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DU DOCUMENT REPRODUIT
NSSM
MX
L'HISTOIRE
DE LAC08M08MMME
ETDELACARTOGRAPHIE
MNtMNt t6 NettM-AaB
E8SA!
SUR ~'HtSTMM
DELACOSMOGRAPHtE
ETDEM CAM06BANME
MttMtttMMMRtt-MS,
NTMTtMt
PROSES DE ~A GÉOCRAPH~
Mt~ Ma t)M«emtt&tacwaMmae iM*<)t6M,
LE VICOMTE DE 8ANTAREM
tM MMttttM tM MtB!(M<ex U~Mt~M.MeMtM, et t'MttmtT
ea MMCt.em oeomet 6BeeeaMMx os «MU!),tXtxetOM,
M!t6KM, MNM. M M Mmt-f'tntMMMte, M!*
PREMIER.
TOME
PARIS
!MPRïMERtE MAULUE ET REKOU
!<-H.
nfE B~tt.t.B)~,
t849
TABLE
DES MATÏÈRES
tMTMBMtMN.pMX
PREM!ËRE PARTtE.
V. S~CM.
PfMtm.–NacMhe.–etOmse. S t, p. S
Vt'st6CtB.
Jemandts, Cosmas.–Gt~cetre de Tours, HaMtanus
Capdta. VtMos SeqMstw, Saint Avite, Ptbeten,
–etCaMtedoM.S M. p. a
V!ETV3!'a&~Es.
Isidore de Se~Me, Phitopenm, Bede le Vénérable, Satnt
Virgile, Poème eeegNphhtoe «'on auteur tneoMu. S ttt. p '?
a
–Wt
tX* S~CMt.
X'S!<œM6.
AMe,–Ade)M.te)N~)MBMMf,)M~<ef!6~m~
<HMtH[6tH<ttM<t))CtMtoe. §V.)h
X!'8t6CM.
HeHMnt!en<ne(aa,–9tAmp& S Vf, p. M
XM" StÊCM.
MoMtt d'Autaa.– Cttw de Mse. –MagoM de Sahu-Vtcter,
<acqoMdeVtt)ty,–H)tgaeaMeteMxs,–C~taNmedetmate<je,
Mefmdedet~nd~M~otttefMHtS~Mtfb. SVM.~ a?
Xm<'N6<M.
S<tMOBesoo, VtMant de ~amh, AMtett ~0 Grand,
!h)f~ Bacon, –MMttde~UMote, –PterMd'AbaM, Le
Baate, CMced'AsMH, Rebeft do Satm-Maften d'AmerM,
Oervals de Tttboty, –HerMde Vt~M, BntaeMo LatM,–
~ota~tMe, Omom, A)a<a de UMe, ext de BMoehes,
Eneetbett.–etmce~oNNemmyde. §VtM,p. M
XiV'a6cu;.
MMtae Saa)tt<~ Nicolas d'Otesme, Ranulphus Hydgen,
t~ee!e ~gU UtMrH, Jean de Nmde~Me, BeceMe,
MUM~ne,– BatthotemeaBAxeMMS.–Gefmis,– Meebatdo
deFenate.§!X,p.<St
XV'Nt~LE.
MMtËMEPARTŒ
~eaHMdam~en-~MMdetMMBdhneMteM. §V,p.t9T
Tous tes systèmes des géographes de ranttquM M tMuMm
reproduits domles cartes dem<~eB-&se,atMtqaetes theettes
eMmeaMphtqaMdMPtMsdet'~HM. §Y!,p.W
Du tracé des mappemondes du mayett-aee .§ VM,p. eM
Des eatteamphes qui MpftMBtent te monde dMst en deex
parties. §VtM,p.a9r
Des em«<gtap)MSqui Mpt~eateat dans leurs mappemondes le
~temeMseten. §tX, p.
Des eatte~Mphes do meye<t-&t~qui conMnaetent à représenter
dans leurs mappemondes t'ABMeMhene. <m t'~er-Ot-Mt des
ancteas.eume fausse théorie de eeatsdttNH. §X,p.9~
Des cartographes qui représentaient dans leurs mappemondes la
terre partagée entM tes descendants de Noé. § Xt, p. Mt
Des earMftMphes qnt Butent dans tenM représentations du
gtebe la théorie des MMs haMtaNes et inttaNtaNes. § Xtt, p. S6
Des catMgraphes qui teptesentent dans leurs mappemondes le
rempart et le pays de e~ et de Ni~ d'après l'Apocalypse.
§XtM,p.ast
MM
Bet cmt<tapte< qui MptëwxtMt meeM ~eta la <? da m~n-
~?)~tMeM)MaHt~Mq)~m~Ka<<)a,6~<~e~'A)<MWe<
dePteMmeeetdMp~esde~t~ $XtV.p.M~
Pt~tës qo'CKMmat~M <hM ht mappemende de JMttMOm,
ea~H.–Aat~decemeaomeot. SXV,p.eM
Manttm ttMMtMMe dont t'Ma M tnnne Mt<M<e <)M!tles
M!)pj~<)MB~Ma~nt tas découvertes <M portugais aw XV'
a!Me. $XV<,p.Mt
tha dMMNam MMa des ~M<« qa'm) NXMtqaa dans tas map-
p<mM)<t6««hmth)aeMtM<ttma~ea-&ea. §X~n<P.<M
De la ~a<M!e mMwteaMment MX <tKm<M<MeeB<eftm du
XV"«M«. SXVMt.p.MO
(t) MuMay,
<MtM~«<Mn)y<~MM~ft<t<t.t.
11",
(t)Kcitetevoyage
deEnroenPatestine.eexx
deS.Bontface.peef
<ea
pMptesqa!eonCMtMm'ot'ientavecleMyanmedesFMnes:<)e
DM'Mt,
pourladesertptiett
desPolonais
et dela SibMed'OH«m,eteqoede
&l'liedeRugen
~tmhetg, daMta Mtiqae;d'Adam deBteme,
etde
6!faMas qui,sousHentft
Cambreosis M,écrMtunedesettptton
du
et unMNeM
paysdeGalles de)'t)j)attde
tempUdefaMM.
nxv
(t) LeUvreIl.duternet*'estconsacré
à lagtegMphte
desAMbe*,
ouphtttm
à leursvoyages.
Le livre ttt ne tralle que des RM~res de ta geearapMe pendant te
meyen-itge; U renfeeme tes déMMeMes des Normands; tes wtage*
dea Frères MineaNeaTtttafte.etcootde Matée Polo, d'Odette de Par-
tenu, de Mandetttte, de Pegoletti, et de Clavijo.
tXVOt
(<)Ve}re<MSBKtt<WtMMr<it<MM!tMrM<tMtM)t~<«M~««tK<<<MMf
t~ter (Paris, p.9S.94etM,MMa-
<M9),
M Ve~M t. XVt de t'JMMe&w<b ~M<Mm~ dea MtM-teH~, p. <M.
13) Voyez p <9S.
(t) Veyeit ZaMMi, Del Of~<w <t<<t<MM or<f, etc. Venise, MM.
–XM
(<)DansMBibliotheca
eed:eamMM.moMster!!S. NtehaeHa
Ve~
MUMnm etc.(Venise,
propemertanam, fol.mae;.
cet.MS.p.TM).
(9)Même p.iN.
Mt~mge,
(~ Voyez la Lettre de ee savant, Mf ce mjet, daM le tome Il des
MfM* ~mMeaffM de Catti, p. 519.
(4) Vo~et Keta de PeMtma, <M)WM)tt<a«aw df f<<fMf.
–MM––
parS. E.N.tecomte
deUMMw, amibMMt<tMt t;eme,à
d'Aetrtehe
M.tecomtede ~M,gw<emeatdeVenbeea MM,ettMtedterehea
queceMtenew OtMte,<ma'<paspa tedeeea~tf.
Andtes cite aaMt, d'ap!~ CmU, dans te t. XtX, p. ass de Ma o~
waee. la carte de CfaMmeefraMf, de t~S, et cette de Beamehts (Bf*
«B~e) de Parme.
(t) Le d&p&tdeaeMtes etpbM &Paris n'est pas le ptemteF tM.
MbsemMU de eegemm fondé dans BM temps medemM. li y a plus
itou sieete
d'an siècle (tm), êlilve de
Buacbe, étëw
(lits), BMMtM, da eetëbfe
célèbre geeemphe BeMe. tat
gèopapbe Dellsle, fut
dm~epat te mi de ctMMr et de mettM en <e)MMte~ BMtMa<Mqat
y Maient <? MNen&tea. (Voyez WatctteMef. M~n~ft M)t'M'~t/
t.Vt.p.tM.)
)&ge (i); mais cette proposition n'out pas de
MUtO.
t& publication faite en 1809 par Zur!a de sa
notice sur la précieuse mappemonde de Fra.
Mauro, en donnant les nombreuses légendes
rentermées dans ce monument (S), appâta dès
lors Futtenaon des savants, et vingt-trois années
après (1829), M.Jomard Mmmuniqm à ta même
Société deux lettres, rune de M. C. Mofeau, et
rautre de M. John Barrow contenant des ren-
seignements sur la copie ~s e.eac<cde la map-
pemonde de Fra Mauro qui se trouve au Musée
britannique (3), et dans Fannée suivante (séance
du 6 août), il communiqua le fac stm~c colorié
de la carte du XUsiècle de la bibliothèque cotton-
nienne donnée par Piayfair (4), et il indiqua
Fexistence d'une mappemonde turque de Fan-
née <559. qui a été retrouvée à Venise dans tes
archives du Conseil des Dix, gravée sur quatre
tables en bois (6).
(t ) VeyMMteHndetaSMtêtédea&~mpMe.t. tV,pMmt6M<<tte.
p.<a.
(9~ Voyet Zxth, Il ~p<WMM<te<!fFra Maure <httf«M < <MMt'~M
Venesla, t806, petit ttt-tbMe.
<S)M)M.,t.HV.premt!!MsMe.p.<S.
(4) Bnitetinde ia8oeiétédegéogcaptde, i.Xtl,denai8mo série,p.g88.
(S) thM.
(<) Ce ptmbpMM a M eenstmit pnr m* T)mMm, mmmt
BatMn<httSodét6dee~tapMe,t.xn,<temt&meB&rte.p.SM.
Adtt-Ahmed. LinMM~eUeEa~ne, dêMoyetrMM tiMB, y est CpMte.
WM
TMa MM~esap~s (i8S3),te m~naeMvant
diqMa la ~MBtét6 de géogMpMe(<) rexMeoce
diapOfMaBde GraciosoBeoiMCM& de i46$, et
M.J&MhettpMpos& !a p<itMicat!ondes
soixante-
douze petites cartes arabes du manuscritde la
SeogmpMe d'~drisi, conserve au département
des Mss. de la Bibliothèque nationale de Pans.
En <83~, M. d'Avezac donaa quelques dé~i!a,
qu'il avait reçNSd'An~etetre, sur des cartes des
x" et Xt" sièdes, qui se trouvent soitau British
Muséum, soit à Cambridge (2).
Dans la même année parut le savant ouvrage
de M. de flumboldt, intitulé: ~.coMteac~Me ~e
fjMMtOM'f f/@la GcO~tapAtC ~MHOMPMtM continent.
Dans cet ouvrage, l'illustre savant a fait mention
de quelques uns des monuments de la géographie
du moyen-âge (3). Nous en avons cité plusieurs
dans un de nos travaux (4).
Dans la séance du 21 octobre de la même an-
(t)Voict
MquenousHMMXcet~atttdtM
leprocès-verbal
dela
<4~nce.
Ce globe est en eulvre dore seten M. Jom9[d, M a quetques Mp-
ports avec la mappemonde do tcan Rxyeh, quoique plus récent.
(S) Si la carte en qaestton est de 1413,comment M.d'Amat pMvatt-M it
y reeonMttre tes t'es dn cap Vert découvertes Maternent vers la 8n de
ce siècle par Antoniode No!a, et qu'on ne rencontre dans aucune carte
a~anteettedeBenineasa.deiCt, dressée après tes voyages de Cada-
moste?
Ensuite, quels sont hM<M/!nM ht Azia, dont it parle (? donc s'ar-
t«atent pour l'Asie les Manaissmces de t'antear de la carte? De meme~
pmtrt'AMqM, quel est le prolongement de taeatteenqoesUom CaM*
fa Caf)Ma]'Est-ce ta Gainéedes cartes du moyen-âge, on bien tawat~
Cniaéet CuatUtee point, Une nous semble pas dMteat qaetaCatne~
–~XMtM
dansunecarteducommencement
MMqate duXV.siècle,
nepouvait
etMaMMquelaGuinée
desgéographes
dumoyen
âge.qu'Us
ptacateat
tmmediatementapt~srAMM.
Or,testn<Meat!onsdeees pMUentarttés et des détails relatifs à la
géographie auraient mieux tata que tes légendes qu'on teneentte dM<
ta même carte relativement aux jwrtw, aux eMeM AthaMfs.
«) Voyezt. Vt <tu BnBetin de la Socteté de géographie, deuxième
<Me.p.SM.
(~ BaMeHnde la Société de géographie, t. V)t, denïteme série.
p.es.ethht'dep~k
XMX–
CI) Bongars,<MMB<fp<rR''oMM.
(~) MoBt&)te<m, ceNMfe .Voeap~ftox, t. H, p. ttMt!. Le doctem
Vineent a reproduit ce nMaMmentdans son ouvrage pabM en i79T.
(S) tteppetmayer, Bttfafrt <~ mttMtxatMoM de SttfMtt~.
M(
(t~DeMofrpwNtala planche
renfermant
unepartiedata mappe-
monde
dontilestquestion
danssonHMefM<t<pb<tM~Mdnchevalier
deBehaim.
Martin
Cladéra, savant espagnol, reprorinisit cette même partie dans ses
fOtM<~<KfC)Mt M<<<M'<«tt.
(9) Voyez nos Recherches sur les déconcertes en Afrique, publiées
en <M9. p. STt.
(3) Ibid., p. XXH! de rtntrodMtton; et sur le eosmographe Attdtéa
Bianco, voyez le même ouvrage, p. XXet «O.
MM–
(t)Sprengei
publia surcettecarte,)tentletitrecou-
unebrochure
rmtest Ueber
MeeoBtbeM's
Wettktfte
HM.
(a) Déjà, en <S06. Baache avait pu obtenir une copie exacte de la
cetebMcarte de Panne des frères pùn~mf. Cette copie était faite sur
vélin et absolument conforme 4 t'origtMt. Ce géographe devait ce
précieux monament à la bienveillante intervenUen du général Ctaret.
(Veye: son MénmtMtntituté N'~rr~ Mr<'<~ ~tXNMa,dans le t.Vt
<)esMemoitesde t'tnstttnt, p. M.)
(3) Voyez Ms Recherches, citées p. <RS.
d
mv
t.
(t!V<Me<nwf<t<<f<&tf~a~<<tM<:emf<t~MttMM''Me<<'A~«~<tt,t.
(9) Voyez ce que nous disons au stjet de cette carte dans nos Be-
cherehes sur tes déeeuwftes en AMqoe.cttees p. fM.
dans !a Mappemonde de Juan de la Cosa dressée
eat8<M).
~ns t'année suivante, <??. JMt. Buehon
et Tastu publièrent la car~ cabane de i376,
conservée à la BibHothèque de Paris. M. Nau<
mann publia aussi de son cûtë, a la suite
de son Catalogue des manuscrits de la BiMiothe*
que de Leipsick. une mappemonde qui se trouve
dans un manuscrit de MarcianasCapeNa de la
Mbnot!tèque de cette ville.
Dans !'annoe suivante, t839, M. de Hum-
boldt puNia, pour la première fois, la plus grande
partie de la célèbre mappemonde de Juan de la
Cosa de tSCO,à moitié de Fécheue (t).
Ainsi, dans l'espace de plus de deux siècles
(<6t< à t839), vingt-trois auteurs se sont bornés
à donner, pour la plupart, des fragments des an-
ciennes cartes, et huit seulement publièrent ces
monuments en entier.
Or, tous ces monuments ont été reproduits sé-
parément, soit à la suite des ouvrages dont ils fai-
saient partie, comme la mappemonde et les cartes
de Sanuto, et celle de Cosmas publiée par Mont-
(t)Nous nementionnons
pastesdeuxpetitesmappemondes
deM<.
deGuidonis,
pnNMesennoirdansleCatalogue
desmanuscrits
dela
deBourgogne,
BiNiotheqne parcequecetouvragea paruen<Ma,
aprèslapremière desplanches
pabHcatien denotreBecneM.
~m
en partteparN.de Hamhotdt,
transerit danstet. p. 80,notet
desonj!!Met<')t detWtMfre
a-f<~«e dela<Moy'op)M~
<<M <-<MtM-
.Vo«M<tM
teNt.Nous
t'avons
Mgnaté aussidansnosRecherches
citées,
paMMe&
en<8~,p.CVM det'httftxhtet!<Ht,
etp
MUV
8ehea,tfttt.deh t<K.fMe..VtM, M.
(<)Voyez
(<) La ptemttM parue seule de cet ouvrage, taUtaMe Mr~ de la
tMf tjH<r<nt)v,s'est conseMee en deux livres. Dans le premier, Mar-
etea deoftt les eotes depuis te golfe de FANMe tmqa'aax Indes, en
sttt'MntprtndpatementPtotemee. Le seeoad livre étatt consacré aux
ettes eceMentates 'et septentrionales de t'EoMpe, et & cette ece!-
demhttedeht~bte Cette dern!eMpattteestpetdae,NafqBetqaeafMg-
méats. L'Mtaar y dôefi~Mtles cotes de la mer intérieure ou Méditer
ranée, d'aptes ArtéMidote d'Ephese, complété par les itinéraires de
~egMphes plus féceots. (ibid.)
MMMt
<t) Ventes
tf<t<tmenta
derEphome MM<m
d'ArtémtdMe, deMtttet.
p.<Mem3.
(9) VoyetSehoët, o'KMge cité.
(S)M. LeMOBttepense que le Na<<f<xtM a été eompas6 oM tpetpe
plus téceme que le IVesiècle. (VoyexFmamems des Peëmes (teegKt-
pMqaes de SpWM de Cbie, par ce ~MBt, publiés Paris en tMC,
pa NM). 1
MMV––
d~~en~g&pMqt~ét~deQmtorMry
devînt Mpendant/auVM~ siê~e. la ppNaïeM de
toute l'Europe; Bs'yj~rma des seyants illustres,
et de nombreusea bibliothèques tarent crô~s
dans les couvent de la Crande-Bretagne. Cepea-
dant quelques hommes c~èbres s'occwpÔMntde
la cosmogfapMe et de la ~c~KtpMe en ptéNence
de ce grand bouleversement social. (~smas, Jor-
nandès, Grëgoïfe de Tours, MaroianusCapella.
ViMusSeqaoster, saint A~ite, Pnscien, PMcope,
Cassîodore et Leontius nous laissèrent des ou-
vrages dans lesquels les restes des systèmes des
anciens ont été conservés.
Pendant le V! et le V! siècles, le désordre et
la guerre continuèrent dans toute l'Europe. Les
sciences géographiques eurent néanmoins pour
représentants Isidore de Séville, Philoponus,
Bède4e-Ven6raNe, saint Virgile et un auteur in-
connu.
Acette époque, un peuple, à qui les sciences et
la géographie durent plus tard des progrès et de
nouvelles connaissances, prend une grande place
dans l'histoire du moyen-âge. Les Arabes com-
mencent, sous les cali&s, à parcourir en conqué-
rants l'Asie et l'AMque ils s'emparent de la
Syrie, de la Palestineet de l'Egypte, de Barca,
MX~t
(i)VoyMte§!V,p.!m<6.
(2) Voyez p. i00 à 183 de la deuxième parUe de cet ouvrage.
? Veyf:: BattteaM, ~&t'« t'atttMHarxot Kr~'<erM «Mtpt't.
MWtM
le !ecteut s'en coa~amcra dans cet ownr~e, aa-
CtmpMgres ne se manMesia,quoique !es Chré-
tiens aMassentchercher de rinstruction chez tes
Arabes d'Espagne. Dans le siècle suivant, deux
cosmographes seulement égarent parmi les sa-
wn~decetteepoque; ils, adoptèrent,de même
que leurs prédécesseurs, tes ihëor!es sysMmat!-
ques des anciens, dont B~necFoyaîentpas devoir
s'écarter. Le Xn" siècle est déjà plus riche en au-
teurs qui se sont adonnés aux sciences dont il
s'agit; et à mesure que nous nous approchons du
grand siècle des découvertes, on voit le nombre
des cosmographes et des monuments de la geo-
gr&pMes'accroître.
Ainsi comptons nousdéjà au XUI"sièc!edix-huit
cosmographes, et c'est à cette époque, que l'es-
prit de discussion soulève et agite la question des
zones habitables et inhabitables mais malgré ce
commencement de progrès, dû à l'influence de
la lecture des ouvrages des savants orientaux,
et malgré les efforts de Sanuto et de Raimond
LuUe(i), les cosmographes n'en continuèrent pas
Perse et dans t'tnde. Ce projet est dewtoppé dans son Uwe !nUmM M
f!6<e,compose en 1303.
Ce savant visita t'Armente, la Palestine, traversa l'ltgypte, et ga-
gmmt Tanb par terre, 11retourna en Espagne.
EnBn, n présenta an eoncUe de Vienne le projet d'en établissement
d'éeoles de bngnes orientales dans tons tes pays catholiques. C'est a
M qu'on a d&ta creattonaeseonrs de tangues hébraique, chatdaîqne
et arabe dans qnetqttes universités de tTEspagne.Après avoir oMenn
ces eoMesdens, M retourna à MaBorqae; mais bientôt a reprit ses
voyages. (VoyezEseotano, Historia de <Ma«fa, t. M, c. Si et sa Mat.
a<st. deMaUorque.t.!t, e. aet sa~. CE tticoheAntonto.BibMoth IX.
e.S.etNa~art~te.MssertM.).
MM
t'aW$.!e <e<McembM
tMB.
PREBHÈREPARTIE.
S 1.
V' SIÈCLE.
p.SU.
apttdCemtmm.
(i) CMmthe,
(s) Voyez nos ttechoMhes su la dfeMwefte de la ebte eceMentate
de l'AMq)~, pa~. XXVït.
Cmt~ tpttd eeetftMm.NMMnta Astronomiea, cap. XtM, ln MmM-
6~, p. Si.
Amtas, dans ses Phénomènes. Voy.637.
V<qm'aMst, sor cette tMmie, CMen~deaiM~t~ Mh. t, c. 6, p. 33.
(S) V~s thetchc, <t<.!a)M)~«i)t~<M&, Hv. n, ch. tX, MMoa da
Nbmd.
--&
diverses mappemondes du moyett'age MMtCrmet'a
dans notM Atlas.
Il divisa l'hémisphère en cinq zones, dont deux
seulement ~oteat Aa~a~ < L'âne d'elles, dit-il,
< est occupée par nous, l'autre par des hommes
< dont reap&ce nous est iueonnMe.e Setoa lui
l'hémisphère eppesé avait les mêmes zones que le
nôtre, et it soutenait qu'il n'y en avait ëga!o<HeHt
que deux qui fussont habitées. La zone du centre la
~tM ~<en~Neest, selon lui, embrasée de tous les /bMa:
du soleil. Deux sont habitables l'australe, occupée
par nos antipodes, avec lesquelles nous ne pour-
rions pas avoir de communication, et la septentrio-
nate où nous sommes. Ensuite il soutenait que toute
cette partie de la terre était fort resserrée du nord
au midi, plus étendue de l'orient à l'occident, et
qu'eue était comme une Me environnée de cette
mer que nous appelons Atlantique, la grande mer,
l'Océan, et qui malgré ces grands noms était bien
petite. Il prétendait que la zone centrale était con-
séquemment la plus grande, qui était toujours em-
brasée des /etM?de <'cs<fcdu jour. Que les contrées
qui bornent de part et d'autre sa vaste circonférence
étaient M&eMiaMe< à cause de la chaleur excessive
qu'elles éprouvent. Enfin, que des deux zones tem-
pérées où les dieux avaient placé les malheureux
c
MMfteh, il n'y en avait qu'âne qui Mt haMtee par
des hommea de notre eap~e, Rotaaïes. <SM<!8 «a
SarBaMs: c'était là xone te<npé)<~ho~a~.
Otese, aateor d« m~me stëete, et dont t'CMVMtg~
exe~a aM~bea<MKMpd'!aO<Mace sur les cesMMgHt-
~es du meyeo'~e et sur ceux qui deas!n&Mntles
mappenMMMtes pendant cette ïoMgoep~tMe histo-
~que, ne eotmatasaitpaa non plus la forme do t'AM'
~Mecî aes inMNS c«atooM. ni h<eCt~t~Mem~e au
delà du mont Atlas, ai teacoateofs des pëninsM~
de rAsie méridionale.
L'AfHqMe, dit-il, commence à t'cxtt<ën)it<!de
l'Egypte et de la ville d'Alexandrie, où se trouvo
située la cité de PaMB~oatMM (la Marmanque), sur
cette grande mer qui figure toutes les plages et les
terres de là elle s'étend vers ces lieux, que les na-
turels du pays appellent Ca<a~t</«wt(Mannarica),
dans la proximité du camp d'Alexandre-le-Grand,et
sur le lac Ca~ar~tMm, ensuite jusque i'extrémité
supérienre des conSns des ~MM~M (oasis), d'où
elle traverse les déserts de t Ethiopieet va ~ar~cr
e f<?<~OH méridional.
Ainsi, i'AMque d'Orose se terminait aussi, du
côté de l'orient, vers le iS* degré de latitude nord;
à la même latitude vers laquelle Erathosthène et
Strabon plaçaient les limites de la terre habitable.
?
Quant a ta parttaoeeMentate. il eta!t eneor&phM
«fFie~, car il dit
< ~twrnes derA<!WqMe, du c~dct~ecM~t,
a sont tes marnes qae ceMesde t'Ea~po, e'est &
« aavehftM gofgea du ddtmit de Gades. EMaMt
e donc au mont Atlas etdtMMtM ttea qu'oMappoMe
« f~rtHM~. a Par ee)M<!quem,!t <w<m!Ma!t la par-
tie eeeMoM~teaux MeaCana~MS,<t'~t*a'<t)Mon
de§&~ cap Brader.
EMoe qui eoMMrnerh'téneut' et te ptwhMtgenMMt
de i'AMque, nous allons moutror qu'M.!gHOKdt on-
ti&Mmcntta VMMforme et les contours de cet hn-
mense continent. Les passages que nous attens tpatt-
scriro servtt'ont aussi à démontrer plus tard que
plusieurs dos mappMtMMdesdu nwyeH~e fureMt
dressées d'après !e système et ta theor!od'OMse.
< Les anciens, dit-il datts ta descr!ption de ta
a troisième partie du monde, c'ost-a-diro de t'AM-
« que, ont été guidés plutôt par les considérations
< d'une division raisonttaMe que par celles de son
a étendue. Cette grande mer, qui na!t de l'océan à
a l'occident, s'étendant pius vers le midi, rend trop
étroite t'Afrique en lu resserrant entre lui et l'0-
a cëan. De là vient que quelques auteurs, voyant
e que cette partie du monde, bien qu'ogate aux
« autres en longueur, éta!t bcauc&Mpplus chiite,
.8-
«DM veuïant pas tad~cetwdu titMwotNia!eme
e partie, h mngaant dana t'Eat~e~ ?0 i~nt Mac
a aMOMaepartie. En entre, t'AÏHqae ayant une
a étendue beaucoup < nha gmnde de teHfeincatto et
a ~eiMMMC, MtMCde fM!<Ctt~ de fa e&a~Mr.
que rEt)M'pe M'en a a caMMdu <Md. Par
« tM~ea cos MH)!eM,t'AMqae doit atre bien aM
« dessous des autres parties du mmtde, tant ea
< ~a~e~tt*~ p~M<a~M,~fM~M~~<f~tM<M-
a M~~Mt ~M<pet&ee<MMMM pCMp~, eetMede
H <*M<eM~Me du c/MHet.
? passe ensuite &énumérer les divisionsdes pN~
ornées et tes peuples qui t'habitent. Au midi des
TMgtodytes, il ptace t'Ocean éthiopien, qui baigne
aussi au midi le pays des Gapamantes: par censé*
quent Orose a placé i'Ocëan immédiatement après
le Phesan actuet, c'est-a-du'e vers le 28* degré de
latitude nord (<).
L'AMqae décrite dans la cosmographie attribuée
à ~Ethicusest presque la même d'Orose (2).
TeUesétaient doM les connaissances que les sa-
vants avaient au V* siècle, relativement a h forme
de cette partie du gtobe et des zones habitables.
(t)HtMdete,Mv.M,SM.
~M6h,!hr.t,e.4.
2
te
(t)Voici
tepassagedeCassiodore.
qu'eatrouvedanst'oMwaeedont
Mestquestion
dansletexte,obcetautour
dit,thap.XXV de
(édition
·
Ptfb.detSM):
CMm<~)<!ptM ~<"MtM<'~MafMt.
CeMMjtMphesquoque aeMam veMa pMOttMttdam esse non tm-
metHe mmdecMM,ut téta singula qurn tn Libris SitMtb tegM~ ta qM
parte mundt tttnt pMtm.eftdentet eosnosteM deheatb. Quodwbb pro-
tMtetahsehtte, st MbeMmu MH emKtrb quem Mbh MMqat, atadtMe
tfgera tMUnetb; qui maria, insatas, menMs (amMM, provinclas, cht-
MUesNomtM,geaMs, tta quadrifarla dhttMttene complexas Mt, ut
pene nMt Hbte tpat dMtt qaed ad emnMgtapM notitam eegMscttm
pertinere. MaKeKtnm de qxe.jem dM, pari eaM )ef:end)Mest, qui
CMMtftnttMpoMtmamcMtatem et utbem tMeMMtymoMmquatuor
ti)MM!tmtnutbsttm mrHUtene eMMCttpstt.·
Ensuite M recommande la lecture de Denis, et les mMMMtM de
Ptolémée, où t'on trouve la Mttee de teates les t~gtotts.
? Obejrttnpense que cet auteur a «M aptes la ctate de t'emptM
de t'eecident, a)K V', Vi* et peut-être même aa VIP steete. &herMna
&? voir qu'H cite tes commentateurs qui ont veot dans tes V* et
Vt' steetes.
a8
§m.
VM ET VMt SOCLES
N)nemm 6ÉVt)LM,
cmMMMN.B6BB tB~«ftBtBt.B,SAMT
vtBOttB.MBom B'mAtnmea
oBeoMmtQCB meem)e.
W &uNrittMdaeMon
denos&iet<Ktf*. eo <Ma,p.XH,
pobMtœ
mHmawnsaMt~hpatMe tm<M<teaiM&MM
gfotMpM<)tedttpem
<~pett!.
–M~
de 8<MMe se terminaitmas! Meo en d~ d« r~MÏ'
n<Mt!a!e.Eo~ aptes $vo<v~teNatn~ b pa~oa de
~Me~eoecMMttetoda~hMaM~tattie. M admet
aHMtt'aBt!ch<hene,<w NOMtenaotqM'My a aae qua-
t~&oMpartie du KtMde, aw~M de rOc~aM!ntd*
r!eMp,c'eat-&re aMM~t,qui en M!sot)) daraM<CMf
~«M~<, est <Ne<MtM)M, et dans FextWhmMdeta-
quette en prétend que !ea antipodes fabuleux font
leur demeure (i). Les soutes Mesde FAMque dont
il Mt mention sont tes Canaries.
On voit donc que tes connaissances d'tsiderede
SeviMe, rcMvemcnt h la gëogmphie do FAMqMe,
étaient les mêmes des anciens. Sa théorie du cours
du Nil est néanmoins celle de ta cosmegmphie des
Pères de PËgiise, c'est.a.dire qu'il venait du Para-
dis, et par conséquent de Forient (Z) vers l'occi-
dent, comme nous le mentionnons autre part.
tean PMioponus, grammairien ceièbre d'Atexan-
dtie, qui vécut vers le VM*siècte, du temps de
«) VoymhMeMdeSMtte.&Mt.
deVmbede t<M,M?.tV,t. N.
~Mtjfe.
Ce pMM(~ a «é eopMpar t'aeteM de la thppMMnde de Tartn, qui
a t~tedott eeMeMtto~e.
(i) Mdm<, Nw.XM, dap. XXt.. Be aomtn&M. 6eM aa~tm de
t pMadbo <n!em nntwtmm ~M~tm chteem, ~ecatM hce nMdm
<taxdmMe)Mnte âme tmmMtonb MKMt~atU Matt." npa~e
MMiMd)temtje(rNMB!,daTtSM et de r&tphnHe, qat Mttent'em
dont M Mt mentho est te 6!M
da Peradis. Le Mat neate d'.MM<pM
ou M.
!t4
la Mappemonde
(<)Voyee 6~<Mp!tMduXV'ste.
d'unmtBnM~t
d ans
ele, hqMHece eyMeme MtrouveMpt~aa~.
V<~Mla mappemonde de Nicolas d'OresMe. dans mon AHas.
OWe. Mv.
?(t) Bede, liv. tV,
IV, De
Be Etementis
EtemeMbPhttOMpbtiB. p, SM..
Pbilosopbl:e,p. U1. Est.
est efee
crue tetm
terra
etemeMam ta Bmdte mnndt posiMm. Kamque term est tn medte,
m medimttam est ln ovo ctfea hmc eat aqua, estcftea méditât*
tom est albumen dMaqaam est aer ut paonleulum eenMneMatbn*
men. EMm WM «BteN ceMtttdeM est tgab ad modam tedte e*t.
Htee
Illu terra
tena la)n medlo
mediemundl
mandt aie pM:M),et
s!c polia, esttnde
Inde omis
emoh reeipieu
Ketptem pon-
pem-
deta et si BahMaUtet<m Meida at s!eca tn db~Nh partibus suis,
et accidente dheMas eeattoet qaaMtates. <*«'<enf~ <?« Mr~~
parM <Mrttttt~etM, ex ~rMM M~t «~<<<aest, et faMtMMKt, sed duo
etasdem capita <!oabMsM~Mbpartibus snMHa Peigidasont et tn-
M
< qtMMqaapw sa nature eWeaeit fraide et s~he
« daaa ~?8d!MM pwt!Mdht eequie~ aecMeBt~
temeat diMeccatesquaMtes Mtf &t per~&M qui
M<f~~M<&t d fae~M <etV~e(«Mbrutante)~e<'atf
« ~)~e ~Mf M~ e< ~a~MMe; Ms
« dcttx Mt~M! seot Mdos es !nbaMtab!a8,mais
<' b )~p<icnqui se tMmveptae<!eaoy ta zone tem-
« p~~edera!f~tau8s!tetM)~t~$Mhf)M<oMe. e
ErnMUeMreproduit !e m6mosys~me de MacKtbe
des teDWsopposéeset de !'Ant!chthone.
< My a deux parties de !a terre tempérées ot
a bavitables, ajeMte't-M,une eMdeçà et rawtre au
< deta de !a zone tornde, mais qun!qne toutes
a deux Mient haMtaNea,MOMs cFoyottsqa'it n'y et
a a qu'unequi soit naMteepar t'esp&cehumaine(<).
a et encore seutement en part!e. Ma!stes phitose*
phes fbnt mention des habitants de toutes les
haMta«<tt~
paKvem MmpeMtN )Mttt!Btb
Mt~eetatempeMtaestet
pafMsttttM
habitahMb.Sedqata.atpmatMmMdmB <aBt,
tempeMUe
<tMZh <MfaMmttmnpemMe ethzNttMtespaUentM.Mmettm
te~tdam
Maam, aMeKt
nMem. Se<qMmtte amm
stnttmbttebMea
Mmen MntxmabhemMbas haMtMt cMdtma~Md tamenneeMMm.
SedqnhpMtMOpM detMMtaMtMuM oMaaqttenMquttM stnt,
Mdq<tta
MMpMsint deMtbqNM
teqttnntttt. MMpM
n<s<!M<t!m)M
tnteHeemm
ieettcab etc.
dteamM,
pMt09ep6tete u
())LamappMMadedeTmrh. queMMdeaMM damne'MAths,
MpttsenM dethcMbe
ees:stëmecetted'anmanmertt doX*atecte,
d'Honett
d'Aattm,anXM*.et ceMe deCeeeed'AsceMMptesentent
XMit!ee<')t<(t!'NKt
<–tM~
< doux, non qa'iis f'y tMMvent~Mtetnent, amis
< naree qo'it~ peuvent s'y traaver. t
Ce cesmographereproduit enfinta syatetoe de Ma-
crobo,wyst~neque H«t)sverrons ~Ht aasa! HtpKMtoit
par d'autres etpar rauteop de !acô!&btentappe-
monde do Turin que nous doonens dans aotM At~tt,
savoir qMetes habitaMsdes deux terres eppos~as
et ssp<t)K!e8par la xone torride ne pouvaient pas
eetMNOMtquet' entre eux.
a L'eeeaM env!fonnaMt,dit-il, avec ses Nets
« tes cotes de la terre presque à la hauteur do t'he*
a HMM,ta partage en deux dont Mous habitons la
a partie supeneure, et nos antipodes rinterienre
<' cependant M<aucun de MOM~ MepeMt aller chea
o eMZ,ni OMCMH <<*?!<?
tM peM<arriver d HOtM (i).
L'auteur montre encore ptus que de son temps les
Européens ne visitaient pas les centrées situées
sous les tropiques dans ce qu'il soutient au sujet des
zoneshabitables et inhabitables (2).
Sa division de la terre prouve que les connais-
sances de ce savant au sujet de r Afriqueétaient
tes mêmes de ceux qui l'avaient précédé.
<'AetKMmie
desSeteneM
deBefMn !t )apage&H,avecune
de<8<5,
et desnetes.
pt~CMe
La BtMtMhcqae de Paris t«Mscde un autre manuscrit, du X* siècle,
de ce peeme, et selon M. Pertz, eeB deux manuscrits ne totent point
eeptés l'an de t'aatM. Six années opt~, le même savant trouva à la
MMtotheqae de Wanboure an aatM maBMMtt, du tX' siècle, conte-
nant les premiers vingt-un vers dn même peeme, avec le tttM
CMe )B<md< « Mt~ttMMt e~ttt MMMt.Deux années aptts, te même
savant copia dans la Btbtietheqne de fCniwtstte de Leyde quatre-
ttt~t-dht vers d'un antre manuscrit tntttnt& f%HM<f<~fe « de uni-
o~~ e)M)<«MM, ce mannscht se tMaw dans le codex fM~a<)M,96,
dn commencement du tX* steete. Ennn, M. Bethman tutcemmnntqna
la copie d'un cinquième manuscrit de ce poëme, qui se trouve dans la
BibMethëqnede Saint-Catt, et qui est du Vttt' siecte, ayant neuf vers
de plus. Dansaucun des manuscrits M ne se trouve complet. Nous ne
possédons que cent tin~t~nenf vêts.
