la
connaissance des réseaux d'adduction d'eau potable et d'assainissement.
CA RB63(92:24)
WEI (Luo)
Acquisition des informations 3D dans les SIG urbains. in : Télédétection et systèmes
d'information géographique
183
in Bulletin de l'Association des géographes francais, vol. 69, n° 5, 1992.- pp.393-399, fig., tabl.,
bibliogr. ; ISSN : 0004-5322
Présentation d'une méthode de stéréorestitution automatique, qui permet de reconstruire les scènes
urbaines 3D les plus précises et les plus complètes possibles. Cette méthode utilise les modèles de
surface (plan et quadratique) afin de corriger les erreurs inhérentes à toutes méthodes classiques de
la stéréovision et d'obtenir une surface complète. La méthode a été testée sur un grand nombre des
scènes réelles et les résultats ont été évalués quantitativement.
IGN P017 ; CDU ; FRANCIS : INIST
HABITAT ET LOGEMENT
HIGGS (Gary)
Review of the role of geographical information systems in housing : potential areas for future
research
in Housing studies (Royaume-Uni), vol. 9, n° 3, juill. 1994.- pp.393-404, bibliogr.
L'auteur s'intéresse aux changements intervenus lors de la dernière décennie dans la nature et la
fonction du Gouvernement local des Iles britanniques. Il insiste notamment sur les modifications dans
les prises de décision, la mise à jour des données, la gestion et le contrôle dans le secteur du
logement. Il analyse l'apport des SIG.
CDU
housing market, while a GIS-application is used for selecting potential building sites. With this
WODGIS-model, an attempt is made to demonstrate that the integration of existing model applications
offers new uses. An attempt wich, however, is regarded as a first step in a process of development
towards a fully integrated simulation model for making spatial effect-analyses.
IGN 61092
FLOWERDEW (R.), GREEN (M.), FISCHER (M. M.) ed., NIJKAMP (P.) ed.
Developments in areal interpolation methods and GIS. in : Geographic information systems
(GIS)
in Annals of regional science (Allemagne), vol. 26; n° 1, 1992.- pp.67-78, fig., tabl., bibliogr. ; en anglais
; ISSN : 0570-1864
L’article étudie les problèmes d'interpolation lorsque l'on dispose de découpages spatiaux différents
d'un même espace en fonction des diverses sources statistiques. Modélisations possibles selon le type
de données disponibles et leur distribution. Application au coût du logement à Preston, Lancashire.
FRANCIS : INTG
BOUET (Eliane)
VILLE D’ISSY-LES-MOULINEAUX
La communication directe et personnalisée entre la population et la ville avec un SIG
MARI Europe 98, avril 1998.- 6 p.
La ville d’Issy-les-Moulineaux a décidé de communiquer de façon directe et personnalisée avec la
population, en s’appuyant sur les potentialités offertes par son SIG. Ce système est un moyen inédit de
dialogue et d’échange entre les isséens et les services municipaux. Ces pages présentent
l’organisation du SIG de la ville, les réalisations dans le domaine de la communication et les retours
positifs et innovants des utilisateurs et les réalisations futures.
IGN 67008
THOCKLER (Stéphane)
DISTRICT URBAIN DU PAYS DE MONTBELIARD
L’expérience de constitution d’une base de données localisées
MARI Europe 98, avril 1998.- 2 p.
Après une présentation du district et de ses compétences, la communication décrit l’historique et la
structure actuelle du SIG.
IGN 67008
ASSOCIATION IMAR
Exemples d’applications opérationnelles et régionales de SIG
in Lettre d’information de l’Association IMAR n° 5, avril 1997.- 75 p.
Ce numéro spécial regroupe des articles qui portent sur : la gestion des réseaux d’eau potable et
d’assainissement dans les SIG ; la nécessité de l’utilisation de l’information géographique numérique
186
CHARTIER (A.)
Une synergie géomatique en Région Provence-Alpes-Côte d'Azur à travers le Tour de table
régional
in ESRI ’97.- pp.139-149
En mars 1993, autour du problème de l’acquisition par plusieurs organismes régionaux et
départementaux de la BDCARTO de l’IGN, s’est réunie puis formée une structure informelle mais
néanmoins active, le Tour de table PACA (Provence-Alpes-Côte d'Azur). Depuis, cet ensemble de
partenaires a travaillé activement à l’équipement en SIG des organismes participants et a mené à bien
ses propres projets.
IGN 66963
ESRI FRANCE
Système d'information géographique départemental : l'exemple des Hauts-de-Seine
in ESRI Info (France) n° 11, avr. 1997.- pp.8-10
Ce département jeune et très peuplé s’est lancé dans une démarche rigoureuse d’évaluation des
besoins et de tests de solutions possibles avant de choisir son SIG. De nombreuses informations ont
été répertoriées et de multiples applications développées qui permettent aux Hauts-de-Seine de faire
figure de pionnier dans le domaine départemental. Ainsi, le fonds cadastral graphique saisi par le
Conseil général devient disponible à l’ensemble des 36 communes du département.
IGN P230
Geo-territorial dynamics
in Sistema terra (Italie), 6e année, n° 3, déc. 1997.- 88 p., cartes, phot., fig.
Le rôle des satellites et des systèmes d'information géographique pour la relocalisation de la capitale
japonaise, la cartographie automatique en Italie au travers du projet RAINBOW et du système MIVIS
et l'utilisation des images radar pour cartographier l'occupation du sol en Casamance et à Brasilia sont
abordés. Les images satellitaires pour connaître le développement urbain de l'Amérique latine, la
gestion de l'environnement urbain grâce aux systèmes d'information géographique et à la
télédetection, les apports de la télédétection pour cartographier les inondations de Crotone en 1996 et
les forêts alpines, apprécier la qualité des eaux des lacs italiens et pour les sciences de
l'environnement, sont exposés.
IA 39244 ; IGN P223
LAURENT (Pascal)
MAIRIE DU HAVRE
Un système d’information et de gestion urbaine : Le Havre
in XYZ n° 71, 1997.- pp.55-59 ; ISSN : 0290-9057
En 1990, la municipalité du Havre décide de créer un SIG urbain propre à faciliter l’aide à la décision
sur les 4700 hectares du territoire de la ville. Les objectifs recherchés sont à court terme, la gestion de
l’information technique, à moyen terme, l’aide à la décision au travers d’éléments objectifs, à long
terme, l’aide à la conception (simulation, optimisation de trajets, ...).
IGN P112
LEGOUPIL (A.)
187
LOINTIER (Jacques)
Le SIG : un outil à apprivoiser d'urgence
in Maires de France n° 21, avr. 1997.- pp.37-39, fig., phot., bibliogr.
Apparus au milieu des années 80, les systèmes d'information géographique (SIG) sont longtemps
restés l'apanage des grandes villes et des techniciens. Aujourd'hui, plus accessibles et conviviaux, ils
sont en mesure d'offrir de réels services aux petites et moyennes communes, comme en témoignent
les exemples de Corbie (Somme, 6319 habitants) et de la moyenne vallée de l'Hérault (8600
habitants).
IA P.156
POTTIER P.
La planification à l’épreuve des faits ou le SIG outil d’évaluation
in Lettre d’information de l’Association IMAR n° 5, avril 1997
Une analyse des potentialités d’utilisation des SIG dans les démarches de type POS ou SDAU,
appuyée sur des exemples concrets.
IGN 67021
WILSON (C.)
188
BEILLON (Gaëlle)
SIG et groupements de petites communes
Paris, IFU, 1996.- 84 p., bibliogr. (mémoire de DESS, Institut français d’urbanisme, dir. B. Marchand)
La problématique est abordée sous deux angles : 1. un SIG est-il réalisable dans les groupements de
petites communes ? (La réflexion se focalise sur les difficultés des petites communes face aux SIG,
sur la faculté du regroupement communal de devenir l’intermédiaire face aux SIG et sur la nécessaire
analyse des besoins) ; 2. un SIG est-il souhaitable dans les groupements de petites communes ? (Ici
sont passées en revue, l’aspect coût/bénéfice, le coût d’acquisition de l’information, le partage de
l’information et les relations de pouvoir). Enfin, le cas du district de Clermont est étudié : définition des
besoins et modèle de données.
IGN 67000 ; IFU DSU994
CHESNAIS (Michel)
L’utilisation des systèmes d'information géographique : exemple d'application en Basse-
Normandie
in Norois n° 169, janv-mars 1996.- pp.261-270
Grâce au dynamisme de la recherche scientifique à Caen, les systèmes d’information géographique
trouvent une application naturelle en Basse-Normandie avec leur intégration progressive dans le
serveur Nordsight.
CDU ; FRANCIS
DESGRANDCHAMPS (Jean-Luc)
TOPORDI
Un SIG pour les petites communes
in XYZ n° 66, 1996.- pp.52-53 ; ISSN : 0290-9057
Les petites communes sont partie prenante sur le marché des SIG. L’article fait le point sur leurs
besoins informationnels et organisationnels.
189
IGN P112
HUGEL (H.), CARABIN (G.), DELASSUS (P.), TARDY (P.), EHLENBERGER (J.-Y.), UNGER (C.)
Le SIG de la Communauté urbaine de Strasbourg : une source d'informations aux multiples
sources d'inspiration ; les données de base du SIG ; le système et les applications du SIG
in XYZ n° 67-68-69, 1996.- pp.63-68, 81-87, 44-51
Après avoir présenté l'historique de la mise en place du SIG, l'article décrit l'étude et la saisie des
données et enfin leur organisation autour de pôles applicatifs qui permet une plus grande cohérence.
IGN P112
IVF SERVICES
Système d’information géographique ; connaissance et utilisation : comment mettre en place
un outil adapté aux besoins ?
Paris, IVF Services, 1996
Les cinq communications abordent la mise en place d’un SIG sous différents angles : les objectifs à
court et moyen terme, les concepts fondamentaux à mettre en relation avec les objectifs, la mise en
oeuvre du SIG au travers de l’analyse fonctionnelle des besoins, le choix de la configuration optimale
et les contraintes juridiques soulevées par l’introduction d’un SIG.
IGN 68252
LANGUEPIN (Marie)
CONSEIL GENERAL DE L’HERAULT
Evolutions du SIG du département de l’Hérault depuis 1989
MARI Europe 96, « Les Géoconférences », 2 au 4 avril 1996.- pp.61-67
La communication relate les trois principales étapes de mise en place du SIG du département de
l’Hérault.
IGN 67022
MIELLET (Philippe)
TED ALITEC
SIG et collectivités en France : panorama et tendances
MARI Europe 96, « Les Géoconférences », 2 au 4 avril 1996.- pp.51-59
Les collectivités territoriales restent un des secteurs les plus porteurs pour les SIG. Elles bénéficient,
pour certaines, de nombreuses années d’expérience et présentent une richesse d’applications liée à
leurs attributions multiples. Les solutions techniques se diversifient sous l’effet de l’évolution du
marché des logiciels et des matériels. La baisse des coûts d’investissement et l’offre de logiciels de
plus en plus conviviaux entraînent l’arrivée de nouveaux utilisateurs sur le marché. De nouveaux
usages de l’information géographique se mettent aussi en place.
IGN 67022
MORTGAT (Bruno)
Gestion de l'environnement : jouer la carte des systèmes d'information géographique
in Environnement et technique n° 159, sept. 1996.- pp.36-38
La gestion de l’environnement repose en grande partie sur une connaissance précise et actualisée de
la réalité du terrain. Aujourd’hui, les SIG qui associent la cartographie à des bases de données,
permettent de croiser toutes sortes d’informations pour visualiser des situations complexes et aider à
leur gestion, ce qui offre des applications dans de nombreux domaines : gestion des réseaux de
canalisations, protection des paysages, prévention des risques naturels, définition de plans de
190
desserte ou de circulation en cas d’incident. Autant de thèmes qui intéressent un nombre croissant de
collectivités territoriales.
DCN
PANTAZIS (D.)
