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Commune de GRIGNY
SOMMAIRE
ARTICLE 1 - GENERALITES................................................................................................7
1.1 - OBJET DE L’APPEL D’OFFRE..............................................................................................................7
1.2 - DÉCOMPOSITION EN LOTS..................................................................................................................7
1.3 - PIÈCES CONSTITUTIVES......................................................................................................................7
1.3.1 - PIÈCES ÉCRITES.................................................................................................................................7
1.3.2 - PLANS FOURNIS DANS LE DCE........................................................................................................7
ΑΡΤΙΧΛΕ 1 − GENERALITES
La présente opération a pour objet tous les travaux d’infrastructures nécessaires à la requalification et
sécurisation des rues Bouteiller et Buisson sur la commune de GRIGNY (69520).
Le présent cahier des clauses techniques particulières (C.C.T.P.) concerne les travaux d’installation de
matériel d’éclairage, nécessaires au projet et définit les spécifications des matériaux et produits, ainsi que
les conditions d’exécution des travaux relatifs au Lot n°2 : Eclairage public.
Les pièces constitutives du Dossier de Consultation des Entreprises sont les suivantes :
s'être rendus sur les lieux où doivent être réalisés les travaux ;
avoir pris parfaite connaissance de la nature et de l'emplacement de ces lieux et des conditions
générales et particulières qui y sont attachées ;
avoir pris parfaite connaissance de l'état du terrain qui lui sera livré ;
avoir pris connaissance des possibilités d'accès, d'installations de chantier, de stockage, de matériaux,
des disponibilités en eau, en énergie électrique, etc. ;
Les entrepreneurs sont donc réputés avoir pris connaissance parfaite des lieux et de toutes les conditions
pouvant en quelque manière que ce soit avoir une influence sur l'exécution et les délais, ainsi que sur la
qualité et les prix des ouvrages à réaliser.
Aucun entrepreneur ne pourra donc arguer d'ignorances quelconques à ce sujet pour prétendre à des
suppléments de prix ou à des prolongations de délais.
Les travaux seront exécutes dans un délai global de quatre (4) mois (y compris période de préparation de
trois (3) semaines) à compter de la date fixée par l’ordre de service n°1.
Le phasage général du chantier tiendra compte également des deux principes suivants, à savoir :
Conservation de toutes les circulations PL et VL des voies adjacentes avec la signalisation provisoire
ou définitive appropriée,
La préservation des accès des riverains.
Les travaux seront réalisés en une seule tranche. Toutefois, ces travaux pourront être scindés en autant de
phases que les contraintes techniques du chantier l’imposent, sans que les entrepreneurs puissent
prétendre à une rémunération supplémentaire.
Conservation de toutes les circulations PL et VL des voies adjacentes avec la signalisation provisoire
ou définitive appropriée,
La préservation des accès des riverains
Maintien pendant toute la durée des travaux d’aires de stationnement PL et VL signalées en quantité
maximum.
l’assurance qualité ;
les déposes des candélabres et des luminaires en façade existants et des équipements électriques
existants.
la réalisation des massifs de fondation des candélabres, y compris les pénétrations des fourreaux et
insertion des tiges de scellement.
4.1.3 - Equipements :
L’ensemble des travaux de génie civil du réseau éclairage public est réalisé préalablement par le SIGERLY.
Sont compris :
les travaux de terrassements de tranchées en terrain de tout type, pour le réseau d’éclairage public,
fouilles, fourniture et mise en place de sable en lit de pose et enrobage de fourreaux, fourniture et
pose de grillage avertisseur, le remblaiement des tranchées ;
Le Maître d’ouvrage se réserve le droit de modifier, de supprimer ou d'ajouter certains ouvrages ou partie
d'ouvrages après la signature du marché.
Tous les matériaux, produits et éléments destinés à la construction des ouvrages doivent être soumis par
l’Entrepreneur à l’agrément préalable du Maître d’œuvre.
Chaque fascicule précise les normes relatives aux travaux, à la fourniture, à la fabrication et à la mise en
œuvre des matériaux.
L’Entrepreneur est tenu de communiquer, sur simple demande, tous documents permettant d’identifier la
provenance des fournitures.
L'Entrepreneur doit disposer dans la région, au jour de la mise en œuvre du marché du matériel nécessaire,
en bon état de fonctionnement et d’entretien, pour assurer la bonne exécution des travaux.
Le système dans lequel sont données les coordonnées X et Y des points caractéristiques des ouvrages est
le système Lambert.
Les cotes de nivellement sont données par rapport au Nivellement Général de France (altitudes normales).
Le dossier de phasage général du chantier sera réalisé l’Entrepreneur en charge du Lot n°1 : Voiries et
réseaux divers, mais le Lot n°2 participera à la mise au point en spécifiant ses contraintes.
Le Lot n°2 réalisera les plans qui lui semblent nécessaires à la bonne exécution de ses propres ouvrages.
Elles sont dues au Lot n°1 : Voiries et réseaux divers et mises à la disposition des autres lots.
Une réunion de chantier hebdomadaire doit être organisée par le Maître d’œuvre. La présence de
l'Entrepreneur mandataire et du Maître d’œuvre est requise ainsi que celle des Entrepreneurs co-traitants ou
sous-traitants sur demande expresse de l'une des parties contractantes.
