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BtBUOTHËQUE
DE PHILOSOPHIECONTËMPOBA!NE
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L'ANNEE
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SOCtOLOGtQUt;
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PfefttMtr de MeM~e
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dos )eHrM do t'UnivertM do BMdMttit
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ANOENNBUBMAtMtEGERMER BAtLUËttE NT C"
FEUX ALCAN, ËDtTEUR
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1099
L'ANNÉE
SOCIOLOGrIQUE
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UHRAnUi-: FMIJXALCAX
SOCIOLO&IQUE
t'UHUKK.SOUSL
ÉM!LEDURKWE)M
Pt'ut'e~fcut' de Mciof")!)e A ta t''acnttc d<*a tcttrc" <)e t'Uttivet~ito
(IcBurdcttUï.
.t\)!CLA':()).t..U"'MTt'Mht:MM.
1. MÉMOIRESORIGINAUX
K. B«f)<h<')m. – ~f ff< (/t'/f«<7fu« <~ ;)/«'«aMMM
''<("/tftM.
M. Mnbft et M. M<tn«'). – A'««f w<' la ft«<«<f f<
~<f/Ottt'<M'/KM<ft'<t'<
Il. ANALYSES
Uce trMtux du )" juittet tXi)TaH :iUjuin )K9!).ot-te.
/of/<c~t'MAff/f,<f/<jy'f<w, M««vf/t'< y<««/)'/«< t'«M)t'
M<< <'('attOK«'~Mf. ~«t'/)/M~«y/tfmtt'fft/f. ~<MtW.
PAHIS
AXOEXSE HBHAHUH GHHMKKBAtLHËXE MTC-<
FEUX ALCA)!, ~OMEUR
<08, OOtiHYAHUS.UKT-UKHXAtX,<08
t8<t)a
ToMdroitst~M<<<.
PRÉFACE
.At~t.tÎM~t.
il établir des rapports. tf.t..––t~–'
Maisce que ta sociologieapporte sur-
tout avec elle, c'est le sentiment qu'entre tous ces fuits, si
divers, qu'étudient jusqu'à présent des speeiatistes indépen-
dants les uns des autres, il existe une étroite parenté. Xon
seutement ils sont solidaires au point de ue pouvoir être
compris si on tes isole tes uns des autres, mais ils sout, au
fond, de même nature ce sont des manifestations diverses
d'une même réatite qui est ta reaiité sociale. C'est pour<}uoi,
non seutement le juriste doit être nu courant de la science
des religions, l'économiste au courant de )a science des
mœurs, etc.. mais encore toutes ces dinerentes sciences.
ayant pour objet des phénomènes de même espèce, doivent
pratiquer une même méthode.
Le principe de cette méthode, c'est que les faits religieux,
juridiques, moraux, économiques, doivent tous être traites
) conformément à leur nature, c'est-à-dire comme des faits
sociaux. Soit pour les décrire, soit pour les expliquer, H faut
tes rattacher u un milieu social détermine, à un type dctiui de
société, et c'est dans les caractères constitutifs de ce type
qu'il faut aller chercher les causes déterminantes du phé-
nomène considère. f)r, la plupart do ces sciences sont
encore fermées a cette manière de voir. La science (tes reli-
gions parle le plus gcneratemMnt des croyances et des pru'
tiques religieuses comme si elles ne tenaient à aucun système
social. Les lois de l'économie politique sont d'une telle géné-
ralité qu'elles sont indépendantes de toutes conditions de
temps et de lieu, partant de toutes formes cotteetives ou ne
voit dans t'échange, la production, ta valeur, etc., qu'un pro-
duit do mobiles très simples, communs à toute t'humattH.6.
La science comparée du droit est peut être ta seule qui soit
orientée dans un sens dînèrent par exempte, on a signai
des rapports entre certaines institutions domestiques et cer-
taines formes d'organisation sociale. Encore ces rapproche.
ments sont-ils restés très fragmentaires et sont-ils poursuivis
sans beaucoup de suite et de méthode.
ti y a donc ta une uinvre a tenter qui est urgente et vrai-
ment sociotogique U. faut travailler à faire de toutes ces
sciences spéciales autant (le branches déjà sociologie. Mais
pour cela, il est indispensable d'entrer ctroitement en contact
avec elles, de se mêler à leur vie afin de ta renouveler. Il faut
aborder le détail des faits, non pour en prendre une vue som-
maire, suggestive d'hypothèses philosophiques, mais pour les
t'MXt'AUK tu
E. J).
L'ANNEE SOCI OLOGIQUE
1898
PREMIERE
PARTIE
M6MORES
ORIGINAUX
))HL.\ Di~'ixmox
h!SI'nt'X<tMt'~HSHHLI(.tËLX
)'"f~.f;!))t.)!))CttK))Kn)
(t) V. l'exposé())«!)
completdecetteregtede méthodedansnos n~ttt
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f«M)~</<.sociol.,p. 43et BUtv.
tt. OUKKHEtM.– tt~'tXtTtOX DE!! PHt~'OMÈ'OMnELtGtEUX 3
«) Ot't.f/t'Mf
<<T<)/);)<'M~)~/f'~< tWf;if«)M,Paris,)te)nw<U<); 1870,p.St.
Ont'(:t)<M)u';)-!t 'hnsrftR'
<jUt;, ut
<)6fi<)it!~n dan:cettes qui suh'ft. c'est
tttrfOiftonqui '<) <)(;nni'non te fuith')i);icux.t)n supposeque touten.'ti-
~ion est une rcaUtf<m': c f'otf'ursnetteutcnt <)Mcnnht~et qu'euena
laissepasde fait reU~icux fn dt-i~n's(t'e)te;conceptionf)uiosttoind~trc
attcfjoutcaoxfttit!
(-2.<fMt;c~:))'iMc)~.tr. ff.. p. M-SU.– CHU-, t. p. 60et euh'.
K. ))L'KtiUK)M.
– ));!t'')\'tT)')S
OK~t'ttHKMt&SHt
HKt.tUtKt.'XS
vous volontiers A ces conceptions un air de mystère. H nous
semble que des hommes n'ont pu se résignera (tes idées aussi
déconcertantes pour nutre raison <)uep:u' impuissance d'eu
trouver qui fussent ptus rntionneitt's. Hn reatite, pourtant,
ces explications qui nous surprmuK'nt paraissent au primitif
tes plus simples du monde. i) n'y voit pas une sorte d't<<f<))M
/<~<nù taqtteiic t'inteitigence ne recourt qu'en désespoir de
cause, tuais ta manière ta plus itt)U)'diate de se représenter
ft de comprendre ce qu'ii observe autom' de lui. t'uur lui, il l
n'y a aucun mit'acieùce qu'on puisse, de ia voix ou du geste,
commander aux déments, tn'reter ou précipiter les mouve-
ments des astres, susciter la pluie en imitant le bruit qu'elle
fait en tombant, etc. Aussi, dans certains cxs, te premier venu
peut-il exercer cet onpire sur les ciioses, quelque énorme
qu'il soit à nos yeux il sutnt de connaitre les recettes elli-
caees Si,dansd'autrescirconstances, ou ne peutreussirqu'a
condition de h)ire intervenir certainsetres particuliers, prêtres,
sorciers, devins, etc., c'est que ces personnages privilégiés
sont directement en communication avec des sources d'éner-
gies exceptionnellement intenses. Mais ces énergies n'ont rien
de speciatetnent mystérieux. Cesont des forces, comme celles
que le savant conçoit aujourd'hui et auxqueites il rapporte
les phénomènes qu'il étudie. Sansdontf.eiies ont une manière
dinerente do se comporter cites ne se laissent pas manier et
discipliner d'après tes mêmes procèdes. Maistes unes et les
autres sont daus ta nature et à ta disposition des hommes,
quoique tous ne soient pas en état de s'en servir.
itien ioinde voir du surnaturel partout, le primitif n'en voit ¡
nulle part. En eïïet, pour qu'il put en avoir l'idée, il lui fau-
drait avoir aussi l'idée contraire, dont ta précédente n'est que
la négation it faudrait qu'il eut te sentiment de ce qu'est un
w~'etM<Mf< et il n'est rien do moins primitif. C'est une con-
ception qui suppose que nous sommes arrivés à nous repré-
senter les choses comme liées entre elles suivant des rapports
nécessaires, appelés lois; nous disons alors d'un événement
qu'it est naturel quand il est conforme à celles do ces lois qui
sont connues ou, tout au moins, quand ii netes contredit pas,
et nous le qualifions de surnature) dans le cas contraire.
Mais cette notion de lois nécessaires est d'origine relative-
ment récente; il est des règnes de la nature d'où elle est
à <'AM<<M)W
(t)PfO<~<)M~))M desX~MMX,
p. 3t.
K t.A'<HK~CH)t.Uti)~'L'K.)M)t
(t) Scht)ttM,f'e/<f/<fw«Nt,
p.):M.
(2.fluc,/'t'm/w<'c/oftc' ). !<i8
~;(<oM<'MB«M.!yA,t,)i).
H.))(H(;f)H)M.–t'Hnxt'm)~MKS)'m!\)mj::XtH)t)!t.h,)KL- !)
f);~MfM«e~/t,t,M-~(!.
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t.X'<ÈH SOCtut-Cuit~CR.
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(t) Baft)),MeftaHafc'MO/Mf/ta.p.
(2)&)<<)pM)'edMMt~<<tetMM, V).SM.
)~ )/AXX)iKS!)t:)Nt.t~CH.tMS
vioit)'.f:'MtshxptctHent
poursimptiacrt'cx))osu'jue ))dKssMxpoiu)~
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M!'<'))-)neMt<tire.
t4 ).'A!<'<H)! <M<
MCtOMOtQCK.
(t) Yoir)MfaitsdatM~tunntttfdt.MMtt'hit)'ot,M<M'w<<r<'M.Lon-
drc!!t8U7,a)ta)y!<5!<:i
u~txe, au tu)ue1.p. i!tX.
{Ï)Y.plusbas,dansle nMituoireMrtesMfitice, )M<Mvetoppcmettt«)ui
eouccrnottlesMcriticM agraires.
)it)tff )<;<<~tOM p. )2:
t'M/tf/W.
E. UUMKftHM. U~'tXtTtON t)E< t't))!xt)MÊ:<(M HH~nHOX t5
!t
<jt)<'de* n')i){)OM<'otu-
(t) Onvoitfjoe nousne pMtfMpourt'inotont
tte*
munesAun groupe.Xousparleronsplusbas religionsindMdueHM.
K. orKKttMM. – t)~')~)THt'! MM )'H)!fU!tÈ'iM )tK).Hi)HL'X t;tt,)
,~I..n 1.1.
d'entre toutes 1.· _.Y_m 1-
les autres, c'est w
la mauiet'e v
dont eues sont
représentées dans )es esprits nous oc sommes pus libres
d'y ct-oire.oudeu'ypaseroireites états tneutnuxqui nous les
donnent s'imposent a nous oMi~atoit'emcnt. La pttysionomio
des pmtittues correspondantes se trouve parceta mémod6ter.
u)in<je.C(K)ut empêche de les contondre avec les autres
pra-
tiques obligatoires, c'est qae les êtres, sur iesquets eues agis.
sent ou sont censées u~ir. ne. sont connus de nous qu'à tra-.
vers ces représentations collectives très particuiieros
qu'un
appette des mythes et des dogmes et dont uous avons dit plus
hnut ta earacteristique.H en est autrement de
t'ethique. ~«M<
/« ««'.fMf'coAf//t' M'« ~«A-</f t-«/'(/<-<<'n'/M/«'«.c,cUen'a à sa
bitse ui tnytnotogio ni cosmogonie d'aucune sorte',
{ci, le
sysit-itit-(te .regks qui prcdctet'nuneut tit conduite n'est pas
lié a uu système de restes qui prcdetennineut lu
pensée.
t'uisque donc les pratitjues re)i~ieuses sont a ce point so)i-
d:)ircs des croyances religieuses, elles u'en peuvent t'-tre sepa-
rées par lu science et doivent ressortirauue même <-tude.Les
unes et tes autres ne sunt que deux aspects dinercms d'une
metne rfatité, Les pratiques traduisent tes croyances eu mou-
voneuts et ics.croyances ne sont souvent qu'une
interpréta-
tion des pratiques. C'est pourquoi, h's t-euaissaut dans une
même définition, nous dirons On appette phcuomenes reU.
Kicuxles croyances oh!igatoires ainsi que tes pratiques rela-
tives aux objets donnes dansées croyance! 1-
ii y a pourtaut un caractère des ptteuomenes religieux
que
cette forutuie ne atet pas assez est évidence. Elle moutre bien
comment les pratiques sont solidaires des croyauces; elle ue
fait pas t-essorttr assez )a sotidarite inverse
qui n'est pas
;).)))nii!dMM)a mc!uremt huuMah-repuscem'orc!!ur<)m-))jue
parexemptesurcetteidvefjuc h pwsoutxttitchumaineest ctn.t..doifthe, M.-rce
tmrc(-))ueUe a f-tet-rct-cparMeu,ta moratcccinc<)~)'chu.jue.d'ctrp)a
)t)urate Ii [truprcutcttt[xtrter.p~urdevenirt<ncpartie<ruculte.
~i Cetted<-t)t)ttion pemK'tde dittit~uertes rites pn'prctneutreligieux
desr)tt-xprftp)-t-u)eut t:m.distinctionradi.-ate~t itupo~ibtcen
ma!<if))tes.
SfHK qu'Uy a desritesreligieux<)uiiiontma~i))uc!t. et cn nombre
't arrivetrc!!«.uvent<)u'f.nsuUicited'uu dieu r~Mu~nt Hratu)
"u Moy<-n .)M'nd~ire
d'utMt-C)-eunm;c qui itnitccet <cnctnent tes H'tetMtMbo.
tt'juctu'nt peut-etropas d'autreurittine.~taisil y a de*rites <juiliet~ttt
<)UM )u<tf{«tucB ce st'Mtceux<)uine portcutm surdesdieux ni ourdes
.')h)!!M !)M.-r<;e<.
c't:st.a.diregluiue iittttts.didftit-es
d'aucuneft-oyanfeub)i-
t<atu)M. Tel e!t tOtw&tement.Xiln ttatMetteni le tuatheureuxqu'on
Ycxtatteindre«'ont de <-anM-tj-re socre,et, tr<-x({enerntemettt.le sorcier
ne fait intervenirni diviniténi de)tton. oMu.btabteest censé MMiter
de tui.Mfntole semMaItte, toecMti'jttonent.
).'AXXKtiSOC)0).0(!)~).'K.tMS
moins récite. Ou peut se demander, eu effet, st des croyances
qui n'aboutissent pas ildes pratiques sont vraiment religieuses.
lai religion «'est exclusivement ni une philosophie obliga-
toire ni une discipline pratique cite est i'uuo et l'autre à ta
fuis. La pensée et l'action y sont étroitement unies, au point
(t'être inséparables. R)ie t'on'esnond a uu stade du développe-
ment social ail ces deux fonctions ne se sont pas encore dis-
sociées et constituées a part l'une de l'autre, mais se trouvent
encore tetiement confonduesi'une dans t'autrequ'ii est impos-
sible de marquer entre elles une ligne de démarcation très
tranchée. Les donnes ne sont pas depnrs états spéculatifs, de
simples phénomènes d'idéation. Ils seretient toujours et direc-
tement a des pratiques définies le dogme de ta transsubstan-
tiation il ta communion chn'tienne, celui de ta Trinité aux
tètes et aux prières qui s'adressent au Dieu triple et un, etc.
Voiia par ou ils sedistinpnent des croyances communesd'or-
dre iaïque, comme ta foi au progrès, en ta démocratie, etc.
C'est que ces croyances, tout en exerçant une action très géué-
raie sur la conduite, ne sont pas tiécsa dosmanièresd'agir défi-
nies, qui les expriment. Sansdoute, onne peut croire fortement
au progrès sans que ta façon dont on se comporte dans ta vie
s'en ressente; cependant, il n'y a pas de pratiques précises
attachées a cette idée. C'est une foi à laquelle ne. correspond
pas de culte. Nous trouvons ici un phénomène inverse de celui
que nous observions tout a l'heure, à propos de l'éthique. Les
préceptes du droit et de la morale sont identiques &ceux de
la religion, sauf qu'ils no reposent pas sur un système de
croyances obligatoires Les croyances collectives, qui ne sont
pas religieuses, sont de tous points semblables aux dogmes
proprement dits, sauf qu'eites ne se traduisent pas avec la
même nécessité en un systèmede pratiques déterminées. Nous
proposerons donc finalementla définition suivante Les pM-
HO~HM</<7<! n'X'M. fOMMffHf 0<'M~O!'t'M,COH-
fHCfO)/f<MC<'<
M<'JM</e~Y<<~t«' </('Mt'('~M< se t'HppOr~f d objets donnés
~<!<M cMcro~MfM'. – Quant &la religion, c'est un ensemble,
'ittcurerudimentaire-).o'aincMM. it [Mirait
cément peuprotmbtequ'ily
ait des mythcitt)Mine MoentanUttitirps d M)F«n9 )i)< )t y n entreces
'ieoxjtort~tt
de fait!)une étroiteef'nnexit)'.t'et)t-tre in disfMMton
vient-
elleenpartiedoce qn'nMréservele mot de mythespourlesrcprëMnta.
bon! rt.'tjgifUMit
d~vetupt~c!) et plus ou ntuinitiivstcmfttisee!.
Cettere!.
tri<'tionMtt~itime.si t\'n veut maisalors,it faudrait unautremotpour
dMgnerlesrepresentatinn: retifticuiiea
plussimples,quinese distinguent
'tc!'mythesproprementdits quepar teur tt<o)n<)recomptexite.
24 ttM8
t.'A\<);H;.t)t:)t)).x)i)~')i.
C'est donc un
uo corothm'e
cot'othm'cde
de notre
uoh'e dénnition
duthntiun oue
que lah religion
upour origine, non des sentiments individucts, mois des états
de l'âme collective et qu'elle varie comme ces états. Si elle
était fondée dans lu constitution de l'individu, etto ne se pré-
senterait pas à lui sous cet aspect coercitif; des manières
ou de penser qui sont directement seton ta ponte de
nos dispositions natureites ne sauraient nous apparaître
comme investies d'une autorité supérieure a celle que nous
nous attribuons. Par conséquent, ce n'est pas dans ta nature
immaine en ~enerattju'it faut idterchercht'r ta cause detor-
tninante des pttenonteues retigieux c'est dans lu nature des
sociétés auxquelles ils se t'apportent, et s'its ont evotue au
cours de l'histoire, c'est que l'organisation sociale ette-tuente
s'est trunsfut'mee. t)u coup. tes ttteories traditionuettes qui
croient découvrir la source de la reti);iosite dans des senti-
ments privés, connueta crainte r''vere))tie)te qu'inspireraient
a chacun de nous soit le jeu des grandes forces cosmiques
soit le spectacle de certains phénomènes naturets connnolu
tnort, doivent nuus devenir ptus que suspectes. Ou peut dès
maintenant préjuger avec quelquo assurance que les
recherches doivent être conduites dans un tout autro esprit.
Le problème se pose eu termes sociologiques. Les forces
devant tcsquettcs s'incline le croyant ne sont pas de simples
énergies physiques, telles qu'elles sont données aux sens )
et à t'imaginution ce sont des forces sociales. KHes~ont te I~
produit direct de sentiments collectifs qui ont été amenés à
i
prendre uu revêtement materie). Quels sont ces sentiments, 1
quelles causes sociales les ont éveillés et tesout déterminés
à s'exprimer sous telle ou telle forme, a quelles fins sociales
répond l'organisation qui prend ainsi naissance Telles
sont les questions que doit traiter ia science des reHgioMS;
et. pour les résoudre, ce sont tes conditions de l'existence
collective qu'il faut observer.
De ce point de vue, la religion, tout ou couservaut, par
rapport aux raisons individuelles, cette transcendance qui la
caractérise, devient quelque chose de narturel et d'explicable
pour l'intelligence humaine. Si elle émane de l'individu, elle
constitue un mystère incompréhensible. Car puisque, par
définition, elle exprime les choses autrement qu'elles ne sont,
elle apparaît comme uuo sorte de vaste haUndcattou et de
fantasmagorie dont l'humanité aurait été la dupe et dont on
n'aperçoit pas la raison d'être. On comprend que, dans ces
H. M);M){))t!)M. )));F)\n)uf ))HS )'))H.\o)t(:X~ MHt.n.tHt-X ?
()) Xappetut)!
'j)«j,par tMyfhoh'gie,nouaentendonsla stienee de)t
h'scrYont
«tcntatitomdividtK'ttc, te not))
deaodoh'giopource quiregarde
ta mentfHttM
collective.
K. M'XKHKtM. – t~UXtUOX Xti~ t')))!«)M~XKS KH).)(!)HrX 2'?
impérativement. – Mais
Inmn nnc
pas imn.nliu.f \L,i.a
t'échonc si 1.tous ces faits
L.il~ ~r.l
sont
incontestables et quoique t'apport qu'ils soutiennent avec
ceux dont nous avons parte jusqu'ici, ils demandent néan-
moins Iien être distingués. Si l'ou ne veut pas s'exposer à de
graves méprises, il (aujt se garder de confondre une religion
libre, privée, facultative, que i'un se fait a soi-même comme
ou t'entend, avec une religion que l'on reçoit de la tradi.
tion. qui est fuite pour tout un groupe et que Fou pratique
obligatoirement. Doux disciplines aussi différentes ne sau-
raient répondre aux mêmes besoins l'une est tournée tout
entière vers l'individu, l'autre vers la société.
Il reste vrai pourtant qu'ii y a entre elles quelque
pareuté. i)e part et d'autre, en effet, ou trouve également des
dieux, des ch.osessacrées, et le commerce que nous nouons
soit avec les uns soit avec tes autres est sensiblement le
même dans les deux cas ce sont toujours des saeriftces, des
offrandes, des prières, des tustrations etc. Mais si. pour cette
raison, il convient d'intégrer ces faits dans la définition géné-
raie des phénomènes religieux, ce ne peut être qu'à titre
secondaire. D'abord, il est certain que. de tout temps et dans
tout pays, Je gros des faits religieux a été formé par ceux que
nous avons définis eu premier lieu. Les croyances et les pra-
tiques individueiies*ont toujours été peu de chose à côté des
croyances et des pratiques collectives. De plus. s'ii y a entre
ces deux sortes de religions un rapport de.filiation, comme
il est vraisemblable « ~<<M'<,c'est évidemment la foi privée
qui est dérivée de la foi publique. Uneffet, la religion obliga-
toire ne saurait avoir des origines individuelles, par défini-
tion pour ainsi dire l'obligation qui lit caractérise serait
iuexplicable si elle, n'émanait pas de quelque autorité supé-
rieure a l'individu. Au contraire, la dérivation inverse se
conçoit sans peine. L'individu n'assiste pas en témoin passif
à cette vie religieuse qu'il partage avec son groupe. JI se la
représente, y rénéchi.t, cherche Mia comprendre et, par cela
même, la dénature. En la pensant, if !a pense à sa façon et
f'individuaiise partieiiement. Ainsi, par la force des choses, if
y a dans toute Église presque autant d'hétérodoxes que de
croyants, et ces hétérodoxies se multiplient et s'accentuent à
())Nousparlonsdescrnyanrcsstrictementindividuettes, etnondet-enei
'~)isunt communea à de petit*groupesau sein de )'~Us< La reiigiou
d'ungroupe,ntOnepetit,est encorecoitecth'e telle, ta retiffion
dome*-
ti<)ue.
? ).'AXX)!(! soOOMCt~fK. ))!9S. – ).K< )')t)5xuM~XK!i HKt.t'UHt'X
ESSAI
SUHLAXATt'HE
KTLAt-'OKHTtOK DUSACHH-'iCE
t'MM.\t.U):'iKt))Ct}H)<Tt'tMw;t:t.MAUSS
.S..l_1!v.n··v_f.
et a uescm)tsauonsunter''nœs,m)agtna une genèse des tonnes
duMtennce. L<;sacrifice, scion cet auteur, est originairement
un don.que )e sauvage (ait li des êtres Kurnaturets qu'il tui
faut s'attaciter. Puis, quand h's dieux grandirent et s'eioi-
gtierent de t'homme. la nécessite (te continuer a k'ur trans-
mettre ce don lit naître tes rites sarriticiets, destinés Il faire
parvenir jusqu'à ces êtres sjtiritneis les choses spirituuUsees.
Au don succéda i'itontmage ou le fideie n'exprima plus aucun
espoir de retour. i)e lit pour que le sacriftcedevint abnégation
et renoacement.ii n'y avait qu'un pas; tevottttion <ttf)insipas-
ser le rite, des présents du sauvage, au sacrifice desoi. – Mais
si cet'e théorie décrivait bien les phases du devetoppement
mot'iti du phénomène, elle n'en expliquait pas )e mécanisme.
HUeue faisait en somme que reproduire en un tannage défini
ies vieilles conceptionspopu!airei<.Sans(toute, parctte-meme,
elle avait une part de vente historique. H est certain que les
sacrifices furent j~'neratctnent, a ()uct([ue degré, des dons'1
conférant au fidèle des droits sur son dieu. Hsservirent aussi à
nourrir les divinités. Mais it ne suffisait pas de constater le
fait;iHattattctn'eMdfc compte.
En reatite, tt. Smith fut le premier qui tenta une expli-
cation raisonnee du sacrifice. Hétait inspire par ta découverte
récente du totémisme Demême que l'organisation du clan
totémitlue lui avait explique lit famille arabe et sémitique',
de même, il voulut voirdans les proUques du culte totemique
ta souche du sacrifice. Dans te totémisme, te totem ou te dieu
est parent de ses adorateurs; ils ont même citait' et même
sang le rite a pour objet d'entretenir et de garantir cette vie
commune qui les auime et l'association qui les lie. Au besoin,
il rétablit l'unité. L' atJiaHcepar iesang Met !e « repas en
commun M sont tes moyens les plus simples d'atteindre ce
résultat. Or le sacrifice ne se distingue pas de ces pratiques
vaHunMUve
n hâtive ou
ou fausses
faussa ta
unr
ta précision
par nrccisiou de nos
de «os )!))Hr..f.K ),.)!
tes
tangues,
faits enregistres par tes ethm~t'apttes ne prennent teur valeur
que s'ils sout ruppt'ocin-s de documents ptus précis et plus
complets.
Xuusne donc
sqnfteons pas a faire ici t'instoire et ta genèse
dusHchnœet.s'it nous arrive du parier it
d'antériorité,
s'at;ira d'antériorité ionique et non d'antt'rioritc historique.
Ce u'est pas que nous nous .refusions le droit de faire appel
suit aux textes classiques, soit a t'cthnoto~io, pour ectuirer
nos uuatyses et coutroter ta ~nfraH~ de nos couctusious.
Mais, au lieu de faire porter tiotrc étude sur des (troupes de
faits artificiettementforntes, nous aurons, dans les rituels
dftinis et complets que nous étudierons, des ensetnbtes don.
nés, des systèmes natureis do rites qui s'hnnoscnt a t'obser.
vatiun. Ainsi contraints par tes textes, nous serons moins
exposes aux omissious et uux ctassificntions arbitraires.
Kutin, comme tes deux retirons qui vont constit.uer le centre
de notre investigation sont très différentes, puisque t'une
aboutit au monothéisme et t'autrc au panttteisme, on peut
espérer, eu les comparait, arrh-er a des couctusions sufn-
sannnent générâtes'. l,
OA)''iXn'tuXf'TCXtTf:ta'SY~M!:s.)Ur'KtH[.
''<t<!j:–t,~r.t'<)t)Y:)jurV<tt;tnf.ir~'rtuttiri\'u!! :Tf«V/«-«/f<M«,/);~)
(=7\~)~~W~M~X~~)U~~MnM~k
ttmhtttfum: ï'«t//<ff'/« Hni/twmw !–?' ~.<mtit't)t de )))<U)('<k'sf'.noutct
ct~'HnUuu!U)n;.)/M/'<mAn-f''fM<<MH/<yt(t'()it.(;nr))).~d~ntn<'t]!!nYf!tt!!
t"ut part i''H)icn'njcnt!!))iYitt'rittK').–Acct texte: iiesupprpusottt'f))!:
du ritup) dmncsti~uf. les 'tv«.«)/ffM des direr~x ('t'otea (tMt). «htcn-
ber~ lu .s'. M. A'. XX)X. XXX'. –A <-ùt<t'eu': se trouve )«!«'ric des textes
at)<Kr\'tun<)Ht"t(~)u)))'!thm!ut)..t</m'<-t'f'f/K'==~.)'.)\'('()ade~int'nttta-
ti"nt.<dit.)nt))<'y<-ttt<'th:tr!tdth'ti.!n~:t-)h'ix.munnt<!e)dh).'<
X).\m: Hvn-it Y)))-X))f. V. ttt-nry. A'«ff!-<vt~)/f« (= A'HM; <), <'<)it.
Htnotutit't' – S<'t)'<;t'tu'tt- 'ht rihn-) hiu'))'n cM cte impMstbtc Mns tei)
livres de M. Schw~b ftttc M. niHt'bnmdt. et san: )''tMi~tancc pertunocUe
de ~)M. Cainm). Wintcrniti! et Sy)vHJMt.c\i, tnn))re:n)c t'on d'entre nont.
)'<'urnntret't))dt't)))i'a<'ritit'hi)))i<)m'.nfms))rcn<trut)!))"ur))!tM'te
i'ent!)tcu(jm:. \'uus n'etsayeren!: pas d't'ntprMntcr il tK crttt'jm' ))i)))i')t<e.
tes L-)<:n<eMts d'om' ht!.t"in' (les rih' stn'rifi''teh ttt-hreux. ))a))o)-d, je:) xct-
tt'rMUtx s<!t)[. a )M)trf itetts. it)St)f))ia))t!t. KxtMite. si tmus rrt'yttn* <)ue ta
crititjnebihjhjuc peut c'~nstitttcrt'histoire de!! textes, nnuorefMson!! de
ccnfnn'n'e cette histoire aw<'e))et)c!) faits. Kn{Mtrn<'t))!e)'.f)ut'ne <)))<
suit lu date de t~ rf'din.-tiutt ()n Levitiqne et du /'t'<'x/<')'f-f)t/< en )jet)era).
i'iiftc dit texte M'est pHs. Mioo nnus. tto-esMireotent t'tKe <)u rite; les
<)'')it!)d))rituetM'nt)tj'e))t-(''treet(!.ti.es')Met<trdivt't«ent.)n.')i!tii!e!:is'
taieot avant d'être eMre)!)stret. Ainsi nouit avons pu éviter de puxer. «
propns de e)m<)t)erite. ta (jUMtioa de savoir s ii appartenait fut ))!<nAut)
rituel aneit'n. Sur la fra~itite d'un écriai)) th'txhro des cunetusi~ns de
t'ertde critifjue. Y. iiaievy, /<)-)'<A<j<7~M< 1898, p. 1 sq.)., 97 !)f;f).,
t9ï ~).,M') s.)tj..tX!)i').)st).j.–Sur iemt'riti.-e hébreu voir ie.st.u-
)).tt)')tKnTKTM.MA)«.–t:~A)')t).)!)ttm:K
37
<'t)''attei))),eutre
1.°"autres
iitpt-rsouuonot'ate~ui fait les frais
deiacMr''m(}uiu.Lcti<)<'iu<tuiH(uurni)H\'tcU)ne,ob)etdeta
t'()us(''cratit)u,u'estpas.aiauudf)'upL')'atiu)t,cf(tu'i)etaitau
t'oonocucpntcttt. H a a<'f{uisunc:truct('rc)'eiitfiGUx qu'il
n'avitH pas, ou H s'est débarrasse d'un fiu'acteru (tffavorabie
'tout iK'taitaft!i~ii s'est ~~yuuun~tat de {;racctiuit est
""rtid'uuftat de pfcitf.Oaus un cas conone dans t'outre,
i)estrpU~ieuse)m'nttt':msft)rnt('
~~<M<wW~((~
/f.< </« .««-<(-<' <))< <-K .M~t't h'~ <i'f.< CMsujet est tantôt un
individu~ et tantôt une cuiiectivitc' fa tniiie.ctao, tribu,
nation, sociutf secrète. Quand c'est une coitectivttc. il arrive
)[ue le groupe rempiit coiicctivoneut l'office de sacriftaut,
c'est-a-dirc assiste eu corps au sacrifice mais parfois aussi,
0) <)!)<)!!)h~i<t))tt~u<)rtu.titrt'detn'u!"n'A't/m/' t!t<'rifi<*f)uch)m'-
f~i!t))~ut't')utt's:)f!m)))i<Q)MM')i)n''<t~m'p!tt'tit'itt!mt'tt))t<t<t))'~t<
!)')f.'uniU''<'t!!)(f<'mu)<'ft'ctt<')t~'rni''r<mii!t'mtau.<~fM'is!M'tit!<'e!
t'nr<)h'ntryt't!ti))!tct)t'ts.
(~ St'tuttt-~m'tm't )<;prin'')'(KM;;
==cxihtrf)Hf) df'vnitfaire)< fmisfh)
M)'ri<t''cdt'<t''<. fournir)<ti))!ttiutM<-t fit vit'ti)n<H!!<-r)).X(.)7:
)t(:hr~)).XXX).:<. :1.
f:))\'f'irpt))!<)"it).)'.h)t.
fi)\))))t!<hmt.j'.t')t.n.X~H!t'i)t'r"U!!))m'ti<;u)it'r''m<*ntiM)ta<'rifi<'c)!
ft')!'))r')Mur)').))trt'c<t'))n)H'')').'tn<)a)n<ti<~)t:TrutubttU.y/<</«)~/
C'W<'ttOfM/,)).).j.
n.))r)'nn'K'rM.M\r'-s.–K<s.\).n).K~c.)))t')).H ?<
0) Sur)'ft))itmt-c
par )c Mn~et ta f!«;on<)"ntd)c n ('()'raUttt-Mc au «t-
'-fith-c. lt.
c'ritl" Siiiitli./<{t-<fM<)t.'ct.
X.~nith. 1.'(,,,(,"elll..ll.'cl.
tX.
IX.I)).<
l. 1:.Trumhull,M
T
Trmtthutt, iie
<-M<Mf/(-un.
llloüel
cuit.
ffTM/.
(2)Sur)n r.'txerMti'm'tt-)a chevetMrc. V.t.. A.WUktn.MM<tn)/)/~)''<t''r.
n~. /;th-r.)?(': )t..b.ftnith.t7. p. 324~,). cf. s. ))art)at)d.r/.<<<-«d
"<'rwM,v<)).)).2t:
4U ).'A\;<M:~U'!).)'):M'S
est le même dans tous les cas il n'y a donc pas de raison
objective pour les distinguer. Ainsi, la ~«t/«< ttebraïque est
uue obtation de farine et de gâteaux';ettef)cco)npa~t)e cer-
tains sacrifices. Or, ette est si bien un sacrince nu même titre
qu'eux ')ue le Levitiquene t'en distingue pf)s~.Les tn~mesrites
y sont observes. Une portion eu est détruite sur le feu de
Faute); te reste est manjfe totalement ot) en partie par les
prêtre! En Urece', certains dieux n'admettaient sur teur
autetquedes ubtations végétâtes'; it y a donc eu des rites
sacriticiets (jtti ne comportaient pas d'obtations animâtes.
On peut en dire autant des libations de tait, de vin ou d'autre
liquider Kttes sontsujettcs en (irece'' aux mêmes distinctions
que les sacrifices~; if arrive même qu'ettes en tiennent ticu\
L'identité de ces dinerentes opérations a été si bien sentie
par tes Hindous que les objets offertsdans ces différents cas
ont été eux-mêmes identifies, tts sont touse~atonent consi-
dères comme vivants et traites connue têts. Ainsi, nu moment.
où, dans un sacrifice suffisamment soteuuet, on concasse tes
grains, on tes supptie de ne pas se venger sur le sacrifiant du
mat qu'on leur fait. Lorsqu'on dépose les gâteaux sur tes tes-
sons pour les cuire, on tes prie de ne pas se briser"; lorsqu'on
<<. )).t f~j.; V). !Kj.).: )X. i !).).: X. )~s.).).; /<. XXttt.)!i;
XX.\)V.ï~: Au~')!)V. – ).aK<«tHt) n'"f)'tit tt'Hcutfttt)'<'niccde t"ut
<m))'c .t.'x'riticf
'jttf.-/.<'< )) «neH«'M/<J t.'m'!t~titeni t;t«'<*t)!<rftnpttu'e
Mttt'f.M c[ put-h')ctt~ux'nottt. )) csi «'uvcntpar)*'<h'm«'A~(jans)f
!!cn!!;<-<h-rtt) de siu-rifirc(ex. t. )t. XV)H.a', etc.). tMVt'Metitt-nt. d<mt
)'in)!t'ri))tH't<~f Mftr.<eit!c))- <)f:
ot~t :f'/M/< )-[ n[)[))i'(uc connttcceht)'te
<M;Mt~ .ta rlcxultltttirms
ttesot'tttU.'n!!\Met~)<<
eigil;(Im (:.
t:. ).
i. S.
s. tt)5.).
IU:r, I. ).
I. 1
l't2! tt;i; Cf,
Cf. ir(. lüi,
)07,I.
).
))et «'.
). )).
(:i).\wt"))h.f't'tf. <i!)'st))).–tc)~et. ~«'CncrAMe/tfM A'«~<Mff</f<-</<N.
m<'< <-dit.,j'. xa S))').
t'~rph. .)<?<)). Si'. – ))! ).;t..rt..\t)t. ):<'Ueh-s;.– Stcnffc).
<t..jL''j. –)')inc. M..XV))),7.– !:ch..L)'crf..)).4X.
)t<~)'. '-mit)).7f< .<-)«..p. MO!')i-ttiv.voitt)«''otM dona)t': tibft
U"n'i')c vinet<)'hui)t' <)('.<
ritu<')!! de:!
s<-)oiU~"<'sc.)ui\'<ttent!t 'tu Mni!des
vi''thm'sani)u"tM.
()')K.Henttmnti,ï'f<t«h~t<<')-<x't ?')<)<')-.t')'t'):r.d.K){t. 'vm))..x. ).<'tjMi)<.
)f! – Fritze,/<<' ~'<"<<tH;x'rf'MM< f.'t-nfmf-MM, Uifiscrt.,W-i.
Bcrt.
n) -;Y~t/x <-(;jL:x:!L-Y.~t<*t))t<'). p. M, et Ut. – t-'ftUK'r. Y'ff«<a'
<t«M,t.U), p. ?<!<:).
(XjSk'n);)').<& p. itft.– Cne)it)nti<m d'cno-dc-vx' <tr<'tHj')<n'f
<)))t')f)M-
fttii!,da«! tes tt<!n)n'))nf-tuc~,(t'tUtcicus M<-ria<'C!t. Kx.it) «KhtnMtn).
.Vf<M<f<'<)M;-r/<f<t <'<.ir
Ct'Mftet'<:H<))). p. ;tit. Cf. Suftwi, ~«w/)/<'<'
tv<'ir(:<~)<[)te rendu', ù.
('~ Vt'irlestexte!!<'iR'j'or t)ijk-))f. )'. < p.t: i3.
)t. ))[-ttt:)tTt:t-M. )tU;«.–H~<.t)<m).):SU:ttn'«:t: H
ft) V. Max Mii)).')-. /M-/tr. < /M.t. '< fX. p. t.XH). – AW.
rr. ~). 1. )~. t;i et ''ottttu. ')<*~tahM)). tf<HtMm.urt"ut u 0. ''f. A'M//M~H
<)<).V'ftt". ï. )'<<'<'< .M. ''t M' H't. )t~ht)int:k in.s'M~v~.
f'/of.t/o. )). ~'t, ~i!i. C<-tt<t')!f!i:!iti<)th')) n'ett. 'ionhk'-t-i). att<:ttfe()tw ))tr
.t<'s)mt"t'ih-i "s' r'-<'ent<t!tn'i)<')w les tuttre:: fcttt~ntt'ntifnt «ox ))h)!!
n"ri<'tf! tvxt< ~fais <-tt fllit, L'Ht-~c tr-mv biftt ()'!)))'<)-')dxxs )M f«)k-
ti<~n!!Htm-xi'jm's ')m<iitttm!:m.'ttt'tt-s fornntte~n-jitttit'rc!! '(/ )< f<!rn)u)t'!t
<)<-trite-! f.t.'tttt'ttir!) ~A'"m'w/ t~f.-nHU~'s ~c!! fitMt.-xjtintnit-M
./«'ff't'<.t'/M;f;. KHt'< tr~n't'd'ttttjt'!) )it'thn!UM< fjui fpnrexetttjttctt'
7<tf/ M' r.'nsfx'rt-nt 'te trt'.< h~c'! !!<ti"nt ii~it aux f\piatin))s. suit
n'xv't'nx jwrti'<K'rs. pt att.'i sth-ritic'~ ))(:cc!ni''C! Kotintcs.jtfttrus dii!-
(it)!«'t)t ~'Mt'tfutttt'nt )t's rit''s ''n <))';t""t'! 'nf'MH<. «t)t)~att!iM! 6t jt)--
ri"di')'n'<. '-)) f(n')')t!ttifs ~'MM).</f'M;t. u.-ea!!iut)tn.)s <Mn<Mt'<<') <-tcx))i"-
t..ir<"t ttt)-'f'<W~))' <;M ))iYi"i"M !nt 'nnufs nxsiti bien du ritoe)
~«' CM/M/ oy
i!<))).-t<n)')')«p du rituct d.<)t'stif)ttt' <V."))tt-n))rr);Sf«-<
//«' <A'~M'in S. )!. K. XXX. ;). N" f:cs tcxtM ff'otictmext )tU!i!i des
pnM't~'s c~n''<'t't)an( te!: rites t'uratif* <MAn~f«) ))!'m))t')c!i & feux <)'«*
u.'us fait ~'MMitft- le K.-uh'U:a sf~nt (Ad)t. ))). ')it. tO~'tnf. )X!'t);. ))f
t.'Of surtc ~M<-ics s'n'riti'-t's ~nt t'icn <t~. ')<-)')'' )'r")'-i)'c. r~par))! suivant
)'ctt<' dh'isi")). 'T'i n'f'st dt'veHUCn~nicienk' ')uc phi! t.'tM.
)).)t)'HH)tTK)' M.t)\)'<.–K".At'-rtt).t:t:)U)'t(:t: M
~)~.XXfX.t'.V)t).
(~t't'.Xt).)!.
(:i)~t-.X)\Ara).pr.~t('r/.<XfV.'),.it-t'.r.xXf\
<t.Lesotct-ith'f!~ret-ssujaiMent'iiviitfraise)!fncitfuxfoteu Mcriticc!!
''<m))omm'[!t et etts(u't-iti<-c!! saeri)i''e!t
cxpiMtuirM. auxdicMXiaferuauxet
!)!t'-n)it-c<!tux<ti<'MX<)ttric):))!t)nt<')MM"!dt'<'<-(t<-f.t.;t)))')un!(f'<'xt'eHent
nt.'uuie) ')); St'-Ujfct.
/'«' '/t-t'm7tMc/«'«
AM~MK<~f<«7Mjf< Cette<')«i!i)ira-
)i"tt)t\'xtJustefjM't'nuppareoct'.
(&t\Yn.t;;tX.<:tf.
('.)/.t'f.X,)'i.
~f~f.XUn.n').: Xt.)!). Cf. purificMtiutt
~u )~)Mux.fy.
X)V,?.
".H<'hmtTHTM.MU'ss.–t:<A)<t'Hf.H-t()ncH 47
ooction
~tiou de
de saon
saon toute
toute sonbtahte
soabtuhte est
est faite
faite surAaron
surAttron et
et ses
ses (i)s'.
(t)s'.
Ces exemptes montrent quette atttnitÈ présentent des prati-
!es exenm)f's mnntff'nt <t«nn~ MmttitA .A~t~t
t.E8Cnf!ME))L'S.\C)t))-')CK
e
//<'M~'fC
Nous ne pouvons évidetnment songer à dessiner ici un
scheme abstrait du sucrince qui soit assez
complet pour
convenir à tous les cas connus la variété des faits est
trop
grande. Tout ce qu'il est possible de faire, c'est d'étudier des
formes déterminées de sacrifice, assex
complexes pour que
tous les moments importants du drame soient
y réunis, et
assez bien connues pour qu'une analyse
précise en puisse être
faite. Le sacrifice qui nous parait le mieux
répondre a cette
condition est le sacrifice animal hindou védique. Nous n'en
connaissons pas. en cnct, dont le détail soit mieux
explique.
Tous les persounages sont très nettement
présentés, au mo-
ment de leur introduction et de leur sortie aussi bieu
que
dans le cours de l'action. De plus, c'est un rite
amorphe; il
n'est pas orienté dans un sens déterminé, mais il
peut servir
aux tins les plus diverses. M n'en est donc
pas qui se prête
mieux à la recherche que nous voulons
entreprendre. C'est
pourquoi uous en ferons la hase de notre étude, sauf il grou-
perautourdecetteanalysed'autresfaits.empruntéssoitàl'tnde
elle.tnemesoit à d'autres religions.
Le sacrifice est un acte religieux qui ne
peut s'accomplir
que dans un milieu religieux et par l'intermédiaire d'agents
essentiellement religieux. Or, en gênera), avant la cérémonie,
ni le sacrifiant, ni le sacrificateur, ni le lieu, ni les instru.
Ui t'.< xxtx,su.
4M ).'AXXKt;Ht).Ut:)'~K.)!<t'S
)~).itK-i))t'')'')'n)rt''ett:tni!<t.'st)!'t'itit'eMtc~n!!t:tntd!)ns)critt!t'
n<'st!'<')))ar')u:d'<tt''utrx)))'imt;d~t).'tk'n')'i)it't'dn."<m<t<mtt~t<tvun~
)n/<ni'<fft'/<t'.k's:'t'ri)i~'tr('ntr('c.r'')'nd~nt<'X!tt'te))!ntHrM~H-
t)f'M''rif!t'dt"t.!t-ti<<f/3. 3.'):(.).).–Cf..f~.Or. 4.
~.)t'U.–f.7'7/ti.i.&).4.–t:)'rak-mt'nt<)('!tit)tj))fsrit~.<
c"<)s('rrt)ti~n'Ht't't<'sMt))«'nta)!rt'j)t<r)'t'k'.<)!!M'n)it.'M.~)!ti.<)))«ttv~'yt'M!t
))u'n)-a!tc9('!ts)n))et!h-ri))'-t'pnnri)M)e'it)))~):'t)t'')t'!tMrtti''f!.)'rt'ti-
«tinttir<'<. Ait~i h's /')''t''<'tf/'Mcw. r'~)tain<t «.<*)).t.C. t.tit ~tx'~
M!Kt))mt)nttt)'-mt'))rt'nr.<t..)<;)u.)3)X. Cf. )'nt"n.<M.!)!<-n).
tt)<U!)tt!U)trc'!sat-ri)h'c!tyrurn'[)ut~hift~:)'!th'n.f.:))t.)~.
f~ Sort't '/<<). v. )))'')!<).imioff. ~)hfi «f/ft' )t'<'</«'~<?;'f/fM.~uxt')-
"~<).<')))!. tS*)!.)-;tudk'!iCU)).')H''Mt)t'i!h":)t'))t''t!h!!{it)ttG!C)tt-t-t'ttt-
p!n')'.<:<ttt"ttt"tu''M~.M<t)t-t'.<()u)n7'wt'i'.s'!t)t
daifk'ors t't'<)!)«''ut'tt))!)t')!< sur ta qttestiun.–Ot'tt'nherf. M. <)<-<
p.3')!. !j.))."k).i)<):tns )<('/<< t)h)'i)t'<t'ns''t'ti!!)tt<*Ct'tt)))!U'!)h)(';) it
<'<'nx<)ustt:t)t)ut)ism< n n'.<H:u'he j'a!) dr \a)eur au oytubt')isu)')<'i! fcn'-
ut"tti<t<'t te <'t'))itd<* ')at('r<'t'<'n(< M.U. st'nt)')<:a\'Mr t<<*t)t)ncut Mt«tt
htn)iert'unc<')tM<)t';f'tHt:tn!ti!ttf:j))i)'Hnnn!!chtis!'<'f"rt hx'ttn'nt')-
)i''t''twh)t)utr<–t'un)-)'t'u!!c))<)))fd<sh't'))rnhtM!mh)uc!S.).i.
/'MC/< ;). )ui!-)'J' )'ur )a trndm'ti"ndu m~t<<w). ))0t«nn!)s ran~'th'n-!
;)r"pi))i")<dt'~t.<'h<'r.t'f/'<'y<< (- p.?' ).<tt)ik!t)t'c!!t'))!('
VM~ttoocttt it)di')))t'c ;m «'/ <'<«, et tt'nvttit ))ns a )'))'p. KUc u une ['taec
jtt'fjxnutcnKttc ttnn!! t't le re~h' (te ta mtt'raturp \f<))<)t)t'. ).<*eortt'it dv
''? rit)', d'~iHencs f~rt hit'tt t'xnitcnv. tt~t~ trc~ i!t':u)'t ttiUMtes rituel j'ura-
))i~tt)")ctt'u)(ri')')t's.
(:'tV.i-.t.t~-i,t'p.)~3.
H. Ht'JtHUT ET M. MA~. –. Ks~.U Ht'tt t.H A~UF~K 49
un htitt:UtttW~ht)tt~e~A~!<tt~
lui bâtit une hutte speciato, ~tt'ttttn~n.tt~t..
etroitcment fermue; car le
'~<f« est un dieu et le monde des dieux est sépare de cetui
des itonones'. On le rase, OH lui coupe tcsongtes~, mais a
ht façou des dieux, c'est-à-dire dans un ordre inverse de celui
que suivent habituetiemcnt les hommes". Apres qu'it apriii
un bain purificatoire', ii il revêtun vêtement de tin tout neuf;
indiquant p!)r ta qu'une nonvette existence va commencer
pouriui. fuis, Ain suite de difîcrentes onctions', on !e rc
couvre de lu pM)u do t'ittttiiope noire'. C'est le moment
solennel où le nouvet être s'eveiite en lui. tt est devenu
f't'tus. tt se voite lu tête et on lui fait fermer le poing', car
t'embryou dans ses enveloppes, le poing fermé; on le
tait aller et venir autour du foyer comme le foetus s'agite
dans lu matrice, Il reste dans cet.etat jusque ta grande céré-
monie do l'introduction du soma Aiors, il ouvre les poings,
il se devoite, il est n6 l'existence divine, il est dieu.