UNIVERSITE DE LIEGE - BELGIQUE
La conduite du projet de développement de la base de données géographiques du Ministère de
l'aménagement du territoire du Grand-Duché de Luxembourg. in : Le Luxembourg
in Revue géographique de l'Est, vol. 35, n° 1, 1996.- pp.55-72, fig., tabl., bibliogr. ; ISSN : 0035-3213
Ce projet (conception, réalisation, documentation et implantation de la base), d'une durée de deux ans,
a été réalisé au laboratoire SURFACES de l'Université de Liège dans le cadre de recherches relatives
à l'élaboration d'une nouvelle méthode de conception de SIG et d'un nouveau formalisme de
modélisation de données géo-graphiques. Présentation de la base, qui contient 8.000 objets
surfaciques, 8500 objets linéaires et 800 objets ponctuels.
FRANCIS : INIST 1935
RANGONI (G.)
Il sistema informativo territoriale del Consorzio del Lodigiano ; esperienze. [Le système
d’information territoriale du Consortium de Lodigiano]
in Il nuovo cantiere (Italie) n° 8, 1996/09.- pp.5, 8-66 ; en italien
L'autore descrive gli obiettivi, le scelte effettuate nella realizzazione di un sistema informativo
territoriale utilizzato dal Consorzio del Lodigiano (64 Comuni della Provincia di Milano e la stessa
Provincia) per la conoscenza e la gestione del proprio territorio. Gli sviluppi del sistema in previsione.
DOCET
AFTIAS (E.), DROUET (D.), KLAMT (K.), PEYRETTI (G.), TRIANTAFILLOU (C.), USBECK (H.)
Les applications des systèmes d'information géographique dans les villes moyennes en
Europe RA.333 ; phase 2. [Geographical information systems application in medium size
European cities]]
Lyon, Institut national du génie urbain, 1995.- 200 p., 21 x 30 cm
Ce rapport dresse un état des lieux dans des villes d'Allemagne, de Grèce et de France sur l'usage
des SIG. Il fait le point sur les bénéfices apportés et les problèmes méthodologiques pour chaque cas
abordé avant de dégager des recommandations.
IGN 66978
CAPES (S.)
Geographic information in local government : a new commodity?
in Burisa (Royaume-Uni), 117, feb. 1995.- pp.8-9
Reports on research into the commodification of geographic information in local authority planning
departments and the metropolitan joint information units. Although commercialisation, or vigourous
charging for information, has been found to be widespread, income generated is used to subsidise the
costs of providing services to the local authority or to fund new technology purchases rather than to
make profits.
ACOMPLINE Localisation 030108
LEMONIER (Marc)
Dossier : Le regard infini des systèmes d'information géographique
in Diagonal n° 116, déc. 1995.- pp.10-31, phot.
Les systèmes d'information géographique, issus des progrès réalisés dans le domaine de la gestion
des banques de données et de la cartographie assistée par ordinateur, sont devenus un outil de
gestion urbaine et un instrument d'aide à la décision en matière de planification urbaine. Le présent
dossier analyse les interrogations soulevées par son utilisation : problèmes éthiques, partenariat entre
acteurs hier antagonistes, fiabilité des données, rapports avec la cartographie ''traditionnelle''. Le
dossier présente en outre quelques expériences particulières : le suivi du Schéma directeur d'Ile-de-
France, le SIG sans frontières de Lille, l'appui au ¨POS d'Evry, etc.
CDU ; IGN P042
MAIER (Philipp )
Flexibles Technologiekonzept. Das geographisch-technische Informationssystem (GIS) in der
Kommune
in Staedtetag (Allemagne), Stuttgart : Kohlhammer, nr.6, 48, 1995.- S.425-428 ; lit. ; ISSN : 0038-9048
ORLIS SEBI: Zs 345-4; IRB: Z 76
192
SWIACZNY (Frank)
GIS-Anwendungen in der oeffentlichen Sozialplanung am Beispiel des
Sozialinformationssystems der Stadt Mannheim. [L’utilisation du SIG pour la planification
sociale dans l’intérêt public, exemple des systèmes d’informations sociales de la ville de
Mannheim]
in GIS. Geo-Informations-Systeme (Allemagne), nr.3, 8, 1995.- S.25-26 ; Abb. ; ISSN : 0935-1523
ORLIS IRB: Z 1758
VANN (P.)
Using GIS to inform decisions about schools
in Burisa (Royaume-Uni), 118, may 1995.- pp.2-5, bibliogr.
Describes how a geographical information system solution was applied to the problem of information
requirements for the school inspection process. The project was carried out in Bedfordshire as part of
the work of the Local authority associations' Geographical advisory group, by the Local government
management board and the County Council. The schools were provided with maps of their pupil
distribution, the location of their pupils against background patterns of rates of unemployment,
overcrowding, social class and ethnic minority representation, together with statistical summaries
giving details on the wards, catchment areas and home areas of the pupils.
ACOMPLINE Localisation 030535
WESTON (J.)
Planning is paramount : GIS in district councils
in Mapping awareness (Royaume-Uni), 9 (7), sep. 1995.- pp.32-35
Describes the implementation of a geographical information system by Swansea City Council. Outlines
how in the Planning department GIS data is used for planning control and forward planning, but the
greatest benefit comes from sharing data with other departments. Stresses the time involved in getting
useful information into the system should not be underestimated and needs advanced planning.
ACOMPLINE Localisation 031365
Local government management board, jan. 1994.- 44 p., graphs, tables (LGMB, Arndale House,
Arndale Centre, Luton LU1 2TS) RP71906A
Presents the findings of a survey of 514 local authorities in Great Britain regarding the geographical
information systems they have adopted. Looks at how many have adopted systems, how many intend
to, and the involvement of departments in using such systems. Looks at the systems being used and
the data being analysed. Considers the benefits and problems encountered by authorities, particularly
in management terms, and concludes that there has been a rapid take up of GIS since 1991 and that
there is a need for further, regular studies into developments and changes in local authority GIS take
up.
ACOMPLINE Localisation P71906
HILL (V.)
DIGIS - REPUBLIQUE TCHEQUE
Implementation and development of geographical information systems in the region of North
Moravia
EGIS/MARI ’94 VIe Rendez-vous européen des acteurs de l’information géographique numérique ;
Paris, France, 29 mars-1er avril 1994.- pp.1909-1915
The Czech Company DIGIS Ltd has developed an interactive geographical information system for the
Municipal authority of the town of Ostrava. Experience and steps of the system’s creation are
described in the paper. The GIS was developed for the great number of users and customers and
includes public service companies, factories, manufactories and local municipal authorities. The
system will serve both public customers and individual persons. Various methods which cause a
system of higher quality are described in the paper as well. Some information on other GIS which
covers the North Moravia region is mentioned at the end.
IGN 61878 ; IA 34631
JAN (Laurence)
Un système d'information géographique modèle à Marseille
in La Gazette des communes n° 1260, 2 mai 1994.- pp.18-21, phot.
Créé en 1974 pour optimiser la gestion du domaine public, le système d'information géographique de
Marseille a évolué et a vu ses applications être étendues aux secteurs les plus divers comme la
gestion des risques majeurs ou de l'environnement.
IA P.188 ; CDU
MAINGUENE (Chantal)
Les SIG dans l’administration locale britannique : un schéma global
« Systèmes d’informations géographiques : la qualité de données », Lyon, 22-24 novembre 1994.-
pp.124-135, bibliogr.
La structure de l’administration territoriale britannique, la diffusion des SIG dans l’administration locale,
le développement des partenariats et les organisations de la diffusion d’information.
IGN 66986
PAPPAS (V.)
UNIVERSITY OF PATRA - GRECE
Developing urban information systems in greece a comparative approach and methodological
issues
EGIS/MARI ’94 VIe Rendez-vous européen des acteurs de l’information géographique numérique ;
Paris, France, 29 mars-1er avril 1994.- pp.490-499, bibliogr.
The purpose of this paper is to present the methodology and problems that arise in the process of
development and implementation of a urban information system (UIS) in a medium size Greek city for
use by the local authorities organisations. The paper is based on the results of two projects that deal
with the prototype development for two UIS for the city of Patra and city of Thiva. These projects are
the main research projects, of the last four years, of the Laboratory of architectural technolog and
Spatial Planning (University of Patra, Greece). The paper examines, in a comparative way, the
methodologies and the environment of these two projects, and puts the main constraints : non-
existence of land register, limited available spatial information, limited use of informatics in municipal
operations,limited municipal authority on planning and management issues, non flexible structure of
municipal services, etc.
IGN 61878 ; IA 34631
WORRALL (L.)
Incorporating GIS into strategic management in local Government
in Local government policy making (Royaume-Uni), 21(2), oct. 1994.- pp.15-24
Defines geographic information systems, and explores ways in which they can be used to assist
strategic management and service planning in a local authority. Argues that strategic analysis is
dependent upon a coherent approach to information management within local government. The
examples presented are indicative of the application of GIS to issues of strategy: with imagination GIS
can be used in a host of applications ranging from facility accessibility analysis to the marketing of
services, resource allocation and needs assessment.
ACOMPLINE Localisation 028957
En partant du mythe platonique de la caverne, l'auteur examine la différence inévitable entre la réalité
et l'image cartographique, celle-ci ayant d'autre part une valeur heuristique importante.
FRANCIS : INIST 3744
DAULL (Bernard)
VILLE DE MULHOUSE
La BDU de Mulhouse : l’expérience de la ville en matière de SIG
in XYZ n° 57, 1993.- pp.46-47 ; ISSN : 0290-9057
Présentation des objectifs de la BDU et des applications envisagées.
IGN P112
FELLONI (Fiorella)
Milano e dintorni : dati, carte, valutazioni, proposte : primi passi di un osservatorio
informatizzato del LAT
in DST Territorio (Italie) n° 16, 1993.- pp.145-149, bibliogr. ; en italien
Il LAT (Laboratorio ambiente territorio) fa parte del Dipartimento di scienze del territorio del Politecnico
di Milano. Si illustra la sua attività in relazione alla pianificazione urbanistica della città e dell'hinterland.
BIBLIODATA
LESENS (Jean-Marie)
Le système d’information géographique régional (SIGR) : un outil pour les études
d’aménagement en Ile-de-France, une ambition régionale
MARI 93, « L’information géographique numérique », exposition et conférences, CNIT, Paris-La
Défense, 7 au 9 avril 1993.- pp.46-50
Bureau d’études régional, l’IAURIF joue le rôle de mémoire régionale sur l’ensemble des thèmes liés à
l’aménagement : occupation du sol, transport, environnement, équipements. Pour répondre à ses
besoins de gestion de données, de traitement et de restitution de l’information, il a défini et développé,
dès le début des années 80, un système informatique approprié, puis mis en place, depuis 1990, le
Système d’information géographique régional (SIGR). Les thèmes traités concernent principalement
l’occupation du sol, la démographie, les espaces verts, les réseaux de transport, voirie et réseau ferré,
l’hydrographie, le relief, les sites et monuments historiques, le bruit, ... Mais le véritable intérêt du SIGR
est sa capacité à mener, pour les besoins des études d’urbanisme, toutes sortes d’analyses
statistiques et spatiales, analyse multi-critères ou multidates, croisement de plans, construction de
zones-tampons, analyse de réseaux,... et de restituer l’information et ses traitements sous forme de
cartes et de tableaux. Aujourd’hui, de nombreux organismes et services administratifs dans la Région
d’Ile-de-France exploitent ou se préparent à intégrer des systèmes d’information géographique.
L’optimisation des investissements, notamment pour la réalisation de fonds de plan adaptés et le
recueil des données thématiques, impose la définition de partenariats entre les acteurs régionaux de
l’information géographique.