Le cosmographe, auteur de ce poème, paratt avoir suivi le système
de eeM qui partaaeaient le monde en deu< parties, savoir FAsie.
formant la moitié de la ter'e, et t'Atrique et rEnrope ensembie for-
mant l'autre partie; tnëoh* que piudeurs dessinateurs de mappe-
mondes adoptèrent, comme nous te nMnuonsdans la 'm" natUe
de cet ouvrage.
st
§!V.
tX StÈCLE.
t.'AtMtK)m!
os MVNtM:,NeNt. MMtf~ACB, AUMM
M MAM
(t) D'àMtMe dit qa'on ne peut que citer le nom de Mtwtt, qn'My a
mCrnede la diversité dans ce qui concerne leur etnptMement. (Voye~
Gée~taph. Mtden., t. m, p. ii3). Mais C«sse!<neoK~e t~An~Me et
montre que cet iMastte ~eogmpte en phemt ces penptes ta txmteaf
et même au midi da cap Bojador, n'a point Mt attention qo'Mles Mte-
gM~t à plus de cent lieues au delà des limites deJa Mtmrttante 'Ra~-
MM,qa~qaeMht«<tt<Ht (Htxt.ottw., M~.V!,etap. M) q~Na etatent
sur les MttNnsinmtedtats.
*<.
(t) Othba MttMMMtate cirauti dtetM qata steat Mtt est. Permom
teme Meo MrtpMm M!Mm«Mat. (DeUntweMo,Ilb, XM,ctep. «.
Bt«)~.
M) Ut. Xt. mp. a, BeeeMM. n y dit C'Md ctreutt m '"a~-t
ettan. a
M FitMMmteMmMM SartpmM ottan weat eo qaed Nsptcten-
tM<M eatemntiatem <()Meh~tae semper apparat, quem etfMtom
émet, hmtMBta sécant. Quatuor aatem eatdMbas eam t&KMttdi-
ctt; quia qmtnM tttdtnM quatuor ansotes <tMdMtt ttgeMetmt, qui
<ntM ptaid~tnm terne etteatum eonttMntw. Nam st ab Mtmtb
CtN~tM ta OMtMmet h ttqtttteaem Btn~ttM MetM Unea')dMM, Bt-
n~ttef qaoqMet st ab eccMenth catdtM ad pNattctos eanttnM, M
e!t, aastMm et <qnMenemata~atM MctmMaeMtendM! &cbqaa-
fmtam tente tatM orbelm pMd!ctam. Mv. XM, cap. a. P. n<
Et plus tetn, p. <M: Diviens est aotem B~t~ t qahm ma pars
Adt, été.? .–Btpah M Mt Uade MMentM orbem dtmtdtmn dme
teneat, EoMpa et Attirtea eMM)!Mtw<tfN)HfMt <et! <Ma.·
–se–
Msait ~MdHc <hm$ MaKv<w«Mptes ~MoMata:
Mp!aceattastle paradisterfestMa ~t~mH~ la plus
orientalede ta terM. n deer!t ses a<~tK)aMMpvea-
toux Mn'y a ni froidni chaud d*!mmensea soM~es
d'eau arrosent toute !a fordt, ety pN'naanttmtM
soweM, !ea « Quatuor MOM<at~a ~MM«Mp<a'e~Me
« pM<~Me«Mm&eM~tM a~M< &<e<MMM est (<). ·
PM~Hdit ~ao le Paradis est ceint par MMmu-
ra!Made fou (S), et los quatre louves du paradis
an'osentla terre (3). Cos Oeavessont !e GaMge,<o
Phisondo rËe~<Nr8~a!ate,oùsaint Marca pMjjMgé
t'Ëvan~te, et le Tigre, où t'Ëvangitede sa!nt Luc
fut propagé,enOn t'Euphrate(4).
Du côté du Mord,us eonna!aMacMs'ar~tent au
Caucase.LAil y a des montagnes d*or,maiaon no
peut pas y pénëttw a eausedes dragoaaet des grit-
fons, et des hommesmonstrueuxqui y habitent(5).
«) DeOatwMM,
Mhaf cap. <?f~e<f~.
XM.
C<).jmM~aMo<tftMtM. (Voyezta MappemMtefe&ttnte~MMt~e.
tôt l'a ds~ete exactement de la <MfM).
(!) <M< M*.Xt, Mp. M. p. <M. Heof~tM.
6MB Mm de ~mdtM etteM. atqae ontMMttm~Meptam eh-
)tNN,MMtm hec Mmtne, quod tneMmente Nm eitondatteab tw
<' Mm~EmfP«iKt~et. fMM tped ~eypttM Mies Meator pMptef
Matmn.
(*) DeCnKMNe,liber Xt, ttp. «t. jM~aetOtNM.
? tbM.~Mb.XH. Mp. tV, M a~M~, p. <M lbi Mot et mon-
tes amtet, qms adiM pMpMt dmeeBM et gtieN et MBemmrtm te.
miMm nmMtm tmpoNtbHe est. ·
Aa dMp. tV du MvteXt, <)parle de la MMiteKattee, et My dtt. que
~-40-~
W E«m ttM aMern pane* orMs <t<M)rta pNs tMM eceNmm tnte-
ttet tn tMtHte, ~me a s~b mdote tneaftatta Mbb est, !n e~m
< aathasaBttpodM Mmhse inhaMtMe pMdmtmr.. ·
(De Unlverso,Mb.Xtf, cap. !V, De B~mfeM, p. iM.)
(~ V~m CosseMa, Recherches sur ta ft&~mpMe ~stémattqM des
andens. 1.1. p. MO.–S'appoyant sur t'ao~tté d'Hêmdete, L tM, § 36,
P.9m.
4&
B'aatres vcyagews publièrent ensuite qo'on avan-
çant au aeHt-ouest, dans le voisinage de t'At!as, on
y trouvait une terre Foftwa~e.
Puis tes poètes transportèrent Menttt le ~at~M
des Fc~~MM au bord do ~Mt, qui se rend daas
FO~aa atlantique (t). EaCn, la découverte des Ca-
nanes dans des temps postdriettrs; en y tmnspotfta
pour la dernière fois le séjour du bonheur, et H n'y
resta Nx< que ~MFMqu'elles furent le terme de
toutes tes découvertes des anciens dans t'Ocean
atlantique. Aussi elles ont porte jusque nous le nom
dites F<M-<MMeM (8).
Oa peut donc dire des connaissances des cosmo*
graphes du !X" siècte, qu'elles étaient les mémos
que celles des Grecs dans l'antiquité; ennn, qu'ils
n'avaient sur tes Messituées près de la côte occi-
dentale de l'Afrique, sur t'Océan atlantique, d'au-
tres notions que les fables des Grecs. C'est ce que
n~ RecheKtes
(i)Voyez citées,p.XXXtV.
{~ Md, p. XXXtV.
pt) Lact)tm<tqaedeMehMatt6paMMejj)M H.PMtz~mNM~jKt-
atHMttMe~oMnttMttemeV.pMit.
Mc)Mtttatte<tetadMshtnd)tgh)been tMisptrttMdt<M)t)Mé&ee
<h)mebKM)<tae.CeMedttbhMesthm&Mq<eeeMedMmde<N.
4W
do geagMpMe attribué a Moyse de CtMtéae. Lors
mômeqae cet oavMge e~t été cempo~S?? cet aa'
tetH* wmeaien,oeMseu ~~Mts &!)? M meMien,
po!aqa'tt ~tcdia a Rome, â Ath&BMet à Ceastant!-
nepte la langue et la science des Grecs. Et, en e~
fet, le traité qat owas occupe <htFédigéd'aptes un
aatMt)ra!te de ~éegMtpMeoomposé pap Pappus
d*Ajexandr!e,qui vivait sous tétine de Thëodose
teeHmd,MaaMdM!V<'siècte(t).
Ce cosmographediviseaassi la teK'e en trois par-
ties, t'Europe, la Libye et t'Asie. Cette dernière,
dit-ii, est la plus grande, puisqu'elle s'étend daeôtë
de ronentjtM~M~ la txef mcoHKMe.
H n'était pas plus instruit sur la connaissancedes
contrées méridionales de t'Asie. comme le témoi-
gnent les passages suivants
< La mer de t'!nde, qu'on appelle mer NoM~e,
(t) Aumididelat~yeilpheetœCétotes.
Ellea <?Ce~M,
SpM~
lacs,< mentagaMet95pM~ncea. ettt rerteBtde
L'AM<ne h Nao.
étante, Mt te ttM~e de la mer. B place les ~meM tnf~ de t'C~m
dos ta mmMe)M Btmctte. L'EtMepte Méthme MMMMtf &tMn~
<)MMM)<w de <?< <&Mt<<i&)M. Bte Mnehe rCeeM et la M<ye tnte-
~emre, WMte mMt elle M pMtMte t)Mqa'&la Mne tMMme.
(S) Cette opinion se trouve daM PM!t<Bee,comme rebMfte mhn
Mmtia, note M, p. SM.
–(H–
< mMi,!a p!aea &~xt~mM du mottde (t): <Mt doit
<t appetep vMtitMentte mtMeu natieapbee ~nnc
< egate distance de teutfs !<Mextr<!nt!tes <C'<'j)rcc
< qui fMf&tat 4 J~Hsa~Mt, eomMc FaMM~Mth's
<atesË<tM<~(9).)'
t~a Mesde la mer Atlantique, M memMnaa <
Ma~M.K d!t a M M~et « TfOMttM, qM'etxappeMe
< les McoPef<MM~M t«mtMt~te~dMla Libye. Ma'~M
< tMwve<!ocAtôde t'MectdeMt <<!x
autres, et du c~
< da nord encore qMatpe~M!sont en thee da la Mauri.
< tan!e et du ddtroit qu'OMap~Me de & (CeMtn).a
Ces dëtaik sont diMërcots de PteMmëp.L'autour
decetMtté degëegfapMe !~)0twt néaMnMMttt, comme
tous tes géographes du moyou agp. tout ce qui cet)-
<'emaitles grandes mers extérieures.
La plupart adoptant a cet e~tn~t la théorie ho.
mdrique que l'océan euvironuait la ten'c. Celui-ci,
cependant, n'adopte pas même cette théorie il avoue
ne rien savoir a cet égard. Quanta dire si la mer
environne la terre incotmup. ou ai c'est le eon-
< traire, n'ayant pas assez de savoir, nous nous tai-
< sons, et nous ne décrivons que ces pays que la
< pied a foulés et que t'ccMhumain a vus. »
M pense que ce sont tes trois grandes mers In-
§ VI.
Xt S~C~
MtttMtt «MtMACtm. ~AMM.
§VM,
XM'MÊCU~
(<).TMte(<Mm)
e~osMhMesM!t mmqtNm in~MVt
depommtM
)tM~BHB~Md!eet
t~Ms~st e<mttaaas nMasBMB!
<Hes,VtM)emi:
emthBMBM.
h)&a~xMH!)~nes(t}: X~s nM~Ma~eatans~dansteura
eaFtea~d~ppesces <BBsm~Mphe~~a quatre Newvcs
qui avaient leurs saturéesdans le PoMd!s; ~s!hd~
qMa!eatdo tttéc~e. d'aptes ces tra!tes CMmegrapM-
qMes,qM<o ~<Me<eM'Mee~/MtAaAt~e~4? e'était
d~pt~s tes M&tnessoufees qa'!b p!aca!ent dans iears
cartes des lies fantastiques, saMsoaN!crrAttantMe,
tMias~M~SesoMste Mmd'~M~M~etqo'oo remarque
en)MMdans les poMohns et dads tes cartes de h
CMdu XV' s!èo!e (a). C'est d'après Honoré d'Autuh
et d'autres cosmographes, que lés dessinateurs de
(<)DeSitoTerrarum,
cap.<
Tm MBt ~t<M mundt, Ada, Eoropa, AMea, qMtUBt Asia tMam
medietatm Mme. qeae est ad ortentem. tonet. Alla date illam,
<ta:Best ad a~denMm, et mari maene ab tntteea) dt*Muntm.
(~ < Habet A~tapMftncias meMaset K~!MM, qMMm nomtca, et
sKM breviter expedhaN sompto Mtht a Paradhe. PaM<<f<Mest tecas
In wien~ tNtUbm onmt ~meM tt~n!, et pomMiMantmaAemm
eeasitM. Mxt M~cm tibe, nen lbi Mgas est, nm aisttts, sed per-
petm aëtts tempettes. ttabet timtem, <<t~«««~ amnim dividi-
tur. FaTadhos Gnece, Bd<M<cedidtof Eden quod oMmqoejnne-
tom ln nostra Hn~na dtettnf hfrUM deNciarom. De<<M<tnwm)',
cap. n, p 5~, tom. Il.
–6&–
OaM aa doacript!ende t'Aa~ il <~petetasatAMMs
~Mes Mppac~ dant<!<<traiter de eMMMgropMe et
de ~aegMphia dont MOttaAvonspwM plus &aMt.H
<)Mnt!oMae en effet des montagnes d'w où t'en ne
peut pas aller &eaase des dragons at des gtittbns (<).
!t place aussi Mf<Mm!em ait eentM do !at<WMt(a).
tt n'eabtie ~s non ptas comme sea davaac!e~ d<!
parler des AmaMme!). tes place entM la tnarCax-
p!etme,teP<Mtt-R)M!n(tanterN<t!m) et te Tanni!s(to
Ï)OM)(3).
Mne connaît do l'orient de rAMqno que t'EtMopit)
supérieure. Sa description de cette partie du ~obc
est la même que ceHodonnée par tes anciens. Ene est
extrêmement rësnmee (4).
(<)VeyM dxlivreCMmettMpMqM
t'MMtyM <'H<HMrt
d'AMttm,M
tN.SVM.
(a) Sw )M th&ortesde SaitH-AagMUa,teyM p. M, § VU.
Sur tee ayt~nMa <t MdeMde Séville et de BMo. wyet 9 Mt. p. M
et M à M.
M M. t~ttoNe.daMM Nettee.imtiqMqae la sphèreM tnmMtMeee
dans le mmoMdt; nMb parmi les nmnbMait de~tM du même mana-
sMtt, qui M MOMent MpMdatts dans t'Aths de M. NMtM. ta tpheM
eu question, ni Menée aun MpteMntttten graphique dtt monde, ne
6'y t)fenw em~ée.
La M~mte abheMe eteeata eM~n~me, avec un grand soin, scn ou-
wa<e sur parchemin, et y t~eata on grand nombre de desdm et de
tgMoa eetertees de~Hneesà éclaireir le h-Me.
Sehm H. t<eNoble, on y MmM<taeatMsi M Mdmqae ttes bien des-
atne au fol. M.Les noms des M signes sont écnts t part. U amttïse la
notatten <t<den)B)entastMh~qne; les st~aes qui, d'après Jeur anan-
gement normal devaient se suivre dans tordre etd:M![e de Mh~
SMtyte, etc., sont au eoettahe eeBjagttés par eeoptes de ti en 6, de
&tM t pMdnite une combinaison que ce savant démontrep. M7.
–.7S–
(<) Qulnquc MM <e) dfenH. Id est partes <ont dne M)tt«Me~, <Ma
fateMMM&t.TempeNte sant habttabt~s, «ff~tt Ma6<MtNM.Zone
vel cirouli qu!nqoe sunt. MmttS aretteM. Secandas tenrinos ttopi-
eos. TeKt)M htmet!n)M, qui a taUtadinb eqahtMMb dicthtr. Qaaf-
tas antaKUeos. Quintus e!mettnM; tatinp veeo MemaUs w< br)t*
matts.
(9) Ce qui nous parait ttts remarquable (dit M. Walckenaer en
parlant du Mss.d'Herrade), c'est la mattitre dont elle a ngarë le tableau
d'ettsemMedes comtaissanees htunahtes dont eUe traite dans son livre,.
Audessus d'mM tête à tripte &ee, qui est la Trinité sainte, elle a écrit
ETHMA–LoetCA –PttVSttt, c'est~~tM ta tMKtte, la torque, la p!<y
dqne; et ce dernier mot comprend toutes les sciences natoffettes, ma-
thématiques et physiques. Au dessous de la Trinité est le Saint-Esprit
<f«(t Mwt~tttte«ept s"aKM ~i dwn~tt naissnaee anx sept aîts MM
?a
Ben~K! daCha~rcâ.aM ~w«rM, composa aussi
datMteesH'eleaa oovFa~eos)!n~fapMqMe,qM'iM~
tu!a JM~acMHMM et ~CMeosmM (!e Grand et îe
Pet!t Mottde) (t). L'aateaf a puisé toute sa théorie
§V!M
xmstÈcm
(i) Vincent
dethtHMiadtt
quelesrégions
aMcatmeprèsdes.!qw<M
MtMM pt«d)t)Mnt /!tM' et dMMttM
<f)Bfa< « «nMfonM(eap.XV,
Mt.XXXt).
C*Mtd'après nM deM~~ten MmMaMeqa'AndfM Btence Mprésenta
dans t'Oetan Mspétiqm <mgolfe où on wit deux dragons et la Mgende
~Mtt <tt)MMM(sic).. »
(aj VeïM nM ttecherchet eMes. p. 4 et sah. (Parts. tMi).
Albert te6tmtd fept~ente la mer BaMqtM eemme en grand eot<e
le eooUnent
qae te
que en<tMane. On prétend q<t*M
eeeMMBi eDYironDe. qu'il lU'
mt te
le premier qui
qai ait
bien eomn cette mer htterteere et les eoatrees qui la limitent. (V<qftt
N&t. Mw< <<< ~atttf, t. XIX, p. 3n.)
p) Albert le Grand naquit en tt9ï et mourut le S novembre <IM
(~ t. XtX, p. 56!).
<M–
Mwes dea MeMtMME i~a'!t a MtHeeoque MM
tmMtMttau midi )~!a PaM9et de rE~ptea~-
~ent ~aa!eMM~~Mea M~MtaM~Mque tM~is,
qathabitoBa le MptiètM eMcMtt,)Mveyona ~N,
de Mêmeqn'a ne voient jaMa!s eeM~ do jp<He
aaFd.
Si Albert.le GrandB'avattpoint avoué qu'il avait
pa!oé aux sources orientâtes OMaamtt pu CK~M
qa'M aoateoa!Me fait dont !ts'a~, t'ayaMtpuM
dana l'ouvrage de Mine (<),iorsqoe cet auteur traite
des constellations que tes TMgtedytes ni leurs
vaisins tes Egpptiens ne voyaient jamais, savoir
tes sept étoiles du Chariot, comme tes Italiens ne
voyaient jamais leur étoile Ceac~HMni cette de
la Chèvre de J~~eHtce. Nous ajoatcroM ici qa'Ai-
bert le Grand puisait tellement aux soun:es arabes.
qu'on trouve dans ses ouvrages des nom mêmes
de cette langue. Lui et Vincent de Beauvais,
dont nous avons parlé plus haut, se servirent des
mots arabes pour désigner la polarité de l'aiguille
aimantée (&). T!t cite eoovent Averroès (3), Avi-
DE LA PAGE
A LA PAGE
M
et plusexactement
()) AvtcemM, ~eatdos tesX.etXt*
Mt~sfae,
stMes. tlës
siècl~. Bes ce
ce derotef
dernier stecte
siècle My
it y avait nne nadneUon
awtt déjà MM traducüon latine
lsüno <teses
de ses
OEavtes. MM par GeNHtde Cténtene !( TctMe,d'aptes an nMMScrit
arabe.
(9) At&Nbtus naquit dans la TraMOxaneet vecet dans le X*siecte.
La plupart de ses eawaees existent en hébreu, et c'est infaisen<Ma-
bbntent d'après ces ~etstoM que les Emepeens ont emma les êerits
de ce savant. (Voyez t'atttete que lui censMra M. ~nrdatn dans la
W<WMp&. Mtte., t. t. p. SM.)
(S) Atp~eti naquit à Thons, an Xt* siede, et ~ecot encore dans te
Xtt*. Ses ouvrages furent traduits de bonne beure en btin et en M-
brea.
(4) Mainmnide,eéiebM rabbin juif de Cerdone, Teent an XM'siecte.
(5) Ve~MnesaM-hetchesettées, p. LaUV.
a<
«gttétïqne y retient les hâtâmes, cotame t'aimaMt
« retient tei~r.x »
Ainsion voit qa'i! admettait une terre opposée sé-
parée par des vastes mers, et, par conséquent. il
adoptait la même tMoH$ que les andens, et que les
autres cMMogmphosdmMoyaa~~eqai renfermaient
t'AM~ae en dc~a de r~qMtHOxMe.
De <nëtae,l'opinion qu'il émetque le pouvoir ma-
gMët!qoeserait la cause qui empacheFa!t!eshabitants
de la terre aastfa!e de communiquer avec ceux qui
habitaient t'Earope, cette opinion, disons-nous, est
aussi puisée dans les livres orteutaMXet dans les ou-
vrages de quelques saints.
En effet, Ednsi parle des montagnes magnétiques
qui retenaient les navires (i). Avant lui, Ptolémée
avait raconté !a même chose dans sa géographie (&).
Dans le traité intitulé de ~tfon~MJ~'ac~NtaMOfMN,
qu'on attribue à saint Ambroise, un recteur de
Thèbes raconte ses prétendus voyages dans ttnde,
et en parlant de t'ite de Taprobane ou de Ceylan,
il dit
« Ici on trouve la pierre appeléemagnes (aimant),
<t qu'on dit attirer par sa force la nature du fer.
< Par conséquent, si un navire qui a des clous de
teM~wlaJhtMte~.
(!)Klaproth, CesataatciteS.Ambroise,
«f
Mat~tttt
J)Mt~t)<tnen<))).
Londres,
i665,in-4,p.se.
(9) VoyezKlaproth, ouvrage cité.
(S) ?., p. ai Cet auteur transcrit le passage de Yhtcent de Beau-
~s.
Les
anciens auteurs ehiMb parlent aussi de montagnes ma~éMqaM
de ta a'er <néridiona)esur les c&tes de Tonqntn et de la Ce~h)ch!ne.
et disentqM si tes tatsseant étrangers qnt sont garnis de plaques de
fer s'en approchent, !bi y sont arrêtes et Mom d'eux ne peut passer
par ces endroits. Ontes dit très nombreux dans la mer du sud. (Ouvrage
etté, p. tm.
83
nosBechetthM
ft) VoyM citées,p.LVet LVI(Paris,<<?<.
?) V<~MnotreanalysedescetMa<M<Mff<~~apiMpMf <f0rose,
J.
S!.
(3) Baeen c!te, en effet, tes auteurs arabes. La desertpHon de la
poudre eaeon est ttree des livres aMbes (wyez B~tMefM tfM~a&vde
~m)«, t XX, article de M. Daunou, p. aM).
(4) MeMe tero est terminas snperior neMBMt!tathmb seomdnm
PHnttttnMb.a. Nom a meridie ponti Mervem pr!ne!piam habltationis
note. (tteger Bacon, C)M)«M~a<).
(5; Dicit Aristoteles quod mare parvamest inter CMm Htspa<t<tB a
parte oceidentis et inter principium tndtaeà parte er!entb.Et Seneca,
as
S~e(asd~~sao)~der~<Mteur).etqeo,dan8
toMstesMeuxde fEthiepie,emh)peM projette vera
ta parité <nëFid!enat~
Or, oh voit par ce passage Pierre d'Abanose rap-
porter à aa auteur ancien et à des observations qui
concernent une partie de tTnde des cosmegrapbes
de cette époque, c'est-à-dire de rAtriqMeonentate,
mais il ne dit pas un mot des observattoos faites dans
la partie occidentate de ce continent.
Il essaie de conciliertes opinions d'ÂHStoteet de
Ptotemee, et par sa discussionmême, il nous prouve
qu'il ne connaissait pas les répons découvertes plus
tard.
En effet, il ajoute « qu'on peut objecter que ces
parties do la terre sont habitées, et que cette opinion
ne se trouverait pas en contradiction avec celle
d'Aristote, qui croyait qu'eUes étaient inhabitées a
cause de la chaleur, car une grande partie de ces ré-
gions (remarquez bien) se trouve occupée par des
mers, et ceux qui habitent sous les tropiques ou dans
leur voisinage vivent pour ainsi dire d'une manière
extraordinaire. Et puis il affirme qu'au delà des
tropiques, tout est tH~a~aA/e à cause de la chaleur.
« Ou peut aussi dire (continue notre auteur),
d'après des récits de personnes fidèles depuis le
temps de Ptotémée, que quelques personnes ont.
–M–
pass<Sde eespays-tadaMale ttôtre. c< ~~OM <e ~'(m
~a< M~Mf livres de fart ~M~MC, ~e~cs*
MHS des a~ (c'est-a'diFe de ceux qui habitaient~
xones tempëfêes). ~oM F<e~tH~e,ont ~aA)~ dans
les pa~ d'M t~MtMe~MMMM~(<). t Et pour NOMS
fournir une preuve de ptas qu'il s'a~sMit des ccm-
t~ëcssituées à t'onent, et que c*éta!t &Hade qu'il
M Mppoptah, et BuMoment a !'AMqae oecMentate
située sous t~tK~MpMs, Majeate hmoëdiatonMnt
aptes:
a On dit aussi
qu'il existe la viHe d'Aryn aux
< Indes (8), quoique d'autres assurent qu*t< est <tM-
a possible d'y aller et ~t t~yetH~, parce qu'H y a
(t) Voyez ce que nous avons dit à la pas. 80 à 89 sur la fable des
menta~Ms magntttqueii qui attiraient les navires,
?) Senec., Mat. Oaest., Uv. Vt.
(5) Voyezce passage et t'aMtysieque nous avons donnée <tatM))<M.
KccheMhescitées, § XXtt (Paris, MH).p an.
~St–
ri) HtH.
(a) Voyez nos Recherches citées, p. LIV et StS.
'X) Voyez ce phnMphëre <hM nottc Atlas.
7
M–
dwgh~e PtuataMMpassades de sa fritte te pFao<
vent, selon Maa, d'<m<noam~MasMz évidente.
]~)!ac<aredapoenMdNBante notMBMmtM'd'aboFd
que seNidées cosmograpMqueset géogmpMqoes&t-
rent paMesaux tMts sources o& pais~pentla plu-
part des <MsoM~mphesd*Mnepapi!<'dn moyen-ége,
aave!r dans tea <BMVFee des gëogpapheset des po&tea
dePant~j<Mtë, daas ta cosm~fapMedes PèMa de
l'Eglise et dans tea écHtades Arabes.Ce fait est tet-
lement évident qa*!t nous suMra, pour le prouver,
de dire que tous les noms geogMpMqMesde lieux,
de montagnes et de rivières sonttes mêmes que ceux
des géographes grecs et latins (i). Dans plusieurs
endroits, il suit l'Almageste de Ptotémee. M parle
même de ce grand géographe dans le chant IVe de
l'Enfer, et il suit sa théorie planétaire. De même que
tes autres cosmographes du moyen-âge, il place Je.
rusalem au centre géographiquedu continent consa-
cré à l'habitation des hommes (~), pour se confor-
mer à la cosmographiedes Pères de t'Egtise.
Le Dante a du puiser cette idée non seulement
(t) C'estainsiqm'oB
yUt ttoMb?~<m«'
N~te~,PMeat,ch.XXVt.
Ubye('t.),NtMo~fe ehMtXXtV).
(Enfer, AiMearsAbydos,
Fo~at-,
ehmt.XXVtn.
(!) P«tytor<e, XXVII, 1. u. <.
PtodettMmappenMndes, qaeneasdeMmns dans mureAttM, repré-
sentent ce sysHme. (Voyez la lie partie de cet MWteeJ
M
(<)/<t/tM)a,XXXtV,
(9) y«tw«torfo,tV, as; XXf. M.
(3) Sur la position du Paradis terrestre, wye< ce que nous MOM
te~t plus haut, lorsque nous avons parlé de Cosmas, d'Mdore de Se-
~tMe.d'Ataph et d'autres. Voyezaussi saint Bonarentnre, Compeadtuen,
M, 6t, et Isidore, B<!))Mh?~XIV.
–tM–
(1)V<~ym dansnotreAtlastesdMfétentes
mappemondes quirepré-
sententcettetheorte06,nonseulement
teParadhterirestre
estptacé
anxeMténtites dnmonde,
ortentates maisaussiMy estptaeedansune
terresepMee damonde.
(S)~MM,eant.XXVI.
pt;ft,edtt.d'Attam!,p.!S!.
Ma
~t, d*a~ ae )~~$~ te poète eroyaU
que los )~g!onsmtertrepîeah~a«aient inhaMtees.
~ea MMteaj))Mt!esde!*AMfmad<mt Mparte sont )~
~yeetaessaMMbrates par la a$!mt(<) det'ËtMe-
et ~es heKts de ta mer BMga ~).
Q<MH~& r~tte, H ae pa<<eque d'MtMmMMèmttés
vague <taspaya située au delà du 6aMge(3).
MpaN~t adopter aasst la them~e homérique do
r<M~!aM eMVtKMMMmt. te~qH'~ dH « <&e~t~ se ~t
tMvoilede la H~f (4).
Sa cosmologieest puisée dans !'Atmagestede Pto.
Mmé~ et datM eeMe des Pèt~s de rE~et comme
nous t'avoua dit ailleurs, et nous la montfeMnsptas
eu détail par t'analyse de quetqaea nMamnenta eos-
mohtgïquea. Si ce gfMd poète parte de constella-
tions australes, c'est d'après des observationaaatM'
nomiques faites par les Arabes mathématiciens CM
Egypte et dans l'Inde, mais le Dante n'avait certai-
nement pas l'idée de l'existence de ces constellations
par des observations faites par des navigateurs aux
mêmes parallèles sur J)a mer Atlantique ou à l'occi-
dent, car nous avons~démontré plus haut que le
tt) Jfa~tM~. o. 1.
mt vols a mm destm et pasimente
À t altre polo e vidi quatro stette
Non ~bte nMtifMt eh' à la prima gente.
t<M
aj~Mte~&sot tradMCt!andu Dante (< Cet Mademi-
eiee Mpperte que fopMen du ehava!!erC!aea!tM.
attela diMwtCMf de !'oÏMarvate!re de B~o~tf, était
que!e Dante pouvait avoir eu cennaisaaneede la
<?fOMB ~M<M«ifpar des reladons des Indus Mt~~0.
MMsce qui vient <MMore een~mw da~ntago notre
a8sert!M. c'est que M. Artaud, ayant 'MMaM M. de
Ressd, de t'Aead~m!edes ac!eMes. sur la question
de savoir s!, M'ëpaqae do ~ote, M <ta!t po~iNa
que la science eût découvert la CfMa!du M«<dans
t'E~pte. que les G4oo!aet les Véaitiem visitaient
habituollemont, M. do Rosset !ai d~ciara qu'en M-
Mtntdes observat!otMau cap Comorin on était placé
a 7 degpës 66 m. de latitude nord, et que t'en pou-
vait apoMevotfdistinctement les ëtouea de la Crotz
du aM~&plus de 20 degrés d'ëtévatton à leur passage
au méridien.
Mais ce qui est encore, selon nous, plus décisif
sur ta question dont il s'agit, c'est que, dans le globe
céleste arabe dressé en Egypte en <225 (i'an de
l'hégire 622), par CaUssarBen Aboucassan, on dis-
tinguo d'une manière positive la Croix du sud (2).
du l'antepat M.techeMtter
(t) Traduction éditionde
AfMmt.S*
iM!t,p.ne.
(t) Le globe arabe d'AttMCMsaaa été acquis par le caNtinat Beqtta
en ttM. n pM*emtt d'un taNMtde PortagaL ~f~Mnaota donné une
dbMttaMen MhmtMthe de ce xmtmment en tTM. (Ve~et la netedtte.)
<M
~'M)~a<~tM)meM)a<M(Mt)WMtqMeteBM<~a<M~
to!<MNMat pMtae & «as aearees (<), d'aMteMtp!a<t
<j~'Mc!t0 M-m~Me Av!eM)<Mt et Aw~oêtt, eotome
ne!Mt'avons dit plus hawt.
Ainsi. d'apis eo quo nous venons d'exposer la
passage du Dante 8or la CfM~ ~Msud M'a~en ~'ex-
<mo)~)Ma!M. Ce passage dette, de M~ofwque ceux
qo'OMtMuve dans tcs'OMVMgesd'A!bert le Grand
Mtat!~ & eeHa!oes eeastoHattens, ont été paMs
dans les ouvrages et dans les gtebas cë!c8tesdes
Arabes, comme HOMs venons do !e moatMt'.
Les Arabesallaient dé~, au Xe sttete, au cap Ctt-
morin, où !ts pouvaient observer les constellations
atMtrateN mais ils MqMCMtaient dej&&cette ëpoqua
Burlesm~nomanta
(t) VeyM desArabes~ouwtate
astronomiques
deM.SMtttet.tnMMM:
N'at~M* paw <MW<tr fA~M~t tampon des MtttttM matMaatt-
~M<t~M <!Mf<M les O~MtatM. Paris, <MS.
NettB <ttant<tMasque lourdon de Se~me dans sa description de
«nde,<t!t:
De t~M M)t, vtdeMf TfMMnMM multum baMa fn taatttm quod
M ta quodam toeo quod non apparebat sapm tetMm <et mare, nM
per digitos dues. »
Plu bas il dit que du même eadMit on voit <MwpM.qu'on a apef-
çoit jamats de nos conuéM.
(MaMM de tMtdan dans le tome tV des WA)M<rM de la ~MfM <t<
<.i<)~<&&<? tw~ p. !H.)
tbn Watdy, parlant des Metde la mer da &mp)ehaf, dit. ~<Ht n'y
voit PowM. (Bernât naMeh.)
(Voyez WM&«« &c<M~M du Noxf~fM, t. lt, p. 39.)
«M
«) <W<t
<M~!fM<e.
(S) GtMah. Otta <N<pa~oMa, .t. M~xoMer )ne))<BTM« « ~Mto~wMoh
M P<M<t<
JL'emptacement~ttParadis terrestre a M le M~etde ptasteaMdh-
MttaUont des savants modernes.
MHtt&w, MNtotMcaiM da M)nt atege, qui vivait au XVt* ttede,
<MMt sar te Paradis terrestre.
Le savant Bethaft a composé un traité sur ce sujet'; TMteMt a pu-
Nte uno carte mpttMetant tes pays des Lublens, o& beaucoup des
plus grands docteurs (dit-il) placent le Paradis terrestre. Haet a pu-
Nte aussi un tratte sur le même tmjet, qui eut sept éditions, dont la
demieM est celle d'Amsterdamde iï(H. Ce savant KeaeUUtdes M))-
setanemeats pendant Mans, et ajouta «M carte a son ouvrage.
Le peM HaKtoatna écrit aussi un AeaMaM<r«M mr 6t ~«mt~t da
<<<tMt<tft
WM««, qui a paru dans une collection publiée a la Haye en
deM~nmes.entTM.MHsteUtM.ïT~tpMptMjMMtr/M~~
fttttN~ntw <<< M~ttart M~nM,par dtveN auteurs cttebKs. Hais tous
en Ntants, malgré teoH immenses Meneretes, n'ont pas canna, M
M se sont pas servi des eosmeampnes et des auteurs da moyen-age.
Aueon d'eat n'a eomn une seule carte ancienne oit te Paradis se trou-
–<
< twMd'(Mde. Mp!aeoaussi ~HMa~MtM tWtUM
< do monde, s'appwyaMeaf raatetM et aw !e$
< textes de 88. PP. et de ht MMe(t) p
(t) OUatn;pe~a«a,
2*patUe,P.9M.
?) Mttmm Mtem ~m thtb est mu AKM, et insolas ~Me fWM-
tMt<Mweatnt.
.v. tt)! '~M
~t~ ea~tM <mtMpM~tu!~dans t«s mappemondes.
et, qut p!tm est, dMa tes nertmans m<me,jusqo'a
la pFemïOwmoitis du XVt*siècle. comme nous !e
meatMfeoadans la partie de netM ouvrage consacrée
ahcartegMpMe.
M M'ouM!epas do plaeer da!M FAthntïqae nte
<hotMtiqoede &<tM-NMtM<t<M (<).
Il denM tmetmtgae deM<oM de t'A~et <héa
tout eot!&Mdes auteurs de raat!qa!te. n n'eaMe
pas de placer dans les montagnes de Unde les Pyg-
mées, et il décrit les griffons et les peuples qui
combattaient contM tes Gmes (S), Il fait mention
des peuples de Gag et de Magog, qui habitaient
entre la Caspienno et la mer Glaciale (3).
On verra, dans la deoxième part!e de cet ouvrage.
que les cartographes ont reproduit ces fables de grKL
fons et de pygmées dans leurs mappemondes.
(<)tMd..p.9M.
(W tMMMet tmMt. XII eaMMMm bomines, qui pn~m tm-
tMnt cam gtypMMM. StM (~yphM Mtp<Me~eeaia MMM, atM <?-
gB<MatM<tmmt.
V<tymla nMppMMndeda XI' s~cte de la BMtthMMqMCotMaimM.
qMnMMdemMMdaMtmtMAOM.
(!) BetMt de Saiat-Mmtea d'AoterM dit, à propos des pmptes do
Cet; < jRMt&«a«c~<Met a m~M ~&fMH<tM fm~fM ~W<M<«fataf
<h<m<M« Mnt~ttt <t ~KM~& trmt~ tBMt<MtM- M ette &eet égard
ËzteM~
ABdMt MaM<<MpttMnte dans M mappemonde de MM Ateitmd~e-
te-CtMd Mttt Mumttene attpte~ < eMMaa de Gej{d*M ta &'yH!c.
T<Md!f qM Sep~s et Robert de &t!at.Martm
d'Ao~MM MOtaMhmt que !e monde ~ait de ~Me
ee~e. Ata!o de rMe. ea i~ L!t!e, qui vecat aeas!
ao XtM~ a!eete, Matentdtt dans Ma ~M~aMtMMtM
t~~t~t'A~ nMaconnottf!enaMdeï&dapaya
de Be~est-'MiK' de la ScythiOt De cea paya dM
nord.de PAsie les notons qo'Mpossédait, H !es de-
vait awxrecita queMBrent TnatfMf~(t)t
t~noH~aMteard'Mn poème geograph!qee intitcM
jRMa~~t<MeMt~e, composa en i2$&. auteur q~t'oa a
aMmotomële LMcf&e6dMX!M'8!&e~.n'~ta!tpasp!a~
ava~ ~<wtea eesmegMphea(8) dont aotN TeneHS
de pader.