Mais sa nature divine une fois proclamée'"fui confère les
droits et lui im pose les devoirs d'un dieu. ou tout au moins
d'un saint, tt ne doit pas avoir de rapports avec les hommes
des castes impures, ni avec les femmes; il ne répond
pasà qui
<)) ). ), ).
M)Ucce rile, n-jmodudan!!h )))n;mrtdt't)rctittion!les texteshin'tf.X!)
(h'nncntune'rt't)c))tci)t)crpt'6ta(i"n;les t-t~-vfux,lesficut-cjjs.fabat-hc.
if!!on}!));! de!;tnaiu!;et (tes [)i<;(ts -tuntht pf~tic toorte iutpufM do
corps. U nles t'oupc))<)))f s): reudrepur. 7'S. )!,t.t,
(3jS. Lev..?.. p. 87, M.7'.&6. l, i. :i. C«~. 3. l, :t.
.tj C'estte rite det'n/MMf/Mw< (~. (.)-«}. X,0. t!i !K)q)<)u(svt))b«)i!tca
la foissa j)m'i(ic<ttit)n(voir)etnantra?'. 1. 1. 1==t' t, n==/t.K
10,n. Met J. t'. H.Kt,!) et sa tMxvettec«n<;cption. Voicila iterif<)<
!ty)t)bu)e< suivantr.f<<. B f. t
). ï. ~j.. Le hain ~itmitieM cont-eptiot). ht
ttMttcest M tnatrice;le v~totx-Mt de
i'atttnio}(,')a[jcau t'antit~jM: nuire
lee))uri"n etc.Lese''o)c<varientd'aiXt-urtt~O-cment sur tes dh-er'!M
!if!"tth'ationsdes ttitTerent!! rites, et xufieurordre.
'!<) :<). X. t).)i. Leomntraest T. 3, 7,7, t. Cf.f. 4. 2 c
et('(f/3, ), i'o.
(C).</). X,t., t) !()<).X.7. 1 s<)<). T. (i.). i.t. etc.
(7j.)/ ;v.~<).X,K.)t. H.Cette)K'tut<i'anti)t')te esttfin))certainitextes
(~t'<.Nt'.~<f~. et C«/.3. t. )'))))e<h:itxembMtK'it de te)))brY")t
<i)eu<)U'e!:t)e(/MM.~Mf!M«. celui <)ms'initie.U'autrottextes,d'eftate'va-
leuri! S.(i. ). 3, ~)disent')u'it ftt~it sitxptetxentde rev<tirle sacrifiant
de la peaude t'anima)ijmhmanhjue. afinde tut faireiM-nut-rirla ouatite
de brahtxane.
(8)Jp. «.. <!)t. X,«, Z.
(9)ip. X,9, 10. r..S. ti,t. 3,3. Cf.Web./M~.<<.X,p. ?8, n. t.
(M) « X, tt, 6 sqq.
1 ..ip. T. & 6, <,-1 4, 3.
E. Um<:))EM.– Anaëc Mciot.. MM.
KO t.<K~CH)U)tih.H'K."M'!
0) .</<.X.)).T s.).).X.t.t~-t".
(2, Sun"< son individu.Uest devenuune utfrattdeauxtiicnx
.t< 0. :i.9. C.i'. li. f' ï, 3. t.;i. .t/ X,tt, C'ett
.-(.'lui <-ttex;)" au ))rA)'!))mtt!t. 0)tM)u) cf '/<t"~fdevienttnntgreil de-
vient pur <m<'<<M. Quandil n'y a )'tM!riettit devientpur.
s!M'riticit')).
t!fM')" est initie,
Outmdlu pettutôt).'))'-les.j! il devientpur. C'etitabMttt.itt't
<(!!tt)t))ti!fre')'utM''ri))c.Ce))Mide!.eiHwmbn"text Menue..·
t.eMcriOatttH. )mrtejcfute. depoMiUe ttutant')ttepossiblesonccrp~ax'rtct.
f"rmeixfmt'rtftte. "n vit cottttxentles pmtiqttea
– ascé-
pourfevt'-tirtme
tiquesuni pfnptaccdans jesystétueduMoiticeHindou.(V.S. Levi,<4.
X3.n. t. Cf.)'. St. t'eve)~pp''e!tde!tceM)')U)Cnt,ptte!tontpudeven!)'.
dan!!ie Hraht)M)tistuc .'timi.jue.dnn!.ie j)uni-!tt)c. dons te bouddhisme.
le tout dt) sacriti'-e.t/iudividu<)nisao-ifiese Mct-itie. t'wexetnpie.le
jcOnei)')nd<i)n.)ue M/<u.'«'~tftcf.rreiipf'nd exMtetnentau )e(nMM~«t-<M«~<c.
de la nuit Mn<«w«/f'du mcn<i'-e ordinaire,ie'jucicorrespnndtUt jeunedu
l, 1.1.7. t.empprurhMuent est de M. i-:tft!eiiuf;<)</
</t~~M(Y. de tm
<«c f. M.t'. Xii. (:r. '4. 1, t, etc. !!))r) ' jeùMe dit:?&.ib.
3, S~tO.t'). UMte'M<. lesvertusdei'<tscetisute!)ont considérées
<)mue 'mssi~ndei) que cettcsduMcrin';e't't. 9.?). 1.1-7,etc.). KouB
(lefairert-mar<)uer t'anaif~iequ'ily a ici avecles pM-
n'avunspa~besoin Le imcntktet ( tu
tinue! oetniti'tMC! ffrecque~ et chrétienne! jeune t~p-
des autres Ces actions
pour est devenuk- utodétc Jeune! judat'tUM.
préparatoires Mutdevenues. m u\et)t. ie tvpedu sacrificedesoi. Las-
ceUïmepréalabledu Mcriutcest, dans bien des cas, devenule sacrifice
entier.
(3)ttiitebr.M-M.t'eM' < p. 3. ). Cf.('«/. M' ?. 7 sf)fj.et pM-
sagescilés, notepré' Cf.~chwat). 7'<'f-o/t/.p. XXii,
n.HrnKhTKTM.~CSS.–HSSAt!')')t).HSA':)U['tCi! 8)
;), U f7t)Wt. XXX, n. Les t.cvitcs sacrifient )a t'f'ujnc puur tes i)))-
pur<. En )'nb~')«.'cdu sfn'rin.'utt )<iMdcu.~n louvait )t<f«n)))irjmt)th)i
''crtains rites essenticts ())i))<'))nu)t)t,.Yf«.Kf)(<t'u«K«)«'ho~/t'r. j<.it(i, n"1).
(i!) XX\m. 3K. –A'uMt. X\'))t. ).2. 3.
j~t)Ces dt'nx caruct~re!) Kt'nt bio) txnrfjm' en ce <jt)ir<jnccrne le bmh-
nmn)'. ))'un<' part i) est tcUetnent )e dOt-~né du sfn't-ifiMMtqu'i) <)cviettt
)f tofdn'e de M vie (\'oy. Syh'. ).t. ~')<;<<'<Mp~«M<t-r<t<f<~t«.t<f.<«nt/t.
MtsttfM.p. t~ D'autre part. il est teHenK'nt le d~fc~u< (les dieux qu'on le
thutc souvent t'utume tel, tofsfju'un t'invite au Mcrifh'e. tt'rs<ju'it recuit
sn part sacerdumie (voy jtius b<t!t p. M. M. '.). Sur le Mm~tre nu Hrah-
Utttne(faits le ritue). voy. \M))er. /<«f/. X. p. tiiM.Cf. ('«<. /< i. ). &
où tes brahtottnes sont appetcs <ti<'uxhuumint.
(4) Culte u'Attiitct de Cybute, vny. t-'r~er, f.oht. M. 1, p. 300. – t'aut.
VU). 13, t. Cf. t-'raMr, /'aM«f)Mt!. t. )V. p. '<; t. V, p. :?). – B~-k. ~f
<<<p('o<'MM c~'fMOMtM <K n«(tt;j' AomfttM </wt<H< f'fee /«Mf/ftH<)<Mt'. (Mer).
i~.
(!)) Paus. VI, 20, i.
f6) PM!). Vt)), )5. 3. (Cutto ()e th'nx-terà t'heneo en ArcmUe). t'otyaett.
VU). X9.
Ylll, ;i9. (Culte
<Cu)teri'allt~nc
d'Athene fU'cHeue).
vl'cll~nei. -Y.– V.5amlcr.lt~~rrriyr·lic
Saotter. «';Mt<w/fF·ühurïtm,rlïe
)~K,f/«'
rffttM «'titoto~tM. )?'?. LVt.p. 3')3,pour le vêtement 'tu prêtre romain.
Pourtant. M)on Macrohe tn. ti. t7, onsncritie lit <<i(evmtce a [~)-« Maxi-
Ma. ne 'juit in n'dc dci habitutn eJM: ituitetur
(7) Cf. Krazer, <;oM. M. t. p. i!86. :)m, :!t3. 3<)tt. 3!0. )t, p. 97. –
noner.Con'. M. < </<-«<.f;<'m«./)));)-. MW), 5.
(X)Au cas ait te brahmane etaU tui-Uf~ue ~rriUa<U.et au cas d'un <!««)'«,
aetaion r)tuo))e. f.;rand saertm'e oit te! pr&trM étaient soumis a la </?«!
est m&tue temps <)ue te sacrifiant, roi ou grand hnuune. – t)afM tous les
autres CM. il n'y a de prescrites pour )e hrahtuauc que de petite)) lustra-
tions se rincer ta bouche, se laver les tnains, etc. Ce rite était toujours
obligatoire quand on avait fait mention de puissances mauvaises (C«M-
M<~M««-~7~f<-«)/<if<10, 9 A<)/ !t'. ~t!. t, iu, H).
S4 L'AXX~K.<m:)ot.OtifQ(.'K.))!tt
(t)M'.XYt.
t~/t.
(3)?'f<<M.J.ruMta(S<;hwf)b.p.ttit).At'"c''f)!!)<)nt)uKipj).)ur,<)nt'e))'
furont ta ~urctOMco'dot! et un en ftrt'h'ni) t'isutt'ntent nbst~iu.
(t) t'cndunt ces sept jours le «Mn't t'f''tr'* ftit le service en t!mn<ico!-
tûtuepuntiOca),lequelavait, un le Mut.des vertu!!partit:u)icre<.t'.r. XXVttt.
(à)La cellule de Ueth-Ab'tino!).
(ti) ?. U..UMtHt!. La ~<'M)f;<'N(a(). )o)' donne plusieurs expth-nticn!'
de ce rite incotopris. L'une d'<')tc!<
xeMbtcindiquer ce qui a pu en ('tre le
vrai tem les vieillards pteureut parce <)u'i)ssont forcés d'abondouner,
MMtisute, te pontife dont )<tvie est a ta fois si précieuse et si fmgite.
~) Pour cettt, ou bien il fait tui-nx~ue de )'ex<o bibtifjuc, (m il
écuuledes ductettr!), ou un lui Ht des pKMftj:es bib)if)m' La prcscrtptioM
de s'occuperpendant ln veille du Mt-ri)iccde rhuscs iitu'rees.d'en parler,
<;[de ne pude)' que d'elles est aussi tme pre~'ription du sacrifice ))ind"u;
'Mt encureunepreifcripth'n sabbtttxjue,enf:ëncra) de!' h'-tesdans la ptu-
part des ritue)!)o'nnu~. ).€.<vigiles chrétiennes, dab"rd speciatonent
pMcateit.put! muttiptieet, sont pon-t'tre t'hnitatiun des doctes entretiens
du sair do tapette juive.
(8) ))ct pertes séminales, <e))eesl t'exptication, jtAtc mais partielle.
'p'e donne notre texte. En etfet. it faut se rnppftur tjuo le sonnno) est
ttùft({encratementcoMidurecommeun ctut d(mxereMxCMt'&iMe Mt aton
mfbite. hors du corps, et peut n'y pas rentrer. Cr la mort du grand prêtre
serait uncMiatnite. On la prévient en )'obtij{eantaveit)er. ).eMm)nci)
est de )))~tMeun état dangereux pour le dtk~ita hindou qui dort a l'abri
d'Agni, uupre!!du feu, dans une position spéciale (cf. r..s'. 6, 1,4, 5. G).
M t.XHHS()C)U).U!.)'JH:.)<!U8
expiatoire aunuetterepondaientacet~esuin~.
Chez les Hindous, il n'y avait pas d'itempte. Chacun
pat' friction, afin <tu'it soit entièt'emfnt neuf. Uaus ces con-
ditions, i) a une vertu jna~ique qui t'earte les toauvais renies,
les ma!eiices et les démons. Le feu ext tueur de donons Ce
n'est même pas assci! dire .il est dieu, il est Asni sous
su forme compiete De tnOnG, d'après certaines légendes
bibliques egaietnent, le feu du sao'itice n'est autre que ta
'Ut'<XX)X.M.–(:f.f'or))h.f/«').<-t'SHrta))<'r)«-tuH'-
du feud'' t'u)tt<-).et ta fitcon duot )a destinée <t')smi') est tit-e :t '-eXc du
't\')Uj))<uy.surt"t't ~<«.W,)X.27. YH). ti.): X),3) ut<(:M-ics)d<;Yem)
uu thetw M~endaire de )K titteraturc Jtttvc.
XXX, tu. /i'A. X).V. ) t.i.
«)Pot)rYU<ju'i)ffdt)n)j)i)-eetd''t')!))'<n'ri<h-ic)'<f~M<«ip!))')t'
MrHhn)ttn''s.
It) 5ur l'i·lnlilissruneul rles fenx. 11iI1eLr.flil. l.ilh·.
(t)S[)frct.t)d)'!)'-))K-)))dt.feHx.Y.ni)tc)'r.H'7.<<i:K.'uii- :its.-lCvuli-
)<s)ti.).<;stt'"«f's!)t-t't"!tt)tttix-Vcd't(<h'r.f/7.f/f.<«<XX.
j). )&) sq'). ne tr.'ut'' 'jue de ht rcpnt'titiua de!t feux – Wctx'r /«'/ IX,
p.!t6.-Hj;«dC<<t.S.M.K.Xn.~n'!f)fj'.
(&) Lt'i'tt<ttti'')'pa a~Ct- )ps))))e))e!s et sur )M~uc!)esi)eatanutnc, prépara,
(tMm)))M)'trM)t''))'re!!p(!n<ieuttoutf'st't un mythe r~rtintj~'r~mt,
). ), 3 et &. ''f. M. ). 4). Ce sont dfs t')u'sM dtms tMfnteth's parait
ft'~Kkr <)Mc)))nechose d'igné de pttrtit'uticn')t)ent vivant. TeUement
vivants ut~tue.qxe ta )<*j{eMdKVciten'<'rt')it)t"!d'entr''ct)cs)fsf~r)))ca )<)')-
tnitivea du tnonde. Cetto c~'ation du feu synd'utm' iatcn'<ttMtt dMmonde.
?) Le ft'K''f(t toujours frft'par Motion :)<'r!! de )ft))"i:iti~nd<ft:u\.
t"r< du 6a<:riU''eatuumi. iuri! du sacrifice du !m<t Y. Sctmtth, Tht'ft'a~.
n, p. 7? !M)q. Wetter. /M~7. ). t'H. n. 3. A. Ku))n. ~<-<MM«<t/7</<-<
~*<'M<'t'<tM<«/ ~<< (H~Ct'f«t~'<, p. 70 au~. Autour de rcttc )'r''at!on d« fpu-
dit-u,t<tBm)Huaneeunt.d<)tt').))f\'cda.t))t'i<'d<)cu)t'ptinnspantt));i!
ti!)ttC!t.(~trteu) te feu du !!ft''ritit'e (".t cx<'e)i''nt. seu) il e-it i'A~ni compipt.
''unticnt tei' troi:: curp<! d'Aboi «<mCM~nrt'terrestre te feu dutttestifjuc).
attnosptx'rique ;ef)nir. c<i)e"te (sotcttj. il cuntit-ut tout ce tju ii y a d'animé.
ue)'hMd,d')({nf'uM)t!ttc)t)0))de.']'.H.),2.t,3.t;.
(7~C'est «tente )'Mne des epithetcs les plus nncienttC! d'Agni. V. Bergaignc,
~t<.t),p.2H.
<)()V<)y.Mte6.
? t.<)!K')tit()f.)~'t't<M'!t
!t) M'. X. 2. ./«'/< Vf, t). «)').. sa'-rificedp t.cde'jn; XiH. )'.)sqq.
Manoiti):1 it. XViii. :tt. Hiie. ) (.'Aw. XX), ÏO etc. La préparation
des feux tient une grande pluce dans les autres rituels. Sur lu nécessite
d'un feu pur, cf. /.<< X, t sur le renuuveiiemeut des feux au
Mexique Suhagun. t/M/urMf/f las fMM (le A'et'aA'.<pf<Kf< Il, p. i8.
Chtn'ero,.Mf.t.<co<WM<t~<<t't,). p. T!; –aLetnno!! Phi)n<tratc.
//f<wca. XIX, tt; /<. f<'<'<?-«. X\'))). K! et 9; en Mande, Mcr-
trand, M<t'o« (/M (;«M~M.p. )OC. Cf. t'MMf. Co/</M~M/.t/t,n, p. M.
p. Mt. t't'a~'r, ~«tMM;<M. t. )t. p. 3M;t. V, p. M). – )<p)ij{.)nd)'-
HumpcMnM, Knaue)'in~'f4f'KM<UM/t,p. M.
(2) Elle devient te '/crf<y<<N lu place du Morince aux dieux. )t
faut voir dan!!)MBrahttmt)))!. les epecufationsmystiques sur ce point.).
f/<'t''<yM/n/tH est te M'uiterrain ferme de ta terre. Cette-ri n'est <nen)c
là que pour servir de lieu de snerificeaux dieux. Cette place est encore
le p'dnt d'appui des dieux, leur citadelle, c'est de lit que, prenant leur
était (<<<'f'<M~HM), ils sont montes au ciei. C'est encore ie centre du riei
et de lu terre. le numbrit de tu terre. Quelques folles <)Ufparaissent
de telles expressiuns. rappetons-nou!:que pour les Juifs le templeétait le
centre dela terre; de mêmepour les Motnatns.Konc; et sur les cartes du
tuoyen .tge Jerus'uefn était ic nombrit du monde. Ces idées ne sont pas
si loin de nous. Le centre religieux de i.'(vie cotncide avec le centre du
monde.
'3) Le nom est mOne dev'nu cetui des cioitres bouddhiques. – Xousne
pmn'"ns suivre ni le detaii. ni l'ordre rigoureux dos rites du sacrifice
animai hindou. Ainsiia cérémoniede i'aitumagedu feu est proclamée par
une école au moi))!)<Kat. \'t, 3, 29) indissoluble des cérémoniesu'intro-
duction de lu victime.
(4) Voirdes pians du terrain dans ttiiieb..Y. t'. 0. p. tM etE~ef.
S. H. f. XXiit. fin.
(S)Hiieest exactement mesurée, et prend les formes les plus diverses
selon les sacritices (V.t)iiic))..Y. 0. p. 47 sqq., p. tTU.sqq.; Sdtwab.
?'/«'?< p. 13 sqtf. Thibaut, &!M<<Hj/<MM CM~<tpa<'<M<)~a <rt)~ in
Pandit, ih'nares. IX. )?!'). t)an!fte cas de notre sacrificeanimai, it ya deux
vcdi, une qui est ai peu près la vedi ordinaire que nous décrivons dans
le texte, et ixMtrequi estw~ft-ef (voy. Sehwab.p. H. ï)). suriaquetie
est un feu, qui est J'un des feux du sacrifice(~;): Ytt. 7. 3. V. St-itwat)
p. 37). Toutes proportinnsgardées elles se construisent ou se creusent
de la meute façon.
)).)))'MHnTKTM.M.U.<s.–E~fS)-)tt.HSA(:Htt'«:K M
il, ï*S. l, ), t. ') Les tuantriM fxprifnent ')~' les tuauvai! surt.t
itont ecartex, tjuc les dieux pr"tf'f:ent de tous côte) )a \-t'<ti.CeHt 'lui
act-otnpajwnt )'(')<vutmnde t'«ft«~)t'f<<<exprntK'nt plutôt ttt seconde
idée (! ). 2. )2. surtùu) ceux qui accutnpa~nentht hti'tmUonde
t'aukt construit.
[~ Bt< le <tf/rffA<,les dieux portent t'('pith<C tMrhimdasceux ')"i
asseoient sur la jt'ach~cdus!n'ritt''c. <y. (iraitMtmnn.~W.t'tver-
t'MM)). Cf. ~t. t'. H, :i, t; V. H), )ï! V). i. )U. ctt-.
Vuy. Sehwnb.o/). t-tf-, )'. t), 4~ it'otdixttire )Mw~MUM M~rt!'
d'utt temptc ne duh'ent pas f<c)'tit'df t'c te);)?)' Ainsi, a Jcrt~atcM),les
couteaux étaient cnfermés d'ms une cellule !t[)t'citu<ceUedc!<~a<)/'u</<.
V~y.ohf).<'OMt-c«.i. ';<). Schwab.Vt.p.S)..Mt'fM~, )V. '<!ou.;
t'ema. HI, <). – Certains Mt'rincct t'xigfnt une Mi!<M<)o spéciale et
neuve. Ainsi le mt'ritk'c dutuesti~ue dp la )'&f)ne de tx'~toeen (irefe.
\-ny. Patun, CM,3<,Ki 3U,'i. <:f. t'raxer. 'M. Il., t. 11. p. tOT.
(t) Yoy. St-hwab,p. 4t. pour Fenutneration de ces imtrutHent!</<.
c' ~)). \'U. 8. l'our la purif!catioMvny. Schwab, n° ?.
(&; jv. if!. VU.M. JI est phtntt'dt' telle faentt (jtt'ttnetnuitit'cnmit
dans la thnite de lit ''<'< une autre tuoitu' en dehors.
(6) Unrecherche t'arhred'ef'cnee deter)))in''f .r.C,3.ï. t.t'.tt).
\')t. t. tC.U. Voy. St-hwab.p. 2 sqf)). On t'adure <-t
l e prcpitit (.<;).(' <t).
\'U, 2, <), on t'oint "t) le t-Mtneaver precauto'n!: onuftit et un incante
ta souche. Toute!)t't'r<ntonies<jtd tnarquent bien, fottttxel'u vu M. M-
denb., un cas d'anciencnttfde )tt\ettctatx'n. ~tft.'t. t'f<<.j). '!50), M.Md.
rapproche encore (p. 90)ce poteau, d'tme )mrt doitpoteaM ftacrit)fie)!< en
général, et en partirulier <h' t'«):/)f)'nscnnti~tte. ptunMe, elle aussi, sur
)'ant<-)(Voy. Rob. Snnth, ~f<. o/S<'m., p. 187,tt" ).. – LMdeux rappr*)-
chementi)!)untest partie fondeit.
)7) (v.jtt}. Y)). M.) s')'), four le xensdu rite (T. S. 6,3. t. 2.3).
Le rite tout entier est certainement' ancien, fendant qu'on oint te ~)a
(M ).X)!H-'h;tu).Mi~')'H.)MM
ct ~ju'un )')'t)f.!uc~ et le dn"!t< '-f sunt ')' matdfo!) <h) )'<<« tjtt'ut) rM-
t')t)')i!j~n'ti<f'«).:t.).x.–Lt'~u<t)tr!t<suMtt).'t[t!)t'ordfe!!Ui-
V!mt:).~i,iit.ti.H),8.):).2.?'.t'Hynft)f&)<rifm''its«tti)yat)!u.
s~)ri!t~t''<s!n'ri<!M's''tp<t)<!('!trs))utf:tu.))).i<.<)).).f'j)!~)t)(.'ritnc)
l'sI Irrr·sr·ril..lit.
c~t
t'iit jtft'St'riL .t< Ifn.
pr.'s.'ril..Iit, /1,
Mr.G.1;, :l,
U. 2, 1t~.
t!. j, J3.
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~t, yui .IIIIIU'lIll' Iv·x
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Cet
Cet
hytuttf ''xpritm' <)t'j:[t' dht'rsf!) fum'U~tx <)u .K<. 'jui tue h' <)<'ti)t'n'
)'rot'');t' )''< )t"ttUfh" !.yttt))~)isf fit vie. ;~rtt* t'otrr:)))))).'!mx (ticux, t'-taie )<*
cK't<t)!tt''[-rc. Cf.),:), i.t.ï.
(t) Le !U't'i)Mntrt'st';)uta<t!t'!i. ut) <'ert!tintt')))j)!)Mmnt te'/<)/)< (.
rli
r<7.)).&.S~'h)n''<'r[.'uu).!«ttrm.)!)fc)nuK'et)'ufficiantyr<'st<'nt
aussi. ).a (f!tditi"n dt'x Apastatubit)'' p.iraH )iK-!))<U)'c~. Kn tuu! t'ait c'est te
!<:n'riti'n't 'lui t'~rt": ')<;x"tn'thtus. ft pusse sn notiM tout te ton;: i
du poteau. Tfu~ t'us t-itfs out jh)ur but d'identifier le sth'rifiMt au poteau,*
<:ta)M\'t!'titu'' d"nt un iuifftitpfen'tre pendant uncertiin temps ta
piare.
(~.tf'<< t.t;t'f.('M/fr.).'i. 2. t.t-tc.
~,ï'S.(!t.t.:t.t.-Cf.r.S.(;).4,7:M.3.7.t.Z.S. ·
(t))tat!ttiuncdusacriUanttjU(tnd''t't<)i-cie!!tMit!it)runch)tr.tù!t
debf)Ut.'t)MbrM)tY~(7'<.K,t.t..t';<<).Y)t.i!,tt!()q.)
(a)ï's'i.:t.t.<. i. “
Xous .'inpjx'soNs <pte ''e <)ui e<t VM) de )') <'< et du .<. t'est, en
Kenera). df:! autct!t, hctyteit. et pierre!! tevees sur tesquettex ot) au pied
destjuettes on sacri)ic. t.autet est tf «~ne de t'attiance des tx'tutne' et
des dieux. t)'un bunt a l'autre du sacrifiée le profane s'unit au Uivin.
(7) De ia ia prière dite au eomniencenteat de tout sacrifice, par le sacri-
tiant puisse-je m'f'gaier n ce rite ('. M. t) t. ). T. Ue ta surtout i<t Uieta-
Il. Ht'MHKT KT M. M.\r' – K-!<A) !!)')t ).K "At:M)rh:K m
phnr.. t-tjur.tntv d'ms )'"< t~xt<"t tan'imt'! ')ui cm)))):)r~ K' Mcri))~. :< une
t"ite <)m' t'en tis«' et !)m- t'~tt tt'nd. Il. t'. A'. )? Mcr~tiiiae L't [tfnry.
.)t)X'(/)u«)'f<M(fi<')' <<'."<))(.<cn<)v<f./Ht', j). i'R. M. S.Lt'~i. ~ut'ff.. p. 79,
p.fO.n. ).
(t) S. ).(' ;t. N!t<)'j. Toutf faute ritt)e))c est uno roM/xo'e '):)nt )a t"i)c
th) sfn-riticc. t'ar t'ptte ctm()ur<' tes f~rf' m!t);i<)U<;a s'cch'tpjK'nt ).-tfont
mourir. <m <dt'ot<-nt.ou ruinent Mn'rHumt. – Soux u'n\uns jm~ t~"t"m
de rapjictt'r Ics cas f)u))K)tx r;M'«nt<s par )a Oihtt'. d'ht'n'xh.'s ritucUM to'fi-
hkmcMt punie! les <!)!<d'Ht-ti. lit tcprt.' du mi o~a! ftc. – '<it qu'en
t:<t''m). Hc!it tjan~~f'ux de mimit't' tf~ <')h's sa~'rM"! )"<r t'xf)«;))~. il
faut av'ir x'd)). dan'i )'tt)dt- Yt'di~uc. ~uc )< sfn-ritiant <? tuorhe ))M la vc'ti
< f. t. ). dt' n'; h'u''ht'r ~'r~~on'* fm.v k' sat'rc <t<*hoit fna-
gJ!ju' etc.
Les cxpiatiutM t'itut't)c!t nnt )n't''t'i.«'-ttx't)tpum' but d'im'tfr h-!t ctr<')i
(les faMtos tjui f~'nt <t!))ni!!L's )m ')ur!! du rite \y. ptu!) ha)))). Cf
St'rv. <'<<~tm )V, 0' K/ Ac<«'/Mf .< '/«"/ cx't'tMMHtfs'MOM/'tft'r)'~f~-
f/~Mx'~f. – Arnub. )\ H).– Ci)-. <
.'<'<')'«/«<«. /«Kc<~KM /««'.t'<). xt,
X). – ))<*tn~tnc, le fruntat du f:)Hth)-j)r~trL'a Jcrusfth'm expiait ttmtt'ii
tpt fautt's t~ft's r.mmosMau t-trit <ht rite. A' XXVU). 38. Cf. rf~Mt.
J. ~OM<«U. t .Schwftt), )). t'!t~).
3! )''i «oMit a\'nns nn curieux paraUcie A etabjiravct' les tM~ricit du
ritoc) judiuq'x'. Cn o~m'~u ct'ttsfx'n' fu) M''rifi<-c pa:)'!)) ne pouvait ctre
chatte. (!<tt..UM<'A)f). /'<wtt7<ttx. )X.'') de )u<ht)cune bote désignéc pouf
(m Mt'riHte doit être sacritK'e. tuetttc ti ta n<;r!'<~MK <m'nrt p~ur ~ui k mori.
lire devait ûtre fait. (ib. M«.w/tf//)«), ) .t'M). fin. ScinMi). V), p. iMi)).pt.ur
)a «)<'«)<fai~n on faxait pt~iier dfvant le t!fa))d-pn'')rc, ia veille du Kip.
pour. toutt's les ))<!tcs '(U'i) dt'vait ('{{"fuer le tcMdcmain. atin qu'i) ue fil
pa~de confusion entre les diverses vicUme!f.
4) <'n sait que l'attitude urdinairetnent ret'onnuondcc est te titence.
\oy. pht< tfdn. p. 6'). f:f. Marq.«~. < V), p. 178.
<&)Y. 8. t.evi. <)ec~p. <t2 «fjf).
ti2 f.t-)~t'n.)~)'H.)"'M
/.«<'f'Mff.
Nous disions tout à i'hem-e que la construction de i'aute),
dans le rite hindou, consiste it décrire sur le su) un eo'cie
magique. Kureaiite, toutes tes opérations <Htenous venons de
passer eu revue ont le mente objet. HUes consistent a tracer
comme une série de cercles magiques concentriques. inté-
rieurs à t'espace sacre. Sur te cercie extérieur se tient le Mcri-
ftant; puis, viennent successivement ie prêtre, i'atttei et le
poteau. A la peript~rie, chex ie taïqne dans l'intérêt duquet
le sacritice a lieu, lu reti~iosite est faible, tninima. Kito va
en croissant a mesure (pte t'espace, dans lequel elle se déve-
loppe, va tui mptneen se resserrant. Toute Il vie (tu milieu
sacrificiel s'organise ainsi et s)' concentre nutuur d'un même
foyer; tout converge vers ia victime qui va maintenant appa-
raitre. Tout est prêt pour la recevoir. Un t'amené.
Parfois, elle était sacrée du fait même de sa naissance
l'espèce a taquette elle appartenait était uuie n ta divinité par
des liens spéciaux'. Ayant ainsi un caractère divin congeni-
tat, elle n'avait pas besoin de t'acquérir spécialement pour ta
circonstance. Mais, le plus généralement, des rites détermines
étaient nécessaires pour ia mettre dans i'etat. religieux qu'exi-
geait le rote auquel elle était destinée. Dans certains cas, où
elle avait été désignée ton~temps a t'avance, ces cérémonies
avaient eu iieu avant qu eite uc fût amenée sur le lieu du
sacrifice'. Mais. souvent, ette n'avait encore rien de sacr6 à
limites ~nttnt'aH~tA~AîA~î~t~<~î~-A..î~i.t
cette religiosité si trois séries de
déjà haute, rites sont
ueecssaircs. On fait boire de i'eau A la betc', car i'eau est
divine; ou ia iustre en dessus, en dessous,
partout'. Knsuite,
on i'oint de beurre fondu sur la tête, sur lu
garrot et tes deux
épaules. sur la croupe et outre les deux cornes. Ces onctions
correspondent celles qui se taisaient avec de i'huiie dans ie
sacrifice imbreu, la cérémonie (le ia M)~< .M<<!«a itomo, aux
<r. ou crains d'orge que les assistants, eu Grèce, jetaient
sur t'animai i)e même, on retrouve un peu partout des iiba-
tions anatogucs à celles dont nous venons de parier. Elles
avaient pour objet de produire une accumulation de sainteté
sur la tête de la victime. Enfin. après ces iustrations et ces
onctions, vient, dans le rituel védique, une dernière cérémo-
nie qui a pour effet d'enfermer la victime eiie-meme dans un
dernier cercle magique, plus étroit et plus divin que les
autres. L'n prêtre prend, du feu des dieux, un brandon et. ce
brandon a la main, il fait trois fois le tour de ta bête. Ce
tour se faisait dans l'Inde autour de toutes les victimes, avec
ou sans ie feu. C'était ie dieu, Agui. qui entourait ia bête de
toutes parts, la sacrait, la séparait~.
(~f.v<). ))). Il i) s~j'j. f'hytHtn-<f. t'. t\. t-3 voy. Tmd. f'td. et notée
in «. X).V) !)d !). ).)' tt'tK du rite est tri[')c. ("<'<)d'~ord nu
t"!)rdn rot. <) .\t!)ti.di~n))t-<tr''dm<)it-ux.dt'j))~it)uredt'tr<<r' 'jui mfre
ta \J!'U))~ la conduit v'r'! )< di''ttx ''n lui ttf'ntt'ant te chemin (tel est te
scos d~ trui< V!;r<du f<. )'. 'f!j')~\t'< t'n rt'(t' ~t'ftti'~n et f'otnjw'ics sj't"
citit<'«)''ttt j'~uf '-))<' t'f..)~. (i. )et 'i. )t, ï. La \'icUtnct'sta)n!!i di\'i.
nis~'t' u'f. V. fi. 3. X. i «. 3. S. t. ti!. C'est ensuite un simpte t'cf'te
tM!n:i'ju< Ont'r.trte )t'.<dOu'ms. tjui rudcnt. runuttc )f!! dieux. !tut"ut' de
In \'Hit~ – C ett eutitt mt t~or ritm') )'"tt, hit d)' ~uehe droite, dans
le set)!: de!: dieux ~<«"(</t. f.)).~ ''ite t'M Cahuid, <). t')~ ptus
bus. p. (jui a tme vertu «t~i~ne par h)i-fn't)h'. Sur t't 'jHe'itit'n de:!
t-ir'-nm!ttt))'u!:tti~Mt autuut <)'< vi~-titHes. y. Si<n)'.<"n, ï7"' MM<At/<M/
~'«'«'/ "tct~ et )e c")upte rendn ~!te )tHU!i~n avun.<f:tit.))n. S"' )!
et iiurt'~tt t<"fh:m<tiYe )n"n'~t-!))dti'-d'- M. Cahnd ffM h«/o-.f/F''Mf<ff<M<'A
<.UA/<v~f<<;(-h«M)'<')<<fx.Uf't/n/'vf. f/. A''«f'«<tA'. f. U'ftfMK'/t..t/t/. Af<-
/Mn</< <fff-/M/<< txt'x. p. :i sqq. – ).e rite est, en prcnner!ict),
f"nd:Ut)''nt)U d.'tns te rituel hind.m. d'ttttestifjne (rf. ). ). ~)
et s'd''nne) Ui))e)'Y. t. p. t~. Cf. ('. < t. i!. t. t-t :(. voy. CutMd. ep.
ril. n. 2 Rt p. :'<)');en fe'n'f )!<-«.'< jtet) pré!! )?fncra) dans têt j'o))U)a-
ti'jn'tindu-enr.'j~enn' (htau.) entht f~rt t'ej'ttnfiunn peu pttrtout.
i). )t tt..M )t). t'~r/t. X\'t. :)r.. Cf. f;«'w. XXU:f'fM/. XII, 31. /<.
(:\ ).:'T JM. ).Vt). :). – Ltx-. <<t'H.s'/)-. :i8. – Cf. Légende d'Athtuna.<.
j'fetk-r. 'U'~A. )). p. 3)~. –Cf. B~eet, .oMt-. €<<<« M~-M'w. tX~.
n"i)). (:r. H~etter. 'w. < < < '.m. .4M/A' t89ti, X.– Cf. Sterifice
d'un UtCtnhre de ta fntMitte. Purphyre, /<<*~t~ Il. p. 27. – Cf. Légende
de (.'utmheepa. (S. Levi. ~oc<)'. p. 't3U.) les citatuptex de cette nouvette
repr!tttuti~)t sunt p!trtit-n).~rcuteat t~«iti)reux dims le sacrifice de cons-
tru'-tinn. V..Sart-~ri. M'«~<-t- (Zeitach. f. Ethu. t8!M;, p. n.
(~ V. ;))<)s haut. p. K. Ex. ), CA'wt. XX). ~3. sniv. histoire de UMid
dans i'aire d'ttrnan.
(31 1. t tU. i! )V. 2 X\'t. ). XX)X. )! )! Cf.<M))<
\'nJ. )0; XXU). )! N. Cf. <f~ XX)\. –<. LXXXtX. 96. –Ty.
lor, <'n'<M.'< Il, p. Cf. Kub. Stttith. fte/. o/Sem.. [). 4N.
)t.U)MH)nt")'M.MA)''i' –K~<t)'.L'M).t:s.Hni':K F~, <!7
(rt'nr(,h.c.t~.U.iO:p,).i.S.).).hth<tet-in!.
htutn.n.)MA.<r.)<-w:t';)H<.))).<!t.i;t-t.tt..r, <«.;))..U,M.t!)!)t.3N
!'t.j.tt.t)p').)').–Cf. t'ht..n.< )X.p. M:i.
(~uy.Fraxer.~<M.t.H).p.t~<).
<~ "t* dit 'r..nrn(.x ses (,)<).< au nurd, fKitM K))et-an snjci)
s..n a.))
r~M~x~v~U~
.t~U-rre!<tt.<r).!<t:c!!i)).H~ti<u)!).T..r.Mi.))).:t.t cr t~t~
K.~):is..nthupnr)~tM.L!tt~e(.stt.n)..<t-)'<.))es),pnn-(-<H)<-tci
~c~~m~~M~Mc~~s~YM~~H~
)M .urts. pur ou k.i. dieux s..ut .t.o..tcs tt.t cid. c.tc.
L\.ncat<.tiun d~
ncUtUM ~<t un f~it f..t.t ).t~)L.. M.dhcur.-Me.Mt.t t~ rc.n..ci.<-nK.nt.
«;M)ttt()uei efMMiqup!, ethn~ra).).i<)t.(.s sunt rOnth-ctuent pauvre sur la
.)UMt.u. hn Jud..c. )~ vi..tj,M .j~.t ..tt).c),s ,t~ con~ <). r<tute).
de d.R-rpnts c.,(es suivant lu nature dt.
sacritic.. et semUent .n-<,ir eu t.
tftt..(..urn<v~
Mt.-).tt:r&)MY!ti.t.Ma..xdicu-htho.)icn!
~nt Mcn)K.M ta t<. f t.u,.tre terre ~n~ aux dieux ~)M)~. ht t.t. vers
c~h~y~s~c~M~~r~
C"t. !'M/M M~«t~Mh r~«; «<(
(le .Ili(hrrt.
~n) ~n~M~kMMM
Mth<dt')m; tes ndctps x inctiucnt a )')-:tc\'aU'!n.
i: ")t dit t~ b;.t<: <)uu~. Y~ un n~, ?.““ ).,s ,s,
.)H\.Uc n<-meutt
I' d' '<- hon.. techc.
mwdci!.a\tt!tr))c!:(d<t).t.:dteutiude!!dit:.tx,ft.)),)s.r.H.,3.
7,7, Il,
.nc'n't~
mcnt de la umrl. au '°'"
il Ce .fut ~ut tien -htuit tons )~.< Ju ritu~t h'-bfftt~K- /.f<- ), ftc.),
Mofd'tt)." )<rtrritii't'<t~i~utt'<)~nth( t!)-~(.' <-t~itt.tthutK'c fn'er t'uniite
(/.<-< ), ).. )j.. – )-:n f;rL-c. v..v. «< )-. ii! – AtM)t. )U)ud..(. ). Mi)
!).). S..).).. jy. ~is.
t.a~idati.~t dt' /'A'fr~):u~ !< !'A«<<-7«-.t.-)Jurip. Jx'/n~o )t~;
f'!tt-< f; t. p. t~P. Cf. ).. f.t.. d~ /M<x f) Tr<-x(-n' P:ms.
f). K. Cf. At:tnntt. H'. A' ). H'.). :itx. !t j~))i.i.tti..tt sc)t)b)e
.tv.'ir ~) j)..ur ))«( d' ')h'i!M.'r)~ re.sp.~sabUitc fHtn' fc* MMtst<ut(<.
J<v~))<. //</<.«/. /< M.. ~)~. vit'tintL' ft:u~f~' t)< t~in. V!'ir Sui'hs
i!<j- f:r. Pnr~h. t). ?.. ~).j.
P) t)i..n. H~)..Vtt.T~)t. )iM.))<.)).tUt.t~).4N,.–Of/S.MS.
(tj tt')t). Smith. '</<.cf' p. :nu.
~) thm.s DnJc vcdi.juc, mK' scri); d'cx[)i!itit'tts etaicttt pt-eso-itt~ au cas
où. dt'jjtn.< sun fntrw t):tn.<)<;dMU))).tu Mh'riti.-).. j'fminm) fait dos ~i~he~
tinistrM '7'. /(.. :t. 7..S. t.~y. <tntm.-tttni)- \y. St'hw~, 7'Aw.. p. M.
n"4t}. M)cas nu. j)rcp!trt- puur ) .'«j'hv.'ii). t'aniota) j)'))t!p un<-n, '~u tuttche
son vottrc uvt't' ~on pifd..)')h )), jf. :). cf. y..s- 3, ), v.,Y.
;K'urJ~utrt-!t f.ti~. Wt-)~)-.'<Mw f~ /'u.«/.<. p. :n !.<)q.
<!).unn.-ut )<' prin-'ip'- )'i)))i.)~ <)<!)c.'<M<)it ~nc t"))t a'mfffUt cnn-
!n't-~ fti.'n. m.<M(-cch)i .trs h)'-tt-s)tt'.<i :) ht ch~«~ X\'t ), )": X)X.
X)). tU, ~t. XV. t:f. (..n 'jr: U. f tu; E i:!7.
St'-n): ).). – )f..t)t'r. r. /<< < /<. t;.wM. /),m/ )tfX)6,
S. M~'tt).:j.ft~tttintt r'tr') dut.-tit. !)ut)cr t'A.
)':u .huh' )c s!tt)}; rct'ufi))i d.-ms ')t") \!t.«'s ctiut remis an jjr<t)v nff).
fiant. /r. ). )X. )ï, <-t <.L!!)i.rirt) his.'ut )'!)M}; rit~r). )':n UK'fe.
<hn!! .)n'-j.)!t''< ~ari)it-t- )<-s.-mKchn rct-)~i))i )ht)-i utK-
<'m)))f~x"M-< ou
~s?~. t'). X. (ij. – x~.n..);,<)/ )). i!. t).
(.s; U..)). ~tjtith. ~m.. )-. i!7. – ~arritirc s.tth' ))t't'"d. )V. M; i
')«' rcrt.mtt.~ tribun d.- )'i)!u ot hrisc )'(.j)jt«' d.<rM)t- df )u vn'titoe.
K"nda)iutt' ){eittfn'h. – .ht<f'/M)'/(!i(f/<' /ff /fM.tt)f .M~<-M;<)«M/c. p. tSt.
".))')tHK'rKTM.M.t).t.–Hs<~s))t).t;.<u:)t))'h:t: 'H
<)Ufces précautions fussent regardées comme indifïérentes.
A Methydrion, eu Areadie, le rite commandait de déchirer ia
victime en morceaux'. On pouvait mêmeavoir intérêt a pro-
fonde)' sou a~onie~. La mort iente. comme la mort brus<)ue,
pouvait diminuer ta resjtonsabiiite du sacrififateur: pour les
raisons que nous avons dites. iesritueisctiuent innenieuxàà
lui trouver des circonstances atténuantes. Les rites Étaient
plus simples lorsqu'au lieu d'uu animai un ne sacrifiait que
do ia farine ou des gâteaux. L'obiation était jetée tout entière
ou eu partie dans h' feu.
Par cette destruction, l'acte essentiel du sacrifice était
accompli. La victime était séparée définitivement dn monde
profane élit; était 'oMf/v'f. elle était .s~<7-t/<t' dans le sens
etymoio~({U('du mot, et les diverses ian~ues appeiaient.<f<MC-
~«'f<<<futl'acte qui ia mettait dans cet état. Hiie changeMtt.
de nature, connte Oemnphnn, comme AchUie, comme le nts
du roi de Bybios, quand i)en)''ter, Ti)etis et Isis consumaient
dansie feu ieurhumanit' Sa mort était ceiie du pih'nix
ei!e renaissait sacrée. – Mais )e phénomënequi se passaità ce
montent avait une uutre face. Si, d'une part. l'esprit était
de~aitt' s'il était passe compietemcnt derrière le voiie o,
daus le monde des dieux, d'un autre côte, le corps de ia bête
restait visibie et tan~ibie: et lui aussi, par le fait de )a consé-
cration, était rempli d'une force sacrée qui l'excluait du
monde profane. !n '.omme, )a victime Mterifieeressembiait
aux morts dont i'ame résidait, a la fois, dan-!l'autre monde et
daus le cadavre. Aussi ses restes etaicut-iis entoures d'un
rcii~ieux respect- on ieur rendait des honneurs/Le meurtre
laissait ainsi derrière lui une matière sacrée, et c'est eiie qui,
comme nous atious le voir maintenant, servait a développer
tes effets utites du sacrifice. On la soumettait pour ceia à une
doubie série d'opérations. Ce qui survivait de t'animai était
ou attribue tout entier au monde sacre, ou attribue tout entier
au monde profane, ou pnrtag)'' entre i'nu et l'autre.
()i<n'T:)<t!X\')). co dernier
))."n!)(t'))<tie!.)u\-<.t)t!.nr
pa!)M)<e dire
pour ')m- h vertu t-xpiotoire<)usw-riticc appartientnu «n~.
Manet' tt-xit-jiinnitic!!hu)))c(m;t)t le mis
(jue MH~ surt'autct rcpn'MMte
tanedct'tvt'tttnecnmut'rec.
(~ K' XXX,tu: t.< XVt,tu. \y. surtoutr«~<. J. }'(.“<«..V~<t., V.
4,C.
(:i/tV.M:Yt)t,)t:tx.t): XV),)'):)!<<. XU)),~0.
(;)/.fr.).)X,)~)~Ut.2.
(u)).'u!!tff';de peindreen ruu~ct'ertainc~id'despruvientsansdoutede
cesunctiunsprittHtiYes. Voy.t-'rMer.<'««.<.t. U). p. ju sfpj.Xerod.tV,'i~.
S~M~r~M~M~L~–s
t~rmw~Mt~j~
«<t!iUS,).p.et<.
(CjSten~e) p. t~).– ~[i'-he!./ff('M<f/'t'Mc;-<t'u<M ~<Trf/MM.?);, :n
(Myk"n< f:f. Hev.M'trt.J. Hat).r/<o<< Mtvmcc~c~<« <«<)(/«.
LMd.x.p.f'ti,t'~Ua(;atld:
(';)AtM)K'e.V).~).u.
(t) «t-b.Stnith.M.m. i3&sfpj.-.(:f. Mu))er-WitM)ef.M<Ht<i~.
t,p).).tX.).r..i.uajfed'Ucr!i.r,'t.
t');Ex.!tThebM.Mcrud.)),t2.
(Xj Yarro.~f<(.:t.),S9,!j.
KTH. M.U- – E.M.Usm U: S.U:H<Fh;E73
ttt-HERT
la victime en morceaux, les apportent avec ta tête au prêtre
officiant qui tes mot sur t'autct Uans te rituct des ~W«M«M<,
les parties présentées recevaient des nons significatifs
<c<'o;«t«i, onrandeetev~'e, <<'<t~t~A(), offrande tournée'.
L'incinération était un autre Uans tous les sacri.
moyen.
nées hébreux, le san).; était entièrement
donemeque attribua
par voie d'aspersion ou tu graisse et tes viscères
d'edusion',
étaient brutes nu feu de t'antet Les portions ainsi consa-
crées au dieu qui la consécration
personnifiait lui parve-
naient en fumée d'odeur agrcabte'. le dieu interve-
Lorsque
nuit dans le sacrifice, il était cens6 manger reettonent et
substantieitemeut ta chair sacrif)ee;c'etait « sa viande" o. Les
poèmes homériques nous montrent les dieux aux
s'asseyant
banquets sacriticiets'. La chair cuite', réservée au dieu, lui
était pn'sentec et était placée devant lui. i) devait ia con.
sumer. Dans )a Bible, plusieurs fois, le feu divin jaiitit et fait
disparaitre les chairs dont l'autel est
cttarge'
Sur la chair (lui restait après ces destructions pretimi-
naires, d'autres prélèvements étaient faits. Le prêtre prenait sa
part' Or la part du prett-c était encore une
part divine. Les
rédacteurs du l'entateuque ont été préoccupes de savoir si la
victime du /tfff~ devait être brutec ou
mangée par les pre-
<)f.X.)'[.).f.)Y.)):Y).))t.t.j.).