IGN 63781 ; CDU 27751(1-2)
PORNON (Henri)
IETI CONSULTANTS
SIG dans les collectivités territoriales : une grande variété d’applications
in XYZ n° 54, 1993.- pp.13-14 ; ISSN : 0290-9057
Les SIG sont de plus en plus appréciés des collectivités territoriales. La plupart des grandes
agglomérations françaises en disposent. Même les villes de 3.000 à 10.000 habitants s’intéressent à
de tels outils, du fait de la baisse des coûts matériels et logiciels et de la disponibilité croissante des
données.
IGN P112
DUPE (Alain)
Marseille : une banque de données conçue dès 1972
in Génie urbain n° 397, 1992.- pp.32-34
Dans le cadre de la mise en place d’un plan de développement de l’informatique municipale, la Ville de
Marseille a décidé dès 1972 la mise en œuvre d’une banque de données localisées. Elle en a confié
l’étude et la réalisation à la société ICOREM (Informatique communale pour la région Méditerranée) -
société d’économie mixte créée à l’initiative de la ville en 1971. En l’absence de système adapté, il a
été nécessaire d’innover afin de doter les services municipaux d’une banque de données urbaines.
CDU
DUPUY (Gabriel)
L’informatisation des villes
Paris, PUF, 1992 .- 127 p., bibliogr., tabl. (coll. Que sais-je ? n° 2701)
L'informatisation des villes apparaît massive et irréversible à la fois pour les tâches municipales
classiques et pour la gestion des services publics locaux, mais toutefois selon des rythmes et des
logiques différentes. Après avoir dressé un état de l'informatique communale, l'auteur décrit les
fonctions qui sont concernées par l'informatisation. On peut citer le transport, l'alimentation en eau,
l'assainissement, la distribution d'énergie, l'éclairage public, l'évacuation des déchets solides et la
sécurité publique. L'auteur présente des schémas d'exploitation. Il analyse les coûts, les enjeux et les
atouts de l'informatisation pour les villes
CDU 27123 ; EPC NY4384 ; IA 31963 ; IAB B610 ; IGN 63240
PAULSSON (Bengt)
198
WALLWORK (P.)
The New roads and Street works act 1991 and the Computerised street works register
in Mapping awareness and GIS in Europe (Royaume-Uni), 6(3), apr. 1992.- pp.25-28, bibliogr.
Describes the background to the introduction of this Act, and the changes that it will bring to the way in
which utility street works are carried out in Britain, the most radical since 1950. Suggests that the use
of a map based GIS would be the best method of ensuring the accuracy of information in the street
works Register, but until all users have compatible systems the use of the National street gazetteer is
seen as the best way forward.
ACOMPLINE Localisation 022757
ENVIRONNEMENT URBAIN :
tectonique, risque naturel,
aménagement portuaire, atmosphère, bruit
BRIGGS (David J.), COLLINS (Susan), ELLIOTT (Paul), FISCHER (Paul), KINGHAM (Simon),
LEBRET (Erik), PRYL (Karel), VAN REEUWIJK (Hans), SMALLBONE (Kirsty), VAN DER VEEN
(André)
Mapping urban air pollution using GIS : a regression-based approach
in IJGIS. The international journal of geographical information science (Royaume-Uni), vol. 11, n° 7,
oct.-nov. 1997.- pp.699-718, bibliogr.
As part of the EU-funded SAVIAH project, a regression-based methodology for mapping traffic-related
air pollution was developped within a GIS environment. Mapping was carried out for NO² in
Amsterdam, Huddersfield and Prague. A GIS was established with data on monitored air pollution
levels, road network, traffic volume, land cover, altitude and other locallly determined features.
IGN P079
DONLEY (Charles)
Putting the country in GIS
in Planning (USA), vol. 63, n° 10, oct. 1997.- pp.12-18, ill., phot.
Aujourd'hui, les systèmes d'information géographique (SIG) peuvent être utilisés partout alors qu'il y a
quelques années, leur coût était trop élevé. Dans le Colorado, un SIG est employé afin de connaître
les élans mais aussi les risques géologiques, la topographie, les équipements et le domaine skiable.
Ce SIG va être diffusé sur Internet. Des exemples de SIG dans des petites villes américaines sont
présentés.
IA P.308
Présentation des différents aspects de la recherche sur les éboulements dans les zones habitées et
plus spécialement dans la région de Bonn. Description des possibilités de prévision, particulièrement
par la modélisation. Les données géologiques, morphométriques, morphologiques et hydrologiques
ont été digitalisées pour présenter un modèle simplifié.
FRANCIS : INTG
HENAUT (Marc)
Cartographie portuaire : de la DAO au SIG, modélisation des données et application logicielle
Strasbourg, ENSAIS, 1997. - 60 p. + ann. (mémoire de diplôme d’ingénieur ENSAIS, spécialité
topographie)
Le Service aménagement et environnement du Port autonome de Dunkerque a pour mission
d’entretenir une base de données intégrant des informations topographiques et réseaux. Le logiciel
GEODIS est utilisé dans cet objectif, sa modularité et ses capacités en SIG confèrent au service un
outil adéquat à ses besoins. Cependant, son utilisation n’est pas optimale : la gestion des données est
quotidienne mais entravée par un abandon des capacités de gestion de base de données. Il en résulte
une entropie dans le système due à son utilisation en logiciel de DAO. Pour améliorer cette situation, il
est nécessaire de réaliser une mise à jour de la symbolique utilisée, une rationalisation des couches
logiques existantes, une définition de la modélisation des données et son application logicielle. Le
passage à un véritable SIG est amorcé. Les capacités matérielles, logicielles et la motivation des
acteurs doivent normalement favoriser cette mutation indispensable aux besoins du service.
IGN 67018
MASON (D.)
Air raid warning
in Surveyor (Royaume-Uni), 184(5433), 1 may 1997.- pp.14-16
Explains how a geographic information system can be used to pinpoint sources of air pollution. Notes
the relevance of this approach to local authorities seeking to meet their obligations under the United
Kingdom national air quality strategy. Looks at how such systems are being developed and used by
different authorities or environmental consultants in different parts of the country, and discusses the
differing approaches adopted. Emphasises the need for adequate investment and training to realise
the potential benefits.
ACOMPLINE Localisation 035232
SCHUPPEL (K.)
UNIVERSITAT BOCHUM - ALLEMAGNE
Ein klima- und lufthygienisches Informationssystem fur die Stadt Dusseldorf [Un système
d'information climatique et atmosphérique pour la ville de Dusseldorf]]
in Petermanns geographische Mitteilungen (Allemagne), vol. 141, n° 2, 1997.- pp.83-87, fig., bibliogr. ;
en allemand ; résumé en anglais et en russe ; ISSN : 0031-6229
Cet article présente le développement d'un système d'information géographique sur le climat et la
qualité de l'air (contraintes thermiques, écoulement de l'air, répartition de la pollution atmosphérique).
Ce système doit servir d'aide à la décision pour les tâches de planification urbaine. Les données
provenant de l'analyse du climat urbain de Dusseldorf (1993) ont été utilisées comme exemple pour le
developpement du système.
FRANCIS : INTG
CAUCHETIER (Bernard)
Les écozones, une cartographie régionale de l'occupation biophysique du sol
in Note rapide sur l'environnement n° 10, nov. 1996.- 4 p., tabl., carte, bibliogr.
La carte des écozones, réalisée dans le cadre du programme européen Corine Land Cover, donne une
image précise de la diversité biologique régionale. Son intégration dans le SIGR permet le croisement
avec d'autres données et ouvre la voie à de nombreuses applications.
IA P.246/2
to be confident of the safety of sites used for building. Identifies the type of data being gathered and the
sources, as well as the ways in which the information is being used.
ACOMPLINE Localisation 034304
HERVET (Jacques)
L’observation par satellite : outil pour la gestion de l'environnement
in Espaces pour demain n° 48, 1996.- pp. 40-41
Si la photographie aérienne a apporté une contribution efficace à l'obtention de vues d'ensemble du
territoire, les satellites ont donné son essor à une connaissance véritable de l'environnement à
l'échelle de la planète, ouvrant des possibilités de gestion scientifique de celle-ci. Ce dossier en donne
quelques exemples d'application pratique : gestion des risques majeurs, déforestation, études
d'infrastructures.
CDU
YAFANG (S.)
LREIS, INSTITUTE OF GEOGRAPHY - CHINE
Urban investment environment information system for China’s coastal port cities
in EGIS/MARI ’94, VIe Rendez-vous européen des acteurs de l’information géographique numérique ;
Paris, France, 29 mars - 1er avril 1994.- pp.500-504
The paper mainly applies multidisciplinary theories, methods and geographic information system (GIS)
technologies to study the investment environment for coastal port cities. The methods of studying
urban investment environment is mentioned. An urban investment environment information system has
been designed to study the urban investment environment. Ningbo, a very important coastal port city, is
chosen as a pilot study city.
IGN 61878 ; IA 34631
BRUECKLER (Manuela)
Der Verkehrslaerm als Problem der Raumplanung. Eine Untersuchung am Beispiel der
Autobahnen im Bundesland Salzburg mit Hilfe eines Simulationsmodells und eines
geographischen Informationssystems. [Le bruit du trafic en tant que problème de planification
de l’espace. Etude en exemple de l’autoroute à Salzbourg, avec l’aide d’un modèle de
simulation et d’un SIG]
in SIR-Mitt.u.Ber., Salzburg, nr.1-4, 1993.- S.29-45, Kt., abb., lit. ; ISSN : 9990-3075
ORLIS SEBI: Zs 2584; IRB: Z 874
DOSCH (Fabian)
Geographische Informationssysteme in der kommunalen Planungspraxis am Beispiel einer
stadtklimatologischen Raumanalyse und Raumbewertung. [Les SIG dans la pratique de
planification communale, exemple d’une analyse et d’une évaluation spatiale du climat de la
ville]
Mainz, Selbstverlag, 1993.- 5 mikrofiches, Kt., abb., tab., lit. (Naturwiss.Diss.; Mainz 1993)
ORLIS SEBI: MF 512
TALEN (Emily)
Visualizing fairness : equity maps for planners
203
in Journal of the American planning association (USA), vol. 64, n° 1, janv. 1998.- pp.22-38, fig., tabl.
cartes, notes, bibliogr.
Selon l'auteur, la recherche de l'équité géographique dans l'accès aux services urbains est d'une
importance primordiale pour la pratique de l'aménagement. L'article présente une nouvelle méthode
avec laquelle les aménageurs peuvent facilement générer et analyser diverses "cartes d'équité". Cette
méthode utilise un SIG (système d'information géographique) qui permet l'exploration des relations
entre les niveaux de services urbains et les caractéristiques socio-économiques de la population.
CDU
BIZET (Frédéric)
Carroyage et SIG urbain : les chômeurs à Rouen
in Mappemonde, vol. 2, 1997.- pp.32-34, bibliogr.
Le carroyage effectué sur l’agglomération de Rouen permet la cartographie informatique de données
socio-démographiques sur l’ensemble de la ville. Sur ce carroyage ont été appliquées deux méthodes
cartographiques permettant d’avoir une nouvelle perception de l’information carroyée et d’améliorer sa
représentation. Le lissage simplifie la lecture de la carte en supprimant le « bruit » et la « 3D » modifie
complètement le carroyage en introduisant le relief.
CDU ; IGN P086
BRUNET (Roger)
La ZPIU est morte, vive le ZAU !
in Mappemonde, vol. 3, 1997.- pp.18-21, carte
En vue de définir l’urbanisation de la France, l’INSEE propose une réagréagation des communes en
pôles urbains, aires urbaines et espaces urbains. Définitions et résultats principaux sont commentés.
L’aire urbaine et sans doute le niveau le plus significatif en géographie.
CDU
ESRI FRANCE
L’IAAT ou comment se donner les moyens de ses ambitions
in ESRI Info (France) n° 12, sept 1997.- pp.11-12
Créé en juillet 1994, l’Institut atlantique d’aménagement des territoires (IAAT) a pour mission de
fédérer informations et acteurs pour une meilleure connaissance du territoire régional de Poitou-
Charentes. La réflexion sur les SIG a été menée dès sa création. Après trois ans, l’IAAT a affiné ses
objectifs et mis en place un certain nombre d’outils essentiels au succès de sa démarche.