Pour donner une Mée de sc~ eonnaissahces g~o-
geursq~Keto~AlexaMdM.PteMmee~d'~ypte,
V!~e,~atI~MtetM!ntB~ndana~~t<~ac
<' (dit-M) «oleaoiseauxparMent.et an lieadeaop-
«plieesea était tourment Judas. a
Omona ne nomme donc pas un seul voyageur de
son temps.
Qaant a ta partie cosmograpMque de <MnppèBM.
eMeeat pa!aée<!aM le système de Pythagoreet de
Bede-te-VéneMbte.
n soutient que la terre est enveloppée da ciel,
ainsi que le jaune de î'œafrest du blanc; qao !a
terre se trouve ptacee au milieu du c!et, comme le
point l'est au centre du cercle qu'a tracé le com-
pas (i ). Et il imaginet'harmonie des sphères célestes,
comme Pythagore.
n adopte également !a théorie homérique do t'o-
céan environnant la terre, et il parle aussi de i'At-
tantide de Platon, qui était (dit-il) plus grande que
l'Europe et l'Asie ensemble, et qui a disparu en-
gloutie par l'océan.
Ce poème géographique, rempli de fables comme
toutes les compositions de ce genre pendant le
moyen~ge, fait mention d'une autre Me située
< bien &Maen la mer, f ou l'on ne peut mourir.
lesmappemondes
(UVcye!! de BtdMtd
<t'Hete6)ttt dethMinftham,
et ceMe
da MaseeNM'gh duXtV* steete,pMtéfteaMstces peemes
t~o~MpMqM& «htescMMgMptea pwtseMnt tMMseesfables.
QMntaa*desedpttoM éthnegmpMqaes d'Omom,ellessontaussi
MmpMesde Mttestorsqa'MtraitedespatttesineonaMs det'Asteet
de t'AMqne,
n parleaaMtdesF~meM et deleaeacombats avecte:!
Gmes,deshommes a têtedeeMen, desnettee~f,
etc.
An XHt<stee!e, ces tedts de BMMMesamient et& publiés dans m
poème ammïme sur tes monstres, dont les aatems de t'Htstetre !itte-
Nite de la Famée, Mme X, p. a, ont donné reMmtt, et on tes troove
en partie dans le tOMaad'A~aa~M et <htH!Ke!<ti~e'nMn)a$<ie Kent.
it6
diaaat qn'tt bt~MeMaa sc~. JLasveteaaa no f!(Mtt,
Mton sea eeaaaiaMMeaadela physique du ~~be,
~He des ~eM~MM et du tMtietea de t'ian~f. Qaamt
~ee!oM, H !e place, comme tes autres cosm<tgM-
phëa,aoeentredehtefM.
C'ostaoMid'après ces récits que les caftogmphoa.
comme nous le tncntMMMdans la ? partie de cet
MMMge.ent ptaeé t'eo&r au centre de la tetre dans
plusieurs représentations graphiques.
Legrand d'Anssy dit que ni l'idée ni te ptan du
traité que nous venons d'analyser, n'appartiennent
a Ornons, et quo c'est celui de Raban Maur. M
pense qneranteMf de rjma~e du monde avait puisé
dans les ouvrages de Bernard de Chartres, ot dans
ceux de Guillaume de Conches et d'Honoré d'ÂM-
tun (i)t
D'autres savants de ce siècle se sont occupés de
cosmographie. Nous nous bornerons a les indiquer
ici.
Engelbert, abbé d'Aimontdans la Styrie, composa
un grand commentaire sur le livre de Munde attri-
ué à Aristote, et un autre sur tes inondations du
Ni!.Le premier de ces traites, qui pouvait nous inté-
resser, ne se trouve pas dans tes recueils que nous
avons examinés. Dom Bernard Pez se borna à indi-
Netteet EttMtt.desMss.,
(<)Voyez t. V,p.M5.
u?–
qc~t)'ËM~eMwttava!tée~t ce @eaMaM<M!M (<), et
Pat~MMSte e!te &~!)fMtd'ap~ ? aa~t Mnd'
d~M~
@My d&~soehea composaaaa~ «a Nwf$de ces*
HM~Mph!e ÏatttMM~eJMMtMKïe~tMt~M.
N<Mt$ avena fait heaMaewp
de Mchefehes pour dd-
eeav~pee tFaHë,que te M~iMtt abM !<ebaMfcroyait
peKtod~ de son temps (3). maisollesdemeMrèwMtt
aatMi~Mhat.
Saader, dans sa ~MM~ea 2~<c<) Mca<M<:Wp<o,
cite ce traité comme existant en Belgique (4).
Noua n'avons pas pu avoir d'autres Moyensque
celles données par ces auteurs et parFaMcius(S).
B~,a~deWsrMmdahate~y~de6~~j~t
<!tHnpesa at~tdaM~~b~~M!~ d'~wyage
depoÏB!es F~ys-Baaj~~a*ea Mesttae; )M~aM Ne
peut paa être compte panât tes eeatmegntp~es.
Un autre eeamtC~phe~eMeaaBedwoospaaoM'
M!ep,N!eép!MreBtemmyde,<ne!Me qai veaatdaMaee
mêmeaïeete(i<M8),cempeaatrois eavrageaceame-
gmpMquea, savoir une Géographie«&~Je, qui
n'eat qu'une analyse on ppoM,divisée en etapttMa
do h Pedëgèse de Denys(t); un autMmtMe <~t«M
Descriptionde la Terre, où il traite de la &Hae et
do la grandeur de la terre, et de dtMepenteston-
~teaM du jour; enOn,un troMèmequiporte le titre
suivant DMCiel <'< la T~ft'@,du Soleilet de la
Lune, ~es ~Ms, du Tempset des Jours. L'auteur
y développeson système(S).
chM est MtKent ett&, mais nous n'a~M MneenH~ le moindre passage
tiré du livre cosmographique dont M s'aett.
Petit Bade). dans t'antete eanMeK Cat do Basoches, qu'il a publié
dans te tome XVt. p. 40 h 4M de t HiMetMMt~miM de la France,
ne parle même de t'oatMge gtetNpMqme de ee savant que d'eptts
Sander.
(t) Voyez§ Il, p. t4 à <9, oit nous avons tmtté de t~heiett.
(9) Lesdemt premiers eawat~ ont été publies par ~~n, Leipzig.
tSM, <m-< d'aptes un maatMeWtque N~<f0tpavait copte & Pafb. Le
second avait dQt été Imprimé à Augsbourg, en tMS, et NMM&eMet
<:<tï rayaient placé dans tetr recaeii, le croyant inédit. Lesdeat
mêmes ouvrages farent aussi impftmés a Rome, en <8M, d'apte un
mMmscfit de la Bibtiothe'jae ttatbefint, par <:t<M<mme N<tMf,a la
M
N<MM aMûM meMtcM',6'apt~ ~aaty~ dn texte
de NenMnyde,qu'U Notait pM ph<savano~datM tes
eeBaaïaaaaces eesmegMpMqaeset geegraphiqnea
que hw anciens, bien qe'M~t eompesd sort eHVKtge
& une ~jMqee <M~ Mp~eh~e ~o~M d~oM-
vwtes <BaFh!<nM des ot<M<CFnea.
~ap!~ son $y8tèMo la tefte est ptaae, et M
tMÏojjHeaaaa! la <Mef!e homerïqHCdo t*0e~t~envi-
MtMMBt le monde, et cette des sept elimate. n divise
ta terre en trois paries la Libye, t'EoMpeet
rAa!e. La Libye est sëpafee de rEorope par Cadir
(Cadix) au ceuchaot, et tes bouches du Ni! & roe-
cideot (i).
Toute sa description de l'Afrique septentrionale
est la même quo celle des auciens. A l'intérieur.
ap~s les Cararriantes (les hattitams de !a PhesaMie),
il place los Ëthiopiens.
Nous ferons remarquer ici, pour faire bien com-
prendre au lecteur ce que les géographes du
moyen-âge entendirent par ce mot, que tes anciena
appelaient Ethiopiens tes habitants de l'Afrique;
pour peu qu'ils habitassent a quelque distance des
(<)'Eer<
!t ~ttit 'jt* 'cp!t&tU!M;,
<&M&'
)~ po~, 4M*
tt~;<h9tMMt.M.,p.S.
(~) Tt tij; E~t~tM <~[~* <~ T<~9t!dtB<~<,46t (â~ ~4; M'n*, <tt<ni)a
)~4t &MtKH!.~tM.
(S) Sur la padthtB de Mfn<c des anciens, ve]fM GesseMa, Géographie
des CtBM maty~ p. <<a; et, t. n, Bee&etetM< sut la G~Mpt!. qrtt,
des apdens, p. 49.59,67.69. M el Tt.
(~ M.,p.9.
~Mt~.
Mea~e&Mjté~, i< y a ee~M~a 6& <M~mmes
~t~ea< ~ea ~t~ t~mameM~ J~
B est wahne)~cMdcax~e v~ Mng&~phe a~
X~ete ~~f cae &M$~aFeO!esur dea paya
tMq~eatëaA<?<? ~jMqHC p~f !e&«mtiBadeh
MM!tw~n~ï v
defniep paya ?<?<<q~'MMeattonnedotts h
)nersepteatdonab,e'oatTMd(9).
Ahts!ce gét~caphedx Xm' sMe n'a pM fait
Mte non plus !e moïndro pMg~s à la science.
Quoique, dana ce ai&cte,!a ~ogMphie a'ait pas
fait un seul pas retativementa ta connaissanced'une
grande part!e de notre globe. nëanmoins il ne faut
pas se dissimuler que, gfàce à la lecture des livres
des gëegmpheNet des savants arabes et orientaux,
les hommes les plus éminents de l'Europe, épris,
de plus en plus des traditions scientifiquesdo rant!-
qu!té, en les rapprochant des ëcnts des orientaux, se
livraienta des dis, usionstrès curieuses sur plusieurs
questions de la physique du globe. et sur celle de
savoir si la zone torride était ou non habitéeet inha-
bitable; mais tout en discutant ces points, ils ne pro-
duisaient (comme nous venons de le voir) que des
«) thM.,p. Met)t''a6!t-~H-3?*-eTe-?<B-TM-7M-as<-<M
–aM-aM–)M9–Mï&-MM et MM.
AMMdecesmanme~M dePtotémee
neren~nnatt
tagéoaMpMc
decetantear.
(0 UnsetMaMa h BtMMt~pte Nit~mtedePafh,maaMetit
B*a3M;
BnautreeMmptahe àBerM
UnantM aaMttsee Munniqte
UnantMaMayence.
M Yeye: MmB~deMS~ <~ ې<~Mt'M<hmt.<V,p.
-~<M
at~M~C~~o~ttpoM~~
~qH&lewM~e~sMpenvaiant 6Ma~, d~moMM!
pfttcmt eeMeëpoqae, aucune innucRMsur les pM-
gr~dQscoanaiM~eesgéogNtpMques.
Ayant étodié avec sein ces retatiens, nous nons
pera~MMMdediwetdepfoa~vefqoeRubrM~ Me
connaissait rien do !a partie Mptent~<ata!ede t'ANe
au de!ade la TaMane, comme il t'avone tannérne par
ces mots (p. 39*7) < TBMHMMsoa~t a~oMM ~o'
ra<Mrpffc <aa~HM t~en~Ms.n Et si cette preuve ne
safBm!tpasp«ar le montrer, ce qù'il afflrmeensuite
rendrait évident le fait que nous venons do signaler.
n place dans ces régions des hommes monstrueux,
d'après rantorite d'Isidore de Séville et de Sotio. A
l'égard de tinde et de ses pëninsulest ainsi que de
t'AMque et d'autres contrées, tes cosmographesdu
moyen-âge, aussi bien que le dessinateur de cartes,
ne pouvaient rien puiser dans les relations de ce
voyageur, puisqu'il n'y est pas question de ces grands
pays.
Si nous examinonsles relations du moine Jourdain
de Séverac, qui voyagea dans t'înde en i322, elles
ne nous laisseront aucun doute qu'il n'a rien connu
de positif sur la 9~f<M ~M~o, c cst-a-dire des con-
trées situées au delà du Gange, où les auteurs du
moycn-agcp!açai<'nt!aM'<!M!eMt~7a<<e.
-.M~
B d~~ même~tt' M'~ ~)t paa<dM.a ~«~
N~ ? a<aect!Mt~it se eaaÛttoepa~te ~!t des ?'
b~~sj~Mse~!a~aga)Mteado~MM)np!itMMMon<
A ces &Mea ajeMteq~'oa dit a qa'eatM Mtte
< Inde et rËtMopic veKtt'OHe)~ se troMeïe P«<
« MMMs (e<T~«~, d'ea caoteat tes qMtK)tteove~
do Ï~tMdis,qrn ah<M<deMton«p et emp!acM8pré*
cicoses.
~!X..
XtV StÊCt~
Ma~noSaMat~MBdespïash~Kescoamographes
de ce s!Me, nous MORtM,non 8eu!enMatdanst ta
tnappentonde qu'!t dressa, mais encoM dans le texte
explicatif qu'i! y ajouta~ aittN que dans dtfteMnta
passages doson tameuxlivre ~cfe<a ~/tNMt CHtCM,
qu'it n'éta!t pas plus avancé que ses devaac!ers.
D'abord, on peut juger de ses connaissancesdu
gtohe par les causes auxquelles il attHbaetes grands
dangers auxquels était exposée la te) re-&nnto.
En !a plaçant au centte de ta terre habitée, M
prouve par qu'it ne connaissait past'étendue et !e
prolongementde l'Afrique et du NouveauContinent.
a ia <en'e eH<M(dit-il) Aa~M~t/t m~e poa«t
e~, ~aaM pMHcMM c<rcaHt~'feH«<BM
Et d'après ce système, il montre auteurs qn'it ne
connaissait rien an delà de rEthiopie, ou saint Ma-
thieu (dit-n} introduisit le christianisme. Ses con-
naissances sur t'AMque s'arrêtèrent, du coté de
'~Ma'
!'<M~Mt.& ~na (Asseaan) (<). !h) !a part!e eae!-
dental de ce vaste eoMttaent.tps camMtaMnecsda
Sanate etah'Mt eace~?!<? limitées. Ë«!Ms'an~tent
Ma <~<a~, NhaêeentN'teM* et te 9<*deg<~s~
!a<!tudenMd ~e t'~Matecr. et, par cM~qwMt. eMcs
M'a!MeMpas au data du papaM!e de Me~er.
To~e a~~n<M de eeeMmcgMpheeat Abys-
stMio,comme il le dit !u! m~me,et non pas tef payss
M~gMade la ~(~am<M<'et de la Guinde, ce que. du
reste, il c<M~rmepar ta !~gandeqo'Mplace dans la
mappemeMdeprès du tropique,o~~MtMAo~a~M
pfe~efce~efMM (F~OM iuhaMtaMe a cause de la
cho!eMr).»
Ainsisa dû8cr!pt!on do t'AMque est en grande
pat'deta même qu'on remapqno dans les g~mphes
dcspFcm!erss!èc!cs du moyen-agc.
Les parties septentrionates de la terre lui sont
aussi inconnues. M y place en etïet au nord la lé-
gende suçante: ~<~eM~a~«aA~Mpt~tM a~oMf.
(~g!on inhabitable a cause du <poid).répëtant ainsi
la fameuse théorie des anciens et des auteurs du
moyen-âge, qui soutenaient que les zones polaires et
<MMt <roptco/esétaient inhabitées.
CMM
BenaMt.
(t}Voyez Bt< t. Il,p.aS6.
p<rFifmttM,
?) Zmta. ~N<hA)<M~ a<~ ttthtCM~~t)~. Ce Mwnt dit, p. M t
MOtt~x di ?<? K<~H«e mondo.
C!) Dans la MeMon<tela M*pMtte de cet etKmgo )M)Mpat!eMM
d'aaues eMmpMrM manuscrits de cet aotMge qui existent en M-
<t"e.
a~<f!<wes aux g~mdes deoouywtes maddmes du
XV's!ede, ~tMtMve!'e~teat!e~de ta mappe.
M~eda~~H~w~e<eaQHsa~MpMNMp
paurla prannerojMa dans no~e AMas, e~ de pelle do
SanwtOt
N<!aBMïo!M !apa~t!ederAMqaodetamappemende
de SanatMst, sar pt«8MMmpe!nts, eoM&fwo &i'A&~
que de !a mappeMended'Ed~si, <!easefvëe a Ox~td,
smtoat poor hpart!c eM~apMqMo, c*est~'d!M <h!
!ap<MMen dMMMa&desmo~agaesdefAMqMe,
mappemonde de i 320 dw ChMniceo, tuas! que
cette de Sanato, sont papMtemeMt circutairea. On
remarque encoM daHS toutes tes deux h théorie h«-
tnën~ede t'joceat) euvi~nMant toute ta terfe.
Ayant p!ace Jérasatem au cMttre du monde, Ma
en conséquence att~ toutes les positions. tout en
longitude qu'en tatHude, comme tous les autres des.
sinateufs do mappemondes qui ont ptacé Jerusatcm
an centre de ta torM, et pour cela on remarque une
ëgate distance de ladite cite à l'extrémité de Cadix,
comme à ta nmite onentaie de ta Chine, a ta partie
septentrionale de l'Asie, et à la méridionale de l'AM-
que. Les positions des lieux sont tellement altérées
dans cette mappemonde, qu'il commence leKatay (fe-
oHMtHCatay) auprès des régions de la Caspienne et
en dee& dn pays de <?o~. H est aussi iMen digne de
–<3S-.
~euaM!oa~dej&moHtrë,dansaosMeheK~tM(t)t
quc ea cMCte~aphe, par!aMtdes diHOwates ao)Ma,
dMtaueh<<p!treXXV!n.eotR<nesespradëeessewrs.
que celles quisont situées p!usprea dusoMt e<eMM<
M~M< et au ehapitM XXtXtit répète que les
terfes s!tM~s M~ala zone du MM! <MMM <M0~p<-
~MMson; &tAaAt~o<preuve on ne peut pttMëvMente
que les rë~ona !MtertM)p!ca!esn'avaieMt pM été via!-
tëee par les voyageurs de tTEoMpo.
Notre eostnographeajoute cependant a que d'aa'
< tresdtsent q~'Hyades endroita haMtosB,mais
tes raisons Nurlesquellesil s'appuie sont toutes con-
jecturâtes, et elles nous prouvent que ce cosmographe
de Charles V n'en produit pas une seule d'après l'ex-
périence ou diaprés les récits de voyageurs ou de
cartographes qui auraient levé le voile cachant en-
core ces régions aux regards des Européens, avant
les grandes découvertes des Portugais,
Et en effet, dans le chapitre XXX, il répète encore
que les régions situées sous le tropique sont M/<eM-
<e~. Les auteurs qu'H cite sont Aristote, Pto!émée
et AUagrani. M. Paulin Paris, dans son savant ou-
vrage sur les manuscrits français, avait déjà fait ob-
server que, dans ce magnifiquemanuscrit, on remar~
que, entre autres choses, deux belles miniatures;
{<)Vey.nosBeehmchea, p.9MetMtv.
e~~M ~B~pieeBMa M~w~~M t~t~fa~ d~
i~anharee~e~~ du ? sphère.
??? même manuscrM, en tMuve ? tMdue~
qo~ ? ce même autour du livre <? CM At moa<~
atMhaea Anstote, tMdact!eo qa'it acheva en t37T,
<t'aj~!e80FdMsdMM:ChaF!esV(<).
~Bsuae miniature adm!fabh)Meat ex~catee, et
qtn se trouve &la aaïteda traité de tasj~&te. on ro.
maFaoe un planisphère dont nous parlerons plus
ta~~).
~ans an autre manuscrit cosnMgMpMqcc dn
même auteur, qui se trouve aussi a la BiNiotMqoe
nationalede Paris (3), ce savant montre encored'une
nMaièMplus explicite qut! n'a fait que répéter les
mémos erreurs queles cosmographes avaient soute*
nues pendant tes siècles précédents.
Pour le prouver, nous nous permettrons de tran-
scrire textuellement quelques parties de son texte,
où on verra qu'il réfute la théorie de t'Antichthonc
et de ceux qui croyaient que les zones intertropi-
cales étaient inhabitables. Mais il la rémte parce
qu'eHe était contre la foi de Jésus-Christ ~cependant
ne pouvant pas abandonner entièrement les théories
(0 LesMM. delaBMoth~tM
Bfmtxts t. IV,p.5M.
nationale,
C!)Voy.nosaedtMehes,
p.ineet M'hr.
p)NM)eth!mMMMtatedePitrb,Ns!))t''t48!.
<~t
(<)Voyez deCeece
htM~ppemem~ d'AseeM, ee~s-
quiMprtsente
t~me.
–Ma–
de eomoMHMeMïon avec t'Euwpe, nt Ïes EcMpeena
yal!e~ et il oe~ M~!t pas ~rvî desar~at~enta
i,
qui suivent.
« Et dien (disent) que i!!ec sont antipodes, c'est'
< a*<Hre, gens qui ont leurs pieds contre ?<? et pour
? ce <Ma sont l'opposite partie de la terre, aussi
o commeN'ib ftMsentso~: nous et mus seab!!eo!x.
<' Ceste~pWMa n'est pas Menip~ët M'est pas bien
« coneoKÏaNe à MOtMfoy< Cap la joy de Msas-
< CMst a esté prescbié par toute la terre haM-
a taMe}otf seton eeste opinion, telles gens c'en
< auraient oncques ouij parler ne ne pourroient
< estre subgés à l'église de Rome. Pour ce, reprenne
< saint Augustin ceste erreur; ou ceate opinion,
< Mb<XVI De C<MM<e .P<t. t
Sa description de l'Afrique est enUèrement la
même des anciens. !t ne connaît que la partie sep-
tentrionale quant a l'occidentale~il ne connait ab-
solument rien, et de l'intérieur ses connaissances
se homent au pays- des Garamantes,! c'est-à-dire
à la Phésanie,
Ainsi les auteurs anciens, les Arabes (<) et les
Pères de l'Eglise étaient les seules autorités sur les-
(t) Vey.p.M<te<'<t
t'Ë~Mbya.~ip<)H,!aM~!ïe,htMMmM:e,
<~M deax Manritaniea.
Mdtviae t'Ëth~pie en traitsparties, saveif la pM-
mieM parité occidentale qot est Mtontocuso, et s'e*
tend depuis t'At!as ;aaqa'a t'Ëgypte (t) la partie
MMyM~ne est toute stNenaeN~ la tK~aMNae partie,
t'orientale, a'y trouve à peine BtenUennëe.Il la phee
entre f Océanaa~Mt et le N! veM r<mt~ de !a
Me<* Re<~c. Eue Motenne, se!<mlui, des peuples
moMstHMtUt, conMNetesC~ramaMtes,tes Tfo~odyteN
<ptiia!ssent derrière eax, dans tearcoa~e, les oerfa:
plusieurs de ces peuples maudissent le soleil àeaase
do rmtanNté do.la chaleur, d'autres se nourrissent
de serpents, d'autres mangent la chair des tions et
des panthëres; il y en a d'antMs qui n'ont pas de
tête, et ont les yenx et la bouche au milieu de teur
poitrine; d'autres viennent au monde sans oreilles,
avec ta bouche au milieu de leur poitrine, et quel-
uns ont pour roi un élëpbant.
Toutes ces fables, notre cosmographe tes rapporte
~M'~M~ grwaenutor
? eaamo~pMe ? aof j~~MpMe ~MMMt~qpe
des Mivanta t~E<~e, eemM~Maas~SM ~1~
veiy par ~expe~en de leurs tMet~a et de !eoM
~<Mtn~BMMtee8,de même que ces voyagesn'ont pas
exerce de gimttdeMMenee Mf !M earte~phe~,
eemmaon !e veMU dans une autre pM~e de eetott-'
vrage. t<'engaaexnentpow tes &Me& et pear tes ra-
Meaa meyv~MetMes eta!t, dana cesîeete, parvenw
au point que FévAqaeGuillaume de WMtMM,pres-
erMt, dans les statuts du nouveau eeMëgequ'il Ct~a
&OxBMd,en <38$, que les eonfrères et tes écoliers
s'entretinssent, &t't8auedMdtneret du MUpeï',daas
la lecturedes chroniques deNd!vo~ Myaumeset des
Merveilles du Monde. Et il existait même des ordon-
nances semblables dans d'autres colléges d'Aagh)-
gteterM (<).
Cependant, nous le rëpétons, tout le mouvement
seientinque qui se fait remarquer dans ce sièctc,
l'esprit de discussion, l'avidité de eonna!tre les
merveilles du monde, la création de dix-sept uni-
versités dans presque tous les pays de l'Europe;
tout ce mouvement, disons-nous, témoigne déta de
§X.
XV St&CLE
MMttB B'A<H.W,OUmAOMa HLAStBBCARDINAL
BBMtMrMAM.
–H!«MM)hMrt,–et~mMtMM.
M~~ ¡d.IO,.jlJ.de:J1t..w..
~(<); 4~ du «$&90
geatëJM ve!tNgM~aM centre de 'E~
a<~BBemcme~edtamet~~ ~~i
Sa division de la terM est la mémo adaptée pa<?
!a p!<!partdes g~raphes du moyea-age dont ates
avoota<atpM~tes sys~mes. En OMM~des staa<~8
où !t déent ïa&trois pauftiMdu globe, on KmnarqtM
«ae aMtj[~me~!&daas htqoeMeMacert~ Mpt~~te
te disquede la tMM. Une I~ae tm~e du aerd aa
midi divise rAsie de l'~tM'opeet de rAR~qM; et
une autre Mgue tracée de ronest a l'est sépare
l'Afrique de FEaMpe. L'As!e y est BgMrëe comme
dans tous les autres monuments de ce genre, d'a-
près !a théorie .des cosmographes, c'est-dire plus
dansnotreAMas.
cemmmment
()) Voyez
MMtA.
t~ terM e eorpo seUdo e pemte
E t~MYepiu dte atean attM etemente
Posta )Mtcentro dentM a tatte qnante
!< spMe e p<a de taa~t ai 8rmamenco
Da e~n! t~*M ea<M!meatedisMnte
FM htia e M ha laqua sao eontente
Ben ehe tn ttean* pmte se dheopM
La Mna tn alto, par che sh di wpM.. ·
(~ ntMMM.
0) MUATNmA.
Nn T dentM a ano 0 monstra il disegno
Corne ta tre pMte Bt divise U MMBdo,
E la sapertot pmte el magior t~m~
Che quasi piglia la mita del tondo,
A~a e cManMta il eambe rttto e segno
Che parM MMHe nome dat seeMdo
AMct dteo da EMapa et mare
Meditenan tm essa ta meM appme.
(BaMdella Spera).
Lesvers suivants nous nMmtt~ntencore rt~MFaMe du eosmogeaphe
a Tégard des sujets que nMN tNtMm dans cet <MTm~e:
Questo tmtdo Mn e maea ta spem
Ma molto meaoTe e <M<e<'<tt<M < ma~.
De manière que la a~M dont il a &téquestion ptas haut ne K~t~-
sente pas même ta m<titMde ta sphetf, car tent te teste était eeeapt
RMiamer.
y~ Ja.<.t~.
d~M~a~ =_
??6)~ t~WBstMdaaa !'A~,
~a ~<aMNMss~~]~
cM~e~ika c<)MtM~ le lt~t~nt .(~Ii·et
M&!tveotr~Na<~re$t.
!)eyA~~ Msetwt~ & t~ipartie ain..
~Nmementconnue (3) et tout en parlant dotctun'
(<) Le fait que nous Indiquons est maintenant hors de doute. Les
auteurs da XYU''stMe, et qnetqMM<~ortva<mde nos jours, qui ont
pMtenda que des Européens Msatent déjà te commetee de la <Mtt-
9WM aa XtV*arec les ports de la Gainée, n'ont jamais produit le té-
metgMge <)m seul auteur, oo docament contemporain. Les prëten-
tiens de ties auteurs sont donc eomptetement anéanties par tes regtei!
de la critique historique tanins élémentaire.
(t) latteemMM&
Cetcamto quanta;
Veeten da tena pie isole h) mM~
ChMada t~td di pteeete attue.
t!n marge de ces WM~<mwh ta MBBeamMonde la eMe~'AMqnc
gres~ttement dMStnte et un ~Mape dites pOMIndiquer !M CatMiM.
taHn! tes omtnHCtits de la NbMothë<taede rAKenat Ms'en Meave
on dn peëme (teeeMphiqae de !~t!, avec des égares. (Mss. Italiens,
Histoire et MegNph., n''<9, tn-t)U<~)
(a) Nous n'avons pas parlé de CttMtaame<~)xtoB,mghis, qui eem-
pesa, en «60, m traité tM imaginemMttf, dont parte Nitoben (HM!et,
Mst. d'Angtetene, pxe. 6t), parée que cet aatea? &t pestMenr aux
~MBdes découvertes.
'tet~
~atûM~~d~v~georsdel'EaH~n
luter<Mpi)M(le8 aituaps en AMqee ~vant «$4, éptb
que a laqupBe ~(!tMeN<tanch!tla limite <tus~
rCtèrentteas lesnavigatenra du moyeM~ge.~ade-
Juetion caMMiegiqMCque nOMSVenons de <h!f0
Mas tnentMtaasa! q«Ct en ea qe! eoneenM t'Jfttdt!,
tescenoaisNKM'esde!a ptapart <tM cosnMgHtphc~
cuMp~oMS,jusqu'aux d~ceMver~ des PertMgMS <
étaient encore, à pou de eh~f pt~ tes mêmes q~o
celles du temps d'EfatestMae, pour qui l'embou-
chQM du Gange était !e tenne des ccnaa!smnccs
positives q<w te cétèbt'e gët~raphe ~rce avait fp~
cueillies sur l'Inde, car celle de T~MM~~ta!t pure-
ment hypotMtiqMO.
Pour que le lecteur puisse mieuxjuger du système
d'Eratosthèno, relativement à l'Asie, et de celui do
plusieurs descosmognmhesdu moyen-ûgedont nous
avons parlé, nous nous permettrons de dire que
dans le système d'Eratosthène l'Asie perdait un tiers
de sa longueur et de sa largeur, et, par une consé-
quence toute naturelle l'Océan septentrional et
l'océan oriental furent supposés à de moindres dis-
tances (t), tandis que d'autre part, les cosmographes
(t) Voyez
&MM!M, CtegMpMedMGMes, pag.3.etM!w., surles
MMMtsNnees qB'EMto~thteaMttdet'Me.Cf.SO'atxMt,
t:<r.t,p.M,
etCesseXt),
t. tM,pag.arc.
ii
~1m–,
mar
(t)VojfM, Cf.fe~MM.Bf-
cetoutm~,<M<h.Mt,)t. t9M.
~Me~h.
Med.
<tlot Ltt..t. Mt.p.Mt.
t/Mnemtre ~JMn dt NfM6tt tmpttmt Paris en «90, et h An'mK
en <M! NM3 awM eMmtnt oae édition de cet <Mnem!M,qui se trouve
awe le Traité de Bamfom CeM,tmbM a LMKat)).et Intitulé De?<?
CemMM. et avec tes tetUea de BMM. roi a'AbyMMe. Cette eottee-
ttea se trouve à ta NMottteqae nationale de Parls, dans le wt. tn~
–O.n'tSN.
Matte-BMB,qui ette ce wtatjem, panitt n'agit .tas etamtnt cette
relation. Ce savant e~Mj~e «mttent que J«Bt & M'w ~eyaf~a en
H80, tetsqne ee <ejaeeaf dit, ta eemmeneement, ee qnt satt
AtM dee'M N.CCCCUntXtXq~ ~Mmf* de BiM"~~t?t<f/h~~
B&ntMtMtfBJMtfe.etc.. »
–M$-<
cequedhcevoy<tee"r,
(t) thppMtte): en~«9,mtlesptefMs ma-
ZBtt!q)tM,
deeeqMtm)Nawnsd!tteet<ttM~P~ ~~M.<
MMMOM montré etPierre
qtt'AXxtt-te-CNnd d'Ahane
onteruaussi
&t'MbtmM deMehMX damlesmersdet'tmte.
ma~ntti'tMt
j–. t~
aM~e8,qw!a~rre~M
j~eat acx ~eM ~~<w~ ~m~ sw-
~w~ a.8t,Kt,quiJOOQlflUa~,o.e.
quatre ans avant notre ~(t), theerieudop~ par
At~stote,PosMemiMe de !~odesetpard'aatMa(8).
L'engouementdes savants pour les th<!pNoa syM*
<Ba<!qoe9dea aMetNt~<ta!Mett qae tes <ÏMtMMw de
t'UntveKMde Sa!atnaMqMe,e)MeM en M~. a!~M-
t~t cMtMÏeveya~ M
«a<h<ede fOc~oHt pt~Mp~yaf de p~Mo~e ?'
n~e (3).
Quelquesauteurs nMderNes,qui out pensé que
les géogmphesdu moyeM-Age étaient plus avances,
ne ae sont certainement pas donné la peine d'exa-
miner scruputeusementtenMoavmges,ni les sources
où i!s pnis&t~ont leurs systèmescosmographiqueset
leurs notionsgéographiques;ces écrivainsmodernes
n'ont pas suivi la règle si sage qui montre que c'est
aux monuments de chaque siècle que l'on doit re-
courir pour y puiser les faits si souvent déBgurés
involontairementpar l'ignorance,et volontairement
par la mauvaisefoi.
K« D8 LA mem6BB t~anB.
t?<~BAt
.i~SM~~ki,
;r..
~msr~
~MMCi~~
~MBWM~M&
DEUXIÈMEPARTIE.
pM<h)M
Bet CtMeffMphM !e m~yen- tMqa'aM t~xMKMMt<m
tMtagah,detetm~s~BM;desMttMM et MspatetMat
peatla
MUMNetteadetettNmappmMndMtt deleurt~nemnee,
Mtettwe-
mentM'etbte)tcedesBt!s<)eee)ttemanXV*s!eete.
~eraMt~otté, jus.
qa'a~Mcos, eameMmttes ~eoriesdesaneMns
a~~sys~~
t'~Bse, et eeHes'ei avec les tradithms mythotoj~~
~esdeaCt~t~N~
JEneffet, un ~rand nombre de mappemondes et
de phanspheres du moyen-âge, que nous donnons
dana MetMAt!as, i~pt~Mntettt encM9 dMM leurs
formes ÏM théanca et les :dées d'H<Mnère.et celles
d'AmtXMoandre,disciple de Thaïes, ou de Thalèslui.
méme, de GëmhMM, et d'autru auteurs de t'antiquité.
EBes représentent la t~are informe de la terre
sur WMsar&tceptate aans projection, et en forme de
disque, ï'Ocean entourant le globe.
Do temps d'Hérodote, ainsi qu'à l'époque de
Soorate, qui naquit 444 ans avant J.-C., et du
temps de Pline (i), on soutenait que la terre était
environnée par l'Océan (8).
Hhte <Mt ta
eemoM
txtMM,
(t) !a mer mKitMHM<MMte
Mt te eotfps; le globe
fttehe ne
tOftestM ~«f de
s'ttatt pM ?
attttea. comme la cetntnre fait le corps; ce «0 ne &'881& pas de
tettNtt par des mbemtetMttb, 4'mtont plus ~M t'ei~tttenee l'a <?-
m<mtte ainsi < ?< <~w <<tMte <tM ~M~ Mf6<t)M<Me<mtMM ftifF-.
ttMM ~Mta/htt eMtf, etc. (PMn., Hb~ Mt., th. !t, e. CT.)
(S)BeMdet.N~.tV.e.M.
snjot des
~,a Mjet
Au d~ <tp!)th)as
opipions des
d~ Metew
ancieus sw Ia
souue
tt form~e d,e ~a
~Hae <b tetM, it ?""
!a tette, (aut
wit fM<i<«,ite ~"re Mn'<B,~tMmeM<M<MM ef<xatf Mat ht mnm
MoMe GetmmtM. At*.iMO~p. Mt.
Pamim, B)re<bw, dans sa d!sM)tat!w inUtaee: C«~M~M<t <<
t/r<'wf'e<f'M*<h)e~
–Ma–
BeBMn.
(i)Ve~ CMsMMe. UMM. Mit. aetSN.
e. XXV,
Cmnmmtatte
(a)V<qre! g~MpMqae derExode
et ~MNomhfM,
~<!ewmte<bLabot)te.Path,<Mt.
.–<
aatBMFS aMtHM~~ et ~M
M ~a~pasj~veaaes ja~
das cartes du )NoyeM*ag9<Mtr~ve tout eottero Ma
seu!eme)~ dans oa~~ d~ auteurs <??&
t~Me, mais WMs!dans !<?~tMes qui nous restent
~q~!e~tasqa~XV'<
Nottsn<Mt~hafoomas à dtMÏeï que les ayNt&!M&
de la gëogM~~ andea~ ont été Cm~ës~
cw~<&M~e8~M!es~mp8nMdem~(~
BpdMtd, Huet, MSchaëKaet d'autres ont denoe
des ca~s de tergeogmpMe do Moise.
Poor cette d'Homère, Henri Vess nous a donné
en i80S une carte coneaM, aicsique Schenemann,
ScMeget, Woetche! Lelewel et d'autres.
Lelewel nous donne aassï le système de C~o~
et son globe ardncie!.
Pour tes systèmes géographiques d'Hérodote,
Renne!!(2), Larcher, Ukert, Heyne, Baehr, M. Wal-
ckenaer, Bobrick,N!ebhur, Mumann. Bredow(3),
et Gosselin pour ceux d'Hipparque et de Marin de
Tyr.
Le système de Strabon a été aussi formulé dans
(i)GoMetht<Ni~t<MWtMtMtt<teseMtes<!esan<~ens,surtoatthM
tes~stë)Msd'Sta<M<htBe,<teStn)!)MetdePMt&n6e.
(9)Vo~ezEssai sur t'Hbtehe de la Géographie. Pans, iTM.
<?a
9.
«) JcM&,XVMt-iM4tet
(a)Apettontm,tV,a80.
(3) Saint-CMmentd'Atexandfie, Stromat. V<.p. OS.
«) HeMdete, liv. tV, M et V, ?.
(5) PMhstmt. !mag!n.. Mit. de Jacobs, iMX, Tom. t, p. 9-Met iS,
Tom. Il, p. M. Comment., p. S5S,9!8, <8S.