~i.t'dit)''rt'n.!rn)tt"m!')n-)'.)rtttt.ti<ti<tt'ti~n:)~Yirtin)c d<va!t'tr~'
))t'ttM<)tur'h!~a)t)[) t~fi'ju~«)!! at'tit''h-a;)[)"rtt'<)ntt!! h'Mnc-
t«air'<t!'t!)ir~)")'!<~n'=~t'n<)''t''ht'!)';)«!) )':)rd~n.U'mst<)tn)h'f.< cns
)a ehftir !)t.jmrtt')t;<i)!U)x)'r.tt-c.f. /.cr. \). ~t: X. <S. (~f. )\ ~t; Vt)), r:
n'.o.
.) Cf .t. /t'v. !t. ~)S. V). ~)~ij ./< /)"rn7«M~t'f<'M
<)«j'<"ft~«")"'«')/<u<.f<–rY.t''M.)(),~jt.
t' XX). s.). – V)). s.). X. );. – .w«~<<. V.
'); V). X\tit. S s.). X\))). :t
(.'< \'t. )' t. h"m<)<"t S[~t)< j)c!n'nt mftn~'r du A'</')/ p( il
faut ~t)'H.<<"iL'))<)JH)'<)'"m')t"iWf('~«ttw)X,)~)t'!ifctutttt'< <)<<~uttit'
nnn.<"ttt"!)<t<i<u.'u.<ii~u)th'<!tf:)tti;t'r'-)tU«)it;<t["n'.).L'~viatntm
!'utttt!!Ujnm'<utt;St).'m!C<-j)!Ufi!h'r"tvA.M.t.~t).
'fi~)':t).)t). ~).):<. ~i::t')~ <.).).-Mich.-).<.t~)if)ty.
k..n..<r~)i)..t.. –/t. ')x\!).p:~MfSin~in').–t'anémias.
):)-–St.)~)./««v'<'<(v/«.v. in ./«/'<'4.tt7.)!!T')).'iXT !!<(.).
(7 it..)).).«-. )).j..t.
(X)).'r.f.)\.hi):V[.
ii~f'at.<. :?.)'.
Il. (H'MHH't'HT'H.MU'–H«At~UM'.KSAt:jt))-)t:): 7~
il)
(ttStmbuu.X.M.
(~(-<.Xt\t.
M)i'htt. ~ffM'.<m/). V).S.t. \ir )'onrun certainnm)t))M t)cfait!
dutm'-m<i x''nf'. d~nt
j e nombre t'-treaiscux'otautftnctttt'.
;Murr<ut t''r<u!er,
';<.M.«.)).p.t;i'rs.j.).
i)/.<'c.)X.M.–).('<<. ~c!ip)-i)))pt))erv<'itk'H!Ct))(;nt)c)u~n<'pr!n'
(-![)<)c'n'r)<h'ea))j)Mti<'Mt!mx dieux,lu hcm'dicti~n au sacrifiant'.
'M~i.t.
(:i)/.ft. Xt\ 7. –Wct)hau!<;n,<'(/<t.<n;<<Mt-/tfHM)')t/t'<t//«fMMp.
)7tt
'initiation;.–Kn)irt-cp.Xt'nu))hutt,.t;<Ht.
)).) (str)M<:ntj.–t''f)U!er,
/'«M.m««M,t.t)),j).i'77.;).:i'):ifpurtficati"n,.
(' Luc. ~fx .<'<«, d;t. – p!ms. t, 3$, 3 (ou se caMche sur h j'cau de
)K\'ictituc)Cf.)-'M!'er.M<M';fn''M.t.t).[<.<7'}.–A~!x'u~<tenge),
o~. c.7.. ;). )iH. Cf. ).cnunf)Mt, '.a:t~/tp«/. tS8t.!). 3M; )k-)). Stuitt).
ftt'<M-))! p. i;!T. t:<i).
iT;t~.)).Sutith.«/<.r~ 3!i3.t.
(~ Cendresde )avacher~xssequiscf\-eutauxeau::dehtstraticn,.Yomt.
XtX,!). – Onde, t'<n/M,)\(i39. 72:i.7S.
)).Urt)Ktt'tJH['M.M.\r.«.–):<.<.USL'Mt.H'iA(:)UF)t:t:77
f'axima) était coupé CMdeux et )e sacrifiant paM.)it au tra-
vers'. Mais le moyen de réaliser ta communication ):) plus
parfaite ctait d'abandonner au sacrifiant une part de )a
victime qu'ii consommait', it s'assimilait les caractères du
tout quand il en mangeait une parceite. O'aiiteurs, de ntOne
qu'i) y avait des cas ou tout était brute par te dieu, il y eH
avait d'autres où le sacrifiant recevait ta totalité de i'obh-
tt0t)\
Toutefois, ses (h'oits sur ta partie de la victime qui lui était
aband')nm''e étaient limites nar le rituel ndevait très sou-
vent la consomme)' d.)ns un ten)ps donnu. Le Levitique per-
met de mander le lendemain de )a cérémonie les restes de !a
victime du sacrifice du voju («'<'<') et du sacrifice désigne
par le non) de <t<'</«M'offrandevolontaire. Atatss'it y en
avait encore le troisième jour, ils devaient etr'' brnies; celui
qui en mnn~emt péchait gravement".<:encra)cmcnt, ta vic-
time doit être mangée le jour même du sacrifice'; quand
il a iieuie soir, rien ne doit rester au matin: c'est le cas
du sacrifice de la Paquc'. On trouvait en Créée des restric-
tions analogues, par exempte, dans ies sacrifices
~n/A- dieux cittitouiens, à Myoniaeu Phocide*.En outre,
le repas sacrificiel ne pouvait avoir lieu que dans t'euceinte
du sanctuaire". Ces précautions étaient destinées a empê-
cher que les restes de ia victime, étant sacres, n'entrassent en
contact avec ies choses profanes. La rétinien défendait ia
sainteté des objets sacrés en même temps qu'eiieprotegeaiUe
(t)\irptt)!ih'mt.XXXt\tX!)').:cf. )~tuM.X\'n[.3').prite
!tetn)))<'av'irffutj'arti'' (t'uns<n')'i(icp
sm'r:uncntairc. !!YU)))")i'juc')'t<M
t-ûn-
t)'a).(:f.«.X))t.m).).)')nt.~«./h')t).
fj)<tnsait<jMcten<))ntechni')ttCt)e!!<-hair!)')n:<'M.'A'MMt'm.ftc.
')u'"tt})~nv'dtt'!)))sot))u<pr dansJ<?nt!!K)t'n) -= Min.
t't'utc<')uide~f</<M/«))t
têtes <Cf.t.XX.x:ixï-x).<-< X).i:i.Cf.M'.b.Smith.M.< )!.X'S.
(:tjt)f)ns)c :<'t<t/<.t/«'<f<M«M).endehnMdctpartie!!rfscn'eM.tcMerifiact
adf~it.'m~.ut.
(i) \y. tt'.b. ~mith.<t< o/'."<')').. p. 237:t~).
fS)t. \')j. Ui-)8:X)X.M; A~. XXtX. :)t. Cf. MMnhwdt.U'.r. A
–
)),p. 2.'f. )-'rMt')-, 'c/f/. /). t). p. Tu.
«:(-. YH.): XXt).29,30.\'o,y. 7~<)MMn-A'«t)M. t. Xtt.p. 4;S.
~)~X)t.)0;XXU),)i!:XX)V.2.'<M<XVt.4.
(S)fans. X. :?-<);Y.)\ t-'M:!t.r, t. m. p. 2t0. – Kob.Smith,op. r~
p. 2M.:!< – Cf. AttK'nëe.V)).p. 9Ti.
(9)t'atti!.'& )). ~7,t; \'t!). 38.0. Uetyfh. t'. 'Hr:!? M'): Pa.
ton, CM.3X.St.
?8 )/AX.'<Ht;<'M:)'().<'U)'L'K.tf''t!
<tj!Ucfa.it)"<in;t~U!!k~s~nnk'!i«f<T<i));<<i!t'ix.t')).)).)X.<')pt;n-
dMtquci'"f<i''i!Utta!<;r)!a~nmd';em[t"tts['<t'tt'ttre~<T't.X,
M. ). Cf. ~i. 3, S. t t' V). <t /<. !<. ~t. 7'. un doit t'.von-t-
titHpr '«M'f. t't< in 7'. S;. ).tt ('t'rctttonh~n [dosifurs sens. Lfs Tuitt «ttt
cxa~fr~t<'cut<'j)r"jtiti'tt')ift':)Knt")'tfft-')ned'<u)eur*,m)''t).'mnt)e
<[ui)'ru)eftVt't(- sut)ft)')')'<) f!mt.i)):ii«'r.t'r'-e)!)."tt fait ))"ir~!m.<
s"nM<'s')';)r!t)t.f't)!t')~t))'rcttanftm<t)'*)'art''t)taY''t't'<'nudf(t)'!);t
terre. <t;f. H. t. i!. X. it;). Aussi tt's Tttitt ont-i)'! punf t'hacutt des
MiNtt~-madreHvs à c)):u)m.' uhti''e Hovt'i! ft m~ )'a!! ;'ttri)iM'vutts ·
<lj.~t'xi'r<:Mi"n<)uit'r'"<))!'n))aMM')))th)'wduntt'cxp)ic!di«M
des \'Aj. intime sur )K t-ut~ ))uritit-at)'ire du )'t)u: i)'' di~nt t'xrificx-
vuus fa vh'tiftfC est uue vu'. c'H<: e <t twtm' r'f'«.r~n n'Mtn'itttre hnnwr-
t<:)fc, riufthUttuHtv; des dieux. U)' '~Mtue t't b'tc '[uaud ott t'ctouftc et
)).H))tKttt't-:TM.MAL'S'–t:<SU'.<K).HS~m)'H:H *!9
t'apaise. ~!ais les eaux s'~tt )t'!< s'iufih'-t 'if vie ~'<!t)tit'"t)fftt )' ))rittt'ipp!t
~'it'mx): ainsi. M fab.'mt r<-(t'' )nstr.'di<~)). on r''p~'<- )e)!s'!t)f))(' ).M~ir.
tiuK' redevient vie et m'xrritxr'' itntttnrteitt' desjtt)tn"rte)s /<./ut'.
~) !.</< \'t). )X. )4. ttmntras: 7' t. :<.)'. i!: V. /t. X.i'. Ï. prnpnM-
"tt rite plus jtrcrix. ~(:f. Af~f/, V). 0. t).t.ti)! )cx textes <j<'tt'tf du tt):
Vt'da ')'adh)'K"ni)t!(.ia .); tt). t~ -t'~ ). «~ jtttrk'ut
')<-
sin)p)L'th<'ttt n'pao'trc )c Mnj~ p'~tt' tes <h'tit"t)S. '))!n ')«'!)'! s\')"JK't<t.
).n fthtt'HMh'n in'ititucc a rf iiujct <) ittt' r'~M~tf Ut'st <'xpJi<j<K' ')uc tca
()t'tu~n' cotn~it- tt-s dit-nx, ussi~t~nt aux iith.'ritiM's qu'il leur faut K cttx
tHt!i leurs jmrt!! ;)!)<< ')!tc .*?))!<<'c)a. comtot' Hs y unt dr~it. !!i ~nlie )~
)et)r<)<~nn)tit [)!Lt jx'nr )< t'r.'utt'r ~tir-nv.'t-'ta: <'f. t')d''t))"'f~. /ff' <
t'f~ '!tK c) 7'< )i. :t. S'. i)s s'jws.'uttir~h'))) ):«r !t' s'trntinnt
et M f't))ti))< – f)if)ert'tttt'< !tUt)-<-sparties <)'' ia Yi'U!"G s<mt ainsi attri-
huc~ <mx')<'ttt'!tt! ce s<!ttt h's ~t!tt('.< de S!~<t: 'j!)i s\'t'h't)'pt'r'~ut f"f!)
<tc la cuiMOi du f-u'ur A'f/. ~'). ?. )ï) et de )))H)!.)cstottMtt', t't tcx t'xrr<
m''t)tf!. c) )M tjfins de )!M "ttr h")n<')!t un )''[!itud tf sto)i rct't)ri))i.
M duttM ~)m cMi dftaUs: v"y. Sfhw!))). )'. t~nt. "n les t'nfuuit tous d<m<
ta fos~e<mx <X[')'~))<e))t!t t'n d<:)f"M du Ut'u x.'u'riUeic) ..)/ V)), ))!. t
cf.r., )!). :t. )!. )/.); Mf.. < (!. ~i dunne uue ttutrc interpn-Utti~t M
cet cnfot)i)!Sft)tC))t. – Les h'.ttes ;:i"t assez \'ut"Htifr!. eur cf!! parts
fMitestmx dftocns. t) Mpurn rik- irr''iiKi''ux ~-f..4<7., (!. 7. de cuttvipf
les e))tte)))is d" difnx au i'Mritifc. – Muis les rites x~ut t«-ti) est ~t'ncrtt)
tuuB les dt;bri!! inutUisabic!! <fe!t~«''fitifes ~!<trCM't)tp)(-les !)~n!!df"! ~raiM
'ctX'Msét )«)Uf fabriquer un f!Htfau~ f~'nt nittsi rejeté! cxptttst's. – t~))
peut t'umpttft'r M (les faita la jfmthjm' f<)'<'t-<)m'du sarfifit-f a '));59t
Y:)~tt. nu )\')t rpjt'tait te )k') de ta victitm- (t')ut. << /«';fc.. nt la
proit-riptiott hi)j)i')u<' d'cnf<'n)T te sau!; dt's ciseaux de puritic~th')). – Fai-
Mn* observer ')uu te rituel def! sucrifice* de t'htdc prouve tjuc. cuMtraire-
tuent nnx tdecs :td)nise.<. un sfn'ritice .«HtM).'tt)tn'a pas m'cessairftoent
puur j'rittcip'' t'ttsx~e .< fxif' d" mni!.
f.« partie superifurc 'tu péritoine. Otusctdcuse et grais-.e)!!te. la
p)M juteme. pour tui, (tu ntiU<'u. parmi )et )!rai'.ses, a ('h- t'nh'vce, non"
tt- la doMons ~t. Ui. 2), &. Kttc est lu paHiu rcittmte lit- )a hcte; )e
prinfipc dp an vie individu<))< s"ti «/M<f'M7's' <i. 3, 'j, !i:. t-uintne te
sang est )'( vie fh<*x tfs S~tnitfs. f.)h' ''st )<* prin<'ip<* 'iacriftt'it;) <)c la
vx.'tintc )p Mff/Aat~ :). ). !). ('. /f., X. tf. Ï. Vf))')< i. 3. t!,
ut) mythe rituel curieux.
!) .)/). r;«). Vt), ): 3 s)))j. Kn t'tt- ttt'trchc on pH-trc. Hyaut uu hran-
d'!)t idtom' ;t lu tx~in, puis )<*prttr'' ')«! pnrte t't p"r)i"n t t'aide de
d<'tt![hr"())C!i ~'ar<))tc duit pt)<! la tum-ht'r dtrft'.temcttt.. puix )<-Mn'rifiattt
<jui Ufttt te prf'tre cuMune plus haut '.)~ Vt). )' H. 7. cf~um.L Les
raisons du rite sont les tttt'-tucs 'ptt: c<;Ht;Kin'ii'p~~s ph~ haut p. M
et n' 1. 7' t., 3, M,3 et i.).
? L'X?!HR~UC.t')).<MWE.t!!M
dans ses chairs, on découpe dix huit morceaux*. que t'eu fait
T
cuireenscmt~c. La graisse, te huuitton,t'<'eume"qut surnagent'
dans le potuùa tieu cette cuisson, est pour le dieu ou le couple
de dieux auquet s'adresse ce sacrii!ce on sacrine tout cela
dans le feu. Ce qu'on détruit ainsi représente formellement
)~j't.r..)u.~),f'M~)'~t~<"f(")'y'
et!«.
T.!Ht k' rite est f~rt an~'ftt car un d(.'s ~r<trcs t'fcitc )'hyn)n<* H.
)'H.:?'.).~t)!<ttt.tt~ut<-nth-r=r./f..)<).'i.7.)!tqf(.r-=.M..s'
:(.)').).–<:f.r..S..r., t.:).:). Cf..t<< 7. :))!))<].–Vuy.t.u'h'i~.
)V. :H. – ))''t')fit<ue. «<< ~t /.<«;')/«' <<M< )<. X,
/)<('<<. )'.
c~ttsi<)';rpcet hYmnp c~M<M~' t'crcnt jm~'e qu'il est forux' de vers de mètres
Yftrit- c'Mt-ft-'iire d')me !fri'' de furoxttc!) cntit-retth'nt «'-parées. <V<
U~i('n))erf. t'<< ~M .S. <i. Ë.. XtA'i, p. 2M;}.)C.e fait est incuntes.
t~bte tes f)'rmu[e!: suHt d'; diverfs :"urces, et "nt t'tt- coUijtee! tfrdi-
vcment. M'm les forum~'s sont bien Mterieures A t'~ytUM. t)e tvHe Mtto
ftucsi )'h\'<un'' n'a pa!! d'unité de rcdtn'tiM). i) présente uue unité d'objet.
et ht fiu'.tu untureUe <)'~t il a été <u«[)"<: deux'ntt-e '(u'it se mttache a un
des ritc.< )f. )')'<<!'utfien! – h'hytunc tk-rit fort exactement tous tes
dctnit.< de )u)'er.Uiun ~(:f. r.< 'i. ~.t'. et M.. :<.8. 2<. U). A ce rtte
sarnti'-ie) '< jdus iut~rhnt~. les hra~uanes unt tt-t-uve une sij;nitieation
Mtunuiste.
t3).)/)..Vn.
= M< &, t et
~) 'r"H< !.c (Ment. \'H. ~9. ==.t'ft'
2.t.MUMutrM<"utr..s.,i,i.t.=~X,M.t,-3.t.a.r'.S.t,t<i
d~nnc te tnetuc texte tKc .1. )' V). ?'. t.<-dernier montra exprime de-
)i\-mn<'e df h m'Uadie. du pèche, de b tn.irt. de ta Ujatedx-ti'U), divine et
hutnaine. – C'est d'ai))eurs )e sfn-ritice de t'tt'f~'t, qui toar'jue. dans te
f!M~u)e.<M'riu''eKp"ttrb)ttdera'-heteruuh'!tuute,)etttuntentt)recis
du r.'t'-h.tt.
Ci Vuy. Sehwab. 7'f' 9i!. ['. H'i s.).).
(~hw)).T;t;<'t'«; p.tU,n't.cf.Hdwi!<!<'7-t-<'<t\
«.. 3, 8. :<, tu. H~ct «t/ <oe.
p. ?1. Yny..ff' Vt), sfp).
(':).)),5,f.
"Mt:HTKTM.M.t('–);«.\[..L-RH;s\<;))tt-)(:)i 8t
encore une fois ta victime tout c'est une nouvelle
entière',
etiminatiou totatc de la bête qui se trouve euectuee do cette
manière. Hnfix, sur les dix-h uit morceaux qui out servi à
faire ce houitton, un certain nombre sont preteves qui sont
encore attribues ù différentes divinités ou personnalités
my-
thiques
Mais sept de ces parts servent à un tout autre
objet' c'est
par eitesque va être communiquée au sacrinautta vertu sacrée
de )a victime Kttesconstituentce qu'on nomme )'"M. Ce non]
est e~ttement celui (te la deessequi les bestiaux et
personnifie
qui dispense ta fortune et la fécondité Le même mot désigne
donc cette divinité et ta partsacrificiette". C'est que ta déesse
vient s'y incarner au cours même do ia cérémonie, et voici
comment s'opère cette incarnation. Dans tes mains d'un prêtre,
preataMcment oiutes on piace t'<(M; les autres
prêtres et le
sacrifiant t'entourent et la touchent Pendant qu'ils sont dans
cette position, on invoque lu déesse'. JI s'agit ici d'une iuvo-
.n: .1 Y.1.1.1 1
cation au sens propre et technique du owt (MM/v <M, appeler
dedans), i.adiviniten'est pas seuietneutinviteea assister otudl
participet'ausact'iiice.maisadei.eendre dans t'ottrande. C'est
uue véritable transsubstantiation ([Ut s'opère. Sur i'appet qui
lui est adresse. lu déesse vient et amené avec elle toutes sortes
de(orc'sntytitiques,ce)iesdusuieii,duvent,de)'atmust))te)'e,
du ciei. de ta terre, des bestiaux, etc. Cest ainsi ({ue, eonnm' l'
dit un texte, un épuise sur I'<( (part sacritieiette~ tout ce
qu'il y a de ))un daus le sacrifice et dans le fnonde'. Ators, )e
prcttf qui ht tcnuit o) SM tHftit's )ni))~f SM piu't' et, ensuite,
te tiucritiant en (ait autant Kt toutte moude reste assis eu
silence jusqu'à CM (p.tc le sacrifiant se soit rince la boucher l,
Aturs un distribue leurs parts aux jtt'etres, qui représentent
chacun un dieu".
.))Voy.))ht.!h!U)t.p.X().
H)<t<t)t!)!t~nn('r.)~d!t!~t'<-)!f!<)t)p.n<'u!n'ty~n!)))'nfMita))))-
$i('n!tux<n~t! )a victime't!mtn'h.).)tt'tHt)tnin)!t).S<'mt'na\'iun<!
)'<')ntiY<'n)('))t!t'Jt'"it.)!)Y~n.<V)).<-)t <-))'<-).<))n)n-f)U<"<fi('t'')!: ont
prO''JHU;<')'<j'fh';))<')trt'J)'.t~t'))'f!f)r<d<'t')j~t'Yt~))!u'!h't!)t.)'.tU).
Par<fen)j'))-.d~nst<.utt'(.n~'n!))h-th-)is;n-tit!r<"<M;'ra!rM,)eurh)t'ntit<:
f<)nfi<)'frt;m))"~<i)'h')!t<in)).<tih<tt'm~t'i!))n<'stut': antres \t)y. )).))?;.
~)aisi)y!tj)ht<.Hf't~!i!!ii)))f'd'('tahiir<t'~<ytH<-tnMr<en<'s<')t(re)e!!
victitoe'i <') )M .ihhtti.~x t!n-nti<-i''n' – t~ [(rC[)a)-a)if'))<tp!t ~atrau!
)«f!'t-n'h'nt~n)';<Mn!tit.d1)ui)'<m de hcurrr. (;(<t'<!rre!'p"t)d!'t)<i
pr)''[)nr'tti'in<)fh(\'irti)U).).n)c!!tt'rM'ti(')t))<');t<-hM<'Mcr6e.'m''ou)-s
de )'t<-t'r<-tf<<.t<t('f-<!t)))'-tt)')')~<'ti))cftt<<h))!!)<<-}<fie )'f')))<t))o)t.')))''dans
tout!mtrt'nis.)tt'')ttt.tr..)th-t-tit)nnes.'nvf'ntt)et<'MtM))ic)'e!t))')e
terrah<)u~)t<h)M.'ri)i.'(-.V..y.)tu)c:Hi))e))r.V.)'.O..p.ft.U)!nr-
t<tt)t!tn<t!u~t')))df!t!);<'rint'fV(~pnnr)')nde.m)k'br.<t)<.t<
g6~~t~n.MKMM~M~aMM
fM)j)))ent!tirt'iMM.< h',t'.t).four tftGrccc.Yoy.pttt!) haut,p. 40.
StettK''). p. MM!)'). – t-'c!tus. )~i) cr. t''fni'er. ~uMm MeM~A.t). p. !it,
p. t;t!' s' – t.uhc.-).<.t~/«/Kt<M. jj. )): )OXOs.f<j. – ensuite ln ')e~.
truction !t te )t)'«te ''arartef' de t'cnict'rati~n d~Mnith-eque tft mise tt
mort d'une vi''tim<: ani)na)c. on n)ct tottjuur~, an ntoios
t'ftprit de t'obta-
tion, hors du tH~nde rce). S/ttte, une diOcrence c.'<i:tc, tMturette, d'atttcttrs
H.HUtKK) HTM.M\L-s.<.–K<-AfSL'nt.K.M)m;t: M
/.«M/'f<C.
d!tns)t.'((.'ns.)L-ri<it;iu)uncertiti))t<umbt-ed'insh-nmcn)'i',)e
~XundU ~'ri<ice-fubat')ndu)-t'cKitUt,k'Spt!HK-)i"ttPS
ttuie))tt)nr:m'))ttt))-<()nv(.'rsei)'sc:)ttxd('h)stt'!)tion<)m
H'u[)t)):)sct')u))tt)y)').-s.))uis,!t)))-fS:)Vuh')'t'YJ)'ch'))utPitt~,
onf!'itsur)uiut)ctih:)tiun.t'.t)-fois,()nt'cmp«)-ttja)i(n):ti-
sun.itt'stccttSL'purifier dt.'sfitutt'sritm'Hcs: ou hicn un le
bn))''cut)U)K'fcK:)Mft\0<t(tt'tntitp:tt' fcfctttotttccqtti
peut. rustL'rd's utt'nmdfs, un m-ttui)' tt's usk'nsik's et un les
rcmpurtt.' itjtW'sicii u\ui)- tavcs". Seule, la bt-ochpqui a servi
àfiUt-Mris.<u)t')-ic('<uur('st).'n[uuif:ci)Sj)articnticrdt)ritcun
vertu dm)uu) l'ixstrHnK'ntdu ct'ittK'tm de la dout~m' doit 6trc
cachet
Vuicitnuitttc'nimt cf qui se ~assc pum- ics personnM. Les
pr~tt'(")'s:)criti:tnt,s:)f'tiin)cset'L'mtisi;(;ntcts(!iust.rcnten
seIu\tuttMn)!tius'.Luritcuunduut;iuubj<'t:u)tsc))U)-ine
d'aboi) d<;sf!tutpsfj[Ut')'))<) aptt eut))tncUrt'd:t!)s)('K')-itif'e
et an-Mi<iecf)f<s que Je .~x.-rHiœin'«it ~uurbut d'<j<I.)cer.Et)
t'<(tntf,<)t).(b:)udoutj't'Iat'(-)i};;iusitcsacrii!ci<'))G.(.Ci!tee
qu'exprin)<'h')'itt'd''r:tb:)))dn)tduvœu'<OA~i,j'itifait
mun v'ru: jf)m'suiscj.t:dc.'t mon \'(uu, je redeviens
hou)ntc.))'n-dt-.<(-t.'[)dsdu monde des dieux daus le
U!ond''()e'))t'))t))tx')i'))
L'nc furtuf cx!t;tL'r6edu même t-!te en fendra te sens plus
apparent c'est le )):tia d'emp'x'tcment" Mqm termine le
t).)~)).i.A\),j-j.)t.('rctuit)'))uM]))c,u)<H)runtt:)c
tntmtf.taf'.S.V).).)
~)))i))<)<r.r.f).)..)i:)t-r.Sr))WMb.7'/<.)M.a.t'n<hutccri~se
fait t.~tt<m.'r))ti);<t')r.)ju)t)!!ttiun)). diversnhmt('nts<htm<'ri)h'c
fr.7<).'i.).,t;)ttit'r!C).i.bit.))nu)!!))t)'cnaH<;t)')!e!!at.-)'itiHt)t:i)x'H<'M
'e'f'~tt)faf.)i()tnntt'rk-idu:~x~Cf..)'!< «'tM.t,)).
(:~Ui)k-))r..Y. )'. )n-i!'j.
(i'):nj(.'r"))).'r.'i:t))t.r:ur~~)h))]it!(')XfnfHxt'ufrr!md~(/)\')t~
2;r. /l,
0.~ i.7. [).f. r.3.
-)~. 't. i. – .< fir. t:. :<.
S.'hwa)).?' j.. tuT.))U)c)). t'. p. )io.)U.
VU.M. t5. /<.:t. il,-1.8X., x. ?'. S. 6,
9, 4.
t. 1,
), 8. T. S. 1,
t. 3. 11.V.
)) V.
.S. Vt.)/ \')t. tti.
'n.ai.)ti.).).'r..<.i.i.3.
(!')))i))ML.)'p.t74.(:f.Sy).).cvi,~t~.p.tiC.
()". Cf.('.< <), ), ). ), i~.
(H 'M/Y.W'')'<7M'X.;t'M.~j.).Cf.<))'jMtb)-r).r.&f/.
t~f/ p. t')7s~j~.t'cot.rtrr)<'sf'xprr!<i..n!t <ie Oujde..f-tf.d~ntM M)-t
M.t.t)'f)))-<'Ut~)t!)'!)t'!)tuc)))t'urcs.)u.ii!titn.puHr)!tntihtti'jt)t')c!t<!tn
')urit<tt.'t.)!)'i)~r)"it')'d!m!:)e<f.rt'tj'«.ut)Ut:!itd'tnt)cur!
t). )tr))t;HTKT
M. MU''«.–K<U-!).')) ).K<<t)rt':t: 8*!
sapt'incpd)) wwf,et qui est te contraire de )a~<< Apresque
tes m~rutuents <mt été dt'-post's,te sact'itiant prend on bain
dansune![nsotranqui))eforn)eep!truneeau''oura))te'.f))t
pto~g''dans)'t'aut()nst<'srest<sdus!t<'t-itiee,toutes))~bran(-t)es
pressm-ees(tu son)!)- Le sacri(i:)nt(h'')ic :t)n)'sh)c<'i))tt))-s!x')'i-
ncip))t''t')'i)a\'ititrc\tuc tors (h't:n«/«! :i)fnfitit!nt(:)nt)M)U)' l'
teiifn'[nist'n'ititf'(')'t!ti))<'s))it'ccsdu<-()sttt)nt'()t')afct)n)K'.
pnu)')('tm'h!m.i:tUt'audt't':)tUt)()p''n<)it't',t''sdeux\)n('nt8
dus!K;t'ifk'('.('t.iti)))tt)('r).;etetout.)~t's)ttiGts!tf(')n))))',d!)ns
t'ean jusqH'nn eut). prcnnt'nUt'nr )K)it)en p)'t!)tttet ct)Kc )a-
vnnt, d'abord le dus. puis les membres, )'u))i'))'!tnt)'Ce)!t
(iut.i)s sortent <htbaitu'tt'ev~tcntdcsv~tt'tttents neufs'Tout
ado)tc~tupus'.)')t'cim()ctuaui6t'L'tperdr<'tot)t<'itr.t<')cre
d!mK'cux')mn'~tK'sunpfG)t)('))tr''H!j')eux:)csf:n)K'srih)e))f's
qui <)t)tpu (~refaites sont ('xj)i<'('s,t)insique le crintc que
t'o)))tcommis p)t)u!U)t)~ dieu Son?). Or si te rite fst)))u<!
couptexe quecetui dout~uous in'ons pfn'it' tout d'itb'o'd. il est
de tnetue nittun' les htits cHit th''o)'ie lui itssi~opntla to~me
foucUo)).
Les textes bibfiqucs sont ma)))eureu.'ientp))tmoins cotnpjets
et ntoins ciuit's; 00 y trouve pourtant quehjues aXusions aux
mêmes pratiques. ))ans)u fétu du <:randt'ardot), )e~)'Hnd-
prett'c, âpres avoir chasse le bouc d'Axaxei, rentrait an sanc-
tuaire et retirnitsox costmne sao't' afit) qn'i) ne propi)~e!'tt
pas )a consécration ii s'' tavait, rempHaitd'autres v~tcutents,
sortuit et sitcrinait. t'~M=.L'itomne (lui avait conduit febout;
m<'))ti<)n)t(?.«yf!M-n);mn.)~"r/t.fM/r<'t~n)!H!!d!(t) t)<)<)!!
)<toutr("'
t<Xtt'!trit')!!(')())'<ii!)~'S..)/r.)fM.nt.'r.)~5.)<j.t~XU).t'K)t).
–A't.t(),t:X..S.tU!j.f.
())C(.i)icnt.tes''tn)~s.)L'sy<t'f/tw.tjnis~))tfn'nijunrtt'httidt'
en')r"it'ipartit'Mtit-n'tot'ut stt~n' tic )')nt)c.tt!t)tcfn'.t.'s~trcta pn~'h~'
f!)Y"ritt'dt'V;trtn.)!t!(')'.i,t.)n,.
H'.)'X))),?).)«.)).
(~).)/X))).i!.rt.tm<).Hn))t~n'')<'ntpB.H<.)'t')!tt'ttt')iY'r.<t'fu)--
111111,,5
eXl'rÎllIlIlI1'Ill'ilsrxyirnl lum, l'b. "'ul'.luu\(',,'itlldl"s,~In'ilx
mutes
arqtm;r('<ttf.~t't-,j~'tiM'rih'tt:ti'i)i'.)'))s'~<i)))ihmtftm!!iiMfurM)<t!t-
<j)rh'~tut:!)t)'i)!!<'x;uc)tt~H.t)t~. J'ur'! fautt'srit~~Xcs.~n'i)'!
St')')''s<-f)HX..t(')-)(C!t'(<)<)[)f!U)t.'<.
(t) )f<duMtK'nt t~nt oncicnsV!tt;n)<;nt< nn~j~rtr~s:itt~nd~nnant uiMi
tcuraM':it;n))Cj)er!iuttn!t)ttt.(;te<t(')tt'ta<)t!h-n''))f.<.i)!f~ttttpen~
)teu\t'cu))t))«;uni!t:rjK'ttt.))n'):t)M-ij))tt.(-[!t'~)jccn<nx,ttm)Ut<
nMt.()Hed.tn!!un~))fMntsat)s~ttt'! .«.. t. i~i,~3.
!< XV).2.9:))~han~it'r''um'f..i<d<'y.)cmt't)t AfiMuc
du jcfntt!.et rentraitc))t-i!)uien r<t-m)))'sf<')ici(ntiun':<)c:t~ami-,
d')i\-)!it-
aui'jt.'rt''t"Mk' tfs ~pn-uv' !)-u))))))itot~ )c<)it< C!-)Mpp<; M
t<'<)!.
)csd!tn:.rt.-rs.)'n.j..m-.t7'<~M'. )'<«'<t)),t!)..tf;t<tK.i.)
8~ ).'AX\'t'):SO~)).')<t-E.)8't8
se baignait et lavait ses vêtements avant de revenir Celui
qui brûlait tes restes du /t«ff<!< faisait de même r, Nous igno-
rous si les autres sacrinces étaient accompagnesde
pratiques
analogues'. t-:u Créée. après les sacrifiées expiatoires,.tes
sacrificateurs, (lui d'aitteurs s'abstenaient le ptus possible de
toucher ta victime, iavaient leurs vêtements daus une rivière
ou une source avant de rentrerdaus ta ville nu chexeux Les
ustensiles qui avaientservi au sacrifice étaient iaves soigueu-
sement quand ils n'étaient pas détruits'. Ces pratiques limi-
taient faction de la consécration. Kttessont assez
importantes
pour avoir subsistédans ta messeLe prêtre, après
la communion, lave le cidice, se lave les mains;
après quoi,
la messe est finie, le cycle est ctos et rofficiant
prononce la
formule fiuale et libératrice ~< ;fj;<.<«c. Ces cérémonies
correspondent a celles qui ont marque l'entrée dans le sacri-
fice. Le fide)e et le prêtre sont libérés, comme ils avaient été
préparés au début de ta cérémonie. Ce sont des cérémonies
inverses, elles font contrepoids aux premières.
L'état religieux du sacrifiant décrit donc, lui aussi, une
courbe symétrique de celle que parcourt la victime. U com-
mence par s'élever progressivement dans ia
sphère du reli-
gieux. il atteiut ainsi un point culminant d'où il redescend
ensuite vers teprofane. Ainsi,chacun desctres et des
objets qui
jouent un rùte dans le sacrifice, est cntraine comme par un
mouvement continu qui, de t'entrée it ta sortie, se poursuit
sur deux pentes opposies. Mais si les courbes ainsi décrites
ont la même configurationgenerate, cites n'ont pas toutes la
même hauteur; c'est naturciiement celle que décrit ta victime
qui parvient au point te plus eieve.
D'ailleurs, il est clair que l'importance respective de ces
phases d'ascension et de descente peut varier infiniment
suivant les circonstances. C'est ce que nous montrerons dans
ce qui va suivre.
III
COXMËXTLKSCnKMEVAMH;
SELOULKAt-OK~TtONS
OKSËKALKS
))U SACMtt-tCE
<t.[')"t.ft.))).–Pn!i.))).S.'i:).i.-)')jnc.M..Vn)
M.–V..y.~tt~U-ih. A.. t).r.iU.).UK-).-M''thit-~r te
<:tnt'tt)tun'')<')t\r(-t'!)pj~<;n'<u,~A"t')).r~s,t,j.–('f.\V).U
t)!m:ti./t.<fr'<At-K/t/f,,f/K,p~l(,tn., n.)~–V,,y.
p)ua)':t-[).)u0.
'2'X.~t!!hi!!uns!)nt)!!inn!)ttxrait-!birn<'nn)ms<)('))))i<~hnnhf<rdt.Fra-
!er.i't<x'))arthm.).)t!! )<'n..)))<)..)')'<)~);<jt~)s)(,~
dettfttertu.-rj.mtenrs..htr.<thM)t'tut))c)at)tM.)'ir.)t!rinUiit)h<t).
(3)f'n)i~.V.).i.–).nK'ih)t'rt!i<'ti<'na)'t'rg.«'K'tmu)');tuXttui
raient vernit; .(T~).t.JK'.
H.!H'HH~TK1'M.M.U' --):«U'-)'j)).H<t(:)Ut-)t;E !II
(t;A.XV).Cf.))h<5hM)t.)).'Mu.:L
(~ /.< X)\ ). s.).).
<3;Sur lesM.ThiM'it <j)i!)t~irpser' t.fn:ut)x.~f</t;)-)'rf/f)'~t't'<
fAf<t..)/.w/tt~VfitT)!ttr!)'<)i.)).).).–t)t)n!)h)!!<.t).OM~<'
~W~~<M~M/mMW~ –
~'</«t&«n//<. X~ p. H:t s. t'uttr )); fait!!)<t'nf)!)ni()MM,
Y. Otrich
Jann. ~'f't~<*f~'m(/<t -r: M;t~t~'<'.<<~t/<' t~<-<' ~('M/«'/<f«.tnang.))):
Drc*!aut~<i.reH))pt'iH)<'it)/M/<<M<7<t<'t<'f'.tt-A<)M<<H~
)'i<«f't(i(,crm.))h<).<k-fitth')~t.
(tjV.Ot.tf'ttb.<)<-<.<)'<)).~7.~).).. p. M:;sq.j.
'!)jA'ffM! – Cf.)c))et')rti'-i<-
x< 26-))t. (teKuhu,jxmrune spriederitM
!ma)')~t)M ttanst~nto A'M/<
)H<trf)))t- /<'t/.<rA~ xnt. p. t)3*')'). Sur
ceritcY<)y.)(t'ht)i('t~.«'/M)MA'f/)f'.t//t'«T'f-t'<<«.<H.t'Xmad/t.
t. M. p. ~i: cf. )ntrn.i.u V)),ttU p. ~05,7).
~).t.r.,).t. 4.
H. m'MMTt:r M. MAt. – K~.U<i')t).K!K)FX:E ?
tiques', mais dont tes autres se rapprochent du saerinee. On
!ie&)!t patte
gauche "d'un coy noir''un
crochet.!)u cro-
chet un ~teauft un dit e~M(;hHnU'<n!i)'au't))c d'ici,û ô
mauvais sort', détruis-toi d'ici: envoie-toi uitieurs, sur celui
qui nous hait; a\'ee ce crochet de fer. nous te tiens' La
tare du sacrifiant s'est fixée sur i'oiseau <'t <t disparu avec
lui, soit qu'etie se détruise, soit <)u')-i)e t'etotahe sur i'ennoni
MaisiiyamtcasGnparti('u)iero)'))'')nv()itciMirement(tue
le caractère ainsi etimine est essentx'iicmeut reiittieux c'est
celui du « taureau & ta bnx'hc' vietum' expiatoire au dieu
Hndra. Rudt'a est le tnattro des animaux, celui qui peut les
détruire, eux ft. )es))ommes. par )a peste ou la fièvre, ti est
doue le dieu dans<Pux'. Or, dieu du hetitii. il existe dans
':)Surte!rit<)y.)nHt)tuf.O/).t-intn!<).!t\')),H'i.t.t\Vint''rnit.t.
~M~n~
~.a.<i7.A'M«t.j..).)8.)7.t'i.
(~)'<)<'< trM~))!sntt!!)itMM)fn)cnt.t(.)t)m!)t)f.<.t!cc<ntHnentatrcexph-
()m't)t~ft/)))!(r!ct)h!tcufhean.
(3.).)'t).tt:i.f.
(t /.«<<mf,. njHnjHC ')<' )<):tntfur. <'H!))r<'intytk' dcMse .«'/t 'de la
tfestnh'ti"))).Cette um)-.jM(')'un-F!tjH!H.).;t;i[)!truu)<;))r nuire du'-(!r))efnt et
tHtji)Ctit)!&t<m))u')m)ui)it'ittttt)!tUc.
~t.e)'j<tdt;~uttm\'f[i!)t't't)r)'enm'mit't))ntM'tnecon~Mtdu
r)tn<'tv<ti'(u('.n(han'~ui~ncct<mtr<
('i(:r.AaM;<!t).ï?.t7.
fï) Sur <'<-rite vny. <))<)pn))prtf./<< < (' p. S2. p. i Wi.n' ), et turtout
HtUe)))-t'7.7/)).!<3.–Lcritt-fMitpartit'.)uritu.-).)..)!)t-<)h)m'.i.M
)t'xtM!it'nt:.f''t'<s<i..4.M:Ht-<:<;«-.t(f.<.i):.)'<tf).tt).
de [t~'sjK'rit'- K. :< ;'<), ï. X, :)..n.; K.s .u:u't..n- du )i)'; s"nt hien
net!! et te c'~utMutaire <\ M«'a«. U. cdit. Kirste. j). t:t' y v.tit une
!i<t/<A)U)dra.dicud<'ab(''tM,t))te.fsnmtt~jh')i!fr-)<;di<'UK['!nde
d'unt* victitxe f)t)i serait ta hr~t-hMd' vactx's.. – .Cf. otd. trad. d'th.
nu.)..S. <t. /i' XXX. p. X~h. – ~r' Odt't))). Ytdt ~urt.'ut d)m< ce rit'- un
cas de !rA«v/W<fMm«M. (:'c!(t tju'j) jt'xttjh'hf ~urtuut a dcv<')~j)pe)' te
tK)itUrctt)K)-')Mat)t<;dn rite <)Miest t'int't'rpt'mU'ut'itnm'ttdoMhYictitoe.
– Le rite ne nous ptt
parvcnM <jn't't travers d''s t<'xtfs a!<!<M t~'cnt! prc-
ix'ntant des'iivt'r);n<'esim))<'rtMntc!).X'~)!!n('f"))vn))!!t'xpf)<!(-ri<'i fana.
tysc)[i!!t~rif))!cdt-t).'xtf!t.t.<-r<iu)t~tm)~n<:tu"nsarrt\'t.U!iC!!t()n'i)ya a
t'ntAtrui'! rites ))h)!:uUtnnin'!h''tt'r'!);c)tt'!t.'jui~<ttftL',i.!nn''[du!< ou
moint, deux a d.-ux. ou t<m! cnsetnMt' i'uh.'n)) ))~ .<.)' et les ctan!
bnUxufmhjucs. Xuua t'xjh'suns !:urt'~<t te rit'' d<~ <-hns des Atreyas (.<j'f.
/~)').t-:nt'm!!ra!iteritct'stf~rtatn'icttf:ttf<th\-nmcsdn<i'/M<t& it
Kndra(\U.:t.)H:)).K3:)).i(~))t.ta)ttj)!)r)'S)'Ura<!<)u<'pM
8ay.e<~tM<-rL-t('eriteftux~npisi)<!s'aj)jf)i.pK-n[rt'tnar.)uabtc)ncnt.
'N;Sttf)tMdm,vf')r!inh'n)t<'tdpK)).«<f/.)'<'t<)ti-~t:2tO!()q.;
333 sqfj. – Cf. ))art)h .M. OM. <~/f< M< </« tt't/f<. ~Mt7«;/ </M MMM/jt,
tMMt.–Sie.-ht- 'artn-)f t-it't<)))s h'it), p. –t).'rcai~nc.ft<-). t'<*<<.)t),
3) <)' tM.~t. – ).(;i. /)w/< p. )(i7 ~))/. Br. t:).M.)). – )) nous est
ttnpossibte d'ext'nspr ici tfa raisutis de notre expHcati«M d« taper<onntttiM
)t)ytt)i')uc de «udra.
!'4 ).'A.\XKHS"t:).(j<i)'H.tS98
IV
LH St:H):MKYAtUHSt'n'AXT
COMMKXT
LES t-'OXCTtOX~ St'ÈCfALHS ))L' SA':Ktt't<:H
()HH~tib)t'<t't)'r<r..nd~tK't)t~).)Mt'r.'ph')')-).)M)'!K)n)K'S
nur<'ctt<<n~rt-"n'tp'f'f'
(('ft'V<VH~:J"t!.XX.))t.~S.rh'"ttHu'')'t'ur''in7'tf/M).M(t~
nnMu~.V)).t)'f;V..Y.(.XV)~t're'CXV[)apMUt-
d(-n.'Jr)t..N)uurr.npuint.H~i-!J'-wt'"i.h'usn"u<.n~t'n!M
der~!p''k'r t<<f"m'<f!")'<')'='<t'-
~))!Ut<))n.h'.t.i'<
<~tan.) "n f'"t )'cr h- ~rritnut ft~is. "a h)i dit
n-'uve~ ))''b"nt,
<-);<' <t!u'n't'. h f"rnn))<; est
dan< )" Yi~ Pt-udant -)!t'"tt \'t. )"'rt;mt utK'
V.t [r )..))i;.k' la V!tstt.~tn)"<ph.-rf 7'. S.. ). t. ) Au d<-t))ttde t"n!!
T..i )«."r )" < toi )..mt- la MM ·
ntc-i..m ).rc!).r.. nmntr-s .<)
). ). ). ) – du safrit! ht n'ncrHSt'cn<'c est t"t<uc
(r.
!cf. j')us )):tut. ['. u. )
(:),t')n<)).t.).r)''t't')"
,<nnr"nthus.<dMnts~dt<-)t'jh.rt~~u)'.)'!tutr'h'.s.dt;i'
d~ p!'H.M.)'):X-<X-
t3C~n-
'« <.tH<M /<t.H.<t-/tfM
ta n.~<s<i~H. v. Witkcn.«' .<ff.<tMM«"' t~
TM<t<,tH" t'.<H'< r..Yf/. /"«.,
~).'r/t..t <)'. </<-<t'
t~,p.t~j.)J''r:Kt-r.<M't.p.f-r!t'X.K')!<-hct-,
jfj/«..t/'M..).itt.p.n:!s<).).
(:<-s expressions "nt (-top)-nnt''cs aux spc'-ntations bihii()t)C! et tat-
<tu Ki~p~ur.
mudi([ucs sur )c j""t' 'h' ju~etnent
)).)H;))H)(Tt:TM.MA('s.–):ss.U!.Utt.Ë.<.U:fUfn:): Mt
Par cessent que le pèche, )a mort ont été 6timines. les
puissances (avorabies entrent en scène pour le bien du sacri
nant.
Cette t'e~enerescence par le sact'Hu'c personne! a donne
naissancea un certain nombred'intportimtes croyances reii*
Rieuses. On doit d'nhord y rattacher la théorie de ta renais.
sauce par le sacritice. ~ous avons vu les symhotes qui font
du <M.<<«un fœtus, puis un brahmane et un dieu. Ou sait
quette fut l'importance des doctrines de ta renaissance dans
tes mystères jurées, tes myttu'io~ics Scandinaveset eeitiques,
les cuites osiriens. tes titeoto~ies hindoues et avestiques,
dans te (to~mc ctx'ôtien tui-meme. Cr, le plus souvent, ces
doctrines sout nettement rattachées à l'accomplissement de
certains rites sacrin<e)s: la consommation du nàteau
d'Kteusis, du .'<o<tt«,du /t«MM)« iranien, etc.
Souvent, un changement de nom marque cette récréation
de l'individu. On sait que le nom est, dans tes croyances
religieuses, intimement tic à ia personnaiite de celui qui te
porte: il contient quoique chose de son âme Orle sacrifice
s'accompagne assez souvent d'un changement do nom. En
certains cos. ce ettan~cment se réduit :'<uneadditiott d'epitttete.
Kucore aujourd'ttui, dans rinde, on porte le titre de f/t~i~.
Mais parfois le nom est comptetemt'nt change. Dansi'aneienue
H:;tise, c'était to jour de i'aques qu'un baptisait les neop!)ytes
après les avoir exorcises or, apr("~ce baptême, un tes faisait
communier et on leur imposait leur nouveau nom Dans
les pratiques judaïques, encore de nus jours, te même rite
est emptuye quand ht vie est eu danger Or, il est probable
qu'il accompagnait autrefois ua sacrifice; on sait qu'un
'))\'uy.m'st't'tn))tt"t rendus))t'!i)i\n-i!fit-A.Xntt.tt.tt'.Checthttn
())tu'!htin.)).2)iftstj.j.).–Kt).)uic(tt).<'rt)(.tc.«tw')rit)t')!)ti)x).'Ut-sMy.
S)h'.).cvi./<«c/<)U'J.<()<)'i)!cn<'t'it'u)t<'t'm<'tcA'mMt<t.vt)Y.))a)''
tMe*t<'ter, M«<f«W<)< <'<.tmt'cMt.;). :n. «;')«<(:<<<'(
.tAWxtHM. n. !K).
<) V~'y.t.cf'-hurcin .Mt~t~xf;iti'tT Xrittt")).?' <'<<«.('co;t<<'4-,
?.?)!!()([.
(3jt.cp(L-)('ritt')t'tMt'j)K'.)'!)))'-i)'n't'-ritiant)ht/<ft;/f/j)rt')MU''t
prend
CUc~fc te tHr<:de /««/j.\y. \<Hh!ttm-tt. <f<'xf<'
.tr<fh.
<h'f< j).SU.