L'Entrepreneur ouvre, dès l'ordre de service, un journal de chantier sur lequel sont consignés chaque jour
tous les renseignements sur la marche du chantier et en particulier :
• les informations météorologiques du jour,
• les quantités approximatives réalisées et/ou mises en œuvre,
• la nature et le nombre des engins en activité,
• la composition des équipes,
• la durée et la cause des arrêts de chantier,
• tous détails présentant quelque intérêt du point de vue de la qualité des ouvrages,
• les contrôles effectués,
• les observations concernant la sécurité du personnel et des tiers, qu'elles émanent du Maître d’œuvre
ou de toute personne habilitée (par exemple l'inspection du travail),
• Il est établi par l’Entrepreneur en charge du Lot n°1 : Voiries et réseaux divers.
L'Entrepreneur est tenu de compléter le piquetage général par un piquetage complémentaire comprenant :
Le piquetage spécial des ouvrages souterrains ou enterrés est effectué par l’Entrepreneur en même temps
que le piquetage général, en présence d'un représentant des Services ou Compagnies concernés.
L’Entrepreneur doit avoir préalablement reconnu les terrains, vérifié l'exactitude (si ceux-ci figurent dans le
dossier) des renseignements relatifs à la nature du sol et sous-sol, ces derniers étant réputés purement
indicatifs.
L'Entrepreneur doit, pour toutes ces opérations et pour toutes les opérations de vérification que désirerait
exécuter le Maître d’œuvre, tenir à la disposition de celui-ci le matériel topographique et le personnel qualifié
nécessaires.
Les frais engagés par l'Entrepreneur à cette occasion sont censés être implicitement compris dans les prix
unitaires de règlement de ses travaux.
L’Entrepreneur sera tenu pour responsable des accidents qui, de son fait, par une exécution défectueuse ou
bien par manque de précautions ou de surveillance, pourraient arriver aux personnes et aux choses. Il est
expressément stipulé que la Communauté de Communes Rhône- Sud et les Services Techniques de la Ville
de Grigny sont entièrement dégagés de toute responsabilité à l'égard des chefs visés ci-dessus.
L'Entrepreneur doit exercer la plus grande surveillance, se soumettre à tous règlements en vigueur, aux
ordres qui pourraient lui être donnés par les représentants de la Communauté urbaine de Lyon, du point de
vue de la sécurité publique ou même dans son intérêt personnel, le tout sans indemnité supplémentaire,
attendu que les prix ont été établis en tenant compte implicitement de tous faux frais et dépenses
occasionnés par les mesures dont il s'agit.
L’Entrepreneur doit prévenir par imprimé réglementaire de "déclaration d'intention de commencement des
travaux" (DICT), les différents Services et Compagnies concernés, soit, entre autres :
Assainissement (SDEI) ;
du commencement de ces travaux ainsi que de la rencontre de leurs installations, afin qu'ils puissent
prendre les mesures en conséquence .
Il doit les informer immédiatement des dégradations ou accidents survenus à leurs ouvrages. Il doit veiller
tout particulièrement à la conservation des étais, supports, suspensions, planchers de protection, etc... que
les Services ou Compagnies concernés feraient placer dans l'intérêt de la prévention et de la conservation
de leurs conduites ou autres ouvrages pendant l'exécution des travaux, ainsi qu'après l'achèvement de ces
derniers.
A la demande, il prend lui-même toutes les mesures nécessaires pour le maintien de ces canalisations ou
conduites.
Au cours des travaux, l'Entrepreneur doit veiller strictement à ce que les bouches d'incendie rencontrées
dans le périmètre du chantier soient toujours accessibles.
Dans tous les cas, l'Entrepreneur doit se mettre en rapport avec le S.D.I.S., afin d'arrêter d'un commun
accord les dispositions à prendre sur le chantier pour rendre possibles toutes les manœuvres
indispensables en cas d'incendie.
La signalisation du chantier dans les zones intéressant la circulation sur la voie publique est réalisée par
l'Entrepreneur, conformément aux instructions réglementaires en la matière.
L'Entrepreneur doit procéder à toutes les mises en place de signalisations (classique et lumineuse)
nécessaires aux gestion et circulation des véhicules et piétons et ceci en coordination avec l'avancement
des travaux du présent marché et les éventuels chantiers voisins.
Pendant la durée des travaux, l’Entrepreneur doit assurer la maintenance des protections et veiller
notamment chaque soir à la fermeture et au balisage des zones concernées.
Il sera tenu pour responsable des dommages causés aux personnes et aux choses du fait de l'inexécution
ou de l'exécution défectueuse du présent article.
Il est expressément stipulé que les Services Techniques de la Ville de Grigny sont entièrement
dégagés de toute responsabilité.
L'Entrepreneur doit veiller à ce que nuls manœuvres et/ou travaux du chantier ne comportent de risques
pour les usagers.
Les frais occasionnés par ces sujétions sont réputés compris dans le prix unitaire de règlement des travaux.
L'Entrepreneur doit établir, pour chaque phase de son programme d’exécution, un plan des circulations pour
tous les déplacements des véhicules de transport. Ce plan doit comporter la localisation des entrées et
sorties du chantier et la description des itinéraires empruntés.