(6) Agath&BtM, Cê)!gr.,etc.,Mtt. d~<~nam<, p. !?! et sntv.
(?) Adstophane, dans sa comédie &w~t<<<w.
An temps de SeeMte, les cartes éMtent t~s eemmtmes à Athènes.
(VoyezMém. de Fféfet, tTM, sur la Table de Pentinger.)
i?s f
Mo~~aet~~),
deStm~
deThé<~
ph~e, d<t Jfesephe (9) MdIEustathe ta Sche-
!iaste(4).
D~utres passages des auteurs Mas nous prou.
vent qaejtes Romains <nra!eBt aussi ~eseat~es g~gn~
phiqoes. et pN~aMeoaeMtdes phmisph~MScréâtes.
PMMe(8), Veg&ce(6). aedMB (T), OvMe(8). PM<
pcMe (9), Sa~tone (i$), Ftonts, CM~cdeM (tt), et
~EAieaadans ta p)~Me de sa MsnM~'apMeCMMta-
teateeMt.
Ces cartes étaient de deux sortes, savo!r des
cartes où se trouvaient Cgorees la terre, t'etendtte
et la situation relative des diverses contrées, et les
autres itinéraires qui indiquaient simplement les
distances des lieux et les embranchements des rou-
tes, avec des indications propres à faire connaitre la
nature et t'nnpwtance des villes. vittages ou stations
!yaaaM~CQtë.M.Wa!e&e)Mer6~
que <Macartëa <Mtetedessm&tsdaaahsXtN", X!V"
et-XV' s!eet9s. d'après pM~ee~eaqu'M adonnée
'et d'après tea tong!tudes des lieux que fM~MM
t'oavm~e du g~Mphe d'AbMmdHe.
Nous pessëdeM cependant la notice d'âne Mute
qa! ae trouve dana <m manuscrit de PteMmee en
Bet~que, qui est âne Teppodactiond*Mnmanuscrit
du IX" s!êc!e(t). Dansh H!' paft!e de cet ouvrage,
le lecteur verra t'Maence que la ge<~mpbie de
PtoÏemëe exerça sortes cartographes postérieurs au
XtV'aède.
Ce ne fut que dans le siècle même des décou-
vertes Mëaniques que la géographie de PtoMmëe
commença à exercer une grande influence sur les
cartographes.
§!
)LmtMMmtONMt mtettANM
M MiNt-MBMNT PAMX MB
BABBABB
COttTmBAnON BBeAttCtBNa.
BBOM.MS
«) No)MpMsédoM des/!te-~mt&
d6J!) deqMtqaeseMteseetmrtéM
<ht)MnM<a<t
deKeMmte dM,eeptMqueMMdeteMt r<MftMMB
de netfecon&~et t'Aeadêmte desSetenees
Neya<e de Bnctettes,
M.tebtMndeBetNenberg.
12
–IM–
§M
~tt~~i~~
~moye)~b~<e~ie~paf les jade$ ~n
paoe immense de de t~C~ Dans h iBmp-
peMNMede Tteodot~, FA~ devHdt et<e ~acee
p<hM~OM<~~e fJSMFepe f< <
comme dans toutes tes mappemondes ant&nieuMs
aux grandes deMaveMMda XV"aiècte que nous
d<M)moBadaa8BotMAttas.
Et en eSet, qoe! pK~jrèapoavait-on s'attendM &
~Mwverdans les mappemoadea de Saint~aB, de
Charlenta~e et de TheodoMe~ioMqo'on voit qae
le fameux Alcuin, qtMexerça une si grande mNaence
MaentiBquedans ce s!ede, donnait au monde Tépi-
th&tede ~M~MefnMM (t),et snivait la même division
aystematïn e T&<Mor~M(d!t-M),M <Ms<~M<tMr
poftM, EwapeM, ~/Hcam et J&MfMM (a).
Ainsi, pour juger de la barbarie de ces monu-
ments géographiques, et pour nous dédommager
de leur perte, il nous sufnt d'avoir la mappemonde
trouvée par M. Libn dans un manuscrit d'Orose de
(i)Atcoin
CMm.
iS.
(9) Ce pMNjte d'Atcain pMatt <tM tiré d'Orose. Cet anteor dit, em
eBet:
MaiMes nostf! <NfbamteUm MtKe eeem! iymbo etrenmsepMm,
<MMeMtjmqae très partes Asiam, EaK~Hm,et AMeam
«'~x<t~n<!)t
tecsKenmt »
Vo~mtB<Mfo<tt<M M<r«M, é<ttt.de t~ee, T. V<,p. 379. B.
VoyezOptMcatmnAteain!, T. M,TheaMnM Attecdot., de Pet, p. t
MX–
w~~$,~twteMMs<
tempera de Cua~ema~e et des eesnttOgMtehes
qu nous veaoaa~ JMmmer~. Naus~pOSSédOtMaMSm
h mappemonde de Turm.quï se trouve & suite
d'~mmanusern. de l'Apocalypsedo VIII- aiècle (<),
c'est4t<direde la n~me ëpeqae, et duquel nous don-
nous une aoaïyMspecMeaMtMpart.
Le !X* siècle qaisuMt, paMtt être plus Pauvre
queteptecedemt.
Nous n'avons pu trouver qu'un seul amMMHnent
~eeg~apMqae de cette 4poqae c'est celui qu'on
rencontre dans un manuscnt de Madnd tire de h
BibMotheqaede la Roda, en Aragon. Nous donnons
ce monument dans notre Atlas et une analyse spe*
ciale.
M est digue de remarque que dans ce siècle, où
rétnde de l'astronomie était cuMvée, et où elle était
appliquée pour tes calculs du jour de Pâques, l'étude
de la géographie, qui a de la liaison avec cette
science, fut dans un état de décadence incroyable.
Le Xe siècle est déjà plus riche en monuments de
ce genre que le précédent. Nous n'en avons cepen-
dant pu découvrir plus de onze, que nous donnons
(<)Q<Mtq)MsMtantapensent
quecettemappemonde
a M dtMa6e
auX*siècle,d'mtMsau Xt*.et mêmequelques
au la supposent
daXtb.
~<a~
~em~dt~TM~At~~vo~mM~~
ABgh~MonedaMaseeMt~~
<MBM<se~t do Mwan~, ~< tïtëes d'an
manusent de MM~~ tirées d'an ma-
nuscrit Mmenj~t des vies des sain~:eana cinq
au~esqa! se tMMventdaashs manuscrits dtsidore
deSevate.
La car~gmpMe n'a donc pas fait le NMMBdre pro-
gtèa dans les tX* et X' stèctes, malgré tes travaux
math&natiqaes d'HuMmat, de ~ap de Femères,
de Raban Maur. de Wata&ide StratMB,d'Abbon, de
No&er et d'autres, même maigre l'attention que les
annalistes de ces deux siècles donnaient aux phé-
nomènes cë}estesQu'Usobservaient aoi~eusement.
La sphère, construite dans ce siècle avec beau-
coup de soins et de peine par le fameux Gerbert
(Sylvestre !!), commeil le dit, ne nous est pas par~
venue(i).
Le X!' siècle nous fournit à peine cinq monu-
ments géographiques le p!anisphère qu'on trouve
dans un manuscrit de Marcianus Capeua< à la Bi-
bliothèque de Leipzig; la mappemonde de la cosmo-
graphie inédite d'Asaph le juif; une autre dans un
manuscrit renfermant des vies des saints; une autre
dans un manuscrit d'Isidore. et enfin une autre qui
(i)eetbert,Ep)st.ita.
w–
setMW~dam HMmatMSetitMtFMOOaqM~etaM~
Nh!thequedeD~(~.
~ns une autre partie de notre ouvrage, nous
donnons t'analyse de ces trois monuments publiés
dansBo~CoMection.
NousnedevonspasncMsetennerdupetitnombre
de monuments géographiquesde cette époque, bM-
qM'ona~tqaeteiiombMdesKvKtsntémeéMtatoFS
exM~memèntpetit, qu'unsimple Meue!!d'&eMKes
se payait par une somme immense (' qu'âne biblio-
thèque de i60 volumes était une merveille (3),
et qu'u y avait des églises illustres qui n'en
avaient pas la moitié (4). Mais dans le X! siècle
qui suivit, les études et les livres se muMpaèrent,
les moines empruntaient les livres de géographie
aux anciens monastères, et on les transcrivait.
D'autre part les connaissances géographiquess'a-
grandirent avec les Croisades qui formèrent des
relationsavec l'Orient, avec l'Arménieet la Tartarie.
C'est certainement à cela que nous devons un
nombre plus considérable de monuments gëograpM
laPréface
(t)Voyez citée,seetton
Mt.
(~ VeyMt'M~Ntfede t'abMt~beuf, p. tM, etSpieMegitUB.T. Xt!.
189
(t) Sur l'état des sciences cheï tes Arabes et sot leurs instmmenh:
<Febse)rmt<en. Voya BetMtttv, ~M!)en)~ du M<):HM~f,et ? ~MMot,
onvrage etté.
–<M
§Mt.
CM WtfM)9WMtt !H)P OMXtC'ABMmmttCamNT m ~"HtMM
AMOMeMita A«< <mtt<BM nNMttvmtm Mt KtsnxmM M Ma
MMOHOM.
RevenantauxeM~gMpheftoe<adentauxdaMnyett.
&ge,et &leurs rep<esentations~mphiquea, dont nens
nous ~ons pea~tM trop ~o!gné, nous ferons M-
mafqMerque jn~M'&ce moment on a pu d~decoa-
vrir treize mappemoades du XM* 8:èc!e, dont OM~
forment d~ partie deuotpe Atlas. Mais celle que
le Moine,auteur des Annales de Colmar, annonce
avoir lui-mêmedessinée, en <MS, sur douze feuilles
de parchemins (t), ne nous est pas parvenue (2), et
il ne nous reste que cette simple mention.
n existe de ce siècle une autre petite mappe-
monde en Angleterre, au college o/~fHM (3).
Les<<MC monuments de ce siècte, que nous don-
nons dans notre Atlas, sont celui qui se trouve
dans un manuscrit de Salluste, de la Bibliothèque
(t) L'Ammtbtedit:~axe
(i)L'Aoaaliste
dit AIIIIO
elcC4XP.
~ cCtJtf.N
d~app~
f~MM em~di
t<M<« la
deaeripai
<<Mft~ptf
lapellea
p~<M
<<<M<t<~t)ttM~MHOtf.–VeyM Hht.
Sdthaer, Mt<pt., note
p.<M, A;6et.
das<,e<n<M<~<pJ!M!M<M-.fMM<r.{AnMtesDomiatc.
CotmartNM.,
t.H,p-8.
d
?) thanett, am N pté~ee&laTable TMedostmme, pensequece
monument géographique pouvaitêtreta memeTabtepeotingértenM
et Mme'Mtente det'Menttttdunombre deteniMee.
(3) Ne)MawMune Mttee de ce monument, qui Mm a été ttammbe
par notre savant eonfrère à nmtttnt de FMnce, M. Th. WW~M, dans
une lettre datée da ? eeMbM<MS.Nons donnerons ce monument dans
une dM ptanehes de notre Atlas.
jH~eM,deMeK~e;tep!a~pMMdcCe~~
eaft? qnaOw)M~K)8 tit~a de dt~epents maea~rits
da poème g~gtaphiqpe de QaaMMer de Netz, qui a
pour titre iaM~e afM JMiMafe~ une BMj~nMmde
t~ea~MM qa! se tHmve dMs Nn BmnMsent du
JMtM~ ~n<atm~a~tme autre tMe d'un nmotNCHt
deJ~MMaa ParM, da metne Mm~e; une aatM
notrenoticesurplusieurs
(t)Voyez monuments du
géographiques
m<~M-!tge,
pabM&eauBulletindelaSoctété de
deCée~NpMeParis.
dumoisdemai1847.
(S) Guillaume de Tripoli accompagna MaMOPolo en Asie.
DadtttM (~<ri]p«a~.vol. V) a donné un extrait de son Voyage.Sinner
cite un manuscrit complet à <<n)e (Catth~ T. U, p.28i).
La BtNbm~qM )M~oBa!ede Paris possède )m autre manaMftt d'ot
on a tM le planisphère dont U est qmsttox dans te texte.
Voyez, à cet ~ard, <)<?Rechetehes citées p. M, et addition XVn,
p. 2M, dn même envmse.
<Mt~
P~~JM~eMeMd'A~bM~~ en.O.
et~!pnvo<t marqua FAryne;~ la ~Me~~
Bemheade Nap!es, de <4tB,que Menselgaeaf Read
a fait graver en <$4S, carte dresse par un nommé
Redinï, et dont M. d'Avezae a donné MMecnea~
oaatyM dans b BoKetio de la SacMté de Géogfa-
phio (i); S*la carte do MatMas de ~adeste (8).
do h mémo année M<3: 4* une mappemondetrès
CMr!ettae datée de t4<7, qmsetFOMvedans !aB!b!!e-
thèque du palais Kttt, à Ftorence (3): 6' carte du
monde connu, de la BibMothequede Weimar, de
1424, dont M. Walckenaer possède un calque;
6" carte anonyme datée de i430, découverte en
i789 à Sobretto, on Italie, et que FahM Borghi a
décrite dans la méme année; 7" la curieuse map-
pemonde du cardinal Fittastre, qui se trouve dans
le Ms. du Pomponius Mé!a, de la Bibliothèque de
Reims, de i4i7; 8" planisphère tiré d'un poème
géographique de Florence, d'après le système de
Ptolëmée et de la cosmographie des PP. de l'Église.
A partir des découvertes des Portugais et des Es-
pagnols dans la seconde moitié de ce siècle, les
t<)V<~ezB)tMetindehSee!etedeGeettn~Me,T.XX.aét<e.p.66.
(9)!M.,p. 6!etOtdeMtnvest~tienea
Matedeas.
tMee<eptasteaMmenoments etc.,parM.Hmmmtte
g&tgmpb.,
deHeM,queMMawMpnbUee avecdesmnotatemdmmteBulletin
deh Seetété
deCee~NpMe dePtfb,Mmetsdenot<M7, p.i<t.
tM
§!V
m CAMBS
OCMaifEtt-ACE
SBTBOCVBttT
MNtMMtM
PARTOCT
Les cartes du moyen-âge sont disséminées par-
tout, comme Fa déjà fait remarquer un savant aca-
démicien (2); on les trouve dans les manuscrits des
ouvrages les plus disparates entre eux. Les unes
grandes, développées sur une fëuiue de parchemin,
(t) WaMtemter,
Eneye!apMiedesGensdaMonde,
tmn.V,p.M.
(a)Vo~Mlepassage
det'oa~age
deM.deLaborde
MnoMwMfM géo-
~apM~tt fE.M<fe
etdeaWea<<M<,
p.XXM.
t~~
cMnmeoeM)!dët~MM<j~<a<?esa~et d'autMs inte~M-
~daMab tMM,<~mme ce!tes qu! ~tcMVentdao~
la eoamograpMed'Aaaph, dans te PotyettMaïeen da
Rantd~as Hy~fteB,etc. ~aMtfMpaïntM p!<&Bietn~
ment <!ans âne initiale, comme ta ma~pemendode
RetCtsdu Pempontaa-Méh, de t4<7; d'aatMs dans
wo~~nteBtoaMge,ee!M)MdMs te peeaM geegfa-
~!qoe de CeM-tM, et d'aubes sur Mneplaque de
co!vFe, comme celle de MMaec-Bor~a d'autres sur
des meubles d'ivcire, comme celle que possède le
prmce CMtat!, à Naples, et qa'on remarque dans un
meuble du Musée du Louvre; d'autres dans une
cassette appartenant au marquis Trivulci de Milan,
et dressées par PaM~M~HyetMtHtMS (t); d'autres
au revers d'une médaille (a); d'autres enfin dans
uu ciboire en forme de sphère, comme celle pro-
venant du trésor des anciens ducs de Bourgogne à
Nancy (3).
SV.
MMCAMMBOMWm.MB MM M Tours ONMtttM)
§ VL
tousMaamTtMM mee~ooMtaaaBBtAtmemït MmoevzM
M!P<tOemn
BAMt.M€AMMDUNOMN-AeB, AMtMeM MB
Ma ttoumM t'eausa.
TatommeoMeeBApmecm
(1)Josopbi J)t(Mc.
Antiquit. Lib. cap,t, § 3.
(9) Sur la reptésentathm d'Adam et Eve, comme symMe da péché,
~M la ptétMe du texte de to~ dans sa NMMNM«MMM publiée à
Rmte qn taN.
Voyez ce que nous avons Npporté dam la t" partie de cet mnMge,
M!aU<ementau poème eeogNphiqae de t'/o)~* d« œxt~, d'Omem,
eedtetM~p.M!t,SVm.
P) NMe est e~MeJ~M in oM<!tojtqMtbnax Ce<«~tc<et «MK~ae
t&Mmt«fMn. (EïêcMe!, ehap. S, vers. S.)
tn medht Jn~ est H!eMMtam, aMt«t toxM~m <M(M«me.
VoïetHttptes daSahn.V!ater,Bt<fM Myonm. Tom Il, chap. il,
p.SMetRttM~ Bahea, daash !par~dcect em'M~;
<M
eneoMd'aprèacesatames syst&tnes ~aenous voyous
dans la mappetnoMdeda manMscrIta*4136 de M ?<
Mioth&quenationale de Paris, le cartographe suivre
cette théorie au XtV*s!ècïe, et~cer MMaaîem au
eentM de la tenre<Le eosnMgMphe, auteur de cette
omppemoade, ayant BMSaussi au centM de la te~Mla
té~nde Ne~tMtM JM<c, parait avoir voulu ~eanir
les opinions sy~ëaMtiqMesdes Indiens et des TMhe-
tams, qui soutiennent que leur habitation est pla-
cée au centre de la terre, et qui N)nt nager celle-ci
sur l'eau dans toute sa circonférence(i).
D'autres cartographes n'oubliaient pas de signaler
dans leurs mappemondesou dans leurs cartes toutes
les fablesdes Grecs, commenous le montrerons plus
tard.
Nousnous bornerons ici a indiquer simplementque
plusieurs d'entre eux conservèrent dans leurs légen-
des, qu'on trouve dans leurs représentations graphi-
ques, les Anmaspes, à l'existence desquels Hérodote
ne croyait pas (2).Ils avaient soin de les mettre dans
les pays hyperboréens, près de la mer Boréale (3).
damBotM
cettemappemonde
«) Voyez Attas.
(3) Voyezla mappemonde du XMt' steeh, du maBMettt Myat M da
MtMt jmtMttm,~ue nous doBMM pour ta ptemteM fois daas nette
AthM.
<3}V<'ye!Mt~o<e,tV.cSC
4t~
'~BSfW
(t) tbM.,tV.S.
(9) ta confusion de t'Inde avec t'ËtMepte a fait placer Lucah <e&
~M*, près h sw'e du Nil.
–-a<M–r:;
trace ~vMeatedans Hérodote (<).' M. Letronnu
petMeavec raison, que rasage de donnerto no<nde
HadeafËthiopte. s'est surtout ~panda depa:s!e
t!H*a!~eht.Cesavant CM)!t~e ee~tï y acoMt~ba~
c'eat qa~ tes oMt!en$ ent ea baMht, peuf hw~
systèmessur tes quatre Menvesdu Paradis, d'MeM-
tiller avecNil !e<~oM,doottes mts &isatent i'JMM"
ettesautjMstcGe~a(i), et qMo<:eKeeeM&)a!eM ~e-
gMtph!qncs'eat !<)jM)ndueet a été admise nonseule-
ment j~p!e$eeF!vainsdes ÏV"etV~Nèo!esde tMtFp
ère<dont Ct~Mra donné beaucoupd'excmpîeN(2),
mais encoret conMnenous l'avons fait Mmacquef
p!us haut, par les cosnMgrapheset par qMc!qMc<!
cartographes,jusqu'à t'ëpoquedes grandes décou-
vertes au XV.siècle.
D'autres mappemondes,commecellesdu J?M<M/<
JMMMMM, du XMt''siècle, et du Potycbroniconde
Ranutphu~Hydgen, du méa!e Musée, nous repré-
sentent rOcëan environnant tout entier couvert
d'i!es.
(t)V<<y. duMe.royal
laMappemonde daMtt~ ~mmat <nXtn'sM-
e t
ete, eeMedaXtV*deete
de Rmmtphm dmsnotreAMM.
Bydem,
M Voirla Mtppememte
d'Hereford
daXMtes~cte.
M Mmaen, dtM sa pt~hee &la table t~éedmtenm. Met. M, est
~tb qae la taNe pMttngettenae doit Mmentor ta temp~de t'empe-
Mat A)NatM)fe-S~~fe.
~A~
{<)V~exeeMe BMMAttM.
«BtppMMndedaBS
(S) <bM.,planche «, menam. t.
tt
$tc
«) Ve]fet
MMdete,tV,M.
(:)StMbm),Xt.SM.
(!) Voyezceue mappemonde dans notre AUat.
a<e
faw <? h$~< h ta )Ma~!n, FaM!~avec unehuMW
~cMhoHC~~<)ttM<Mtia!eRMMeh()vat.
< ?? <M~AtMaMUM Mnt la MprëMMta~OM ?*
guc~edu passage d'HÔMdoteea t'Mste~en n)ppo<<e
ceqa$tesA)~xonesd!~)Btaux8ay~M:
« Neaa ~MM de !'aM, MetMt !aHçetM!e javehn,
nous MMMasà cheval(<). t
Le catt<~mphea Mp~sentë <toasa carte iestM~
Amazenea,rune tirant FaK!, t'amre ~gateoMnta~
mëe, et aaetFoM&Me &chevat, ayant une esp~eede
javelot a la main. MaistafbtmodMheacMeM qu'eMes
portaient u'est pas la méme indiquéepar les auteurs
anciens, qui disaientqu'ils étaient courtset en forme
de demi-lune,témoin&yMMssur ce vers de VirgMe
QaaMt AtBMMMMm tupathagminape)t~.
Ces cartographes n'oublièrent pas non plus de
mentionneret de Cgurer le labyrinthe de Crète, tes
colonnes d'Hercule, los cfocouncs terrestres dont
parie Hérodote, etc.
A cotéde ces fables, ony voitconsignéesen même
temps des traditionshistoriques,entre autres, celles
qui concernentles gymnosophistes det'htde.que les
PhéniciensMr<*nt les premiers inventeursdeslettres
alphabétiqueset de i'écriture, d'autres rotativesaux
liv.IV,Mt.
(0 ttttodote,
M?
eampa~MMd*AtMmtdM'!e~SraHd et h la tour de Ba-
bol, dont qaeiqu~ ear~raphes Menaçât même h
NgMre;tantôt eMessignalent tesendroitade ta terpe
où tes apaires pcÊoMMntla foi, et te tac de Mriche.
où t'en voyait la corps de saint Matth!eM;<aMtAt<MH<
M~eme~ elles nous indiquent l'endroit où raMhe
~tu'F~Mt,mais même elles prennent te soin de tM
deataittef; d'awtMa tegendes mettent dans ftade te
mythe nestorien du NMaeaxp~tM Jean, tandis que
d'autMa carte~MphM du XV' siècle transportent
l'empire do ce pwsMMMgeen Abysainie. et !e MpM!'
sentent assis sur MMtréne, eeiMe de sa mitre; ici,
à l'extrémité occidentalo de t'AMqMe.près du dé-
troit, vous trouvez le mythe astronomique du per-
seuMaged'Atlas et ta légende des colonnes où tes
descendants de Née trouvèrent renfermées les
sciences après le dë!uge(<); ailleurs, on trlande,
vous voyez le purgatoire de saint Patrice (2), tandis
que la célèbre Thuté ou Tile des anciens est placée
aux extrémités septentrionales de l'Europe.
C'est dans l'analyse spéciale de chacun de ces mo-
numents, dans ta partie de cet ouvrage consacrée à
(t)voyezlesdeuxmap~Mmutet de Guillaume
de MpoMet de
VtemM,quenousdonuMM
dansnotire
Atlas.
Me
n"a.
(<)AMM.ptmeheVt,
M!Md.,ptMMheM,n*8.
<a V<qm ? m)tppemo)~b de Mmba d'OMsme da XtVe~Bete~M
netMAtha.
M~Ve~M~mm~dM~pamendes~CMaas~ettMeteMM.
«<a<<m!~daXf BtMe, de Bh:hat)t de HtMineham. de la eatMdMte
d'aeMtMd, de de<KanMesdesmmmctiMdn Xtt!' BactedefFoM~~
~&)Mh,<!«<Kx~)~<httt)MpmthNMthdeBehm~<h~tM't.
–'?)?–
§VH.
notMAMM.
(t) V<~M
?) Voyez doM Mtte AMM.
Voyez daDSnoINAdas.
(~ Vo¡ez
(a) oNMtmtteAttM.
(<) n~)., ptmdK m, mMnm. n" <.
(S) !hM., pttMMheV, Bmnum.B" 4.
(a))!'M.,ptmehetV,mmmm.n''S.
(7)Md.,ptMMheV,mmmm.n''<.
(8) Ibid., V, monnm. n~
ptmdte IV,
Md., planc6e n' 8.
S.
(9)VeyeznotMXt<iM,p&nettetV,mw<t<me<ttn*5.
-M–
a~.H.
~t)V~mStNhm,
(~ Te~M MtM MM, pttmttM tV, «MnmMtt n° S.
Ve)M'MtM pta~~etV,mMmmrnt
Athm, n*S.
? Vo~M Mtte Attas, )j<NM&e tV, tMmment n'' 6.
MtMAttm.j~meheMt,a*<.
«) Ve~M
M?
§~na
Mt MMMMACNM M MMXM
W BBtBtMHXBtnr )HVH<
)M
ttMntMWtM.
§~
eM eta~eiM~n e<tt tent~ittMt~ xttttt tjewaa NAMMMMe~
MtWMBttB BB tNftCMtt.
§x 1
MMMMMM~!tM Be NWtM.tOBeM eetmtmtBBHTABatn~BMrM
BM)SM~M aAMmM)M)BBt t.'A!XK!mmet)B, ou t'<W(~OrMUtBft
*ttet)M&, at mM tAOMB TN~ema et Mcat M Mt.
(t)V~ez notéeAthe.
{<)C'&Mt tester <~& <teMéh (t.~t). V~z ta ptem~M pMMe<e
tetmnM(te,<!<tCM)M<Mtp&<t,e&n<HNtw<MMpMt !me~nh<jM<h: de
CemMs. d'tsMoM de SMMe, de JMde~e.V&ttmMe, de Bahm Maur.
et a'Mttes &t'<eat<tde cette tene haMiaMe an delà de t'Octan heme-
rique, p. 'B-M–M–tee–tM-etMt.
–ase–
X* aMt! (<);~ BMppMMade de 'Mo qw'ax
~enve damna) BMNtaaa~de ~Mtt eMe~):3~ ed~
deCecced'AseeK/~XM'a!~(3):4%bpet:<e
mappemeMde~aa des BMMMMep~adMX!M's!!&ete,
de M~a~ <«<JMiM~,de Gauthier de Metz (4)!
4" cette d'un ma~~F!t Mandab daX!M* ~tMe,
<MeaesaM<tp<ae<<meMMm~(9):&~eeMe~t'ea
(t~ave dMts un M<aMMw!tde Ma)~ Polo, dM
XtV' a!ee!e,dans la BtMotheqMeroyale de Steeh-
!<e~ «!tM) (C); 9" ceMequ'on trouve aM~eveM
d~tM médailleda XV.N!ee!e.Ce q~ étatt même
pour quelqueseëegtoj~MB de t'antiquité une simple
~<<N<e,tes caftegmptMStdt moyen~s~ Fent admise
~emme<me~të (?).
Une aut~epa~ictdan~ qu~t Importe de ~mater
i<ci a~pMpe&desaMeuMdes mappamendeaqui adep*
tarent t'A~~cMhe~e, c'est la théorie ayatématique
t~msnet~At!t*.
eettemappemjMd~
(<)V«y~
(~ V<t)WB ee nmatHMat <ttM m)M Atlas.
M Ve~M MM AUas.
(4) Vt~fM~te~ <V de MtM AMaa.
(«)V<~MnetM A«M.
(<)VeyM MtM AMas.
f!) V<~M mt fABtMhOtMMdexit patsa~M h~pt<m& dms Gte-
NMa~ <dtt. de TMop. ~dtm~t, i8N. p. M et M!, et dms
e~~t~ ornent, a~tf. cap, <& (têt. Cmn. p. N). Le pftemtN!ea pa)f-
~at <e MMet~m), tp~m~ <tt t.'exbtm<~ de. M«e torte <mttd~
MMM,(de~Antta~s), n~tB re,<em tpp~e pMdes ecMMemthtM
(theMhtae~) de ph;d<tae. ~Mn~eet MB far t'MpA~ntF.
}~n<*t
§3H
tt)V<t;<Bt<!fMnttmppf<x~t<j)<n<t!~MtMAtb'~
M&
A <?«? etMtteappwt!eat CM )mapp$me!~te ~e~Mt
Owave~Mwm manMao~tdMX'~X~aM~a etqM!
Mn~nme p!a~aM Vies de aamte (<).
On MBMH~eaw FAo!eta !~ead$ aahMmte
< J~Mteea~MMM ~~Ma~M et~se
< ~MTm<jpef<e«<mNMHt~a &e~<a<WMM SaN
a<~e~<M~~<e~eetM~M<~M<<~ JtSffH, et
< ~M~ ~t <~M~~M <~) ~ofe ~&!e, que
<<C~~)~N!W~.
Cta )~)MMpq~«MrrEa~pe !a légende aa!~ote
« JEMt~m<f<c~M<ab JËttrope~M ~eaeMs fe'
~M tMMFM TbMMO&t~M jA)FE<~t (8!o), MM
< $~!<«M~ ~aere <~ ct~t~ pM~M«Koe~MMeuni
« ~eH~f~MM~eMm <'<&e~eM< civitates CXX.
~r t'AMqae, oc M<la légende smvMte
a ~f/Wcadicta M<a&~f une de pMMrM~f~ote
< ~MMt~MM<<~Ma< ~M CBAHde Ct~tMpM<e~«Ke
a aMMe~feMegentes XXX. Et &e&M<ar c<M<o<e~m
~tco CCCLX.
Sur ua~ autre mappemondecoloriée, qui se trouve
clausun nMgMiOqtte manuscrit d'tsidoFe de SëvMie,
du Xm< s!&cle,on lit sur i'AHe, le nom de Su;
sur tTEaMpe, celui de J(&pBET; sur t'AMque, celui
<UV<wstMHS dans)MtM
mappemonde AMaii.
Dans t'&ttttm pWneep~des ontM~es d'taMeM de MwiMf,tte «~h
enMneeMMU)Mt<M~MWMMmt"M*M~<Mh.
Me
X"
~MMt!)tMeABa)!t
«t MOOOBOt
BM)<H)CM oe
MMBMNtMItttM
eMMMMm)tteBmaBet<M)maMKMM<MmH*w*M.M.
C'autMs cat<e~aphesCguMntdans leurs Mprë*
Mn~htM~pM~M!emonèB dt~eo SMMsh~
MtfMeset Mo~MMes, commenous avons eu déjà
t'eccae~onde le faire Mmm~uer: mais a<tMdevons
aigna!erloi que les représentationsde cette théorie
que Maa avons tMMvëedans tes mamNedts du
moyeït4ge, présentent des vanëtes très curieuses.
Dans une MpteaentaHende ce genre, qu'on ren-
roncontre dans un manuscrit du X* siècle qui a
pour titre Liber ~o<oM<M ~!Mc<tJtMen, le carte-
graphe a ngeméte disque de la terre par un cercle,
et par un autre rOcëan enviMnnant.En dedansdu
jpand cercle, ou du disquede la terre, on remarque
6 petits cercles dont celui du centre indiqueque les
6 autres représentent tes 6 zones, et on y ut Ctr-
ct~t ~M«a<<t(a).
Une autre, du même siècle, ngure le
(<)NeaaavonsemmMla BtbXethhpM nationale
deFmbm
emntMMtt de SMtht,duvm' dMe(MM.
'TtaMete
ptéctemt tMtn.
neaM);amteMMn'yMmM tmeent)~MeuneMpttMntMhmgM
~tqmdtetebe.
(a; VeyM CemenmMM <am nette &t~, j~M~e Il.
<M
§ xin.
Mt tAaMeatPttBB ect M~aeaNtrmtt Mum MCM a*tPBMOtmm M
BmttABt M M MM M MO Bf BB MA6M, B'AtBti t.'tMCM.wm,
m~etinat.
dmsDotreAtlas,
cemenoment
(<)V<~M nes.
(~ th., n'a.
C9V<))<zeeMeeMppMMBde<<tm<MMeA(tM.
"N–.
cettemappemonde
{i)VeyM dansnotreAths.
~Yeyet cette <M)<peBMade<tM'"Mt'eAtt«!
a$$
eomserMeoeoM!e &m)Mx p~a de 6~ <t< ~t-
g~tet My NgMM HB~teawp!a<~ f)Wt MMnMmh~
gne, aappea de laquelle on vo&un mi a<s!$~ap<Mt
??)?, et aa bas on Bt a ~KesaM~o~ Ce eosmo-
gtaphea fait ~~MA!MMndMdaMte)~adeG<
d'ap~ w)MeNewMn)te<tM~s Atat~s <p~, setea
&Ms<,soateMHmt qM~ MmtMwten qpea~M était
t'<nnnfaged'A~xandhw~).
L'atï~of de la &meuse carte catalane de la NMio-
thèque Na~oMÏe de Paris, de i876, indique aussi le
pays de Gay et de ~Ma~o~,et il place à côté la lé-
gende bizarre qui suit
<tLe~otM<Mt~MMf<~Goget de Magog.JKMeM-
dra au temps de ~aMc&t~t avec une nombreuse
suite (2). »
Les dessinateurs de ces mappemondes, comme
nous l'avons observé plusieurs fois, pmsant toajoars
dans les œuvres des cosmographes et dans les tra-
ditions sacrées, inscrivaient ces légendes dans leurs
M~aM/~t~~Mt~~
d~ de ~~0~ daM !~ea)~pM et ~s
ÊieM~ !b er~teat qoe !e Proph&te tMa~Mit
pac nom des peq~es des r~ns sëptentt!o-
tMM de t'A~e. Hs tes Baaitmt dmm~MaîeaMh-
~t~&hM de fËBHtof~ t6!s qoe œm~ Jét~me et
Thëod~t,~ Mgafd~Mt~e~ tepèfc
des Soyates; ils ~av~ent em~ des deMnp~)~
de cespeapteadans les oavM~Mdes phts savants
costaogmphes da nteyen-age, et ils phoaieet exac-
tement dans leurs représentations gfaphiqaes, ces
eoms et le fameux rempart chez les Scythes (2).
§XÏV.
BMCtBTMmAtHMQmMMHiMttTNtT
mMOBZ VBM M tM BB
MOMtt-AeB
Uta MMtBM
CMMOMMtemM M PLATMt, m DB
t-'AUtAMMB
XBtMLtNtBMT
nm PttMaDBt.')htUSE.
(9 aMMea~aNt
M~de ~h~a~. v~œ <àt~
le
~MqM M~e Jp~~ qui a pear ~<M-
<M)MM(t~. ~r~~r
N~~naBaausaïeem~~
D'antres carto~phes,fenreduijs~tda~ re-
p! j~~q~ M m&M, tit~ <teN
traités des dt~NMts cesmegraphea du moyea-a~e. q
mtita!<a AM~MMa~(t'!aMgedu e~Ht~e), y aptte~
ta!ent A'aMtMeB~Mca~ons. Be ~aïMtt t'en~
aw cNttea de la <MM; w e<~b Mtdï~~t !e&!tm-
tMs: Mnawt<~ceMteindiqoait ia tepM, pais rOoém
~nviMtonaBt,sigoaté par un aatre ceMÏeet pat te
mot e«M; puis !e cercle de !*aw, ensuite ceini du
~M puis tes sept cercles des sept planètes le hui-
tième représentait la sphère des étoiles BMNou le
Nrmament;puis un neuvièmecercle pour représenter
te tMMM&ne Cte<;ensuite un dixième cercle, le ca~MM
crM<a<MM<m; et enon un onzième cercle qui repré-
sentait ie ciel eMp~e demeure des chérubins et
des séraphins, et au dessus de toutes les sphères,
un cartouche où on lit le nom de DM«.
(OMmMetttn'MW.
B<mMt d'Anton, dam son tMttA tnUtuM tax~ <HM«B,dM au
e)MpitM ~<<~nM,qa'B est appeM atast pmee qe'M est p!M& daM
h~onMMMM.etqtMdetan~memaBth'eqmtatmMMtptMée
M nNtM éeraif, fecht Mt ptM< m MMMde la tene. i. Steat eMm
MnmMtinmedioMM.ttt~intenmsimBMdhttmNB.'
LM cMmeeMphes ont ~Mtement MpMtMt eM Mees <hm!teaM
)-ep<~enMthMN,~<mt
repmeDtatlons,jdoDt Mas donnons
nous <tmMMm quelques unesnt~
qaetqnes dana
<tNMnetteAUM.
IIOIreAtias.
~t$
~?N?8
~t~t B}~ae ~&aeb-~
~que d'~anmannsedt
d'wn
~rait4desanimaax,
daJ~~siaeÏe,een8ervô&~
Bibliothêc¡uanatiena)Q
de~M~t
yat~es car~caphes, tout en Fepresen~Bt ce
aystemedanateMM représentations. !e<~Mh)!eM<
eM~MMMMtMment.
Bs Mp)~nta!<!Bt!a TMM au Mette de r<m!veM
<MoMcteMïqMMt rOcëm ea~MMMMmt, wn aa~e la
s~&M de la Laae; un tMiai~ae cdm de Jopher;
puis un qMatdèMe,autoor dMqt~e~ on !iatit Jupiter,
MaM, le Sdat et MercuM; puis UHautre cercte
enan un demMpqm ireptësentaitjtea~MtmeM~. En
tout sept cerctes ou spMMa au !!ea de onze.
Dana cette Mtëgone se tMttve unerepresenta~OB
cosmegmpMque tifee d'un manusoMt Mn&HBant
un Traite des aBiBMmx,cOBservëà la BibMotheqae
aat:<MMle de Paris, du XÏV' eiècle (i).
L'étude de ces mappemondeanous porte à croire,
d'aptes ce que nous venons de denMntter dans cet
oavrage, que ces monuments M représentent pas
seulement les connaissancesindividueNesde chaque
dessinateur, mais Men les connaissances générâtes
qu'on avait du globe pendant le moyen-âge.