(i)V.t)U<'h<"<n('.(~-t'/</«'.<M''M//<'r/;<f~f'<'H.[).2M.s.j.).)t)s)t'tUt.
p.W.Sur)ftrr)!tti.))t(-)ttt-r)f'ii.n-ri)i''('t't)t'.<ritf'i!<)c!'itntiathm('tt)t-)'jtt.
tr'K)m'tiuM't).'htn<'t)\'ttK<t)nt'.t-f.t'rM)-r,'t.ft..).p.X'~s<jtj.–L'<t<
<'t-)i!iit.M
it ia viet'itrcticttnea tuujmtt'st'tc t'oxsid~r';cumox'un vraichan-
f{';)t)pnt<tc<mture.
(!')StUM iittvon~que t)ansbien')(-!<cas paraUcics. ft tnf'mo')an-)ectui-
ci, unimttt'ctret est vise duphtertes tnauvai'it'tpntsen changeantJe
!<~ ).'AS\Ht:)t:)))).t)t!)<jL't;. )(!<
)tu)n.~rr~<'i').tU!.t['')Mnrc.y..)/;</)'.<.<</f/'A'.c/t~;ft.<h'.).)!L7''f~<L
f).f~t~i.t'm.tnf!t.rA~«.t.7''</M..J..V).n!.S.'hw~h,)V.n.?.
Cr.S<i..m'kHnr!:r.~))j'V<V.hf.t).p.)~.
ttj 7'«~t. J.. traitt' '<'<<')<. 't<p. H (S!'hw!)!
~f~n~r~–Ue
()t't.77~ft'M.t.('Jj, :.i.
~i les ('tn~h' rcu~U!i, ~)7.
'i. /r 9.)- \u< n"m r.'tt):t'')~ns ahsu)H«t~tUa') r.'tpjth.rh~xtcnt
Jlr"I" 1" JI. 1. ~lIt1'1' III IllI'iOI'Í"hl'IlIIIIIIIIII'(I1"dr J't'hlll'l'~II\I'nt Il lu
UMrt j~tr )*' <a~!i!it~- '') ~!) Uf'"ri'' ))~uddhi~tt; df )a M.;tM<,tk- ht d<-)i-
))rt!j!u«'jK)r.\).).<'n)~')aHt~~ri''j)r:t!n'):Uti~m-<!<')'<t!<t))jtCt)trnt.th
\'r<i)!t-r.(').t('n!H'r;<u<«/<t!. i".
)tr~ r.W.. <ur i'.F.7.<tn ~<.<t). H!u~r)'-H.' <~h-t'un-
f<:)'<')<“,<; t. j,ti,:t!h. ~h'tnis).t.t'f)tH<H<u~)")hfede
M. ))iU.hr.t.Ut/).)).~s!)..t .).). ).!t.itu.!rsi<th'r))f(.'t!Ui'mst)e
ntY)h"i.'j)un'"ntunj~'n'')n'ti)c-)!!ir:))h.n!it's)<)<'s.Ku)))).
//frM~'f;('«<*). )«)f/f/<ft~«'<'M<f:r.)t'LSt')!t'r.<«)'KM</
.)wtr.<
'y.)).trN!~<h'trr./y"K'M~'t.<m<vM/.jL)t!.jt.t).
<~T~h<<).i.h)(-<'x.)nn")'<«. )V.i..s. :~f)t).j.t)M)M
rih-.<)r-j!)H.it~t)ntt!ain!ii)!)<'un~~r!t)!~nd.-)')h)!.ti('~<-ffti)j~~un(-rur-
mu!r' ..t! ~.t nn'~ti~n' r<'H't 'in sarriti' ).ur h' !))). V. M.'tf'nu )'.)«-
~</ /M.m<f )). p. ;<. ctr. – ())) p~urr'ut f'n'r!' r!)ppr.~)K'r))f
c'-s f.nt< )'.).w'~< TatotH.fi'j~e ~uivnn! ht')~t-)!c )~<tr!)m< !!is).an«- .'m
dt'crt~t.)uin'ut))j)n.!S)n-ri)i)-tt!n)rutttj. partit h vi''rt.-r«'-)tr)'.t'm.
<t'<),/t<t;«.x.i.!it.(t'!m.rH/M.J.tti)t"t!<<)'))ttf'Yint't)cven))<
interdit.')h.~rs't'-)r)')i\r!'(':tti')");t)rit'.ni <r:))itu)nt'.(:<')M<M)'(<thnM-
fti()Ut'<!tj))))nc~)r[c\-cr!t'U~.t.As'!t:tt)i))t-muimc<jU!!tM))uiont
cutK'ht avt' tout aUiancc ))ar )< sttcritk'f.
tt. 'tt'HTHTM.M\–H«.\)~-Mt.K.<t:)tt)-)<:t: tt)3
tegardiende)amaisot),t)udei'autei,oudetavitiequet'on
construit ou que t'on veut en fasse la force'.
coostruire.ctqni
Aussi les rites d'attri))utiuu se devctoppcnt-its. Ou emmure
t''crâne de ta victime innnaine, le coq. lit t~te de chouette.
D'autre part. suivant la nature de ta coostructioth l'impor-
tancp de la victime varie: setonqu'its'apt d'un tempte. ou
d'une viite ou d'une
simpte maison. Suivant que t'editice est
déjà construit ou à construire, le sacrifice aura pour objet de
créer l'esprit ou ta divinité ou bien il sera une
gardienne,
propitiation du ~nie du sot que les travaux de construction
vont teser'. La conteur dp la victime varie
par cela même
(1
CMUtndMhtMd..ntictndc'-ut))jNrt'<(.'<t)'-))h)!.avMt-Yuy.
ti.ud~i'.A<<<<<</t't<).<<t.;t.)'!tri!ti!M.n.\Vtntcr)utï.t';n<<'
NfK.r/;M)fS('f) «/ ,/ftj; ~,<M.) /,(.<) ~t~M. ~.U;< ~)));/(, <;M(.
:.)t'). ))!'«, X\')).httt'p. :j.).(.tsuftumrc)[h!tu.tiYcm.)tn.«rt~
~M~M~M~t~
t-Gn.tn.[.. ïi~~n-cck')!).<! !iettMt)t')(.~f«t-)n< un !!<-u~-t''tnah'th)ritti
hi~(.)h.mcnt A désirer. Sur h~r.n-~Mn (tes <r)~uude))!trti<
<te~.r))adt.'9Yictim(-d!m.<)ct<t~tfn.ti..n!Uk~.J'W'.w~</<-
~r/<«'rt'('<i<). t;<-t)j«Mt.,t ). j,.t. ,M,y, r,t,,y, /),“ t'o~Mt
A'M''</cr..Yf(/<t,t~.p. :u.–t'ium.rwM.ff(:t,M.. y, ,,M(;f
pm~mh
~;(:MSt)(-CM )cp)!t~(~Ta!.)ix'ttMar~-ncuK-ntdM~'trn'nti'.)n d'une
e!![)C~'c<)'dK'rt)t.jHt.-)..)trctnir:t)))u!))a)'<)ut)t-)t))<)t va~un~s
paraUt'k-a~.)uidn~nt~Tuir<(:<.(cspras<'M~tc<.Mpt-~i<e
c.~n.)f.tM<-chtfurcc.)ui~n'ts<.)i.)t.)a<t)!!trU(-ti.'n.uu))iptt
d<-YK'tu)mmMSurtt'dcdict)j.<;r!tte).<)U!cmt<St)cux!t)!tft)i!)ai!
tuuj..))r.<i)Mr!(Mtt!(c))t'')mr.-<'H<dHsti<-n!!A))t\-i.'titt)c<t.!Uti)x'.rt<;t& il
hn't~tro.-ti..u .)..))(
i).t).-);r')i.-nt-Ue))r..t(.tt-)tr.ntr<-)<nr)s,
t<tu!'t.~iH'tt.-S)U~Ut<'u~.it).<))i)-iU)t!(t"H!!)<'te.<))0-ttht!i('uU MX
v..)t-u~t't!uixhahn..ut~. )).(:. Tnunhun. Me y/t,v.t/MMC..<'n<<)Hy.X(.w-
tark. )!<?.) ))c tt.me f)n't )!xt: )it vh-tnne praire, en seH<ant ses
re.<tt.e~dp~).'unrr~t).))csat)t!~t-)Mft.tttt!ttiùM(-tp)nst<tfd
"tt '-nutmrc )~-nf,t.tt'. – ).<<whtirp .)<;r..t.s(r)tcti<ttt
M pu ite rf-)<etcrd")M
dne~ ntt)r)<: .rab..rtt en des .c~.siuns urav~
rcpamtion .t'une c..n<-
<ru<'t)..n. < d un.- YtOc. puis .tt:v<.t)ir
t~ri'~ifjm-, et se .-unfutxtrc dunt
bn:tt.je!!)-:)sa\e(-tes Nt-rifirt;)M'r"it'M, donner comme t-uxtmissam'ca il
dt.t [.f.<tu)~)it..< !t.yt))i.)uc.<(Yny.
Uutt)mter,.S<cK'/<it-/<;cA<<. ~«y/e.
<fn.<'A'y'u';tM.).V),j).)'.)!i~tj.).
(:(;).<rMt.tf..ft~<'cm).hti<mMi.
vu-tune des t'.d(.-r<-<de t'c~rit )'r"pri~ttirc ns'nRitdeMM.-ht.tf.rMrune
-i'))) du <f.). s.dt d'ux 'juettjuei
.-ft!!de )a .-f.tMtrxction eHc.tn~c. f.es deux rite!! se tMuvcnt
rott.is dan<
Unde \y. Whttct-ttih. <w.) datti! le sacriticc à t~<«t/)<!ft Uudm
tnaitre du fieu durdiMuire ils sunt ist.)~ (~rturi, ct'< p. tt. t5
)9 et p. ij
tt. m'HEKT KT M. M. – t:s-.U .:L)( ).H ~.t):tt)t-)CH )(?
(h Vny.Wift~-nut: <'</). t.
(:! t.c.ts )..)))me..))m)estct-txi'te In tit)c.)(.Jejthtt-.M.wil v <ttt.n-
jnnfi!))~5 r:n-r.)n))))i!t~-t)t(.-n[ <ittn!!<t''nti.-t'
Y..).<!)tair<
k scntinh-ntde
.sctre K.-<)Hitt. d':t\-uir<. k-
rejctt- \.uu K.~tonf direntt-))crx"i'ct)t )«
thcotofficn!! hindutt!
<:t)Ut f..r)nu)ft!t-tt<-r:th'
.)e)'attri))ntif.n (jttediMit)c sa'-hfifmt. )nr«)ne
) '.nk'ttmtjetait <tufeu une p~rt.jt)t'tt-n.).K.. <-t!tit
dttust tttdc\Nti.)m-
(~'finu Oicu j,Ma toui.t.
(i~Ct')!nt )c!isttt-ri))' df ~;t..c..<)t')on!m)tc.)" ht ttihtc.–tjssoo-
bh-ut<n..irt'tt. Hs.iMf~))tt..j)t))renx dat..<)a phfjMt-t dt. r.'tiMi.'ns(vu\
jx.urrto.h. nj.tcob. < r. :Mj.<“;\Vi))t~n. Ot< <-<-«.-«;fK~
.Wf<- '/<~f)//)' /< <:“ j)j').). :<(!.st),j.
(ù)(:a))<tway. ?-<< "<)<«'<;«/«. p. :). n. )t. Cf.)-'m)!pr. f~
~<. )). H. et. – Cf.Maritticr./).'<~<.<f. ~))ti)8, t. p. ~i'. – Cf.
Sah!t):un. //M/«r«f</t-~Mf'<<M <<.Y"A'f~ )). )). :!t).
M ttintbran.it.t-t..f.«if. f.ff; p. ))f,t ~ppr-ht.)-de ces fuib
tes cas de n~yadM<)<- \ir(it<K"!d!U)S )'c.-)u.t).t)t!!d'!tutr<
cn<un n'jjatM)
sur ttnf M.-titue.)tK-)t-'w)))f d.' )'e;u! <'x.Il ;“. un,. )K ~[.
Cf.Knom-r.<<<M f~< S'Mt/'«fM</f/fM/f~c/.t.t,~M/s,,t.j,
A'<AM.</<- ~'<'tt;r.</<-
A(<tMh) ';<'<A<M. )SUS,p. )fi;).– Cf. ~ttirnuwet
tt"y<-r.<t«<«<. /<Mt«;f.«'<.
)!t'J!<,
p. (').
t~C
<A.\xm;.<t)):no.()t:)(,)rH.it')t
1 1 1.
au fond, tui-tnOne. Lit force
par dt'~a~'e est efficace. ),a vic-
ti'"Gse)noutesm'tafurtnt<)evt)tivc,siucot-t)oruito)te,ta
t'etnptit, i'auitne, ht porte aux « te
dieux, en devient i'csprit,
vehicute'
'hf.~r<~u'n..int)'!UHH~thd:m< h-rit~v.~)i.)!)!<ur).)cr'!Up<)ndit:
'n<')~t!tr.t!t.'r!t!(.k.i;;u-r!)ht)J.~H.t..i..ti.)tu)..t)tt-!U)
C~'t..)/M..VJt.ti.).).)"r.).:i.6!. j:ct.t«)))rn)<-
(7'<r.<i.f. tf.t.ui)<~t~j.)~u.h.U.r).tt~.nt
t'it').t('Ht)~t)~)t''r"u)~))-v.fti<)~)i.!(i'r))i~nt.on!<'f'sttr).<uvfnt
fi)fttn')Yi.'tiH!t-t'nn!«.)ttt)<t("'<at!)-rd.h'~t))<K'i)in'.i)t"t.\t.i.-nitt'
aihf,)j.-sTi.r.t.)'))..<i,,t.. )V.t.–)rt-ttUtn~r.'tti..t~)(-).!=<).-ri-
fi<'[-.<u).j<)i!tt't'()~h'tt~'ntc~U)j~t;t<<)'~)iin:n~)).<h'ni)riudn'<:M-n-
)i'divinnt"in'.tndus:n')ijh'<'ditn[))tr!~i.~).ni'ht.«ri~ct')t~)))'rihtrf.
ni')u-u'riti.-t-dn.<rnH.nt.t.(')<L'ttt<h'.)<'t-<.)h<-r-t~f..r)n<-<.h-.
)ii~n!n'r.'utprnt .trc ~~t'i)s'it. ta .-tussi.<)<'
<'rrcrft ~tiH.scfum-<-h~M
lh, Jr,rurrn,
!!a'-n~)U).i))nt<)n't.itri~-v(-r!,tt.))(-t.tt,.Ht't-h..sc.U))j)..))rra,
t'en(-t'tr<)t'ccf"intd''Ynr.atriY'r!'tunct-)K.tsi)i)-:))i'!)).
H.m'M):)t')):TM.MA~S.– KSS.UsL'ttt.K.~CKn-tCH
t07
tt<'sactin<:edmet'ehtes.(rt'stunde5e!ts<)ùt'o)tt)))!;e)'V(;t&
ntieux cette cotnpiexite fondatuentatc du sacritice sur
taquMÏÏe
nous ne sam-tons trop insister. Aussi ht;
pretemtous-nous pas
faire en ces queiqnes pi~cs une théorie ttcnerate du sacrince
unruire. Nous n'osons ptmpr~Yoit'tuutostesexeeptiuusappa.
rentes et nous ne pouvons (tenrouiHer t'euetn'vetrument des
devdoppementsitistoriqm's. ~ous nunshut-m-t-onsattumtysf
d'u))S!n:nticL'hic)tcut)))u, quia [ititdt-jitiohjt't d'un c<-rtai))
uu)n))t't'd')jt.mk's.CesUusucrificcuZt'usi~)i);))st)m'tM!)
Atth-nit'ot ct'tt'hroicnt. (hms ta f~te cutmuf suus le nutn (te
~<~f~«fuu de /~«~/tMt«u'. l,
(~t~ Mtc MVitit)icu au mois de juiu, asla nu do ta tnoisso))
eti)tn-u)ntnem;e)n(.'utththHa:~cde!ibtcs.Ltpt'i))ci[)idMcct'M-
htunif su ))!)ss:tit sur iacruputc, a Htut~ de Zt'us t'otiuus.
Ut'st;.Ueauxct(tit.'nLd<)Jt)s('ssut-un('taht('d('))r')ttX('.Itsn'<
hm'm pas ~at-dus Aturs, un tacttait dus bfMufs;t tttt d'eux
s'!t())))-oc)mitde iautet. tHMH~iut.une p.t)-U<- dt-s ofrt-iUtdeset
foutidUtux pieds le rcstH'. Aussitôt, un des -ucriticatcurs le
frapjtitit de sa hache. Quand il t-tait abattu, un sccundt'actte-
vaK un lui h-anchaut ht ~ur~' avec un coutfau; (t'autt-cs le
dcjt'juithticnt, jtendautquucftui <)!tirav.nt [ra)))"' )<-ttretoict-
pt'cnuit ht fuik'. Apres it; ju~'Mcnt au i'rytanciun (tout nous
avons p.tt-tc.in chah-(tu h<nufct.ut partage cutrc les assistants,
laj)eau)jt:(itt-(;cousu(',rc)np)icdcpai)k',cU'auhn!naiu!i.i
en)pin))c~tait attciuù uuG charme.
Cus jn-athjttcs sin~unot-cs pt-~tatcnt il ta h'K''nde. Trois ver-
sions diuurMntcs t'attribuaient a trois personnages ditMrents
l'une a Uiomus, prêtre de XensPuUeus,) autre a
Supatrus. la
troisième n Thuuion qui paraissaieut bien ch'c les ancêtres
mythiques des prêtres de ce sacrince. hans les trois versions.
(t\[ntth!~(i)..Uv;/<.t/.<Mf/,<w,/<<f)<f'M.j).U)isf).j.–n.!)).)ttitt).
Sut s.j.j.-FiMi't-r.<<. ~i).j,M.t).))(.
JttW.),.
)'r'~t.«"f..«;')fi)t<f/)<'f')M')).)')~.–)~)!t;cL <).)))
sf).(.-ramrH.r,f;r,7.<.).).s..));.)i~.).Y.\itd)Ht<
)e.<)).)p)!~<)i<.<unr.tcrt))t.t..h'uti.)u.).'r.ti!.T.«UM~M tH
)).~as.).).:t.[,m).).t).
f.tru)'pf.f't<'c/«'.<t-/t<V<Auy,,<j.t.
~i\'<Y. t't"~mi!ts.).~i.e!,)~.–)'r).h\r.<'f.t~<.r,,<)j'J~
s'p).h.)).rist.«& ;):<–H.,nt.h~).X.–St)i.)a.iA:~
<}.f,'< – )k'sy.-)t. ~t~; '~yA.
i:!1J'au<,I, ~i,i.1.
(i))'<')ph.)-.t/,<j).
(!t'r)[.h.)f.u.-7t.,)).JO.:)U,–SdK.t.tt..t)).t'tAri~t.<.e.
t08 L'AXXHE tSM
-:Ot;tu).))Ut~t-E.
1-
le prêtre -11-
a dépose t'oiTrandesur t'autet: ut) b'cuf survient,
les enteve: le prêtre furieux frappe le saerite~e et. sacrifie
tui-meme, i) s'esiie. La ptus tourne tte ces versions est cette
dont, le héros est Sopatros. L'neseciteresse et une famine sont
tu conséquence de son crime. La Pythie consultée répond
aux Athéniens que i'exiie pourrait les sauver; qu'il (andritit
punir le meurtrier, ressusciter ta victime dans un sacrifice
semblable n celui <Ktelle est morte et mander de sa chair. Ou
f:)it revenir Sopatros. ou lui rend ses droits pour qn'iiottre
!esaeriti';G et t'onct'iebre la fête comme nous t'avons décrite.
Vfiia les faits ([ue si~nifieut.iis? Il y a trois actes a dis-
tiuguer dans cette fête:ta mort de ta victime; ta com-
munion :i' la résurrection de la victime'.r.
Au début de ta cérémonie, des gâteaux et des crains sout
déposes sur t'autet. Ce sont probablement tes prémices des
bies battus Cetteobtation est analogue a toutes cettes qui
permetteut aux profanes t'usage des recottes. Tonte lit sain-
teté du bit'-a battre a été concentrée dans tes fléaux Le
bœuf y touche: )a soudaineté du coup qui le frappe montre
quêta consécration a passé sur lui, foudroyante, Il a incarne
l'esprit divin loue dans les prémices qu'it a mandées. Il
devient cet esprit, si bien que son meurtre est un sacritege.
Toujours, la victime du sacrifice aurairc représente symboli-
quement tes champs et tenrs produits. Aussi est-ettc mise en
relation avec eux avant ia conservation detinitive: Dans le
cas présent, te bœuf man~c le gâteau des prémices, aitteurs
il est promené a travers les champs, ou bien la victime est
tuée avec les instruments tricotes ou enterrée a mi-corps.
Mais les faits doivent être considères sous uue autre face.
En même temps que le champ, ta victime peut représenter
aussi les )<detesqui vont profaner )a recotte en s'en servant
Non seulement les produits de la terre écartaient le sacrifiant,
mais encore le sacrifiant pouvait être dans un état têt qu'il
(t)HuMh'<r..n).t\:t\n.~s)anh.rtd'A!ni<!te!)nt)ote
d<'tnr(-eu))ff!Ut<'h''c.~Ki-!t't'![scf!tir<;th))-it('uneidp<tM)!t)cct):'tr(!itc.
''J)MtHH)ttSt.n.f-.cf'n/nsc)jm;)<<! Muut'hnni<ss<!))t unef)!')c
dubat-
tn)!p.
.)'St);nt;<').r~prct<'nd~))<'h)!i!<'r;iti"n'h)'b'htin'i!ant{)!)t)t
.ttH))'mtt<h-<)t~t)r)-mi~)dan!!)t-))i)t<.)tat:stuac!tsdt:sub!,titt)tiuudu
SMfi<it-<'SMt):)imt!mxt!Ur!mt)<;s\'t~t<dM.
<iC!tt~.t/f.)</r«-.)i–it«<"«-r«/m;M!)r')«Kr~t.)'M.n.9–(;f.
)''raz('r.~u<H.t.p.3'.).Yt.y.d(-<'x)')ftp))"!ft'rt'')!tir'!d))UK'tt)cgeMedc'
fnaf!:S!tftu)-i.~a"f'f<p.H.)'ium.<«/[).):j.t.
)).))L'MKh't'):T M.M\)'–K..<usr))U:U:)t))-)':); tO!)
,n~M<
~< f' r'
cf.rc
<t.i,ur)ar.i..n~r..s~aniN.M t.-u-
a-tue) les .c.r., d.)i.ut .ht )h.n de \-w.a.is il n'y L'
tMtc;.f.nM.t,ur.-cp..i..t~-t .).i.k. rite nithK.n
M.~ .tn.K. n~.h..nnm,.i.,uc tic ).<j.,it.).. )-c .f. r. f<j
e.st .ht .,“< ~.)j..r v,.r..H. vi.s.Me et il .<~ t :tn' b<
?' 'e 'it M. ).cvi.
n.~ <.
"t! t' "Mniticnti.M pour
'foc n')M!!pmso.u)!! la 'x.'vei..j)j)cr.
(6i.tt.a- ()'.«.. t.6. !):.
(~Mttnn))Mdt.))'.f.A't. ().!<() s.j().
'AX\St)(:tut.t)!!)~).'t-)(!it
~C~K~n~J~r.n)~
(tribu!)c!'A)tfU).
–))~.t. n', ).-rit.r.(;K )),).. ):!<c!)ine'.
/9t,~j!u.p«urt)<us!)};<dntt)<'mMi:t-))rc.
(~))-'MKr.<:t)M.«.,n,p.
(3,/<),p. a.6.
fi;/<), (). ~7!if).j.
H.))mM)):tM.–Annc<'s<!<'i~)..)SM!.
t)t ).<\Kt:~(.)~).t~tt:. )'<
)tH-<«m.)\i!).–t'r..p<;r.<,t9.–M:tn)th!H-dt,H'.f.
A')).i)i~).).M'<c/<[..tS!t.
(~'hi.).M.tV..t\r,:i'.).
t:!)''r.~<:r.M.H.jt.t:).–)t~t.Lu'in<t/<f'M..UM.<)MO.
p. :tis .oj!).')' huhttt' – Hf. <'uUed'his a Tithurt;!t,
yfy. p)t)sh<tut,
n. ).
)). "L'uf:)t)n M.m~.–):.<u ..)-)<).Hs\<u)')':t: n~11;
"eus venons d'anaiyser un type, it été
surchitt-se de rites
nccessoires, on bien denatnrf suivantt'tntct'()t-etation<)u'ont
pu recevoir te))es ou teHe.sde.sespratiques, tis'yfn~c t!t'ue-
'dément (tes rites magiques de )ap)uie et du soLit:onjioie
la victime ou t'on répand de t'eau surette: le feu dnsacriuce
oudesfenxsjh.eiauxrejx-e-ient'-nttefeudnsuieit'.U'autre
part. il est an-ivt:-<;tn'ifs rih's ttL'd~~o-ittisittion dt' l'objet,
dusact'itim~ panant uot' j~accprcputxttit'nntc.h't'itctout
t'nUt't-)wnv!)H[)rcttdt'c.<'()mm(.'t'ittUt)nt~M.t-'r:tMr,ict-iu-:tc-
tfn'd'tHt\'t''ri(idjics:~ri)i<('('x))iMtutt'('h'<"s))t'it.duch!unp
'tuiiiOt'tititd't.tvicUmuyrt'~titiUMCiipëM'sd'uuboncftnis.
sair(".Luf(:~ci~)-!tir'dcv('t)i)iUt)tt'~tudn/~<«.Suuv<ut.
''n tH'ccc. tes u)yt))L' (jui r.tcotttiiH'nt )'in:;titntion det-fs fêtes
les reprcse)tt:)it.'ut.(''<)U)))t.'i'<'xt)iittiuu
périodique de crime!)
<'ri~iw)s.C'esUec:)sdesi:t)Uj'i)(H)ta'. ·.
Ainsi, d'un seu) s:)C)-i)i''ei~raire.t'jnte une musse d'ciîets
peuventsurtif. La vatem- de la vicUtned'un sacritice soieullei
pt:tit tet)< la f'Jt-et'expansivede ~cuttsecraUum't.(i).si grande,
'f')'i) était itnpossibte d'en iitnit'')- arhitrait'Gtnent t'eOicacite.
La victime est un centtcd'atU'actio)) et de rayonnement. Les
chu.scs <)ue le sao'Hiecj;uuv:)it tuuctter recevaient leur
p:u't
de sou inihienee. Suivant téta), ta nature tes besoins, des
personnes on des objets, les euets produite pouvaient dif-
térer.
V
I.KSAC)UFh:):OL'tJ)HU
s"n))!ditt'n)()r!dG<)ui!)U)n)"t)).<)))i('on))))cn(-(-!tCxi'!to-d!))w
ia)t't:f''n)('<'))'h-))()rs(t("<~tcst't.)).ss!)(-ritit'cs. C'est itjxsi
<)' ~upcu,t'.t))K'd(.'ta\i)'d(.'s chimtj~dt'vicnt cx~'Hem-~
!mxchi)t))[)s't't<i)idi\-it)u:dis).
M:usAcette
)Jt-t'mi;'t-cc:)n..t.u)n'!mh't.'s'fsti)j<)nh''<Lf
siu'ri(i<(tt'-tftmi)t('.p!n-)ui-n)~n(..u)K't'xa)t!ttit)U()c< vic-
times ([U[h's(iim)i..t'()ir(-t-t('tu(')n.Xn)))))t-t'))S('sstH)t tes
''W'"t'"<'jf'se t)-<)uv(-nU-i)(-<)))tt'('sd''<'t's!)))()t)))-<)S(' «('rente
n't't:tit:)dtnisda))s)'<))Y)t)[~qu'!)j,t~s son suicide sur)'')<')!).
Attis= et
).:s))n)t)mrfu)-t'ut!U)in)t'<it)))~s)('m'tnort d'une vie
()i\'im'.j~c()nstut):)tiundct.t\'i'')-n'Gst!nHr('()u'H)'it!ont.
uncdt'-pssf.i~t-nirt' <[uis')itp(.t)dm". Au~cxiq~un
myU)C)-:)])))t)rhtHt)Ut'h's<)h'it<-t)!ttm~nY!m'nt('.t(.(.n't's
I)arun~crint-),)dt-f'~(.')'t)(.i,)Hjtttrt'dt'sdit'u.(').tit
é~)~nu'ntpr~(.'nt(''<'c<'tntn';uu)'f)')nt))(.-()n'u))'<!t<-)-ificcitU)-int
dint)i~j):m!, le )))('-)nc).ays. i<'rsdc)itf'tt'du dieu
Tott-c.'mj'on tonH~
d.')).)ui))!)itd(.'s<-itjttifs.t)t)).t-~)'c
re\-fHtit ta ),e!md.)'t)n d'eux
:i)d.-Y..)t!))t:dorsritn:~e
dudit'u. )'"t-t!nts("<<)n)<.n)(.t)t.(.tsuHcosh))))f,s'i)ss('Jit
sur
""t'm-(.tn-(.t-v:.itM):.).h-<Tdudk'uk-si)ni~(.s'dcs
prenn.-r.. fruits-. Dit))-.):. ).J;('))d.-cn-t..i.,cdt.))ion\-sus. le
cœur()udict).())H !n'!Htctt'')n!tMit<;n-pi))-)[-sTit!)n.<;t'-(:tit
p)!K't'd:)))s m) .<)tt)uHdfVi)itt'-).t'c:id()n'P)ti)()nd<'
Byb!')spn))))ui<p<)urt.x))ri)h'T)'t't!ttd'Ocf:u)()'n)utHt:'[)!u-
s()ntits)\)-f)<t()!unct'xpt-(-ssif))t)))('Hs)!j:nif)(-:)tiY<<.i)fut
co))S!H-n-Y. )):)))< (.(.<);)dcs s'tt.sistchtCttns-
ciMMnhscurcd('h)V(.)-ht(h)s:)Ct-iiif-c.Latt-!t(-t.p))))(.rsiste
~utt'nx'ntditn-.k'.s rites l'.tt-t.-xptupk'.aJmnt~s, où tcrôh'
!)f:i'.)''r:~fr.tf..).p.:M.n.
C!rn..).. ).“ V. ).r!n.j<ti,.j,,i “),)“.“).. );“,
f)u.')c~.)!tvr<'dAttt..n(.
!i.tn.Mtj.<'),:t.s. -Jnti(~.(~.V.))tt!U
~)'h!rt!yh).i).
i)t"hrr.('7..w..uL/«f<M.
U!<Ih!t\r.))r.<t<t.).)..XtM.
~i) <<.
f!r.f!<~«.t,t<f~M/)\
S!))i!'U~'t.~<M./<ffA,.M,M,/M.jjJj~[;~j
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('!)':ut.)).<~rcrt.<),ri)qniYit:)i),):m.:),.<),)r!t').')i)!)p).t-)(')r)!h~L'f/.
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t)M:u)trm"tt)~)!ti.<:)<-dh'U)t.)i.«:)it')'!s.irri)irt-!tj;r:(ir'v.).tin!)~th)(.
.t.~r.<r/<)).)i~iitj~.–Frax-'r. t.).)). :iii:')).),. ~.i)..)q.
–X!u.<.)n.)~<.nt.ux:.)!;Xt.'u.<~))')t.f.(.('.rH)~jt'<'r/t..)~<[.it!
-).y.).!s./h..)/“ )\s.-V. )',).)<). \))L:'0. t. ~.urt!H.us.i!u~-
't.\Ut'-na.t.)~/<Arn<ti''t'n!h'X.-us\:y~f.;e)Wt.)).-ht-L–Suu<K
est .t<))t.tt).-f..n-mt-t))M).)K-h~inj~thr,)hn,)usii.-U))cd~ dieux
tc..t<tt)h;nt)i..))<tit:n. ).). p.ii.
HO ).HH-~c)~).i)'r)i «'s
Maisc'esU'itnaninaticndescn'ateut'sdemytin'Sttuiapin'a-
chevei't'iai'oration du sacrifice du dieu. Un cU'et.eite adonne
d'abord un état civii. une itistoire et. partant, une vie plus
contiuueaiapersonnaiite intermittente, terne et passive qui
naissait.de la périodicité des sacrifices. Sans cotnptcr qu'eu
iade~itj~eantdesa ~:u~uc terrestre, cite t'a rendue pins divine.
Parfois même. on peut suivre dans iemytite tes dinerentes
phases dp cette diviuisation pt-OKn'ssiVf.Aixsi. la grande
fête dttrifnm- des Kameia, cch'-br~ceu thoum'ur d'ApoHou
KartK-ius,avait ct~ institua', racontait-on, pour expier le
meurtre du devin Karnos tué par t'Heraciide tiippotes Or,
Apui~nKarm'it)- n'est, autre que le devin Kitrnos dont !e
sacrinceestaccontp)it't('xpieco)rnneeeh)ide!!))ipo!ia;et
Kat'n'MJui-memc'ipcornu~se confond avec ie héros
Krios<i(;bt'ner"i)ypo';ta'-t'de iavicUtnc animale primi-
tive. i)usacriticedu i)~ipr, ta tnythoto~ip avait !mt k meurtre
d'un ih'ros et cite avait ensuite transfunne ce dernier eu graud
dieuuatinna).
Cependant, si lu mythoto~ic u utabore ta représentation du
divin, elle n'a pas trav.tiUc sur des données arbih-aires. Les
mytiK'sconservent ta trace de leur origine uu sacrifice plus
ou moins dénature forme t'episode centra) et comme le noyau
de la vie légendaire des dieux qui sont sortis d'un sacrinee.
M. S. Levi a explique )e rù)c que jouent les rites sacriticiets
dans ta myti~to~ie brahmanique*. Voyons comment, plus
spécialement, l'histoire des dieux agraires est tissée sur uu
fond de rites agraires. Pour le montrer, nous niions {{t'ouper
queiques types de te~endes grecques et semiti<tues, voisines
de celle d'Attis et d'Adonis, et qui sont autant de defonna-
J.
Ators, soit f)u'i))'cssusfit< soit ([n*u))itt'hrt'd(')t)i)i se dre'tt'
~rsatu)nbt',tn\'it'~n:dt.)t.-i.c't.'sH')u\'('rs~'su)'k'ntnu'M
et t!t)'su)'tvctit)))<jui nous d)'tc)'mi)K'nti'(:).ssitui)t't')''dieu
tuot'tat)n('yit.-ti)uc:tH)'.drL'~t:()ts)t')))\t)K'd'Usi)'is,c't'st)i(
'Hsj~')'sn)))()u<t(ii)\'rt't't)'!))'hn'q))i))()()ss<'sut'h'(')'cm'i)'.
ATn'x'ttt'.<hm-;t<'[).-)-ihutt'tiHtt'mptt'd'Hi)t))ttt\'U-.u))(-nm-
)nfn)urait[):)t- mx' f't('!)t))ttn'))<')es/x,):) nxx'tdcs
(tu('sst'si).i)))i~t'[.Utxc'<i!).Yit-r~'s.~U'.)t),;t'n.)u)t's()e
Cn''t<()ui:t\'nn'm<t~ suivantt:).h-:)')Hit))).t!'))i')''t"t)))s une
s~)it)u))'.L'<)~S)'~t''t'tn~'r'suntt't-tr:tt)~)'.)(')!i)s')nt
qui jt)ncs()u\'(-ntu))!h'()!tustt'-<f('-t~()<'iitn)"i''«)n: la ):!))!-
dittinnu<tm)nt('t)(')t')'it)('t'.S()u\-t't)(,m)t's!)))[)))'b))'.<urt'
dudi~'(t'<[ni\tut:')-))Ht))t!))tnut'th'.(!u.t'))d<'ntn');ntsk'
mn)))(.')ith:():tttj!ic()du )'~))uad)-t:m-))Wt))t't-.ft))btt"-s)'(H
pK'dj)!t)-t))t.s.))tt;')i<')',(-'))t)<)))'Ad<)))is:d''<t:t<)t)f'~)ut~'du
saunqmcun[idtdc-<:(h!("<tt)-(!mt')ni~tm'th'ut'
Lamot-tdu dieut'st souvent mi suicide. Ht'n'utcsHt'iOt.'kt,
~t''));!t)-)h:')')'\r'.))'dit')tS!)ndt'-s<ntS.t)t()<))).(T.)t--c'))id()n
M(:ttt'th!t~s'tMK'nU))')tir.s).'ux-n)t''n)<).an)<u-)L())'\tt'i)<itjt'th
t:'t:dt<;<'nmH'-n)())-<(')):t)'um'f<t('t'h!)qu<t''t't:)itun('f~e
(tcfit))t(~sst)t).t.~n)\-H)('t<Mi~~r)'('qt)t't-())t))idtd<<<h'-t'sscs
(]uij)<))-)!)i''nt)''titn-d'Y..<(-st-a-<iit-f.'()t'd<)-t's
«pf'ndm.'s.t<'ttG<Artt-uns,t)t:-f'at('.H~)(-t)c"th<')H~.ht
dc('ss<'p'ttdm')''t:)i)t-;ri~t)m'.)))ct'd('St.))'hy)<)s,)tt-n'du
r:dsi!t'. A t))-))))n"t.-i)<'s':()t[K-)ait (:)):))'!):)'.t:i)!n'i)!<.t)i!f:)i).
le c')n~.t-U)iLu)K'petite <))h'.)ui.!m(;t~n-!<d'u))t')))))))'
ct!m:)i)t:-t'd(.')n!)tnh-t'au )-"i s.) j'iu't de ):tdptnit'rc distribu-
tion; b.)ttu''et c)t:t.s(''c))in'fui. <'i)t.)'-t!)it)x.'))([u<'dims un
vnU')nt''<))-t.<)r(Ht<'{t''t<)n))m-))t-, institut')'. di)-f))), sur
)'<))'(irt'd('):))~-t))i('.ct!titc6)'-hr(''L'(.'n!)tj))h'')t))('ur.)':()<cutn-
n)enc!)it))!u'))nc distribution de Hu; puis ot)f:)bt'it)u:)ittt))o
~P~L~it~p~M~
–t'n)tit'n.<M;d'-r<<.<<r.<jf; ).n.!(.v..)i~t')th'nt')'<)rt!
<t:tn.<my<t~rcs)si~h.'s.
'J.)'.<!<)).
<tt-))rni)-r.t'<< .))<;)<< t/t-.t)'H')).~)).
'i'Urjn. )!tn./i.f/M~<(:f.)tt.r..d.V)).–)),.Y~
~<-r. ).)!.):). ): ::t)i~j,j.–)'jt.(.i..))t))an)).<.(/t.,f<).ft-.
–)t.!<),Sttd)h.;i.).tr~.
~'<).)ft)k-r./fAr;M.)/'«; )!?. p. ~).<j')«,n/.«f~w/.
~t.'x.-tK'r.«.n')t~)).t.j.
(~V~y.))tu'ih'mt,j'.)tS.
't'htt.f.fM')~.
".)!'nt:nT):TM.MU\<–)~)~tt).):su:h)m:t: 1~
_r.
quefois des n~tUM incidents. Lit (tt'faite du monstre est sui-
vie du mariai' du dieu. de t'ersee avec Audrotnede.d'Uercutc
avec tt''siune: ta (iaucee exposée au monstre et detivree par
le itères n'est autre, d'aitteurs. <)uela .~f'«'<f des te~endes
aitemandespoursuivie par tes esprits de ta chasse sauvage.
Or.dans te culte d'Attis.ie mariage sacre suit ta mort et ta
resut'reetion du (tien. – Us su produisent dans des circons-
tances anato~ues et oat te même objet. ).:t victoire d'un
jeune dieu contre un monstre antique est un rite du prin-
temps. i.a (t~tede~htrftuh, nu pretuier jour de Xisan rd'petttit
sa victoire (-uotre Ti:u)):tt Lafête de saint Cem~es, c'est-à-
dire iadef!)itedud)'on, était petehree le ~Havri~. Or, c'était
au printemps ()ue mourait Attis. – Enfin, s'H est vrai,
comme le rajtporte lie;ruse.(ju'ttne version de h) (!cnese assy-
rieune montrait )!et se coupant tui-meme en deux pour
donner naissance au monde, )es deux épisodes apparaissent
concurremment dans ia légendedu même dieu; le suicide de
Beirempiacc son duei avec ieOtaos'.
Pour compteter ta preuve de t'e<)ui\'ideuccde ces thèmes,
disons qu'ii arrive s'uvent (fup le dieu meurG après sa vic-
toire.i)ans(:rimm .)/'«'<«';<. (!<)e))eros.s'etantcndorn)i
après sa lutte avec le dragon, est assassiml' )es animaux qui
t'accompagnent)e rappettent a la vie'. La ie~cnde d'Hercule
présente ta même aventure après avoir tu' Typhon, asphyxie
par le soutne du monstre, it gisait inanim' il ne tut ressus-
cite que par totaosavec l'aide d'une caiite".Uausta légende
d'ttesione, Hercuie était avaie pat' un cetace. Castor, après
avoir tue Lyncee. était tm' iui-meme par Idas
Cesequivatem'es et ces alternances s'expliquent tacitement
si t'on considère que tes adversaires mis en présence par te
themedu combatsontle produit du dedoubtementd'un même
génie. L'origine des mythes de cette forme a été generaiement
()))'tt'd<'X.Mt'-Kt't/u))mt<'n(-t-)t<f))td~')'!tt)H<'c).VoY.))')-
)!<'n.in~f/<<.M7..)).)..2!!)!.–tt't.y..)V.i!s)'j.–Cf./h')'.
(/<</<t'h..)~.jLtM~).
i' Ct~rn)!mt-)tnK'au. )tt';ti,XXXtt,p. SX'
<t<-r..i)'t~t('t..
(:!)Ett!;t:ht:w<ci).Sr)u)tK'.t.t't.t't.
f4 Cf. ~y~n<v))!)rU:'n'i.f/<w/<'<'<.('<M.)n,)H)ur)e mythedu
ht'r~s<')td~r)niet )' <ui\))''nt. – )h;tn~mctndrat~n)))c f'puiittapri."t
'!a)nt)'«tr.'t''d'')«.'n\'rtr!t.~n))icnii'<-nf~it,ct~).at))t''tt)e)<');ent<e
e!tMt'"nt<;ed<ittm.ctt'.
(! Hu'x.'s. in Athen~c.IX,M. H.– Euitathe,/f., t7<)2, M.
,<i)hy);in.hU).,)!u.
tt.)H'M:MKTM.M\t.–H<.<[S(Ht.Ks.tm:t! 1~
oubHee itssunt présentes connue des combats tneteuroiogi-
qucs entre tesdteux de ta tmniereet ceux des tmn'hres ou de
i'abtme'. cotre les dieux du ciel et ceux do t'cnfer. Mais il
est exti-Onement difticite <tedistinsuer avec netteté )e carac-
tÈredf chacun des comhitttunts. Ce sont des êtres <)e tnOne
nature
th)nH!nH)T'runci!)Hut),:((.-t'i<)c))[('))L'(').inst.t)jt<)t)p!n-.
tiettt.&['ittt!)i!;[[tidiunt-('Ui!;it'tt!.('.L('Ut'~t-('t~tp[Mt-i(itp(cine-
mt'nt dans iu ~mUx'-onassyrict). Asi~tturcmi)n)nh. dieux
st)h)h-cs,sunUfsn)i.<)csAnnu))M)tis, les sept diuux de
)'ub:)n< XK)-s.tt<)nc)'on!t))()M))M()nc)()U('(o)s(:ii)i)t,'diHudu
feu, porte uittem-s nu nom de moustr'' infMt'nai.Qn:)ut aux
sept dieux de t'ithhtn', il est.dinicih., sut-tuu~duus les tnyU)o-
to~ies 'fui suot'fdf'rf'ut a ta )nyHtoto~;ic assyrit-nm-,de les dis-
tinguer des sept dieu\ ptanctain'.s, ex'cm('u)'s des votuutes
ce)cstes\Hictta\'anUt.sy))crt-tisn)Hs'c<).t-o)nain<)ui faisait
dust)(uittm))a)H'et!et.\d<'s')<t)-a))))r<)<')taiH)H))radeP)uton
cLde T\-p)n))) )cs tabtcUcs assyt-mnncs
dtsMU'nt. <)m'Marduk
gou\-<'t-t)G t'ithhnc'. ()nc Cihi), )(j feu', et Murduk Jui.o~me
souUHs de tHb!n)f-.t-;n<;rf.tc,k-s Titans qui mpttaicntàit
mot-~t)iut)ysos ('taicut ses pan'uts"U<m's. )fs dieux
cttucmis (''tuiuntdes ft-ct-es,souveat (tes jutucitnx
Quchfue-
fois. )u )utte sun-en:)it t'utt'e un oncte et sun uc\-Gu< au mûme
eutt-eunpft-cctsonms".
A défaut de cette piu't'nte, uucautt'erutation unit tes acteurs
du drame eUnotttrc tcm- identité {uudittnentaic.L'Mnitnatsacre
de t'ersee n Seripitus t'-tait te crabe, je x~x:~ Ur le crabe
qui, dansi:j)~<;nde de Seriphus, etuit i'cnnenndu Puutpe, se
f) Cf. L'm'r.< ;“ <
~K.M").)~<),t)).p.)).s.i) –[(-")?
~nmsjuM.tftAn)m)tak~K.M)!<i.)-:t.t..tt).f.urtri<T.)..s\t)unMk)!
<)Cf. ~<<VnH;<f.,L.~rr.-H:Mrhnirkcr.r/<n~<M,.
/f<-t<«.M.t.t,<f« K<«/<'A<7.t.t.7<M~t. ))~))c,t~). j,. :,“.).
(t)'!H-tht.Y.<'«/<).i2t!)<).
!)!trti:unt.!(:))j.t-)).t,/<<7,f,jj
)t't.)\).).
7)A/)(.)~.v.<):t,i))i).a,j,j.j'j,j,
)'<)/M, t.))Y.)U.
'MCf.L\<cncr.ctr..)t.Th~itc~Mk.a.[.hi()c
da~r~ TLcr·
t!ttC=.:7/t)'f~M.=:~j)())),
t't'j Stm-)i<;n..).~<t/M.M.')).
iïj "it)..uset )Mn)~.)-t!fi. L'~Mr.'«. (M..); ).))), j,. 3~
t. 'i'ftU)).)./t, A'«.-<f/M << <'<t.'<M.'Mf'f~M. Xeu<;t-'u));<\'))
p.H.–Cf.Stu,-)<en..t<f/,«/y~yM,),Abm)MM.p.<).j.
t~' ).KKsm:~)),tn.)t.)<K.t<)S
,)i)'"rj'))vr('t'<<<<A.i.–I):tnttC!!tc'tct'<<)/<mmt.
~)~tp).–!)\.(<m<')!r'~)m')'<tpti')ti"n'!sytn)j"N~tt~'<<itt'tn')'))<).
'<«'t7<)f')!.)~~<')').:)''r.'tXt'r,'«~<«..).pim!n'a))-
rv.ientr·nurruir.1.1'
1.,·~,nIlIJ"I',
rliielll""II"I'uil'. zrruln.l··u"t apre.""UI'1'1rlu
n'lyu'uuecvlrlir:lli~m:yrixr"upl·I
"II'IIU.,
rxpli"lIlÍ"n .lulCl~'lhe
uythc
r.'u''nt'm'nir.).<n);).'n'L-sh)tt'~<t('t-\[)!h'tth'n!)~rKs<'uU(n')<tt)tNythe
ct't))rit'Ku''H't.t-n')t's~)tt(<ih.ttnr''Uf)m-~tMt'riti<'ict)t"t'))t\'Het
;)''tn~nt~tr!'r~n~tr~).:)r~)ii~n)csnt!)cdi<'))~))'r')u)-)<t'n)pMn
s.n'rt<)!'L':("tt'('t~i<)<)~'rst'('t))~<m.'tt')~un't'fr)!.i;)'rt<;t'"t)'r<;
)tn'u't'it~'<')H~trr.titt-<ai.('t'm~-in..tt.).')ti~)tdt'f.')!!t<'d'itttr~h')i.)nj~
))!))~t'tn''))tri~-r)tt<tt'.)'ryt'tt.-J:tt');Mndr<t'Anstc<i)i~d.tV.X)-X~ris.
tt-<'s!).'ri)!t'p"t!rf:tirt'<rtHtf')"'<t'A'))f')'ft'')<)t't't'M..)\biS!'f)!j.
(:f.ta.<<[.r~f')"U.)'t!t')'fe.
.tM~m/<A.)x..):f.)i..)t.ieS!un!t<'))~M.<X)\).Surt'Mni)'
))))thria~n't'.tUtt"t)t.T<"ft('~<'t)).mt!ttt.rct.au<-t))tc'i''Mit))r!).p'M-
t<thn))t't''tt'r,<<'<.t/'nMt'w.p.)M.p.ïM:mrt('<tieM!tt.-t<-ri-
fi:tttts~.())htt!<))~aH')«.'))!:tttttt'))ri.Up)tttùtiutt)Utta)aidt:dttMt'u-
t)CM.Y.&.).C\i.)).
(~MHnn))tH'.tt,n.f.À').p.3t(i.
(3~.t<h'.JK~««")\t'.)~t'.
"Ht.M.U-–HS.U .<)'))).H..A):)t)r)LH)~7
t's.-on)ba)sde~a<iiat<'ur.<,ri[u<')',etpt.)-iodiq))es,uncer-
t!K''t)n()S)~)\T.(..tt-h'sousterrt'.ret'evaittesan}:put'i-
~'at'-nr qui coûtait des fressures. Ce K: est te Saturne
'tes S:ttur))!))f'squi.(tans (t'axtrcsritueis, était misa
mort'.
Lenon)d..nneaurepr.<entatttdudieut..ndintai'identi<ier
*'u dieu.C'est pour cette raison
que )enraudprMrc<t'ttis,
't'i aussi jouait te rô)e de victitne. portait te nmn de son
~u et prédécesseur
tnytiti.juc'.f.areiJKiootnexicaineofIre
descxemph'shit.nconnusdel'identité de ):tvi<-timeetdudteu
~"tatnntent il ia fête d'Huitxi)o[.ochUi', la statue même du.
