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La notion de générosité en architecture a émergé de différent manière et pour différentes fins.

L’expression est généralement employée comme synonyme d’abondance, pris au sens positif
comme quelque chose qui viendrait s’ajouter à la demande initiale du projet – comme un cadeau
offert au delas des attendus, mais aussi au sens négatifs comme ce qui déborde en excès de la strict
nécessité1, représentant pas la même un déchet évitable. Dans de nombreux articles traitant de projet
récents, critiques et universitaires emploient le terme dans le sens positif sans référence aux qualités
spatiale. Tony Fretton, architecte de l’ambassade à Varsovie est décrit comme généreux, [évinces]
qualité et efficacité, Il site Mc farlanne, Lina bo bardi, Takeshi Osaka.

→ Si la générosité à té perçus comme surplus, comme souvent quantitative. La problématique


écologique et économique, le climat de rareté, menace la générosité dans sa conception classique.
s’exprime de nouvelle forme de généristé, des marque d’attention, e protection, des gestes plus
consis qui cherchent à introduire dans le quotion des moments de « vide ». Des écart hors du flux.
Des moment du suspentions .

Toutefois, la générosité est employée généralement dans une voie subjective, comme une vértu
humaine « magnanime » (bienveillant, pardonne etc.), altruiste, aimable.

[c’est en soit une valeurs de résistance face à des idéologie plus compétitive axés sur un néo-
darwinisme social d’élimination des plus faibles etc. barbara stiegler : le néoliberalisme c’est avant
tous un discours sur l’adaptation.]

ces utilisation du terme implique le scénario que l’architecte va spontanément ajouter quelque chose
au-delà du nécessaire et du demandé. c’est très vague. l’usage dominant de la générosité dans le
revue d’architecture actuelle sont éloquant concernant la générosté d’un batiment comme une
dimention qualitative, mais en dise peu concernant la voie quantitative.

Actuellement en quoi consiste la générositée ? Ou pour poser la question plus radicalement : où se


situe la générosité, physiquement parlant ? Quelle est son extention physique ? Et ultimement,
quelle est sa forme ?

[Peut elle se trouver, dans une ère de saturation et d’hyper sollicitation sensoriel (hyperstésie) en
négatif dans une suspention]

cette étude tente de fournir une notion de générosité architecturale qui est applicable aux élément
spatioux et concret de l’architecture, en se distanciant de la sphère émotionnelle.

La notion concrète de générosité dérive ici a travers une radicalisation d’espect spatiaux. La
recherche met en avant deux type de charactéristiques qualitative de la générositée, à la foi relative
à la sphére emotionnelle et à son ectention spatiale et physique.

Les utilisations antérieures ont été ignorées car elles


contribuer pas à une définition possible des configurations physiques de la générosité, soit parce
que
ils sont vagues ou parce qu'ils emploient l'expression métaphoriquement (on qualifiait de généreux
un espace surdimentionné et spatialement grand.)
Ainsi cette étude focus sur le second type de charactéristiques, pour conclur par définir les contours
des atribues physiques de la générosité.

1 Dans le marché on attend aussi de l’architecte qu’il apporte une plus value car il sais jouer avec les contraintes
notemment budgétaire, l’architectes devient un acteur privilégier de croissance.
Juhann palasmaa empreinte une définition d ela générositée à jean paul sartre : « qu’est ce que la
littérature ? »

la génrosité résulte d’un lien particulier entre l’architecte et l’usager/client.

l’architecte n’a pas toujours la possibilitée de connaître ses usagers, il s’agit alors d’un don, non pas
dans le vide, mais comme une bouteille à la mer, dont on est certain cependant, qu’elle sera reçue.

Première voies : Pallasmaa

Seconde voie Francis Rambert : generouc versis generic


“GeneroCity: Generous
Versus Generic” (Desveaux & Rambert, 2008)

Rambert développe trois points :


1- les deux plateau Buren
2- commentaire du Less is more
3 – George Bataille depense improductive. Perrault jardin de la BNF : suspention, retirée du flux.