Et en eNet, nen, dans ces représentations gra-
M)V<~n«MeA<h$.
~M~t~
de~ ea~c~de~~
1P<~ ? y MM~~ <~ tea~t~ pa~ amt
dK~nteasOt~ea~enOMVeBOMad'eMamêMF.
~t~~Mehement~q~ nôuàt\von8sipaNsiren-
dM)tt<9$<aitd'HMeôvidenMp~paMe.t~as !e moyen'
âge, <pe<pteo& la MMgiendemiaaït tout, tes deaai-
nateaM ~)a mappanMn~MpaMBm!eMt la M'N!t4d(!a
<~&MM<a<îeBs dea idéM~ea~ &têt peÏnt, qw
daM h maj~emeade de Retms, M ta<T, pe!nte
danat'inMate d'MMPpmponiaaMêla, bdesaiMateMr
a Mpr<ent< rcncadFNnentde la mappemonde sous
!a ~Mmed'un <OM~,et & chaqueangte il a ptaeë CM
aBi~)emboMohaatla tMmpaKe ce qui est evidem.
ment tiré de t'evangiïe de aamt MaMMea, cité par
m cosme~praphecëtebre du !X' a!eete, par Raban
Maur, qu! dans son traite De UateerM (iib. Xtt,t
cap. Z). commentant le pNmme i06 a M~M<M'«t
a et eccosM<~ a~NNeMe e< nMft, B le MppMche de
rêvante de saint Matthieu, S4, où il est dit
<*Em<<<e< ~o~e<MN«MeMm<M~oet coce MO~M,
< et MB~~a~< d ~Mo~Mf OM~M tente. e
Ce coNnegmphepensait, comme Servais et d'au-
tMs, que, d'aptes t'evangiie cité, il conviendrait
miecx de donner &la terre ja ~bnneeaM~c; il peu-
sait comme Lactanee, saint Augustin et saint Jean
8f$
T~a~ma~jMNM~ d9 Ce~~
<pMaM~N~J~~ ? <<Mt~~ oc qai `
Ctt~de M~MM d~n )~)R~Ogf~~ On tOMnaH~e
au8~ qaa~e aogos ombea~haNt tMHm~te pta-
eds am qm'(~ p~~ e< N)~tde:M&t
paMe&!am<h)M MMMa.~mao~eqw~dMML
<Mm~mphM, ~pM<a !'<? de !'aatM ~t'~t~aee
de )MMf tq~m~OaH<N M&M88 H~
~s~eB<,&cet~ttM6M<eM~aMtmdM<ma
Mefëes.
§XV.
MMas ea'es MetMBB e~ c<wa t& BAfHamBM! B)t ntM~me.
M Mn MMMtB DB <B Mmmmttt.
Can~t, Mqutpe~ai~em~~ de
partïeaHêMmeateeMdu9%fHfMN.
? donne & nndasMt ht <bNa$et la eMagumtïoM
que M deomit Ptotemee, e'es~~he tout est
i~tbveMe. Meo n*ypeut, d$t)aw t'M~ 4'aae pMa.
qM~tede douzedegrésde ht~wetde plus dequinze
eatts NeaMide ct~s, qoTt MMt, ommtMPteMn~e,
à c 9 ligne presque droite. Les autres eMs du
tnangte étaient &rm~ pafdeax !~MS dM!tes, doat
r<me a'ëtendaitdepMMla JMacheotientete du Gange,
jusqu'au cap Comorin, et rautM depuis eo cap jus-
qu'à la rencontre des montagnes du Caucase, vo!-
aiBes de la Bactriane. (C'<te!t !e système de J!M~e-
sthène et de Desinmque.)
L'Asie, au-delà du Gange. y est encore appelée
Indé; de même que la partie renfermée entre le
TigM et l'Indus, et on y lit Jfm<M~o~&M.n com-
prenait encore tes Perses avec tes Parthes, dont il
n'est plus fait mention dans tes écrivains modernes.
Il paraît, sehm nous, que le cartographe a voulusana
doute représenter les trois Indes de Marco-jMo.
6i, pour le système orographique des montagnes
derAsieetpouriaconngura~onde iaPéninsutein~
doustanique, il règne beaucoup de contusion dans
cette carte, ~emnM aou~Tar~m~ i~it Tcmarqocr
ptuahaut, ua~B~~ a~ _~i-u~ac~'tne~,
marqaer~~dan~~eMf~M~~
s~ueet~MMqne.
JLa Mep!ndie<meyestjBigM~~NM~
mefou NguMnt deax ~amdes Mes et quetqaes au-
tres p!us pertes, et Monen décida Ga~.qu~
qu'H n'y ait t~eMementde~Bonsidérabteque t'Mede
Ceytaa; &moins qM*M)M M soit h (Cery et ? Ta-
jjMpohme,et les cinq plus peRtes h JMM~~w,
J~eMee, TMaesM,~qMfrMOet jB~tatM~a, de ??'
Mmëe, qui, paph~andear et la positionqo'N!tem'
M~gne, cofM~endtent à celles que noas venons
d'indiquer. Sur la mer Indienne onMtJMofeAM~CMm.
Les contonm de la Péninsule arabique sont aaaez
regunerN. Passant de l'Asie à l'Afrique, notre cos-
mographe, suivant la thëone de Pnacien, représente
ce continent à peu près de la forme d'un cône, dont
le sommet est la pointe occidentale auprès du dé-
troit Gaditain, et la base à l'orient; il termine à
l'Ethiopie, au sud de laquelle il met la T~voMeo*
gnita de Ptoiémee preuve on ne peut plus évidente
que Guillaume KHastre, comme les savants de son
époque, c'est-Mireen 14i7, ne connaissait pas tes
régions découvertes quelques années après par les
Portugais car on y aurait trouvé des progrès~s!, en
eNet, <!<M tMeoavertea<Mdes voyages antét~Mrs a
a&&
'I~
XMMtMt t'tMt <? tMM~ <<a<Bttt)MM~
eftMNMNMit
MtM
t~N~BMeMMAT~eaM<nam~~MM~<~m~~
'~<tM.s.~
~~BM~BSp~~aM~CM~ppeBMn~
wtëtteates «ax gMB~ks<tAN)nve<'tMda XV' aie*
~e, n~ <)mMté&~t)oe mam~fed<M~~)~M;dt6
se OFOCTe~anBéedroït &Teat; ap~steg~t~~
~cgale. Les eatto~aphes saivaMat aaasi en ceta
!a gëograpMe~stétaat!qMe des anciens, d'aptes ta-
queUe la côte de rAs!e était censée Mmonter au
nord après r«mboachMre du Gattge, et retoamer
ensuite à Foccident jusqu'à rembouchurû de la mer
Caspienne (t).
eheKhM,etMesp.XVtetXCtVetsa~.det'intMd))cthm,et96etM)da
tMM.(~ttS,i8M.)
Nous ~mtteMM tnssi q)MM. Bhm, dans MmM~nt MtmatM SMtes
deax tMmumenMg<e~M)~iq)MSeenseftés t la Mbththtqae de Nmey
(<aM), dit p. 45, pathmt de cette mappemonde
BNt (ta mappemonde) Mf <ftt)M<<t))t<<Mf<m
ai ~M tt«~ <'<t<px<tt
«twpaMf.* a
Nom a<OMété ptM heuMM, ayant pa donner nne t<mg<Mmatj~
de ce menament.
(i) GosseHn, dans mt MemotteMmb &rAcadémie des hMC<~ttm)&
en M~ a taché de ptMt'ter qM c'est d'aptts cette typethese qec
mm Maternent ËtatMtheM et Sttabm), mab eneMe Meta, Mne, So-
Hn, OMsé, ~tMeaB, tBurttantM t~peMa, fammyme de thMeme et
MdMedeSétah,<tntdeetitta6<MMqtt'ttadom<a)enta t'tnde.
Voyez Tome XUX des Memetresde t'Aeadémte des tescripttoxs et
Mh'o-tbettM!
–a~e–-
Dans d'aetMsI'Me s'y tMuve orientée d'one
maaieM eoMweplus <6wage. EMetourne teat'&'Mt
al'est dei~ BmiM~a~~ eeaaab.
sances deacai~egraphes, comme!e t&aMa~ tM)p-
pemo~e de N(MM~AM N~~t du X!V' a~cte (i).
JLe caft<~M~he,ao<~ de !a maj~pemm~tedK~sée
danNié mAM~Me.tifée damaot~Nt de ïa NMe-
thèque &HtB~6enevïève,NecohBa!t nea aa de!&de
Hade Nq~M~e (~. €eM d& !a nNppNnmMteda
Turin ne a!gaate aucun jMys à t'OFiect de ta JM-
dëe(3).
Les cartographes même qui dans la première
moitié du XV*siecte commençaient à adopter le
système de Ptolémée, n'ont pas fait avancer la
géographie relativement à la connaissance des pays
découverts par les Portugais et par les Espagnols,
à partir de i433.
Et en eNet les car~tgraphes qui prenaient pour
base de leurs travaux la mappemonde de Ptolémée,
y trouvaient que la terre s'étendait en longitude
seulement de i20 degrés, à partir des Canariesjus-
qu'au golfe de Siam (le ~!NH<~MtM~ttM), et respace
situé sous les t6 derniers degrés était obscurément
(<)V<<ym
cette)Mt)pMMMM<e<t*)M)tetMAt!M.
(Z)Y<~ezcette nmppeoMHtde
dans MMeAths.
(3) VoM cfMe mappemonde dans notre AMas.
–9M–
§xvn.
mtBMMtmttmM)MHMNNV)mM<ta'<MfB~BeMB*NBHN
MAMB)tMmm
M MMMM
CAMMB)!Mt~mt-MB.
BtenM tentadesanetem,
surtesMM&<hs <aMletomet" delatM
<t)MMen
Btmeahe
aeStMbM*,p.x<nmt.
<<~6eN~~MH'tceAttM<da~m&mc~ p.
J~
M Voyez HiBBd,Catog.libror,mmotsefit.
quiin NNMt.Gall.,
Bdtet.,Bet~Brit.,Bisp.,hMtt,MMtDmtm.
(9) On<M)neà la suite du manuscrit de Vitrage, cité dMs te teste,
une rose des vents, mais en <9 d!~istons. HMM, dans sa magnitqne
MtUon de Vt~nve, publiée à Rome en t8!6, cite un manuscrit de cet
auteur. qu on pense être dn !X*steete, et qnt appartenait à la NN!o-
tneqee de ta Mtne Christine de Saede, sous le no tM~ et qui M con-
serve maintenant an Vatican. H en cite nn aatM dn XH!' s!Me. JI en
mentienze d'autres qui se trouvent dans les dMRtentes BtbMetteqaes
de rEmepe, lesquels sont, pour la ptapaFt, du XV*stMe. (Voyez la
BhMMathm ptNimtnaiMdeMartni.)
,}t~
(i)Ve~m KhpMth,MM<t~.<te
<fM)teM«m'Mat<w<M'<!<&'«'
< p.MM:9ttMnMt~aa<deetw<tt<<et~Mtna,etdeJa<~M~M-
N?dansla B~t~t~xdela<<<~Mfw
(<a~, et ceuxdeeeatMtf
<f~-
j~wtt.
?. lai, dans MB ~tMe~« MM(t, 1.1, p. 8M, donne m«t les mer-
eeNM de Cttyot de Provins, Meempaen~Bd'ebMtrmthtM cn~ensea, et
MpMdott un &aement du peeme de fhtMMM «~<r&M, a<tten)fda
M!, eteete, sur t'A~Me.
New B'awM cependant point tencenttt dans le savant ea~rage de
H.Mdes'MtteMsmr les Mses des venta en Maseaameyen-aee.
On trouve df~ des neMensMr la boussole, non sentemeat dans
les poèmes de la 6n du XM*s~cte, mais ansst dans le eetehte M~re
DM j~~«i&Md'Alphonse ? Sage, oaw~e eemposé veM h mettM da
NN. stecte. (Patttda a, Mt. !X, thf. S8, et PatMa, ttt. XXÏV,thf. :.) On
tMate a<Maâne tnentten de t'ata<<it!eaimantée dans M !MMf de Bfa-
neMo LatM, ont momt en <S9!ton MM. (Ve~ez Memettes de t*Aea-
demte des tnMttpNens, t. IV, p. <66 et sntv.)
Atnst, la date qu'en as~ne à la ptétendne dëcemrefte de Cf~<test
pestetteate a toutes cettes âne nous venons d'ennmeMr.
a?&
qu'~Mn~ued~eettee~
dé~Mt oK~v<a ~enae eaH~e au'Ha donnent
au MMnde'atoM ceoau, la Bgore tMe des récita dea
acteurs arabe~ que tes jPtM~aa< ont dessinée dans
leur carte tangMrèqa'o~ y Mmawqoepour indiquer
aux vayegeMhtqa's ne pouvaient pas imaeMr M
limite des Caoanea, a!n8Îqae la té~odeqae tes ca~
tegM~hes, q<tH'<MttNM!ee, ~ttMatptes du capBo.
jador, ces pM~cutantes, disons-nous, montrent que,
bien qu'Us ment indiqué 32 fMM~, ils N'étaient
pas phMavancés que leurs pfédecesMaM, rotative-
vement à la connaissance de la vraie forme de
l'Aftique.
Cette division n'était pas genépateo)entadoptée
par tes dessinateursde portulans et de cartes marines
vénitiennes, puisque nous remarquons que tes car-
tographes dessinateurs des diverses cartes nautiques
dont se compose le Portulan de la bibliothèque de
M. Walckenaer, de i384-i434, adoptèrent pour les
plus anciennes i6 rumbs (t), et pour celles plus
modernes 24 rumbs, c'est-à-dire, pour ces dernières,
la même division de la rose de Vitruve.
Si l'on rapproche ces particularités du récit du
P~fo Q<M!tao. voyageur vénitien du siècle qui.
vaut, qui, poussé par la tempête vers tes Canaries,
(<)Y<tMtM pmta)mdammUM Athm.
–a?7–
eh t4St, oppeMeeneoca ees Mes pays Inconnu de
<~1~ manna, p~ncïpa!ement de ceux de HtaMe.
(i~aegfMMeogm~ e~tawcMtMtd ~<Mt<Marman, Mas.
~MMMMMte t~~e~Mfte aM<re(t):) si ron rapproche.
dtMns'Bioaa,ces passages de ceux de Pentaot, dans
sou ~~a ~MM<t, du temps que mettaient les
navipteurs Ténitieos pour aller de Ven!se en Flan-
dM, to~c'M Mgt8sa!t de naviguer Na~ta mer A<*
tao~que (B), on se convaincra que la particularité
qu'on remarque dans la carte des PtM~atM des
38 tWM~des vents, est toiu d'indiquer que tes tna-
nns de l'Europe aient franchi à cette époque !a
redoutable limite du cap Bojador, où s'arrêtèrent
tous les navigateurs, jusqu'en t433-i484 que G~
JEamteale franchit, non pas poussé par une tempête
ou par unha8ard,mais en découvreurmuni d'instruc-
tions, et dans le but d'agrandir tes connaissancesgeo~
graphiques. Et en effet, dans d'autres cartes marines
postérieures à celles des PMsayoMt,dressées même
dans le grand siècle des découvertes, nous remar-
quons encore, dans quelques unes seulement, i6 et
dans d'autres 23 rumbs de vents.
§xvm.
Mttmate
(i) NhMotMqM dePads,Mss.n*~Ma.~MtdsCotbert.
5
~Nap<Mh,M~M<M'!«BeMwb.
(~ )Bat<!b~~ NMBMw <)<«!<? Mfn~tM~ <~ ~an9)Mt dt< ~M-
eMmCM«)MM,t. 0!, p. NUt et <~tr< du même auteur, 1.1,
!)ttMd)tCtim~)~XXXVtHMt
? MM, abtotM se!eiMes ma~émat~aesm tMte, t. p~ 59.
(5) VojWNotesur la ~aiM~Mtde <'<t~tf~ «<tM)t<~Mt CM)M,etc.,
daM eoi~te~MBd~de t'Aead&t~4esM!eMea; t. XtX,~mee
daMoc«thM<Mt.
aas
tei"cefetematq)M testShNKsdajeot;tea*,tMMtt6BMO)mnt-
mMxdMM<ta~~d~oi8:teS*es~oeMde(!M~<nesen~t!tct6MS
cMn<~s;le 4' enan,tes8 (ttvMMs
derhorbeD,mdm:8 wnt~prin-
etp&tM.
6eMtBM'aBB"!e~ee~t<tMdaMrMHMtt& de B~amtet.
887
en1757,
(t) DéjàFalconet, avaitdit quelesArabes tMienttraduit
unUtMd'ArtsMte quirenfermait untraitédet'atnmBtLesArabes,
ajoutecesavant,le<f<B<ttftNtM< la<McMMt
<<qM<f< Mde teMMb; et
danslest(MMeM qa'Nay tMetewnt, tb firentmention
decettecon.
MtsMMe MMle nomd'AfhMte- OntrouveencoredanstesMNte-
the~Ms desmanuscrits decettetraduction <~)Mf ett'mcroit
/i<M/Mt,
avecmbenqo'AtbetHe~Mnd et Vtneent de Béants enonttiréle
passaiqn'Mseitentcomme ehlepMtesephepaMtHMtNtt
d'Atistete,
de la mMKeMe deeonette.(MemMt,DftMMaMm Mtter<~e'M)'<eatM
<M<att<aM eMtfMdefafaMot, p.M9,t. tVdesMémottes det'Aeade-
medeshse~ptieM et teMe~-tet~es.)
{9} StpMMtM, t~x~e <Mt«tt«x~<M<BMe~tN~, t. M,p.M!.
M$–
M<~<MMW
TedMtBi. <M<t.
(a)V<~mPtatcn,Fet<,<Mt~m<!pM<
(0 V<?M i~M,t.Ht,p.iM.
Ventse,
Cf.)LMMee,Mt.Vt,T.«)M.
Pima, t~, 011
(1)Yoyes te cr.Laer~, n,. W.v.tOllO.
(S)MeenetMm~MH tenstMpMmgM desantmKMetemmr ee
se~t.V<~Msa B~tffMttNtMtM~j~<Mr « 9~ la axeatM
<M< en<&
fa&Mxt,t<M
t t'AN~&nte desinsottpttms lee avril
et Mtea-tetMM,
Mn. (Mem.det'AMdemte,t. tV,P.M5.)
<4)Sti!ttABsmNN,J)ee~M'M<,M,e.4aMT.V~.
ie
~s<w*
_nA
(0 Sohtœc)MMrh) viresabeolapideaccipit,retinetqnetongw
tempête,aliadappt~endeM &tmmntmmtMBm eatemspectetar
tntmdam..(Ktae,Hht.ttatur.,Mt.XXXIV,
c.M,et Kv.XXXVt,
Cf.
e. M; BttMM. Net&tKtM mfre~<a<<!M iMtetoxrMt,t. n, p.SS
etMh.)
S) CemmentM!! institut. Benen. Tma. Il, part. M, p. !3!.
COV<~MGeorg. Parcblo, t<ttMta tMM <mt<~M,c. 7. § M. Mab cet
auteor ptêtend à tort aussi que MareoPolo a apporté de la Chine t'at-
tt<Hteatmantee, e<t<9M.–0. !<MineLem~o, ~Mfetaj)T<tMr. JMraet.–
–FoUet, ~MtNMM &tfM, c. M. –Piaedo, BwjM~ttMtxMn.,tV. Cet
auteur attribue l'invention de la boussole à Satemm.
Voyez atad tean-MdMe Herwart, dans sen M~te ~dm<ir<ntdo
N~~M ~<e~<c a~tMt~h
Cat anjtear ameMBetqoe tes Egyptiens ont cenmt la benNote {Mc~
natXf~t), mais N ajoute qae t'asaee t'en est petdtt avec te temps.
<* Mtter, JMbMthM«tN<tt)-<.Ut. <, C. t9. Ce savant mourut en
MM.
~)Cw)ttdeCeMh,&~m<b~rm~
M<
(t) V<MshM
estd'avhquelesPMnMeM et tes Ty~eMB'mtpas
eeama labooMete,
etcesavant
attrtbMt'inwnUm decettMtDNMM
MXChinois.(Voyezn)r.etMUMM.
C.14.)
(:) BoetmftCeetfNph. Stcr. Uv. t, C. 38.
(3) Btttens, ~tMJtO~tttW fM~<M <tM<ttt'!<tMrM< OtMttt&t <MM!
<tM-
dtMM. Tom. tt, p. S8 et rniv.
M TMmMM, B< ~HM))<m««t~o~MM, dans les tNnsacUom de
t'Actdemte de Meaae, Mm. M, 3* paM., p. 355 et mtt.
(5) G~rnshM, MMf)'«c~Mt< M~ HpffaM txMxtœ~de la tMMta.
«) MMtneh. Histoire des Sciences MttMamUqMS, «an. t.
(7) Ami. PfemteM édition en M95. Une demtteme édition de t'ett-
~fttfe d'Atmtt, sur t'oW~M de la bMss<~e, ~tt paMMe à Paris en
tSM. avec des addtUMS suivies d'une lettre da même auteur, en ré-
peMe an méamtM d'Hager, pnNte Pavie, sur te mêmesntet.
Il a t<<)tt&aassi les absmdites d'HenMft, dans sa MMe<~ païeme,
qai a seateM qae ta CMi)t-Ax&, que t'en wtt danates menomeMs
d~ypte, était h beossote'! 1
(8) ConsMeMzhMtttstwtehe sepM la oftgme de ta hmseta, publié
aFaeBM,Ot <T)S.
–MS–
(t) MM.Htst.RatM~.XXXVÏ–C.
m.
~NMbMe.O~tt.~M–Cap.
ae&
t* L'action di~Bt~ce de !*aigHi!teahMatee sar
te~e~a ~cennae eo Cbin~phtsteaM sièctesaMot
que cet instnmaent fut connu en Europe, si Mou$
athnoMeoscomme exacte la chFOHo!eg!edes Chi-
BOM(t).
a'JL'a!~MMeoamiqae appliquée a~MSt~asur mw
par les Chinois, parait n'avoir été indubitablement
adoptée que vers Ja Qodu XtïP siec!e.
3* Aucuntexte précis à notre connaissance ne.té-
moigne que i'Earope ait reçu cet instrument par
rintermédiaire des Arabes.
4" Le proMème de savoir si FEurope a reçu la
boussole de la Chine, nous semble être encore à ré-
soudre.
6*L'usage de cet instrument, en Europe, remonte
avec certitude à la fin du XIIe siècle, époque à
laquelle on doit borner l'antiquité de cette inven-
tion, que l'on pouvait faire reculer à volonté de
plusieurs siècles, avant les recherches dernièrement
faites par un savant mathématicien, qui trouva, dans
un manuscrit du dialogueDe eodem e<diverso d'A-
HNMM MnMtNS
MaHE.
20
(,
AMMM~
§ t, Pt)BNt6~p~w, p. a.
Il
Sn,p.9.–V!'stea&–<OM<*t<M8,Éin6<m!mR*vzt)m.
Mqae~M!deMts.
~tmmd~ eonmMMC sea JKtM~~M CM~ j~r hd!~
don de la tenw, d')~ <hs~ (1). H divise !e monde en
tMta ~)~M. savoir l'Bato~, t'Asie et !'AMq<M,et~h~e
aussi la th~e de r(hahm etMÏNmmmt toute la terre. 9
mamMoMM !? Fot~ëM dana Me&m a<ttmt!~t h~
(hoad~ et t'Be de MyM dans la mer sepiNttfiem~e et rAm-
gte~ne. n eenaMM a~me & cette domine le eht~tM It
deMnh!sio!te(a).
$W,f.
$M,t'.e.–Vt*N(t<!M!.
Vt--
§n),P.23.–V)t'8)6CM.
Nous ajouterons ici, & ce que noua avons dit dans la
pifemi~Mpartie de cet owvntge, lorsque nous pa~ams de
JeanHtMoponos, quelques détails sur son ~(ëme cosmo-
gtapMqM. See ThM<< de (aCrAttmM du Monde,est rempli de
deiaib cosmographiques Ot~ curieux. Il' adopte l'opinion
deaaiBtBasHe, qui ptaoe la terre immobite au eentte de
t'anivem (<). n n'approuve cependant pas ta &eorie homè-
rïqae de rOcean environnant la tetre; car il dit que ceux
qoi avaient decnt les limites de ta tertre ont pensé que
FOceant'enviMBnaittout entière à la maniëMd'une Me.·
Mais l'Océan forme plusieursgrande goMs dont en cite !e;
qoatM!ptimdpMm,SM<Mr: la m~HMp~M<qMt commence
&Cadix,S'étend dMC&téde ronent,M{peles côtes de la
De~M)t<ffcrM~enf,
fi) V< tMtopoBM, lib.itl, cap.V),p. tMet
'M~.et~h.VM.tB&aettme.
3t?-.
V!H
§V,f.M.-X*st~M.
(<)Vejf.<tmsta B;NBUne,<ot.!H.BMHNe,
<MO.
M9
<x
j, "<
M.–Xt'at)~ r
dentnemavons
He~naeCeMMam, d~ttïM)f!é~M!)~w4
eSNthwMMl~~N))?rAatM!ohtt,
aae e~cea~{aM~M~! i
e~<)EMa~~Jtf«a<t)<BMt!6M(<).
OBMtttM~
dtMmceteMMage!e~attt~eg~tap~a
dM<Mbp~M~Nme~epan~d~M&M~~N~~
X~
§Vt'p.M.–X!'M6cMt.
LemanusevitdetaCMm~MpMe d'A~phte Mf,dettt
BibMetheque Mn,n'47<M),
dePâtis(Msa. estdanstmétat
pa~it deeonseMaUen. H esHn-Mie, et contientMeo-
tennes.
MtMntenne MMpr~entatiMs astMBomiqaeset ceMM-
gtapMqaes,et!amappemondequenoesawmdonnée dans
notM Aitas.
Toutes
cesnguMs sontdeaineesavecungtand
seiBetce!eriees.
ta t" Mprésente savoirh teTcaM
les4éléments, centM
anceMte dMgne deta tene,unsecond
te disque eeîete
cetuidet'MM,puisuntmisieme
celuidel'air,unquatrième
(~LachMntttm
d'Benmtt
6ttpobUte
par<hnM)H damtet.Mt
<hNmt&MmtetaenmM)tM)~M,p.tM;dmMtet.td)tN~tn)tetfBm-
tt<aMm dtMhMMM&<M
sa~'MMt: Mit.
<wnmt. deLyon,
t.XVM.
eHa)!BeeNe<eCe~ne,t.Xt
cet <BM<t,
?)V«~M, ceqoeMmMOM dit,p.Md, am
t'aaatïM
derctUM~deeee<Mp!M
deBMemte,
aatX'ette!e,
etpt$.iMet
MtONttMt.
.-M~
eB~e~du~.C'e~teM~t~&MMt.
t~ M'est utMauheK'pt'Htèe teaeaacea~
d'anern~, dont!esaa~tet? tMU~httaux4 p~ntaeatdï-
~t~ .)es¡~,mw'-
SMt~, $~iM~ FKm~ej~ede.~<e~et~
~sead, t'Ot~a enwtFMmant. .,L~
J~ Mpi~~ )t~ ~yjBB~ ~B~ (<).
~V* KtK~~ ?~9~ ~M<~0~]~t~
<)~McMM<eei~atdMM)~~t'6~M.
Aue(M<m, on !i( ~a/~naMre~n~ dam<mter ~tde
quiMpt~mte te ttmhe,!eM*Mpt~aente Mnw,te ÏM*
<'<a<t,ïeiV'f<Mr.!eV'<e/c«,teVt~ taw, !e Vn*JM~-
aw, !eVm' t~Mt, !e tX'~w~a, !e X'JM~e X!'
Jt~pAef, !e XM'~mMw,!e XtM'<e.~rNMtMeH'. !e XtV'
e«tMttM~a~MMm, teXV*cercleenBn, <?<eMpy~e~et
en y lit autoar CAH'Mha–Betm'M<t!eNp~–P«e«a<e<
<on~e&–MMtM'a &ttm<Mta–<4~eK–y))<~MtMMt~a<M<–
~mt ~ap~rn(2). Au haut, onlit <&<Mttnif<Mp< <$<Mef<M.
Etplushaut: F~NMt–MMCMt.
La V' ngmreMpr~œnteh terre, puis !es 7 <tmcte! de!
7pitm&tea,etmnat:te!e:taBign~duzodhque.
La Vt*mpr~enteie coursdusôteBet tMtef tabte pour
<MuvmiateMM<!<Mnm!ca!ede28tmB<es' i
LaV! ngure sert à indiquer!e jouret ta nuitdansles
deuxhenMsphèMs.
LeV!n', te cemtedes Msignesdu zodiaqueet du<:oum
du'so!eH~'
eettef~ temsUaM
(<)Voyez !a phnehëttë~et~Athi.
N~s
(S) ~nnensânetept~on Mmb~hdaMMtj~ At~
t<t&sd~aS!itn))Mt:t<!MXtVs!Me. ~7'
M<
!X*,duea)mde~~ma.
~X~~tM~ed~e~ipseada~M!.
LaXt'.taateodedeséoKpsMdehtmM.
La X!ï*, une autre Cgere rapt~aentaMt!e cours de la
lune.
LeaXtM', me, XV. XVt'.XVIt'. XVttt*.XtX'cem!ea,
des heures et du oews des ~anMM.
La XX*, la tnopj~aMnde que nous aveM reproduite
dans notre Ât)M.
X!
SVL-p.ae.
xn
N.We~Mt<~s~efd~sM~de~!tNm~deS)~t-
~ic~t,tfMMdaBstaB~<~apMeaBiveMd!e,t.XXXV!qae
le tmité de g~mt~ie qu'on attribue à Huga~ est peot-êtm
de tai, et que l'erreur proviendrait de ce que non seulement
tous les deux appartenaient à l'abbaye de Samt-Victor,mais
aassi pafce que Richatd Btses études soas le cetëbm HugMes.
X!M
p. 74,78, 79. M, tM ETsmv.,ET143.
(<)V~ezptmhtut, p. a*.
(:) Yey.Net.etExtNt~, t. VÏ,p. «B.
C9VoyezLebeuf,B<tMr<. o<rMM <tM«~Me« p. St.
ex~<M<e,
(<)V«yM Wet.<t&t<f.<fM ~timMt~M. t. Vt,p. «B.
(5)V<qr.KMmfM <<MN&Mr~maMtM, pMN.Retmttd.(Pa~s,<M9,
tn~ p. <Met M~
(6) Yey. <tMM~a, BM<<<«r <M1'MttMt. <<<MM~, p. au <~?.
(7) V<~ez Let)e<tf, ~<t' f~fat &t ~M<M «t fhMt?, p, M.
–aaa–
j~~ X!aM~q~ MMt, ? <aa~
amtMKMN, de ?? ot~ &pftm~pP~tde de fataba (~ et
etiNhmMd'pM!cM~matt~~
fH~!&!a !B<ttM époqttttles ~er!~des A~abaa~ et M~oMt
eemn~A~MNM, AMaraM, d'Avtceme,et <'A~))M! ~).
N<w&~M~at~M,~M~p~da~
j~tNttMM 'MSMN~aptMa dM~thaaqa! dMaMt'Ec~&*
~MeaH~e~~t-Nha (AvteNMM) etd'<)~. NM6WKHts
teeMf~~~Mtf<~~~MgMi estMars) <t'ABwft<t<t-€Mn<),
~MMMd'A.bM~d~Da~Mti~~ÏMo~~
<aaxt~Mtentp!)N!e<NS noMens scbxttaqaNtde !')ta~ par
MaieHnAjMte des aateuts MabeStCe fbt aaN! par <Mx
q~'<~pa)fMe~hsdaMed>~aa<~MeMt~&I'Occi-
dot. OBcc&K)BA6ie,enËgyp~eten~pt~ned<scoM~M
de tM~acteafs,et des wnhren)!M< cOt!'oa en~Mit tea
sdmceade h Gfëce(3).
de h eosmegMpMe
tes bt~s ac!entt!Nqaes et de h geo.
gmpMedes an<besfurent puMesdans tes aystëmesdes
&e<a.NousNMmm t'oecMion d'enparlerplusendétttC<B-
!e<N~.
!~voyt~eamafabesse rendaientd~)& eBCMBeau.tX*
~ëde(877)(4),et SaHamexplorait,parOtdtedmha!Me de
Bagdad,lesem~ronsde !a merCaspienne. Bstra~aatent
danstcttslesportsdet'Me.
CeaMe pmdnisitun despremiersgéographes arabes le
())VoyezLebea~Mno~. dt.
(~ KMnpnMta t~ emMes deceaMant en9te).ttt-Mto.
(S)Vayet Btttt~td~
<<MKta<x, Mf«t tt~MftMjM
MrtMMf,p.ST.
«) Ve!flesRetathms<teRemmdot,
donates et~<.
parM.Ket)tm<t,
MB.ttMfM,t. p.iM. Nottee deBegait~es.
~7
Se~Mh NM~
~hMt e! Kaa! IMetat~ty. ceg~apn~
dMa~~MM~~
aMS)~Ma~% €'<<~M<(<),
qu'itee~n~~
M~ mat tea eamttt~t ah NMMm~tMtam6aMawaîe~
d~penétté. 7..
An a~Mda ~~Mt, t! <? tatM a~diM qa'9 est s!ia6
r~t~mM du Mf~&, au bord de POe~n, etqNM ne~M~e
aaom autre ~y% eafM aB<emttNa!td'M)tK~K&~t'0~n
et~ ~eftda Jth~e&, et de rawtte ~)~b <MsNtdoIfUg~e,
où scat O~w, <~am par le d~)pt qui est MmbM, &
eaMS tK gmada tMew.B B atMt~t eepea~b~qaeïo
]~9 da SMdM)t<ta!ea<&F( étende ambd~tb et m~
8&faNes;et matgrécda, ce ~egmphe ne eommbMMpas
les t~tom~a midi, car J! dit que !es haMtmts du Soudan
n'avaient point de lieux aab!t<s, ni d'emptMs, oteepté du
e&tédu JFes~e~.t<Mdeux poh*<& extt~mMque ee g&tgmphe
signaleaa midi des Etats barbajfesqaes,sontStft11eI'la
au sud-
est de TWjMK,et Se~Me-Ma au sud-eat de Fez, et h «tte
<<M M e~ ton~Mtcment~eoMMte.
De la a~me manière, MMMudi,qdi éer!vait aa X' siècle.
ne connaiNa!!pas non plus la côte ocoidentatede ce vasto
cont!meat, decowerte plus tatd par les Portagais. n dé-
ctaFC,en efEet,de la maniemla plus positive,que les matins
ne potMatentpas naviper sur la mer Atlantique au delàdes
colonnesd'Heteate (2).
<M~B~M~t~a~t~<
~,9~~MfaNMaK<~taMt~4~M~
tt~Bf~~ ~~<. E<~ X<M! ~w~t~
aavantaaMbMet qa'en a MMomH~~ M~ Op&a~tw.
',<? graphe ttdepttt OMoreaotn~Mï~HMt ? t~de ho*
a~qw de r<&9<an enwimnnaatte 6to~,ma& aaa) que les
ph$N JM~t~ par M!<emer étahMt hMMMMMh Mmat!eM<,
M~Mtetentpa, qM'Myav<t!t dM CMSatMfM ot<!Mmt!)MWt
qMe~~MMtMMean)MM,Mtcept4Meo.
S! tmM~M M'atateot pas, &cwt seata, pMa~ que ce
<MtaMOt!Mphe ae <~M)Mi8M!t at~tame~ t!tM de ï'Man a(-
Imt~Me et des régions dëoeavert~ au XV*aMo, Mqu'il
<Mt,hfsqM'i! pw!e do cette mer, soM)raitpau? le prouver.
S'appuyant sur t'MtorMd'~eMMif&aa (AtbyMMny),au-
<aurdu X!*siMe, il dit '<que la mer occidentale, qui ba!g)M
le littoral du paya de t'A~M (t'Ëspagne), que les CMcs
appellent ~N~nantM,personno ne peut la travetser.? 1)
n sait Néanmoinsque dans t'Oo&mMy a des tles; mais
pour montrer qu'it ne connaissait pas le nombre, ni les po-
aMons, a ajoute « ~aepersonne*? <NBH«&, <Bc<p<~ B~H.e
Quant à la mer qui Mgne la côte orientale de t'AMq-?,
Kazainy nous donne la preuve qu'il avait, à cet ~gan!, plus
de connaissances que les Européens. H coonaM, enenet,
toute la partie de la mer orientale jusqu'au Zend (Zangue*
bar), vers le to" degré de latitude australe; mais au-delà il
avoue, comme Albyrouny (<), que jamais aMCHH Mw<rene
<*m<&tMf<M fiamMap fMutWMcaa~<' (2).
MtaUvemeBtteesqtet.
(t) V~M rimpoMantpassage<tAMt)M<my,
ttanschtdansnosttechen~Mett~m,p. LXVII.
? Voyez pescftj'MQCtieantcxeerftaet ejtOMA~b~
tbMm~
aM
J~tM<ew~deh<}MM!Q~phiede~a~y~~
pab~namp)~atMNe tta~~ (1).
te tstte Mt «x)empa(m& de tN~ MptëaaatattoM ~at
KM9~)~~ptM<a~,hMqMMM<)~t<w~tB<)aa-
)Mabear~~apMqaMdesANba9.
te X!V'a!Me a produit aussi p!usieum$6egMtptKsarabes
d'unagMBdacé!ébr!M.
Bt~a,dans un autre de nés ewwra~aa,Mm avom pt~é de
Jb~y (8),d'~<~(a~d~a- ~a.J~t<-
<??? (<t).NexwpatteMM mahttetMat d'un eatM dont <MM~
n'avom pas pa~é jaMpt'&pt~ent C s'agit d~~na~t~
Cet auteur ~vtt en <3t? de notre ~M. tt <Mi<e,dans ta
?* partie de son hbtoiM, de la ~egmpMe des !ndiens, et,
dans la partie relative à la mosuMde la terre haMMe,ildit
« Saetez que ta terre a la forme d'un globesuspenduau mi-
Heudu cM, elle est divisée par les deux (yands cercles du
< méridienetde t'équateur qui se coupent à anglesdroits en
o quatre parties, celles dunord-ouest, nord-est, sud-ouest et
<.sud-est, La partie AahMe<<ela terre Mtfwaw~tMM FMnM-
<p~e <~M<atneHa< dontla moitiéest~attit~e.Cettebandedes
e septdimats, embrassantdansson étenduela moitié de i'hé-
~~w~e~~ea~~Mte~p~~b~
<e! Mtwaeaa, (pt& AtatM at Mte<~ MthtM
ahM~Mr~9~taB~ttMa~)M~
attus ~p t~ttc Mt~ dM~t'ManaCaMM~e, et qa'M n<t
a)Mt<me<
T<Mse~ ~M!~a~ montrent (msa!qae eo (et d'ap)~
<e«a OM~Mon<pMt'hModea BatMa <<~cMa qa'awmt !?