'eu, faite de pâte de bette, pétrie avec du san~jtumain,était
""se emnorceanx,part:~ee entre )e.sfide)eset
mansee. Sans
~eomtm'nous t'avunsrctnarque.dans tout sao-itice. lu
v'ctimeat)ue)qoe chose du dieu. Saisie! eiieestiedif'u lui-
"'emeetc'est cette idcntiticatioaquicaracterisetesacrincedu
dieu.
~titis nous savons <{)<(. h' sacritice se rct~te pct-iodtquctncut
))arccqu(')cr\-H))))eduiit)tatu)-ccxi~'<-cHt'))'-riudici~Lp
mythe tK-fnitduuc sortit-k-dieu vivant dt.-i'cpt'cuve()ue
pour t'y summ'ttrfanouvMm et compose aitti-isit vie d'une
cftaine ininto'rotnpue de passions et df rfsut-t'ections.Astarte
ressuscite Adonis,l!iht!tt'T.tnnttu)',tsisUsit-is,C\-bc)<'Attiset
totaus ttercute'. t'ionysos assussiue est cm).u une deuxième
fuis par Setneie'. Xous voiia dej.~ )oin de
l'apoUtéose dont
nous avons p:tt-)eau début de ce eitapitre. Le dieu ne
sort
plus du sacriiiee-iue pour y rentre)-et )-ecipr«quonenLH
a p)us d'interruption dans sa personnalité. S'H est mis n'yy
en
pièces, connne Osiris et t'e)o))s, on retrouve, on rapproche et
t'on raninx~ ses morceaux. Ators. le but primitif du sacrince
est retenue daus )'omi)re ce n'est plus un serinée auraire ui
un sacrince pastora). Le dieu qui y vient cotnme victime
existe en soi, il des qualités et des
))ouvui)-Sinu)titdes.t)
s'ensuit que le sact-inceapparait comme une répétition et uue
eonnnemoratiun du sacrince ori(!inet du dieu". AJa
legeude
()htrtt)cnti<'r./)<-<M~)xa:.p.)H!(.j.
~x.'t),j,)c:.)<U;X\)).:M.)'itt..nt(..
;) ')'r.)m-m<«)K..MuM«.-q<«~.<(,). :?. “) Kintbnn.uph.Vtnote
~.it).-C..dc/ )cttrc.tC)f:)t)M.~tm.t'Kiu!.h<.M))!;h,))).notp,
p -~8
't(:r.M<muh)tr')t,t'.A.,).).)ii5,j.j.j.
)'r.)os. ))y)t)n(-
AAt)K-nN m ).))c.'k .);«,“/““ p. Mt Abc)
U~iw.j).~).
,y'y P- ~U Karnci. ~y. ptusbM,p. tM. CLUMner. L.~m.r,
'<</ftc/.<s~n«..MMt.;M..WiM..).))).p.;}?).
t38 L'\XXËKSOt:tt)).~)iK"'H.~t'
)V.'y. plushaut.;).t)t,t).
(2)AinsiHt-Metcs institua)<-c!ttt<t'th<'MA"Mr;t.t'K'nf~)t!tmt
.ntre ))i)tti't'u))<t'mi! t)f. )~. – ")))-)'s ')< b'M'fsde(i.-rvon
KY"it'j''t<'
dans h s"ur''cKy.m' il untonnote rcnuuvcHt'tneut ')o M'tt"ctc(Mu'
V.t.t.
/.f~<~M.t. )OM.– )-'ra:er,~uM.
:i) ft.M.-her. f. ~MS; cf.Uem
A!)'aus.,)t),);.
(t i-'r.er. <;cM. «., U.p. M !)'). – Cf. Scidc).fc/Mc/xf't'~p 7'
(j!M<M..i8')!p.:M.
Y.<9. – Cf.te prinnj'e(Sfrvi')!
'A..)). p. 'M.– Cf./')'M')fv,
(:!Fr.ii:t'r.
Mf<t'«.. tU. X. 'ftM<~t««ttt'Mtt<M UM~«'rt)'M~fM/«w«"<~ft-Htth'O.
<-tt'f«<('Mt<Mt<)iey«t«M/
)).HL'ttKtt'rETM.M.US<.–K!.S.U.rR).H.<.U:)(tt-X:H
-H9
propos d'un sou) et mêmerite hindou le sacrifice du soma'.
Ou y peut voir tout d'abord ce qu'est dans te rituet un veritabie
sact'Htct! du dieu. ~ous ne pouvons exposer ici conunent
Soma dieu se confond avec la ptaute sona, comment il y est
reettom'nt présent, ni décrire les cérémonies au mitieu dès-
que) tes on t'amené et on le reçoit sur te tien du sacrifice. On
te porte sur un pavois, on t'adore, puis ou le presse et ou te
tue. Alors, de ces branches pressurées, te dieu se dégage et se
répand daus ie monde uue série d'attributions distinctes ie
cotutmmiqueut aux diuercuts t'eues de la nature. Cette pré-
sence reette. cette naissance dudieu, succedantasa mort, sont,
en quoique sorte, les formes rituettes du mythe. Quant aux
(ormes purement mythiques qu'a revêtues ce sacritice, ettes
sont bien ceites que nous avons décrites plus haut. C'est
d'abord l'identification du dieu Somaavec i'enuemi des dieux,
t.<«, le démon qui retient tes trésors d'immortatite et qu'In-
dra tue~. Car pour s'expliquer comment un dieu pouvait être
tue. on se t'est représente sous les espèces d'uu démon c'est
le (temon qui est mis u mort, et de lui sort le dieu de )'eu-
vetoppe mauvaise qui ta relouait, se dt'gage l'essence excel-
lente. Mais, d'un autre côte, c'est bien souvent Soma qui tue
Vrtra en tout cas, c'est lui qui douno des forces il tndra, te
dieu guerrier, destructeur des démons. Même dans cerhins
textes, c'est Somu, qui est sou propre sacrificateur un va jus-
qu'à le représenter comme le type des sacrificateurs cetestes.
De ta au suicide du dieu la distance n'était pas grande; les
Brahmanes t'ont frauchie.
Pat' ta, ils ont mis en lumière un point important de la
théorie du sacrince. Nous avous vu qu'entre ta victime et le
\t
CO~CLCSIOS
tion.~~ot~«t'tt~t:t.
C'est qu'une consécrationtrop fortea de gravesincon-
vénients, alors même qu'elle n'est pasdestructive.Tout ce
qui est trop profondémentengagédansle domainereligieux
est, par cela même, retiredu domaineprofane.Dus un être
est empreint de religiosité,plus il est charged'interdits
qui
t'isolent.La sainteté du Naxir le pitratyse.D'un autre côté,
tout ce qui entre en contact trop intime avec les choses
sacrées prend leur natureet devientsacré commeelles. Or
le sacrificeest fait par des profanes.L'action
qu'il exercesur
les gens et sur les chosesest destinéeAles mettreen état de
remplir leur rôle dans la vie temporelle.Les uns et les
autres ne peuvent donc entrer utilementdans le sacrifice
qu'a conditionde pouvoir en sortir. Les rites de sortie ser-
vent en partie à ce but.lis atténuentta consécration;mais,à
eux seuls, ils ne pourraient l'atténuerassezsi elle avait été
trop intense. M importe donc que ie sacrifiantou l'objet
du sacrifice ne la ret'oiventqu'amortie,c'est-à-dired'une
manière indirecte. C'est à quoi sert t'intermediaire.Grâceil
lui, les deux mondesen présencepeuventse nénétrertout en
restantdistincts.
Ainsi s'explique un caractèretrès particulierdu sacrifice
religieux. Danstout sacrifice,il y a un acte d'abnégation,
puisque le sacrifiantse prive et donne.Mêmecette abnéga-
tion lui est souventimposéecommeun devoir.Car le sacri-
licen'est pas toujoursfacultatif; lesdieuxl'exigent.On leur
doit le culte, le service, commedit le rituel hébreu; on leur
doit leur part. commedisentles Hindous.– Maiscetteabné-
gationet cette soumissionne sont pas sansun retour égoïste.
Si le sacrifiant donne quelquechosede soi, il ne se donne
pas; il se réserve prudemment.C'estque, s'il donne,c'est en
partie pour recevoir. Le sacrificese présentedoncsousun
double aspect. C'est un acte utite et c'est une obligation.Le
désintéressements'y méteail'intérêt. Voitàpourquoiil a été
si souventconçusous la formed'un contrat. Aufond,il n'y a
peutêtre pas de sacrificequi n'ait quelquechosede contrac-
tuel. Les deux parties en présenceéchangentleurs services
et chacune y trouvesoncompte.Carlesdieux, eux aussi,ont
besoindes profanes. Si rien n'était réservéde la moisson,le
dieu du blé mourrait; pour que Dionysospuisse renattre, il
faut que, aux vendanges,le boucdeDionysossoit sacrifie;c'est
le «ornaque les hommesdonnentà boireaux dieux qui fait
leur forcecontre les démons.Pour que le sacré subsiste, il
M(! MOOt.OOW'<t)M
t'AXXÉK
tant qu'on lui fasse sa part. et c'est sur la part des profanes
que se fait ce prélèvement. Cette ambiguïté est inhérente à ta
nature même du sacrifice. Elle tient, eu effet, a ht présence
de l'intermédiaire, et nous savons que, sans intermédiaire, il
n'y pas de sacrifice. Parce que la victime est distincte du
sacrifiant et du dieu, ettc les sépare tout en les unissant; i)s
se rapprochent, mais sans se livrer tout entiers l'un à l'autre.
Il y a pourtant un cas d'où tout calcul ('golisteest absent.
C'est le sacrifice du dieu; car le dieu qui se sacrifie se donne
sans retour. C'est que. cette fois, tout intermédiaire a dis-
paru. Le dieu, qui est en même temps le sacrifiant, ne fait
qu'un avec la victime et parfois même avec le sacrificateur.
Tous les éléments divers qui entrent dans les sacrifices ordi-
naires rentrent ici les uns dans les autres et se confondent.
Seulement, une telle confusion n'est possible que pour des
êtres mythiques, c'est a-dire idéaux. Voita comment ta cou.
ception d'un dieu se sacrifiant pour le monde a pu se pro.
duire et est devenue, même pour les peuples les pluscivili-
sés, t'expression ta plus haute et comme lit limite idéale de
l'abnégation sans partage.
~tais, de même que le sacrifice du dieu ne sort pas de ta
sphère imaginaire de ta religion, de memeon pourrait croire
que le système tout entier n'est qu'un jeu d'images. Les
pouvoirs auxquels s'adresse le fidèle qui sacrifie ses biens
les plus précieux semblent n'être rien de positif. Qui ne croit
pas, ne voit dans ces rites que de vaines et coûteuses ittu-
sions et s'étonne que toute t'humanité se soit acharnée a
dissiper ses forces pour des dieux fantomatiques. Maisil y a
peut. ctre de véritables realites auxquelles il est possible de
rattacher l'institution dans son intégralité. Les notions reli-
gieuses, parce qu'elles sont crues, sont elles existentobjecti-
vemeul, comme faits sociaux. Les choses sacrées, par rapport
auxquelles fonctionne le sacrifice sont des choses sociales.
Et cela suffit pour expliquer le sacrifice. Pour que le sacri-
ficesuit bien fondé, deux conditions sont nécessaires. It faut
d'abord qu'il y ait en dehors du sacrifiant des choses qui le
fassent sortir de lui-même et auxquelles il doive ce qu'il
sacrifie. Il faut ensuite que ces choses soient près de lui pour
qu'it puisse entrer en rapport avecelles, y trouver la force et
l'assurance dont it a besoin et retirer de leur contact le béné-
fice qu'il attend de ses rites. Or, ce caractère de pénétration
intime et de séparation, d'immanence et de transcendance est,
tt. tHMHtt'fHTM. MA)«. – K-iit)Sttt ).ESt(;mt')t:H Mf
au plus tuiut degré. distinetif des choses sociales. E))f8 aussi
exist'')ttat.t t'ois, selon te point de vue auquel on se ptacc. dans
et ho)":) individu. On comprend dès lors ce que peut ~trc la
fonction du sacrifice, abstraction faite des symboles p!tr les-
quets to croyant st<t'exprime )t tui mptne.C'est une fonction
so';i:)te parce que tu sacrittce se rapporte a (teschoses sociales.
D'une part, ce renoncement personnel des individus ou des
groupes a tours propriét~t atitm'ntu les forces Mciitiea. Noa,
sans dou~, <}uelit société ait besoin des choses qui sont la
tnatK'ro du sacrilioe tout se pnssc ici dans le monde des idées,
et c'<'st d'energifs nx'ntuies et )))(')':)tt'squ'i) est question. Mais
l'acte d'abnégation qui est hnptique dans tout sacrifice, en
t'!)ppetant (t'equenutteut aux c<mscienccsparticutiërcs la pre-
i-eut'e des forces collectives, entretient précisément leur exis-
tence ideate. Ces expiations et ces purifications f;euenttes, ces
connnunions. ces sacralisations de groupes, ces créations do
Renies des vities donnent ou renouYetient périodiquement &
la cotteetivitu, représentée par ses dieux, ce caractère bon,
fort, t~t ave.terrible, qui est nndes traits essentiels de toute per-
sonn:di)e auciate. D'autre part, les individus trouvent à ce
mOne acte leur avantage. Ils se confèrent, a eux et aux choses
qui leur tiennent de près, la force sociate tout entière, tts
revetcntd'uueautoritesoeiatetettrsvœnx. tours serments, teurs
mariages, ïïs entourent, commed'un ccrcte de saintet« qui les
protège, les cttamps qu'ils ont taboures, les maisons qu'ils ont
construites. En mùmc temps, ils trouycHt dans le sacriuce
te moyen de rétablir les équilibres troublés par t'expia-
tion. ils se racttëteat de ta malédiction sociale, const'quence
de ta faute, et rentrent dans la communauté; par les prête.
vements qu'ils fout sur les choses dont lit société a reserve
l'usage, its acquièrent le droit d'eu jouir. La norme sociale
est doue maintenue sans danger pour eux, sans diminution
pour le groupe. Ainsi ta fonction sociale du sacriHec est rem-
plie, tant pour les individus que pour ta collectivité. Et
comme la société est faite non seulement d'hommes, mais do
choses et d'événements, on entrevoit comment le sacrifice
peut suivre et reproduire à lit fois le rythme de la vie
humaine et celui de lit nature; comment it a pu devenir perio.
dique à l'usage des phénomènes naturels, occasionne! comme
les besoins momentanés des hommes, se plier enfin à mille
fonctions.
Au reste, on a pu voir, chemin faisant, combien de croyancea
M8 K. tiMi)
t/A\~t! SOt.fttHM!~)
et depratiquessociates,quitte sontpasproprementreligieuses,
se trouventen rapports avec le sacrifice.n a été successive-
meutquestiondu contrat, du rachat, de la peine,du don, de
t'abnegatiou.des ideest'etatiwosa
t'ameet à l'immortalitéqui
sont eucot'eà la base de ta monde contmuae.C'estdire de
quelleunporhtuceest pour lit sociologielit notiondu sacrtHce.
Mais,daas ce travail, nous n'aviouspasa ia suivredans son
développement et n traverstoutessesramifications.Nousnous
sommessimplementdonnepour tachede chercherà la cons-
tituer.
DEUXIEMEPAMIE
ANALYSES
SECTtON
PHEMtËME
SOCtOLOGiE GENERALE
ParMM.BOCGLË
et )'AHUt)t
1. )tÉT)tODOI.Of:)E
A. – &!C<0<O~M~AM<0«V.
K~t LAMPRECHT. – Alte mndneMeRichtanKen in der
QeepMohtawisaenachttft.Was ist KMitureeaoMchte?
(Tendancesancienneset nouvellesde la sciencede t'his-
toire.) 2 brochures,Gœrtner,Berlin, !??. – fH<<tt«<«<t<<~<,
M<'<'«H<< <Ojf<«~c/<Mc~ ~t'«/'<in <<e<'
GMcAte~e. (Rotedes
individualités,des idéeset des forcessocialesdans l'his-
Cottt'a~,~?7. bd. Xttt, p. 880900.
toire.) J«tf&'«'A~'<~
H. Pirenne,dans la ~ccMc /tM<o~«<1897.t. LXtV,p. 50-S7
donne la biographiecomplètedes articlesauxquelsLam-
precht répond.
t~uojsoutes,cottesci
les.ci peuvent
peuvent utitiser et
utiliser et interpréterscientM-
iMterpréter scieMtKt-
quement. !)e tu t'uniox étroite et essentiejiedo l'histoireet
do ta sociologie elles ne font une sciencecomplète qu'en
s'associant ellessont peut-êtrelogiquementinséparables,et
séparées seulementen fait par les nécessitésde ia division
du trayaitet les difficuités.très grandesici, de ia détermina-
tion desévénements,qui correspondau travaild'observation
dans les autressciences.Voitapourquoice que M.Seignobos
appelle les histoires spécialeset qui sout déjà, ou presque,
des sciencessociales parce qu'elles trouventdans les faits
historiques leur matièreplutôtque leur pointd'arrivée,sont
parvenues sentes, de l'aveu de fauteur, &énoncerdes lois,
empiriquesencoredans une large mesure, mais en quelque
mesureaussi vraimentexplicatives.Si l'on conserveau mot
/tM~otr<'
le sens,à la foistraditionnelet nécessaire, de détermi-
nation desfaits particuliers,on pourrait peut-êtrereprendre,
en t'élargissant,la conclusionde M. Seignobos,et dire que
« ~«<f<tes questionsque pose l'histoirerestent insolubles
par les procèdeshistoriques
D. P.
H. – .'tWK~«' et p~<<M<~«'.
C. /~<-<
t.. STHtX.– Weaen und Aufgabe der Soctotogie. EiNe KritUt
der orgtmisohen Méthodein der Sociologie (/c
~t«&/<'me
<Mcfo/o$tp.Cn~Kf de la w<'</t<~e&<«/~f'~«~,38 p., Heriin,
<?«.
MfttMCt-,
M.St. distingue,pamu les semocu:.!iuciMtfs,ct-Ufst)ui traitent de
t't'(<'e,celles qui tmitcnt du <<f)-e<t«',
Kt-Ht's('n'itt ~ui ttuitent (tes
</eM<M –
de ta soctMtH, statique,dynamiqueuu df«t)t<ttegi<: <:<K'ia(cs
t'essortissitnt~dMMCMt &la Mciotfgic,"jurrc sy)tthct«tueet phihfM-
t'hi'tuu.
f(W i).tXX~)iS()):tnt.(K:(QLH.t<M
Maiscttcne pourra pas s'acquitter du sa tachf si <'))('se t;ti<sc plus
ton~temps 'uan'r par ta méthode organique. Cetje-cia pu prcvoqu'T
des d~c~uverte'i. Mais t'squ'au tieu de cumparer t<"tswietes avec
tes organismes, un va, comme aujuurd tmi, jusqu'à tes identifie)', on
meconnait t'~tif!inatite de< fait< M'ciaux et dt's fuis qui tes d~to'.
mine))), t.t's fititstut i:mx,sitt!!uti~r''mc)ttplus rttmjdpxcs ({m*tt". titits
n!ttt)t'<')" 'h'~i<fnt moittsàuuf )tMM!i)~ tn~t'anxjttc qu'Aune n<c<
sitt'' t~t'tuMhjtn'. Avt'iti din', ).t sociu)t~i< pour (jui )'it)diyiduft t'.<t
pJUt t)<tp'a't:u)t fuccrt' que tf e't(i. tn-ut )<' txiticu Ottr'' tes
<' i-cicttcesde lois et tes « ~cifuces d'<?vfut')nents (C'est ta dis.
tinctioH Sur ta~m'U)' Witfd<:))K)nd ~t «icttt't't uttt in~ii-tt'.)HH<'dccuu-
vt'it'a des rt'f;h'!i t't d<'< ''yUttnp.<}'!utut tju<*d< fois. Kn ht tai~Mtut
df't'cher. sm' la foi d':ut:t)<i''s (jt't'ct'antfs, tes tui:! nntm't'Ht'itdu
corps sociat. ta tttcHto'to nrcaoitjm' fitit perdre a la sociob~ic te
Mnt''tic(idus recht'rfitcs '.ircun~pt'ftc~ de );t psychotoeie <'t df t'his-
toh'e.
Kt surtout, <'t))'lui fait outtiicr son rùtc Murât. Les socit'h's )«' sont
p:ts :)sst)jt'ttit'.<a tmf ~ort'*d!' d'?t''rtnitti<:n<cfatatiste. La ~ocio!m<i<
!'it'ttt' ne j«'ut ttum-t'r d' fois n<Gssaire.< suit ftH-muto'd~'s)oi!:
itttp'ath'M qui t))'i''))tetft)<'de«')tir sufia). C'e!!tsurtout au uon)
de ces <'xim'nt:<'sd); lu pratique que M. St. rfpous~c la M)<?t))od"
naturatiste.
Xcus !:ouhait"n" atpc )'autf)U' que t't'rc d<'s tn~taphorf"' biotn-
~iqu< soit ''))t)t) ctust'. Maisil nous pura!t invoquer a tort, dans Utx'
quc:.tio)t de Mt~titodetuttt'' st'icntiOquf. )''s besoins df lu ntcra)'
!) itnpm'tc que la <nci'<iu~ic,pour se c<jnstitu''r, itpprftxx' M(ti-tixMUer
fntt't' )(' ïouhaitabtt' et j'' doxm'. <;utx' ta t-(!atit(!ft t'idcat. Et c'est
jteut-rf un d''s st'n'if'ei; que lui aura r'indus ta ttt~"ri<' organique
qu<' d' t'avoir habitue' en lui pr'~fntant les fititi!sociaux comntf
des choses natnr''))<'s. a st' d')tnjf<'rdfs associationsd'idées morates,
qui tr'tubicnt tes «'cherches ohjectit'es.
n. – t'iHt.o~ot'mH sooAf.E
a`f~caei~r,ilrs
s'assimite, nwln,n
même nnu..l~n.i..l.i.1 ~W
pour t'enrichir encore, et telle ()ue nut ne
peut ut penser, ni vivre s'il est en trop entière contradiction
avec elle. La toi sociale n'est plus en effet celle tic h survi-
vance du plus apte. mais cello do la suppression ou de ta
ueutridisation du moins adapte au milieu social, fantiso-
cial, le crimine), le fou. )L hommede ~enie tui.meme n'est
vraiment digne de ce nom et n'est reeonm) par fhnmanite,
que s'it necontredit pas, eu Je dépassant, fêtât moyen de son
temps. Et sans doute il peut y avoir opposition parfois entre
ta pensée de l'homme de ~cnieet t'héritage collectif mais la
pensée, mOneta plus individnette. est saciule encore, soit par
ses conditions d'office, soit par h) notion d'une personnalité
tdeate a taquette elle se t'cfere nécessairement; et ainsi le
conttit n'est pius que le désaccord, ptus on moins temporaire,
de deux pensées de mêmenature, esatement sociales et toni-
ques, sans que ta divergence en exprime rien d'ir)'edm;tibto,
rien que ne puissent tôt ou tard résoudre tes progrès de la
raison commune.
Ces principes poses, fauteur en cherche ta connrmation
dans t'analyse génétique des divers sentiments humains, puis
des diverses espèces d'action, caractérisées par leurs uns
propres, et partout il t'econuatt ta nature sociale do farno
humaine dans l'origine des émotions instinctives elles-
mêmes, comme la pudeur ou la sympathie; dans tes calculs
inlellectuels et égoïstes, qui impliquent toujours ta détermi-
nation corrélative d'un moi et d'un non-moi; dans les senti-
ments les plus élevés enfin, où le moi moral et idéal joue le
premier rote.
La seconde partie retrouve dans l'élude directe de ta société
les principes découverts dans t'ame individuelle l'auteur y
oppose sa conception de ta société a celle des principaux pen-
seurs contemporains. MM,Tarde et Durkheim. par exemple,
ont. selon lui, déterminé, de manières qu'il juge assez voi-
sines 'ta contrainte de t'nn étant une contrainte morale,
une suggestion, anato~ne a ce que l'autre appelle imitation),
te processus sociologique, mais il reste à en déterminer ta
matière ils n'ont pas dit ce qui pouvait être objet d'imitation
ou de contrainte sociale. Or, il faut reconnattre que cette
matière consiste en des ~CM~M, si par là on entend toute sorte
d'états intellectuels (imaginations, connaissances, etc.). L'ac.
quisition de ces pensées peut être décrite comme une dialec-
tique du développement social, parallèle et analogue &ta
AXAt.MKs.–t')Ht.o'<nn)n;M:)U.H H?
diatectiqua du)t(Mt'('t()))<Mtnf'))t)tif)tt'id))«)'t'f)x'natttt.n)'mn-
développement individuel ce n'est que t'ea-
t'iettissement progressif (te i'idee dû ta personne ttumaine
sous ses trois aspects inséparables idée df ce que je suia,
do ce qu'est autrui, de ce que doit ftre t'itumanite. Tout te
monisme s'en peut ramener an conflit ou a t'accord de deux
forces )a force « particutarisatrice qui fit l'individu, et
ia torée « t!enera)isatrice M,qui est ta société même dans son
ensemble. D'où ces conclusions fp. ~iOU) )<-« La matière de
r organisation sociate est )n pensée, dont l'attribut essextiet
est d'étt-o co)nnn)t)e ~~t~~<t/), et nait de sou attribution,
daus t'cspnt de cehu f{t)ipense en societu, a un tnoi commun;
et ta méthode ou le type dn fonctionnement de rot'Kanisa-
ttou sociale est l'imitation o. Htencore 'p. M)) « Le proR~s
social est atmtogue au dt'e)oppetnent de ta conscience, plutôt
qu'au devetoppement de i'ot'sanisnto hioto~ique.
Ainsi te t-esuttat dernier des anaiyses si précises, si riches,
si neuves de M. U. est de meHre hors do conteste le carac-
tère psychologique des faits sociaux, et nul sociologue, non
pas même M. Tarde, ne le reconuatt ptus îortuetioxettt. ~tais
il va plus toin eucor' et, potn' ainsi dire, intervertit la
position du probteme uott seulement pour lui ta sociotogie
est une science a hase psycitotosique, tnais inversetnent la
psychotoK'e semble rentrer dans ia socioio};ie,puisque la
fonne sociate se retrouve jusque dans les éléments de la
pensée indi\'idue)te. Etsurce poiuL peut-être y aurait, i) quel-
ques réserves a faire. A ri~ureusoueut parter. ta théorie de
M. B. n'irait a rien moins qn'a rendre ta vérité même rota-
tive & l'acceptation sociale; et t'embarrasse manifeste dans
ics cas où un connit ectate cntrG la pensée tudividuette et ta
pensée cottectivc. ot't un homme de ~enie peut avoir raii-ouet
raisonner juste contre i'opinion de tous. tt ne suffit
pas eu
etïetdc dire, tresjustementd'aiih'urs. que dansée cas encore
t'hotome de ~enie méconnu se rt'fere il une humanité ideatc,
se fonde sur l'acceptation virtuette du sa pensée
par une
socictc future ou parfaite. Lui aussi, en effet, donne un vete-
mentsociat,si t'onpentdire. a nncexi~encetonique, maiscette
cxip'ncc n'en n'est pas moins d'essence tonique et uou"ociate.
Il faudrait donc distinguer t'ntre tes tois, la forme do la cou-
naissance, impersonnctte. absolue, et la matière ou elle se
réalise, expfrimetttate et pa)' suite sociate. tt f'st vrai que ces
fois ne se manifestent qu'appliqm-es, c'est-a (tire immanentes
a des donm'es sociatcs mais elles n'en restent pas moins
H.))t)tt;)tt!)M.Anm:-e!)f'ciot.,t)i'M.
~1« h'AXXKK
~t:)))K)(i~t't:.KM
mdepcttdante~d'dtcs et superieuresuettes. L'opposition de
tum et d'.mtt'u), de!:) [W)-su)tnei)tdh'hhtpUft't de ht per-
sonne absolue n'est que t iucaruittiot), le symbole cxperi-
Htei)ta)detuduatttetoi;iqueet))tet:tphysiquedtt8t)}etetde
l'objet, et Noaht cause ou t'oriifiuc d~ cette et.
t)e même qu'etto doit rester !<))bu)'dounee a lu tonique, de
meu)t' ht sucioto~ie ne doit pas pt'f tendre absorberta psyetm-
togie ft) eue. Des Htcories cuuuuc eettes do .\). H. et coHes,
tr6i: voisim's.tteJusiuh Hoyc~,si eUessont pt'MCMUSC!) puur !a
science du i'thmi hutttitinc, m' suot pas sm)s danger pom' ta
scieauc swiute. Lu psychutosic étudie te processus inteHectuet
ou i-cutimuutid ta sociologieu'cu doit ctudier due les t')':)!i-
sattutti!<-uucrutes.tnutcrk'ttcs, historiques. C'est lu science des
eiïets ~'xtet'ttes ~tui~, htstitutiuus, tnœurs, cvuuements) dus
sentnofut:. intimes. Sttpp)i~u;)ut iudHK)'e)tuHent& toutes les
conditions historiques, des itnidyscs.msi'i(urtneHcsque cdh's
de At. M-jte peuvcut expliquer de tu société quo le f.dt tuctne
de la ~te sociate. Ur, c'estti't le pustutut de tu sociologieptutot
qu'un pn)bietnesociotu~it)t)< doxOneque te probtouc de la
vie :)pp:)t-tieutata ctntHit' ptusqu'a ta hioto~ie.ou te pruMftHe
de )'esp:x;ea ta tnetapttysique autant qu'il lu ~'omotrie. Si o)te
doit se dcfeudre cuutre ceux qui prcteudcut ta faire rentrer
daus la hioto~icou tctte autre scieMceptus simpte, tu suciotogte
ne duit pas ntoins, sen)bte-t-i!. fiegarder de toute preteutioa
& l'universutite; pour vivre, toute seieuco doit se deOMir,
c'est a direse Kircouscrireet se borner.
D. r.
Fa. HAYMAXX.
–Jean-Jacques R&usseau's SozMphUosophie,
'K)!-xt'M.tO,).<'i))):i~t.itctC'iS98.
A):troi!!pt''?':i.s(;t.s\s[t''m:)tit)Ut',c''tt''t~nd"sttHMdt"ij)tu5
a))pr')t'~)tdK"i<)Hi.ti<'nt(''t'?cuH'Mt~'cs!'t)!tj)tti)u-t)i<=~i.t)cdu
H'~tt'ttt.Si<tt")t)utu'"))))(i''a<)"mt<tifHdt:mt'[ft;mth<t~
';it.<'t)f:')re:)uj"ut'd)<)ti,jtfus<riH')u'tm'utaj'H''f,c'[fjtt'ut)<'n
dtUucht' <')'dhmit'fttt''utdt'th''sfs"jttutùttjtt\'nnt'M:u)'d'cn
)'(-cut).thm't'ft'"s\'stt'-ttt''a.M.t).,tfat:u)tc''tt''t'<cu)tsti[t)tiK)i,
mottttc 'ttb: te jtt'okt~'tM()u'' sf )MA)'«ou~~MtUest crjui-ci n Cum-
M<'tit.)'ui!-f)m')an'h''t'<'h''ttt')'inh'-t'tittdnhtncit'~t'iti)m'.pt'u-
YCMt~'t~ititu''t')t'snbti,iuhs.s()ci:(tt:L'Ct'n)t;tt.st'ci:t)~,
t))t''hu))-'t':)HH<'jm'st'))!t-n((ii'')n''))t''u)))'u''uttrMtUtistmi~Ut',f!it
)!t''utntitiu<ti.Mt'')u'Ut!)u)j)"Mt't')"'t)t't)U''c~o)))i,Hion!suicMt
wnsf'tttu's. pou)' 'jm.' )'htt'ttH ~'it.. tt'itt-t:u<-Uavt-c t.tJMticH pour
qu'' ):< ))uis'n)ct' !.<)')'' t'xtitt. !tn iiett tt'' s'i)np"s<')'jtur )<tSMHicf'x'ct;,
!tit ut)e vtttt'Ut'tno)':))' ))t: o'tt'-con'Htiutt nm' fuis jms~f' Jt''c«u)c la
''oustitutiond'' ta )ib''th' <'ivi)< ~a'' ttutts-n'an di'!tit<nu'; sui~tx-u-
sement <)<'t'i)t'i'')K')tdi)nct'ttutu'cht' et <)cht '< vutont':g<m'ta)e
tjui. 'tistitt~u' de ):t su)t)tn'* (t~'s tt))')))(t~ j'.tttictttit'rt's, s''tvi).t Je
tbtuh')H''))t i! t:t St)m')').)in'')~j'nj'ttiait'
).'th' t:i ititjn'' d''< xt's j'utiti))))' df «~us~cat), iu'=)'it' de )a )'hi-
to<(')'ttic suciit!); de S):t)U))t)''r,h'ttnm'' c<' n-ntiu'ttUttbic outt'!t);G.
C.X.
M.T.)<'t)af'')'~M)utMttdt'si))'-HnUMnsfMh):tmc))tn)''Sttftn\ic
s('<-t!)h':)t')))!t)'i:tsP''t)at')-(')n'Mt<?.
U)''K)))uuh'<c<.ttmm'M.Sh'in.sct<t!L':mtpeu:'t)~'udu''n)n-
n)))))isn)''j!n)nitit')~)Ut't'itnti\i'hm)ist't't)''jj))u<tfnt'tus.t't'.t't'Yit'
ninsiaut)<v'')")'))<'tt)''nt'h't:))'p)s'!t)n:)tit'
M:ti~,f)!t)t<):tsm'i.)th<Jt;t'U(',t<sditK't't.'ttte~c):t.~t'sp)~tit<')tt
in~i:)'tt'b'c~institu)i')HA.)'m'u))C)u:nt\!UM'Ji~ti)n))i"ttdc
ittt'i''h')<'tU't-')ui)i)'t'c'.)'tr'nm't'i(u'='ctta)<)u)mt-td''h'Ut'
!H'ant!)iit".)~'nht<.P:Ht;j)H'<'n''ttf'-f)tt~'))u'i'tact'ruih''«')t<))i[!t),
i!tF):)-('~)'ita)i-;)t'n';rp.![).'L't<j)htt~'ttt:n'i:tt:ih)\'<t)~usttH'nu
tnoy''npf.u)')'attt)iti~t)<)(";)'r"j't'h''t)'h(\'<'t'uh't)t.)'at<;)'')tt''t.it-
c);t<t')!)i!h't:tit'<'in')~'s-))''[m-a~ci!,<-))'-m'jn.'uU'"))~)'ftct)(n;-
t(')th')'')'.)tnin~):)h)').<-))t!mat:f'(:niti,ic))!:u')':t)'-(-))t'<'tf:'t
p:n')'x''t'"tt)'' ).t)~nj'ti.'h').'n'u\)'' t)f<tt')t))' nh")<')ttt".tt')it
dun'tt't)''tt'-cunt'itit')'. )'))) :u)t<i)tin'tt)t'st')(:tm!)nt.c''<tfcux
ii)stittHiuns!'<~)t)ft)u('i)t:th'<:)Kn)~ut't-~m'~tit.m~-ut'\)t;~)~'t'tU)t-
B:)H~<)"um'u))t.('th-v~tup)u')-tit!b't))cnt. C.X.
CM. M)SM):)L – 9
Principes sociologiques, t~titit'n, 2S6, x) p.
t'ati>)')t).
C't'st!!<'L''t'ond't)itK't),t''tu''<'tHU)!)t)')tt't'.t)'n)))h't't't)ottt)f.<!
('))!t))iH'<'sf)))t.'nt~'it)'~n)ptt)~i'itya)i)ti:t.t)t'j'.)i-)M/t'M<'</c~<
~)/A'.<<)\<(7<'<'f'.).in-.j)if;t))<'tt('t)<<t))t.~i)his)t't')t)i)tttt'a)ii.t('.
LH!)'t~;di'Ft;tt''t-<)if't)!()<~t(tt')'i<th')'ti;M't:)t)hy'.i()))<
t<pnn-U~n'-t'h")in))''H't ;');(''<-ttittts);ttt.t)')tv:t;))'')<)it'))';)t'tt):)ndt'
tt'i-t'm")UL-s:ntx'j<t''))<t'~ttttu'')«t))''< ('))(".< i)'t-.utt)))t'Xt'us
!=ct'<jn'<:))m'))~ttt't-()tttt;tit)')u').t')'-ft))')'t))'fht'tt)umt)'t-ut:i:~
nuMitm'n')()'t''J''mtt'<'t't;')'~i''t.t)uttn'thf)t<)!)H'nit.'ti"t)".
).t'(f)i!h-)aSt'i"ftt~'ttSt-)t..f't!tft')tft:t~<WfM't'/rt't)it~<'<fC-
t)'&t7t7<)')'hh'ij'ttttih't')s<'tr).-))tt-)s~))i))''iis))u''ttt)):ux,
d'tti'ttrtm'tt[is~:H'tf".);tit-t;))tt.i'<)r,))-<)!)))))-<), i)s-tmtm~<s-
!-itir'*)wi)t!)(')')it';(t'fc<:(t'')t''h')'');<) )')'};) )))is''t')))');)t)!)n<t de
e<'s))nncip't!tj'<t)iti.(ttf'.).()'~<);<i;<'i;))',);)ittuM)t'([uh'fntMt)-<'r<
n~uvt't's i)' t.)i';t''t'uttt IcCy'~ t)c ):( o'ti~iK)) fuhu'c C. )!.
)!t.–&!VEKS
voir politique se trouva toujours entre tes mains rdo ceux qui
vnirttntitinttnspt!'ft)tt'<'tfmift!n'):n<th'n)nt!mn!nt:<
réatist'nt p:)t' leur activité tes possibilités économi~ttps du
pays "et il s'etïtu'ce ensuite de vérifier ces cinq lois dans
lu potitique actuctte. M. Kixuttde h Grassorie ajoute il ses
études antérieures sur les idées d'autocratie et de démocratie
une étude sur t'évntution de l'idée demonarctne it rcchcrctte
d'abord !<) vraie nature de cette idée, puise)) décrit t'évotu.
tiou. les diverses sortes, t'état contemporain. et en esquisse
ennu lit destinée probable.
M. Achitte Loria veut n)ontrer« l'importance socioto~ique
des (''tudes ('conomiques sur les colonies H. M. Atfrcd Lam-
bert traite de « i'~hti~ation sociale de l'assistance At.Lester
Ward revient sur des idées qu'it avait déjà indiquées.
et analyse speciaienu'nt tes phénomènes de douh'nr et de
plaisir au point de vue social ta thèse soutenue est que
la simpte pconomie de douteur. pratiquée par la vie
primitive et inférieure, doit se restrciHdrede plus en plus, et
qu'une cconomie positive du plaisir, parcoutre, se développe
avec notre civilisation.
Le volume contient en outre les discours d'ouverture et de
clôture du Con!;rt's. et la liste des membres et des associés
de i'Institut intpn)atiot)itt de soeioto~ie.
F. S.
t.)Hh'Ut-t)~t.(tt'bMc))m'cm)'t.'t-un-=itt('t-t't')'~th<'o)n'~t'A)'dif!o
CM~M~j~j~
fWttt.d\t-utr.-)Hicht').n)~t..s.tu.–))). tvduit(t:u<s.tt;H):th-sp
!tt)x[~ittt.: suivants: !t-ttt-n.n. n'exista ut)
.tth'('!)(.:) <j))~t,
<~h~<)ni)ttia).jMrti(')tfi.-(-ttf.<))t(-tit-sJ..is.ftt'(.t).-(i~t(-n)tine
Mhtsi
~.pt.ut..ntt'.t,.ct'.)t.ndu('saMh-ua:~trt'u)')<-t. )A.)'.j''t pWjtrL-
dt't:tSt~-iu)t)~t.'s't:(JtH)c)'t'Ut'i()ratit<?shMNtiti)H's.(-t!)Y!mt
~wt~h~
c"n)H)<-t'.)fti)ti('t!t'sj!h''n<.)n)'u.t'))i))n')m"f.<'tt)!(Yit.),.<t.i,,)t)-
g~u')~.ju*tk.-tt'M.tuuHMi))<'))itt.tt)<))t)t'fa'-)t))~tr:[ttsc('n-
d:mt.ntJ;)nsia)niciyi!M:(-t~naitn:)ttt).'))<'))«'n),t')).:)r.v.,tuti.u),
dHc.tnt.~td.-<h)dhtdns:)')uitibt..([,.t\jh-t-shutt)iuut-(()<-n~
<!t!!)h". M-h.t<ttt!tt-m<<)'<-<-ttttum.-) <)<>
it))tivit[tt-.rnu)).~)rt'.nttt'
c<n't.ju'').tustar.h)tt).)'ht.t.-ju.)i,-t't))tsit'))u.)t:!(t:t))tie
ets:ntrHuan.par~'puuv..h.t'tp[()~~htt-nt..t(.t)t('t.tt..).)M)t;'t il
M))h)nt-surhU~irh'ih~j,t;r.h-r<,))tp.-tn.c.-<rcff.<
dMp~i~)~
&Ct.'H"-th'-i-.o<;iut<)!m~cun).-)))j.ur:)iu-M.<.r"j'(.a)i<(t.t)tii:t''do
reccn~itr.)tb-ct-t(t'cuhc<'j.tMntj.'):).i..f<.i;it. )')''))'~rt'it).
()M\-)).a''utUut)d!~t-htpttitt.p)tK-dt)dr~it,qtt'i).~tf(it:'m)M
M~vm~f~
sid'r<')t.hi.h~\d;.sh.r<Ja<.)ci.,)~i)-)wuh''h't-d.ti)ti.otttmt.
i'<-tud.n.-ntt<-th'S~')tM)-<u.'i!ttr<(-)()..)..Ut<tio))!!)))Ht)tt't)<S.)'t
qu~K~~La~H~s~
U~M~Ia~t~j~s~~M~
i'.t'.
– Socîologio et
).. Ct MPf.OWtCX. Politique, 303 p.
P:ni-<.i:ud<-[)t)i('t89!
C<'th-titi.))trtau.;Mi~t)c-))!?'-).h-)'!))).-m!t))'t'[):u-))eo)t.S9:()ne
part'HU<<n'h-')n')u'nt.h's.<~nsj.t)tt)-t))'sM.<<'t))-i''hit,pat'
dp~:<)tu-.i~n'tux t~<U)'')tt-p<t)i)i.jU''s)t'))t!se!!YU''s.~)r
rt'TH'.ttx't') )':t)))M:!oni.<ttt.t.'<.Tt)U)'<-n)'-)tt<t-Ht))i't<)t" <-td'un
c~r~J~
despn)jtipMUxsoci~~u~runt<'n))~nuni,st.'si~MsurhtstK-ci)icité
ett'ttti)it~[)u)ith)UL'd.-)Hi.(~'it't..Mit'.
DMf)--tttt''jH'i'-<:t<-<t!.M<tt)t~~t.:M.))t.')))i.tt)<~)t<'()< t'r'.f'n'cs sut'
)aco)t''t-j~it.'ndt!M.<i)))t!tmtit-t)t.tu'i)r:a~'ti-tit~u''r(-utt-)a
U~un.'t~ la pratique
J\utcUitMh'n<-)-)).)titittUPs.K)tt. peuvent
S'ct(h':uJct-,cf!csn';denv<;))tp:~st;<;uufut)d)'
AXAt-t')! – n<t:M J88
tem.t. de _v_
t.. TU<Ut:. – Etudes _v
psychologie eeotale, 3~ p.
t'!t)K,i.t)'')'-Utri)-)fJM8.
M.T.)t'')nnt():)t)<c''v<)))m)''dt'<:utn~<qn'i)!t[Uth)t<~ct'sannc<'s
d<'rt)i't<'s.d:u)<dh'i\<<'<Mn:)!)nhf'nK'<:t)<'sr~tt''xhM)s.t)t-ia
~)'h.)tuMir.dt'<<t)U\t'nir<(h-U':)t)spor)sjn<th;Mi~<tt~di.<;)t-!siuttS
tut-h).'ritttih;))itt't-));t.~tt)t.)ri;().tt<('-tntt('s!.(tt't<ts~-iu[()t:i''tte
M.hi.t.tH)i;<)tr.tt.t..M.th-(;t~-).<')c.A)-t'0)~<tit..tuUSCMSuj('t!t,
~hT.<tHh-t-Uih~h't'sMi~st;tttti)i~u(-t'it)<it:ttiu))ctri)n'('n-
tiun.
<!<'th't)"tht')t<'t''()itimtt'stj')us<'t)Utt''que €(.'))<'<)<'t!<'?j.L'auteur
!'c<'j~u.t:mtajoutaau t''xt''j)!-in)i))t'qu'-t')Ut's('-<:)nin-i<sctu'')tts. Mais
i)i)!(u'.<i'.n))pntnt*'()t)h)))!)-i)nt''<')t)"')i)t''xt('f)U)'))jUf<.t)itit'("iuns,
)'t<ihis!mtn~t)<'<)t)'utnt-.t.'<)nic<')tt))t-t'))dut!tuU<'t)it))(mM)'at-tie
pt)tH-):t!.t)t'io)t)i;it'~n'a)c.ttt)n'pat'))<'j)u)u't.t~(n'iutui:it's)wcia)e.
t)Mn<)a)'n''rac<d'-h~~UtioB.M.S.sf'Mirit''t~~it-cM,!tprt's
\'i))ttt!H)<. )"'(!. de t-h<'s)'tt<-h!mit''t'oH)t'u\'n'.Hnntt')m'c'')'))eu.
dut)t')u'i)\'tt'-duit):(p:t)~d<"<!tttai'~i''<)!)<))ut:it)u''s.pu))t'j')~uv<'t'qu':
t'c.')).<'n)i';tt!t'~<iJ~-ipntt)t!tit~u))-it~t't'.<:)))s ('))(- thtjt)ut<; que,
d'u)U<'nr-it))'a.iiUtt!US)t)<t-u)tt)u)''C!U!K't'n'('ychiqUt'(htcu)'p!i
sociid, '-t hti'st.' Mtttcodtt;')m', si nu :<abusu dcpui-! des tm'ta~hcrcs
uatut'.))i'.(t:s.t:t'n'est )):(.;d'-sa f'utttc.
L'ntt):u)nf-)r'~u)nM))t('n<)U'')~u(".pa~'<)<it'r'.uhat-.a<)uis,ou
m'~tHf)f!i t:)':)nds Kuurunts <)'ittt''t"!'h' )a .uciuto~it; jusqu'à fc .iuur
aurait pu ctt'c chose intet-t~NtOh' <'t utHf. m:tisa la couditicu J'ch'e
net, ontoui~ et ctait'. Ot. ';f suttt )t'~ quatitrs qui tuanquott le ptus
auttaY;n)<)t'M.Mot.<))i:np.-t-))t'p:t) u))''t'xtt')«e confusion,
couttnc ou [<-~<-utd<i)n't- (m)-))-s tih' tncox's dM et):tpihcs
). C<))n:<'[)ttuttst)ivcrs''s~'lu .-oc)')t«,;)t';Comt<Speuc''r.–H. t~a
m~th'jttc t'usociofu~i' – iH. U"est et; qu'une iiocictu ot~aoisation
Mcouutuiquf,politique, HW)a)e.– tY. Les Mci~tcs ani)))a)cs thcoties
t86 t.X<iH Sf)t:hM.f(:tQt-E. tXi't!. – AX.U.M)! t)HK)M
su)t'r('-yc'))))iun.<')ri;t).(tit'ctioudt'tVn')tt)iu)t;!u);i:ti<<)t'ti:in't)p
tnt':nniH't<t'')Tt!tt.–t.<t()i<m:in)~it[Ht'tp(~\i<Mttfn
so'i")~t!i').'t«tci.~i~('t-imin<'Hc;t)ir()cu)t.~ttt'):t.in)o(;M.–
Cune)u'.i<!)(.
– TKAtTHS
GËSKRAUX,MÉTHODE
ParM.MAt'SS
Discutt!Kt'r~itt))sthM'~n'-sdL'LStt-h)t.S'<<t-<((/<<'{~)sM'lu)'<
t.iiou. Maiutn.-ttt'{(te i;t n.-tii;n.ma su smu'cf dans ht (:m~ci';))(.'c)M'r-
tit!U)H'tt('.
X.~unt):t)')n.tnt;tttf)unitt('h)j'fut)''ti<))tnain.'t[ttt-uv:mt))<t.te
S~n:c~tttir'u.nvr<-anhcct'hnhM~f.'ut'auj()uit)fdt'vu<'
d~.)h<<)~)hm<hust)s.-ttthk'~)~)<(.-Utt)~~AhYi<'<tu)H)ys.
C'(t:[fit)t)it)t't't)<'t-ut)'<i:)ttt''t't)t:t))!;kutt([u'itM!.uWf<nt()h~'rYt'
t't)'' .HH)<()t's ttHl'Ut' (les jx-titt-s ViftosJ'' t'iu~t-ifUt' MU.[(.<
\ittut:t..S
<-û)~)~c.-rtauh'mt'ntp)M':t)'i)<t-i<'ntit)~t''tn<'nt.AH!)nftkoh,t)n'ie
ht~)v''t'npn'nc(',uun ():)'. trun''ci\nit.ittiut([)t'~t))t')u''tttsi!tn)oi~
n).u' (te lu <-hitisation c.~tMujtotik' d'une
(;a))it!tic uù se comtoiRut
Hindous, )!inu!tns, C<)<'hinchin..is,Chiaf)! M.tiuis. -itu-ut) fund
(t.t~ntatiousiumuti". Chuisit-. :t['t-<<.:t-ta. cumnt';type-, tes UMnn'sde
)a~.Ut't.h'hf:~nh'n.id.t-hnrh~t'rtu.tu~i.c'<~Mi:):(tt.'t'
'-n')\- i'ittusiut). U'!tiHcut- «t.-xt).. ).out- tt:u)ttk.<k,f'~tudu d< cou.
tU))). dus trintition-; <-t sn[)o.s)itiun.-i po)'uhmm fin) t.)(u)t'm<'ut
d.r!nU:p<nu'[:utt,c\-stc'JK!.<-u)).-HK'nt.tttip)))W'ttMi(d'~frt;ttUtu-
'')'n'\HnUnhd\itisa)iu!tshtntui~c!itt(-t)rodui)tt'it)<hK'nct'shis-
)urh)u.~n<;ttt.m(.)ttd<-t''rnuut'-<;s.U'Sian),c.(n)nK't'ftu(u-t:hin'a a
't.).-)~udHcruh~n.-ntdt-):tcm!iMti()))t;hit)<,ise<-(dui.)t:hi)i.