IGN P230
COURET (Dominique)
Système d'informations urbaines ou système de penser la ville ? Réflexions autour d'un projet
de mise en perspective de l'information pour l'observation du changement urbain à Abidjan
in Cahier des sciences humaines, vol. 32, n° 4, 1996.- pp.787-802, bibliogr.
Le système d'observation que l'on cherche à concevoir à Abidjan est celui des dynamiques sociales
multiples participant à l'aménagement de la ville. Ainsi la structuration des données en système
d'information demande-t-elle une réflexion sur l'ensemble des "éléments" qui, au sein de la ville, font
système. Ce sont ces implications scientifiques insoupçonnées dont on traite ici, à partir d'un exemple
spécifique : le projet pilote d'assainissement des quartiers sous-équipés d'Abidjan.
CA RB49(96:4)
DELAVIGNE (Raymond)
Tegional workshop on the utilization of GIS in urban planning and management : the use of GIS
in solid waste management
Alexandrie, CEDARE, 1996.- 7 p. (Congrès organisé par le Centre for environment and development
for the Arab region and Europe, Alexandrie (Egypte), 9-11 juill. 1996)
Présentation des objectifs de l'Observatoire régional des déchets d'Ile-de-France, de l'utilisation du
système d'information géographique et de la télédétection pour la gestion des déchets solides.
IA T.6401
tissus urbains, déterminée dans la perspective de mesure de densités urbaines, établissement d'une
table de ratios transposables par tissu urbain, recherche d'une correspondance pour les zones
urbanisées entre d'une part le binôme espaces artificialisés/espaces naturels et d'autre part le binôme
indice de brillance/indice de végétation. Cette corrélation est à traiter dans une phase suivante de
projet.
CTA 12053
LEVINE (Ned)
Spatial statistics and GIS. Software tools to quantify spatial patterns
in Journal of the American planning association (USA), nr.3, 62, 1996.- S.381-391, Kt., abb., lit. ; en
anglais ; ISSN : 0002-8991
ORLIS SEBI: Zs 2496; IRB: Z 1042
WEBER (Christiane)
L’apport des images : la ville autrement
in Annales des ponts et chaussées, nouv. série n° 78, 1996.- pp.21-27 (Nouvelles technologies pour la
ville)
L’intérêt de l'utilisation de l'image satellitaire en milieu urbain est qu’elle procure des éléments pour
l’identification de l'organisation urbaine et le suivi de celle-ci. Elle est en effet un appui certain dans
diverses applications : l'interprétation à des fins de représentation cartographique et de mise à jour, la
206
GAUTHE (Christine)
District de l’agglomération dijonnaise : un SIG dédié à l’urbanisme. in : Dossier topographie
in Génie urbain n° 415, mars 1995.- pp.45-47
Compte tenu de sa vocation intercommunale, l’Agence d’urbanisme a poursuivi deux objectifs dans le
développement du SIG : répondre à la fois aux besoins particuliers de chacune des communes et à la
gestion et l’exploitation des informations urbaines pour l’ensemble de l’agglomération (observatoire
urbain) ; améliorer l’aide à la décision par la visualisation de projets d’aménagement en 3 D.
CDU
LE BLANC (F.)
SIG pour transports urbains
in TPE. Techniques & politiques d'équipement n° 127, févr. 1995.- pp.36-39
Le Syndicat des transports parisiens a créé, en 1991, un Observatoire régional des déplacements qui
sert d’outil d’observation et d’évaluation des politiques des déplacements. Dans une approche
multimodale, cet observatoire est conçu comme un outil régional et collectif. Il s’est doté d’un SIG basé
sur le logiciel ARC/INFO détaillant un nombre important de données intermodales sur le réseau de
transports et de déplacements.
IGN P152
WOLKE (Manuela)
Geographische Informationssysteme in der Regionalbeobachtung : Aufgaben und Methoden.
[Les SIG dans l’observation régionale : missions et méthodes]. in : Regionen im Umbruch.
Dokum.eines dt.-mexikan.Sympos
Berlin, HRSG : Inst.f.Regionalentwickl.u.Strukturplanung., 1995.- S.193-204, Kt., Lit. (Regio.
Beitr.d.IRS, 6)
ORLIS SEBI: 95/1481-4
ZAMANI (N.)
ENSG ; UNIVERSITE DE MARNE-LA-VALLEE ; CETE MEDITERRANEE
Occupation du sol et densités urbaines
Paris, IGN, 1995.- 90 p., 21 x 30 cm (rapport de stage de DEA SIG)
IGN 63740
CHRISTMANN (Alfred)
SIS, the meta-data controlled, integrated statistical and geographic information system
in Cities and regions (Royaume-Uni), 6, 1994.- S.3-18, Abb., Lit. ; en anglais
ORLIS
BALLUT (A.)
INSTITUT D’AMENAGEMENT ET D’URBANISME DE LA REGION D’ILE-DE-FRANCE (IAURIF)
Le système d’information géographique régional, version moderne de l’Atlas pour
l’aménagement et l’urbanisme d’une grande région métropolitaine
in Bulletin du Comité français de cartographie n° 136-137, juin-sept. 1993.- pp.155-157
Une grande région métropolitaine comme l’Ile-de-France doit, pour faire face à ses besoins de
prévision ou de planification, disposer de données relatives à la population au logement et à la gestion
de l’usage du sol qui soient à la fois à jour, adaptées aux besoins et localisées géographiquement,
c’est à dire toutes les données que l’on trouve habituellement dans un atlas. Toutefois, les besoins
d’analyse sont tels, et d’une telle complexité, qu’il faut traiter ces données sous une forme
informatisée. L’IAURIF a réalisé un Système d’information géographique régional SIGR), qui est à la
fois l’Atlas informatisé de la région et l’outil de son analyse.
IGN P021
BENOIT (Paul)
La dimension régionale des statistiques
in Cities and regions (Royaume-Uni), 5, 1993.- S.29-44, Lit. ; en français
ORLIS
GIACOBBO (D.)
GDTA ; ENSG ; IGN ; SCOT CONSEIL
Utilisation de l'imagerie satellitaire haute résolution et des bases de données géographiques
pour l'analyse urbaine, contribution au projet SIGMIP
Toulouse, GDTA, 1993.- 26 p., 21 x 30 cm, ann., bibliogr. (mémoire de DESS télédétection)
IGN 61208
LENCO (Michel)
Ecosystèmes urbains dans les grandes agglomérations
in Recherches études environnement développement n° 41-42, janv.-juill. 1993.- pp.7-9
208
La télédétection est l'une des rares sources d'information permettant d'appréhender et d'analyser un
espace étendu d'un seul bloc et de façon homogène pour une prise en compte globale au 1/25.000e
des écosystèmes des grandes agglomérations.
IA P.378
Villes
in Courrier des statistiques n° 67-68, déc. 1993.- pp.20-54, tabl., cartes, phot., bibliogr.
Présentation de la mission ''villes'' de l'INSEE par P. Choffel. Etat des données nécessaires aux
différents acteurs et des orientations de l'INSEE pour répondre à la demande, par M. Castellan.
Présentation du dispositif d'observation et de diffusion de données existant à l'INSEE sur le thème de
la ville, par M. Marsat. Description du système d'informations géographiques élaboré actuellement
l'INSEE, par J. Anfre. Présentation de l'Observatoire régional de l'habitat et de l'aménagement du
Nord-Pas-de-Calais par M. Kaszynski. Présentation des outils d'évaluation de l'INSEE en matière de
développement social des quartiers en Champagne-Ardenne par C. Ronez. Description de
l'expérience de l'INSEE sur le traitement des fichiers des caisses d'allocations familiales en Rhône-
Alpes, par F. Vinot.
CDU ; IA P.150
DONNAY (Jean-Paul)
Remotely sensed data contributes to GIS socioeconomic analysis
in GIS Europe review (Pays-Bas), vol. 1, n° 10, déc. 1992.- pp.38-41, fig., bibliogr.
Les différentes utilisations des données satellitaires en analyse urbaine. L'auteur présente diverses
études menées en Europe dont les résultats peuvent être utilisés dans le systèmes d'information
géographique.
CDU 27548
209
4
IMPACT SUR LES ASPECTS PROFESSIONNELS
ET L’ORGANISATION DU TRAVAIL
aspects techniques et organisationnels
LOUBIER (Nicolas)
BENTLEY SYSTEMS FRANCE
Publication et diffusion des données
MARI Europe 98, avril 1998.- 5 p.
Les données cartographiques sont complexes et la publication papier est la diffusion traditionnelle des
informations cartographiques. Les SIG offrent simplement la capacité d’imprimer plus facilement et
d’ajouter les données descriptives associées. Trois axes de diffusion numérique des données
cartographiques apparaissent : la diffusion des données natives, la publication par le Web et la
diffusion vers la bureautique.
IGN 67008
CHEYLAN (J.-P.)
MAISON DE LA GEOGRAPHIE
SIG et cartographie
in Bulletin du Comité français de cartographie n° 151-152, mars-juin 1997.- pp.22-34, bibliogr.
Les systèmes d’information géographique font maintenant partie des outils d’utilisation fréquente dans
l’ensemble des domaines gérant, analysant et orientant nos territoires et leur devenir. L’article tente de
montrer en quoi les SIG sont à la fois les héritiers des compétences cartographiques, et en quoi ils en
modifient profondément les pratiques. La base de données spatiales se comporte dans un premier
210
temps comme une collection de cartes rendant compte des sources, puis comme un « générateur de
cartes » à la fois par les traitements instrumentables et la diversité des modes de restitution. Les
compétences cartographiques demeurent indispensables pour une production de signes
cartographiques étendue, provenant de plus en plus souvent d’utilisateurs sans culture cartographique.
Leur adéquation aux nouvelles formes de symbolisation offertes par l’informatisation reste encore à
mieux explorer.
IGN P021
QUOVERTE (P.)
UNIVERSITE D’ORLEANS
Penser autrement la cartographie ; cartographie, SIG et géomatique
in Bulletin du Comité français de cartographie n° 153, sept. 1997.- pp.32-37
Par le biais de l’ordinateur, la carte numérique est désormais accessible à tous sans aucune limite. Les
professions qui l’utilisent sont multiples, leurs problématiques et leurs objectifs très variés. La carte est
largement utilisée comme outil de localisation, de travail et de décision, de recherche, de gestion, tant
dans le domaine public que privé. De nouveaux outils, les systèmes d’information géographiques, sont
apparus dans les années 80, et se répandent largement dans les domaines ayant un rapport direct
avec l’information géographique. Pour essayer d’y voir clair, il faut à nouveau les définir en insistant
davantage sur leurs capacités réelles. Les géomètres, les topographes ou les photogrammètres
utilisent largement ces outils. Mais quelle est la place du géographe dans la connaissance et
l’utilisation de ces nombreux outils ? Est-il préparé aux nouvelles orientations qui émergent
actuellement ?
IGN P021
HERVIER (Y.)
Cartographie et réalité virtuelle
Paris, IGN, 1995.- 40 p., bibliogr. (mémoire de DEA SIG ; stage effectué au Centre d’infographie de
l’Université de Marne-la-Vallée)
211
Ce rapport réalise un état de l’art sur les domaines croisés de la réalité virtuelle et de la cartographie et
présente une ébauche de ce que pourrait être un restituteur cartographique assisté par réalité virtuelle.
IGN 63463
JOLY (F.)
La cartographie
Paris, PUF, 1994.- 126 p., bibliogr., 12 x 18 cm ; ISBN : 2-13-039113-3 (coll. Que sais-je ? n° 937)
IGN 55901
in Futures (Royaume-Uni), vol. 29, n° 4-5, mai-juin 1997.- pp.277-465, tabl., phot., cartes, ill., bibliogr.