<t<Ma~«fteade pdMe HeMt en MMwit qae eôteyer eie
aMt~teMNtMM~~mM.
Un aotear modefM n'a pas CNapFb la wMtabte atgni-
SN~ea de e~ paroles de BBmfM,et B'&pu vu que ra-
toatMMsht~eMétait assezhMtn~tpour indaper !e P~rtagat
comme un paya du levant. Cette phMM ind!qaa!t donc que
tous tes mMigateaN,dontles pays étaient sttu~ sur !a M~-
<Mrm6e,c'eat~'dtM <m<eeant,<<<eyatet<t et ne pte-
«m~eMr<
naient pas la haute mer, et ne pouvaient jamais indiquer
seulementceux du PottN~doBt le paya est sttae à r<H<-
ttémité ecc!dentate, e'est-a-dhe a la pointe exMme du pe-
nant de l'Eatope, comme ï'a cm Pecrhfammoderne.
QatmtaHxvoyaftesetdeoo<tvertesdesA)Ndt<esdam!eaoM!,
nous renvoyonsle tectear aax ouvrages de Fomter V<~<~<
aad iMMmwfMt Mt&eNord. Londfes, 1786, liv. M, p. 31; et
aStuve, dans sontfavaasmrteeommeMedesAm!Mtsoas
les AbbaMides.
Au XV' stech, Bahom YakoaU(t) ne eeBaaissa:trien de
la eMe ocddentate de t'AMqM, comm~BoasPavonsmontfé
da)mnn<mtMdetms<KnnNtgM(2).
WM.
(t) Veye)! et&)~ t. U,p. 3M.
anMmaamhMappâtent ta ma HMttenmte BMf
(~ QBet<t<ta!
f%rt~
(3)VoyezSchnIMM,ftMtt-eeawt~MKM.
MV<Te''wet.etBztr.,t.n,p.<ee.
·
(S)tbM.,p.<M.
Me.
<–
aMt~-
~eMpm{aM~lMB<Ma~~qM~<~w~td~lag~
< gMpMedeJPtoï&aée, dans ~e de NMb <utKa (<).
B~e~eM~JMMaasOBtj~pMMMtH.
~pr~Ahoal'Bassan,q~ eom~a.Xestèetnn2ma)d
<?*<M<SmM<e<<MM!M, Hdit qatt y ava!t d~sphères eHestea
~e~M~MpaF~afMs~qaiMMMMMthHt~t~NM-t~~
!e~e!, peK~qa'as }!a~aî~tîes Iw~ta~ et Ï~MtadM
qe'ib tMa~Mont dans ÏM MmM.etj~h~eBt tMas!lea <6toBM
dmasta aph~w(a). !t amitexantiné )t Mte qt!~e faite par
AMdMt!ssaatHarnm).
Onte!Mon<Md'au<ï~ctaftMdamleaNm<t66dtambcd'ts'
~ehry, donné par MotNer.
Du XH* siMe, on tfonve non seulement ceBes qui se
trouvent tenSennées dans le manuscrit d'Ëdds! d'Oxford,
mais 70 autres qui se trouvent dans le manuscrit de Paris,
du même géographe.Du XtU*siècle, nous connaissoustrois
représentationsqui accompagnent le manuscrit de JK<MMM,
de la Bibliothèquede Gotha.
La I" ngure représente une mappemondedessinée de la
manièreJa plus grossière.Uncercle paraît indiquer le disque
de la terre, unsecondcercle l'Océanenvironnant.Huit lignes
parallèles coupent la partie de la terre située au nord de
l'équaieur, et représentent le systèmedes sept climats qui,
selon les géographesarabes, partagent la terre jusqu'à cette
limite, au dda de laqueue on supposeque le froid la rend
inhabitable.Maisles climats ne se trouvent point dans cette
représentationpartagés par des Bgnesperpendiculaires.On
y remarque les quatre points cardinaux placés au contraire
(t)Vo~etA~.MeiM<t.VM!,p.M?.
(9) M)M., t XM, p. S6.
aae
`
~des€~e~~(<);s~tMy)~~
p!a6éw~,etle~da~a~,t'e~tatest,ett'est&t<tneat.
ËdïM dt~egk)bedeh ~MpardestaNdeatpartNNes
d'<)c~enteBa~t;etqm~Had&~ttmedewabaBdes.
~MteHmats,H en fepfMtdace autre ea mMnNtt &t'eeident.
Dan la haade, om pMmtercHmat,on lit la nomsaat-
vanta: la Chine, pays~Nonb~m~baF,
pays des Ahysam, -7 BM~, Su" ~Ne~es) da
magfeb (du couchant).
DtMM la n" bande, ou second cMamt~la Chine, -la mer
Verte, !egcMBPets!qae,0!)mn,– tifemen, –teget~
de Barbery, He~a~ la Haate-Egypte(Sayd), pays
des I~rbets, Sas, Tanger, t'Eapagae.
M'bande, ou troisièmeclimat Mà-tchin, merVerte,
Kandatmr, Inde, Sind, Mekran, Tys, Kir-
man, goMePersiqae, Chiraz, Syne, Jerasatem,
Alexandrie, rAMque, et y&pagne.
ÏV*bande, ou quatrième climat Tamgaeh, Chine,
Katay, Badakchan, Gazna, Gour, Komsan, D)e-
bat, Irac, Biatbeke! nord de l'~ypte. Bonide la
Syrie, mer Méditerranée, et l'Espagne.
V*bande, ou cinquièmeclimat le pays des Tares, la
Transoxiane, le ttansme, t'ArménM, les Russes,–
et les Francs.
Vï*bande, ou sixième climat Bamitm, Kaptehak,
mer du Kharisme (le lac d'Aral), h mer Caspienne(mer
des Kt«MM), -le pays des Slaveset le pays des Ahuna.
VH'bande, ou septièmectimat Gag et Magog,-la mer
(i) LesArabesavaientadoptéan modede dénMe!ation
deston~-
tudes<~if?ren~
de celuidesGrecs.
-a'
~N~a~tT~
~Mt~
~ÏM~~a~)~~
~Ml~~t~ ~t pu¡."la
SM)! U_tès'mapp81'lt01Tdeà' et sys-
<&<MMB~p~OC~)~a~
a~M~At~etBohmm~~Me~hpaM~
~8~BW,o&t~t'mM~eh<dhM qae
MHMMpmd<tiMM~a!eMent.
~t–,
ijt)Voyezta MMe<ted'AavMte,
de <?? ~~<M<m</t<M.
~Y~~y'.e'Bt~-t.U.P-M.
(S)VeyMceqae MMamMdtt, p. tst et Mtv.de cetoawtge,SM
ta mappNMnde de Sanme.
(<)MMnse~tarabe,n'a SMJ!M,S9), SM.aMtenfbnds,« mappe-
MS
~~pM~Mv)~~M~~
~~(t~jM~~ï~~ æfMro M mm~ dMmaau~
!M~detac<Hr~{H~aara~~
~dow~ar~ sonee!ebM ~a-
VN~eMf «wxmeceodes aMhtM,tt mappemoxtde d*]~M
<!ttaMnuso~td'(~ord(2~
M. HMMna!tede Be!t poNh M~, M <)M&,<taMFAtta~
de sen savant cawage sur les 8<epp~?) la mer CnsptenM,
MnedN N~tM~t~ ~'Bm-WN~, (M Xn!' aMt~ HM~
d'uMmMusef!tdehbtMie<MqMMt:9)M~dePM~.
jLN Mr(~ fttabM du Liber e<MtM~M ~j<z«te~ ont été
dmméeaavec une MmMqtmNe<Maaé par la decteartMer,
taCottm, en «39, awote<exte smbe. Quelquesanm de ces
cartes furent reproduites pafM. Not~tmaan dans mtmduo-
Uon d'&<«M& publiée à HaattMxmg,en <M&,avec une
savante pt<&cede notre iMm6M confrère à rAcadémie royale
des Miencesde Berlin, M. Karl tUKer; M. McnitnMmnac-
compagna cette publication d'une carte démonstrativede la
geograptMedei'aateMraratM.
D'autrescartes arabes ont été publiées à ta suite de la tra-
ditotion françaiset'e la géographied'EdrM, par M.Jaubert,
en i836-«MO.Ces cartes, tirées du manuscrit de ce geogra-
phe. conservéà la Bibliothèquenationate, sont au nombre
de trois, et comprennent seulement le tableau des i", 2*
et3'séctionsdupMmierctimat.
Notre savant eon&ereM. Reinaud dèmM aussi, avecsa
traduction française d'AbonitMa, le /<t<MMtMe
de ta carte
<t)V<~MnMBeeheMhessattadteoaMtte despayssttnësMrhteôte
p. tes.taA, MM.
MeMenhted'Afdqae, a~e~da capBejttttmr.eM.,
(9)KM:peMMMM wo~t<MtN<~ enCMtemr <? cMtc<mppcnmn<e.
~Mft–
~n~!<td'tttt.t~aa~. at<maMOM~e
deB~N~p~d~
d~Mbïd, atMi que la ~& gMMte dH~e SMMte M~<
d'MnNMman~d'âpre h dMoript~n d'h«eN~ (taaaaM~t
datrEseutM), etdewt desaha des Mse~des veats, Mj~sea-
tant deux ayatëntMditBSMtttst\M est basé w le !ewr et !e
<MMtMar deeert~Ma <toB~, Tfm<Ma poae eentpela ptMfe
MoiMeBcastt~dam~taamdetaKom~.
EaNn, q~q~M attenta eNt ~RmaM !a g~mphb dN
Atd~ dans des car~qataoMmpagMnt des o~wagasap~-
eMenteuteeaMet~àMs~et.
FMd&ficSMvea donné une carte de ce genre &la suite
desonoavmge, paNM&Ber!in, eB<M$, sarÏMMppoFts
cemmeMiaaxdes Axabessoaales Abbt~ides (i).
Le savant geogmphe an~ah De~tOMughCodey, puNia,
en <M<,une carte de la Nigdt~ des A~'abe~qui accompagne
son importantoavmgeintMé: 7~JW~r<~M!de~tAe~nt&<.
Notre savant confrère, M. Reinaud, a dfesse une carte de
Hasseady, d'aptes ses écrits, pour la joindre à sa traduction
d'Aboulféda,dont noas avons parlé plus haut (2).
Les cartes des Aranesoffrent aussi de très gtands de&uts,
surtout en ce quiconeerne ta positiontjeegrapMqmedesUeux
<erFestM&
(t) Voï~tt'eavmgedeSmw.!nUHtt&DieHmdebZagederAra-
ber mter dimAbbasidendaMhAMM,Asten.amtenm Eoropa.
? Nensnoussommes daasle tMte,Mtet~scaUMMatea
tM~mé,
quiontété pnMéesM&nnat6Md'apte teseéogMphM arabes,M!-
eatte)s<t<Nnm<sB'tWMK)Menttée?damaeM)t<mwae~.
SurtesthMsMateset peKamqatent été !mp~hnésdepnbrtn~en-
thmde rtn~mette, KtathemeMa !a eéeeMpMe.leteetem<MtCM-
Mttett'~KM~~M. Ze)thM.tMM)<!éNtMMt<M M~MMttt; Mpt!tt,
<a<6,p.<a<tet<9T.
t~ tes A<ah~ ayante
i~j~
p~a~ eommpa~~&p~er d'an paya~ situé
e! ma& i!s~ nom au para!!etedes
Canari pa~qw c'était ta te point o<ts'anOttient tes na~
v!gatioas aurta eote'MMsieurscartes des cosmegeaph~ eu.
M~eaa, <mM~t~ <m~ t(a ~Mwmtts d~ Pothtse~, au
XV' a!Me, ~Mnt Maternent dte~cs ~apt6a ces id~a,
eemme eatevMt&aMqaeÏqo~ axt~ de celles q<Mnous
publions dans notre AH<s. Et cette erreur de !a po~t!en
g&~mpMquede la CttMtéedonna Mea,dans nos temps tBO-
donnes, &des prëtenHons soaievées par certains écrivama
contre les faits de t'instaiM des découvertes les mieux éta-
Nies, et qui se pWXaientle moins aux discussions(i)
D'un autre côté, les opinions des Arabes sur !'impossiM-
!it6 de naviguer sur la mer Atlantiqueprouvent non seule-
ment qu'Hsn'y naviguaientpas, mais encore qu'itsn'avaient,
&r~td de t'Oc&m, d'autres notions que tes traditions des
anciens. En effet, la dénominationde <MerTnMn'aM qu'ils
adoptèrent, ils la trouvèrent certainement chez les gêo.
graphes anciens.
Quintc-Curce rapporte que les Macédoniensqui accom-
pagnèrent Atexandre-te-Gtanden Asie, représentèrent à ce
prince, lorsqu'ils entrèrent dam le pays des Oxydraqoeset
des Maliens(2), qu'ils se croyaient au terme de toutes leurs
épreuves; et lorsqu'ils virent qu'une nouvelle guerre leur
(<)VoyezneaRecherches
eMes.§ XtV,p.<M,et § XV.p. t73et
snhMHes.
MteM da eap~M~B)~stMéantfo hMtx~~ 4e i'MMet
le promontoire
S~ta.
3St<
~K'&MNf?H~~M~«a'6eN~W<~t«!!Ma
Nt<m<tpM~e<t<~e<MKMtNo<t<M<&.
tes Arabes adoptèrent nea seatemeat tes idées des
ahe!<a~ao~Ie8na~~dam~ des .tijstènles
cesmogFapMqaesds Ctecs. Et, meSiet, qaetqammteam
Atf~es, d'aptèa ita&M~(<), t~aKtent la tenfe eemme une
salace oaie ou M'mme <me table; d'aatMSOMatae une
bow!edont la taoMé Mt MNp~e; d'sottes commeâne boa!e
enC~mqa! tMffne; d'aatMS peMentqa'eMe<st cteme !mt&-
rienKment. SahMmtqueIqaMpMMophes. disent d'aatMs
tmieum Ambea, il y a piusieats soMs et pia~uM ïanes
pour chaque partie de la terre. !~na le système d'Edris!, la
te:M est tept~sent&Bcomme ao globe, dont ta ~gâtante
n'est iMenrompneqae par les montagnes et tes vaBées de
la sarStee. Il adop~ le systèmedes omctens,qm sapp~saient,
commenoas l'avonsmontré d~a, une zonetornde mhabttêe.
Selon lui, le monde commne forme qu'on sea! hemispMre
composémoiNéd'ean, e: la plus grande partie de cette eau
appartient à l'Océan environnant, aa mniea duqael la terre
Nottecomme an œaf dans an bassin.
La plupart de ces systemM sont empranté~ aax idées
cosmograpn&;e~ d'Bomeœ, d'MMQOte, de Socrate, de
ThaI&s.d'Armtoteet d'anges antears~ecs.
(i) X<CM dmste t. M,p. 3M dMw«.
tM jMOt~tsdecMMtMF,
« &!?. ~M~MtMt~tt
.3M
MtaMatlammeeëM~aet~~Mase~t~~
~OMté da Ma~ ~t&M do )*e<~ ~<~ aaset
<?? foo&m~metKNna~ <~ n~tae, te ttwade tM~ 4e
c<H&doBONt,a'wft)aeeweMeeMe!)fMr. tb'exi~mtédamande,
dwcoté du sud. eitetntia !~M éqahMxMe, oolejew et !a
nuit sont d'âne ~)NMeoMtante. tf'Mede &Mt«M~qui ftp-
parMentà la mer de h CMM, M trouve Mascet<e t~M.
< peMOMMsqM! se sont occuj~ de la xxjt~MM de la
terre et de sa &nae, disent qae sa citcoaC~MB<!e ~t &pea
ptèadea4t<M$mNte~ TeMea!thc!MOB~mm~de!<tteH~
en y cempMn~ntles eaux et !ea meM. En effet, t~ate-t-t!,
!e! eattxpF&entent, <MMiqae la terre, une Cormeronde, et
leur limite est la même. Celaient de ce que les savants
observerentdeaxviness:taeN8oasanem6me!~ne(m&rH!en),
dont l'une avait moins de latitude que ratare: ce tarent
JiCoa/aet B<~<M. Ils détermmèrent leurs latitudes, et us
Mirent le nombre le plus petit du plus grand Hs parta~-
rent ensuite ce qui restait d'âpres le nombre de miUesqui
séparait ces deax villes, et torsqa'ih eurent maïtiptié cette
somme par la totalité des degrés de la sphère, qui sont au
nombre de MO, on arriva à la somme de 24.MOmittes. Le
diamètre de la terre, qui est sa tongaear, sa largeur et son
épaissear, se trouva être de 7,<C7mittes. a
H a}oate qn'on attribaait aa degré 87 mutes, d'antres M
et deax tiers. <
Au foL 21 V*,Massoadiajoute ce qui sait <PtoMméea
retaté l'opinion d'an grand nombre de ceux qui. avant lai,
s'étaient occupés de l'étade de la terre habitée et de ses
limites, comme Marin (Marin de Tyr), Hipparqae, etc.,
d'âpres les récits des marchandset des voyagears; en effet
.e
?? CAMBS
6608MM!WM<??! MS CMMM.
Ù)CeMetMMdMthMKNtptM~en Mte~ht~a~hmdetteét~
CM~de et
dd'àboalf~da,
gesphie 'AbeaMMa, t
t'NMNBMe
~nDie decette
de oettovaste
tmte pubücatton
ptAMeatten
ocecape
ccnpe
M.MnmddepntsphMdedeMean&
8S$
<MmM~)~MMt~!<etqa! p~wMMCMm~
MM ~~U~CMde eMN~aMe~e<& ~Uodift\
~p~yatent~pouryodentatiendup~tapegMpM'
qu~ya!~MMea!mm~dé;aîwen~&uneépwnms!teeatée.
<m!<hn aapp!éa!eMt'ibect éMmentpar la positionrespec-
tive et cMMtaede deux pointa ent<s~e!gn<mt par unedmHe
ou à yang~ que fait <attedMite avec la mAfMtemM?Paar
la ipMMt~nde la gm<tde<Mttedf~'eeaqaa<M'v!agt~)MOw
p!ëeMde e~e, &d!x ~eds NMT~s, ent-MstM~mtê dam tea
<t<Md)~!a(~M8 &<nn~ par les mMd~Bs et les paKd!M~de
ceMedem~M.ce qui était contenu dam les quadrilatères
MfFMpondmb de raM!enne, <~mtiOBqae !<a ann~s no
pouvaient pas <a!Msans des observations astronomiques
pour 9x~ la position dM pointa un peu ~o!gn~s?
Quellesfurent les méthodesdont Usse servaient?v
~eUM sont les questions que le savant sinologue pourra
)~esoudM paraesrecheKhesdans!esMvres des Chinois,et qui
serviront à éclaircir des points ttès curieux de la science.
Nous ne devons cependant pas dissimuler que plusieurs au-
teufs se sont prononcés contre le savoir geogcaphiquedes
Onnois. Aami attaque le savoir des Chinoisavec une grande
v~neuf; Mdit que ce peuple ne pouvait pas vériner t'Ma-
ioim de la terre par l'histoire du ciel, comme le disent cer-
tains auteurs; et Majoute que nous n'ignorons pas que les
Chinoh étaient aussi peu versésdans l'histoire de la terre,
qn'ns la faisaientcanée et nxée dans le muieu; les auhes
éténMnts placés à ses quatrecotés, l'eau au nord, le feu au
midi, le boisà l'est et le métal al'onest; que, dans l'histoire
du ciel, où ils supposaient les phmëtes aussi élevéesque les
étoiles,et nxéës€MtattM des clousa éga!edistance de la ~K*
~s<
d~j~MM~~c!~ S ~u~ c(u'i1a t~'out Ia
i~a~ ~aMT~tw~, ~B~~s~
daP.Ktr~er, ibMut~entqaet~~ te~~MdotaCh~e
6MtB!M~)MuateM'de~~
B$~entdMsune i~wu~ de 1atJêographiè
leMqae ? P~eet arriva ehea MM, vers to MmaneaMment
<MSW9tëe!e, selonïe P.Trigautt, <enecM qa'Ban'ea~mt
paa~ate de cartes e~MgM~Mqae~qai ~ttatant te NtM
<? t~~Mp~ans~<~MtM <ScmanêB, B<~ma<~)M ils t6-
<d~8a!entMtNtdNede~ateht~eat<&p'mf!aeasde!ew
<MyaMM, et inséraient qoei~MMpetites Mo en la mer,
qa'Bs dépeignaienttcot à t'ea<OMf, y ajoutant !e9nonN des
<royaumesqu'Msavaient ea! nommer; tous !es<ntebM~e-
<mes, assembMsen un, étaient à peine la memdm pro-
<vinM de l'empire chinois. s
Les cartes chinoises et japonaises que nous connaissons
sont toutes d'âne date trente. La plupart sont dressées par
les missionnaires.
Klaproth, dans le Jt~<MtN~Mt~Mf, Paria, 1836, cite sou-
vent les cartes chinoiseset mandchouchinoises (voir p. 66,
iM), et donne des dé<aibcurieux sur les cartes de la Chine
levées par ordre de l'empereur M<m~Nf, entreprise com-
mencée en <7M et terminée en t7i7 (ibid., p. 303 et aaiv.).
AM Rémusat parle aussi des cartes de la Chine, dont le
père Martex a faitla traduction, et qui étaientantérieuresde
deux sièclesau travail des jésuites mathématiciens.Ceaavant
sinolo~eassnrequetesChinoisconserventtescartesmarmes
fol.iM,edtt.d'A<Mtet<tam,de<66T,–
(t) ttMmf,c&<<MfMM<M'<a,
<3.Atant,DeftM~. la jMMt.,p. M.
–;aes–r
dans~a)~~d8~M~~m~dM~H
~emM~t, MNMcaa~JM~. ~&t~<, terne t. p. jtM}.
En<5M,1ep~e<MMtrHMtMemappe~~
tMise dans taquelie M M eon~HM etK taMtMdesda «?
peuples, en plaçant !a CMmtau centre de ht carte et Midta-
pMaat les autres pays a<tt<mp du NeyaM~ du milieu (!bM.,
tMM H, p. 2M). ? m<mt~)meaœB! pe~c<haMtemNtts
adepMspar les ~apOBah<taxm1a ceMtFncthmde tettMooftes.
Bst~topMtMBtla mët~~degtadaatiea et de pMjeetion,
dont les eaftM eaMp~eanes teaF &)M)mbMient le medNe.
thb la grande carte du Japon, composée de cette mm&m
et t<eimp!<mee avec des additions, est très moderne: eUeest
do l'année i744. Les noms sont écrits en japonais, et Kta-
proth t'a traduite en entier(ibld., p. <6S)..Rem)Mat&itauss!
mentiond'autres cartes japonaisesdresséesdans l'année <?<?
(iMd.etsaiv.).
Rémasat, dans le tome VU des Mémoiresde l'Académie
des inscriptions et Belles-Lettres, 2' série, p. 889, traite
de la carte de la Tartarie, qui est à la tête du t" vol. du
~M<&oNHy-~Ma<<Ht. it pense que les cartes chinoises sa(-
nsent pour ces resuttàts approximatifs pour la géographie
historique.
XV
DESCAMES
CBBZ
t6S nnHENS.
~s~ee~~ `
eMNm~ t'j~dSt maS
accomp~)~ da ear~t j~egrapMqaea ((} !<e c~Mt jh-
d~m~~M~M~ lWt,-0» traduction du ,8Im8C1it. ee-
doema~t, et d'~a~ le ditede Renn~l, ce moMnmattse
t~~NN~N~&Mg~MM.
tm ta~tus po~&deat Bon Maternent d~ «mppMMnd~
nn!sa<!saides cartes astronomiquesd'apte !e aysMam des
`'
~mMaas~desastKm~ viltord,
sent ?69 commmms.Ils ~xasMentaa~ des cN~esde y!Bdp
en e&ta! et a~taïes d~ disMets, mais aaas gtadaalHoBat
~<M!e. ~M c&(M,tes Cea~Met tes chaînes de montagnes y
sont en généra!Bgmees par des ligaes très 8e!t~. Wilford
ajoute que la meitteutè <arte dece genre qa'N ait vu, est
celle da royaume de Nepal, pt~sentée à M. N<Mt~<. EBe
avait près de quatre pieds de long et deux et demi de lar-
genr, et tes montagnesy étaient Bgarées en reMefà peu près
d'un pouce de hauteur (2), avec des arbres peints tout au-
tour. Les chemins y sont Sgur6s par une ligne ronge, et les
rivières par une autre ligne bleue. Les diSerents ponts y
sont très distinctementmarqués. LesvaMéesdu Nepal y sont
dessinéesavec on grand soin; mais, en ce qui concerne les
(i)~<«&iMMtidhw.–MéBmitedeWiMMd,pnt))M&McaMam
tNB, dansle MmeVHt,p. M etan, intitulé :,<a<~my<Mt<a<MfM~
Me*~ tte teet<tfM e~r~<m?<,etc. tfoM savantami, M.TMyM,
pase quet'antema mispeade etMqnedanstes Mnsd~~mttmts ~m'H
dmmedans ses ~sats <t~<!MpM<oes et NstMtqaes,~'en ttWM
dMshsIX*etX*w~ame!<beeMC)M!t,p.MM,et<hm!esMOBd,
p. M-M8,et dansle n'wL, p. M-iO,et ce MMntet!entaHs~a)o)tte,
dms <menote ta'Ma eu la tonte de nons emmmn~BMr, qne tes
ten<~MBem<sdmmespMN.Wt<b<ds~tag&~HtMi!astMt(~M
Mntpour la miette partieMt~ des légendeset Mns<BMMh)gte.
-.$a$–. ~y~~
~m~~c~~ta~~
~ead~~aw~é<MIe~
XVi ~7
M~CNM~tMmBMUMMtmS!
xvn
v
§VMt,p.8t&82.–tm!ttACt)ESHMiN&neOE8.
~<)~ datatmant~H~
j~~mMeMM deph~r Mt ?!?? de h mer, pt~ !t<~a
p~destMheNtMa~éttq~d'M~~ fai~e bdbûo t\U8'!Q\d
~tM~baK<aM~ q\i\&a~~t âe f.nW1\.
Oa~t<~tM~BMd!m8d~<at)f~~dTKMœg6og)faip)w8
dasa~N'nt (dit-M) N tt'ya gatm plus de eent ans, aavoip,
~ef<~efetN<t<t<NtM'(<).
xvm
§VM,p.M-SMMNt6'tENN!B~MH!Mt!m.
(i) VoyezteHêm<t!MdeM.SMme<,mr<M7<MMa)MM«MM<Mtn<ptet
dea~Mt«t.1.1,danstes MémeiMS de t'Aeadém!e
des tmedpthmset
beUe~teMres, MeaeKdes Memottesdes savantsettangeM,P. M.
Cf.,arttetesde M.Net, dansle~M~tf<tat~a~MM, de l'annéeiMt,
septembreetoctobre. Et ~e fMO~, par H.de HtmbeMt.t. III,
p. S95et suivantes.
24
ssro
~~d'M~Sy~Nt~
iMt(eadeta<ita~)~wdt
~mstesj~~eg&T~~cqaaeMaaa'tN Fitlt
coatMm~aussi qu'une 6ea!e, e'e~-dite t&m&maville et &
la ~~)M peaMoa Mua le tKtpiquedu eanew.
B~lestaMesetdanslesB~t~~Ptotemée,~ ~n'avons
~emeat trouvé qa'aaeseateSytaM, 6'<sM~!)~ to~oam
la t)~tM. Ce ~aMd géosMphe dit a~me Le pMtBNe
'd(t8st)Be, !aqa<Ae~eeM<pï~~o ~peapt~eadeax
<p~ieM~<M~wet y~ta~w ta ta~etOBam
< <taM <M<de <<aftt<((<< Bana aes <aMM,cette ~e est
p!a66e~rte23*degfé60aMBQtesdeMtadenofd.
BanaPI!M, mu ne rencontmaa pas mm plus- d'autre
Sytneqae ceBesituée près du tropique du canMiF(<).Setoa
cet autour, ce fut là que les astronomescon9tnNSttentun
puits très profond qai, au moment du solstice d'été, deve-
nait tout éeMFé en dedans par les rayons du soleil, phé-
nomène qui a fait dire parles anciens que Syène étant sous
le tropique,le soleil,quand il entrait dans le signe dn cancer,
ne projetait pas d'ombre (2).
Strabon (3) et Pomponius Meia (4) ne connaissaient pas
'une autre Syene. Or, pnisqa'il ne se troave pas uneville du
nom de Syène sous l'équatenr chez les géographesanciens,
ni chez les modernes, B s'ensuit que nos inductions nous
paraissent fondées, à savoir, que la divertie des opinions de
p.CCXLVI.
(t) Voy.tmMdaet.<teM.HetModsa trad.d'AboaUMa,
(9)Voyezla cartedu systèmegé~MpMqaede PtoMmte,eorrigée
par lesArabesdAMqueet d'Espagneet par les modernes,
donnée
par M.SMNot,a t'appatdeson~Mme~«tr te<<y«&xet~M~<t~tt
<<<t~Mi et <tMj<Mt<% P<ti&<80.
M4–
C'eat pow ~!a (ptetea MN pta~aientM«6 pt<t~daeifNe
d~~ a Ke~~ &1~m~ ne de Coytan;d'awtK~&aa9
a~tm Sy~ne cpt n'exM~t paa; d'aattes, dam MCte?9 au
xoBieadu monde, ~MNe «<HBle voyeM daM wc maMM*
moade j~tMM, qa'oa t«Mtvedam aa maaoso~t peKM),
n'e8 (a<Mîen6M& ~Mn), de la B!N!o<Mqaea~ha~e de
~doatnoNsp<a~<m& Mne eq~e~eM.deNaw a
bien~o~aoodoiMMff. Oa y voit la coupole de !a tmM
p!M~ &~j[m~ la phN~~ dugtdte etN~H~eeBatnM
d'Meau H~Mew du MM!!de, &P<MoHen< de t'tnde et &ym!eat
de l'Arable. On remarque, dans la même amppetMnde, la
terre tmnhMnnëepar rOcSan, et ceIttM ayant pour limte
les monta~Ms de tM.
EnCM,les divers points de la ligneéquinoxiale(comme t'a
fait remarquer M. Sédmot), qui ont été appelés Aryne,
JK&<~6et~<~M, ~Me.jKoM&e,LaH~o,&M~<M~r,etc.,qaeHe
que soit iear tiaisoa avec les systèmescosmograpMqaesde
l'antiquité et de moyen-~ge, on ne doit pas les Mgatder
comme représentant un pays, une ville de FJMe, une Ne,tm
~e,
Beave, etc. C~~nt d~
eta Cesont desi~
tenues pur~nt
poternent sysMma~ues.
systématiques.
Nous aafons i'occasion de revenir sur ce s~et, lomqae
nous analyserons un passage de Pierre d'Abano, Mta~ve-
ment au voyagede dem: galèresgénoises.
-.a?a–.
X!X L
P. M. SMLa MAttËM CMNMMPMR BE<EA!t
? MMtVAW,
É~BR ~'Mtt~asSM)SMCtS
Xt.
uMd~a~anMntaearte~pMqa~queBea~deM~
`
ae~AMaa.
AaehapitreX~f'at; i
Aveques l'aide de Mea, des cMpstsd~us dictes nom
avens asseztraioté de la eifêatienda memde et de sa situa-
??, et commela tetre e« ~«~eet <MtM «MMe!t<~<&< ~na-
M~t CMMMb <!<a<~e <~ omgpoint est au meai!ea d'<B~
eetete, et s! avena a~ea parlé de quantité et ~amtew;
aNhetemmt,à l'aide de N~M-Se~nem, nom d!FOB9 en ceste
secNnde)~)ft!edehd!onde!ateneetde8eapar<haM<a.
bles. EtpoareBteadM ea~nmiiëre~ it est aaotef quede toute
la quantité de la tene dessus dicte il n'y ahaMtaMe que la
quarte partM des sphères d'après les phNosoph~. Et eeste
quatre partie dela terre estdivisée enquatre parts, ainsiqu'H
sera dit h~dessoabspaf l'exemple d'une pomme divisée par
le miUieaen quatre parties de long et travers soit pfinse la
quarte partie de ceste pomme, et soit peBéeoa mondée,et la
peunm soitestandue sur aucunechose phrnte ou au meiNiett
de la maîn,ausemMaMesepMtdireto<ttela terre habitable
i de laquelle la moitié est appeHeBOrienteti'autreOccident.
Et la ligne divisanteet entre-coupante ses deux parties s'ap..
peHengnemeridiennate, et en ht/în de cette Kp<eya tMeoM
NOMm~Arya qu'on dit esh~ situéeau meiUieudu NMnde(t).
~a!~ ~<
~~&~MMmtdNMMM~ soie ~finsi
q~mMatM~agMM
cHtmrmxv!.
Ettonte ceste quarte partie est généralementdiviséeen
trop parties, c'est assavoir, en Asye, Europe et AMme,
desque!tesAsye tient la partie orientale, et dit-on qa'eBe
contient en soy de la qaarte habitable autant que les deux
autres parties contiennent et fut nomméeAsyed'une royne
ainsi nommée qui fut dame de icelle région, ainsi que disent
les ystodens, et s'appatle Asye-Ia-Gran pour la grandB
quantité de sa région, qui dure depuys septentrion, par
orient, jusques à mydi. L'autre partie est appelée Europe
d'ung roy qui s'appeHoitEurop, et sa grandeur est depuys
occidentjousques a septentrion et eirconvoisined'Asye. La
tierce partie eat appelléeAMque de hqaeBe la, grandeur
est depats mym jousques en occident. Et desqneuesparties
et r~ons, et de leurs provinces et habitations appaMistca
si p;~ pMstayapràs.
Dieuplai~ ey après.
Toniesfoys,
Tou~~ys, pr~ouiè~ent
prènNeMment et-pri~i=
et prmci-
palememt, mous de~meronsou dirons des quatre quartes
dessus dictes c'est assavoir, de h quar~orientale et d~
habitation, semblablementde la quarte occidentale,septem-
J-Me–-
tHm~etat&tMie~e/Ap~a<~
~(~c~t~i~es.etdeM~ et MUons
ÏMNtmt en icetïea, et <tesfmtr~ c!M~8Mtm~ÏMaeot
yamt<MBv~Ap~.MMp~eKW~<~fa~~ de la
~tMtatb
~M6tr<? M Mommeatc~nMas,et metMNsla CgaM
~dto~~yspaftt~aMn qu'on hs entende miea!x.'
XX
P. io~
XXI
P.i07eti9i.
XXM
P<e<.
Nous avons montré que t'emh<Mchtu'edu Gange était le
terme des eoanaissanoespositivesd'EMiestheno et de tous
ha t~ogtaphesd~ s<M6cete;Bo~tappeHsfansîci qaee'Atatt
au Gangeque se bornaient aussi !œ connaissancesdes La-
tins, même du temps de MMmMM, qui plaçait ï'embouohNro
du Gange rc.Mf<MM<~ des t< habitables(2).
xxnt
P. <?& M 6MBBCC'eN
VOYAIT
DANSLACtTAMLLB
DBStttACOSB,
DONT
PARtE BELAPAUSSTBtNE.
MmE,ETMLAMOSA!aOE
<~p~t!ondufcyw<o~~moad~aw~Mede~tt~.
tCommeaMh~MesMMappui, ta terre, masse <nenne, M
<tient suspendue au mitiee de t'air qu! Fenvirenne. Son
s gtohe eat maintenant en equiMtmepar sou propre momre-
<ment, et n'a point d'aag!e qui eattame la Mance. Aimi,
< ta terre est pho~ au milieu de l'univers, à distance ~gate
< detoutes ses parties, Si eMen'é~t point made, e&eserait
plus voisined'an point que d'en aatte, et ne serait point
tIeeenttedN monde. Dans la citadeMedeSytacaM Mt an
~o6c <M~eH<tt< <hn< Mtair renfermé; petite. ttNMfidèle
<imagede t'MMMtMc tM<cM'<, m~medistance sépare la terre
d~ pointa sap6neuta et inférieurs; c'est un eftet de la M-
tondtté. Le temple ot&eun aspect semblable.. (t)
Nons ajouterons à ce curieux passage d'Ovide quelques
mots sur la mMat~Me de la P«<e<tWKp.
Cette mosaïque, qu'on fait remonter au t" s:Me, parait
être une représentation géographique, quoiqu'une partie
des Nguresqu'on y remarque soient allégoriques(2). Déjà
l'abbé Du Bos regardait ce monument comme une espèce
de carte géographiquedeVÊgypte(3), et Barthélemyadopta
cette idée (4). Selon ce savant, ce monument représente
l'arrivée d'Adrien en Egypte et les pays que cet empereur
a parcourus, ainsi que l'état du Nu qui y est marqué. La
mosatque représente un canton de l'Egypte (5). On y voit
(t) <Mde,FtMtet, U~.Vt, MUtende PmdwMhe,t. VM, t~et
sahMtes.
(i) V<~e!MéBMtM de t'abM B~thaen~surcetteOMMïqM, dansle
t. XXXdu necMUde rAeadêmte des tnMtipUom, tu en tT60.
(X)M/tt.tfeM < Mr
la
<t<<ft«M Pe& 1.1,p. 5t7.
(A)Mémeif.deBtttMt.. dQ&ett6,p
5t4.
(tt)tMd.,p 5M.
MB
XXtV
P. <76, note 8. SNt M TABLE
taÊeMStBNNE.
XXV
XXV!!
P. «M. t«mOM, SAVANTDu X* StÊCLB.
XX~tM
<?. mH'pBMMMM
M x' st~c~.
XX!X
~W.
Noas avomsmontré qae, du X!*siëc!e, nous eennaîa~oas
jusqu'à prisent à peine cmq monuments ~cëôgfaph~aes.
Nousvenons d'en découvrir encore un autre dans un ma-
nuscrit d'!sidoMde Sévine, de cette époque.
Tandis que les représentationsgraphiques duglobe étaient
si rares et si barbarement tmcées, les études de l'astronomie
paraissaient être plus en faveur parmi les savantsdu même
siècle.