~!kmnh)dou'AH)siuw!;):n).).'tM)ti<d('t~ti')U<'tt<-r()\th-<d'()-
r~htcctnnt'kc, taudis <)U(-pn's.tUt!tuut'ta )~is(a(io)tM( hindoue;
'u )- droit de ))a)n'n s\'st jn'))! da)t-. t'hidn-Chim'. il jx-u près
c~tutn.-te dMi~to<u:(it)est &uu).0t.t.; départ t-ntt'-t'<-sdin~ntM
f'~h-ttcs )tistot'i<)u<s<-t s.)t;i.tt<-st)'st p:ts t'.ut ['iu-M. Youot:.
AtM~i,
)n.-n< j'our <-(;tjui <on<mt' ic toiticu i=))t'ci:tt<-)«".t~-int
~u'it a
"t~nf,uf peut-on i.e!.L'nitd'f)t)tin-<u'.tvecj)ruriiUUou.
')(.. ct-iti.jut' pn'd))h).- onc t'.ti. faite, un tt-ou~t'a tut
fx))u.<eH'~
'n)))h;td'dit)'t:-rcnt< u~)! o'ti~-uxct d~tiiMti'tUt's~ucM. Yottt~
it )'t-ati.)))c(. Ues c~~mohics<)ui t-.ox;t ncuttes (-ufituts. mtcnuus
surtout cette oit ta tunn't' d<- chc~ux (.~ ruo. ):st un rit" tra))-
ch~t~nUn)<dutUMn)s.d:tn~K-ri)u'-t.<i:(HK'i-)t'-Mrf;)H''ntttin't;t-t'))(,
s'- truuve une juK-tv t\.t L iut~r.~sMUtf,un t'Antt;est
sttp).ti-;<'df ))i.')t
vuutuir t~n.'trft- le .)<'t)))CtuttMmt-!p. ';M~ Les t-itt;s et
tt-i:fM de
mitriitM nunt'tu'uu int')<tr.'st)-ittt. stmfuttctt~-Ut'icux d'hu~rt))'
t")!t du ttmriaj! suivant tes années de naissance des
e)wu!: i)). 92
M. Youn~ reMe des t'itc!. curatit's assez imeresMUts
(p. iHj; à la
206 L*\X\)i)!<0':)~).'M)~fR.)S<Mt
.p. 2)<n<-)~m'<tt'nst-i!:n''tu'')t)< u)t('(~~tnm:tit'<~m h'
t'it<'s:)t!mvs f''t'' ')'' t:' ))!th))h'). ).md" des tonjth-s. (t~)).))-
n!t~<.tt(".<r<n)~nit'!i,)t~)\n':i;)ni-.at)tttt du dt"i
<;)tht'bouddhique,
n)yH)''<i:))))"i<.bi'')t')tt'tt''m'i) )):)'<))' )Mu~<cot)(i''n(())'s
<tt~:n<<itt'~Hts.L''<'h![)t)t)'t'<m-tt'n)h't)upft'<du)!~))dd!ta<'t)<')')tt)<'
Je.<)jh:tutsn'u)uutt't'i).'t)H''):t)un",t')t)UU.
).s))hrtu's<'t);ti't!isiatit')i.)''s~u\:(s.«'n'n):)r.)u:))<)''<,n)ai-.
idct)ti~U('~u';t'ttX(~'t'<"<t)')))(!t'n''ttt.t'thtcMti<mf))otu-)!t'j(tt-))u)':)tt-
tt'ur!tun)'r()tnp/.h-nc('st!M:ttt-)s.)at)'uhj.-td<-)!)ttsK'Ut'-(ch:t))i)tt'<.
)!;us)'tt))<t-tAi))i))nr<t''tuuj~tt[.-i))tui)t'tH)t)Ottdt'tk'!ft':tt'it:tt<'rt
<tt'S<'))Y)(('t)'
~M~.s~h~r~j~n~A~M~
Uut)'h")')t<it:t)')t''u!<nt't'<tat!)rtm'(d(~).n)i''<:)))'-u);mtt'
tt!Ut''<t)t't-Mt'n.'<)ttt'fm.[:tt)s<'('ih-t-(-tt('stuitsi))tt'-n"ntts)'t.)t-
cL'nMntt')~h~<t!r')i~i'')ts'i''ft'iu)Un'u~t)~h:ttti<).)ttt''nr
si~t):t)<'):tt<-)t):tt'')H;t)')''n't:)tiu)t~ni uni)'')-<; )()')txut''h')'')itits.
Ch'-x)''s ))<<'<tu t::n)h'n)Ut).'(H!)t)'t ut) n)''))))'r<'d'tttt'tft-)~
sm'i~t'i)))[tt''jt'h''tk')!un'jtt,i)'Htt')!tti-. )))!)))}:)'!n'(s'=(~'t<
d<(.'(.'))'))<it)))'n',su))'i'.(<))t'c<-nnt)tnt')'t)f'tt.\t'tj)!) )'<')).<.
\m'h))tt).()B"n.~):tj!)).)t'<))~'m)i\tM.'t'.(j).:t));t-n-.t-i:)h;-
tm'ut.)tt')~st.th")t~.t'art'itit't))'~[i'mx,)t".t'it<'sfm)')'itit'
<t'.4'i-M',aY')'u))-.)'tv;ttt"t)St;t-!t'~tK's.)'!)nt)u'upo)t)t:ucsr~)t))~-
t<;ots.
)!)(-)'it;))''m''ut!H)(')thti~ut-t)'it'n<<)'')'Afri~))''t-<')ttr;))c
hntanni'~)'
S('-ti')'))-i!:)n'tt)''t)(s't')'tn<iu))'wt:mt'j..M<mv..j).'j))
.uiv.
J. CUALM):ttS. –
Toaripi. //«'< p. ?6-330.
F. H'.St:)).\X(\«\).–<'t't)'~<'jtf)' rf)f-Mf)-AM<t~<'</c)-«~('<.<).<;c/<w<~
~t'e~. )tc)). ))ic)r. i.fi)n<T, )M7.
S" [tiu')i<-fut't impurt.mt'
Ht. – :MtitC,sOMKt.t.KHtK
KTSt.PEnXTtTtOSS
POt'mAt)U:S
h~)m.)AUSSf't)tUMK)tT
).:tttvt)!'tt.ttiu)).op't'ittintttrt''<n~tndttes)tt'tuu)''):t'.Htr:t''c')u
i:)'))!pt';t[itj(t'<;d':t))ord)Mt'tfssurci''r';d:nHt)t'shu)<th:nttn:tttH'-
,'i!~tL'<bt))<.t'c:t-i'!t't)t:t)tx<f'?f<<tt'ff'v~'<p.n).i)t'f~:m~i
''n))'t"y')'.n')'mci''t)st't'uvh'n'L.!t<t'~nu)!tti')tt!))~<)!))')")t
(p.~i)!)v:ut'unm"))'t\)k'ui)'t't~m'<'t).tt'T<eth'('t'nttt.'h)i,
~:tt')'it))"t'mu~i:titi;d'nttt'tu)tt)<'U);<tc sun Ct.hx',tuut connu';)';
!.t-Htf)<).<'t<t"!uit)()t'<tmu!ttt~t't'n.ttti!.it:'ttr.jj;u)''f')cvh';t)t(.
)(''i!').'t)'t'm)')"i.<t':))!"t')'')'n'i)'i~u<pui'i)'ntiti~ <)<')att')'.)-
nation j'itt'un t<)'t'i)).i)t)'n'!)it'ju'tttt)'a'<.t.c<)'t"<~h~<'tt<
in''Uu)n<*))t~')''s;n)<'i<'nst'f'rn\'i''i)'t:tit')]t!ts'["'ttc';tiunn~Pout'
f''fjtti''st))t'i'))))<'r;))'t'');tti"n<t('.<! );<))- )''<;)t))t.'))t'~p)-")M)<:t'<)tt)p)tx
ex))ti'tU(jt)<.).:[j))uss:tt)'.r:tisaut''n"t~;M))int'h't'))''tjuiatttU'm.'
iMt~)'!Uta(h'aHuh''suint['cxtit'p<;t')t;p~UYutt'tn.t)):u:iant<)t)icau!-<-
)cn)a)d';tL'te.
t.t)))''m'n''st'c')))[t'))h'j)a.<<t''tt~t't'i)''ec'<.t)jx'<<)ti')))~;i)c))
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<)'!U')-<mc))''t')U)'')"m)n)'t!))'')t('vt't.<')"<) )))c")t!.ci('mmcnt:'t)'n)f~
d'UMMi'h';t<!ch<)'a)'r'stf')U<'))<'sf''nnn<'sisra')it'"<,('))H![!t'M))aicnt
:t''cùm.:h''t'st)u<tt<jK'nu))it')s.puut's"u'=t):m'')t'mst'nfa)tt<:tu\
jxM'~cnti')))--de )')'))'!) ))ti';i')'')'h:u.to)t.–)')us<:)n),i.U('int te On-ia-
ti:)nism<'dont riut)u<'m't"i\"f<'t:aMt~huut.-i: ce ~ui'Uitit saint ~our
)('ch«''ti<)<t<'di))):u)''t)t',):t))):utom' )'<thuttt;:n':)'t<rc)n!'f:tste.
).'td:nn eut aussi t'a ('a)t d'.tctiMt.Si~uatuns ccrtaio~ ))r~'u))"'s intf-
r'tnts (p. 269} ft un titc re)mu'-p):tb)<: <at)optiu)t sytnbo)i<tue
<j[' )).)).
~t4 f.'t.Kt:<K:t<H."tit'jKf!<
HAASK
.K.-):tL – Voikemedizinin dorOrafschaftRappin und
UNtg'egond .)/<W<</<f/«</<«~f~f~~ /C'-«//</('</<'/</«'~ (~ ~<
<'i)t')'«tt< thh).. t. Vt). p. m, \Ht, j'. !)H«'t sni\ t~7 <;).~uh.
H)a<)m Hc<t)ntt)!f!n..t.n.))~/n
certains cas, ils s'identifient avec elle (p. <*)
Ht, f~Ott~
t~, 9tt).–
Un dernier trait a noter, c'est le caractère familial de la
sépulture le mort est enterre au milieu des siens. Aussi
est-ce ta grande préoccupation du Chinois qui émigré do se
faire enterrer dans sou vittagc, dans su famille. L'unité du
elau et de lit famille se poursuit au delà de la mort (p. 83S).
JEAXSMIRXOV etPA);L
BOYRR. Les popolations anaoises
des bassins de la Volgaet de la Ka.m&.– Ktudes(t'cth-
nosrHptnchistorique.Premièrepartie. Traduitdu russe et
revu par PauiDoyer.-Paris, Leroux, !??.
np.tx.
48ë gd. iu.S".
Cesonttes populations(inuoisesdela
Votgaquisont seules
étudies dans cet ouvragedont ta secoudopartie est sous
·
.\S\LY!tK- – t.t'f.'tH-;KXUKXÉtm. 2Ï7
serj'e))t''tc.-n"d.')':u)ti)"p'))n't-stpa',[w'.<)b)t'd''h.)t<t'i)'eici
d:m'it~nt't.'t))-c"f)t['t'i)'t-))t~h'i,dM)))~ins.tc?'t~n)''nt'!C<Mn-
t)t-)'–.t.j.)U[()\i'<tt:)t'.t)uit,t(m'<f.tr)~utt)!rt's;K'r'un:))t<et
!<)')H~"t"[!dL')'.nt)i~'pt-Utttti)i('u!.<'[)'"UY<'))'A''«.K)'t'))'')'))'tm'c
d'~t'i<d'')U!tf<.d"))tr<'td''))h'h')).<t')'<h't":<'))ft)))))<').'tn-t')t'!H-
p"ntt)~t';ttim;t.'t-t'.).i"n.~ht:tiu.d:u)'-t.'dL-)'~t[)i('['ui-!m
suitdudt-t't<it't')~ur.<t~n~'d(t'r)~')tt.t~~pr'tr<<~<d''n\<nM-
rh'<t"(u't)''u).tuh.m-duK~i<'tch;m].t-n~tttt.j)-tt<'dessus dt't:t
f!U'iB~tC~))))t(.')UH)'t.t.')).~t!Ht.i)..Ki'i:)V''L'))"n~tt!
c)m<'t)))dt!)m'h)tn't'sdc)!)c«ttt'n'ti''dnst~')")ttn'oitd''ct'ttmnnnc
un~c<'<)'t'j!tit')''f't;t):ttt~t))tt-U'ntd:u).))M'h')t'OM
t<'s!~[K't'n~tit"d'nt-m<in.tn')'<)ut.'),))n).?;)Hm)<'i)ru).'d<:
t~f:t)it)'h'tw.u[)Y~):h'o)!uit''t't.-)'p<'nt'i'm')'u~hh'mntes
eU.'t<tm.'s'i.'tnt<'<t)rt;t.-)i..t-.()itJ,.<)''c.)))n-t'r;u'i(t<t't.j<un
mo!)~'nt~")<m'tt;)'h't)n'-)~n<~u[~tn'ntt;t\mtt).-<)n..ttt-t'ttux
()U.)'"ruiu-.().')'!)!'ri/n.
Ma<)nf')uuh";f:ti)~)!<-ri)'u))tr;mj<)':)r.)r(t)'d)))):))"ti~tte.
Le tht')hi''nr~))t)~rt)t'ttti)'i!t':[itct!ntt:)i(t<'nombre
d'u~)~-s<'f.i''t"tUunt'ju'~)tn')U)'r.')i'ti'tH)~tit't'.t.t~i)tf()rtn:ttiuns
ont tm''a-x!;)'au')'))i')))'ut)~Ht eu faits
rt'tj<ti):tt''t<)'-)(".
an!:)ai'Untt(')m'p~m-):u)).)th't.ju.itn'x.t''ti)u(tt'.s:i)y't<)it,
pat't<'))t)'h'))~r'tt.)ttt<th').jni)').t)t)n<-t)t't-t!ti':mtj)''e.
–ir~;n'tit:uti'tt)~[)t))-s!ntir)).<.stt)-)..)))..j'r)'<'di's('t-n(h'cs
(p.t!.uh.m't''<t-uu))t)n.d'-t.t.\uf)~'h)i<tfu:))t')e
)i't'tt;)').ju.)).:tt;t.)h.t.~t'<t.-s<).-taS.-tit)tJ.-an.h-,)')'-tt:s
d' tn;u. ~h- 'tf. L'mttt'nr ))'' j.r.-h't)~. 't'!titt''u< s. oi :( ('tfe r~toptet
ni ;'< hif' une .~(nj. <tc ;)ttr<- a.'it'ft.-e.). At.
cstunrestedt'rancit-nMn't'if)c~'ai'<:sprit.dftat))aison(p.i36ct
suiv.).Ct't:uttt't~td'ait)('u)'s''Mtvt:tttou.iavct'('h)id''i'arbrcfatni)iat
(p. t3~ t.'t tH).– Les \\yss<;r unt u)~ c~xnmu)' i[s ~nt rivaux
les uns <h''iautre'! comme )t"-humain-
t.apr'cist<n~oi:aphi')ucdutravai)pnatt)t))tc«t('!avat<~u'.).es
mythok'uifs. tt'Att-a'tittf'ns "randinavps et !rmant'ntc.~ ont ~ti' trop
souv'ntconfundu'-s dan:: d<tt'avan.tuu)'"tt passait il cha'ptf ins-
tant d'une n'mar~ucphitotoHnju'-aux''sot'tt'd''Mythu)oj;i('<'mn-
par<?f, tout c<;fa d'um- t)):thn''t'<':tssf~ (tc-cousue.)( est heureux que
d'autres tt'n<.t:tnccsse fuisfnt jom'.
Vf. – CMOYANCES
MYTtfES,LÉGENDES, POt'Ut.AtRBS
far MM.MAUSSet ttUBEKT
T
A.–M.M~AM.
MAX ML'LLER.– Nouvelles études de Mythologie (tra-
duites de l'anglais pur Léon Job). Paris, r'ciix Atcau,)898~
p. x-Coi, t2 francs 50.
L'ecoie de mythologie cotnparéRn'a pas succomba sous les
attaques diriges contre elle par les savautsde récole authro-
potogique. tt était utile que son fondateur, M. Max MuHor,
reprit la parote pour défendre ses conclusions, ses méthodes
et soumettre à une critique nouvelle les doctrines de ses
adversaires.
Des trois écoles qu'il distingue (psychologique, analogique
et généalogique), la première, suivant M. M-, s'est peu deve'
toppee; aussi n'en parte t-it qu'à propos d'un travail de
Gruppefchap.tv). !t ne s'aperçoit pas que toute t'écote anthro-
pologique 'qu'it appelle analogique) est, en reatité, psycito-
togique. Depuis Spencer jusqu'à Lang, Smith, Fraxer, Hart-
land, les mytho~gues de cette école ont eu pour but de
retrouver le sens psychologique des mythes, de montrer à
quel systèmed'idées se rattache chacun de ces grands thèmes
fondamentaux dont l'humanité a produit d'inuombrables
exemplaires.
Ainsi, déjà sur ce premier point, M. M. comprend mal
~M L'\X<(HK90t:)<)),t<)''H.iS98
H. tJSH\ER.–DerStofFder~rteohischenEpo8(/.<t H)H(~-e
</<*<'<~opf'<w~«t'). Sitzungsberichto d. k. Ak. d. Wiss.
in Wien. ph. i). Classe, t. CXXXVU,Ut, in-8", C3 p.
R't.SCHt:))
<W.-H.). – Ueber den gegenwaertîgen Stand der
Forsehung auî dem GeMete der grieohtsoheN Mytholo~o
und die Bedeutung des Pan (A'<f<~ ~'AMf f/c ~<f<'t'/«'<-<7<e
</«H<!
<t'~M<ft;f'''/C/f<Myf/t&t'f ~'('</Kt'f~ /« <)'~H)'/t'C(t<)'M
de /~tM).
Atchiv.f. n<-ti:;ionsw..
)8U8.).f'. 4~-9).
t.'iUu-')<('
)nUh"t"u'' <)!))')~c;-a)it<thud'-:'tL't'))t-<)t'
)'t;uh'))))i)o)o-
fi'ju' de t't'c~t'' ft il
!)t)t)n'")Kt)"~if)th-, ):) tn\')t)o)«!;jc<)nt)'a!c<'
ot<)i)t:ti)' H~r'ni< mu' fui- d" )i)u-'te t'!t{'pti";h''n)(-t<tdu mytho
a~'c )'t-t~t'<t)t')''dt-- m"-Ufs<'tth- ta cit'iti~atiutt<jni t-;u'act'ti!;eh'
mi))!'))'t il :t ;'ti<)):u-snn';<M. )t. apj'H'ptf c'-tk-tn*Lhud''Mi't'tu'te
du 'ti<'nP:n). Il n'm.mju'' 'ju<-c't"~(t)t) dieu d')c:tdi'\ )):(vsdes
~mnd.<t«n)j.<-aux ))f ht't'is <t t)'-''ht-vt~ it (tcvimt !tit)"idieu des
iter~fts. Lidt).')u:mc''tk's hivernageset dt's j'tta)'nt!<'s()<'t'utt; ren-
.\X.U.Yst:s. – Ctt'tt <(:t: t'of'H.ttHK- ~S3
MïTKH! LKUHfff!
B. – /CM<~M, Croy«HCM
;'0p«~c.t.
LÈOtt PtXEAU. – Les vieux chants populaires scandi-
naves. Htude de tincrature compinve t. ~M~«f
Mttr~c,
<Mc/)<!H~</<'MXt~tf.Paris, E. BouiUon, t8H8. )0 ff.
H. M.
H. SYMn\S. Oermanisohe
Hetdonsago ~/<w~
(}«'M"t«(' t)) //n-M!HM«~<ff/.<(:<-Mt<)~ ~(.MM,,<<p/(,~f,
~)').9~)8M.
< )h-)' .), .t'a))..).t. )tn h~)nnu.at .).. tfin-ai)
ptu~ tpchui.px..)))<-
)i\w <).-M. Ji)i(-7.<-<-)<. il <).]j.tu-,som mh' r..nn'- tt's Ct')xt<-)).
des .-utt.-ht~.)~ ).)<)-.(.)-tu)).h.<i.M.S. coxMrn.
U))t-).,n~u<-itth'u.
tion a <t:t))iit-)a .t~tmiti.ttt .).- ta t~t~t'-
)).r.)t<)u.' ta .)<-t.. ).<“.
(M;'a).m-)' ;'t ))t<.))t)-<-.<u))m-i.'it).-<-).)) .i~).-))t-t- .oc);t)efp. ~t't !)
&tti~uh-r <(.<r.-tj.j..n-tsu\(-1. tt.yth.-s. )) .ti«-m..)
hy(MtttK-.<tn.;i..t~
n'-tneot ihtmi-t-, d'apr.i [:).)u.h-1.) j.o.si.' h~t-otqm-semit uat. tn\'t)to-
tottie :ttr:tit.)i.'t-t ).:))! )) nt:tif!tit'f)t A ta faij t'uti~tMttt~, ta tKtttu-
cxha-rt-tisit.-t~e ttc .s t~ffnttu~. (-« taume tcmp~
.jue )cur caract'rc
autuch)tmc ..uh-ant )ui. "))<.s n'm'.tic))t ~tc que tr~s peu a)t'r.ps
pat' )~s œm-rcs ch~i.;u~u c))~ti''t)t)M. f.es sourcf-s, )M))-.«t!)te<
apprt'ximftttvfs font. f)). au~i, )'hj(.t dp ~)t<-rchcs p~titttitmin.s
'voir enp:trticuti.-)- .-t. qui f .ttM.'rn'' ks
mpj.orts ttf-~tcxt~ notrux ut
dM h.xtcs a)tf.)am)sp.2-(:),,
,.os~. M. S. pa~ à t-~u.tc des
dt~-r~nt~ cycles h'ndaircs, cftui (te itcowutf, cptui des Xit'bftun-
f:en. <-(<.Uan< cha-'ut) d'ux. it Meht-tchc t'ct~ment
ttistoique, i'
mont mvthhjtte, .-t, s'it y a tit-u,
t'ut-igi)~ le p~int ou la Mnende :t
pris nat~fmee, te noyau autour duquel !es cptMdK M sont ~roup~s,
AXU.Y~H't.
– Mt'TMtM,
DitiRNUE-t, t''))'t't..UttES~89
<:Mt.tM:K-!
tama)U('n'duMth;fumt)nin)itirs't'std')~t))Wt'ttMdi)r)''te))tt's
fa~tnd(tnts('t't'n<'tt))tt')-t)t[t-sdit!'tscyctf!.tt''j:c))daij't.
M. M.
M.J.tt)!)i))(i'')tt,t)a)t'()n''<U)'t''))t('u'i)'))'.)<~r'~tt)ta)'.s''i('t)'
t)ti')m"t<)H)sp:n-)\t')cd.h)H''))ho)''m)ht')''sc)'iti~()'t')tps
hy)'<'ttn".p-!df ['<'cu)t-d<* Hucm'.<ht ~ait '(net <t )'- d~t'ut k-i t-yctc~
h!)'ot'(u')'tn.n)i')M'ttt:tnt-aH)~n:nnt<<t)nt-H!< on ooo it<'pt'o-
thtitaM~<'h(on''<.t"t!()t''r)~'tt<'rtnitt)i')tt<'?(tu)'if')t[<'<inttu''n<:cs
c):)!i'.i')tt)'d<!tHi)t<<[t)('))<h'<))(~t~-St)0)Tui-.)'U!tr''ist't)t')<L:t-))dcS
.dt<'m:tudp'!?M.tHttit-.d'm)''f:t't)ntuutHr.Ht[-('mart)tMh~t:t
tc~')nh''h'Wh')!mt)!j'.)-jt),t')).'d'Ktt)):ut:u'ich.)'t)8),('))t)n)c
c\'c~'t)';t)i'h'h'))')''Ut')'n't'n~'t''))nn).t'i')i))~un'-)'<)')''t.
t.ht't.)!('')'Mti'[tiun('t<uu')n.-un)';t)<a))~))h)surf)-!tU~Apt.~)<).-t)c
<ha''))np()fc''s )')-ud'i)s';tn:u'h'tut('t))a)'it')tt)onuf')')'<t:tt)h".
')U'ti"))s<)t)'<'th-<))'<'<un .t'))'tt)rn<))'t'L't un''hi-.k'it'<'
()'s.)))<t'Y'')")'j)('t)tt'n).m-ntt'r')!<nst)"<t)'t!ni-!)):n'ttup)t)inu-
)i''t)x."n'uth)utct't)n''<i)KH'-tn)"i(-)ttit')t))cntt)'itt)t''t'MU)tjntUt'
)t'f"))<)'))'i'.t')'-)nyt)to)uj<m-<t)('s'j'-it')<n:u<
~)iw<tt)th:tHt')u)<-cn)tM-)t)'-uU:ttt)<'t)))tt!)()~!<'sut-itt~'()'.2Msniv.).
t.<"i t'<))())))t<t)t(Mta)i.tM.-
)')~f-tH'-)tttt'i)ttt'-t'(-t))t<)):))-!n-))t.t.
''it'(!t)i:tn(.t<.<;uitun).t!tttd"tt't:tt)St-)m.)m-ttt!ti));it\:tUt)c
t'out' .m-cj.rix ;<)<< c..(uuum". tt'u)- ~)t(
(notccs ))m' [t-s
)i!Ut~.< )..
2~80).t':HHjii.u..iH!d")itt)t~(,HYit)M
<;mi''u'.t-c"utttfh''d':m))uuc(-t-t:tiuuttdtt)t):)iht'Mux!)t.(.i))<.s(p.ït)t'.
A~tt.runuKt&-n't!)tif:ntx.nttat>(p.35(:):()a[.!ut:tt:(.(utt.-).t:u~
ch(-~t.n~-t[xm<)t-<ntx<]ttis').-)t))ntitt-ut:ch:~u''ct'ntt-!tc):t))t).))
'n)[).M-t(-tm:)t-h:njtt<')hrMi.<.)Ht.nt'i)i)u)~-t-))c.)c)n'sm-h"tttt'tt.\
HtorcMHX<t)th.)t~:s.h~nc.tch(-f;tttt'<.i.)ttft'(-<-MXtft:-tf<i)s!<t)t')t-.<
~S)M.pnhd~uUYt)()UU'UUtt)<):tUt;tt)..<tt'-t.-SCUt)M.(-:ttivMMV<C
tt;UMn'nnt".tt'-t)'sj)!th'nn<
<)ivr'tr;~t<tN)ph~)'i)'u.\t)U'ih.y)m))vc.)'.t)t(-)f-))<()()t-)t-
t))~)sH!)tirs:'t.h-s))<:n:f-:pt-)t()t-).)U)''U)'t-~un!t[-))h-i'.t.'<'tt
n~nte <<-)))?.: .)u'u))f.))k~t-i~Sm-.t.t't"Nt.)..)hr(-<.<t<ttm)(.(t.),
M..U.
)tt'm)it)))d)'t'<)))t('«''tiu)t)tjit)m'Lt')i\n't)'t~t))i)sd(.tiM'?('xdusi-
Ycm('nhtn[n)hHcsch-ntin))uc:n)ai.<)t-r;)-s(')))h)<'tn''n(d'<tni)tM!)UX
<;i.U)tt<~('ssa))t.L<'ssuu)'<).ttnt )')'-)) m<))~M''<<:i)t'(s<'utc)ncn(
r~)''4tuh)t.j)U.-tt'h.-xtt'dL'<Cû)tt.soitsuHV(-n)u)!t't!t')tsi.<t))[j.uU)
ia~))'aH~-nnMni.)u~H)hh<):tni.-)ts.X~tt.na)~unstt'(:ont<;
n"'ruùt's(.t.Tittt)).-<tt.' .)<- s;n-ti))<<-()" o.<f~fn«;tiut);mt
t'')nt('t-!))jn-m~Ai<)t't.k''tt)'it:in'h't))'-)))uh'))'<-C!:u)'):nie''U!t
)un<uuu)wo9snr).-sctuyan.-cj!r'anh-SM)aH'<'a''w'h';)'-
t)ttm~)\' f <jui Mttttttc );t ne <h'<!hutnttx's st~~ndoeâ t'cx~tcnrc
d'arbn-s (uttjuu)' v~rts. t):ms une couttc pn'-t'a'-c. M. )).
indiom' A
')U''th("iit(-)"))t.)..ttt,stth!)nt)ui.c('cf)))tf"))\()itt)nf-t))'h-
t)M-ti);))<t;f.<ti.;))'-))uurtM)ut-)t<i)).-<))-s '))).:(.).< ;.t).)).'Mf-)tt-~
~turc)s,t-<s:n.)u.'t\-<))htpt.pu)nir<)urt)i[t.))).)<'urs).tctt'-tt'[ttx
nb'-UMd.-<)ahun.'u~.t.-)as.-it.)).t)';tt))(;)ns.t'a)tt<.)t)-)h-c(t)ht))t.t)tf
).!tS)Mrj))it(.))tt.rtio)nt<i.)<t(-sr..)'t:mtStt)\-th<'sdu d.) u~(',<t'h<nnmc-
<h:u)~.=t.'n )ot.-h.'rs. ctr. Ott <)it-:t.[ne c.' sont dt.~ tn.yHtcs, ))utt tj~
t .~ttt'< mai- y a-t-it un)- ii);<t(.dt. tt.ht):t)cittiun hien tK-ttc ftttrc r~
th;uxrut-nt.()''):(n-j~.<t-nt:t)t<'ncu!)t-t-tiv<
M.C)'tt'):ttt-(-')'j)istuitf'(tcs{')-rt<'))'):)t))sd<' t'r<t('-)t)))t'jMt-t
''f)ft)Mi<u)'(-Jufn)h)ot-<-(-n ~n~)it(,intt<j.Ut-u jftutn.-utu')-. )[
.!i))ttque).s~niftdi;.rc-.().:rit~ftt-t)(-t:t-dr!Ht))- j'ut-ttMt~motis-
AX.U.V'iK' – MrftHM, t.)!):H\t)K<, t:)tOHX<:);< i")t'L)..UKKt 2<!i
1.
<'('m'<'s<tU<t<'s'.m~h'U)Ct'~it)t'ontj'ri-t'«)'ttn~t:)t'!n<)id!mti.ju('.).
ptvtemhtnttSt'nti'"<j)!n't'nti!t)yss<i(';<toiv<;ntst'p:nt!)t{f')'s(m
))<M):t't)ah')n)t)''t)u)))o)'t,pM[')'t')<'<h');tf!ttni))<t')it<'t;t«'it-t il
t't))tttc))!c)'<'t':tit,)'ft)wM.Cm")«',t))t''for)))<'f)um)(;dt?rt)t'n)!t-
ti<))tt)n)t'-vit!)t.0a')a fantaisie du put'')t'at')'t<'m'))t!dt'h-'?)<'st)f)n-
))'<*<;)) nous pt'cscute un )t)'):m)j:<'in('uh~t't'n)<t'<)ututt)'t-t<)''
r'):h"<, appât tenattt A')t's stades di))'?)c<tt-:d'! t'ctototion swiatc if
jM'itttt)t<c <!fn;it~~)Mt-i-i<)itf<'tt)tnM<"itut<)ttr~t'<')ntn''nt!K:ht')<?('})!H'
.<un)nat'iuudt)h''t'p:tt's<)np't'c:i'thH'')«p('<'stata)'<)i!!)i))t'Ja))s
!;(~)c)t<)i)f('tMmun)seacciuid'iuttp~t'<M.C)-t)ok<su)tpos<'fjuc
)cY"t!d(')'~)t'~)upt;dt<it'n'p!u[utu))~ftt'mt;nt.dt')tu<:t'~<)U(')t'
)nK'<'u~h').:n'tt'i)<;it''nn ))')";)f)!utd)t"tutn'c(k'f;t!t<)')atif<im
~)'')))''i<td'')a)i!mt' )<.t~t-)i!n)nu))t«'fj).tM),'(ttc<):tns):t
))tUj)!Nttk'S('')))t!uÙ)'J)~)'~)t''th''t')tCUt~'itct'mt<tj<-t.tt'jM't)t<
mariât:on h'mn'c un" t)t')n)'t)'tv'h'ttt''nt".
t-;n))u~'i)'st~ndt.')''m-uu)))ou))t'utt<'si))'n''h'r;U))y!tsotid.ui(t''
'-t)tt'<t';s~)m.'f.-)~tat<[)at')'))tn').t(t:)~)'~m))tt''tit:t'e.t'<)ci)tt':n)-
)ati'<tt["'ut)n.~ui)'<'tt-tn' '')!). Ut) tt'~uw:) !<<!a)m)''
(p.
i)))t'-n-tntt'discu<iuittmt'"ttu)'j)u)).<tt'-tut\'k.t))t))t'0t't''m')i)
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<;tipti"n()!.)~j)!nMitt-ntou)'t)it')it[tt't'tt\)..tcn'ytmct-:mxrt'Y'
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<7. )0. 2U,M). !.<<t.u)t's )~ '-f .)-))))<)t.-)tt f)ftp)i.))u;)'u))t; .<t))'tt'Je
.tctit!<f()u<)<'<'ni('t't)~.
has;.t')nhtu))tt')t(ttt'u!i)t')tt')-)t~)uirt!)i.-))(tti.-)'t'rst'()t't~n
cù~s )~nn;'jUj) d'-con~ 'tit))ut:iqm.<;ri~))'-f~Odon' t'):ttif:tu~i!t!)tc.
Ytt. – LE tUTUK).SAt:)))F)<:E:t'MÈKES~MYSTf:nt-:S,
ET(:
Pitr MM.M.<Sct)tCtiE))T
M. M.
L. DUCttESXE (l'abbe). Origtnes du culte
chrétien. –
Etude sur lit liturgie latine avant
Ctmrtemagne, l'Édition
revue et augmentée, Paris, Foutemoing, t8U8,
p. ym.
7 (r. 50.
Ce manuel, en étant il sa seconde édition, ue
comporte pas
une analyse étendue. Le sujet est plus restreint
titre et même que le sous-titre c'est une étude que te
ta liturgie latine du n- au nu" siecte; c'est en euethistorique de
eutre ces
dates que se situent les textes les
plus importants (dont
quelques-uns sont édites en appeudice). De plus, M. D. n'é-
tudie pas tous les actes Uturgiques, mais « ceux
qui ont un
caractère d'actes collectifs,
ecetesiastiqucs au vrai sous du
mot (p. que caractérise ta présence de t'assonbtée et du
clergé. Il exclut dote les saerentents, sauf ceux qui. eo.ntne
le baptetne. te tnari~e. se cetebrent au cours
d'une tnesse It
réserve lit question de la messe des morts.
L'étude de la messe forme nMiurcUement la
partie mat-
tresse du livre. Empruntée au rituel de la
d'où
le sacrifice avait disparu, ta liturgie de la synagogue
messe consiste,
elle ausst, en oraisons, homélies, lectures et
psaumes. Mais
des t'origiue, tout s'est concentré autour du
mystère eueha~
ristique. La prière eucharistique à taquette t'anaphore
grecque correspond, se retrouve partout, avec des
mais ideutique dans sa structure. Même variantes
l'organisation ne
dtnero pas. Toutes tes messes, orientâtes ou
occidentales dis-
tinguent, comme dans les premiers temps, ta messe des caté-
chumènes, P'eahbtcausacrineeeucharistiqueet où les candi-
dats au baptême assistaient, et la messe réservée
aux seuls
ttdetes et où le mystère s'accomplissait.
Au temps des enthousiastes et des
martyrs, le rituel avait
une grande souplesse qui le faisait varier
aisément; mais,
quand cette ardeur originelle se catma, il se
figea en une
série d'actes detiniset, tout en conservant comme
fond co<n.
mun ce schëme primitif, il se dinercncia suivant tes
commu-
nautés. Laissant un peu de côté les
liturgies D
s attache surtout à déterminer les dinerencesorientâtes M
qui séparent la
~0 '<'<)!)!-MM:)0.<M)~f)!.tttMt
messe gattieane et h) messe romaine. U les expose t'une et
l'autre d'après des textes tort anciens et, sur certains pointa
trouve entre ettes une veritabte h-r-'ductitjitite.
t'u ctmpitre intéressant est consacre & l'initiation cht-6-
tienne; M. D. y montre l'accord primitif des ditïerents rites.
Le baptême se faisait à Pâques. Le catéchumène y était pré-
pare pur des instructioos et des exorcisme!!'exorcismes par
t'exsufttation, l'imposition du sel, de la croix;. Les rites du
baptême consistaient dans l'ouverture des orciHcs (t'E(teta),
la tradition du symbole fdc )a fui et du mystère), la con-
sécration par les huites saintes. Lesritesdetaconm'mattou
et de ta communion y faisaient hxtncdtatement suite. t)!)us
le rite gallican, on trouve les mêmes pratiques, avec, en ptus,
le don de nouveaux vêtements et le tav~p des pieds. A
Jfrusatem, tes rites étaient plus brefs (f\, § 4, p. :M8
Xous ne pouvons que menUotnMt'te chapitre où M. n. p'n'tc
de la manière dont s'est )ix'' iccatcndrier religieux du chris-
tianisme. pour ce qui regarde suit les (êtes, soit te service
dominicat. suit le service journalier. !) montre (ju'eu bien des
cas la fête ehretieMncn'est qu'un substitut d'une fête pmenne
a laquelle même elle se mete parfois (p. 240. ?4, ~M. ~(}.
noter également tes chapitres sur l'ordination des prêtres
et lit hiérarchie ecclésiastique, lu bénédiction nuptiale, ta
prise de voile des vierges.
'ntp)p,)c)').'h'tc':t-)u~)))n)tt!(tt&t'!tutt-).Y<;t!)itduYtt)du)(s
u~)'it!i)t))tu):<'itt'~t~~dut'c:tUttc~fMt(ai)K'thns.un!nttr)'
)'i"situ'uroUt;st.t')tMy:m(st)it(th.'tctC)')t'stn'!)!i.(~tuh'.())t
M.Y..):')t'ht''n'')':u)(-).ut))i~dt-c.-tusa):<quii.WMit~ut''<(tGut
ttH-ntiuutn''d:m-.t:tMi-!chtt!)(t!tu'f(th)))n).HsftHitdut)<juif.)n)U
btHi.tucct cuunM-ns.-tt-tMU\t-ditU.t''ritUt-ttt')-:tt.usi.<tf~~
~V/x!):\)atn~'nu-ditt.~u\c)~u~t))t-s)it)ati<)nsArGst(-t:t ù
t'()tH.'s(.r:nH<'m-cn'it<(u'it:U'it'npUt'[n't'))t)))Ut)t<)M<i)'<'t',A il
rt'-)w)Ut'i~:md-!i'~H'<-stn-H~nis,tt'<.–t.t-t\t)'('t-oc~-m'-ntt-t
iat~n-ss!ntLuHisnt'deMh'nttt'))!)s)!t)i)m)i.)tt.).<t)<tb)ecM)ti<'t)tMU
)noh)i.)ttu'.i<n-tUn''ft'-t('dcs'mx))'.u)'Y)).;i;S!mmt'),&,2,
'sut'tuutX:n:)t.n.t7-t~.t.titt-t.s),d'aittcuM,t'tit[e))mtt-)Uutt
titud(-;()ui.tn-<)up.-mdin-<)m')uu~'hr''(<'th)tM)M-t)):n'h'~tut)<'
t'tt'd)')a[j)tti~;h'<))t').'Sttn)')tU'')'m:)!f"j[iU!)tf"Utn)it)<)i(.)''t<:xtt".
tn'ci-)c<'t~~u!t.t.tn)')"ittt'st!).n)<-))M'tt't.intit',t'usHt:Jt-tt!t)'-
~-)!t--).):)nrh.m-)'itu)t-)un)~m~Mt'iitnific:ttiun.tt<t
')t'm'pt~hMt))c()m't'<')i~'t's)<)utt.c))tt)m-.<t';mt:n)tt)!ni,qtt'i))Ktru!)
)'n;nn\\m')n"-)K')'utmt'Hn~nt[mm',(!t[n't'Ufttt')n('t'us
~uiva)~nt<a))i~MpuH<Uhhy)unc,<nH)iyj~)-:ttt)h).t,.qt)t.'t':(it
kt.n'-tn'cu\-t'rsanU\-aujMhn)shMu~s,<~)uurhG<-h'n)<'ntain'
')GsHnc!tt~)y().)t~'t-)u).)ttit-j(!)t'Ht)t.'a':titM)sy)tt)'atttit))tc.<'t))'in)i):tt)t.
X''u\n<-))n-u~~u1tn<)i(tn)Mss('hAt<-t-t)'t-i))Ut-t-i'tdt-<.<'tn)'t-t)t)t-.
''t!'nh'siHtiUtt~')t.it".c~nc~)''tanc<)tm')'uj)t;utt'.t:(t')m?tn<[(t:tU<)
~))t.t)))ttt:m-~)u'.tjm''t:ms)t'J.tti).
M.M.
U:t))sr<).)ns,trnt)c:u~ct.n'j'ttj)t))!)h-o,~).C.)r.n-ct'()(.'t).~i-
)t)it)-)'('iut)u'-nc('<ju.'h-t))y.:[rn'Stt.-)'i)ttti'jUttuut))(;X)-)-<ut'):t
r.h~h)!)H.'n.h~Ut\~t.)-ch)'ti'-tt<.)-:t)h;tit)t-t);H~f.)i:t)'tk-t)t('.)) il
~th)i('(~-a.)i<'nMnnnnHn)tnt.St)ititt)<)ui.).-stttyst.<M['!tt.~
n'oi)t)\)mni.'tt:tj')i<nitiv'')::i))s<'()U)'sot))n:d')t'')t))nt)!fot)))<
d't'r!ttti'.n)h.t~<'<-i:t)(~.Quuit)))t-d\<t')!i)n'tti\i)t'rH~)i-it.'nt')n)uvHi(
~'t<tdii.<'t(})t'M\t'<'dt!n)u't~htnn:th~;):ttt't~-Y:n(~))t'u)tu))t);r
la tMn~tkspcnt'tes au ntitieud'-i.fttb-i.s (-))<s't'-t:d,H!=!<)),(-t)<'s
institutions ()u't.-))f punYiut.~sitMi)t-r(t.<ct.t).Ma)!ik~-t-)t.')'tf!i
'-ait()!.tn\re-;n'st)):tscL.tn)):tr:t)))f'uc'iMidcsu)ystt'tMt''h'))si-
t)i'')t'i,.ti<.h\-<i:).)U(-~(-t.)('t)n):)it<tt)cttit).():t))stntc:t.<,t?tMit
tC~t'nt~'aux ~u)s initia, [int()i--)))<<t):tt)s)Mutr<t'[)f~t!Utt')':u)-
dHc)tarun.-hh-rv).-i))HU~-tn(tpu~)Mh'.bc~ttt)-,)t')K)j)ttht)t't-t-<tit
tout MUtu-.:tn)- .[uc t< funttctttMtM hntm~he~, eUa t:umtnutnuu
em:tmt~ti()ttc tuut MUtt-cqu' )c rct.as <')~~t)tifn. t.:t (H!.cus..ionde
AX.U.Ï<t!<. – hf! HtTHi), i~S
('.At:tMt')t:HS, DttKXK.S KTC.)
M.t:.<t'p.)s.«<))i)'us<.tttv''ttth'sf:dt~')uamt'-))'-n<'tt'-ti)ttt-)'j)tt't<')Kt'.
d.m<utts<'t)!:tr~j'th'uh)Mt'[Uf'.M:(i-.).)<'t't)i~n't(t'i)Hdtdtt):tt'pm-
ch''n)''t)[''tttt')t'x~x:t'ttr)):ti)tth.-t.ttitL"s<-t't;)it )tt'ct'!i.ti)'t*
f)'.H~.n"S«.p)~(''M'tu )):)))))''tt)t',t)unsnu)~('t)tttt'tttt;)'o))'.tt~
siH))!))'*t'uttf:tit.)'um'i))tt'tui)'mt<'<~t't)~)'t)im'-)<tcuM)))U-
naut<j)ti\t~)iuifLu~itt't'))()t'<'J.')'!tH)ti)tt''i<fn''pt't'ttd)'untt'
)'m''ntfitt''tnt<)cjt)h''it)'r'tcst))t'ttstt'm"d':mt)'f)'mt.t''t)ap-
t(''ta't''J'~tts )!;<)'i'tus<'))tht''t)tt-)tt')'tmt)':tt':n)t))''t()i~'jt< Si
tt<))));t's;'t':tti'tU's)tt'~tt';Uuit's~t;m'ttt!tu'i)'i''tt!<)t't'~m".()U''
j')h!'s. j'out'tuui v'~ut~it' )~m'Httubtf't s)wchtt't)Mt)t tcHf un tt;H'*
ut'i~in'
M.H.
f~ t<t:R.\UAtto
U'JEtUiOt.T.– Das Taufsymbol der &tten Kirohe
!Moh Urspung und Entwioketamg. – Ersterr theU Gea-
chichto der Symbolforschung f/.f ~</<f~<'f/M&«/~('wf.6'u« </<-<-
iM<t.
'«<' ''f W« (/t''('f/u/<'Mtft<f,.i':n)cti<Ut'H,S€i)~MiU(<)t,
tX. – (:TUBKSCtYKMSKS
SCK f.t:S URAtHESKt:m!tOKS
Pa)-~n).MAt').t:\YpmL')t)Un'
~):Cf.ttcdate!tt'«)f<h-
tr.')' )M'<'~'<msi<;t')e
environ.
– thTtMM
.t'<.U.)'.<)'<. )m')i))<B!! L)!<<:)tAXU)!S
.<L't) )Hi).t~t<M-i
2M
Moïse que par action; t'epoque « mosatque si t'OH veut
laisser ce nom il l'époque qui a vu se purifier te dogme jah-
veiste.se j)tuce du vu' au y' siècle, au déclin, non &t'auroro
de ta nationatite juive. Le triomphe de la reforme religieuse,
dans te Levitique, est si complet qn'etio peut transiger avec
les croyances populaires qu'elle a coutbattues, adopter,
pour le culte de Jahve, les pratiques longtemps traitées
d'idotatriqucs, mais purgées de leur venin et transformées
part'interpretatioM.
La doctrine tnstorique que nous venons d'analyser gros-
sièrement n'est qu'une conséquence elle dérive directement
de la ctitssitieation et de lu datatioM proposées par M. \eu-
hausen' pour les différents documents que comprennent le
Pentateuque et les livres qui s'y rattachent, de lit théorie
<foc)«M<<t«'c qui'avec une complication infinie dans iedetaii)
fixe vers le v)u"siecfe le dfbut do ta rédaction des parties
narratives, a ia tin du va ~~t! la proclamation du code deu-
terononnque, et postérieurement a t'cxit de liabyloue, la col-
lection sacerdotale dont le L'vitique est le centre. Le juge-
ment sur i tt'uvrchistorique de M. WeHhauson doit dt'pendre
d'un examen de ta critique des sources, qui, depuis un quart
de siècle, régente t'exegëse bibtiquc.
Ce n'en est pas ici le lieu. Mais il faut dire que !a théorie
Graf-Wetthausen n'est qu'une tn'pothëi.e, dont on ne peut
aninner que lit preuve ait ''te fournie. La dissociation du
Deuteronome et du '<Priestercodex » et l'abaissement de la
date de ces documents en constituent le noyau. Or tes diffé-
rences ~incontestables)de point de vue et d'inspiration que
l'on constate entre le Deuteronome t't te l'riestercorlex lie suf-
fisent pas a justifier t'ecart de deux siècles que l'écule gra-
f!e)!ne leur assiette et d'autre part, te caractère, majore tout,
archaïque du rituel tevitique indique, pour cette (ouvre pré-
tendue de basse époque, une antiquité retativement haute.
Unecxcsesc nouvelle, mieux armfe que ses ainees, uracoaux
documents de comparaison que lui fournira t'immcnse litté-
rature assyrienne, lui restituera sans doute, avec lit date
Lchtttprut<i)'Mtd''M.F)H)d~)<t't'tt't)'t'tnMc!(vuit-~tud'<-x)'ti-
f)tt'-rt'u)ttt'a')it.-ti''))<.i)!U))-:ti)t-t.~))tH-);;<'d.dir<ti\-('t'i[/- <t<'
t:n'(:-)i~Mn'~yf')n'nnt';i)<:n'ity('-t[-o)):)n(-nu~nuthihu:u([:'tt~s
<')<')tn.')t[.cU)ttH)u<i(ti.'L)incts)'; tih\)-m')'e.)en)csoj)ut:tttm'u<t
~)'uuuh.th'uri<'scucnn'!ntCt-<dhKn')tt''<tp:(r)uiJ<?c)utt?t'
incon.tti:)ht<-s.'jut(;uut':tn't)t sur icc.ttHctt'-Mdt.s dieux, nu sur
t'Attt''<'t~<t)'~tit)~s.<:('~u'')t<'n<.<:tn)H-)('f'('rtai))su(-)t't'ti- i.
ïht'Uuu'iHt~.t<'rHK\')!h'~wdcMa)!tV''CCt.-t)').Ct'))))Ot)-.itt)-
)')ist'
(.t~)'t<'t~<t):)t))f't'ah'un).cnttH)))-))~)t~c'dt'ttt)~.