Recueil d'articles de prospective géographique et de prospective sur l'évolution de la géographie. Les
deux premiers textes présentent, selon une approche géographique et géopolitique, une analyse
prospective des évolutions technologiques et des mutations socio-économiques mondiales. Les
articles suivants se consacrent à des questions plus spécifiques : l'évolution des modeles urbains face
à l'émergence de la ville post-industrielle ; les limites de l'analyse spatiale et son évolution, à travers
les systèmes d'information géographique ; la "géographie virtuelle" ou l'analyse géographique
appliquée au cyberespace ; les théories de l'auto-organisation des villes ; les perspectives futures dans
le domaine de la modélisation de la population globale ; l'apport des nouvelles approches en
géographie et des nouvelles technologies de l'information (Internet et systèmes d'information
géographique) à la modélisation de l'espace global ; les solutions futures pour l'approvisionnement
alimentaire des villes chinoises ; les infrastructures et le développement économique de la Chine au
XXIe siècle.
CDU
ROBIN (M.)
La télédétection. Des satellites aux systèmes d'information géographiques
Paris, Nathan, 1995.- 318 p., 20 X 15 cm, glossaire, bibliogr. ; ISBN : 2-09-190293-4 (coll. Fac
géographie)
IGN 64611
MIELLET (Philippe)
SIG et territoires : information, analyse et aménagement
Thèse de doctorat en géographie, Université d’Avignon, 1994
Pourquoi et comment les SIG peuvent améliorer le traitement de l’information spatiale. La première
partie dresse un état de l’art en mettant l’accent sur les étapes historiques les plus significatives, en
considérant les SIG sous l’angle d’un processus en diffusion. Cette démarche est proposée pour
quatre pays : les Etats-Unis, le Canada, le Royaume-Uni et la France. Elle permet de comprendre les
modifications en terme de méthodes et de moyens d’analyse. La seconde partie cherche, à partir des
caractéristiques de l’information numérique et des moyens nouveaux de son traitement, à comprendre
la logique d’analyse de l’espace dans les SIG en explorant les rapports ambigus qu’elle entretient avec
des ensembles méthodologiques déjà constitués et validés comme l’analyse spatiale quantitative. Par
l’énoncé des particularités majeures des SIG et notamment les principes de modélisation et de
structuration de l’information, ainsi que les fonctionnalités nouvelles qui leur sont associées, on montre
l’intérêt mais aussi les limites de leur utilisation comme outil d’analyse. La troisième partie replace les
SIG dans leur dimension d’outil opérationnel. Elle les confronte à leur utilisation comme support de
l’aménagement du territoire et aux collectivités locales, groupe d’utilisateurs en progression et dont
l’implication est primordiale.
213
IGN 67004
NASCIMENTO (Iuli)
INSTITUT D'AMENAGEMENT ET D'URBANISME DE LA REGION D'ILE-DE-FRANCE (IAURIF) ;
CONSEIL REGIONAL D'ILE-DE-FRANCE ; RIO-DE-JANEIRO (ESTADO)
Rio de Janeiro, l'imagerie satellitaire : un outil prospectif pour l'aménagement urbain et rural
(rapport de synthèse 1989/1992)
Paris, IAURIF, 1992.- 19 p., phot., cartes, bibliogr. (pour le compte du Conseil régional d'Ile-de-France
et du gouvernement de l'Etat de Rio de Janeiro)
Un des aspects fondamentaux de la planification urbaine et régionale est la collecte, l'exploitation et
l'organisation des données tant physiques que socio-économiques. L'accord de coopération technique
entre le gouvernement de l'Etat de Rio et la Région d'Ile-de-France, a abouti à la mise au point d'une
série de méthodes de production de données à l'aide de la télédétection satellitaire.
IA 32440 ; CA C7300 ; DRE T.1906
APPROPRIATION DE L’OUTIL
ROCHE (Stéphane)
Information géographique pour l’aménagement
Thèse de doctorat en géographie, Université d’Angers, 1997
Cette thèse s’est fixée pour objectif de mieux comprendre les processus d’appropriation sociale des
technologies de l’information géographique par les acteurs de l’aménagement et leurs implications
sociales et spatiales, mais aussi le rôle du contexte culturel, organisationnel et spatial dans ces
phénomènes d’appropriation. La méthodologie de recherche s’organise autour de quatre études de
cas exploratoires comparatives sur deux villes françaises (Nantes et Mayenne) et deux villes
québécoises (Québec et Charny). Il existe des relations très étroites entre les perceptions des
différents acteurs et leur niveau d’utilisation de ces outils. Les SIG sont ainsi de véritables
constructions sociales, reflet de pratiques spatiales ancrées dans leur contexte de développement.
Université d’Angers
ROCHE (Stéphane)
Les SIG : un regard nouveau sur l'espace et sa gestion. Etudes de cas en France et au Québec
in L’Espace géographique n° 1, mars 1997.- pp.60-66, bibliogr.
Les problèmes liés à l'appropriation sociale des SIG au sein des collectivités locales ainsi qu'à leur
insertion dans les rouages des dynamiques spatiales suscitent, aujourd'hui, un certain nombre de
questions sur leur rôle dans la gestion territoriale. La position de thèse présentée ici s'inscrit dans une
démarche de recherche exploratoire fondée sur des études de cas en France et au Québec. Elle a
pour principal objectif, non seulement de montrer en quoi l'analyse de ce phénomène représente un
champ d'investigation tout à fait intéressant et riche pour les géographes, mais également de préciser
combien l'approche géographique peut contribuer à éclairer ce phénomène.
CDU ; IGN P051
orientations, au plan des problématiques et des méthodes des géographes aixois : la croissance péri-
urbaine revisitée à travers ses processus, ses acteurs, ses documents fonciers, la géographie du
tourisme, celle des réseaux, la géomorphologie dynamique du littoral et de l'environnement, la
climatologie appliquée à différentes échelles, enfin l'emploi plus ou moins généralisé des méthodes du
traitement de l'information géographique assisté par ordinateur.
CDU
FOURNILLIER J.-M.
Système urbain de références : utopies et réalités
in Génie urbain n° 397, mai 1993.- pp.20-25, ill.
Après trois années de réflexion initiale et cinq années de réalisation, où en est le système
d’information urbain (SUR) du Grand Lyon ? Quelles sont les réalisations, les difficultés rencontrées,
les actions prévues et les orientations du projet ? Que reste-t-il des concepts de départ ? Le pari du
système d’information est-il gagné ?
CDU
IRRUPTION DU MULTIMEDIA
BILL (Ralf)
Multimedia-GIS : concepts and applications
in GIS. Geo-Informations-Systeme (Allemagne), vol. 11, n° 2, avril 1998.- pp.21-24, bibliogr. ; en
anglais
The term multimedia is on everybody’s lips. In context of GIS, multimedia may be seen as a concept
including the technical as well as the application oriented dimension of media integration. The use of
different media - from text to sound, maps to video supporting decision making, learning, presentation,
communication and so on - has considerable potential applications for multimedia geographic
information. This paper identifies the requirements for multimedia-GIS with respect to hardware,
software and functionality and investigates applications related to spatial information systems.
IGN P058
CARTWRIGHT (W.)
ACI ; UNIVERSITE DE MELBOURNE
Multimédia interactifs et nouveaux produits de cartographie
in Bulletin du CFC n° 151-152, 1997.- pp.10-21, bibliogr. (en anglais)
Les cartes électroniques conventionnelles étaient capables de représenter l'information spatiale d'une
manière effective, mais il leur manquait l'aptitude à aller "au-delà" de la carte et à montrer davantage
de renseignements à propos des choses représentées, des données associées aux objets de cartes
ou toutes autres données. Cet article donne une vue d'ensemble sur les méthodes qui ont été utilisés
pour produire des cartes interactives.
IGN
MAZUREK (H.)
215
Les systèmes d'informations multimédia comme outils de mise en valeur des données socio-
économiques. La dimension géographique dans les applications multimédia
MARI EUROPE '95.- pp.239-245
Présentation de systèmes de valorisation et d'intégration des informations géocodées, en amont des
SIG. Ces systèmes d'information multimédia ont quatre objectifs : effectuer des liaisons dynamiques
entre des informations de toutes natures ; rendre l'information disponible rapidement sous une forme
compréhensible et fournir des outils d'aide pour son traitement ; permettre des recherches
transversales (entre thèmes) ou verticales (entre échelles géographiques) ; organiser l'information
dans le but de créer un outil qui soit à la fois une base de référence professionnelle et un outil de
formation.
IGN 64462
ZUILI (R.)
Du concept à la pratique : quelles rencontres possibles avec les SIG ? [La dimension
géographique dans les applications multimédia]
MARI Europe '95.- pp.227-233
Appliqué aux SIG, le multimédia peut, d'ores et déjà, représenter un intérêt certain, notamment en
matière de visualisation des informations géographiques et d'interactivité. L'intégration de ces
fonctionnalités issues du multimédia peuvent permettre de valoriser la dimension d'analyse spatiale,
de gestion et d'aide à la décision des outils SIG. Le multimédia peut être pour les SIG le moyen de
diffuser une image plus accessible vers le grand public et permettre l'ouverture vers de nouveaux
marchés.
IGN 64462
UNIVERSITE D’ORLEANS
Atlas régionaux et systèmes d’information géographique multimédias, rôle et importance de la
technologie
in Bulletin du Comité français de cartographie n° 136-137, juin-sept. 1993.- pp.158-162
Depuis toujours, les atlas régionaux sont réalisés sur un support traditionnel, le papier. Depuis l’arrivée
de l’ordinateur, on voit se développer de nouveaux atlas sur un support numérique. Ces nouvelles
techniques vont-elles modifier la réalisation, la conception et la diffusion des atlas régionaux ? Les
nouveaux outils que sont les systèmes d’information géographique (SIG) vont-ils pouvoir répondre aux
nouveaux besoins des utilisateurs ? Ne s’oriente-t-on pas aussi vers de nouveaux outils, vers d’autres
systèmes beaucoup plus évolués comme la technologie « multimédia » ? L’atlas régional se
transformera alors en outil opérationnel où l’utilisateur pourra avoir accès à la base de données, au
logiciel lui-même, pour consulter ou créer toutes les cartes qui lui sont nécessaires. Les SIG associés
à la technologie « multimédia » modifient profondément la conception actuelle de l’atlas régional. Ils
permettent d’accéder, non plus à une image figée, mais à un outil opérationnel de travail et de
décision.
IGN P021
LEMONIER (Marc)
SIG + Internet, l’intrument du futur ?
in Diagonal n° 133, sept.-oct. 1998.- pp. 26-27
L’usage des systèmes d’information géographique et celui d’Internet ont connu ces dernières années
un développement parallèle parmi les professionnels de l’urbanisme, de l’aménagement et du génie
urbain. Les progrès dans le domaine de l’informatique sont si fulgurants qu’il semble naturel
aujourd’hui d’espérer un développement parallèle parmi les professionnels de l’urbanisme, de
l’aménagement ou du génie urbain.
CDU ; IGN
BERNARD (Michel)
SIAGE CONSEIL
Internet et la géomatique
in XYZ n° 71, 1997.- pp.60-62 ; ISSN : 0290-9057
En introduisant un nouveau composant dans le paysage informatique, Internet a initialisé une véritable
révolution dans la façon de penser le développement des systèmes d’information. Sans prétendre faire
l’inventaire des capacités de ce nouvel outil, quelques-unes des possibilités sont présentées ici, sans
pouvoir prédire le futur.
IGN P112
217
ECKERT (Denis)
Les sites Web des laboratoires français de géographie
in Mappemonde, vol. 4, 1997.- pp.43-46
Inventaire des sites français avec description sommaire de l’information présentée, en vue d’une
évaluation. Projet d’extension de cette inventaire aux sites francophones.