Nous lisons, en effet, dans la vie d'Odon d'Orléans,célèbre
protessear de cette époque, le passage suivant
« Jamvero si schotte appropriares cemeres magistrum
Odonem, nunc quidem peripateticorum more cum discipu-
lis dicendo deambulantem, nunc vero stoicorum instar rest-
dentem, et diversasqu~Nonessolventem. VespertinBquoque
horis antejaaMMecc~MMtM}«ead profanadamnoctem~MpM.
tantem, et astrumew~tM<M~M pnMe<MMMe ~cJpMtM<M«a-
<!eMem,«KNactpte<Mt<acte<etre<<K <<M)er<tt<t<e<
<!eaMHMa~m-
tem. 0
M VotezNoMeedesMaMM~tsdesBMeUt~qMsdM<MpaMements,
pmM.L!b~,p.45.
'–â~
r ~xxx.
p.W.–xn''6!6ets.
XXX!
t. <?.– tt<PU]NMBBE8eMtSM)ES.
XXX!!
P. <M. SON MM t!AMNMt)BBS BBES96BS Au af StÈCUS
ST COmmjN JOSQt!*APBÊMttf.
xxxm
t. i86, NOTB
3. ABBAYE
DETËCERNSÊE.
P. M. CMMSCAMSMMjM
MS XM* N XttP NÊCMS.
XXXV
P. 190. Là THÉOME
DE!A BtVtStMtDE!A tEMË PARCUHATS,
AMM&EPARMS ARABESEt POtSÈECBB!LESANOENS.
Nous avons fait remarquer dans cet ouvrage que les map-
pemondes dressées par les Arabes étaient tracées, pendant
le moyen-âge, d'une manière plus barbare que celle des
Occidentaux; et, p. 337, nous avons produit l'opinion d'an
savant~arlears cartes géographiques. NtH!sao~~O)'met~
trous d'a;oater ici que, en ce qui concerne ces dernières, tes
*~3tM~
Atabes ont paisô austt ÏM t~tes ~yst~mattqacsettea tas
<:MM,OtjMttoat dMM~awajgc do VtoMmee$t dMMtc$
eartes (ht??!)!! de tyy, j~a~aphaadoat Masaaadt a vu les
cattes au X*Me. (Va~M,plus ?<?<, te pasMgt)dacat au-
tow ~«e tMM9tMBM~voMp. ?7.) Ma!ates eartea e~8<
pt~ttMq~ !tM9 SMtpMFvettaNAeaAm~Ma sent aaa~d~aM)
e~eaMam~tMatëFe.
Keat vrai que les Arabes y ont appatM <!MehaageNM'ata.
Tout Nt paft~mat la terre en ~pt eMMMta,& partir de
yë~Mteaf, MttMee MM! ~00 montré ptas hoat, !t8
partageaient <iha<pM et~at t<t!-m<)m) par des UgMSpep-
patd!eMta!MS en onze parties ~pt~, qui commencent à la
cMeoce~nMa de r&Cr!qaa et Mssent &la côte orientaïe
de t'Asie. Ainsi, d'aptes le système arabe, le monde se com-
pose de sobMmte-dhMept cameségaux,semblablesaux cases
d'un échiquier, ou à eettes que forme sur une carte plate
l'intersection des longitudes et des latitudes.
Nous venions d'écdpa ce~ lignes, lorsque a paru l'ou-
vrage de M. Reinaud nous y voyons conMrm6aussi par le
savant orientaliste, que tes Arabes ont puis6 leurs doc-
<rmes cosmographiquesehez les Grecs, et notamment dans
les ouvrages de Ptolémée. tts empruntèrent à ce grand
géographe les divers cercles d'après lesquels étaient censés
régies les mouvementscélestes. Ils donneront à ces cercles
deslaéneminations qui n'étaient que la traduction de celles
des Grecs, et ils empruntèrent même à ceux-cila dénomi-
nation de pote ou pivot, pour désigner tes deux extrémités
d'un axe autour duquel les planètes opèrent leur révolution
diurne. tts ont emprunté de même aux Grecs les signes du
zodiaque. Les signes arabes sont en générât les mêmes que
aM
les fignea tpMHaet peur ht nom et paup la <!???(<).
AtahM adap<eMnt «n~! !a th~o~a dea sept aimais des
NMiOBa.
Et, ea effet, neua ttMaa dana Pline (Hist. nat., liv. Vt,
<&.M), qui a pam?HtM: B~Nw <erfarMMt tu yafa!!p!Met
tM<6nM pa~M(divisionde ïa tenw en différents eMmats),<tMf
la tefm sa d!~Mt en sept climats. NeM y veyoM eammen-
eet le premior par la partie la phM )aM!tfna!e de t'M~
s'~endaMttM~a'&rAmMe et ~Msqu'mtx catamMa<t't!<)PCM!c.
Puis il mea<!enae !(~ pays situés dans ehoeMndes sept
climats, et termine en dMarant que ce ea~Mtéta!t des au-
tMM de ramt!qaité, et que ceMXqui ont écrit avec plus
d'exactitudeont ajouté trois climats pour les autr~ eentx~es
de la terre. Nous aaMBs yaceasbn de revenir sur ee a~et
lorsque nous analyserons, dans le second volumedo cet ou-
vrage, certaines cartes des Occidentaux, où on remarque la
théorie des eMmats.En attendant, nous ferons remarquer
ici qu'il ne nous est parvenu aucune carte arabe gNdaée.
XXXV!
P. t9t-i92. M*PPBHeNBBS
Nt XtK'StÊCLB.
{<)Voyezt'tMMtMeMoa
de M.Behmmt
à ta tNdtMMca
d'AbeottMa,
p-CLXXXt.
aaf)
XXXVM
P. <? tMPNtMNMS
M W StSCM.
~Mtetext~nomatanaaignaMv!Hgt<e!nqmaBpeatondm
6t MttNhas ds M ai~& d6i&~MMs. Nom ~MtsKtm
nmtatmant qm!, ~epttta !'i<apMs$hmdu M6Me <M<e,tme
aatre mappemonde de <? atMe a M hrow~a par M MMtef.
Cette mappemonde fait aussi partie <tes monamente ren-
Cant~ dans natN) Atlas.
XXXVtH
P. 193. <6KOttANCB00 ON ÊTAtT. iL < A BtteeKB VtMT ANS,
XXXtX
xu
P. a«.–MMMtNO!)BBMtAeMM<fMM)? MBMMKBBHAtMM~
~Ba~ft~~t~MaBMMMBBtMMMœtMt.
XUt
~B M~ m!<M<$ ~MMM!t~~ Wmt MMBM~
eMtae~MttesCNMMMM~BK-ASe.
XUM
P. 221. SUR LES BtPMMOtmBS M MME CAM~B BBSStNÈBS
AU HOYBtt-ACE.
xnv
P. 2S(8-a24. SOM M TMC6 B8 PMSfBttaS NAH'BNOMBS
AU NO~BK-ACB.
dam notreAMt!.
cestteMm<MatMBM
(0) V<~Mt
4M
XLV
AaxcmrtesqaBBOMMonsdteea.o&omMnNmpmtt&msse
dhecticm du !ta, eoahmt de t'est &l'oaest, nous devons
ajouter ceBe d'Hereford, du XIVesMe, quoique i'mtieor
~dM~teMMde~<m~~Mp!~<at~e~!$<)M)~e
ta~t~ <mtKt tM Na de N~, d'apte <~M«~aM9et ha
<MMB<WMptM.
< ~<<a<t i~NM,ead~ratn<tai~!w!t awV'sM& daaotm ~a,
et qai campas m< oewage Mhde: H&MWa<M<Mr<~& de
<am!<K ~&e M genestet MtM~tMat~t~ e&tWM&ttt, 6Mt)nab-
salt aa~t aax aateaK da meym~o aw Mftegm~M
dea pttM~Mtota< au psftaga g&tt&K~ dea tp<~ patt!~ de
la teffe entfa tes d~iendanb de Née (<). Ha MaM~tfaient
aussi b méjmepaftage Mhpté dam aae dtMBÎqaeanonyme
do W sîMe (anm~ M9), o&ee paf<~ <Mt sîgnaMsousle
MtM D&M~<OT<eet <f{&ae ~HiMMM (t), de même que
dans la ehMnhpMcomposéepar Herman CoMtfaeMM au X!'
6~:te(8).
XLVM
P. 237 BT SNV. SCR M CM BT tB MACOC.
XLVMt
P. 240 à 243. SCRtE SVSTCHE COSHOCBAPBtQm:DB PtATON ET
X'AOTMS AUTEURS BE L'ANnamtÊ, ABOMÉ EN PARM PAR DES
(i) Voyez;VM.
et&Mr.desJt&t.,t. H,p. SM.
*–4<Mt–
t~M f<H~~q~~ <~<~ d~ 1~ vu·
~MMdeNO~amra~.i~ let ~QJD(ssur
ïw de- TMe, de PïatM et
d'A~~B, q)jd Mat S<KMM' t~ M-
moatMt ÏMays~a~ <tai, eh œ meda~at plus tard psf
tea <Mtn!ea <!eÏt ~smogmpMe tta~eane.sN'vitent de
t)~M certamseaiMa~mptMsde t)M~)en~ge~M ~ns M.
p)~e~a&aNgMtM<j~MS.
SÏS~NBMTMSB.
MSttNBB'AMStMB.
xux
f. Me. SMtA MMN CAMtËB MNN6B AU MONBEPAR CEKMMS
CtttMCMtHESMHOMtt-AeB.
(<)VoyezteÏMitcd'ArhMte
B<~<M<tf.
(a)To~ezPMM, M< Mv.M,e. M.
a<«.
~va~~staat§1?M!,p.t<
–'Mt.-
p. ~M-2M. sm us EMtEOBS
DESc&mfeeRApmHt
eccMMMtTAm
mt CANce.
LA Msmta ms BMeaBS
RBtAtnBBEm
'M
p. aee, NotEs.
Un nMtMer,qui)M meraeee.
<aMMhe
toatnMterre MtMee,
TantMa rMt M onaesMte.·
LV
f. ÏM, t<eM1.
(~Ve~eet~mappaM~dMMM!MMM.
a?
9tT
<~t~ts6~t~MtimBaMa~~
<M~)9S~~w~j~%)M<
N!eotwda Conti,vénitien, qui a fait te tow de )tN~vtM
ta )MeaM~qM, ~oi y a deaMOt~t~Me de ~t
am, dans sa ~~f!p<!tm do !a HMM)!ëfe de mt~g<w taa-
)fiM<tt~en<M<<tetda!MMpBa<e%d!teeqNtim!t:
« Les BM~ateaM de tTade so t~Ntt pap<e$<M<a<h
< potean~Mt!qae, qui cat !a )jM)ft!e da tn!d!; car MmaMot
t ? wMeRt MM«tati«mta!tta. ? ac HMt~M~w&tr«Mete
< &!MtM~<Mab Ba M 6NfMseat ~en qa'tb ffeavent bs
< ~e! tMmtesoa baas~, ee qa'as ex&sutentavec de oep-
<<a!BM)~e<Mesdoat!b<!mttast~(i).M»
Une tmtm teMon d'un geniNMaHMflorentin qui aeMm-
pagna VaMode Ëmm lors de Ma voyage dans tiède, en
<497,ditaMsa!:
n Les mmr!)asde ces centF&esne naviguent point avec la
< tMmontain~('« 6Mt'Mte),mais avec une espèce de cadfMt
<debo!s(2).. »
Et aHteats B afoute
Qu'on navigue dans ces mers «MM&OMM<et avec cer-
t tains cadrans de bois, etc. (3). a
«) Ve;ozcetteMh'tm dansNamMht,
1.1",p. M&.
(9)VejfèzCMM Mhnhmdansta CeMeeH<m
de voyagesde ttamutte,
t.t.dt.V.p.tNetMt*.
(S)tMd.,eh.VHt.
~t
f. 3M.– Ma ~MBMCMtMHï
Mt.naMB M M t.'AMB
N6M*
M<t~MBFMtBtiMMAVANt
M)! BtMNVBRtES
C~ MKNMS.
e7&fMt<~wcMeHapar~ret<&M~mMeï<<ePM~tt. u
Mais dans la bette mappemonde de Ruyseh, de t&M,
dressée aptes les voyages de Cabrât (iMO), da voyage de
Gama(t6M), de Lopezet de Franeob d'ÀibaqneKpïe(tMt3),
LVII
~VtM
(<)Vo~m:
eineacné,<KtM~MK~t<f<
<<<'('no(~,
t. tV.c.Vtp.M5.
~<s&–
HNDESABMNMS
N MOM.
WÂ~T M
TABLE,
M~TMOM~EETMtSÛNM~
MM MMtB AMaMËttOM
~i~~tMMMaMbedttXt'daet~
.<M-j)<M<oM<<t.jfttn'tt. ? mapj~MHde et <m (Mas mmn~
ettt.!M(t.
<«Moytn)~,Mta)ttaraha.M.
Atmaaman (te MWt). SM. MT. !?.
<«<a<~Mt(MyMMeM)nee).
~'MawA astMtegtqae et oarlcole araha. Mt.
A)metda<FMn~tad').<a<.
<«~tLeaAMteas'e<ende<ent~<~«'iiteesnMatag<)oa,!N<.
AtpteaM.te~ge. Son M<Mde tM faf<MM. t~qn'eay MMMtte M<<-
tt<emM~tt'a)goitt<ot)M)rtM.aT4.
AtptMMeIV, M) <9 )h)tM(pt),Expéditions aux lies Canattes e<feeto<!es
oeMMK)f~)M,~S,
~MM. 69.
~eM~(*Mted').889.
<toMMeoM. M. HaMn les pta~tt dans te Pant-Ettxtn. attt.
MMthmBeef par MtM-HMf an IX- Nt6ete. <t.
HaMMntle CaaeaM, aeten l'opinion d'AMph, au Xt" dMe. 89.
Rites MBt pt~ctea par Hagaea do SatM.VteMt, eesmoeMphe tta
Xtt* ~iMe, entM la mer CMpteme et la mer Noire. M.
t<c pitye ttabité par cos tammes (jae)f)~6Msest placé, par on aa-
Mar arménien, aeptts de la terre Inconnue. 109.
Merdes qu'on remarque aur <escartes du meyen-t~e relative-
ment t cette &Ne. 9M, MS.
ttepteMatatton de tMb de ee: femmes etterritrea daM la map-
pemended)t MuséeBMeh. 9M.
Adamdo Breate te~ ptaee près de ta merBaMqae. 39t.
Ambroise (voyez Saint).
~OtA-~tM.i<8.
<!ecenttMN entièrement tacenaa am gee~Mptes avant la dé-
ee)MertedeCetemb,eB«9& a5T.
AmtenMarcettin. MaBMMtttde cet auteur décoMert par le PoMe tM.
~n<t);fM<MdM. tM, 168.
Carte représentant son système dn monde (veyexLptewet).
~tt<Mo<(riEspagne).3N, S~, M6.
Atd)~. Sa pttbMcattende ta carte de Parete. XLVt. aM, 3M.
Cartes du meyen-age citées par cet antenr. XUH.
Androsthene de Thase. LXXN.
A~MaMM (Patdm). Cartes gravées par lui, au XVt'sieete, dans nne
cassette qui se tronva a Ntan. <9a.
<?
~Mtott.tWt
~m<~<t<M~~M~ft<~)w<!H~<M
Na~W~famn~.Mt..
e<N~.
~M~f.«M.
aeMaM. 8m wwa~ ?'<? <w <~aat<M.M. ?). MM,t:M.
Publia ta MappomoadedeNtoate. <3!t
~W~(eaKttnat).«M.
& (fahMt) dteon~M eu ~?«09 carte du HM~aM~~e.KM.
<M.
NM~MNM&XtjMHM.taS.
e&)etaphe parNeMtew.
NattfM. MHUM,
B<')ttMM(aam).<8tt, c
~MtM&. Oe a p~teadw ~'ette avait Meoaaa~ dM <MtM!. aw.
AnMmdeeBmcBt Mato~ao alaNqoe eemmeat eat Instrument
s'est <<ttM)Mten EeNpe ni qui en a été rtBwnteft. ?$.
Doeet instrument avait%tea grandes <Meeu<MMa do XV,<!t6e)e.
M~
La plus aneteaM Mpt~MotaMencoanM <e cet taMMment. aa<.
On MmMqao <tMboussoles Incrustées <!aMtm tetta~M dai par-
Mtma. f&M.
QMt~M MteaM M atMbMOMt MMtM)<M)(en <mBontpa emt MM'
(te)s. ~Mtttattoa do cette eptaten. M. Son tmpoffeetton
au moyen-âge. SSS,9M. Au eemmeacomeat do XV,atMe,
on ne MMtt pM se M~tf de cet tahtmaMot Mp la mur Attan-
ttqaa. !na.
~ma< attttbM aux Ponusab la pet~etten <te eet toMMmeBt,
SOt.
<<MANhM fatMtent noee de cet tMintment dans la MMUef.
mn<e et dans la mM de f~fte dta t'annte tm X!!t.
Cet tMtnmmnt n'etatt pas encore t~~Mtemeat tdopM par tes
Arabes dans ta mer des <ades au XV' atecte. ?9.
t/aM({« de la )MMNet6en CMne,depuis le XH' e!eete. M.
BemMte en Ofient au XV' sléele. <n.
eem«)~«6t<M~<.<tT9.
<M«Me<M/e~<MMAM. tbM.
N'ototf. Copie à Paris le maaMetit de Btemmyde. t ta. See B~)<fMf<p
farttfMtft. tt9. Sa carte du système ge<'8tapt)tqmed'HeM-
dote, te&
~<M. Mt.
44S'
AMctt'WMta~. ~~Wtt~mMtM~ftf~Hteoance.SMj
~wf& {B))<)~) tntMte <? WtWta~ 4'~N~)H. <M
B~Aat<6eaV~<~eaMM«M.mv<.
~'1t. 7t1~i1.
Bn«Mm. S)t ~r~m~a NeaatM~fx. W.
tH~H.MO.
tnatMM «ttM, MMOt Italien da XM*<<Mo. <% <M. 8ea ï~a~~ <a
la Mapj~m<ta~ M. M adopte la théorie de rOe~ ea~MX.
Mot la tette. MM. –Na dhMM du globe. MM. Pasme"
<? cet autour sur M~oMt~ tMKHtqtm. $T4,99~.
aMftt. Mil. SMRMhM~aa aw n~~NMtt. MM. Sa~MeaMett
<? dent <to$a)N)t<tie la 6M<e<tm~fK~aff. de <MT.et de
M<ht~BtaaM.UM.
<~& SaN&'gmpMe. XVn.
Bttf~M)pahM<tla oatte eMatane do <~Kt. M.
BM~'M*, commentateur <et'e<t~Neod'A)(iM<t.~f.
Buttarf?. SM.
~WM.SS.Me.
M~H<eta8M)6<6<te~<WNtMe. X)<V.X).V!, XLVIII, XUX. t..
LVII, LXV)H.
N)<ea<f<ta)ett«.
(VcyMtMttfto.)
OnfBMa.Son AnMtetogtelatine. M9.
B«<'MM/(N.).Optotoa <te M c<MM)M indianiste Mf les cartes <ta!)tn.
doaB. M!.
BM~ (~ean). ses omNeM. 70.
~Mn<tnf(CeMMthmdota). SM.
CARTES.
~teaMpM~atmt tme~t~A'iM~M~Ms~PteM.
m9e,<<eNet<a,et~MttM.<V<~mMHM))ha$J
a&~M~e~~<)~M.~(V~Q<<t~
*<- ~~M~~mtM~desnetMManjftMMtMsde~Mtehtas. tt~
~~<aayst&)Md1têt<)ttete,<6)nnaMeap)<f~medemes. HO.
t.'Msto<Mde!)<Mtesda moyee-~M trMwdMxteattwMdet
aateaMdeeetMepoqno~daM te~mOoMsea~tes.<M.
ceh)t<<es<'<MtmaatMt!tdePte!amae,s)nMr~eaM{t~)ae.<Te.
dePtetemëe.d'aaedatenMdermt.tMd.
Cmtes des Mttens i étatettt~edmStMMe<MAes. <ts. <M<
*Aa temp~~e 8oeM< <<t9MMe!t6Mea«)emmoMo &AM)6a~<?A.
<aw<!w6M<set<e9 B<m~<BMM.~tt'Rt.(V<~<))ttM)~t)n!)m.)
t~Hes qat mM~attant la pf6tem)a«Kte tfA~ne. M.
CttfMsmaMt<)sdM<to!<9<t'Aoto<)aMtM'et !V*a<MM. <T9, N~
e&~M~es aa tV*otMe. Témetgni~e de satot tMmet eet
~ttd. N0.
iCattes t~MpMtms dont Mest qaMttet dtM )e poème de ~!<ttfM
axV'stMe.SSa.
de Sanate. iS'f. M!, aM. SM.
DaM eeMeada meyea aee, ee Mteontte une immeMe MftM
de tegeedes. ata-– Et de tmdMont hbtoptquèa. 9<a.– Ette!
Mntde teaMBdhMMteas. t9T.– On tea tfOMteerav&Msaf
an émette. iM.–tnteKateesdtM te tettedea Mttes. W<
Peintes dans nne tnKMe. <M<t. MtM an entearafte. MM.–
Cm<f6esMr des meaMes d't~etre. fM. Dans âne cas-
sette. <tM. An te~eK d'âne meda!))e. ~M. EHes Mnt
dtMémtnees paneat. i9t. Uste~ des noms geo~Nphtqaes
qu'en y MMoMte. <M. A qaeMe epoqae on a eemmeM&
&étudier tes tartes da moyen-âge. XXXMet satv.
Cartes des EaMpéens dreNees avant )M découvertes part)t<ses: ¡
pïnsienrs étatent dressées d'après des noUons pntsées daas les
eartm et dans les antonrs arabes. SSO.
Leur nombre aa~nente aa Xt~ steete. Mas de ~ngt-ctnq de
eette époqae sent déjà eenanes. <99
Lear nombre s'accHUtencore davantage aa XY'stecte. tM.
tartes martnes et les portataM M maMpUent âpre:, tes déeoawrtes
da XV stecte. <9S.
Dans cettes da XtV' steete, on y remarqae des ehangemMts
tetaUvement & ta dMsion de t'horhea et de la rese des
tents.aM.
29
<~<<~ tMf~t. <deat <e t~taat~nMmteMM'tt~om ftet-
t~a~MN..
~C~eadMt~~t~e~
MO~tte eettes dftsaees pM ha VewtHensWettUw~s pu
fMx~XMt.
C<~eaaeteette<dePE<fp~3a!
B~daf~MW,MteBM!QwteaMe~RMwaM<twes
Mt~ttea. MS. Ba ma<M<)fMd&MeeMeapaMtee; par <tM-
««.t&M.
Ce~M eaaastMtM des Xn* et XtM' dMea. :$s.
top<wm~t<ae!' dt~s M m~ea-t~. WA
-< tejMmt&htMsANKttteBattnwq~n- W<t.–Pe)spMMw:t
<(MMi)M
&hmême ~M~
~peqae.
CaMM (~wapM~aet des AmaMs.SM. )LMt tmpe)r~eM<w<90.
BHM<~tN<t de tt~s pam~ dMa~ sur la p<~M<m4ea Neax
SM. &eM~Mtt~ <mt cependant ftotaMMUen des mM-
dtMa avec t~~MMMMM.S!. MtMoadt. e<e({MptMarabe
du X*ffëcte. ette tes cartes de tMa <te 't~r. 5M. CeMes
Mtttennees ~tM ? XMBMCtttdo iiber <?))<?? d'tsttadtty,
e~emphe arabe da X' steete. M8. Les Mhmnte-dh cartes
do nMmoscrtK'MtM. SM.–CeUes que M. J<mbeMa paMees
il ta suite de sa traduction de t'OKMge de cet antenr. SM.
Cattes ma)rtMsen Ma~ aot ht mer Mteaoe au XHt' deete. sa.
C~nea arabes CMmoMespar des auteurs aMdetnes. MB.
CaMeseMuoises Mmontant à une épmpte très anetenae. 3M. Crandc
carte de rempha dM~sêe au M!' steete de mtM eM. iéid.
BeMttpthm de cette carte. <tM.–Ba VH*dte)e~ 360 –CeMes
qtt'on possède aetaettement MM d'âne date récente. 3M.
Ce que dit te P. Tftgaatt !) cesujet ??.
Cartes mandchen-cMMtses. 3M.
CMtes ee'~apMqwes anetennes dtessees par tes tadteM. 565.
eaMeanq))~ dMoMfto'f. tts n'ent Mt que reprodtttfe, dam leurs
mappemondes,tes externes des eeosMphesde t'antiqette. 168.
La ptapatt n'ont pas adopt&les idées de HaKm et de Matta
det~)' pour la eenstMetion de teots mappemondes.t69.
!<nts représentations eesmeto<~qnes.es.– tts adeptefent te
système des &tees de ta~Msima de la terre e&trois lies se-
patees par te Tanats et te Mt. Cartes e& <m tematqne ce
s;sfeme. 9M. –QtMtqxes eactoetaphes tepteseatent le maBde
divisé en deux sentes pafties. Benaments de cette eat~o-
<?. a'N. Centrât Mpt~mtent te«Moda part~eNttetM
detcaadMtt de t~. ~t<~ Nbppamaades <? on tMaw «
tartane h)dt~. /M< Ceax ? ? ta da mo;ea4~ edeptent
CMma ? QM6me de PÀttM~eM. <te ~Ma~e et MM dM
MMade t'Ë(~!w. etqnetoaeMeeeMde MfHon,iM.Mx
qatadoptatent te ~sN&aedeifteMmee, eenseMatent aussi !et
~MaM~e Me<i<WNt*e. MT. Le fyM&jM«f~af~fM de
qoe<q)Msewt~~thM )mts&<s~ PtoMmëe.MS. D'au-
tMSMj~am<Nt«<)tM!eoMeM(Mteqfstt)M<<e~M)eB. M9.
PtasteoN MpF~teat <Mtrois pi~th* dn BMM~e<e tMnme
<wo~. «B. C'eotKa deatteat an monde )a Cmae <ron
MirA Nt-9S& !~<!W)S9NNH amtMBt dma~aM MpttMa-
«MeM da ~etM hx <M<MtteMM0)~m. MB. !ts pttMat
~o~qMtMs, dm!) MaMMpt~Matattom aMphtqaM, )*«<<!?aa
eeatM de la terre. Ma-itM. !<? emt~NphM da mayM-tge
Adoptèrent la MDMMtttUNe<Of;NpM'pMdes 0)tWt~<te «M-
nM~Mphteetimpeses t eette Apeqne. !M. –<t)MhtOMMNDe
donnent dans te<jm)mppeomm<tM<pt'Nnestmpte thK de noms
etetfMpMqaM. atS.–tbMmpMMeMqaetqeeMsd'Meste~Me
deFOc&m: MtMmqatbMttNttpOBtMtimeee~ttoM.aM.
Ils dément le nom de M~tone t mte ville de fAtte et à
MneamtM ville de t'Ë~ypte. 394. Leur erreur mf le CMM
de Ntt. Mott&qatb eareat pour donner nne&M~edtjMeUen
au cours de ce Ceave. MO<!t suiv. Mappemeedei'où on re-
MM~tMcette &msMdifectiee. SM –P)<M!eaMeattet~~Mt
du moyeni(;e traçaient tme ette active an sad de i'AMqne,
adoptant la theotte de Strabon. 9M. A t'atatd de t'Me,
MsMi~eotn'Mdtas~wmpMeaystémattqnedesatMiteM. M5.
tb confondaient t'tnde avec t'EtMophh eoo. Ils coati-
nnent à !m)tqnaf, dans teaK caftes, que )a t<tne Torride <tatt
MhabMe. ao&– tb si~Mtent les endroits de la terre où tes
Aptttes pteeherent la foi. atT. tb représentent. daMtems
Cartes, tes <)Neg de t'aBtt'tatte. MB. Font satTre aat
AmaMMS les mêmes voyages que tes AA. anciens stgmMent
daas leurs ~YI'IIIJ8&9t<*atS.–Ptndeprs
daBS~eerso~~tra~~ Il..213. Plusfeurs saivent
suiveat le
te IIJsdIu1e
système
d'&tr&f. Mt. CeM dm X!tf coMtoxeMBi a ttacer teers
cartes «HmM eeM des tieetes précédents. <89. EMere
aux XVeet XVt' siècles, Ms eenUMeat desstttet des terres
aasttates fantastiques. &)!-aot. Pendant le m~ea-aee, ils
adoptent tes rosés des vents des anciens. !SK<-4tj5,–Outrages
~M~M~K~tg~ <MA–
M<M<<
pt~tK~~
6~)~<6tw~k!~t~~w
B~mto~~ t~btte.eM M~wMWM~ tM~d~m<~
<t'A«)mjM9.a)Ft!ST.
6tMep! ~M,<B, H, M. W, <M, «t9, )M.-M~tea de Mt<e
amtt~~opt<sM<tM.<M.€em)ea))teetteM«t)~eeMtM~
ta<n<~<<<~<tt~ppem<t~~f))! No" $lion "\11110-
<!M Mt~t <e ~MM était ea~ea~ -par hi Ceaw a6o& (<e
M)).)s~pt<w<awM~patMm~<'eMa:M.W.
CjtMearapportés pM t<HN<atnde <MwMe,au <tt)!etde M
p~a. M&
IhlIIopht
irigokm,a.
i'n~iewwMteaNoïsodoChet~e.M.
Mx~es eecMeMttes de eetM e<mtt<e Mhm tatfhM de S<htM<~
<S'
Mmq~bt)snaeaMcm~.<'ap~Mmtea.M.
ËUtteptem. 9t~ SM, a~. Ce que tea ~topeptm du m~en~e <m-
<en<a)entpar ee met. H& Les ËtHeptens sont les derniers
peuples <a mMt de t'AMtMe mmtHeBBtspar les 6~<!Mphes
<t) meyen.t~. <M.
ËtMeptms paw&, pays ~'tb habitaient. SS.
EteMe. eeMttM~ CM)wede tM~ntee. 78, tOS. &)M< des Arabes.
9M.
Même de Bïmnce. HHUH.
6toMes<taCM«t'w,eMeMh[deSmt.t<B.
Euclide. M, !H!. Suivi par MMB-Mamr.N.
Eod<tMde CaMe(voyez MMes).
Eomexe. ~9. ttsNgede cet auteur sur les cartes e<eSM'pMqnes
d'~ttttftt (voyezcartes).
Euphrate (Bea~). 5t, W, tS.
EaMpe. 38,0,65. M, <t0, tM, «9, iN, t8a. SM, N0, SNt, 9M, 35?,
SM,«H.
Sa pesMm seten Cosmas. 9. Ses MmKM.ta. –Sa forme M-
hm PttMtan. N8. Paysdtt Nord M.
.E<Mehe. NU.
EatMpe. t~t.
EastatheteSdMMMte.XVM.iM.
Enthymene de HaKeme. LXHt.
Etan(!tte de saint Lue. 39.
~a$
R~M,mMM<aoHtte. Oaot~a~e ~wtes ptOK~t~tetMMW~t)
M
e~aXtBMtt.OM.
~ta.M~
~t~~w~t~~ti~M~
MdM$M. ~<~p~a<~e)HM<'MpMMtw~ <t tM~mdeSwmtM
~<~tWW<M9~&!)~t~<H~M~~m
-ehh'0~ ~ï.
~t~(G~)t).t,M,~
6a<Mf.eom tnt!em de ta mCme~tM~.<?.
~tieB.asa.
fflse (royaumede). <3t.
<MM<~<at.
ettH~cM~Mo.
't~
C~Me M'~KtMM. aM.
CaMe (AnMnio), NsMfteB ([tneb, cité. tJ:)M.
<~mt (VmM de), e~tMtMamtmt pOTtagth. ~em~Mt<t<M«~a~f. t(C,
iM, MS, Ne, «a, <M.
Ctttee «~. M, M, eo. <M,w, Mt, aM. aoa, SM. M<, SM, t<9.
EffeaH dM B<etmphM MeMentOM, relativement"rembou-
ehaM de ce ttew. «i.
Les rtgtem au de& dn même Bame étaient mat cemMS des
ZoMpteM encore au eommeneemmt du XV' dtde. a!n.
Seatees de M Ceave dms la mappemende de HUMtte. !!?.
Ce <te)ne6Mt tenne ett ~anetot~t tea cMmatsMneesde pta-
sieurs eosmetfmphes do meyen- Mt.
C<ma(p~sde).t39.
GaM))MB<es.Paya qdils haMtatent. 8, 4t, M,aa, M, i~t, t~ <<
S08. teattton geot~apMqM de ces peaptes. <M.
Gam!e<r(M.),aKMtbte de Dijon. 39t.
CMbH. S<mBhtetK) de t'AstMaernie ehMetM. 9M.
aaaMes. peuples placés par tes eee~Mphe~ da m~en-t~e, ptesde
r0eémm!pedqoe.«.
<HmMttefd'Esptnet<texrd))Xn'~eete.aT4.
eaeMtter de Mett, aaMardo Xttb steete. XtV, i9!. aM. (Voyezfm<'<M
du NM«<het Jtfattpmto)~.)
~~t--
~III9,t., xv
6d~a~aM<MMa~dweM<M<a~.SM.
<MMa~~NNM'M<Mt~M9a~<))~S~
<MMf*.<<M.
e&t~. Mt. ~mratpMtttmM)r FAMmMqne as XtM*<<Me. MT
tMe~an~deBMea~M~'<!Me.XX!V,uaM~–Sm< <ye~!M
(~~npMqm~St.–<a<e.!as,Mt).se<tana~meatMt
rAM<taeoMMe)H)))te8'an<)M!teMettde~<t«<'op'~<w).s.
~WM'pMtM<M.(Veye)taeeta)Mk)
«eoemptes. t<N peMMeeo~mpaes (t'~t~MH. Mt. Mt-
CtosmnMe tta<M)tMUm t h), (Vt~ex ~r'M.) Cette atMbn~ &
N<~M~et<M~M<.sn.
CtegmpMe tM<Mm<t<tM de PMMmte. (V~M HaXm.)
Mett~Mte~eatMMteneeMtX'eMe~.tN.–NtetMMtpas
do pM<<~ an Xf atMe. M. Nt au XM' at!)cte; f<.
Les nK~aes «adtaot cepead~t, &ceMe<ten)t6M époque, tes
MtMs<!<e)!MtM<ptea.<M.
C<~mpMe a))<)teB)N<ta Patxatf. (Vo~MVMm.)–Cette <tes ~adeM.36X.
<H<wmpMeda mo;M4ge. t<mt~Mt eetto Mtence n'e pas tait de pM-
ttes an moyen-âge. XtV.
etemetrte. ?.
Ctmtd de CtemoM. Sa traduction d'Atteenne. M Mttadah, ax
XM'tieote, ptusteeK e)HM)te$des Afabe~.!BS.– PMsaKe tM
de cet autew. !N. Son MweiaUtate MMrh ~)<<Mff«MBt.
FMA
Cefbetft. (VoyezSitM~tM U.)
GerNm. t~ eatdtmt d'A!Mytut dM!e Mn Tm!M co~mogmpMqae. <SS.
Geftab de T!)b)tty, eoMMjpophe da XtU* sieete. Son oawage eosmo-
graphiqae. t0i.
)tmpb!qae~ i~, ita.
«H. <<?, l18, <8t,
i8i, Mt, 84t, 0):,
9li, Mt, A03;st0.-
*t~– M tl pta-
pla-
tatt te monde comme une Me fut m!Uende h mer et de tonne
<an~. «!T. OpMon de ce NMnt sur les deshateors des
mappemondes an X!H' stecte. SM.
Gétutes (Les), pays naMt6 par ces peaptes seton f<<M<n).M, <t.
CetnMe,province de t'AMone ancienne. 3!, 65, ~39, «t.
emMMjxrfhMtM. 344. (Voyez BM~<"<.)
Ctbndtar.'M.
Gil-Eannes, céttbM
CM-Eannes, cél8bro a~ria 9~T, $77.
portugais. SO?,
mt~n pettngah. an. Francbit, en «M,
FtMehtt, li34,
tes MmKesoos'anêtatent tes Mttgatents dn moyen~. <6t.
Batsons one M donne )'infmt B. Henr! poot rengager à
deaNef te MdoataMe Cap-Bojader. MO ·
~<–
ewttseMx. XV, <M,tM.a~ :M, M~ ~<M
<J~~MwhdeTyt.M&~CeMedNS}Mte~
jfMA–S~MmaT~aeaawb~
~.pë~pte d~mm). jtM~ ~-f~ N~tMtM.~h'~Mf~~
tim~tot~w da <M~M. Nt, Mt. Sa ei~~M! <tM<a~t<
<<~ <M~–cee&~M~i)MmtMqMr~<<er)~~
t f<ot<& MtNMs fe )Mm4'~dMN<is~M)~. «, <<S<M
Hë~!MeM~<M<h~MetM)t4'a~MS~<WMp~aM<S.:
!t~–8M~<a~ae$8~t~~tW6a~ t'l6,
<6ettMXVBt,M.xt,3<M.-NaMteBttt~mdtM<<e.
6<'M<Bgae.TaMacMm)s<te)tSM«t&~MMe~a)e.5N.
CeMMbM~.$oa<~te~~tt<a'~w'<W'w<~tM~M<tM.<M.
CMeb. XX,M. Son Ottwaf~ tntttaM ~Mt<tMM< ?<«<&tt~~M-
~.3M.
Gour (Pays de). 359.
Coamê (Abbé de). Son T~M de geeerapMe. XVM!.
Cttee(h).as.
CreM. BoetrtnM cosmoempMqnes que les Arabes leur ont emptaz-
Mes.596.
!b te<:MdeMnt tMgtemps te Nmtt'Otympe ceamM le eentM de
la terre. 4M.
CoBMtMmces eeegmphiqees qu'Us acquirent en Perse. 118.
tb connaiasaient les propriétés magnéU~es penMtaen)tes. Me.
Commont ils pMtftgeatent la terre en trois et en quatre Ke-
ttoM. 9t9.
Usetoyatentqae,daBstesesp!tcesi)nmeMesdetamef,Uyatatt
une nuit étemetje. it.
t:r~otMdeT«aM. MvaMdaVt'stede. LXXV, M. Mpensait qae
tes Mnestntertmpi~tes étaient innaNtabtes. i5.– Sa tMetie
d)teea)rsdaMt.fM<t.
GrittbMpFaMedes). t9.
GrhnaMi. Sa W<«TM~<)n n<rftMtmfetfr<<ela boussole.?2.
Groningae. H8.
GMMtins. XV.