<tn~s.)'id.j.itit)tf't)f~;tu)~nt.[u'i<tc.)u<i-.t:n))c<.).t')hT).i(d'
thh'tum:u~tj!tt)!)ic. ).)~
.ht'-tt.ttt)'un.[.'t):mn.~)(..t(.ts)n')!(t):th-)'t'rt')th'.)..)'t;),~
Cu)ttt'ihutiun;'t)atutmati")td<'t'Kj.!)ij(-jui\)-
Mu))t)'t'<mnm'n))'t'~)i-n'!)nNt'it')tf":t-it<'<tt'')a')t.'t!u''
!)V''c)''t))'<t'xit!t't)rt<.t!nt.()um't'-)"t'i)K)tu <<'«))')'<')'t'tUt
ii)'')U)))-tt''tu)t'-ti"))t):m'i)tt'-)')tt'(ti.)h-<'t)t)Ttt')')t-t-n't).'))"(''i(~!
€<'))''))h''t'in't-))n't)'t'n))'t'n)itt''ut'('d!v''t"p)'!tj~t)-:tfml(j))af)d
h'cu)k"tit)!)usin:ti)'tt~'ux.t'tni-.ti:)ttt!!t)h-<t:)ntd<;n't)U)-<')i):io))
d'Htat.Mais un<ttMittnutn)'t't'J<'t;s")\h')'di<j):n'u[tt:m< la suite.
soit )'!))'cf'))<)')''ut'f'"nrti~nr(:)i)d''v('ttU'*it)ttti)('(f'x')rci'.tcs),it
pat'Ct' <))t''t'~))-)- (<nttaiss'-)'a t.( tHï' it~ ut) jttus ~t.ttut m')n)t)t' tt''
.St.'st'<Ut'tiot)t):tit's.
H.\<)u-'ivt'tt)t'ntth'tu~hjm')-[<h'ttn'it <'<'<')<):)-.ti')u't'))ft-t)uc
pourtant()m').)tn-<).'))~'it:tn'tt).'ot<-Ut'):ts)M))ittc.tti"n<h-t')t:tit«'-
)'i<'t.sd(tco!.tuut''tk"'pt~'tt'()'.)M't!.ui\'j.<m'):t)uttsu)'t.'<)'.M!
). – uf:XK(tA).trt;S
S
)'af~).A)'H:
i.mya
veut exdm'e lu InSI.SnIn.rW
Im de lev
tet~to~it) r1u lu eW nw..n
scieuce suciate I,'n~t
~I\I"i.!1I'" seton
c'est, onlnw
fui, une condition de propres, ~tais. eu admett.)uttn~mo
que tMpritnitifs agissent sans )j«t, un n'exclurait pas de ta
".ciencetoute finaiite, puisque – t'anh'm' n'' le oie pas. – tes
civitis~'sa~issentsttuvuntenvued'une fin.Ktitrecoonaft même
que les primitifs sont i-oiticites A a~ir par dM titis, qui, pour
être tansihtcs, n'en sont pas moins des fins. Si t'en veut exau-
f'r le vœu de M. Vierkattdt t etetuninpf )a tctwto~ic de ta
scit't)C('!iuct!()<t)(at)tt'<'nuucG)'asatn<'thodt't'tc))cr<'t)ef
quf))es causM Mt)icicut<'sp)'odmscnt datts les esprits l'idée
d'uuGHtteUcd~'su'detaH.eiudrc.
M<c))):).-Asut:
VACCA~O. – Les bases sociologiques du
<troltetderÉta,t trad.parJ. Uaurc.. Paris. Oiard et
th'iet'e,)SW.tv()t.in-Sdetat<ihtiott)equesocioto!ïique
i)tte)'nationatt',t.xt.4t<up:)~cs.K)''r.
eno
ses n:W .In.In,.mnr?w..a·~h
études l'IScI«inn
t'tt'itngét'esi'tt'histoire.
ni In oWv.il
ni te spit'ituidisme. avec
i'idéedet)ieu.nepents':)cc<n'der:)vectatot;it)uedup0!;itt-
vistne'p. )H.t).)is,avt'i'i dire, aucune de ces doctrines ne
tient acet accord.
)1. t''r.t~ne veut donc simptetnent ext-ture de )a ])hHo-
soj'hie (tu droit toute question tnétnph;i<{ue et {.tiré de )a
p)ti)osop()ie du droit non pas )a science sociate tout entière,
n)!)is une partie de t.) sociologie ~)es phénomènes juridiques
ne sont p!H tous tes phénomène:- sociaux: le droit ne crée
pa!! tu société c est an contraire ta -socit'te ~ni crée le droit
p. K):!). Htait-it nécessaire d'écrire un tivre pour aboutit' a ces
conclusions' it suffisait de se dire positiviste pour annoncer
ta première. Quant à ta seconde, ettc ne peut être démontrée
<pte par tes Hvt'es pt'oni*) par fauteur, ~ons attendons ces
ti\'resa\'ec intérêt.
K)tdc[<it'h'')u''t'(m's';ttapi()'t'uùt't?t'Uttiti'<tta)'t:)tcn)m:it)Uc<'t
Utt~'tait' s~t:)ic, et d': '{nct'ntos autn'son "uttt)'r'~ct)t'< th's fitatis-
tiqMcs d'aith'urs utit' t?t)t ht d~j)0))u)!)tiot)t.ce )tvt<*n'a pas J''
j')''t'-n)iunss':h'))ti))t)th" C"~)ntt')'~tt''Xtnnsd'u)t"ht)nn')''
))0)t))n'; fut' )<"?'v<~)''tt«'))ts aux<)tt<')si) assi-.teou ~ur tes )f<:tu«'s
(ju'i! fitit. Ht c' <t ';tt<'xi'jftsn<'<n:t)h)nentpas <tt'saveur. Mai~tes iJ'i
\\t).t<t~ –htt.')!:tt:M~).t:t:T<tttf)))~t-t: Ht))
1
t:n'~at')))!tft'nt't''(n't~imt.).'ittt''t)ti'm')'')':mt'')))'u)t''t~it
<)'' 't'taM''rt)'')'t«'')td)tt'th".j))t:t))''))t<)))");mxU)h'i~t'i;)t't:(t''
t'!)nti)nt''t't:tHt'.<j'~uit'tt'i<'n.t)':)'tt' ')uit<)!H)tti'')tt):tyi.
'()t)'')))!t'"t')':<')'x)t:tt)~iun <(!.t~ht)-i).'ut't'q't.)):.).<-))j,.)~
t'tt"dt')tttm')m't)thn)('')init!t!)n't.!tt))"t;)t'[m)<'t)t')t\)')s
!t'tttaxnttH)tt')'i')-.)u~tt-t'h!H'ttt"))i''t~-siu'thithts..pt)t-tnu!<'<
''ntn)th~)uat.s\u'ut'ttttt'.<tn)~'<"i)j!:tshi''nt!')~[".)m.
j~u'' '~<.t')r)W 'tt!tt).tm.)r))t'))~'r.ii":j"m)'.)u..i h'ti\t~'n't".t-i)
j':t-.itt)itttt't t<t)~M.n;)))'t':tr~t)'t~t[!.t.[tt!m'))tai-)t.\
)!)())"i'-t~(t':))'pt'h't'ta v.'t<'m't'i..))').:hjtu'<h-t.).<<n'i~h')([(-)!(
)t)~)!)tt'.
t.m''it)''jtit~pt) ')'t'<'(''tp;))i'!))-.ji)))'tjtt-:)t~jtt'))''th'
)'i~u'Ht:)))tht)~')'ttntt'')!')n:t[.'jttt);i~!<t.~t')~t))tt<'tjtr:
't't)'U)h)i\'i'tut'i.)'-)h')n~i).ci<d''t)'u<'i:~i)'))[i)!)t'.)'n.j)t.t-
)ti<<ff"ttt'ft.~i~));<)t'-<t:tn<))tt"<j'<)" tt'tit))')u''))'<t))t''u)';ttt)'i-
f!U't-tn)~t-it.)'<'t)i!tcit('-):)j~u-.t:t';))~t'<)tU)t.)!rH)<-)it;it-u.\
'-t)t):u'nt~))i''itv' ):ts';i)'))ct'.).tt)t'-nt!!<'[:t)i')<'t)i)"')t't')h'
j')~t'
)ti")).t')<)-ur)'n"<tit)t)i\htn'')<')t':t'uri:tti~tt)ihn'.Qna'tt
!mj"'UY~i)'<-hd.M.C):u))a.);m)m:«'t't))~h'aj~'Uj't'("tth'ihu-
tm))'jH('htit!tis-t'))t)t'~rt't)nun)istt"H)hntuX!'s.H~j~n~t)'')'
';HHt)''t"ut''[~m!'))t!tti"))'httr!t\itt))t'inhth<rt.)t(t''t'['<h))'
't~m)'ttt'iu<tt)t.t<i''<[n~'i.tt'tu)))t'jt'<t:ui)'<tt'tt)')):ut'-<pru-
'm" t.)tt!=St't\'i!')'St)'t~:tt):untj'm[r)ui:t)".)i))!())'s.tM
'u['i~~)'\t~tiftn't'tintt''n''mt-.):t'))'.ota)i'!nt)ut)'~)):ti))''f"t't's-
)i«-rhhn)<~)):)H)'')mh)it-)).<U).L'th)t-;)ti~)).t'h\M)<n'kstr:HMUx X
)~)h)b's.taru)u))i.)tit))t('t)':)s'.i.-):)t)t's~)ttth'<s<')yi<t)ni.s''tt)n
tr-it-L'~n'.t;tn.'t" )'):)) d'm')'H)St't)'o)'it)i.~t. '<t'
p.n))):)i''))t
;nr.~t).~uu~')i)-tt'Hta(')'-).'t~):)).'t)h')i.ttt'nt~)t)t'<'it it
p:)-))t'))'')tt'')tU'')'ntt<'i)')',)tc s'')'t'))h't'<'h')ttiti!ju'
)n''h)).'))'t'<")'t<t''s'))'i)ti(')t~')u''))~)t-x)!u..<'M.<.);t)jt:t~<'t:m:
!.t')t)in't-n'')t~us:)p[':)tt)''t))'j)!t)):)n!t)u''t'u)m)i(~)~s"))tttt'
tait-«"'i:tu.t)tt)~tit''<)'))'<i!))!))~!tux!U)tt'M)'jtnf)'r;)i'~)~')'
)'u~n't<tt)'t)")'itH"t)-)'<)ti)it)m".)-))t'')M)tt'('a<:)<iu'tn.si'<'f'
2')':t)tn-)titinn'sdt;t:tt'!tHtitt'J''h)'t't')m~t<c)dt')'f:ti)).
~-n"~ut<t'tm'n'i'i)))itn:r<t)')ii')t)'it)itit-)'()tt)iam'-<')t')t<)itf)tt.'[
HU~ t.'<\XKt:C)')).tH:j~)E.tM'<
'ttt<t<'ttt'i'th't.:i't)~'t.)it''uhi'-tu)it')t<')t')t)m)sct't)'.n)tt'Ut-i
ti~t)<-itm)j')nst;t:(ttJt't)p)<'d't~n))''<'jH''('t'ht['h'ujtt[H).'(tt":
t't't(t.ttiu))<t)tt''<nf.!it)'ithti\itt~<-t\~t(-)f~ttt;t'))t"tti'tu'
t.'t.'t't.t\HttH'St<'m't)t)t~sUH')~tt)C~tt)Ut'tmtttt''t)r~')'iUt'Xt'Ht))~
~t~.
):
t'arM.)~)<Kt)t:)M
tes uns sur tes autres que le dotait <-ciu'p))eet que, pourtant,
fa reprcseutution d'ensembte manque (te netteté.Un a le sen-
timent d'une grande bigarrure df mo'urs. do traditions, do
cuiitutm's.etc., sans tju'on puis-e attrihuer il chique région ce
uni )ui revient, de manière il voir ce quitte pt'ut avoir de per-
.~)mp) <'t <ept't)d:mt, h) ptty~ionotme t~!t)f< ft~(M hn~'ctse
})at'cequf les élémcnts qui tu cutnposcjtt sout dispersa de
tous les côt~'s.pcut-~tt'c itusxt parce <p)'its se n'duiset)t il
peu
dt'chuso. Si t'ottOttt'cptfttait n-atUtOttde constituer te pur.
trait }:t'u<'mtue(h) paysan itHftuand, ht fisurc tpt'on ubtien.
drait tnanqm'raiL et'oyous-uuus, df n-tiet' et de cuotours
datais. Pour toutes ces raisuns, la lecture du livre est assei:
laborieuse; mais c'est titi rcetteit précieux de tnatcriaux. C'est
h' re~mnede trente ans (te tt-.n-ait quefauteur a empi~-es a
parcourir tes diticrentes parties de t'.Utetnagtte atitt d'ot)-
sert'er de près tes fattsdont tt <'out:titparte)'.
L'auteur commence par décrire le cadre extérieur au seiu
duquet se sont etahorees les mœurs rurales c'est-à-dire te
vittage et t'habitattou. Le type {ondfunottta)du village est to
vitta~e aggtomere ou famitiat t//«M/<'M(/«r/' ou .S'<<-M</w/'),
groupe de maisons, voisines tes unes des autres, mais s:)u!}se
toucher. tt ctatt entoure t" d'uueeteudue de 3 :t 400tteetares
de champs, partais entre tes dinerentesfamittes du village
en parts théoriquement épates; de t'.W<m~ forets et
terres de pacage restées communes: 3' de la .M(t<A', terrains
u'<u exploites qui s'cteudaiettt au delà de t'w<'M</c et '{ui
séparaient tes dinérents villages. Primitivement communau-
taire et familial, le régime de ces villages a contribue pour
une large part à former l'esprit rural et l'auteur s'eiîorcc d'eu
déterminer t'innuenee jusqu'à l'époque actuelle. Mais ce
type n'était pas le seut. Hes le principe, ù côté du village
a~tomere, il y eut la ferme isotee ~p. ?)!, occupée par une
seule (amitto ta nature du sol, par exemple i'andittj des
pays de montagne, obligeait souvent it cet éparpillement. Ces
exploitations séparées n'étaient, d'ailleurs, pas sans tieus les
uues avec les autres mais les groupes ainsi formes étaient
toujours assez tâches. C'est à propos de ces fermes que sont
décrites, on ne sait trop pourquoi, les coutumes successorales
du paysan attemaud, qui valent ë~atetnent pour le village
aggloméré 'p.38-H;. ~ous ne mentionnerons pas quelques
formes mixtes ou secondaires de villages qui sout ensuite étu-
diées fp. H-5't).
:)U4 ).<XKK:t:)uL"t:.t'<:M
)))t''t't'ttt)'su)t'u!n)i-:tti"t)desvi)):)t!sut)t.'sptnft's'.it.!t)'ut'
tt"'t'.tti.ts;s<ntt'.('uutmue4t)ut))<u):t!<cti:)fit'')jnd"nttf~t'astt'~
t'tK'>f:ttUtttt"-cuincid''ttt<)Y<'c)''spt'ofp':si"t)~.
)t'~ttd''yo)"ti!<tj:n'))')t'ttHt'.n)itism'ti!ya))tnsJ''u)e<;ttut<s
~U'' d< htits d'' nature a i))t')'t'ss)'t' In .<.nciu)t)::n<Citons toutefois le
<'h!)))it)<Ut'it-s.\t'uts()).tt-M.Mt'iuh''n')it:i''ttsC!;<'cW't<'t)'t"!
j'uisMhtf JUSQU'A)'.tn'h<<;<t("ittti~iun~c)tt'(''ti<tm<Mt)iiit'MUtcm'
s't!m'm'&t-j[n'")))it'('.sut'<'suj''t')'fjtt'n:tttitHtti!iJ!tt)!.s('s
/~t''<t'(-/<M()). 44t't ~Mi\ t'n chaj'itt' c-<tcut)S!n'r~ aux usages j'oty-
tt'sit'ns<;t)ttC('))Mut))".(~t:'tn't)!nt'i''s<ttt'm<)t'ia{!f(p.M()-2'?8); i
rn:))si)u'(n)mc)i<t)tt'')'h'ttt)'jm<nt.AhtiittJnYt')H)ne,
t'iUtt'-t))'mt'f!t))t''ttt)<'i<~<'nd''))''put.tin'rf'):ttfw!ti'!trt-iw('t)t"th)ancs
et aux ))t''otit')'M coxvf't'sioos chtvtit-nncs. t.c hvt'e est, tt'!tt))cut~,
a.:t'i~k;itu<
M'"<))i.-))t)).tti)J).<r/MfM<t'<.<<K:ut-!t'nh')tr.tUtt.
')?'().!? p. inS.
)':tt(J.-s)))-t!t<i)u:))i"n()''):t)'n)n)~n)~yj't'?.cn<:r<c.tt<mt)f.
t'nP:)tf'stint'.cn.it'Mi))''m'd:m<)'<)td'ett'!t'n)tahiet-tt't)'iautt'.
C\dirL-t)Ut-f''Hvret'~tt'x<'t''riq')t':c~t(ntr<'cu<'itdet-('))tt-fenc~
)ait'< à ).mtdn~. Mui<t'autcur parait, ''a M~u'~ra). as'.<'i! scrit'u~'nn'ttt
i))h')-n)'Sontt'aYai)<;<t)uaU'fttr<'n~'mL'utd')t))int''parut)'-id''<('t''
nuu<cr<)y~n.sitK-xact'))pattdeco)'ri')'-ip''<tt't<)'-<zr't['indt'-
pGnd!)t)c''dont.)t)uit)ah'tnutfd~t)))<'tan«"'m-<'tt'')a''itUHtiuH()n'
tui''st faite dansta-:f'L-i~)'um'ct'tt<'t':ti«'t).)'ttt't'="'a!t pfn--
favt'rabtt'ntpttt traita <'n)~yp'<'q't'n')'.t2. a Spart''qu'a
Ath<nc~.a.\th'n'<)U'uf<")))'dan<!).(t<"t)t''pri)))itn('qu'a)'a['n~
.)''ta )t'~)mh)i')t)''<p. Met.uiv.).Hi''nn''n"u': parait ph)~nutt"
(:)).< )'itht'~p''))dance de ta f'')ttt"<'vis a-ti'!dtttnativt'')t<t'uvcttt
<t(.-c<'q~[uti<'ttc~~ut';stt:t'')~.0r'ui-cin''p')t')retat-)<t-
~a))"')U' )< 't''tt.f ')"'<tx ~~ifttt j~us ou «tuit~ t'tmm:t~ t'un At':mtr''
t-t)UtcsUeMr;U)d<'bst<h't)'<~a)'s<n~t)t)t()t':t)('t(e.<tt'ux~'x(-
C'e:.tc('')'t)f!(itt)u't:ttn.ttt'u))<')'rn:un''au)t'ituittionst)t:i:t)f.')'it'tt
'U))('-<i''mcil la fomn'' t!tt'c()m'. M~tne<:<'r)aitt<ides senitUttes aux-
tjttcttf~ h fctnxtc est )<!ttfuissuu<))i~viennent, est rea)it'\ t)'' ce'jttL'
..a cmutition s'iun'~it' QuanJ '-))<'Mt adutist' a t'h~n~m' un s\'s.
t'me d'' tut<'[)<* f'~)iu.stituc pou)' t')'n))"ch<')' de fait- sortit' t''s hit'n~
tjU'~He pMSf'(h'Uanun'natak: <)').'(. sa n))H''W~. Mais'th'
tt)it)orit<'vient lie Ct'<)u'))<)'<)'it"<T.st-a-dit'<'<tf'c<u'c))t':t ;1
c~tnitifn
ct'ntjttis des droits 'tn\'))'' »'avait pas ;') intithoxent. On Tuit
la qup~tioit est cmn)))'xe.
tV. – LA FAMtH.K
P.)rM.Dt.nK)!ËtM
HEMt<!CM
CUNOW. – Die oBhonomîschem Gfaadta~em der
Mutterherrscha.ft (MMM~oKOMt~MM o)«r~'«u'<'«().–
<<<(
'A\Xt':t:<'))-tf)[.<)f!t~H'R.t"<
Die Xeuc Xeit. X\ t. tahr~'n~. t Kand. ~9'7-i'8. n" 4 il 8
incius.
W ~<Att<
\V At< –
MARIAIS. TtM~m..nntttn*
Des parents et des -tH~~
a.t!tës auccessiMea
endrottmusuttaa.n. Menues. t8:M,)x-t~p.
Il 1 JI 1
t'uuuh' <n!tt''t'tt)'fs ~ur .<s neveux. )<*seufttMt"de fit M'Kt, um' nu't)'
rit~<t)<tt')h''h'<))an'nt.'t.H("ht('('t'su)))tt)tH~p~j"judw:u)tt'
ftmt'')tt)H!ti')t;tiutd':tUt;tutpf(tsit)t~rc"~at)tquH,ct)cxt<'sthtt))t)!)'
)ami!ttit'))St'rttititCtu'-HMtm'tttftttignt'Mt<Ct)Ht)c.C'Htd'Mi)i<'ur''tt it
Ja)u''rt'~u';t)'t)'tit')tthttt't)(<'t'ttom)<'n)«tA'i'')(t''ttttr)Mis<ttt.
f:<)nti''))tt)''h'i))t[)f)t!U)t';)'ns''i!;tH')t)<'n).)t))ttt))t('t)U))n)ni.
nMttt'd' ~i\'i<i"))' 't)f')'di"ns''ttrihu'- p. )(iO-t'it.<t<it))'M'-
)Mt)Ot<s!'ut')'"t'i':tt)i')ti<miHt''t'))<'(tn'')au)'.t'?~.sm-it')nt')))i!!)))''
()'.<M-<M't::))t't'i))['')'diL'Uu))')))it'nt'Mtt)tt'ttt,stn'htmy)ht'-
fo~i)'t-t'ot tt'Vt').'))~'rt)t'))t p. ns-tMj!).Smt<"<!trtt'm~)tU''st-i)<h'M
tfM<'c'!j';tt't'<)M'));tUX'tttt)<(t<'s('xf't<)(':tt<'u)'<tt)t~t'irttin'
(;nuit(m')"m).tt'')!f)it))i)'n(tK)'!ts.i))t'tt;)f:))')it()th'
dt))ittt (t<;tuttt-'s u'o ''tudt"; .« tu'-th-i: ~ttt ta fautiHc. ~Mc rc~'titiut)
eu '~ait doth: t.t'< ()t'nit)'t<
V.–t.KMAH).\G): 1:
)'!)rM.nHUU)Ht.\t
U!msh'irni-i;)(itttt-(t')))tru)-t't)t!H(it)n't))t".<~udit',))utt
~asd'.)ptv(').~<t).h!tt't's'[u'njmt)-tt")'t)t'v''s<'ttn')'ht-.ut)i-
~:mtt's'.urrrjt~i))~'t.ju<'t.)r)',):(cthmtutn:utn-a.d'ai))t-ut"t)t~t'ct'-t,
Ht:u<d'.tf'h'st:(tt<'f'MM«<'t'd~'t'a':i~-<'Ut'srt.'t)~('i):))t'tt)t'))ts~)':tt'.d:uts
t(')n'i''))tt.'<t.[..i)H'.t.<.
)!rr~)tjHmv<.Ht'<'t.(btit:th)-.itt'-nx)~n;).).<.i[iut)-)uitutj):n.nsset~
cun(t;t')irt..h'ttt't:tt')r-.t(.)(t)".)).s~t-tt\.Tuuttt'atf<)t\t.
it~Kh.);tt~)))<-ta t'<'mto'J"utt').«* h; t)[!ttm~'tt'nm'n)':tttttt'i)ni'
)"'n't.()!t.'r.).rj)t!m~h'utiu-it~)t"~)tt'tiuttt')i)'t)t[ui;<t't)i)!J< ¡'¡
ht M<'<'f'M<(. ).;[)!«<. ):n
M'n):n'iiH)).ctt')tmm'Mt~tH)'h't'<):tt~s.t
r:U))it)4-n:t);d('cUt'\it'!t)\'
mt-)'nf'.t<<)f\cu\C.'qui))n)t)t)'<'
bi'')t)a
<inMtiu)tpr'u~(!riYit'~it't[u')tcu''cu))t-.t''t".tt)t)t.)!(
t'ftt'nt'i)at')t'<f<'jnttt(-.juuitt)'unt;v~~im)')''(')'))umt(');)ttrcmtn':(h'
~,)Mtf.)i<jtni~i.[u.t)'utt:mtt\-cut~)))Mt!;tvc~ttt'i)t.t.)hta)t.-u.
tuK~t''t'it'))-<.)tt''ut~u))jui:at'st([t'}:).u)tt<t':t'tuttrtt-.t't't~.)nc
in't'n))u.<t.tut..))tf'tt(j!U))i.)ap")\mmtictt'):(t'Ct-)iu(.ti-.)tt(;
t':u'<t!t.) t'!)t)~'mhh:mn-ifi.iL)<)vct
)'))))'-t~natiYt'-()t))~j'mitht
f')))tn't)<~t)~t~[.th~u).).~t).)ti''t'tui))ht.Mb[t-itt);))i.jUt'r
m)<t!t;ttti'tth)ttntatt'i:))-))!'d)'t;tt;ttttH)'r!t-)n.hiarc.tt. rstu))
tt''}:i)t)t-'h')!)0)tti'.<uit~d')'(;nn)t.-s..()'.tU~;t)nt".t't'<'ttCt)ntt<'t)u'A
Utf ')")~)tn'itf.-)tt't~)-~t.mt)ti~)t.t~-t!)ti"t)<M'u~-))<i:'t il
!tUt'm)<jh''c''ttt'r<~)~m)'n):((tun".uft'tH))":tL'n<)n~.)uu)pn":d''
)':U)i)H;th~
.M:ti')tut~<tttHt''jnt'"t[')h)n''t'')Ut'unsut))'~itn!<)t)i
t'avoti'.r
.<'f~'iht)('t<').'h'i<(')t))-))ts.~m-).)t'<t)t()'nt.t.-HttjuuH)<'s
atc)jt)).n.ic.)n'Tirun)~tt)t'iit<tt.-).H)-<-t')tY:tUt~itt;tunt'nri.-us(:
ctit)'-u)nht)'an)inu)tt!t't.(:)-nuitit)s,ca)));)ut)':n))t)t'.ut)tt)<m<;
ptati')u.t).ti))''sr')."tt).,)-!t)''s)n'm')tt-!))'put-),:)u't!t<-<)'')<tsu'.it)-
tot:it')tw!M)u))t)'ri:t).t).~jH.-))<-it.)tt.(tth'(p.h'~).")-:t
c'('t'tat~tth:n[i(-tttt)M))U!!tUt<)itft-ntdf))"itd()t'dt-))itrt:'t :l
t'v<~uti~n')~)'ant''m'<'))t')))~)'t(t-<)<ct'i«'d:ttt'.tt<tt'tick'~
t()h'-ti(-U)S.
M:ti-:)!)<:u)))).t')i.ti"uvi'-nt.<n)..)t)t.))t)).tju<'M.M.!tttop
f.n:i)''tt)<-nt;h't~'))h'-)."<t-th'~)'(inn. :mjuU)'<)')mi')tt';mn't'idu
tn"ntsot))''<p)'<'))'t.'thth')t).t''t{!t<-tt<!tt'n~t<))');n:)mt-Tt-ut")).t.u
s<'x(t<n'<).-tf!)).~)tti<t-uit.<)t))at-t.-nc..ntt''Mt)tt.d<-n'h~iYt-)tH-t)t
at':me''tt'')'uh)tiu))..)))s(-mJ<tittjti)))'.<<jui~ti'ttt''))t')'jattuc
<jt-Mmti!)ti<)ntt'd~)i)tit'.Au.~i.')u;)ttt)).ttiti:tti.)nt-)()itit)<')iatt't-n<;Hc
!) <t:tf~h-. la delà
th)r<it.t'uttj))!tt'-<tH't)L'it)))')h)U<:dt.'ta j'itt't
t'tnmett'M~na)~u)tL'p''int't-u(:t)')n't.d'uu;tu()<-<t~.)c<
St)U\)tit'st.)i~<jm)h-t\~ci;uui)i:tt)')t''t:t<'nt,nfn-n.u)ta ta
S':)('j'nY~mtsu)'unt<'xtt't)''St)':t)!"H(tn,t.)Mj.('t<m-m))!:)<.<
t)''H.Jt')[it~'['(t//«~«'t'«~t<<'M/<'Au/</Mt't!).)<.73
t't-.UtV.).t':tHh'tU ~)t:n!tt'iH'(')t)t'S-itttt)ittt~<)tU''h'SU<:t~
t)<)pti:tu.<u]<'h'n<t.u't:)))i''t)'-ft<t)\<)''<)t")nnit)<~t~<<tt'<'c'
<)nYtt'<!m'('n''tt'(.mt-!trt')ti)'<t)'t)m'):nh)m'):)'is):)i~t'~j)"u'tc,
tat't''tt't'm'tt)'t('tmVt'H~.t't)))c~t)ttt)''aU'j))n'.<I't.')'ait)''nr'
)nr''«t't[))!hn)-~)!tp!n.trt))~utt< ).')«!<th)t-t't'~c<)m!n')uit
):))t:tt)t'<))!)tn!)i'.<)n'tutU!u'i~)h'~j):;t''m''t'atp<ut)'t'.n)n'h''t'i-'t')'Utt
ty)"'t':)()titiatd.<it)).'))t'-)')"-u<di)'mt!U)t d): tt'fn'cs d'achat. ~Ut,
tt'aitt''ut'.<. :m)it'))t~)'u''['")t))'t't'')ttf)))tti'.j~t)'u:\tt"))n';t;nt'tH
<'0('Mt/~<())ti:n.titj)'mrt'))jt')!'in'~uisi)i'f)td''t~H<'<"«.<tuonttcs
<.)roi)!:maritaux put's et sm))'t')tt'')utt )':K')t'<' ''uttfomtm'iU'M'*
l'achat J'*):)<i.'u)c't'.
).t')i'')tc")).jm:.tt'<tt)');'n't)')!t'nn)t<'tr'<)'iir)m-n);itsuf-
)f(')H''):tj''nnt'ti)t)'.itYt't.'t')t')H'<)''<)))St'n[''tn'nt')t-<p.tt''tt)s,
.!utpctt''h't)an-!);t)n:)i'.<')t<h)j''ttn''))~mtm'.t'!))fui't<'nt:(ti!)ect'
!;u)t<-(t't)))r<')))c)th't)tt'')''S~<'HXf.tmit!t"))s''t)is«tt)(:)<c)!t
t)t')))''t'!n'i)it<\ ht')))tt~t'm'<')t'n't').n)!tis<:uh't'd)tj'«'u)it't't'nritnt,
t'hun)tncqni)t'-)ah'mm't.t"t))':u~su!)tutf')'-)t'))t)':)stmt'
)tu)ttt'))"mta)t))'))n''t'<)t).ti.<)M)mt<-j~'n'~ni)t')t)«'d''rt't'<)))))!)iH'c
S!t))itt'-t-))it'
).'ubset'v:ttiuns''t:)))))Ut'tcauxj'<'))u)Mti")):')))tt<)U))n'n)f'i-()t's\i)-
tapes tht t'um))ah. Muttitu'te <)<'t itcs dm'): ttc pt'o\(;n:ntcc'. pt'oba"
Mont.'nt divr~ci.. Tout )'* ~it):~f' )'«))() part a h 'r';t))0)))C. A
rt'n):m[U''rta<tt)!tnt)tt''tt*intp)t<t'tti.tin"ui\'o)ttu)tn*')'')tttitreet
Std:tt'h')f)Mt'hh'r.)e p<)ttn't'.)~h:)UssnttHt')'.)<'c"t))p!')'ms
par)'')'t)n)n't)'('tt'ipuxa))t;)t!<"t'«'t!nt''t't'x )')'<; tttio's~er-
sonnâmes p. US), t.u tMct'cduj'utic hmxnx' ))f doit pns assister au
mariage.
't.–~&MHUXMht'ttUfMHilK
t'M M.E. LK\'Ytt UUHUnEnt
dauce, se
<!)nwp substituait peu il peu te tien contraetuet ta tno.
n~uHhM)!t)*îtW)tfm!\ttH)thtHttn<'<ttttt"K'ttt
~1. 1 !o'-
potes, soit en des produits. U'aith'urs, ta société peut faire
de ces biens des concessions. mais sous reserve du dt'uit des
générations a venir. Le~ rapports entre cette propriété et tes
droits et oMi~atiotjs des jottit-hhfs, têt est l'objet de cette
étude. !iy a. suivant fauteur, des choses en ta possession
des individus auxquelles t'Htat a droit, non comme ct'canfier,
encore moins comme souverain pouvant,exiger de ses sujets
des sacritift's. omis directement comme propriétairf. ~t. (:.
app)i<{u<' <ttc PuUM'~tiot)notfUtoncot a )i) )))''orie de h) t~iue
et :'t III tix'-uri''d'* i'itnput. Cf droit de- t'Etat est le premier
qu'il ait parrttppftrt.unuus; c'est cetui qu'i) duit exercer eu
premier lieu: d'où. t'u cas de tt'oubtfssociuux, rapp)icntiou
ta plus grande possible des peines pécuniaires proporUon oeUcs
et pro~t'essh'es; d'of) un système anittu~ueentuatiej-c de con-
tributions.
A côt<:de cette propriété uriginaire, il y a une propri"te
dérivée a taquette )'i':t:)tn'a droit que dans ta tucsnn.' (les scr.
vices rendus. ~!ais ces services ne sont. en rapport exact t)i
avec notre avoir ni avec notre revenu i'intpot doit ftrc paye
ici en proportion de ta valeur qu'ont, pour chacun de nous, tes
produits que fournit il chacun ta société.
Maintenant connneut apprécier d'uue part t'etenduc de ta
propriété originaire et. d'autre part. )a vaieuruue représentent
pour chacun de nous les services d'Etat
L'auteur reconn.dt qu'une appréciation très approximative
est seu)e possiitif elle dépend, estdéfinitive, avant tout de ta
conscieucesociate C'est pour nousun des mérites de cette
étude qued'evcitter sur ces points cette conscience soci.dc.
Mais it nous parait qu'avant qu'etie se soit pieinement
eveittee, il importe de s'ea tenir à l'idée du service rendu par
tasucieteoudu troubiequi lui est cause, pour les rapports
sociaux si cmnpiexes on arrive ainsi, pour t'imput pat-
exempte. a le rendre pt'nportionnet aux jouissances (}ue ta
société nous fournit, proportionne), par cot)s''<)t)ft)t. aux
dépenses que sou organisation nous permet de faire: c'est, au
fond, à ceta que le ramènent, a cote des impôts sur ta con-
sommation. les prétendus impots sur le revenu bascssurtcs
signes extérieurs de la fortune. Si, d'aitteurs, l'impôt suppri-
mait tui-meme le service, il devrait alors disparaître.
Pour tes rapports entre individus au contrait-e. pour ce que
l'on appette les droits individuets, droits anciens dont la
forme actuette fait partie de notre conscience, il faut tenir
34~ t.XXtiH~t"t.«(i~t'E.t<Ut
cnmntt'.pt!'i)u)<'tt)'v)t)e)'it<'it)Htntn«!tt<!«fntt't)t'tn<nn
comt)tc,et!'aut<'m'yiusii!tc~ust<'ta('nt,()<<eetc)''u)eut)'epr~
seutatif qu'est la bouue foi, h) eroyaucu, et qui cœo les droits
acquis.
E.L.
Cotnm'')'i)nth)m')t'suu'-tit<t'')~t)<'dt'uitttt'pn))'t-n''t~qm')'!m.
teu)' ïe p~tuf )!tus -))~it))''m'')tt d'~tmtt'').St-ni''nt('t)). connn' s''tm)
hti,)\'n.tHH:[t[.mdt't:tpt'o[)n~t~jf)'t't<'t'.n)juUt.t't;n)~t't-i)tt')'<
MUtff";in'-tituttuH- s()~'i:tt< it ''<( ;t)))'')t' il mm~ d~cmc, dans .)'))
Mn'-t;t)))tt~t.'t<'i\i)i'di<'t)d't)itt~t'))t';)«'u)'h'-<)n'i))':t<n)'f'vu'
C<)tpt-)))-~unt)!!t'.<u.)U't~)<(fun\('nud':tp)!<-tt't')nm)i-
tifs. )'.)t)r ~f's r.n'os th't-if)u' f'xpo~cs .):)))<)7;Of/M<'ff)M<p.:<<'(
sun'.t, M. S. timit'' "on oh';t'rva)iua aux suci'~t' <{ui)"'m'f.'))t'))'
t'('t::tnt't'(;ot))tn'')''s )(h)'; itttm'M.fuyt'r-.th'civtttsationfjui.om'tt)
connu~:c'<t;'ts:L\-uit't')~yj!)t-.)'(-m)'i['ttt')ta))yt'jt)''(-t)uChi))(-.Si,
d'ai))'Ut'iN!t[~)twh<t't-~trui~ciYitisutit)t).<,c'')<'cst))as.<t;uh'tt«'))t
aMU!<ttt')~'u)'cutntuum'a))ti~mt~.M:u.i)t'stitUt'J'')'!us))u')tya il
<;tth'<t.'))t'stmt:t)))'uttttt.'p!))'nt'ttyaut'Mitunt'cunttt'xiou)'th))u.
Io~i')tn-~)tttvt~s.nm')''tt<'Stt<'si-;L:y)'U'-nst;tt')!n't))i.-tshM)!)t:)ttt!.
dch)<!tbY!nt)i(.)'tm'-p:)rL''tc)ttn-t:t'!<doi)i)'M<'t)<'sChit)"i'.df
t'au))-<')'.ttt'[':tth..t':t)h'ut'-a'<'<tt't.'is~t)cit''t~sjir<<'ntt'ntde
~ranJ)'tn))t:)nc''s.KU<'<!i'))-:)ctr)i.:<'ntto)ttt's)tuis(':n'ct'fai)
qn<')!(ci\'iiisatimtY.-nmc:n-:tct''t-t".i!)'nti)'t))-))u'n)th)t))')if)m';c''
qui c"ttcnm'ht vx'dff:) «))))''t''n:ut la )'tt'mn''t'<'j')!tc''d!Hts)'
prmc';Ut':)tim)St!Mp!tr)icu)i)')s<'tth')fum-<'tn<;)n''nt.<. Par ):').<'))<")
s'opp()!;f')():)uxriyi)i-tti"))s)'<))itit)t)t"tc'('>t.!)u €"))))':)h'<L',):ttit:
pub)it)n<'tjui:))t'['i))'J'imj))')t:U)ct'<t(juit(!tt(.'t'!)it.')tt'.('uK-tt)''ntttc!;
t;itt:St.!)-<-)~t)'S''tt'utt):ti)H.
C<'()).')t)):tnt.en d'')~ns df cf-. h'ui't':tnd'.t'n))'i)cs. M. S. ctudic un
(it'oupc d'itut'L's sK''i'~t)~ .ju'ii ct't~ifh'-)')' comtn' )':)f)<iti'csaux j't'c-
c~h'nt'-s t- .)t c('t))-st)ui ont :)j'['utt)'' JM<hi!isatittt) sm-)' tteux
borttsd<'htM.t[it)'nanw<[')'ututit'n!.p)v))ist).))i!ju'-s)h')(.t'M;<
Jct'ft:))i't))')'Hsj):t!;t))-,tht'!tntJ<')!)<i!tu)e()'unfp!)t-),<'tt)<')'!tutrc,
Cart))!)!t'itt)t'i)'t)ti<'Af.))'it'.<'tt'.t.t)c)'M[~()HY'j'i)-yt:)tt:t('))t')')M
p''up).t')-)i-tn)'i'(u'tht)(:)t!)h:)t't.),)'.3M:)':6t.
)n)ivn't)uituut:)o'M)inttd<'f:h"t'!<))<'p)'))tp:).<<'r~un)('ret
peut<tift!citt'mentpr<~<'nt<'t-')'uf)i~n)tfS).)ranti'"tdRC'))n)"?)cn<;o.
CMn's[p~.t't''rautcurn\utun''tt'chn-CLonsi.~t:tMt';m:ti.,it))c
peut f':ts fHm.'pin hti-tn'm<' la <;)iti')uc Jt; mutt'-tiauxau~si divers. Ce
tjui pt'ccuttc muntrc ttc ptu~ tju'it a tu) Moûtun peu ttop pMuon<:<i
– ).8 UtMMT
AX.~YSE! t'KXAL 349
pour )''s thf-s ()ni soxt en dctun's d.' t.)))tc tt.tn<in<,)t.din)).Cepcn.
dant,cumnh'Hyitt~.iM<M(t)'rh't:)ff.t;t)t)-t'.t<ttt.th-rat;(.
['em('-tn-~)Ut;stivc<.[ c'st ).')..tt .)U'it))Mt:ttt s'H'- stu~ut
pf0))u.
BËALDO)
)~(K. –Les grands domaines de l'empire romain
(~w~A~g~p~
M'"t,2.
X~sm~MM~f~c~~u~nM~p~
snut~'nf:urer:n~y<('.)u:utd('neseMt'Tt))i))'ttt-td'.ti)t':u<'<.
probid'tc'tm.'d'ici ti'tt'Ut'sent t'u)')i't-<'nYuh))nf.
vn.–t.KonotTt'ÈxAt.
Por MM.FAL'CUXXET
et t)f)tH)))-:)M
t'istoriquoetsoci!Uede)'ideederGspon8abitit<Gnsont)es
seuts ctOneuts reets c'est de t.~qu'ette vient. ~tais i:ubjfctt-
vemcnt, ce sont !a comme (te simptes nott-vateurs. <est
comme une conception subjective que l'idée de responsabitité
arit en nous et qu'otte est une force motrice dans nos cotts-
ci''ucps. C'est donc cotnmc uue t-)Htf sohjecthe. connu'; une
im:)gpet une rcpt'csentittiot) (le notre pcnsfe, que nous devons
lu cottstdt'tvt'att poittt <)<'t'ttGpfi)!)!. HOr. pom' h' cuHscifHet)
popuhtirc, t'idw (te rc~pottsubiHterepose snr tes !(tfes df cau-
sMUtt'.de Ubert'et de pcrsonnntitt'. An o'ime qui t'indigne,
''neai-si~nc pour c!)use):)cri)))i)i:t)ih'tatt'nte, tes mauvais
instincts <)et individu crhninet; etcHe considère ~individu
(.olllllle t'!))'tis:u) d(.'
cuttttuc (le Mtt)!))dh'idni)iite,
soli cotjiij)e 1.~citise
CMtnntehf canse pre-
n)iert'et)ii)rGdesacrin)ina)i~L'ideedeii)'crteetd('res-
ponsabitite est d'~nc ponr te pcupte h' fondement dp l'idée
tte sanction voita ce (jnc )e droit pcna) lie dott pas ignorer
et ce dont il doit toujours tt'nir compte. Car tes socictes
vh'Ojtitvattt tout (t'idt'it) et de justice, et fidco de respons:)-
hiiitf est tiee it cette conception de la justice qu'etiesse sont
faites.
La conscience eoUective réclame donc une sanction penatc
contre le crimine) t'pspousahte.etetteju~et'esponsahteet libre
touti)0)))t))f.'f{t)t.w))b<t.'))o)')nataupf)intdevm'pt)ysiuto~iqu('.
Mais la mesure snivautiaqneUe cette sanction est appUquee
a un individu determin''dépend d'un antre facteur.Ce n'est
pas le de~re de titterté que) acte implique, c'est te dei:rt' d'in-
térêt ou de répulsion, inspire par t'aient, qui (ait varier t'in-
tensité de ht peine. La toi naturettc de ta responsabitite
< reprend ainsi te dessus et comme inconsciemment sur la toi
d'idéalisation logique qui lu justifie
Cette anaiyse de ta conception poputairf de la respuusabi-
titecsttapartiecentratcdntivrede~.i-i.C'estsnrtes
données de cette nnatyge que repose toute sa théorie. – 11
montre d'abord, par une discussion philosophique, qu'on peut
accepter cette donnée traditionnelle de la conscience popu-
taire; qu'on ~<'t<fc<w«'a ta iitterte, à condition de considérer
la tiherte conunc une virtualité, « comme la torce de résis-
tance tinate qui est en nous, le <ond de réaction qui est
capable de s'opposer aux influences extérieures M,et non
comme une force neutre intervenant a chaque vt)litiou que,
par suite, on peut rattoanettement conserver a la peine sou
~M t.*AX\t!K'-<)t:h)).'h:)~)'K.)Mf<
rcspottsa~itite: )n:))S<m
t'CSnot)S!tbi))tc: maison <f'mh)nf'M!nf.n
semble croire que. pour deterntiuer
ces conceptions, il suftit (te faire
appel il ta conscience intimet3.
du tectpur.M. S. veut adapter iasociotogie aux
exitrences de
t'idee de juiitice. Mais quettes sont ces
exi~euees? « De tous
les in-tincts de t'honme. dit-on, le
plus vh-ace, c'est tidw
dt-justice.'Sun:, doute. n\:ttuujout's eu, duustHu~sic!!
suciett' des actes qui uni été cuusidere!. couone justes et
d':)utt-e~ cu)t))))einjustes; tuais cesitctes n'uut
pas t~out-s
et.. tes mêmes. Le contenu de t'idee a intunnte~t Y.n-ie
et. ici.
c'e-;t )e contenu qui importe.
Qu'est-ce qui est.juste pour uou'
aujourd'hui et qu'estce (lui lie t'~t pas' M. S. répond
par
uneaffinu.ttion pure et';i)np)e: tes seutimeBtssociaux de
justice exigent, d'après lui, temaiutiett d'une sanction
peuate
pruportioNnelipa)a grante o))jecti\-e du crime. Mais
pom-
M. Hamou. conune nous le verrons, cette est
opinion un
funeste preju~ destine n disparaitre. Pour savoir ce
que
petisc et ce que veut la conscience publique, il faudrait
donc tiuten-o~)-d'après des procèdes moins sommaires, t'eut-
être M. S. at-i) raison; tuais it faudrait faire ta
preuve, four
ceia, il faudrait rechercher quets sont tes phénomènes
qui
conditionnent t'evotution des idées de critne, de
peine, etc.
Peut-t'-tre ators pourrait on detertniner, sans
trop d'arbitraire.
queites sont tes exigences actuettes de la conscience sociale
et quet système p.-ttats'adapteruit te mieux a )a
conception de
ta justice, telle qn'ettc existe etqu'ette se transforme aetuet-
iemcntennous.. pp
''H.-ahr!nt.~t)~j.tH<.r:tf)initt')v.<U).).tcti.,t)dinu.tu
~-x).rharpar).-hh''uu.\).Mrh.m.~H.)nU))~tpt':tv.)!tYt.t)~tt.
t~h~h~)Ht.(t..).rtt'tt.ht~r.p.ts.~tt..t~tn.:t.-)<)i~<
d'.)t.urdar).ih:ur.)ittti~).)u.<t:)tJ));u'u))tHtifti..c~t)t'iti''hs
~~mM~t~t~~j~ t.n.-)iujn
s.ta).ntai'nt~ttnti.ju'!)U))<-t-))!ti)tt)t~)u'-at.t.ti..ci~)t''s't;t
t)~)~t- a .tttiu.-s v.-t~anc. jx-rsunn~-tk-s, qui sont U~v.-tm'~
itin~ cutMtttt. d" Ja ~-))g.u).
d.s u.j'tiutt.'n). ti){.itt.- t.<t.u))M<-)tc
.~U.YSK-–t.t:t)tK)t[t~X.U. 1. :)(;!}
't'nt)i)'<!(ti<)'ib'tio))!\):n'('ust-i).t)t't-ptt)'(i.ttt"ptit'itH)'u<.utt'uMtth'
un'k't'.it.–t.a~-in''p)~j')'t)<'))t<m')p~)tt'.))ii:iu''<:t"t:tt'r:h'.
""t)~<'i:t)<-[')'"M.[u<?<')';)<)''<:).-)''< .jntrn'i.<))f).'<t))i))t)')))<
<i!Ht\if<ptu<t't'~Ht'vt')~<'in)t'pu)tti)(Ut':)(''Y<)m''c"tM)w)a
v'M''i))K-('ptH~t'a)).)nt.uhi));tit")).-fut p)u< ta)-)) i:)t~t:t)"-
"ntttmi~));u'mtt(uit''t~t(t~')sitbm'.p~rmu;n)!'s:–)<<. [mui.
ti'~)<iutUi:<ut~)))-!)it<-mt')~():t)t'))<-)'t[")';))Hi)).uu't'-tr)t)H.i( il
'U.mt)!(u-tn's?i)i)'t~t'sut'()'(")''i)n'sj):)hi:n't(t~:–:t''),'<
'-x~i:Ui.'tn)v)i~-u-t-s.S.'[.~)).M..<'<-)'.)ch-urt~i:)L\ti)t)rt~))U
)''<i('t')m't'.–)t.)).(''c'nm;tit.tt~tt-.)'c;tt;trtt'-t-<tcttt<-).;J''i;tj«'i)t<
)!(Uiar<)n''t(t'tttH't''n'mt".<'ti~m''<:)\t)tt'')n)<L't)'-tiv~t'tk-):t
t''))t:))t'))«)')).))))'.)!))'));nMtiu))titih't[t'):nr)i);t)n.)~m't"Lt
)'~t'<u'')''ritt'rttt'):(ttihHj'uttt~nt<'H~~t)n)ttt) ).).!)))')'tue );t
ju-.t!v'.t:n)jmUtt'htm'nc~n'rt.'H')u'm)nj«ntn'')h't'.t,.t'i~at.
t'.)-
(~<U:)ti))!)<)u')'b'tht)it)"tmtd"mu'm-:tvi~)t-t))<K'))c~
)'.nm)\)''tau" t'')"[<)''ht''t'.ttt)t'<"c"t'/w.).<'t);tv;!ih~tt~)'~
iu')qn'!tn))"utm)('tt''<'ti'n)')t')n!)h'.ti~u\ttt-jn'-(';uH'-nr.suit Ïl
;tH;n'h~td<)t.t)~<c:n!K't')'M.u't:m.\t).'('h'-ttj~t')!t'<-<if.
Ct'd<nti''t')':)"'icuh't"'tc()))')''t"!)ux'-t~t)'(.tH)t'-ti))'!)i\)<)))')~)t))',
t~)ntt~t')':tf)h'tM)txcut)tmv)-tt!i..n.)).tt-)tntt)t'pat~ud.j)(."tti.r-
(!~i'f<')ui)!"tt''))('.m'tt'~p~ifit'.t)''()~t;tt).).t)itt«~t"tj(t<');t~;ti.<
<-tt'"n)!pu)t)i.-tit.-utx'ot M))''))):)<<-t')~it).'t-a)'t'dM)~ti~t'.ct-s.)~.i~.