CDU
IRELAND (Peter)
Plugging in to cyberspace
in GIS Europe (Royaume-Uni), vol. 6, n° 8, août 1997.- pp.22-24
Geoprocessing over both the Internet and corporate intranets is fast becoming a viable proposition,
thanks to new map server tools and browser plug-ins. The item presents the industry’s latest offerings.
IGN P066
MAKINEN (K.)
Les cartes de Finlande mises à disposition sur un site Web
in Géomètre n° 8-9, août-sept. 1997.- pp.42-43
Le National land survey finlandais délivre gratuitement ses cartes topographiques sur Internet. MAP
SITE, déjà visité un million de fois, propose également un service dit "professionnel".
IGN P063
PRELAZ-DROUX (R.)
ASIT-VD : une nouvelle approche de la gestion du territoire
in SIA. Ingénieurs et architectes suisses (Suisse) n° 3, janv. 1997.- pp.26-30, fig.
L'ASIT-VD (Association pour le système d'information du territoire vaudois) a mis au point un serveur,
dans un contexte de partenariat entre secteur public et secteur privé. Ce serveur, accessible
notamment sur Internet, fournit les données cadastrales ainsi que diverses données géographiques.
Son fonctionnement est décrit : interface d'accès, système de représentation des données, tarification.
CDU
GOLDFINGER (Charles)
GEF
De l’économie de l’information vers l’économie de l’immatériel
MARI Europe 96, « Les Géoconférences », 2 au 4 avril 1996.- pp.143-150 ; en anglais
L’économie de l’information est une économie de l’immatériel : la valeur essentielle ne réside pas dans
le support physique mais dans le contenu. Les flux essentiels ne sont plus ceux des biens physiques
mais des images, des symboles et des données. On peut appréhender l’économie de l’immatériel
sous trois dimensions : la demande (les artefacts immatériels constituent les objets premiers de la
consommation), l’offre (les actifs intangibles sont les vecteurs déterminants de l’avantage concurrentiel
de l’entreprise) et le marché (la logique de l’avantage de la dématérialisation régit les relations entre
agents économiques). La nouvelle économie fonctionne selon des règles différentes. Le cyberespace
de l’Internet est l’espace-temps de l’économie de l’immatériel. Dans cet espace, les notions
traditionnelles de proximité et d’éloignement, de l’intérieur et de l’extérieur s’atténuent. Toutefois, le
cyberespace n’est pas homogène, il est infiniment différencié et individualisé.
IGN 67022
Informatique et télécommunication
in Journal des communes n° 10, nov. 1996.- pp.447-483, tabl., phot.
En matière d'informatique, on assiste à la généralisation progressive des services d'informatique dans
les communes de plus de 30.000 habitants mais aussi dans celles de 5.000 à 30.000. En matière de
télécommunications, les services dédiés aux télécommunications restent rares et ne concernent que
les villes de plus de 100.000 habitants et les départements. Les serveurs télématiques minitel ou
vocaux mis en place par les collectivités locales, les bornes interactives, les CD-ROM et Internet
permettent d'améliorer la gestion interne des collectivités locales, de fournir des services et d'animer la
vie locale. Les implications des télécommunications pour les collectivités locales sont à la fois
économiques, sociales et culturelles et concernent l'aménagement du territoire, l'accès au savoir, la
santé et l'emploi. La télégestion est très utilisée dans les villes de plus de 100.000 habitants dans les
domaines de l'énergie, de l'environnement et des déplacements. L'informatisation des données
géographiques est un axe important de développement en Europe : dans ce cadre, le MELTT et l'IGN
ont conclu un protocole de coopération en matière d'information géographique, le ministère adoptant le
référentiel géographique à moyenne échelle BDCARTO de l'IGN. Les différentes normes et leur
contenu en matière d'informatique et de collectivités locales sont exposées.
CDU
GRELOT (J.-P.)
INSTITUT GEOGRAPHIQUE NATIONAL (IGN) ; ACI
La cartographie à l’ère des systèmes d’information géographique
in Bulletin du Comité français de cartographie n° 153, sept. 1997.- pp.54-59
A la fin des années 1980, les informaticiens, qui s’étaient trouvés à l’avant-garde des développements
de la cartographie, ont perdu leur position sous l’effet de la démocratisation de l’informatique. Il en
résulte un retour des entreprises de cartographie au coeur de leur savoir-faire professionnel : ce sont
maintenant les cartographes qui ont à développer leur champ professionnel en utilisant toutes les
ressources fournies par les nouvelles techniques informatiques. Si les cartographes veulent continuer
à jouer un rôle majeur dans le domaine de l’information géographique, ils doivent définir et développer
219
les éléments spécifiques de leur discipline, car la technique mobilise toutes les forces au détriment de
la théorie, alors la discipline s’affaiblit et finit par être engloutie par un autre champ disciplinaire.
IGN P021
LEMONIER (M.)
Les urbanistes dans le cyberspace
in Diagonal n° 127, oct. 1997.- pp.36-37
Les expressions abondent pour décrire la révolution technique que nous sommes en train de vivre
(multimédia, cyberculture, autoroute de l’information, réalité virtuelle, ...). L’urbaniste risque de voir lui
aussi ses pratiques modifiées par ces nouveaux instruments. Divers exemples sont cités.
IGN P042
PETIT (C.)
Ingénierie SIG à espace naturel régional : les raisons d'une organisation à la fois centrale et
locale
ESRI '97.- pp.15-26
Dès 1993, Espace naturel régional, organisme associé au Conseil régional, a investi la thématique SIG
en contribuant à la mise en place et au développement de SIGALE. La conviction des niveaux de
décision s'est avérée déterminante pour mener à bien cette mission et seul son soutien sur la durée
peut permettre l'émergence d'un nouveau métier pérennisé, reconnu et désormais intégré parmi les
autres savoir-faire dévolus aux organismes gestionnaires de territoires tels que les parcs naturels
régionaux.
IGN 66963
ZANINI (Marc)
Geographische Daten in Lehre und Forschung. [Les données géographiques dans la formation
et la recherche]
in SIA. Schweizer ingenieur und architekt (Suisse), nr.29, 113, 1995.- S.4-6 ; abb., lit. ; ISSN : 0251-
0960
Geographische Informations syteme (GIS) haben in den letzten Jahren das Berufsbild verschiedenster
Fachbereiche stark veraendert. In immer schnellerer Folge dringen neue Technologien in die
Arbeitswelt ein. Darueber hinaus verlangt der Umgang mit GIS ein hohes Mass an
fachuebergreifenden Kenntnissen und Faehigkeiten aus den geowissenschaftlichen Bereichen. Lehre
und Forschung spielen in diesem Zusammenhang eine wichtige Rolle, da sie einen umfassenden
Kenntnisstand im GIS-Umfeld vermitteln. Im Beitrag sollen einige grundlegende Gedanken ueber
Lehre und Forschung, ueber benutzte Datenformen und ueber aktuelle Probleme vorgestellt werden.
220
ORLIS IRB: Z 11
JUHL (Ginger)
Getting on the GIS career track
in Planning (USA) vol. 60, n° 7, juill. 1994.- pp.8-11, phot.
Les urbanistes interrogés, spécialistes des systèmes d'information géographique (SIG), pensent que la
technologie n'est pas tout. Les avantages du SIG sont importants, mais cela doit rester un outil.
IA P.308
KAINZ (Wolfgang)
Geo-Informationssysteme fuer Raumplaner. [Les SIG pour l’aménageur]
Innovative EDV-Technologie in Architektur und Raumplanung. HRSG.: Inst.f.Stadt-u.Regionalplanung
d.TU., Wien, 1994.- S.69-78 ; Abb., Lit. (Wiener Beitraege zur Regionalwissenschaft ; 16)
ORLIS SEBI: 95/1037
PETSCHEK (Peter)
Landschaftsarchitekt als Informationsmanager. [L’architecte du paysage, un gestionnaire
d’information]
in Bulletin technique de la Suisse romande (Suisse), nr.3, 1993.- S.211-212 ; abb. ; ISSN : 0007-5744
Der Artikel stellt CAD, GIS und digitale Bildverarbeitungstechniken fuer den Einsatz in der
Landschaftsarchitektur vor. Staerken und Schwaechen der neuen Techniken werden diskutiert.
ORLIS IRB: Z 493
expériences réussies. Les changements dans les procédures et les organisations paraissent les points
les plus importants.
IGN 60410 ou P063
PORNON (Henri)
IETI CONSULTANTS
SIG dans les villes : la querelle des topographes et des urbanistes
in XYZ n° 53, 1992.- pp.43-44 ; ISSN : 0290-9057
La confrontation entre topographes et urbanistes mérite d’être analysée, car elle constitue un frein non
négligeable à la mise en oeuvre des SIG dans les collectivités.
IGN P112
RHIND (David)
The next generation of geographical information systems and the context in wich they will
operate
in Computers environment and urban systems (USA), vol. 16, n° 3, mai-juin 1992.- pp.261-268
Changements probables et souhaitables en matière de systèmes d'information géographique dans les
cinq prochaines années, et analyse des caractéristiques de ces systèmes qui peuvent être considérés
comme une science et donc être inséparables de la recherche.
EPC
ALGRAIN (Philippe)
Producteur d’information géographique numérique : nouveau métier
in Géomètre n° 11, nov. 1991.- pp.65-66
Un nouveau secteur d’activité est en pleine éclosion : l’ingénierie géographique. L’acte de mise à jour
des données est essentiel et nécessite une culture géomatique. Les géomètres-experts sont bien
prédisposés à assurer ces tâches.
IGN P063
PORNON (Henri)
Systèmes d’information géographique, pouvoir et organisations : géomatique et stratégies
d’acteurs
Paris, L’Harmattan, 1998.- 255 p., bibliogr.
L’auteur, consultant spécialiste des SIG depuis 1987, aborde les conflits de pouvoir que suscite
l’introduction des SIG dans les organisations, en étudiant une dizaine de projets au regard des
concepts de la sociologie des organisations et des concepts systémiques du nouveau management.
Tout informaticien ou géomaticien peut trouver, dans cet ouvrage, de quoi alimenter sa réflexion sur
l’utilité de l’informatique, la conduite de projet, la transformation des organisations à l’aide des
nouvelles technologies ou la légitimité de ses interventions.
IGN 68251 ; CDU 36712
DAVAINE (J.-J.)
INSTITUT LORRAIN DE GENIE URBAIN
Des bases de données urbaines au système d’information à référence spatiale : bilan de 10
années d’expérience sur l’agglomération de Nancy
MARI Europe 97, 1-3 avril 1997.- 6 p.
La ville de Nancy a bénéficié d’un fonds de plan au 1:200e pour lancer son projet de base de données
urbaines. Progressivement, la BDU a évolué vers le SIG, à cause et malgré des difficultés de matériels
et de logiciels. En 1994, l’architecture du système a été revue. Le passage de la ville au district urbain
puis à la Communauté urbaine a ouvert de nouvelles perspectives. La formation du personnel révèle
une difficulté de fond qui peut limiter le développement du SIG. Au-delà de la faisabilité technique, les
utilisateurs demandent encore davantage de convivialité et un accès simple à l’information.
IGN 67023
ESRI FRANCE
222
ESRI FRANCE
Meudon : quand le cadastre devient le lien entre les services
in ESRI Info (France) n° 11, avril 1997.- pp.7
Meudon met en place un SIG sans créer de service spécifique. Le logiciel se fond dans la bureautique
quotidienne des services et le fonds cadastral sert de base de repérage aux informations déjà
disponibles dans les services, des outils de gestion non graphiques existant déjà.
IGN P230
LESENS (J.-M.)
La documentation en ligne du SIG régional d'Ile-de-France
ESRI '97.- pp.93-105
L'existence d'un dictionnaire de données complet, régulièrement mis à jour et accessible à l'ensemble
des utilisateurs est un élément important du bon fonctionnement d'un SIG multi-utilisateurs. Ici, ont été
définies et réalisées deux formes complémentaires de documentation : un classeur décrivant les
thèmes d'information ainsi qu'un dictionnaire de données en ligne sur les stations de travail du SIG.