La circulation d'engins de chantier ou d'engins exceptionnels n’est autorisée que conformément au code de
la route et après accord du Maître d’œuvre.
Pour l'établissement des itinéraires, l'Entrepreneur doit s'informer des limitations apportées à la circulation
des véhicules sur certaines voies, et en tenir compte.
Les itinéraires doivent être soumis à l'approbation du Maître d’œuvre et des Autorités compétentes.
Les entrées et sorties doivent être situées dans une zone de bonne visibilité et de façon à éviter tout
cisaillement de la circulation.
L'Entrepreneur doit prendre toutes précautions pour éviter les chutes et entraînements de matériaux sur la
voie publique.
Il doit procéder immédiatement à tous les nettoyages et balayages nécessaires pour maintenir la circulation
dans les meilleures conditions.
Les réparations des dégradations causées aux voies publiques par les véhicules de l'Entrepreneur sont à sa
charge, conformément aux termes de l’article 30 du C.C.A.G.
L'Entrepreneur doit construire ou mettre en place tous dispositifs nécessaires pour prévenir les atteintes à
l'environnement.
Les rejets de produits polluants sont interdits aussi bien dans le sol que dans les réseaux d'assainissement.
Les engins et installations doivent être munis de dispositifs limitant les émissions de bruit, de fumée ou de
poussière.
Il est strictement interdit de brûler des déchets sur le chantier. Tous les déchets ou matériaux impropres
sont évacués dans les centres habilités de recyclage des déchets.
de signer un Plan de prévention ou un P.P.S.P.S. (décret 92-158 ou 94-1159 suivant les cas),et, de
façon plus générale, satisfaire à la réglementation concernant la prévention des risques liés au
chantier.
aucune intervention sur le réseau d'éclairage public ne pourra être faite sans l'accord des Services
Techniques de la Ville de Grigny.
Pendant les travaux, les Services Techniques de la Ville de Grigny, doivent être systématiquement
consultés dans les cas suivants :
modification du projet,
...
A la fin des travaux l'entreprise fournit au maître d’oeuvre un dossier d’exécution comprenant les éléments
suivants :
un plan de déroulage des installations avec indication des caractéristiques des câbles (nature,
longueur, section et nombre des conducteurs actifs et du conducteur de protection), et nature,
puissance et cycle de fonctionnement des lampes installées.
L'Entrepreneur applique sur le chantier un Plan d'Assurance de la Qualité de type B, c'est à dire qu’il
effectue toutes les opérations de contrôles internes.
• l'affectation des taches : noms du directeur des travaux, du responsable du contrôle intérieur, du chargé
des ouvrages provisoires et du responsable de la sécurité,
• L’organisation du contrôle interne à la chaîne de production.
Le contrôle intérieur est rattaché à la Direction Générale de l'Entreprise mandataire du groupement titulaire
du marché.
Ce contrôle est assuré, à l'initiative du Maître d’œuvre, par ses propres agents et par les organismes de
contrôles de laboratoire ou de topographie qu'il a désigné.
Les résultats de ces contrôles sont communiqués à l'Entrepreneur dès qu'ils sont connus.
• le contrôle de l'implantation générale et de détail (emprise, axe du projet, pieds de talus, arase des
terrassements, etc...),
• les contrôles de laboratoire portant sur la qualité des matériaux, produits et composants constitutifs de la
chaussée et sur leur mise en œuvre,
• la vérification du fonctionnement du contrôle interne et de l'application du P.A.Q.
• la mise à disposition des agents mandatés par le Maître d’œuvre des moyens nécessaires à l'accès aux
ouvrages et à l'exécution des contrôles,
• les sujétions de pertes de temps liées à l'exécution des contrôles,
• la fourniture des échantillons nécessaires aux vérifications et leur transport jusqu'au laboratoire du
Maître d’œuvre,
• toutes les vérifications supplémentaires que pourraient rendre nécessaire de mauvais résultats lors du
contrôle.
En cas de contestation des résultats obtenus par le laboratoire du Maître d’œuvre, l'Entrepreneur peut
demander l'intervention d'un laboratoire tiers certifié ISO 9003 pour l'exécution des essais objet du litige.
Si les résultats obtenus par le laboratoire tiers confirment les résultats obtenus par le laboratoire du Maître
d’œuvre, l'Entrepreneur est tenu de prendre en charge tous les frais occasionnés par cette intervention ainsi
que la remise en conformité. Dans le cas contraire, les frais sont à la charge du Maître d’œuvre. Le contrôle
de l'Entrepreneur est alors validé et les pénalités sont annulées.
9.1 - Généralités
Afin d’éviter tout litige lors de la remise d’ouvrage, le maître d’ouvrage assisté de la ville de Grigny
participera à la réception des travaux.
Lors de la remise d’ouvrage les documents énumérés dans les paragraphes suivants du présent article
doivent être constitués.
Ces plans devront être fournis en 3 exemplaires dont l'un reproductible et un au format numérique
(AUTOCAD).
Les canalisations sont cotées avec soin par rapport à des repères fixes et immuables, ces plans doivent
comporter toutes les informations nécessaires à la compréhension du réseau.