GMtitts. 3«, !!ta, 313.
Gui de Basoches, auteur da xm'sieete. <tT, S6t. Son M~te de
<!eNB<~tap!tie.(Voye!!eeBMt.)
Guigniant (M.). Notice de ce savant smrPmnpontnsMéta. SM.
GaMtamned'Au~e~ne, savant du XtU*siècle. Ses études des anteufs
atahes.~6.
30
–:46$–
~h<M<~t~)~Mg6~t~MM4~
M(~
CatMaaaM~Ceae~tMt
(MMmme~ <<tat!e~es,aateM Oa Xtf <HM&&m s~~M «MM~M-
~h~
fMtta)MM<teTttpttt. Ma, Mt. BN, ~–HaMom~tB~IhK~~ht
<ttMe.<M.
~m<M~ ~W!~m. at~fM <t~btd en <aM. t~oHMM qu'à M-
Mtt M~e~M etMahptM et des <H<t~tttt~ a~att~
<Ma<b.<!iO.
6a)oee~)a). ts~ <& B'~t~tM ANibes. s& tfat~~ tMe~.
gmttMdBOM~M~se.Xh~t.
BaïM de ~<t~Bt, auteur du XM*eMe. aM, <)?. 988, 9M, Ma.
eacMtMt.<M.
anthMte.SaeeettMpMe.XVM.
M~M~~M~
tMttaMtMMom~mdMMdePEtpaen~.m.
t~~MM~m~WM~~H~
ttat-BMeat, e&w~M tMt<K<t~'t!êe(& M).
M M eMB$t<Mttttea de je ~ttth de t'AM<tM eceMmtete <?-
cMUMteanXVotMe./M.
ttMhtomtb, aBtMBMMombt do Xt* s~cte. SMT~MmMttmmmhttM.
a~MneMtpMmenttmdetatMms~e.tMtt.
ttm-N)a!dMm. mKMt aMteda XtV an XV~Me. Ma. NM. St, !S.
~Maee de eet eu~ar NMrttat de la M~aaNon & ~te
tpMtM.999.
Mtn-S~.ategmpheMatMdwMV'BtMe. 999,999.
Bm-S!mM<~yMtAde)me).
ttm-Wmdy, eteemphe aMbe da XtV'attcte. xxn,!9t.–& tMoWe
de roeêan en~Mmmnt. 999. Sa omptemende. 9M. Il
MmMqM <K'm zot~aetw en ne wit ptns reaNe. iM.
tdhr. <t6.
He de CetBé;tM.
deCeyhn.99!t,9!T,SRH.
deCbypM,<96
deC[Me.M6.
d'&nnM, de KeMmêe. as
)M)tte))se,dapcemed'Omems.Mt.
~MtasMqMdeSa!nt-BtaBdm.M,Mt.
HeptMtMh. ZB.
deLMee. tM.
–deMUhtsMh.tK't.
~t-
H~'Of/de~MM.M.
Pepatt'M.~
doBtedM,M5.
d~Net~wa.
–de~omM.tMt..
deSetem~.<~
deTapNhme.~M.
doTttM~~t.
deTh~MT~M.<~aH,SM,!tN.–&me)BptMe))MOt.
d'ap~tMMeteasem'ap~atMA.A.dome~mt~e.tMtt.
–NMtMeM~pMH~M~Ctottm.M.
de *nnh.CtXNOMtt MMeMeM tMaw 690)~) <mste deaatjt
<!eK«m<ay.!M4. t
<tM<M&9MM. Bttes etMtaatptacoiMoœ <e &ma~h < Xt.
Mtm<q<m8.«.SM.–Mea«e)m6MtmN<~Mde<aMt~)tO.
€MMta, «, M,St, M, ?. Me,a~, MS.Nt. –Sdea tes
auMaNatahM, «0 M peeMttpas pas~r M~tett.
Ettesa'MahM<t pMMemMamMa <e Smate. <Nt. Btha
«ateatte peint te ptosN0~0 do 6!<a)e<!aMt'optn<M)
<te
MttMqae. M9. ExpMtMoM pettagatM:t tes <tMau
XtV*<Me. M5. PawMqMnMspar tMmMtMtta!teMau
cemtMMMMnt de XV'etMs. M9. CMths 4'tptts Béa.
AyM.SM.
CMBtttttdM,iN.
FoMmêea,<a),t<8, Ma. Sontphetes par SmateM eea-
d<Mtde rtfhmde.t!B. Mgeademr CMMes,qa'en M-
nmMtm<NMh nmppammtde de &tnnto.~M<t.
Cettes sttaeesen oe~ da Ganae.9M.
Cotâmes (tes).<a,«. B'aptesHmM)f6 d'Aatan.0).
He~MdM. t<m podttoB<a.– SehmBéstede.4<.
CeMes de t'inde.M9. <Me)~de fMtema Mtqm < «M,
M~
de KMtdtt(desAnibes).Lesmêmesq)Mte<CMM!es.SSS,MT.
dehMedtMtNBée.aa.
dehmetAMmtia)M.Mt,t!!9.
PtBsteaK,tMemmesdesAtahea.5SO.
OMtdes(tea).M, Mi. MenUmmees par Aditmde Btemeau
Xt'oteete.Mh
–Saet<es(wyezWtKetd).
de ~h, dansh merde taCb~e.MtentesAMbes.5M.
–<<Hf~
)!N~~<m~(TmtM~M(,<t~mt<j~M(~ea
~AM~~<<Mm\tMe)raeW<f)ht;~(V~<'t
«nxn<~
ttMtMetMMda~.aw.tSt.
Mta. Ce MmMtttm~ dans «? a~~te~~?du tM~ea~e, t<wtMte.
M~–Me))~~Hcx~M.
MttaTetMa. Ce qu'on Mtendatt p<< mMe<6eam<Mt!<m aa'm~m~
~~<M.
Me. MH!M, M. <9. <% M, M. ?. M, «H, <M. <<?, Ht, t~ W.
<<a.<e<.<.M.at9.Mt.NB.!M,a!a,aN.a~N~<!9.
–Maxm~.S9T.
t~t TtttM rtede da ~4m4e, & tMt~«CM<eM<t, aont
Mp<N<tW~Mew6M~<)~~
Me<Mt<Mtt.Jea~<)eBëM,ve!aaMtd)tXt*~Me,yp<aee
<eM}mwate<aMteJeaB.<CS.M<r<mM.Setmtt)aeme
~ift~NF. ette <tat<habitée par !M ËMttoptmsMtK. w<t.
t~!Mi!tM.amw~pt)M~M~~e<m)t~teMf6~t<)an.iM.
V<~t)ee«NMcette t~Me da monde &tBt-Aa)~Ho!M.a<.
CeMe partie de la tCMe,<~aT)Me tM j~Mphés du XM*atb-
été comme rMOremMedu monde. M. Les mwtgateoM dans
!es'MMdeeettepmUede1atetMn'emptopttentpMte~oam
la hmMMte.4M. Hene <t'AtHycroyait, eemme ËmtMttne
M StntqM, qu'en pouvait y aller en pau t<M)Npar roeem.
<?. –Ottent&thm de ce pa~ dans !M mappemo~M avant tes
oecMMene~desPMMe~ 'KHt. –CommeteedMeptcM. M9.
tedet. 3M. Ce qae tm eMmoaMpaes tht mo;Nt-aee entemMeat pat
ce nom. i<B. –Les tMie ïadea de Mmc<bMo. <M, 95t.
tndm Ceo~NpMeas (v<~MSdmtteM).
huMeM. N!<~40t.– Lems eptnieM syat&mUqms. <M. PossMem
4M MrtM e~oSMphtqa~M!.
h~as (C<HKe).LXHV, <9, Mt, Mt, aM, SM.
Moastm. Forme dmmte &cette pMmote parMtattM dans sa map-
pemonde. sa. SettKes de ce Beave q)t'e)*remarque dans
le m&ne mmmmmt. Ma.
tndtHgbnd.SeeAxtiqatt&Ann&tiemtes.Sia.
· !tM()~~det').3S9.
Mdetede ChaMx. UUX, LXXH.(VoyezPériple).
Isidore de SMUe, savant du Vn* sibele. MXV, 35, <«, M, 68,~69'
?t, T?,M, t00, <M, 05, MS, iM, ~?, t<6, t<8, iM, tM, ?0,
*4?<
~,e~M.~OCt.<M,~B,<M.eoeM<SMeMaaM<
m~mf~tqae~ M.m-" Mne <)enMt!M)~aamtdtdat'A))~.
sMe qte dMMMtadm. aa.Sen s~tetneMM~nn eaatotR)
t9rMeMae~dorem~e)~dt~M~9M.NMtt*
a~tadesX~X~~)ee,Hm~nMat)MsœatrM.
t<)a)t~!H'.tt«,«~<4a,M!,
tMtarto de la nmf < de t~s, eompose nar SaneMt, XUL
tMtM!e esnetat, dMM&Mm H)M!pp& il, en tSM.XUX.
tMMo. WnTMtM dMNMde BMtndatxmatt. <?.
h~(t'),MT.
)sHMh~«t.
ttaMena. New!atMHJt)Mhr~totteCBa<~M.se<<H<AttMn-!e<Mad M.
tttnMmta PteM. M8.
MeaMtMSaneteastfAtHeB~, U:tX.
)Mn~M<MtMettmde!<mMtfestMMMtem. tM
Do tt mer Rouge (wym castM).
J
tteque:. de VtMy, historien do Xtt' sBwte.67. Sa description de ta
MesMae. 9M. tt ne connaissait <tcn de t'tade aa-t)e~ des
poïs traverses par l'armée d'Atexandre. 68.
Jtt (M.). Son <<rfMe<<taM<<,e)té. 9M.
Japhet.M.
Japon. 4t9.
Japonais. Adoptent la méthode de graduation et de projection euro.
prennes dans tenrs cartes. M3.
Jaubert (M.). M pMtMsa, en t833, la publication des M cartes arabes
renfermées dans te manuscrit d'ËdrM, XLVt.
Jean d'Antteehe, cité. S.
Jean de Beanvan. Sa cosmof~aphte Intitulée: !taM de la ~~NMde <<t
terw. 96. Sonrces et Ma putsé son système eosmograpM-
que. 375. NNerents etapttres de son ouvrage. are à 3M.
Teas tes noms des villes y sent estMptes. 58t.– M ptaee.
te Pt~-tean dans te Catay. 5S. Ptace ratyne au eentM
de ta terre. 96..
Jean de Hese, voyageur en Orient en t<89. Ses livres des jttroefMMde
rftt<(f. <ea.
475
;p
tAbM.~M6~~4NM)Mm~<)~wM.Mt!S<t.!jM.<a8.
t4)hM<tt (X.~ t93,<)M .Comatenta~eêettraptt~Ke de t'EMde.
M9.
!~hHMtM!e(AbMde). Son arttete SM )Laet<aee.3M
tMM«Mt.M.
Metanee. aM, 4t& &)e o)~at<maar Mto- <M<<.M<. IrMte <o
eM<tatparat~~eK<MAHHpwh!)t <?<)eM;a<tqo*!tB't
eM(tMsd'M<ttaatatm-<M&dM.tM~ae9.e,sa.sept-
BtMM<!Mm<~mpM'!aes<t<teptëe!par ptoe~tM aMeoM du
am~e~&ge. M4. 8<mtMmMM <h fAM~e. MM.
t~Md(M.).SM.
tMMinamtMt.aas.
tanBdtet. Fait tt Commentaire M'«a<M~ <!«roi AttM. ST.
)Lmgt~. Sa Notice sur Ben-AyM. sse.– M K'a pas traduit la partit*
CMmogNph!qoede cet auteur. ftM.
LaB~t~~Ftesne~. Son opinion sur rtMentten de ia hMMate N9.
Lantm (f~ytaa). 3t<.
Lataehe(v<Me<t'Aff!qae).tM.
Latchef. Sa carte de la géographie d'Hercdote. <T<t.
t.aaMMana. PaMte, en )7t0, la carte de la CaMtbmte de Domingo de)
Castille de 1341. LI.
Lui. Ces peuples 6ta!ent tea andens CoteMeMsetMt PhttoponM. 311.
Lebeaf~'abbe). XXXIX, XM, H, tn, M' )?, SS6, Sas. Sa
dissertation sur l'état des sdenees en France. <M, t8!.
LAgendMqa'en remarque dans tea cartes dn mosen~e. <?, atS.
BetaMvesaM monstres fabuleux. <Md. Eues se multiplient
aM tX' et X' siedeit. <8T. CeUesde !a mappemmde d'tba-
Wardy sar ta partie tnhtibttabte de la terre. M5.
Leibatt! SesSft~fofftMrmaBMnxtfttMfmx.tM.
tegrand d'Anssy. Son arMcte slir Alain de FMe. t<a. –Sa ~of~ des
sept manuserhs du p<~megéographique de t'tmage du Mo~)d~
MS.–San epiniottsnrtt poème d'OtMBS.«6.
t.ittdent)r~. Set) «Mwa~eintimM N<efM Mn'Nt cn~Ma~aTtot, f<f.
?. ·
t«)ip<!g.«8.
47?
Mewot. Sa ???<!« ~Mme dfAotxtmandM et d'HeeatMë. <M.
Sa tatto de f~Mwa d~ptoM. MM.– CeMettn t~me d Ex
~xe~e~~t. <M.–&mtMeBm!MMf~t)eMd6MaMe!Me
ethteeo~MphtedeMnteo'Bs.~tM.
t.eoMtM. MtXV.–SOidtseîtt~asMttapMMd'AMMs. 3<0.
<<ettmme(H.). CtM. XXXV!t.NaM, MXXVtM, <W.-CMnMnMtt~
<e <? aMN)t Me B!'paH.ss, SM. Expttqm am ~t~to ~e
Mtth~as àw le e<MM <htRil. 9t. Sot M~aM~M 6M te
f~~mttbCMmat. <9.–8w te o~the de t'attas. «.–San
opinion smr Pwt)~ae <e ta M)'fM!<mqo'm) &i~t des ~thto-
pte)~aM,M.–SMoa~N~aothtt<nMttt<<fe)t<t<<c6)~<<f<tw<tat<'
~aM«n!<t<Mt«t~)~weda~MMf. a~sat.–&)aM<me<Msw
t'opta<end*a<ppatq<M MtattwmeM au pMtonge<Mnt<tet'AM-
qoe.KH.–Sa~ te <«Haq)te<tes6tees.4M,<M.–S!<iMfte<)a
~sterne fj~egNpMqM de Strabon. iW.
Koec. (Voyu ttes.)
LerMe temate. S90.
Loïden (t~). Son Histoire des McoavetMs en AM~M. XXt.
UbM (MonM(tMsdu). ase.
Libri. Son Histoire des aeienees matMmattqM~ en !KtUe <M, m,
SM, S~, SN, 595, <t6.- Sa notice des manuscrits des bi-
MieNKqaes des départements. <86. Ses recherches sur
la boMsete. SM. Sm cphttoa sar la mappemonde de Di-
jon. 5M.
t <bye.9, ?. as. ST. i09, ti9. Mt. aao, 308, 357. Selon Meysede
ChotëM. SO.- Selon t~heten. i5.–t~sortpUea tirée d'tst-
doredeSe~Ue. 145.
Lteae. XXIV.
LipeniM (MarUe).Cité. S8T.
Uvtes. Leur rareté an Xt* stëcte. <?.
Uxas (Béate d'AMqne). 45.
LembMds. tn~ashms de ces peuples an Vf stecte. LXXtV.
Loup de Ferrières. <M.
M~tenbe~ fï<tHM). Son HisMite de la GéograpMe.Analyse de ta pap-
tie consacrée à la géographie du moyen-âge. XXVII,t7S.
Cattes dessystemesdes géographes anciens qa'H donne. 7M<f.
Ltteatn. CoBfM)onq)t~cetameaf<aisattdet'tndeaMct'ËtMepte. a0(h
Lnefece. S89. Une partie de son ouvrage tMttvee par !e Pagse. t5t.
L
~Y~ (
mtMMMt.~tm~ta.M.tM.
Naete!)~. !~H, M. M, 48), M d(~~ rM~s~~M~ <? etoq
)M)ea,dM'~ deax aeat<meat, swtM Mt haMtaMe~!<- S<m
~B)~M<t<t Bmotde.<. –~oa t~sttme OeatetKS <M~~ et
~rAeM<~a~W.~HMeMm~~tpMt<s!~NMM-
eaawKM an XV"~eb. 4. Exp~tt<a) de ~m s~~tM.
~&aNppmM<B~~Xt*9!Mt<MM<e
~<p~sM~st~M.M.–D'Mhese<M<~Htttea<am<qfM-
<~MheBttM(tM<~BM.W.<tt!oa<)eeetmtemtMbH<o
t)WM.MMKt.<.
Ma~.SMmMe~eecMshMt~deMtM.SM.
M)eMh.NtT,Ma.N-AhMk3C.
MahtmMth~e!MNtM)de3N.
MaM!!t.(V~MB!s'mtM.)<!e4.
Midmontae,e&tM)MMhMe de Cordoue an Xtt' dtete. 80-
Maa~nadatique.Ctt&SM.
pM~ttNst~M~ htMagMpMedestNnps modernes. XVIII.
Mt~nta (M.). 8onanMeMtthspoMeshttMsdanMyen-<$e. 86.
Mtp~ (P~s de). SN.
M~er (H.). Sou MtNoBdes Lettres de Colomb. N6.
MaMba)r(Catede).!B8.
MthM.!M,
MaMs (tes). Dttiseat t'horiMn Nt seize rmttbs des vents, ~rs.
Maha(ae)tTed'AMqae).<t.
tMet (GNes). Son catateane des mss. de la NMietheqae du Leawe
MasChiHrtesY.tM.
MaMens
(péagesderAde).S5&
Mt~t~Bran. XtV, XV, XX!V, M?, «a, <M.
MMde~He.w~~afdaXtV'dMe. XXVtt, M7 Emprante beaa.
eottp Mx ehMBtqMS et aux femana de ehe~ate~e. 14T.
thonett. CH& XV, Si, H~ iM, !?, Mi, 9<M.T!98.–Pte&eedeee
MMBt ta <ab!e théodoMeme. t?6. Ses détails sur les
eattes deWedtther. iM. B tait remarquer tes ettem-s com-
mises par te copiste de ta carte de Peatiager. i88. Il CMyait
tae tes eanesaoSànato «aient tes p!MM~eBM&
` 480
a~a~Ma~M~&t~~MX. t8. t~
<?, <M,?0. t.'<m<tw pM&h a~epter tt MMe~~ae<es <
dbMms.a~Batto~p~<~àat6n)f~~me!!te<aeat
'pM~~ X~~aW~Mt~~W~FM~t~'M~ Rt~
tept~MxM tatMwtttdet'AMMeMMce. M. Optotensdes «-
Mt)MM)FMpt~MeiMsKoatM<t<m. <?.
<tnVMt<atMe,do temps4o ptpeZtfeh&tte. ct<éepw~astMo
(te<M«me<!etM.)
~tX'atMeda nMS.det&BtN)o~6qaed&ao<ta. <M. a~ St.
da X*a!eete,<? <HtMtM'~aeta diwMon do tt MMO <fep)fts te
t9&t6tMA'Ateo!«S.
d<t aMMMdt HaeM!M<a X' ~6ete. <<M,aMt. Cnea~tM
<m~etMM!e Ma!t<HB&~<hM)&te meamm~ <?<'<, Oe <e-
mantxetathOedeOMMaeatahtNtaMes.ae.
<taX'x«te<e,<ttMmm!!S.d1~MadeSôtK)e. Wt.–CMaahe
<tett xt~meépo~ne,Mrted'oxn)M-da mémoaoteaf. 403.
<te X*otMe.CMe.St.
du X*8t6cte<'<mmM.de Mt~te~e ta tox~)Mfo<«t. ttn,
'a$.
<)oX'' ettetc.MMaMthpet~n de ta BtMtotMque MtioMtc.
d'apte At-EsMtM,MprodaUe par M Mmnx).
<twX' atMed'an mM.MUfemmat des ~<a desM!otf.9M.
UneMMeda m<ntem&h<6M.
<ta X' anX!' stMee.aagto-MMnc dMMa<&) Bt tmnnbtae. XX,?.
40, Mt. <?, 99*.9N, Nn. Satbrme.<a<. Gemment
)M~MteB y MM~t~M. S09.
dwXt' <tMe.d'Asaph.t!t. <M.SM,Mt. Nt.
<ta Xt*cttete,Mn)~)fm6e danson mss.d'Mderede StttHe.~4.
de Xt.tttete,dansM mM.MnfetmMt des~tesdesmtets. aM,
da Xt' stecte.d'anmss.deMaMtma~Capetta. U. t*t, <M,M9.
sa), 9M,SBt. OnMMMqae danseet<e mappemonde des
<H)esBgtiteespardeste<Ms.'N9.
d)t Xt*sieete,demM.Mtmnemtqae de Btion.<?, 3M.–Sys-
tèmede ee menoment.391.
dit Xt*sieete,tentefmeedans an mss.d'MdoredeSe~tMe. <M.
do Xt*s!ecte,déconcertedansan mss.dn mêmeaatear après
t'tmpMssmn deeetoa~tage.39Z.
€eKeeHtep9f<aeq<!mdeVtMït)tXH'sieeIe.eT.
du Xtt°s!tete,renfenneedans«n mss.deSaMnste detajM'tM
Morente.?*.
–~<–
HamMMM~ dw XM*stceht ~fea Mmw<(Mdana au atttM «MtaMt~t
<e~<t()a~tMtMKM<!m<t.<M.
deXM'a~m~fK'a.eM.
do Xtt*MMe~dK~e
pMNeMt <M.
deM~eaee.
do XM'steete. dtesse~pitfWe~fmnef. <?.
doXn'$<ee<e,a')teaete<t'AotoB. ?. t09, <86, Nt.
de la n~me époque et do mène ma. 20.
At XM'athc~. d'm nMibd'MdoM de M«Me. ~M.
deMf stMe.u6speMM.ftM.
do XH*<HM!!e. de CoMenh. LV, <86. ?4, MS.
~MaatMdametMaaMaf. MM.
da XM' staete, d'tMrM ~M, Mt.
BepMdaKe M.Bemaad. M9.
CeMed'0~rd.<M.
dtt Xttt* s~te, de forme MeMe. ceaMM~e au Musée MtaBBt*
que. 69, <99. )M. Mt. ?).
da Xtn's&ete, <:eto)f!êe,renfermée dans un mss. d'tstdMo de
SMMe.9~.
One MtM, du même steete et dans un mss. du mtme auteur. <9T.
du même stecte, renfermée dans un mss. du même auteur. ~M.
do XtH' eteete, de Caothter de Met& aat.
do xnt'steete, du même auteur. 9M, M!, ~).
du XtH' steete, du même auteur. <M.
do Xtn'<tecte.dom6meaoteor.MM.
du X!M' steete, dans un mM. d'Mdere. «S.
dmsnnantMnMs.domemeaoteor. <M.
coloriée. MM.
doXtH'tiMe, dans un mM. de Salluste, de la NMfMa à No-
ronce. Mt, 9t0.
do xm'stecte. dessinée en douze feuilles. i9t. Opinion de
Hannetft à t'esafd de ce mennmeot. MM.
do XUt*ateete, de Cecco d'AsceM. M, 9T, t4t, <9a, MO.
doX!n'stee!e, eenserveeenAneteterMmcetb~e~~nM. i9t.
do XN!' siecte, renfermée dans le mss. rej~t 14 du Musée Brt-
tanmqoe. iM, M8, M?. ZB, 965. Comment les tMtes y
MnUgMëes. M9.
do XMt*siècle, do mas. des chroniques de MatMeo faris. XX,
m9')&
do xm* siede, Utee d'en rnss. islandais. N0.
3t
4M
~M~jËh~
–deaj~MaHtSa.
N~<nm~M.<t?.–M<~pMKNK~y
dtMtetV'tt~. ~KMMtMM d<m~e<nmMPM)t
mee.ttmpd'êMadae.Nt.
~ttf. NB.We~w (? emt~Stn<B). M. M&, ac, ?~
–da~m~.tneNmaedaB~eedeOMK~te.
<MtM.9a9. <!M~t.
<a,<0%<M,NB,an, <e. Mseade
aeaatet~tpa!N~<MBtbMa)t~))'MtMtmNp)<KhM<M<
ettMs.aM.–Mtt6tatN
decettenxt. (V~HtCMMo.)
–ae&MM'M.te.
~LM~N~~WR.a~
ï~t~MM. sas, aN, N!~ a~B.T~N~HMenceNomet. 9M,
KH,S!a.–<~&ANt)aaempm<MeBtMM6N6SMt<eMte. M.
F!H'<e.X~–CMtatMaMM)tMaftet<mtatm<htjMMHarM~.
aMk
MMMtM. LVI. <Vo!S:<~tas.)
MMdttH do KMtfa.(Ve;fMM met.!
MMt (M. de). Son teenett de p<~ea popttMtes taHaes du aMjteo-
tee.M.
MetUn. BOteqe'en lui fait jouer dans les te~ts du moyen-~ee. Les
eatMeMphea en tbxt aMaUondans des légendes. «O.
M<Na. Nf, 69, M. S<$.
MMMtUesdu memfe. at<.
M~epotamte. am, as.
MeMat(tttte de t'A&tqM accidentée). ta, <?.
MttMdûM de Seepab. 9tS.
Memet. X!V.
MehaNis. (VoyezCanes.)
MMxmd. (V<~<iz Meamphte.)
NMaseM. FMiNen de cette ~Nte. 355-
MMef(M.}. it<, 3M, 3M, ~S. Sa carte des p&fiptes de MaKien
d'Hetadee et d'tsMote de Chatat. Hi.
MnhtaMs. i39, <<?.~VeyezMappemonde et Spnete.)
MtateMt. HetUeme, em tT!9, ta tnappemmdede Fta thaM. XU.
.N[tMttt!s.(Ve!ezHes.)
MegadM.iss.
Mo~er. Sa pabMeathta d'Y~taehty. !M, SM, SM. S<mcatalogue
des mM. do la BtbMoth!qae de Cetha. 3St.
4M,~
~~B~~&tt~etM~i~M~t~
.<- &iiaewtn~ tmitoM~~f!)~)~, publié e~
<a~<~qty~taatMtMMt~e~gt<WM~e<'t)w~<m'
<aott.
Mn~(tthae<a.M«,M&
BoaAoede~ptm. <M,
MtMt~ma. XX, tM,«K, N5, aM~Ma, <EM,amt9M.SM.
HaBOset<td'AMMcMMM~da)Need6pot.<T.
«e t~MW. Carte tmmNt&t dans un meuble <nMtM <96.
Rmaa~w. <?
Mat. Sea BMMM de MxMMM.CMe. MX<X.
HïMh (m<m~M ~tt~-<b de SamM). 9~.
t)~(R.Ct(~<~W.~
e~MH~ Ma. <ta. &(~6t<p<(<Mt<w(tMMem~<~«MtM<eMa'
p!n~V<9<e,M<MC<!M,<M.
0<te<ht,t)b«~ea~<p<g)tn~a!M.
<M&!a. Ma.d'atfM «?!?*« dttM ta MMtMtt~oed$ eeMe~M~<!M.
!HM.
M&.
e)tj~mqwa(tNBp!e~derA~.
Raban ~tat, amam du )X. atMe. MXVM. Son TMtM <? PafMw.
3~.6t,et. <M. «e. <M, aa, ZN. «a. <M.–M pMmttqxe,
d'apttBt'E<angMe,Me<MMtendmtt<te<hMtnw&ht terre la RMrme
O'ttoMn~. aM. tM <t6etHla tMe des tenta en demM<Mtt-
~Ms qttt etatt en aM~e dam Mn temp!. ?& Fait eomm)t-
niquer la met CMptmmavec t'Ctéaa Bo*6at <M. Madmet-
tait t'edstenee d'une ttNtt~me partie du monde tmm~etant.
qae<h<eanM. *t.
ttaeca. ?. t08.
namaste. Sa CeMeeMende Veyaeea. t49.
Nanntphas B~dgen. Son Kt~t~MfMa. iM.
BatMtenM. (Vêtez ChMntqnes de Saint-Gall.) t8«.
M<!
eot de~tmetM~. <M.~ M Mmtao t'AMqM<t«MMM~HHt
mat)t~M<M.<M.
a<~MMt).!Hf,<M.~t.
tmtMMd'AtMandM.Mtt.
daIftMmt<t«Nea<.
<Md.
Romt~M (?).<!?.
NematM. t~mmtMateat taa pteprMt~ maaneMqootpenmmmMa. aa~.
Le psy<det R<Hna)M ut ptaet, daoe hn)«6)no aMtw, tt<M
tamptBoMethttM.SW.
~!ne. <M, <?,<?. Mt<M)tMnttetM<tMoeotOaot<a<!m<
tmeattMOeoMye<t'6a9'a(a.
~<<~(M,),~(A.<M.
RoMt (maaMtgMw). t~M qo'Ma <Mtamte~. (Voïat &Mte M<s.)
<<?? dus wM< <!eaCN<s oMtOM, en <tMxdt<M<m&aa.
eaqM)M~MeM.M!.
en Mt, du teMpt<'t)em&M. ~M.
du MmpBde TtmMMtëM,en <WM dMthtM. SM.
<~MeMM gMmtemMt adopta tetSMes tea MmmtM.
MS. Et pattaacartegtaphMdo me)en-at~jns<ta'a<t XtV*
otMe.~M.
M vt«e~M (tMsbns. <teVhmM. atf. Celle Metistmee
dans ua mu. du Xt*st&etede cet auteur. aïi.
ea «Mee au VM!'atecte, au temps de ChMtemeeoe. ?0.
MtX'steete.MM.
ae X*tteete, C~tee dtM un msa. de cette époque. S!9.
au Xt* ~eete, du m<s.de Salluste de Florence. SM.– CempMee
&ceMt de Ttamsthene. <6M.
Celle da même ateete, et et doue divisions, qa'ea remarque
dmshtONaeempMed'Asaph Mt.
de Tettes, awXN' etecte. MM.
dans t'FtM~ du mm<f<d'aenett d'Aatan, M XM*stecte. MM.
dans te mss. d'Hefmde, aa SM' stëcte. aM, *M.
en X<N* ttecte, dans la chMBtqae d'AtMttc des tMts PaatetMa.
a6t.
Cette de la mappemondedu XMf steett, d<t mu. R. i4 du ttosée
Britannique.
Celle qn'on remque doM les poMataa& de t'MONte, de M<8
et <SH (XtV'Nieete). a'f9.– Du poème d'&~«~«)t<«bMtttM,
'tM XtV' sieete. SR. Celle CgtMeedaM l'édition de BMt.
de<S63.4M.
Ma–
R«~<a~<M<<mt)~t~<pt')t~<M.Mfk y
R<tM9 e~ma~~a~ MaemtM «M MM. Qtte~ 4M.
de ~M~~fatMqm~e <Mf, da XV <~a<e. M.
ea tH~te~ewxdtoMtw. t'~M~a'ea~eot~Mmt qt*a foc*
(!MhMdM<[~MiVMMsnWf!thM<doXV*a~6!9.<M.
t~(M des «a<a etex tea <Mea~M, Btw AMhes, mu ?' ? X' <?'
d~ 4t~–Ce<)e~a~<K)aetWM!b~tt'HH)p~mt~!e<te
)~Ma<< !?<, atM.–B8!et!pttea<taMMK!e. MM.
<M)eC~t~ <hn<un aMMaMte ma, <toXW &?<?. ~M.
<MtM MptemoteM <MBt carnet «?«)<?, Of~~M pw
M. BetMHHt.S~. AyaM ~t Mette ? ptMM aetM 4tM h
M~tte. !!?,<?.
HMOt<ea~MM <tMChheh. 9tS.
Berna (Paya do). «a.
BM~M tttMtM.
Bobmet. Soa w~ge <mTMta~e ou XMt*stMe. M, <M, 9M. li
ne MMmtMatt pas MM ta tente aepMBttiMt~ de t'A<!eaa-
<)eM)<ta)a')~Made.<M.
Battept). SMf<dMMMe<M«t<9MH«H)M<MO)K~M. ?.
B)HSM(tM). PtaeespMtMAmheadMsteettt~t~meettmat. SM.
BaMte. SM. tt'Eampe et AttaUque dans la mappemonde de FMa<-
tte.aM.
RoMMaa.UtVU.–Catte6toempMqaedeMattMMtte.(VoyMZumpt.)
B~h. Indique d'Me tnanUM dtttetaeuM la MtMtede la péninsule
de rtnde.
Rajfh ~M)CMmge .tM~nMt h fe~t. t&.
r.
TaNeSftMeaBa.aa.
T~thHtaMa <m do Ct~n~t. &??, M9. Me, <M. <M, ??,
W,SMi.
Ta)!e(te).SM.
TMÈs. <?) 8ea ~ft~tM MNnegMpMqae t&)pM par !<tM!ja
-`
~!K<aM!.<<a,S<M.
'Camgaet).N9.
T)ma!t(t<)~a).<'t.M.~M.M.tm.eM.aa.a<am<M
BMM, Ceate M M HH<M<t<Mt la tetKt h)MMtMaen trois
<<M.SSO.(V«yMTe)nM.)
inmeo'.MS.MO..
Tatt~tante. C'ttatHoOemtaFpays det'oed<tent de CAM~e MBXtxta
MMO Maof. 4t.
~~MlMM.<V<~MMe9.) M, S),
Tatta~e. 7S. M. M. H!. <?. <M. <M, <tM. V«;aeM et~etu~
dans ce pays aat XM)' et XtV*atMea. ta, t46.
Tasto (M ). Strate, en <??, la carte <te Mecta de Villa d'Ewteede
MtS. XMH. ~œt VtttanaeM.)
Ta)MM (Chatae 4<H.41. <so, SSt.
Setea Maeten. ceMece~eMtre dhtM t'Ade entteM. M.
Teeernsee (ahbitye). 3M. Mappemondes qu'en y tMO~att au meyeo-
age. tM, tN.
Teanb (Païs de). Mi.
TeKe. Comment les Grecset tes Romains la <Mwtmtent.asr.
Sa division, d'ap~a Atbtote. <t0.
Nttsee par eMmat~,selon tes Arabes. 39!.
SehmHhM.SST.
Comment e"* <t diviséepar HasMadt. 3SS.
Partie Mtth je la terre. !Bt, 3M.
La pattte habitable se MmMattseatement. selon tes eûsmegM-
phesdameyeB~ge.aax deux Mnes tempérées. tM.
Seton les cartes du omyen-age. 906.
Pwtie habitabled'aptes Jeande BeatMan.378, !<?.
Système des Arabus à ce sujet. SSS.
Op!n!en s~stemsuiqae des BoaddhMtcs a cet égaïd. 3<!<i.
6M
U
t~etM (PMttttteeM). ~oMttammMht. «T.
Men. 8aeefta<tNa~me~eeNpMqoe<t')ttM<te«t. <W.–6e)tu<ttt
a~tme de Strabon. <M.
de dh-Mpt on XIV-atMe. <a).
Universités. )F<m<tM!eB <M<taeMe)m
dM ~MteaN da ceMode Satemanque ceatM w~ajpt de Co-
tem~ Mt.
T!<).t!M~
~1. üoto~ 'en_a.
<?!, tXt~Mit <te ee point, owao M~~m ne pwnmt~~~MW*
!i)St.'ae.
1t DO
IiXVi1lw··~
~,W~4aXW'S&~MMtt~
~~tW<m~<(<~M<ame~<!)~~X!M<
X<M~(~<!e).M9.
~~w~).
ZmMhM~MBMMM~~
~MMM~~M~~M~Mt~hM,<~N&
!!<)<tt!t~a~
<tB% am6tem.«a. ;~<)~B
!M.– CtM (Mot
IheOtoaM.)
~MMwM~mt<!6<!MM~tMa.d'Be<«!t<a.!t.
Xet~a~s~t~mxtoît~tm~N~atm~
~e~No'
Meo~ofaMttdeMat-Vtnecat.)
:Mtaqa~ etteo~M. «été de N. MM h ce ~et. 4iC.
MtMB.StaatfhitttendeM'M't~.
Zone tM<M$. M, ~M.–CheMea. aM.
~a~mt tesOttt ~MeBde moyec~tasqa'amtd~eawMMOM
~Mto~ts, on CM~t la sont torride tatmMtto. Mt, ??.–
8@<eaBMe, la MM tMtMe tta« tnhaMtobte. M.– Et O'AtMe.
M X. Bt6cte. ?. HtFmde, H<t~nMMeteMas, SacM BMM.
Ceeee d'AMeMet CM~h, aux XM*et MK<~Mea, ~tent de
la m6me opinion. M, M. M. M. <M. HeyM de CtKHtne
soutenait que. Maa cette Mne, M n'y avait pas de pM<tuc-
tten. ?.
MmHMM~MMe.Mtte~mttMMM~tttntaMt~.tM.
La aaMe avait ta même opinion. <M. Atmt que i)n<Mtte
tatM. a!.
Zones baMttMes. MO.
tempMm. 9M.
tttte~hopte~M. Seat tataMMMes dma t'e~nten de M«tM~. t.
CM<Mttc. CM~t et CMetxMtétttent de la même eptnten. 4.
0<Me te eM~att aamt. 9.
CMmas, an Vf Bteete. était do même t~t5. <t.
PMteahtqje emyaU am~ qtt'ettM ~eteat tnhahtttMes. SM.
AtMtqaePimNdeVteMs.M~–EtPiened'AtmttO.
EtA<heK4~Cmnd. M.–EtNtcotMd'Otemte. 139, MO, Mt.
Kamtptnm Hydt~ eMt de la même eptm<man XtV*~e-
t!e.«6.–Opt)dMdeSa)t))te,<S.
RtS
~J)<a)t<tetteaotatt,t'<XV'~Mc~M~9t.!MM.
Mt~atM~eetKMtmma~M'e~MtMette.œ~etM~
<!ompt(N.).~)<mt<9~n<M~<M~Natt«0!
Zatta. XXH), ~HV.XHt.XUM.– 8t oetteos<M'<e mappamamte
MteM. peNM$ en «M. M.V. Sa «MemMea Nt ha
oxoteMMM mFtNt 4fes~t j~F )ea WMttten').XUt, <M, <a~
<?. MpahMe,e)t MM. ta Ma~emonJe de Pfa MMmM*
Mmomeat ~utte XMM.
f)HMtOMB
MB~Mn
~i.
~SM t«MM)HtMtt<tAt)t.MM'tt~MB!t~B,
1-~ R)teMHe)U,9e(«.