Reprenant les fiches du classeur, il y ajoute une visualisation de chaque thème par une vue
ARC/VIEW.
IGN 66963
LEVETT (G.)
Vision of versatility
in Surveyor, 183(5377), 29 feb. 1996.- pp.14,17-18
Discusses local authority uses of geographic information systems (GIS) for services such as town
planning, estate management, grounds maintenance, and property ownership, and the problems which
can arise if its implementation is not developed in a coordinated and integrated way, to serve genuine
business needs. Concludes that the versatility of GIS can lead departments into trying to incorporate
information which has no business significance, and local authorities need to have a properly
formulated strategy for providing information and services to take full advantage of the benefits of GIS.
ACOMPLINE Localisation 032457
CARON (Claude)
Cadre descriptif des projets d’implantation de technologies géomatiques dans les
organisations
Québec, CRG - Université de Laval, 1996.- thèse de doctorat
http ://www.bibl.ulaval.ca
COUDERCY (L.)
La réussite de la mise en place d'un SIG passe par une réflexion de projet
in Signature n° 2, juin 1995.- pp.12-14
223
Un SIG ne peut se concevoir que comme le projet du service et nécessite un minimum de réflexions
dès l’étude préalable. L’étude d’opportunité et l’établissement de scenari réalistes sont indispensables
avant d’adopter un projet.
IGN P245
DELAVIGNE (R.)
Exemple d'utilisation de données : la prise en compte de l'environnement dans le SIGR d'Ile-de-
France. in : Equipement et données pour les SIG
MARI Europe '95.- pp.89-94
Un gros effort de collecte des données de l’environnement s’est poursuivi pendant qu’une carte fine de
l’occupation du sol était élaborée. Ces travaux ont convergé dans un SIG régional cohérent à partir de
1992. Chaque division est responsable de ses couches thématiques et une cellule centrale assure la
cohérence de l’ensemble. Cette organisation permet ainsi de remplir plusieurs fonctions : traitement
des données, création de données nouvelles, support technique d’observatoires spécialisés, outil de
gestion des services administratifs régionaux.
IGN 64462
FOURNILLIER (J.-M.)
Ressources humaines et formation pour la mise en oeuvre et le développement d'un SIG. in :
Les paramètres du succès d'un SIG
MARI Europe '95.- pp.53-60
Le Système urbain de références (SIG du Grand Lyon), après dix ans de développement, propose
aujourd’hui plus de vingt applications opérationnelles et des données saisies et mises à jour dans
presque tous les domaines de la gestion urbaine. Cette réussite est le résultat d’une forte mobilisation
des ressources humaines, d’un investissement formation important et adapté et d’une évolution de
l’organisation au fur et à mesure du déroulement du projet.
IGN 64462
GAUBERT (J.)
Définition des besoins et conduite d'un projet. in : Les paramètres du succès d'un SIG
MARI Europe '95.- pp.47-52
Pour monter un projet SIG, il faut en premier lieu identifier tous les partenaires qui peuvent y participer,
puis examiner les besoins qu'ils expriment : besoins verticaux leur permettant d'assurer leur mission
principale et besoins transversaux de communication. Dorénavant, le SIG ne doit plus être considéré
comme un outil à part, mais comme une composante du Système général d'information. Le projet doit
être piloté par une entité responsable chargée d'étudier les besoins, de choisir une solution compatible
avec les possibilités économiques et les délais de réalisation acceptables. Ce projet doit faire ensuite
l'objet d'évaluations régulières pour qu'on puisse s'assurer de la bonne adéquation entre son
développement réel et les prévisions.
IGN 64462
PORNON (H.)
Les pièges à éviter dans la mise en oeuvre d’un système d’information géographique. in :
Télédétection et systèmes d’information urbains
Paris, Anthropos, 1995.- pp.73-87 (Villes)
L’auteur aborde la démarche de mise en oeuvre d’un SIG sous les aspects techniques, économiques,
humains et organisationnels, stratégiques et méthodologiques.
IGN 64186
ROUET (P.)
Choix techniques : matériels et logiciels. in : Equipement et données pour les SIG
MARI Europe '95.- pp.71-80
L'initiative du développement dans les organisations relève souvent de techniciens ou d'instances
fonctionnelles de statut technique sans que les implications organisationnelles de leurs choix soient
toujours clairement perçues à l'avance. De fait, les choix techniques sont souvent les premiers, voire
les seuls dans le cadre du développement d'un projet de SIG. Or, il est nécessaire de déterminer
d'abord le contexte dans lequel prendra place le projet. Le SIG constitue vite un enjeu pour de
nombreux acteurs de l'organisation et pour l'organisation entière. Il est donc préférable de n'engager
les choix techniques qu'après avoir clairement défini les objectifs réels du projet, les services impliqués
224
et les hommes concernés. Ces bases fixées, les choix techniques peuvent être faits de façon plus
pertinente.
IGN 64462
STEIDLER (Franz)
Erfahrungen bei der Einführung von Geografischen Informationsystemen in komplexen
Organisationen. [Lessons learnt from the introduction of GIS in complex organizations]]
[Expérience lors de l’introduction d’un SIG dans des organisations complexes]
in GIS. Geo-Informations-Systeme (Allemagne), vol. 7, n° 6, déc. 1994.- pp.2-7, bibliogr. ; en
allemand ; résumé en anglais ; ISSN : 0935-1523
Erfahrungen bei der Einfuehrung von Geografischen Informationssystemen beziehen sich auf
technische und organisatorische Aspekte. Auf der technischen Seite stehen integrierteAnsaetze
betreffend Datenhaltung und Standards im Vordergrund. Langfristige Datenhaltung,
fachuebergreifende Anwendungen und Analysemoeglichkeiten sind fuer die Entscheidungstraeger die
wichtigsten Kriterien. Auf der organisatorischen Seite gewinnt die Rolle und Qualifikation der beteiligten
Mitarbeiter zunehmend an Bedeutung. Im folgenden wird der Entwicklungsstand der GIS aus
Anwendersicht in Hinsicht auf die langfristige Haltung der Daten und die Analysemoeglichkeiten
betrachtet. Auf den Einfluss organisatorischer Veraenderungen und Innovationen sowie auf die Rolle
und Qualifizierung der Mitarbeiter, die das Projekt mittragen, wird naeher eingegangen. Es werden
Fragen zur rueckblickenden wirtschaftlichen Projektbeurteilung diskutiert. [Experiences gained during
the introduction of GIS are related to technical and organizational aspects. The most important
technical requirements involve data access and standards. Longterm preservation of data, corporate
applications and analyses are the most important criteria for decision makers. This paper describes the
state of the art of GIS as seen from a user perspective in terms of the potential of data for longterm
studies and analyses. The influence of organizational changes and innovations and the role and
qualification of the personnel engaged in the project, are discussed as well as questions of
retrospective economic reviews.]
IGN P058 ; ORLIS IRB: Z 1758
CHATAIN (M.)
La mise en oeuvre d’un SIG appliqué aux problèmes d’aménagement : réflexions sur
l’organisation du travail
MARI 93 : « L’information géographique numérique », exposition et conférences, CNIT, Paris-La
Défense, 7 au 9 avril 1993.- pp.74-78
Il y a cinq ans, l’utilisation des SIG a été envisagée, au CETE de Lyon, pour réaliser les études
d’environnement intégrées aux études de projets autoroutiers. A l’origine, les équipes du Groupe
Environnement avaient le souci d’améliorer la démarche traditionnelle tant du point de vue de la qualité
que de la rapidité d’obtention des résultats. Cette recherche pour l’amélioration des outils a amené une
interrogation sur les logiciels les plus adaptés aux méthodes de travail et sur les métiers et la
répartition des tâches. Puis, la maîtrise du logiciel a débouché sur une réflexion méthodologique
225
concernant le déroulement des études et les critères d’évaluation des projets aux différentes étapes de
décision. La facilité d’édition de l’information géographique, fournie par les SIG, amène aussi une
réflexion sur les objectifs de communication permis par ce genre d’outil dans un contexte où la
nécessité de communiquer devient forte. Ces quatre étapes sur les outils, les métiers, la méthodologie
des études et l’utilisation des données traitées font l’objet de l’exposé. L’expérience acquise sur les
SIG par le CETE intéresse les Directions départementales de l’équipement qui s’interrogent sur les
implications des SIG dans l’organisation de leurs services.
IGN 63781 ; CDU 27751(1-2)
ECOBICHON (Claude)
Information géographique : vers l'âge de raison ?
in Diagonal n° 95-96, mai-juill. 1992.- pp.73-77, plan, phot.
Cet article fait le point sur les bases de données concernant les systèmes d'information géographique
(SIG). Il insiste sur la nécessaire coordination des différents intervenants et des utilisateurs.
CDU ; IGN P042
LATERRASSE (Jean)
ECOLE NATIONALE DES PONTS ET CHAUSSÉES (ENPC) ; LABORATOIRE TECHNIQUES
TERRITOIRES SOCIÉTÉS (LATTS) ; MINISTÈRE DE L’URBANISME, DU LOGEMENT ET DES
TRANSPORTS (MULT) ; PLAN URBAIN
Informatisation des réseaux urbains : choix technologiques, enjeux sociaux et
organisationnels
Paris, LATTS, déc. 1992.- 89 p., bibliogr.
Recherche sur l'impact des nouvelles technologies sur la gestion des réseaux et des services urbains.
Etude des interactions entre nouvelles technologies, pratiques sociales et évolution des organisations.
Présentation des analyses monographiques, (le cas du métro parisien, le réseau d'assainissement de
la Seine-Saint-Denis) ; des études ''cliniques'' sur des évènements précis, (la mise en oeuvre d'un
système de gestion automatisé et ses limites, le pilotage d'un grand projet technologique) ; ainsi que
des synthèses portant sur des domaines particuliers (l'informatisation des services de facturation aux
usagers, l'usage des SIG, etc.).
CDU 28325
Geographical information ’97, Joint European conference and exhibition on geographical information :
from research to application through cooperation ; Vienne, Autriche, 16-18 avril 1997. Proceedings, vol.
1.- pp.566-574, bibliogr.
Visualisation of the complex spatial and temporal relationships characteristic of environmental analysis
remains a serious problem in GIS because difficulties are experienced in mapping true 3D data, in
handling time, and with the display of multiple parameters to explore correlations. This paper describes
how this situation can be improved by combining a GIS with a specialised visualisation system capable
of providing interactive 3D displays for manipulating volume (voxel) models. Hence, time can be
treated as independent of spatial data rather than just another attribute, which enables the
development of spatiotemporal isosurfaces and the extension of data exploration techniques into 4D
via animation. This approach also allows us to handle and display multiple parameters more effectively
meaning that information can be communicated in a more powerful manner. These advantages are
illustrated by analysis of climatological data-sets and the monitoring of air pollution parameters. The
techniques described are likely to become much more accessible in future with the advent of dynamic
and collaborative visualisation on the Internet.
IGN 66170
SERRA (P.)
UNIVERSITE DE BARCELONE - ESPAGNE
Urban land use data spatio-temporal modelling
Geographical information ’97, Joint European Conference and exhibition on geographical information :
from research to application through cooperation ; Vienne, Autriche, 16-18 avril 1997. Proceedings, vol.
1.- pp.779-789
The original data consist on four snapshots of land use categories of the metropolitan area of
Pamplona, the capital of the Navarre region, in the north of Spain. Pamplona is a middle-size town
which has experienced a remarkable growth since the 1950s. Every land use map corresponds to four
significant dates, say 1956, 1969, 1984 and 1993. Eighteen land use categories were digitized at the
scale of 1:10000. In this paper, we have selected four of these land use types to try to ascertain the
spatio-temporal patterns of the recent evolution in this area, high rise residential, low rise residential
facilities and industrial uses, such as educational, religious, government, sports and so forth. The 2D
static land use maps were already presented somewhere else(*). Therefore, the purpose of this paper
is to analize the spatio-temporal categorical data through visualization and exploration. (*) cfr SERRA,
Pau ; «From thematic cartography to spatio-temporal composites using GIS», 17th International
cartographic conference proceedings. Barcelona, september, 1995.