Les plans de récolement sont établis avec une précision de l'ordre du décimètre. Sur ces plans sont
reportés :
les coordonnées de tout changement de direction ainsi que des protections particulières (tôle, béton,
etc.),
les dimensions (L x l x p) des massifs d'ancrage ainsi que le nombre et le diamètre des tiges à
scellement,
la présence de coquillage pour protection d'autres réseaux (électricité, gaz, téléphone, eau, etc.).
d) lorsque sur un même parcours, plusieurs câbles empruntent des fourreaux différents, fournir
un plan en coupe sur lequel apparaîtra sans ambiguïté l'occupation des conduits et les
références des câbles correspondants,
d'une manière générale pour tous les matériels installés (supports, console, lanterne, lampe,
coffrets, poste de commande, mobilier urbain) il sera fourni :
a) la date d'installation,
pour les postes de commande et les luminaires situés hors voirie et dont l'accès n'est pas aisé,
fournir un plan de cheminement avec photographie du site.
la nature des réseaux : éclairage normal, éclairage partiel, illumination, permanent, etc.,
les lampes qui y sont rattachées, surtout dans le cas de luminaires à plusieurs lampes,
au niveau du châssis :
Pour chacune des installations d'éclairage avec des équipements de protection collective, un dossier
regroupant :
le positionnement des équipements sur les façades et sur les surfaces, y compris d'une éventuelle
armoire pour les accessoires nécessaires à l'utilisation de ces équipements,
les caractéristiques précises des équipements avec copie des documentations techniques des
fournisseurs,
9.6 - Programme
Dans le cas d’utilisation d’automate la programmation doit être remise sur papier en 2 exemplaires ainsi que
sur support informatique (disquette ou CD) en 1 exemplaire.
Toute installation d'éclairage réalisée pour le compte de la Ville de Grigny doit faire l'objet d'un contrôle
technique des installations électriques vis-à-vis de la norme NF C 17-200.
Ce contrôle, de type visite initiale, doit être effectué par un organisme agréé et conforme au décret du 14
novembre 1998 (NF C 17-202 et 205).
Pendant cette période, les entreprises ayant réalisé les travaux doivent effectuer gratuitement les
réparations et les dépannages rendus nécessaires ayant pour origine :
ΦΑΣΧΙΧΥΛΕ Β − PROVENANCE ET
QUALITE DES MATERIAUX
Tous les matériaux, produits et éléments destinés à la construction des ouvrages, doivent être soumis par
l'Entrepreneur à l'agrément préalable du Maître d’oeuvre. Cet agrément est sollicité pendant la période de
préparation, accompagné des certificats d'homologation, arrêtés d'agrément et autorisations d'emploi
lorsque ceux ci sont exigés.
Les normes relatives aux travaux, à la fourniture, à la fabrication et à la mise en œuvre des matériaux sont,
sauf spécifications contraires figurant au présent Cahier des Clauses Techniques Particulières, celles du
Cahier des Clauses Techniques Générales applicables aux marchés de travaux publics (ou celles du Cahier
des Prescriptions Communes pour les fascicules non modifiés) et plus spécialement celles précisées
NF C 15-150-1 : Enseignes à basse tension et alimentation en basse tension des enseignes à haute
tension (dites à tube néon).
NF EN 40-2 Candélabres.
NF EN 60529 (Indice de classement C 20-010) : Degrés de protection procurés par les enveloppes.
(code IP).
NV65 : règles définissant les effets de la neige et du vent sur les constructions.
Cahier des clauses techniques générales (fascicule 36 du C.C.T.G. Travaux - 1988) - Réseau
d’éclairage public : conception et réalisation
Guide pratique UTE C 15-105 : Détermination des sections de conducteurs et choix des dispositifs de
protection.
Guide pratique UTE C 17-205 : Détermination des caractéristiques des installations d'éclairage public.
Toutes les opérations sur les ouvrages gérés par la Direction éclairage public de la ville de Lyon doivent être
effectuées en respectant les Instructions permanentes de sécurité de la Direction éclairage public (I.P.S.
jointes en annexe), et de façon plus générale les règles de sécurité suivantes :
Décret n° 65-48 du 8 janvier 1965 modifié concernant les mesures particulières de protection et de
salubrité applicables aux établissements dont le personnel exécute des travaux du bâtiment, des
travaux publics et tout autres travaux concernant les immeubles.
Décret n° 88-1056 du 14 novembre 1988 relatif à la protection des travailleurs dans les
établissements qui mettent en oeuvre des courants électriques.
Décret n° 92-158 du 20 février 1992 : Plan de prévention à signer avec le directeur de la Direction
éclairage public de la ville de Lyon.
Cette liste de règles de sécurité constitue les documents de base sur lesquels doivent s’appuyer les
entreprises chargées des travaux et d’une manière générales toutes personnes habilitées à intervenir de
quelque manière que ce soit sur les ouvrages gérés par la Direction éclairage public. Elle ne peut être
considérée comme exhaustive.
Règlements de police
Arrêtés du Maire
Les méthodes de contrôle de la photométrie en laboratoire sont définies par la norme NF C 71-120 et son
additif.
Le système optique du luminaire se présente sous forme de réflecteur, afin d'assurer une répartition du flux
lumineux émis par la lampe.
Les réflecteurs sont adaptés à la nature et à la puissance de la lampe. Ils peuvent être réalisés en verre
aluminisé ou en alliage d'aluminium.
12.3 - Fixations :
Ce dispositif doit permettre la mise en place du luminaire et son maintien dans la position préconisée.
