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L’expression est généralement employée comme synonyme d’abondance, pris au sens positif
comme quelque chose qui viendrait s’ajouter à la demande initiale du projet – comme un cadeau
offert au delas des attendus, mais aussi au sens négatifs comme ce qui déborde en excès de la strict
nécessité1, représentant pas la même un déchet évitable. Dans de nombreux articles traitant de projet
récents, critiques et universitaires emploient le terme dans le sens positif sans référence aux qualités
spatiale. Tony Fretton, architecte de l’ambassade à Varsovie est décrit comme généreux, [évinces]
qualité et efficacité, Il site Mc farlanne, Lina bo bardi, Takeshi Osaka.
Toutefois, la générosité est employée généralement dans une voie subjective, comme une vértu
humaine « magnanime » (bienveillant, pardonne etc.), altruiste, aimable.
[c’est en soit une valeurs de résistance face à des idéologie plus compétitive axés sur un néo-
darwinisme social d’élimination des plus faibles etc. barbara stiegler : le néoliberalisme c’est avant
tous un discours sur l’adaptation.]
ces utilisation du terme implique le scénario que l’architecte va spontanément ajouter quelque chose
au-delà du nécessaire et du demandé. c’est très vague. l’usage dominant de la générosité dans le
revue d’architecture actuelle sont éloquant concernant la générosté d’un batiment comme une
dimention qualitative, mais en dise peu concernant la voie quantitative.
[Peut elle se trouver, dans une ère de saturation et d’hyper sollicitation sensoriel (hyperstésie) en
négatif dans une suspention]
cette étude tente de fournir une notion de générosité architecturale qui est applicable aux élément
spatioux et concret de l’architecture, en se distanciant de la sphère émotionnelle.
La notion concrète de générosité dérive ici a travers une radicalisation d’espect spatiaux. La
recherche met en avant deux type de charactéristiques qualitative de la générositée, à la foi relative
à la sphére emotionnelle et à son ectention spatiale et physique.
1 Dans le marché on attend aussi de l’architecte qu’il apporte une plus value car il sais jouer avec les contraintes
notemment budgétaire, l’architectes devient un acteur privilégier de croissance.
Juhann palasmaa empreinte une définition d ela générositée à jean paul sartre : « qu’est ce que la
littérature ? »
l’architecte n’a pas toujours la possibilitée de connaître ses usagers, il s’agit alors d’un don, non pas
dans le vide, mais comme une bouteille à la mer, dont on est certain cependant, qu’elle sera reçue.
Lacaton vassal :
Jean Philippe Vassal says: “generosity
is not just ‘more space,’ it is also accepting what people are going to do with the architecture;
you have to accept appropriation” (Desveaux & Rambert, 2008, p. 64), may be seen as a
difficult operation in design.
[La géné rosité n’a de sens que dans un geste désintéréssé et attentif]
depuis recession de 2008 la générosité est presque devenue une mission de l’architecte, on attend de
lui un investissement important afin d faire toujours plus avec toujours moins. Mais s’agit-il
vraiment de générosité si l’injonction est présente, si cela devient une consigne émanant des
marchés ?
générosité apparaît, dans les travaux de ghery par exemple avec les termes suivants : bondance,
superflu, excés.
tabeau récapitulatif
La générosité de l’architecture peut s’envisager selon des vois contradictoires. En résistance d’abord à un contexte
d’économie-politique délétère, la générosité architecturale semble évoluer à l’encontre d’une rationnalité instrumentale.
Mais dans une voie plus pessimiste, elle fait des architectes des idiots utiles dont toute l’activitée prend son sens dans ce
qu’Ivan Illich appelait le travail fantôme. Dans le caractère proprement gnéreux apte à integrer la contrainte,
l’architecture se retrouve au coeur d’une mécanique productiviste.
Ces deux figures de l’architecte, le résistant et l’idiot utile, ne s’exclut pas nécessairement. Ils participe je crois d’une
certaine ambiance fruit d’un ressentit d’impuissance.