IGN 66170
227
LANGRAN (Gail)
INTERGRAPH ; UNIVERSITY OF WASHINGTON
Time in Geographic Information Systems
Londres, Taylor & Francis, 1992.- 190 p.
In the developing field of geographic information systems, there is a compelling need to describe
spatial change over time, in other words, to design a temporal GIS. The book examines the
conceptual, logical and physical design of such a capability. It provides a broad survey of research on
spatio-temporality, the philosophy of time, temporal databases and spatial data structuring. With a
comprehensive framework and a good collection of figures to aid the visualization of abstract concepts,
time and spatial data structuring is investigated in depth. Throughout, the literature concerning time in
information processing is reviewed and the discussions are expanded to cover implementation issues
as clustering, quality control, and volume control.
IGN 60343
TUFFERY (Christophe)
Les SIG dans les entreprises
Paris, Ed. Hermès, 1997.- 128 p.
Au sommaire : l’apparition et le développement des SIG dans les entreprises (lente apparition des
SIG ; de la DAO/CAO aux SIG ; une mise en place conditionnée ; exigences et problèmes de
méthodes) ; les acteurs des SIG dans le secteur dans le secteur (l’offre ; la demande ; le partenariat) ;
les domaines d’utilisation des SIG dans les entreprises (les SIG comme outils de gestion ; les SIG
comme outils d’étude ; conclusion ; bibliographie ; index).
CDU ; IGN
229
Technology
in Planning (USA), vol. 61, n° 7, juill. 1995.- pp.4-25, phot., ill.
L'importance des systèmes d'information géographique, un aperçu des points forts et des limites de
trois systèmes, la mise en oeuvre d'un SIG dans le Wisconsin par sept localités, la réalisation d'un SIG
accessible au public en Californie, l'utilisation de la simulation en matière environnementale et aussi de
la réalité virtuelle, le rôle de l'informatique pour la diffusion des informations et l'accès à celles-ci, sont
évoqués.
IA P.308
Dossier thématique
in Lettre d'information du réseau ADOC n° 5, mai 1991.- pag. div., tabl., fig.
Ce dossier thématique sur les systèmes d'information urbains rend compte de différents points de vue
: quelle évolution ont connu les SIG ces dernières années ? quelles sont les perspectives pour les
années 90 ? comment les demandes des utilisateurs évoluent avec leur propre maîtrise de l'outil ?
quelles conséquences sur le développement, l'évolution du système ?
CA RB224(91:5)
230
5
SOURCES DOCUMENTAIRES
DE L’INFORMATION GEOGRAPHIQUE
CERTU (Centre d’études sur les réseaux, les transports, l’urbanisme et les constructions
1
publiques)
Département technologies - Pôle Géomatique - 9, rue Juliette Récamier - 69456 Lyon cedex 06
tél. : +33 (0)4 72 74 59 72 - fax : +33 (0)4 72 74 59 70
mel : geomatiq@certu.fr - site : http://www.certu.fr
C’est le pôle national de compétence du Ministère de l’équipement sur l’information géographique. Son
site est développé autour de la géomatique (acteurs de la géomatique au MELT, activités du pôle
géomatique, lettre trimestrielle Signature, ...) : l’objectif est d’en faire un outil de travail pour la
communauté des utilisateurs d’information géographique.
1
ALOUCHE (Bernard), COUDERCEY (Laurent), CERTU : Systèmes d’information à référence spatiale. Lyon, CERTU,
s.d.- n.p. Définitions, techniques et activités du CERTU concernant les SIG. (TU CE12 3256)
232
INFO2000
Bureau central Info2000 - Commision européenne, DG XIII/E - 2920 Luxembourg - Luxembourg
tél. : +352 401162-222 - fax : +352 4301 32847
mel : info2000@echo.lu - site : http://www2.echo.lu/info2000/fr/infohome.html
Il présente la valorisation du contenu multimédia européen dont l’information géographique (GI2000).
2
WEICHEL (Bernhard C.) : The MEGRIN Project. International workshop « Current status and challenges of
geoinformation systems » IUSM working group on GIS/LIS, Hanovre, 25-28 sep. 1995.- pp.231-234. MEGRIN, the
Multipurpose european ground-related information network, represents a joint venture between the CERCO member states of
the European community (CERCO, Comité européen des responsables de la cartographie officielle). The MEGRIN project is
designed to simplify and ease the transfer of digital geographical data from the suppliers (i.e. National mapping agencies,
NMAs) to the customers within Europe. [IGN 64222]]
233
Documentation du Centre d’études sur les réseaux, les transports, l’urbanisme et les
constructions publiques (CERTU) et réseau des documentations des Centres d’études
techniques de l’équipement (CETE)
9, rue Juliette Récamier - 69456 Lyon cedex 06
tél. : +33 (0)4 72 74 58 98 - fax : +33 (0)4 72 74 59 80
site : http://www.certu.fr
DAVID (Benoît)
MINISTERE DE L’AMENAGEMENT DU TERRITOIRE ET DE L’ENVIRONNEMENT (MATE)
Principes de diffusion des données relatives à l’environnement. Guide pratique
Paris, MATE, juill. 1998.- 124 p. (version projet)
MATE
IETI Consultants
Observatoire géomatique
Mâcon, IETI, 1998.- mise à jour 1998
Ce document de petit format rassemble, par fiches succinctes, la description des logiciels, des
applicatifs et des bases de données pour le secteur privé.
IGN
234
TENSAOUTI (Larbi)
Les systèmes d'information géographique, un outil au service du développement local
1996.- 93 p., bibliogr., ann., cartes (mémoire de DEA en géographie et aménagement, dir. M.
Carmona, Université Paris IV-Sorbonne)
La présente étude intervient dans un contexte de forte évolution de l'utilisation des systèmes
d'information géographique (SIG) en France, elle se propose de répondre aux objectifs suivants :
comprendre le principe de fonctionnement d'un SIG dans ses aspects structuraux et fonctionnels,
définir un cadre méthodologique pour sa mise en place en exploitant les résultats des expériences des
pionniers dans ce domaine, enfin, réaliser un catalogue de tous les logiciels disponibles et actualisés
dans le domaine, notamment dans leur aspect cartographique.
CREP DA.9609
CREPEAU (Christian)
Dossier technique : les bases de données géographiques disponibles en France
in SIG et télédétection n° 15, nov. 1995.- pp.7-13, tabl., cartes
Au coeur des systèmes d'information géographique, les données, leur acquisition, leur adéquation au
besoin et leur intégration au système, constituent l'une des principales clefs du succès ou de l'échec
des projets d'application. Ce dossier technique vise à favoriser la connaissance et l'accès aux banques
de données géographiques.
CA RB251(95:15) ; CDU ; IGN P072
REFERENCES DE GLOSSAIRES
NEWTON (J.)
Dictionnaire bilingue de la topographie, de la géographie et de la géomatique français-anglais,
anglais-français
Toulouse, Newton, 1998.- 252 p. ; ISBN : 2-9512085-0-2, 1ère édition ; en français et en anglais
IGN 66994
IGN
BERGERON (M.)
Vocabulaire de la géomatique : terminologie technique et industrielle, vocabulaire anglais-
français
Québec, Les Publications du Québec, 1993.- 41 p. ; ISBN : 2-551-15623-8 ; en français et anglais
(coll. Cahiers de l'office de la langue française)
IGN 61569
PERIODIQUES CITES
Burisa (Royaume-Uni)
Cahier des sciences humaines (France)
Cahiers (les) du CREPIF (France)
Cahiers (les) du génie urbain (France)
Cahiers (les) nantais (France)
Carreteras (Espagne)
China city planning review (Chine)
Cities and regions (Royaume-Uni)
Ciudad y territorio. Estudios territoriales (Espagne)
Communes et régions de France (France)
Computers environment and urban systems (USA)
Courrier des statistiques (France)
Courrier du CNRS (France)
CRDI Explore (Canada)
Cuadernos de seccion Historia Geografia (Espagne)
Der Vermessungsingenieur (Allemagne)
Diagonal (France)
DST. Rassegna di studi e ricerche del diparmento di scienze del territorio (Italie)
Earth surface processes and landforms (Royaume-Uni)
Ecodécision (Québec, Canada)
Ecrans (France)
Environment and planning association (Royaume-Uni)
Environment and planning (Royaume-Uni)
Environnement et technique (France)
Equipement magazine (France)
Espace (l’) géographique (France)
Espaces pour demain (France)
ESRI info (France)
Estudios geograficos (Espagne)
Fldrajzi Ertesito (Hongrie)
Futures (Royaume-Uni)
Garten und Landschaft (Allemagne)
Gazette (la) des communes (France)
Gazette (la) du Palais (France)
Génie urbain. Aménagement et territoire (France)
Géo info (Québec, Canada)
Geocarto international (Hong Kong)
Geografie - Sbornik Ceske geograficke spolecnosti (République tchèque)
Geografski Glasnik (Croatie)
Geographica helvetica (Suisse)
Geographical analysis (Etats-Unis)
Géographies. Bulletin de l’Association des géographes français (France)
Geographische Rundschau (Allemagne)
Géomètre (France)
Geomorfologia (Russie)
GIS Europe (Royaume-Uni)
GIS Europe review (Pays-Bas)
GIS World (Etats-Unis)
GIS. Geo-Informations-Systeme (Allemagne)
Habitat international (Royaume-Uni)
Hérodote (France)
Housing studies (Royaume-Uni)
Hydro + (France)
IBC. Informazioni commenti e inchieste sui beni culturali (Italie)
IJGIS. The international journal of geographical information science (Royaume-Uni)
Il nuovo cantiere (Italie)
Information environnementale et information géographique (France)
Information géographique (France)
238
Telegraph (Royaume-Uni)
Tijdschrift voor Economische en Sociale Geografie (Pays-Bas)
Town planning review (Royaume-Uni)
TPE. Techniques & politiques d’équipement (France)
Traffic engineering and control (Royaume-Uni)
Transportation planning and technology (Royaume-Uni)
Transportation planning systems (Royaume-Uni)
Transports (France)
Urba réseau (France)
Urban geography (USA)
Urban studies (Royaume-Uni)
Urbana (Venezuela)
Urbanisme (France)
Vermessungswesen und Raumordn (Allemagne)
Villes en développement (France)
Wasser und Boden (Allemagne)
XYZ (France)
Les documents cités dans cet ouvrage peuvent être consultés dans les centres de documentation des
organismes suivants :
Cote Localisation
TU Centre d'études sur les réseaux, les transports, l'urbanisme et les constructions
publiques (CERTU)
9, rue Juliette Récamier - 69421 Lyon cedex 06
tél. : +33 (0)4 72 74 58 98 - fax : +33 (0)4 72 74 59 80
Banque Localisation
de données
Consorzio OIKOS
Servizio di documentazione ed informazione sull’abitare del Centro studi OIKOS
via Fossolo, 23 - 40139 Bologna BO - Italie
tél. : +39 (0)51 544309 - fax : +39 (0)51 492737
mel : oikos@fox.cib.unibo.it
QUASCO
Centro servizi per la qualificazione e lo sviluppo del costruire
della Regione Emilia Romagna - Servizio documentazione DOCET
Vicolo Carega, 3 - 40121 Bologna BO - Italie
tél. : +39 (0)51 224404 - fax +39 (0)51 264905
mel : quasco.cataldi@bo.nettuno.it - http ://www.build.it
Senatsbibliothek Berlin
Strasse des 17. Juni 110 - 10623 Berlin - Allemagne
tél. : + 49 (0)30 39987 300 - fax : +49 (0)30 39987 322
Ces banques de données bibliographiques sont accessibles sur le CD-ROM URBADISC, vendu par :