Si le luminaire permet deux possibilités d'emmanchement, le dispositif non utilisé est obturé.
Les luminaires comportent un dispositif de réglage qui sert à adapter la répartition lumineuse de l'appareil à
la surface à éclairer.
Dans tous les cas, la manœuvre des dispositifs de réglage est simple, rapide, sûre et peut être renouvelée
dans le temps. Ces dispositifs doivent comporter un système de repérage.
Le réglage étant effectué, il doit rester durable et le dispositif rigide, mais doit pouvoir être modifié si besoin
est.
Les luminaires conçus uniquement pour une lampe d'une puissance donnée peuvent ne pas comporter de
dispositif de réglage.
12.5 - Corps :
Le corps du luminaire est indépendant du système optique. Il ne doit pas se déformer sous l'action des
éléments extérieurs et des vibrations.
12.6 - Fermeture :
Le système de fermeture se présente sous forme de vasque. Il doit être étanche. L'étanchéité est obtenue
par un joint en feutre ou en néoprène. Si le joint est en néoprène, le luminaire est équipé d'un filtre à
charbon actif. Le joint en feutre ou le filtre à charbon actif doit permettre l'échange d'air entre l'intérieur du
compartiment optique et l'extérieur ambiant et le filtrage des poussières. Dans tous les cas, le joint ne doit
pas se détériorer au cours des manœuvres d'ouverture et de fermeture de la vasque. Son remplacement
doit pouvoir se faire sans avoir à démonter le luminaire. Il doit résister au vieillissement et à la chaleur.
Un système d'articulation sous forme de charnière est prévu, il permet de laisser la vasque en suspension
lors de l'ouverture de celle-ci, et permet son décrochage en cas de besoin.
12.7 - Douilles :
Les douilles sont conformes aux normes et leurs additifs en vigueur : NF EN 60061-1 - NF EN 60061-
3- NF C 61-520- NF EN 60238.
Les douilles doivent permettre le démontage normal de la lampe, sans détérioration du culot de la lampe.
Les bornes de raccordement résistent en permanence et sans détérioration, à une température de 400°. Les
connexions de raccordement des bornes à la douille, sont établies en conducteurs de sections minimales,
répondant aux normes de l'U.T.E. Le câblage est en filerie haute température et est passé sous tresse
siliconée. Aucune connexion soudée n'est tolérée. Les pièces de contact sont en laiton.
12.8 - Visserie :
Les normes françaises actuellement en vigueur sont les normes NF E 03-001 et NF E 03-014.
Les vis doivent résister à la corrosion, et permettre un serrage efficace et un desserrage. Il en est
de même pour les écrous.
Les vis susceptibles d'être démontées pour des opérations d'entretien sont imperdables.
Les vis doivent supporter, sans détérioration ni déformation préjudiciables à l'emploi des appareils,
les efforts mécaniques et les vibrations qu! se produisent en usage normal.
La nature des matériaux constitutifs de la visserie et éléments d'assemblage, est déterminée pour
éviter la production de couples galvaniques.
13.1 - Généralités
Les candélabres à installer proposeront les mêmes caractéristiques techniques sur tout le long du tracé
des rues. Seul les espacements de ceux-ci varieront selon les secteurs de 20 à 22 mètres.
Les spécificités des équipements sont indiquées dans les articles suivants
Classe 1
Corps : en extrudé d’aluminium avec extrémités en fonte d’aluminium, fixation latérale sur embout
lisse φ 60 mm longueur 100 mm.
Joint : néoprène.
Réflecteur : optique routière STX en aluminium anodisé, hydroformé, pour lampe tubulaire. Système
de réglage de la douille.
Maintenance : Partie haute articulée et équipée d’un vérin de retenue, fermeture par 2 grenouillères
en acier inoxydable manoeuvrable sans outils.
Les luminaires à poser seront de type « OVALIS 650 » de chez LUDEC ou matériel
similaire.
Hauteur : 6 m.
Installation : 4 tiges de scellement 20x18x400 dans massif béton, entraxe 200 mm x 200 mm.
Le titulaire équipera les candélabres avec les lampes sodium haute pression désignées ci-dessous :
Utilisation Puissance Culot Tension Intensité Temp. Flux lum Durée IRC
de vie Classe
moy.
(W) (V) (A) (°K) (Lm) (h)
L'intensité de démarrage ne doit pas dépasser celle que peut supporter la lampe sans subir un vieillissement
prématuré.
Outre la conformité aux normes françaises en vigueur, les caractéristiques des accessoires des lampes sont
les suivantes :
Le titulaire doit fournir l’ensemble des caractéristiques du matériel proposé, et en particulier, devront figurer dans le
Plan d’Assurance de la Qualité (P.A.Q.) les indications suivantes :
la marque du fabricant ;
la date de fabrication ;
l'encombrement ;
le poids ;
la puissance ;
15.1 - Ballasts :
Les ballasts sont imprégnés à cœur avec un matériau approprié type polyester, assurant un parfait
isolement, le blocage des circuits magnétiques et la protection hydrofuge du matériel.