Lacaton vassal :
Jean Philippe Vassal says: “generosity
is not just ‘more space,’ it is also accepting what people are going to do with the architecture;
you have to accept appropriation” (Desveaux & Rambert, 2008, p. 64), may be seen as a
difficult operation in design.

[La géné rosité n’a de sens que dans un geste désintéréssé et attentif]

depuis recession de 2008 la générosité est presque devenue une mission de l’architecte, on attend de
lui un investissement important afin d faire toujours plus avec toujours moins. Mais s’agit-il
vraiment de générosité si l’injonction est présente, si cela devient une consigne émanant des
marchés ?

Une autre vue de la générosité par l’agence italienne 5+1AA


en plyus de la fonction objective l’architecture partage avec usagers beauté et plaisir
ils se focus sur projet publiques

générosité apparaît, dans les travaux de ghery par exemple avec les termes suivants : bondance,
superflu, excés.

Eva Franch i Gilabert (2010) in her


“Ecologies of Excess »
“the excessive has become a foundational
ground for design and sociopolitical change” (p. 73). Against the 20th-century Modern movement
and the 21st-century sustainability movement, she opposes Ecologies of Excess movement, »

l’excés ne devient un outils social et activist pour changer la ville et la société.

The Return of the Excessive: Superfluous Landscapes,” Tom Nielsen

(la générosité abituellement défini comme un plus pourrait être un moins)

tabeau récapitulatif

Table 1. Recap of the Observed Uses of Generosity.


Pallasmaa The physical elements of the building contain an embedded narrative left
by the architect for the future users. The generosity is formalized in the
user–architect encounter over time (the message is left by the architect
for future generations of users) and over space (different rooms contain
different messages).
Rambert 1. Emergence of space in hyperdensity
2. Plus d’usage: space for users not planned by the client
3. Gift: space given without asking anything in return
4. Freedom of appropriation by users (Lacaton & Vassal)
5. Doing more while economizing (Lacaton & Vassal)
5+1AA The building is able to convey a parallel message to the users which relies on
the emotional participation of the users. The architects define this extra task
of the building as emotional “more.”
Knight 1. Blurring of the inside and outside
2. Continuous unfolding of the space (user is always at the center of the
building)
Franch i Gilabert The “unwanted” spaces and elements are exaggerated to become the main
theme of the building. The notion of ecologies of excess is embraced as key
design feature.
Baydar Nalbantogˇlu The Necessary Dichotomy: What is excess and what is lack in the building
remain clearly defined.
Walker Super-added thought: Architectural characteristics direct people toward other
thoughts (different from the functional program of the building).
Nielsen The notion of excess with negative meaning. Superfluous landscapes emerge
when spaces do not have a clear destination of use. The lack of function for
a place determines its usefulness.
Vandeputte 1. Spatial envelope + modifiable infill (Lacaton & Vassal)
2. Compact and optimized program to generate surplus space

« Ultimately, Vandeputte notes that the nature of the surplus is not


likely an extension of or addition to the required program. Instead, it acquires the characteristic
of autonomy, in some projects—such as the Latapie House in Floirac, 1993—practically doubling.
The oversized “new” space given to the users confers to the building a “disruptive quality
which distinguishes it from the common, less radical interpretations of Cedric Price’s idea of an
‘architecture of enabling” (Vandeputte, 2011, p. 110). »

La générosité de l’architecture peut s’envisager selon des vois contradictoires. En résistance d’abord à un contexte
d’économie-politique délétère, la générosité architecturale semble évoluer à l’encontre d’une rationnalité instrumentale.
Mais dans une voie plus pessimiste, elle fait des architectes des idiots utiles dont toute l’activitée prend son sens dans ce
qu’Ivan Illich appelait le travail fantôme. Dans le caractère proprement gnéreux apte à integrer la contrainte,
l’architecture se retrouve au coeur d’une mécanique productiviste.

Ces deux figures de l’architecte, le résistant et l’idiot utile, ne s’exclut pas nécessairement. Ils participe je crois d’une
certaine ambiance fruit d’un ressentit d’impuissance.

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