Tous les ballasts doivent comporter une plaque signalétique au marquage indélébile avec les
indications suivantes :
le type d'appareillage,
la désignation du type et de la puissance de la lampe pour laquelle le matériel est conçu,
le schéma de branchement avec repérage des bornes et indicateur des tensions possibles,
la tension, fréquence et courant nominaux d'alimentation,
le facteur de puissance sans compensation,
la capacité du condensateur à installer pour obtenir un coefficient > 0,928.
15.2 - Amorceurs :
15.3 - Condensateurs :
Les condensateurs sont shuntés par une résistance de fuite et prévus pour des tensions de service
minimales de 410 V.
Les candélabres sont calculés, dans tous les cas, pour une zone 2 site normal malgré le classement du
département du Rhône en zone 1 (DTU P06-002 de décembre 1999). L’épaisseur minimum de fabrication
ne peut être inférieure à 4 mm.
La porte de visite des candélabres doit être orientée du côté opposé à la circulation routière.
Les fournitures doivent résister sans dommage aux conditions extérieures et aux contraintes qu'elles sont
appelées à supporter en service et au cours des essais.
B - Normes
Les provenances, les qualités, les caractéristiques, les types, dimensions et poids, les modalités d'essais,
de marquage, de contrôle et de réception des matériaux et produits fabriqués doivent être conformes aux
normes applicables en France au moment de la signature du marché.
L'acceptation d'un matériel par le Maître d’Oeuvre ne peut pas avoir pour effet de dégager le fournisseur de
ses responsabilités.
Protection des fûts contre la corrosion : les candélabres sont protégés intérieurement et extérieurement
par galvanisation à chaud ou trempé (immersion complète) : la charge de zinc est au minimum de 600 g.m-
2, charge correspondante à une épaisseur de revêtement d'environ 80 microns.
Embase : la base de ces supports (à l'exception des candélabres spéciaux pour voies piétonnes) est en
acier inoxydable sur une hauteur de 60 cm à partir de la semelle.
Il est bien précisé qu'il ne s'agit pas d'un chemisage mais d'une pièce soudée faisant partie intégrante du
candélabre et présentant au moins, la même épaisseur.
Les constructeurs doivent donner toutes les garanties pour la façon dont sont exécutées les soudures
raccordant cette embase à la partie supérieure du support et à la semelle.
Par garantie, il est notamment entendu qu'il s'agit non seulement de l'étanchéité parfaite et de la durée, mais
encore de la résistance aux efforts auxquels chaque candélabre est soumis suivant son emploi.
Tiges - écrous - entretoises : les tiges à scellement sont coudées avec deux écrous et deux entretoises et
filetées sur une hauteur de 100 mm. Les entretoises sont en acier, dimensions 90 x 90 x 6 mm percées à 2
mm de plus que le diamètre des tiges.
Barrettes pour accrochage des platines : chaque support doit comprendre une ou plusieurs barrettes
pour l'accrochage des platines d’appareillage. Elle est constituée par un fer plat soudé au fût.
Pattes pour mise à la terre : une patte métallique percée au Ø 12 est soudée à l'intérieur du poteau, au
niveau bas de la porte de visite pour permettre le raccordement électrique des circuits de terre.
Nota : Cette patte est positionnée de telle manière à permettre la fixation d'une cosse, référence CT.10-
70B.D9, accessible de l'extérieur dans tous les cas et ne doit pas gêner la mise en place du coffret de
raccordement.
Portes de visites : il est prévu, en règle générale, une seule porte de visite.
Lorsqu'il y a plusieurs portes donnant accès à des coffrets de raccordement pour l'éclairage public, elles
sont toutes de dimensions identiques et interchangeables.
Lorsque le candélabre d'éclairage public sert également de support à d'autres types d'installation (marché
alimentaire, signalisation tricolore, ...), les portes de visite peuvent être différentes.
Fixation des portes : la fixation des portes sur le candélabre est assurée par :
1 écrou ou pièce filetée, inoxydable, solidaire du fût ; cet écrou ou cette pièce étant interchangeable.
Nota : Le système de fixation utilisé pour la fermeture des portes doit permettre de conserver libre le
maximum de volume disponible dans le fût, en particulier au niveau de la porte de visite.
Têtes de poteaux : la fixation des têtes et crosses par creux intérieur ou écrous soudés doit permettre le
passage d'un tube Ø minimum 42 pour les candélabres classiques, Ø minimum 60 pour les candélabres
renforcés.
Marquage des candélabres : tous les candélabres portent un marquage en relief, indiquant au minimum
d’une part :
le nom du fabricant,
la date de fabrication,
hauteur et type,
Le procédé de marquage laissé à l'initiative du constructeur doit être le plus esthétique possible, lisible pour
une personne située au pied du candélabre et rester libre après peinture.
Etanchéité : l'étanchéité entre le candélabre et la crosse ou tête de poteau est assurée par une bague
circulaire en inox hauteur 8 mm, le diamètre correspondant à la cote sur plat du sommet. Cette bague est
soudée en bout du candélabre.
Epaisseur des semelles : l'épaisseur des semelles de candélabres doit être calculée de manière à résister
aux efforts auxquels elles sont soumises. Toutefois, les épaisseurs minimum ne sont pas inférieures à :
Trou pour dépannage provisoire : il est prévu sur le fût, un perçage Ø 15 à 1 m du sommet à l'opposé de
la porte de visite. Ce trou est obturé par un bouchon plastique.
Fixation des crosses : pour permettre la fixation éventuelle d'une crosse, il est prévu dans le fût 8 trous
renforcés intérieurement diamétralement opposés, équipés de vis de pression, la crosse cylindrique de Ø 60
mm lui donnant une ligne semi continue.
Candélabres en aluminium, section circulaire ou carrée : ces candélabres sont livrés prêts à peindre.
Ils sont obligatoirement munis d'une semelle pour fixation sur massif en béton. Cette semelle a une
épaisseur minimum de 12 mm.
Il devra permettre :
le raccordement de deux câbles d’alimentation de section 4 x 16 mm² minimum, sur deux entrées de
câbles indépendantes par passe fils,
le raccordement du ou des câbles d’équipement sur une entrée de câble par passe fil différent de
celles des câbles d’alimentation,
un coupe circuit Phase-Neutre, équipé d’une cartouche gG HPC normalisée 10,3 x 38 calibré en
fonction de la puissance de la lampe et d’une barrette de neutre,
Les installations à réaliser comportent le réseau de type lignes souterraines, spéciales pour l'éclairage
public.
Tous les câbles électriques, seront posés dans les fourreaux en polyéthylène basse densité posés par le
SIGERLY.
On utilisera des câbles rigides isolés au polyéthylène réticulé sous gaine de protection en polychlorure de
vinyle série U-1000 R02V - à conducteurs cuivre - tension nominale 1 000 V - conformes à la norme
NF C 32-321.
On utilisera un câble en cuivre nu recuit - conforme à la norme NF C 17-200 - section minimum de 25 mm2,
constitué de 7 brins de diamètre 2,14 mm.
Ce câble sera posé en fond de fouille à coté du ou des fourreaux d’éclairage public par le SIGERLY.
La liaison avec chaque candélabre sera réalisée par une dérivation avec un câble de cuivre nu de même
section.
La jonction sera obligatoirement réalisée par sertissage mécanique. La soudure par aluminothermie est
interdite.
La cablette de terre emprunte un fourreau ICD n°32 pour la traversée du massif et des chambres de tirage.
On appelle câble d’équipement la liaison entre l’organe de protection et la douille. Ce câble est
obligatoirement choisi dans la série H07-RNF et de section :
Toutes les têtes de câble avant raccordement dans les armoires et candélabres doivent être équipées de
manchon d’étanchéité conformément à la norme NF C 33-020 article 2-4-3 de juin 1998 et peu être soit
thermoformé soit réalisé en matière suffisamment élastique pour assurer l’étanchéité (type MEP de
connexion - protection).
ΦΑΣΧΙΧΥΛΕ Χ − MODALITES
PARTICULIERES D’EXECUTION DES OUVRAGES
L'entrepreneur procédera à ses frais à l'implantation des ouvrages à exécuter dans le cadre de son marché.
L'ensemble du réseau sera de classe 1. L'alimentation de l'éclairage sera réalisée à partir du réseau
existant.
Les notes de calculs porteront sur la vérification du dimensionnement des câbles d’alimentation électriques
prescrits.
La construction du génie civil du réseau d’éclairage public (tranchées, fourreaux, cablette de terre et massif
de candélabre) est assurée par le SIGERLY.
Tous les luminaires existants posés en façade ou sur poteau le long des rues de Bouteiller et Buisson sont à
déposer.
Lors du démontage des ces éléments l’Entrepreneur, devra préalablement assurer la deconnexion du ou
des circuits d’alimentation concernés, ainsi que la dépose complète des câbles.
Les matériel sera à déposé avec soins et transporté au magasin des Services Techniques de la Ville de
Grigny.
23.1 - Généralités
Le stockage des candélabres sur la zone de travaux doit être réalisé de manière à les isoler des souillures,
oxydations et chocs divers (calage bois par exemple). Il ne doit pas excéder quatre semaines.
Les candélabres sont constitués d'un fût et d'un embout mobile, qui sont assemblés par le titulaire.
Les candélabres ne sont mis en place qu'après séchage complet des massifs.
Afin d'éviter toute déformation de la semelle, un contact doit être assuré entre le dessous de la plaque
d'appui et le massif par bourrage de béton correctement réalisé lorsque la semelle est posée sur écrou.
Cas de fixation avec tige de scellement en acier non traité : Mise en place de canons et de rondelles
isolantes en permalite.
Cas de fixation avec tige de scellement en acier galvanisé : utilisation de d’écrous et de rondelles en
acier galvanisé.
Le titulaire procède alors, suivant les règles de l'art, à l'implantation des candélabres qui doivent être alignés
et parfaitement verticaux. Il doit s'assurer de la parfaite orientation des embouts supportant les luminaires.
Dans la mesure du possible, les portes de visite doivent s'ouvrir du côté opposé aux vents dominants et du
côté opposé au sens de circulation.
La plaque d'appui est isolée du massif par une semelle intermédiaire en caoutchouc synthétique,
afin de maintenir la stabilité et la verticalité du candélabre. Le candélabre est fixé sur les tiges de
scellement avec un écrou, un contre-écrou et une rondelle. En aucun cas les écrous ne peuvent
servir au réglage de la verticalité du candélabre. Les écrous et l'extrémité des tiges sont protégés
par des capuchons plastiques remplis de graisse.
Le montage des luminaires ne peut se faire qu'après la mise en place des candélabres sur les
massifs.
Suivant les normes et règlements en vigueur, toutes les parties métalliques des matériels et appareils
installés pouvant être mises en contact avec des conducteurs actifs doivent être reliées au circuit général de
terre.
Les mises à la terre, individuelles ne sont pas admises ; le titulaire doit réaliser la liaison équipotentielle de
l'ensemble. Le circuit de terre est constitué par un câble en cuivre nu de 25 mm2 minimum, qui chemine en
fond de fouille dans les tranchées. Il est constitué en réseau maillé sauf impossibilité par suite du tracé des
voies et dûment constaté par le Maître d'œuvre.
Chaque candélabre est raccordé en dérivation au circuit de terre général. Cette dérivation est réalisée à
l'aide d'un câble cuivre de 25 mm2 terminé à une extrémité par une cosse sertie pour raccordement sur le
candélabre, et dont l'autre extrémité est connectée au câble cuivre nu de 25 mm2 par soudure, brasure ou
sertissage, suivant les spécifications de la norme NF C 17-200.
La valeur des prises de terre ne doit en aucun cas être supérieure à 2 Ohms, les mesures étant effectuées
par temps sec. Il appartient au titulaire de prendre toutes dispositions utiles, afin que la valeur de résistance
des prises de terre réponde à cette obligation.
Ces installations sont mises à la terre (câblette cuivre nu 25 enterrée ou conducteur de protection vert jaune
intégré dans le câble d’alimentation suivant les cas).
Le raccordement de l’appareil d’éclairage se fait par l'intermédiaire d'une cosse fixée sur la patte prévue à
cet effet.
24.3 - Protection contre les contacts indirects - Mise à la terre des candélabres
Mise à la terre du candélabre, des accessoires d'alimentation, du luminaire ainsi que des masses
métalliques environnantes par liaison équipotentielle.
Mât acier galvanisé et aluminium : visserie inox + rondelle bimétal "cuivre-alu" (aluminium, coté
candélabre).
25.1 - Généralités
Le raccordement sur les réseaux souterrains est réalisé dans le fût des candélabres.
Les jonctions et les dérivations des câbles B. T. sont réalisées par raccordements sur des blocs de jonction.
Les accessoires d'alimentation, destinés à assurer le fonctionnement des lampes, comprennent ballasts,
amorceurs et condensateurs, et sont montés dans un coffret.
Les coffrets fournis par le titulaire sont conformes aux spécifications du C.C.T.P. L'équipement des coffrets
est réalisé de la façon suivante :
Les accessoires sont fixés sur la platine à l'aide de vis et écrous en métal inoxydable. Ils sont
disposés de telle façon que les bornes de raccordement ne soient pas dirigées vers le haut.
Les coupe-circuit sont prévus en partie basse dans chaque coffret. Ils sont sectionnables, bipolaires,
sous enveloppe monobloc avec socle à préhenseur solidaire, équipés de cartouches fusible.
Les blocs de jonction sont fixés en partie basse du coffret. Ils sont conformes au C.C.T.P. et
permettent le raccordement du câble d'alimentation passant en coupure.
Le coffret équipé doit présenter au minimum un degré de protection IP 2X, lorsqu'il est ouvert.
Le coffret est positionné sur la ou les barrettes d'accrochage situées dans le fût du candélabre au droit de la
ou des portes de visite.
Le câble de raccordement de chaque luminaire est raccordé aux bornes prévues dans le coffret. Le
conducteur de terre des masses de chaque luminaire est raccordé à l'étrier de serrage prévu à cet effet
Le câble d'alimentation est raccordé aux blocs de jonction positionnés en partie basse du coffret.
Il est prévu un love soit sur le câble d'alimentation, soit sur chacune des phases à l'intérieur du fût du
candélabre.
Le câble est dénudé sur une longueur minimum, afin de permettre le raccordement. Le dénudage se fait en
prenant les précautions d'usage, afin de ne pas blesser les gaines de protection des conducteurs.
Chaque câble est muni d'une extrémité d'étanchéité thermoretractable recouvrant, à chaque extrémité, la
gaine extérieure du câble et la gaine thermoretractable posée sur l'isolant de chaque conducteur.
Les masses des terres du luminaire et du coffret sont raccordées à la borne de mise à la terre de chaque
candélabre.
Après raccordement des coffrets, le dispositif de fixation des portes de visite est graissé.
Dans le cas de la nécessité de reprise de peinture sur le matériel neuf , l’Entrepreneur devra se conformer
au type de peinture utilisé et aux spécifications de mise en œuvre, du fabricant des équipements.
Tous les matériels doivent être identifiés, par un code alphanumérique déterminé par les Services
Techniques de la Ville de Grigny.
A fournir :
A fournir :
Fixation : Elle est réalisée par rivet aluminium à frapper ou rivet pop.
La mise sous tension des installations est faite, dans tous les cas, en accord avec la Services
Techniques de la Ville de Grigny.
Les positions de réglage déterminées lors des essais sont indiquées de manière indélébile par des
repères pratiqués sur les ferrures ou supports des projecteurs.
Ces repères doivent permettre de retrouver l'inclinaison verticale du projecteur et l'angle de rotation par
rapport au support.
L’Entrepreneur