).;tt';ti'-t't) )-))<)<;)))')'h)))~)t''m's'i'-t'r'du )m.n.<-t'-t!th'))t
'mY''n(t('~ut')'(t'i'H~)));uti'r').c-<-t)tt"-j~nt.t'n)t'<<
ht)r.t!~))-n'nut)':tK,<)':ti)).'ut'<.t;t.)um't.mn-httiv<)<tir:)n!c).n-tit
c'-t)<-< )-))): v..n)
d"utit:t')'tt~)n-:t't'it')t)'t)'-n''t)!-))t~:
))'*Mm')))t)' ['t)t<~(ttv't))ju<~)t'i't):tnn'tt ''t.c<-H'tt'-nt)''f))')!!)t:)it
h~a~npptustM~n.-jmur ).(ut). ct-in).-<. (:<),<))< .[.tnt.u.-
)''sttt.iux~t'.hhti~)):tt'< th~)ttt'('nt!tm'-tt~t-~s.i.').r'n-
)'t«<~)t''ti;«)<K-tt)'-ttt<'mt)t'<-nx.–t.)''t)"-i!tt''tn<')tt-j))i)f"u.t)t
ttmtn<ut-)(-th\.it<'<))th':(v.-ntiuu)tt-h))"t)U<'nt.)U)-)\.).:Mt)i-:tti<!n'h'
ta )<))<:< ))t.')u-j')i~');.trt)''ht .mt'ta-emi)Hjm)')i~u'?))nt
.t.~pan-t-nMannt'tnMt-qu~t)tcd'?\t-tupjwuB.ttt.O))~)t:n:)t.).tt)s
j'tu'-it.'mscit~N des tu!)))[)) u;ut't).m).
)'!t)'ntih')t~'rt;tti'jn:-M)) ))'t's,<~nt)"m'<-)a m)'h)')''h)t~).t-–
~:mt'ur ta «tanière ()unt-.<'futtn'ttt.tt; )t".
~n'n-si\nn'nt,
~'nc.-).t~ah~hai~.)ucMKU)i<')<j)tti-.h-.ti-<ttd't.tttu(tuttJ(t.'<itN.'
)'!t';siun)tft )':)['opposition :ttt<-)i)n<'t)t-~m(?'tit~u)'"it)t(t~'<~)'!tt'),
t's jutt)!t.'«fMuttM twt jiMtptt-tm-xt -iut).< )). y.'ux tHt t;)ut)pf .ic f.)))~.
3CC L'X~E ~OCKtm'it~L'E.
tMtt
cutt':tt;)s)<nr)-)tt..).i).-(~u)tt\tt')<at-tit-u)i~)t(.'n(vt-.i).)t.(.tuùi) il
a));)<'H.-));'tm'-H'-ttft-)ttl\'xcm<)tn'u)tr)'dt')ai<-n)mt'iiduttt-t-t'.C<!
)''<jUt;t)<tt'nt<')tt''nt(;m;s''tt~nt(-)«'t)isti))~m'mt'idt'-t')).
')'t).t't)h'-diHH.)tt,tkdt-t;(r;n)("M~~ et ccttt-du tutttrui.
n''tt)''))tut''tt~)tit~p.0;-7i8'.
Ë.U.
H:u)-.t<"<));tt'tit"t))''i<')tn~-d'-h)iii!ft-.)(-tfh.tr('w~)pj.)i~(t'm
.ju.a!h.. t.-r))ui.))h..[..jn~i.):).t'nt'nti).endroit
('t:\h)..i.M;ti-).'u)st.)'.thttH.t.r).j;t:()H).<t[.'ttti(.-[s)hTr..du
\'i'-t)xT.)tHcnt.Ycrst!tH~t!J.-t.).suh;tt)U'antmt').-n))''
cutt'pu)~t:'t)'it)'t-uj~t.<'(t<))~ttt.jj[j:t;j~m;())(),jjjijt'-fit-uhtt'
(~'UUtH-nL!t-~H~~d.k)'t<'Ut[;-[t-:tr.'t'j.(i.tt).itr~nh<'?C<t~t-
):t'~<!)u~utnt.'c<jHt.-f(t!tj~t)i).).'t'.)~-d'j.)u;)h'tt-)a))ution
.iuht~t~)!)i(t'.)it~)tt"h;)htttH)~h,n.tf'tt:ttju.-st)..tt.).a)ttis~it)Uttn
~t~h)t').mt~ist<')'.n~nd:)))'.)'Y:)hm)iiu)a))'')r:uh'dL-cut)-.it)t''r:t-
tittUsjun.H.))h'<.M:d?~:tnsuttt-it)[<n(-))tiu)[:).-tiY'-tuf.utth-
)'.tm')')d<")mtuf!tt".tdi'utht''im~-)-.tiJ(.n)iti'<)')tj~mt;i)n'.& il
Ct-)t''d.-i'jt)it~ :t'rut)''t)Htt-iti..t)u:ttu)~)t<-f'tt'i.')H-);t)<'t't)-
'[Ut.')t<:t-s,ct')[t-t'utt'j~i<.)f)du.))t~)tum.ntt-.t'-tf)t(titMt)it-u.).t'st'nti.
ttt<-ttt.)H.-)t':t.tnht:<yi).mYtHi.t;thiit.),:tr~-)t)-tittcr.ttun-d<
p;)tm\d')ttth'r'-pn~<'ttLutt).)iutij[~t.(t..Ihr.)t.<MMMM,
''u))t.ttnt't'i~.nm').i.-u.tju-t.ittt)u:t-;ut)!tcuttc<'j.tiuttde
i:t.j'~)i'ahtt;)ttH)<ntn'~u'Ut-ttta-*t')!j.-)))))~m)t-(.tJ<t:
t':tt~~).~m-t~h't-)tt!n.-ti'v.)ntiuu d'un tout t'«vntif).<=tuut~-t
vx'-tn~).; .t.-s ~-ntct's .)u' la t'<;M.M~<)'(. jH.ut ;tU-'ndt-t d. ta
'mmtitjUt'. t, ),_
– La Pema
t'UJUu .FsKXAx~M). capital en Espana. Madrid, Mu-
tiqtn; Tfudotu. ~t5 p.
AXAn.<K".
– t..t oj{'!pM<.u))).tr)! 367
D~X. – Die Faeisohungevcrbrechen in dogm. u. reohtevor-
6;toiea.DarsteUang. t. tt.
<.ttASSt-:Hn:
~h: t.u. – Des origines, doMvolutton et de l'avenir
dujury.t'at~. tSK.
Vttt. – LA KHSPOitSAMU.tTH
)'!trM.)-K:)-:t
A.–<.«M('0<tW~<(fcp'K«/<
A. ))A~!OX. – Détermtnisme et respona&bittté. ) voL
i))-)~de~mp., )NM. Paris, Sch)eicher'MtMm//t~'<c«)«'<
/f«~'0««/<'</< .S'<f~f~'.<;<«'«?<?/MM~
M. tt. prépare un traitt' comp~t de critniuotogic, dont cet
ouvn~e, qui t-eproduit UHtours professe a l'L'Hh'ersitclibre
de ttruxencs, est en qnetquc sut-tei'iuH-odm-Ho)).La
préface
indique quel set'ai'etpntdcce trai~ M. it. prend pour base/'
k's travaux de t't'cutu itaHetmc, mais it adresse :)ux savants
(le cette eeote deux critiques ils tnunqueut. souvouLde pt'c-
cisiutj scientifique eu ue doMuautpas de dc)h)ition du crime,
en uetudiaut que les crinuticts exceptionneis, poursuivis et
punis, qui sont peu nombreux retativetnent aux crhnineta
occultes et ils ue sont pas assex auruuchis des préjugés mé-
taphysiques et moraux pouradmettre toutes les conséquences
de Jcut's pt-iucipes !'uuh'criiei)e irrespoisabilitc tit l'absur-
dit)'de toute peine.
Dans les sept iecotts (lue cuutient le volume. M. tt. traite
successivement du dL-termiuismeet du libre arbitre, de Ja
définition du crime et de lit respot~abititc.
La première et lit troisième partie sont uuc exposition des
arguments sur lesquels on peut fonder une conception rigou-
reusement. detenuiniste de i'acto volontaire, ayant pour coa-
3tW ).XXKHSttHH)).')'it~rH. )'<<
DSX'r.– DioStrafreohtUohe
– ZureohMngBfaehigkoit.Bine Re-
pUk. M.«-/(t'( /< ~s'~t/tv,r,(,~
X\'Ut,s.)~)ht.);u)t.tt')t.j,<)..).) .j},i.j,<
t)")Hht.'u~.=..uh.v.tt.),,a).)H.t(.m(:t~t;intt-mML.k-
p-.y.hu).r))).w,ttj.th.n.n,j,. )..[[, ~.).
'tuit'~hm'i't.ntift.titux .)!(-.h:
V~ C.U.KKtt.– Strafrecht und Ethih.
).. ip/i. ttunc).)- et
Onmt't~t.
– Das Recht der Sehuldverhaoltaisso in
:-TAM.\t).t:)t. seiaen
aUgemomoilLchrcN. )!<-tfi)t,t~'r.
H. – /<<«M~~t~ff' t'tr;
La dtxtinctiun de )a respun-atntitL' pcnide et de ta
)-e::pou-
sabititc ch-iie est assuremeutsuperndeUe si ron veut com-
r~nt,h..tn..r.(.~bu~u)t.-sit..(irnti.).i).)i.raj.t)i.)!m!t~))r.
<-)xt~-
.f.-)t. MjciffM.t')r )ch).). .-).i.ti~. dM tM).)!tM.u..uYcUM.en
K.UmMtt)M.–utt<c!).'t.,HKH!. #
0 t.X\Kt: ~~nuu~~rn. 18~
ttt'~n~t'ttt\tt~tt.tt:t~t':t~i
prendre tcvututiun de l'idée de re~ponsahititeet detertuiuer
soucon tenu actuei,it est indispeusahie de ne
pas s'y arrêter.
"~t Lien vrai qu'en droit peuat, de
ptus en ptusiantateri:~
ttte du fait criminet est neKtigee c'est
firent, dans sa nuture
"'or:t)e,quei'u))jtt~et).)condan)n!dionviseceqn'ity!tde
ptus subjectif en lui, sa criminatite. Au contraire, te droit
c~'tt tend a renonce)- u ces recitprcites
psvchoio~iqnes; une
conception purement objective s'etabore qui (ondela respon.
'tcsurtefaittui-memeetsumateriitnte.uunsut-une
faute de l'it~'nt. C'est tttt i<hfuum<'ttettc.'icurieux
p«tMt<t-
tpr. dit M. Sn)citk's dans )'ctudc
qui sera ium);sceptus bit), et
<tuc just[u'a!ot-s on n'a peut~tt-c pas sn[tisannnpnt mis en
!-c)ic(, que les deux directions absohnnent. divergentes
que
prennent aujourd'hui le droit pcuatGUedroiteivi). u
La divergence est incoutesfabte: tuais i! est vr.tisonbtabte
.{ne c'est )a menu; fau~' qui puuMo te droit criutinet dans uu
sens et te droit civi! dans l'autre. La
sy)))putitiede l'homme
pour t'hotnntc itt~meute, et If) sympHthiunous .Otaeite .<ussi
Lieu au coupabtG(jua la victime. La
sympathie pour )c cou-
pabte expii'jue t'indut~euce toujours pttts ~-ande du droit
penat (es pcim-s sunt adoucies, ou meotusupprimées quand
elles ne peuvent être d'aucune utititt'ij m.
s'agit ptus.en
punissant, de faire expier, niais danx'tfder; le coupab)e n'est
plus un euuemi autjuet on veut nuire, mais un matheun-ux
(p~t'onveut sauver. La sympathie pour la victime cxpUque tes
enorts faits par Ja lui ou ht jurisprudenceci vites
pour réparer
le dommage, non puur eu tirer vengeance.
Venger ia victime,
ce serait faire souffrir sans utilité t'auteur du
dommaifc ici
notre sympathie puur i'un compense cette
que nous ressen-
tons pour l'autre. Mais rien ne nous arrête
quand ii s'agit
d'indemniser ta victime, de reparer Jept-ejudicesounert~te
repartir le risque de l'activité humaine d'une manière equi-
tabte. de neutratiser le iiasard par l'assistance,
par t'assu-
rance, pin- t'obtigation ie~ate imposée il ceux <tui possfdent
de réparer les maux causes par tours choses. Ptus la victime
sembtca ptnindrc,pttts nous sentons la nécessite quête
dommage soit repare, qu'i) y ait taute ou non, et c'est ce
que prouve l'apparition des lois sur tes accidents de tra-
nt:tU.)(-r(-<~H~(''iti<h-i)<n!(.K.).nf)tM)..))t))artit)at.M).t.'M)M
hw.h-t'nrt.oun.h
.t~ <<.“ <~< /“ ~M~W~~t~h~wM
;,«,7. )jiM.t'ari~ tn-p.UMic-tt
)«.Mrqoe tt.w
):mMh~tm)"h'i.
AX.U.~K". –-<.A)tt:<)"u')f.)TK 37) t
V~tfmtntfftcnnfnnt~n<tt!ttM~t<t~tt~tMt~t:
votontatrcs, acceptées Ubrement par la victime qui renonceuû
sa vengeance et par t'otïenseur qui ta redoute. Le droit des
t.ennains, ht lui des XH Tahtes consacrent ce système en
même temps que celui de la vengeance privée ~t'ttase (tes
compositions te:{ates, turitces par t'Htat, quand :) se sent
assoxfort punr imposer a ta victime et a t'otfenscur ce mode
de réparation. C'est te système romam desd'-iits
prives, ex'-ep-
tion faitt' pum- !(' e:)s o~ ht compusition t~stf eucut-c vf)t«n-
tuire; t'ttase de ta n'pn;ssion pin- t'Htat, f)ui uri~' k's 'tt'!it8
privus ~n dt'Uts pubtics. Le droit romitin :) d)')aattciut ponr
ccrtaios dc)its f<'Hcp)n)s~de dcvetuppctncut.
Cette ùtudf ))istorique <~ t'oriKinc du système romitin d('K
d('')it-:pt-i\-('-spemn.~ scuh' tt'cn c<mtprp)K)t-<' (es t't'~tcs <t'<'tt-
scn))))t'et de'tt-t.nt, ittintcttinihtes pour qui veuttt's r:ttt:H-)t<'r
!H[pt-ittcipGmudf'rnpde {a rcspf)nsi(bi)t[<j ch-itc. Aucottt)-;)in',
toutes tes smgtduritM, s'expliquent, des qu'on les (.-onsidf't'e
soit connue des ~tn-hitnc'es (t'nn ('.tôt
<)isp:))'u.soit
jt;)-!()i(tt)c
comme tes conséquences d'nncietts prinfipe!; dedroit, devenus
quetquefois etratt~ersaux jurisconsottes)'<)tt)!))use))x-)u'tne~.
Ht non sentemeut tout s'explique, mitis les
dispositions les
phts sttt~utx'')'psdprieonettt des i)tdit':)tio)Mpreciense.~sur les
conceptions primitives du crime, de la venKGnnceetde h
ppitte.t. G. le montrt' pitr de nombreux exemptes exclusion
de la créance entre personnes df ta même <~«M, entre les-
quettes it n'y a pas tien a Ycn~cimce; extinction de cette
créance, en ~euent! par ):) mort de t'onettseet toujours pat-
cette de t'onenseur; cumut des amendes, en cas de
pttu-atitc
d'auteurs du detit. le droi~ de vengeance existant contre c)m-
cun;e)ev!ttion de t'amende au quadruple ou au doubte du
dommage, selon que le vol est na~raot ou non, le ressenti-
ment de la victime étant atténue dans le second cas. etc.
M. C. n'étudie pas seulement dans cet
esprit tes principaux
dents prives. Un manuet ne s'analyse pas. Mais dois
je s~ua-
ter, tout particulièrement, les passages relatifs à t'interet du
droit romain .p. S), a l'histoire des institutions
politiques
')iv. )). a ta famille p. t~ sq.), au marine 'p. ) Hsq. a la
propriété (p. ~S.S), a ta possession (p. 2M sq.t. u i'tns.
toire des contrats p. ~)-.Mt) et de la vente
'p. !)?-!)?),
aux actions noxates fp. )!<(!(.(;, aux testaments
à ):< succession «~ u)fc.<:f«<(p. 8t't-8~), a fp. ':1~)4),
rexhercdation
à
'p. 8~-8:!M., t'h;stoire de ta procédure (en particulier n. 90.
'H.tM4sq.).
– t.AM:st't).'<SAtm.)TH
AXtH'~H<. !)?
Le manuet de M. < a te très grand mérite de distinguer
toujours avec netteté tu droit des ditlérentes epo({ues et de
tnontrer combien.aun mêmemoment, toutes tes institutions
sont sotidan'es les unes des autres. Ura'e aux rapproche-
ments bistot'iquesqu'it indique et auxrenseiK"ements biinio-
~t'aphiques qu'it donne, il peut servir de ~uidepour des études
de droit civi) compare, de socioto~iejuridique. four ces deux
t'aisutts, ce tivrc. <tuiu <'tt t:mt de sucées autres dt's rotuit-
nistc- rendra df grands services aux sociutn~m's. Quant aux
civiiistes.itst'raita souhaiter f)u'its)uit't))pruntas!-et)tuuG
)))<'Hh)d'i)j)').tm'uue)-<fist)n))()Ut'at)))H()m'raud['')H
t'euttatttuxetnethodeditK'reute de ceHe()Ut peut sente faire
cottttaitre les droits anciens. Le droit civit aurait un caractère
scieutititjue te jour où cette proposition très simpte serait
admise.
La seconde édition a été améliorée un excellent index
termine le votutne.
fond''estu'u)h'pn's))tnption de faute:
~ais ht reparution ne doit pas avoir pour mesure la
mesure de la faute. Tout ptejudict'doit être iute~ratemeut
reparc, quoique h'-nere que soit la faute dont il est t'ettet,
queitesque'.oient ht situation socia))'et ta tortune de rauteur
dttdotom.t~e.
On voit que M. M. e-tetranser aux préoccupations d'ou
sont sot Hcstes tht'-nt-k' nxm'ctk's de i.) t-MputtsabititM civitc
nt'cct'u:tp:)';dt'n)h'intc)'p)'ftt't't'<oh)UQndt't!).im'i!;pru.
d~')K~:in:)c<)nd!H)n)p(-thn-ite)em!)!i'.tn)t"a:)p)))ittuer
nuct'atenn'nt .))< disposition.; du Code. ttcoudamucauis'ii
t<'sh'!)nsft)t-))]ittiu))sde ta (toett'iu).qut ne devrait puiser
'.(.'settst'i~ttctneot~fjut'thtttsk's rais'~sqttiont~uidctt.'
)<i'<h(tt'ur.ft))ip('uHt'st.-)iH<)Ut')-,U).tism)Mpi)stesnn:t'M.
Km-.)t)tpa)-:u)tt'utudcd<'M.M.(cet)fsdemt.Jossfrand
et Sidt'iHus d'.nt je vais partur, oa spt'a tpntc de conclure
que
ceux-ci .~ontbich itardis quand its ductarcntqu'; IcCudHcivit
n'entend pa-, voit-thtos la faute ta scutt' source de )a
respo)).
sabitit): Aumums ~st-it abusit df justitier la théorie dite
objective t'u invoquant tes textes, puisque M. M. lit dans
ces textt-s.quit dt'tan'p:))-faiteux.'nt<')ai)-s. exactement i'iu-
verse df ce qu'y tisent .M. Ju~prand et Sa)ci!tes
K.)Ht));M't.–A«t«''t'wh')..tS'8. ?
?? <Xt:Ksm:b'L'!).n'rK. <)!
– Die
t.A'tSCHET(.\t.)))!)tT). OBago Indtaner ~< /<«/«'fM~~M).
(.)u)jtt-))juit))~M.
t.cs )m)i<-ns Us:s :t)'j)M)-ti)-n)t<tttau (itou)M' j.tus 'tf-ndu (te':
Uakutus;itssottt ))~s<'ttt<'m'-))t~tatt[i.<u tn't-d.um'st du totittu~'
')'t'h):j))!))M:).<som~(''t:um}'t'eudd''t)X~t.U)(k!idh)MO))S:.<~t.
ctMnst~uois f'~mott )'' pm'ti df ):t paix. ~-[)t .tUtte:; )'-
pitt-ti .h' t:t
fi<t'')tt'. t:ct)t't')ti''t'<')t c'~)M;)t:u)<})):ttt')]!)'auto-fois rt'-))!)ttist'Mdeux
!u<-dh isiouscj.dt-s ntitistMtMmttt s\-))est p~t!)c.-=iYL')))t-)tt )~duit.
J.'tdi. i) <).t)t i)t)t')'<)it;t))Xtttcmtovs du j).t) t)df].) )'iti.\ de
tu.utpf)- de
fitVtitUdeutt)t)~t))''de tUt't-d<'S:Uti)H!tUX. )'! i)ttit h'-)t)<'))t'))!t.)U'' Yi))ttt!C
apjMtt.'n.tit int<~t':tj<')tt<-t)t !:<-itA t'un '="it Mt'autr.' ~t-oupf. t.c ))a))i
):)
df t:uctTf ~m)dt' t"U)uur!iinuh' ct~ )t- ptus ))uiss:mt.
K.!).
<<'< ''(t~<<<<.w.<
/«'7<). Xt«;h. tt. )). )))~rM''n).
t.fii)')).. )S9' p, 'M'
~U.CritiqUt'd''<ih'«".tf<'S<'<mtf<'<<)<'t''i''k.
X.–)))VHKS
t'!trMM.f..U'tt:t.(t)tMKtn;nt
~W .S 1~ .n.
ports qui cxtstuiettt à rori{;me cMtro certains {;nts sociaux
ta reifgton qui :t provoque t'educatiott scientifique ftut parfois,
obstaete dMosh suite & cette même éducation le tMititMrisme
d'Mburtt eu raisott inverse de lu cuhuro
scientifique, exige
aujourd'hui uuo cuiture scientifique. Mais toute!!ces ques.
tiens, su~r~es par te iivre de M. Letourneau. sout
trop
importantei! pour être traitées au pied teve. Cuntetttoos-ttous,
comme fauteur, de t'etude des ori~iues.
P. L.
Httt)t<m-t:tt)!t(m)'.):tva)'')))' ')<<our't'srt's))t-<-ti«'<.<tu'h.'it
mu'u)))t;ut:).'Q')m)).):tttat)i(io)).)('s't'?ci-.)Kt)<))''):(''m)<mutMut~.
Knt))mttr'')~)t-a''tt-n'<)ti!:int'Uctn''ttt)'')i!)''ux''titt ):ti\i~tiott
pt'u~t'ssh'c.
ASALY~.–MVKtM 40!
E.D<;HKMt)t.AnB~e<tof)f)).,)MX. M
Qt'T)t)):M)-:S).:<:T)UX
SOCIOLOGIE CHlM!Lm
)'arM.<t<T"x)UCt)A)tU.
A\ST-t'H(~['tjS
t. – SOmoLOCtECKtMtNËH-K
HT STATtSTK'CH
NOKALE
A.–.V.</tO(/
AccusTEBOSCO. La statistica ci vite e penale e la riu-
nione dell'lstuto lnternazionale di stMisMca. à Ptétro-
barefO '« ~<f~<M<' <-<t' et ~AM/< ~'MMMK /M-
f<<«< ~«'«t.McfjftoMfy).Brochure
t)tf('<')t«f<oMtf<</<'<ff~Mf~Mt'<}
tn4", ?; pa~ps. !!omu,Hertero, !??.
Cet opuscule esteons:)cr6 aux perfectionnements qu'appelle
lu méthode de la statistique morate et à ceux qu'elle a déjà
reaiisés. L'occasion de cette étude est le compte rendu de ta
())Ccst)eMemoift:
deM.AU<ane)
d'mtnousdonnons
uneanalysetthM
toin.
AXALMRX. – STATtynQfE HOHAt~ 40S
B. – ~'(M-Mt~<M<(
</«<.Ttt«tH<'<.
C<<M<t)«t(tf<'
<H/(ttt<<f<
L. ALBA~ËL. – Etude statistique sur les enfants
traduits en justice. – Communication faite a t institut
internationat de statistique, brochure gr. in-8", (;
pages.
Paris, Marchât et Mi)tard, tMn.
« La raison d'être de ce travail est de démontrer
que la
statistique est le grand auxiliaire de lu science juridique et
criminaliste » (p. 6;). L'auteur, jupe d'instruction au tribu-
ua) de la Seine, présente dans cett<' communication faite
a l'tNstitnt international de statistique en lM)f
(session de
Saint.Pctersbourg un tableau sommaire des résultats obte-
nus, au double point de vue de ta répression et de lu préser*
vation des enfants mineurs de seize ans, grâce aux régies
adoptées depuis )«<))pj))-te parquet (te t.) Seine.
La principale de ces mesures est la suppression de la
pro-
cédure des flagrants délits. Le délit de t'eufant est toujours
l'objet d'une instruction préatabte. Le juge d'instruction fait
procéder par la police à une enquête sur tes causes de t'iacon-
duitede l'enfant et choisit ensuite un de ces trois partis ou
t'entant est, après ordonnance de non-lieu, remis à ses parents
quand ils curent quelques garanties, ou il est placéen obser.
..u",
4M! ).'AX<f~<'M:)").<x.~m.~w
vation dans ua asile temporaire, créé par l'assistance
publiqueen tX'M,ou it estsoumisAune détentionpréventive
et renvoyédevantle tribunal correctionnel,qui en ce Casle
maintient invariablementdans la maisonde correction.
On conçoitque t'enet de ces mesuresait été de faire des-
cendre le chitïre des condamnationsprononcéescontre les
mineursde seizeans dansla Seine; que le nombred'arresta-
tionssoit tonbë de 722en )89G<)40$eni896: que les courtes
peines,qui en 1887étaientde an, en t888de 93,en HM9de
t33, aientsuiviune progressiondécroissantepour tomber en
~89(!à 30 seulement,et que les condamnationsqui eu bloc
s'élevaientà 243en 1887,~S~en )888, ne soient plus que de
37 en t8'M.
Mais le vrai problèmeest de cunualitrele nombre des
enfants qui, ayant été préservés de ta poursuite légale,
retombententreles mains(teta policejudiciaire.L'auteur ne
nous donne pas cet égard d'indications sur la catégorie
des enfantsrestituésa leurs familles. Quanta ceux qui sont
placés en observationa l'asile temporaire de l'assistance
publique, le tabteausuivantindique les résultats obtenus
1fS9a 1811.tI~\J¡¡1896
tMM <8''ttM5 <M6~).<"jM<-i<.r
uual
«u~tmara.)
ma.)
¡- -1
A'huis d'~ittith'eme))), ou!
nt')mh't[)cnt ah:tn')otn)t''s.!
:mxt-:ur:u)t<Assistc!<9!) t~ HO m) 4S
'1 373i li2 72
i2 3t
3i
ttt'ndttsfttt\j)!t)Wt)ts. ?<
it)')tt)S!t):t)ti.<))U!!itiut)t)M. 02 il
20 M! 3?
nMt!i<t)i)(s.j
Mi(pat)'i<5'i!.urt''Ut-<h''))!tr(')
tM<-ntd'onj;in' au; )!i. 46 22 <4 3
Ttatts)'ia)'i)!;ituSaint'
An))' M
6' )1
KY:td~itt<'t'Msit''t<'n)j)o)ui)' 2~ t
0)''c<J t)
Tntaux.2St SMiMt M3 )0':
i<<'st!tntf'))o)'s('t'vatiuttaMi")tth)<8t7. )2
~.s. 'MT'~
t.O.T,~
M)XKt.')tsst-KL'Et't-Kcr~'
SM.t)E\tLn
CAttHHttA.
~itt~t~tt
– T~Lai––-i-
infamciay –I-
!a ––i~t.~t~
ofiminaUdad.
Le)Ma,A.t'<)~,2tOp.
C.–Z<!~<<'<'<M)MM<Me ff <«M'<)M<Hf<<<
~COMOM~MC
~AHHiHSCtf. – Verbrechen und Prostitution ats soziale
Kra-nkhe~taersoheiaungea (tf t-<'<Mx'ht ~'o.tf<(«<t'ott
<'OMM«' Mo<'M/Matoi-bides).
M)«)t</<'<fMf«!M Mo<'t«/M).lbrochure
lrocliure de
7 pages, Berlin,Gloeke,t897.
Scientifiquementconsidérée,la brochure de Faut ith'sch
est une étude cWmiuojog!quedetavillede Berlin,mais J'am-
bitioo de l'auteur est d'induire d'observationstoutes locales
tes lois de la formationdu criminelet de la prostituéedans
lu société moderne.Touten reconnaissant(p. ?) que ie cri-
minel et la prostituée out souvent l'esprit malade et sont
atteints de cécitémorale,il repoussela thèse iombrosienueet
lui oppose celle du détertniaisme économique.H néglige
d'étudier la synthèse que r'erri a faite des deux doctrines.
Selon cet auteur, on le sait, les luttes industrielles,en stimu-
lanl le vagabondage,l'alcoolismeet en occasionnantl'aban-
don de l'enfance,donnent naissanceà la ctassedes criminels
de professionet d'habitude qui multiplientles attentats à la
propriété. Hirschest moinssoucieuxde t'enchatnementcau-
sal. ft s'attacheà montrerqu'uncertaianombrede conditions
socialesou économiquesétant données,savoir les obstacles
au mariage, lesmauvaisrapports domestiques,les conditions
d'habitation faites aux prolétaires, tes occupationsindus-
trielles de la femme, les occupationsprofessionnellesimpo-
sées aux écotiers. enun tes crises économiquesqui élèvent le
prix des subsistancesou abaissent le taux des salaires, le
développementdu crime et de la prostitutionest un phéno-
mène entièrementexplicable phénomèneque la p<-oM<tt-M«.
tion des travailleurs aggravesans cesseet qu'une révolution
économique pourrait seule abolir, bien que des réformes
socialespuissent t'atténuer.
Bien que Hirsch apporte sa contributionà l'étudedes con-
ditions de la criminalitéinfantile, contre-coupévident de la
dissolutionde la sociétédomestiquedans les grandes villes
industrielles, il dépasse le but on cherche en le lisant
pourquoi, mêmeà Berlin, tous les prolétairesne sont pas des
criminels, toutes leurs filles des prostituées,car les condi.
4t4 ).'AXXKK-')C[~)."UWE.'N't
tions économiques sont les tHemes pour tous. La faiblesse
intellectuelle où l'auteur voit uu complément d'explication
ne semble pas caractériser 111crimiuatite mofterue. La vérité
est que ce travail est inspire par un esprit de parti qui cache
a fauteur les vraies conditions d'une recherche scientifique.
La vie industrielle n'est pas a Martince qu'elle est dans toute
t'Attemagne elle n'est pus eu Allemagne ce qu'elle est duos
toute t't-urope. Les grandes capitates attirent à elles une
toute de malfaiteurs et de prostituées qu'elles n'ont pas for-
mes. L'accroissement rapide d'une grande ville est tui'meme
un fait anormat et Bertio a cru plus rapidement qu'aucunevitte
det'Europe. La crande industrie evotué plus rapidement en
Attema~nequ'en un autre pays, entraînant à sa suite, en des
provinces entières, une crise de la vierurale. Saus doute, les
(aitsdont fauteur a mis en relief l'importance, lescrises indus-
trielles, femptoi des femmes et des enfants dans f industrie,
la relation inverse entre l'élévation des loyers et celle des
revenus concourent indirectement à ta crimifMtite et a la
prostitution, en favorisant te va~abond'age, t'atcootisme et
l'abandon de l'enfance. Mais ces faits n'pondent à une disso-
lution de la famitte qui a commett-'é ttien avant le processus
industriel moderne. ttssontloiadMpresenterpitrtout la même
intensité. tts peuvent etr<'considerahtetncut atténues, me<ne
dans les conditions économiques actueties.
tion snciotottique.Qu'i)
muirW tu IIW'iIexiste
wvévln rw
«)) mrn
non mvn race wlnlüm.n.,o_
une nnnn )n''ditert'a-
net'nne.ri<'un'autori'!eape))S)'r (pu*)e tempérament decot ta
t'acepredi.sposeathomicide ou au hrinanda~e tes individus
qui ta cofnposeot.si aucun facteur sociatnes'y joint. Les races
tes moins etevces. ceHesqai présentent tt' niveau menta) et
cmHtionnet)eptussi)np)e)'t)aptus~randeexcita))itite,)a
race noire africaine par exempte, ne ))a)'aissentn"Hement
portées a t'immicide aussi touj{tt'tnps qu'ettes vivent dans des
conditions sociates normales, si itth'rit'uresqu'ettt's soient.
Hxptiqaer un t'ait social par tes attritotts psycttoto~iques de
lu race, c'est dote se paypt' du mots. L'fttttf'ur t'aHitchc. il est
vrai. tes hotnicidu! <'t les aitt't'ssioos commis pi))' tes het'uers
du~()oro.\uttarr~),dud<c)oppt'n)t'ntn)o)'a),n<')t~du))t ta
consUt'ttion c''t'<'hr.t)ede ):<nK'c '-<'<titta caus' Xons pt'usons
(juc )*a)'r~!(te dt''v<')oppt.')n<'nt~ou 'hieux ht r<t'("'siou) est
rm't.tt)MiiH)u'nt'sth'tttsuM!a)<'()tous croyons euh'ouver la
cause danstcscotxtitjons (te !'t'o)ntiou t'('tij{ieusef'tpo)iU<jue
de t'Huropc utt'ndtonatc dt'puis )a )!))du touye))a!f' Aujour-
d'hui.t'Hspa~m'ftnoinstaCatatt~nci.taSardai~m'.taSicite,
et peut ~tn' ta (~)t'se, ettfttt )f's aocieus Htats romains et napo-
titams ont a peu près ta tuenu* crintittaHtc. ~n chft-che ht
cause dt'o'tte idf'otit'' )nora)<' dans ttne identih* ()'*race et
rou suppose (juo ht race ))tMditt')'r.tnt'ej)))e ne saurait s adap-
tf)'am)p<')vi)isati()))<'h'\t'c.~taisau moyen a~e. t'es n~tnes
peuptt's initiaient )'Hu)t))w ttu non! aux art< aux sciences.
au<'<)tnme)'c et au droit. Lt'xptit'atton de leur eti't actuel
ue devrait-eite pas être cherchée au contraire dans )e )esin)e
nx'ntat et jari()ico-potitif)ue tjui a pesé sur e))es depuis la iïu
du xv' siecte )us<)u'aux revohttions modernes, re~itHe que
plusieurs causes tes empêchaient de secouer?
Si fauteur préfère t'expHcation anthropologique a !'cxtdi.
catiott tirée de )'e\'uhttioa pojjtit'o reti~ieuse, c'est precise-
meut parce qu'it est )Mrtisa)t du deteroonistue ecouontique,
c'est parce qu'aux yeux des chefs de son ecote t'or~anisation
de t'Htat et de t'~tise. les n'êtes po)iti(}ueset tes rentes reH-
gieuses n'ont point (t'existenceen e))es-n)emes, indépendam-
ment de ta structure économique, des couuits qui en résul-
tent et des etïets indirects exerces ainsi sur ta formation des
cumctet'es et des esprits. CMestime eu conséquence que tout
ce qui n'est point économique n'est point social et ne peut être
attribue qu'au facteur individuet. Maison ouhtie trup souvent
que le déterminisme économique est une hypothèse ausst
420 t.'tXXh:K~)')t.')'.)'.t)H.)!i')i!
hardie quecontei.tuMe et qui. en aucun cas. ue saurait être un
pOStuhtt. l.
introduite en t'riminoto~ie, cette hyj)othe<e nnus semble
pt'opreajeterdesnua~essuriesfaitsptut'jtqu'atesectairer.
t.adouhte étude de~H'eforu eu est ta preuve. t~aSi''i)e et t:)
Sardai~ne sont <)es pays restes eu deitors du ~randtnouve-
tnent de )a civHisatiou capitatiste. Ht'ouonmptetneut ces ttes
forment une/<«f/'<f<-h'<nf'. L'industrie tuanufacturiere. î:t
himqu('.)ecut))nt<'r''cn\t)nt~u'nm'c\!stf)tct'fn))))'y'))tt)ai)'<
)es indnsh'iM!~)'n'<)tt'st'tt'xtn't'ti\'<s\' pn'scntcnt sentes
quft([m'it<;tivitf. On ne i-um'ititdutK; <!fco<t<'t'it'en ces pays
t':n:tit)ndMe:tu'ipsf)ui (ont :);)))!<)':t!tr'(')K'x ceux <)tt)tu)'<)pt
ducmttt'fdf tKuf'tjM tes ct'imitu't.s d< pt'ofcssioxct dh:)bi-
ttt<k'. <'ris< dei.U)'t't't)du''ti<))t.t'i)~itj~)))t):t~'dt~sa)i)t-it's, tra-
t'.fii dt's fct)t)))e.<et des L'))f:))tt!<
thnts h' itt'')i''rs, etc. A son
htsff. ~i''<'fun) h:)t fn bt't't'hc ta tht'sf <))ui))))n)tt' h) t'tnoiuit-
iitf tuuth.'rtt'' il i'industt'if CMpit.distf.Si ses indm'tmns sunt1
fondt'es. t'cth's <tc MM i'en'i. Ftori:))), CH\)~Hcri. F<rri:))u,
Hirsch. Hfint, doivent <tr'' rt'jctt'L's. Des ut:tts ''<;uno)ni<)ucs
oppus' m*sum'nientcxft'ct't'tti tn~toc etï<'t sur )t.'dt''vfloppe-
n)n.'nt.)u'))').Si)'i)tdnst(-iit)ist)n'dt't'Ani.)et~'rr<'t't()t'sp!)ys
qui y rt'ssftnbh'ntcst un ntHifuutt sf f'n'tncspt)t)t:u)''t))f))t ):t
ct:'ssf des dc)in'tu:)ttts qui attenant :)):tpn)(n'i't<ct'~itnt'
ucftnmnique d'* ht S:u'dai~nu et df ia Sk'Hc d''vt'<)it con.~ert'fr
chcx ):) moymtL' d<'s humotcs une pf'obitc strie! <)M fitit:.
p)'ii! sottt cepcnthtttt cit<'s :')i appui de cttiiqtK' t))'<f? Qu'en
cottctm' sittot) qttt' ht t))csf ~)')h')'.tic est tn.d ''tabtic et que
)'<t;))p)<t<)'dtt pt')M's.st)s<;)'it))it)f)))'' doit past''tt'eatt)'i)<u('e u
<'ét:<tindu-.tt-it't xtt'd~'rnc.)tt!)is:tux crises qui :t<'ct)tnp:)i!rnpnt t
h) dcstt'ttctiott )))usun moins compote et ptus 'tu moins r.tpidc
dc)'<'tat ct'unonuquc. ttistms )nieMX,(k' t'<t!dsf)ci:d ancien''
Mais ta tttfHtodc nton'~t'aphitjuc t-st-ctie propre a t'-tucider
de U'ttt's qm'stions' Ccrtt's. te si.vant ne saurait t'-trc trup sou-
cieux d'cxactitudt;: il m'smt-aittropcin'onscrit' h' <:ha)npde
ses obscrvatiun- Mais ta tnonHuraptuc ne doit être pour lui
qu'un eh'ment de comparaison. Ktte ro.-mt toute sa va)''uf des
travaux qui vienuent ia c<)tnp)''tcr. Xiccfot'o :t étudie deux
ft'as"<dsde tasociété de f'Hm'ope uteridtuuate. ~tais !'Ktt)'«po
M)eri')iona)eM('peul être hieu cotoprise que si fw )a rapproche
de t'Huf'opeorienUde qui esta un stade d'evofuttun Inférieure
)/Titre't'ttUM<t'f'('u\'rn!:c~cXi~'f'~r<
.<U.tSH<.–<Tt-r).<m~EHOHU.H Ml
et de t Hurope .etiurd-weidentide
1. 1_ .1'
(AHgteterre. Franco, AHona.
{!n~!M)eMw.t'!)ysM:ts.Sc!Htdnn)Yie.'qui est :'t une phase
ptusf)vat)c'*e. Oot'st convaincu aiors que la critniaatitesitrdo
et stct)tcnue <tuit reOeter n<M<ia meat<tfite d'une nx'e infé-
rieure. stonutc)' par to rfuitue capitatiste, mais une grande
erise t)ni est putitique, <nurat)' et ru)i);!fuse autant <)u'<5couo-
tnitjttp, crise que )a eoonaissancc ttistori'jne d'au très tout;
passe peut sfutc faire cmupn'udrc.
<)'.f<'tt)'')';tutt'tn-tt)''(t~fnu))t)'t'<jw);ttt).'tt'tt't't'!)tit'if)f('tt
)t:di''t'<-t)t'-tt't<sY:tri:)ti<)))sd'')!t\'i<')'<-nm)t)u.)u''d'')!tt)Mt~m,t'!)t'ia-
tiotts t)ui t)'<n)\)')ttt');.)t''tn<;Btit'm' t'x)n<itm 'i.n~ tM )tt"t(i)tth' tttM!
Mt'ftfcuutist)t~t:\(!t)n')[!)t:n'.t.:(<'untt!))Ut)uU<t''f;tI"'tt:t~t'<Afit
ntut'(:tti)'it:t)it')H)cs'tMtjmissM}Jt't)nntit''thm-.h";Mtnh'-cs))rox*
)tt'-r.-<<h-t8!<tutt'!<)!.t.t<')t'2,:t,ttr)t'.W)t'h.t'-tt))'-t(;))!tnt
c'xuj'h' <)ttt''t''st'h<'fs-)it'ttXt)''pn)Ynt<tt)<'n't~tt')i')th!Ht.l)f
t8S~t)SUC.:U))tt't~)'i!nyM('n[)'H.):nft't'ù)';)''ftui<st;n)t'at.
<<t:nt)t"t'd,n\n'ti<}u''tt't))!).'f)())utnd<'c'-<(h'-t't-st'stc<)ns.
tat~.))''tSKt:[)8!<'iJ'-c))tt)'t-<'d.<).< <h)<tt'a)' .uti'-on'subit ttt)
uh:u'<'tn'-tttr'~u)i<'r(-ntt".00())))t'tts('ntss).t'):<'ntss(!,«,'?).
!( <'<)))t)'i)'ntiot) t))' t'ttf'Ot'fi~txc <f<')i''))tj'hx f") te .'t <);tt)')-)h' tX~ <'t
onit.iu'.tju't'ntM':).
)':u)s)':).:ttiu)tt('tt<'Xa)H)titai)t.)'Ut~'t'-<<t))s:'t)'Mh'"u)ist))''sont
d''mt)it)s''nt))<)i)t';<n~)u''ttt.<;t<;('untt!m)'!uth'<'t):tt)!!)a).i({m'ic,
):)).unth:tt't)it',t:t\'<m'-)i)'cth".M:m:f)'
Ot' d<' Hi8t :'ttt<W):) -;[!(ti-ti')U'''tu s)tici)h' <'<)))>t:t)c uo tonuvemcnt
its''<'))d!Htt.))'-S')f) <).; <'))t872"n:n'tH)'at.:tmt-))ttH)tt-t a 2.000
'nt!ttK:.M:ns)'.i.:r~t-attHt)ft(t)!tit.t:tt~'t'')8m.
U<').t!'m<)t)'t't)m't'.tnh'ut-tt''c<ms(:tt''n)tU''m''ntttt)!th!)i<st;tt)pt)t
)))tsui'')th't"')h):u)t)a)'<im)fju-n<t''tK!<)-)!tf7')-t<)))'!m)sit.i)
v;t)t'ut'd'=!tth')":t.it):!u!i<)')))<')tt:)tlaibti'
qtt''tfsmuts,autnmtdft'h\-si''[)cetdctatn()r!dc.otttt'nt
devoir prendre euntrf ce nnd. t~'ttc ftude m' pt'ut MrescifM.
titique ([u'u ht cuttditiuu d'être ~Hutiquf. A t'et é~ot'd, t'ou-
\'r:)}{cdu)~Dupuu;)t't'stp!).,d)'nm'dint('r~ts<)t'tu)t)~i((m'.
SehHt om' ttpituoh OKiurcitCt'n'di~'t!. ia pn~sttttO.io~ne sm-:ut
)):< !H)tt't'cht)s~)ju'Ujm'tttr\'i\'tH)(-c ou u)K't'fstim)-i)ti()ridt'ht
in-t'tf'nttncjn-omi.sHUitt' tH'itnitivp. StU)"itOif'~x't-dircctctneMt
ct'H'' thùsc. t'ituh'm' (t"n)K'()t'st't'ietttcs misons df hu 0) pré-
fft'cr uaf itutt'f. Il ttistiuKue trois foy~fs la jn-tts~itutiott,
ht ~«M~<'«mM /<(~H<<fn',cuustidct' c)n'x 'jnetques pt'up))tdu&
KMuvi)n''s<'t d'Htt i'itistttit-t' cntit dccom't'it' c''tt:dt)t's sun't-
v:<n<:fsa Sparte. ht~w~'f<tf)f< .<!«<dc )'ft)K'i''ttOrient et de
t'ntden)udt'rne,entittt:tpf'()stit(tti'tt<t<f:tt<'()t'~Kt:tt'<'utttt'tH-
purMius.L!dssMtttttp<;ute))t))t'('H)iM'c.i)c')))s:)('rt'tM)ti\'r('atu
pt'Oi-tittttiutt sftcrcf' pt :) sit tt'fttisfot-tttittM))et) pnMUtutioH
~:))ut'nGt-wcft:tH<))))t'.L!t ())))'soumis'd'.)uj"ut-d'ht)i
u~~<M~A~)~w~n~dM~
t'tustitutimtMt attribua-!)S~)())t)Mt'ttf~'n<tt'.ucst()u'u))c
afiitphttxM)itttx wœm's )'t «ux croy:tjK'cs~o)m's dx tctnpte
d\\star()U)u('t)t's))i<rudt))t'si..t)))t\uttt't.atas!ttisf:tt;ti<)nd('s
:)})p'tit.xt)f)t:,)for i-.)ti)i)'{'t''t!(ntt-'u)(S!)('n'.)t'<t)trctit'ndn
tcmpk' ft df ses pn~rt's. La prustitutm)) sact~t' c))t'-u)~n)c
dL-rh-nducutte du ph.dtus symbotisitut [es tm'ct'scn'atricfs
de tn nature vivun~ cuttt- dunt ta vunfratma des Hioduui-t
p'tt)rtt-Ht)~)ncs.H<t.sm'viY:ttK'(:)phtsc')muK'.t/!tut<'urt'tu-
di'-)upnMtituti()nsn('rt'(-d!Uts)'))td(.<'nt-t\')~aH!d)y)f)t)t',
ohi1h'nH<;ied.)nsk'St'nh)niesptR'tti(-ic)UMsd''t:t(:rc<;(').C\-pre.
Cyt))<')('i't<:urinthft;;H:)tcx)t'i;Ktrut<)U('s.
Il tmmtrc onnnK'ut un df\-uir )'f)i~iG)tx,impose (tahurd M
toutes )csf''t))t))M,sftritns(urttn'cttUttCt'otttri)jnti()npL't;u-
nt!)irt' ))'))<)-)
entr)'tk't)d'L'scta\f. tjm dc\it))-c))t)c-;i)i''rudu!es.
On souiMitct-ftit<ph' t'autHnr sf tttt touins appuy- sur des
d"c))n)''t)t'd).'sM(;tmdt.'))t.tiut;tqu'U~ts<n))))is!t'ss"u)'<'t'sa
un<'<-)iti'jucp)usst'vct'('.Onn'rcttf)'t)su)-tuut<)u'Htirude
St'sctttdMUtK'c'jUctusiuttf.tVorabienrinsUtutionitcmt-Hcde
la p'tHt'cdt'sm'tiurs, institution qui m'survivmitpits.'t ta
C()nn:)iss!)tn;)'dt"tt's()rit;i)tcs.tn\'f))t)ntairftn<-nt.encfl~t,tau-
tt'nr ))nut))c qnc ta tnoratc st-xto-tte est pronr~sivp ))))')tque
su}('tt'<()('s!)r)'t''t-.dcdt'('h'ppt't))t'nt.X)j<nm)oins,itMfu)e
Uh''rih'dcprt)U~'rta)h't'(.'S!'itt'd't'tudit'rh'ntpport('t)trt'ta
prnstitutiot) t't tes eroyimces reti~icusps <}uiom pMeotL- les
reti~ixos chiques.
A\\H~ – MOttO.K 43~
<Tn')-.Tt't'f:
<*<t\
tr ALVm.~UX. – Le
T~ <t<.<
suicide e~ fh<.t. A..<.L:t.n..t't. d'An.
Chine ut At'ehhes
throputosie criminette. t. XU. 0" 7' – ~'««~-<<'fM««<"M <<c~
~f'~rt"<~t«MA«<t~t.Xttt,n"t~
')(:")))<<'))'')''«)! ~tM*WCtM<tUMit
UMH'tf'MCO
.tt<f<<'t)<et), t. t.M
<'ri)m")''Sh''f)i'')'i.
hM ).<HKSm:h)).<)t.)~tH.t(f!)t{
Kit)'c<'hnt<dc'hy<t)t"udt't'aris.r'a<'i)i)f)')'<'ss()rtk"tss()e)!t-
tKm.<")nti)-t't's sut'!Ht)))t)stt'mt)(tm'rf<))''dt'aopposct'H tt
t'mtarchtstnf.
Mai'. ~). )t<'rard. <jtUfn"m'c eu )thtsit'urs passM~esde!- tdccs
ft))'tju!.tt'ssut'tt'())utiu)tsm'i!t)u.j[)t't'f('rfs('tiv)'('t')un('psy-
c)h))m:it'tt)')':))):))'('hist<rt)t't<'Hc)))t't)t<'(k'k'C(m(hu)adM
(;u)tt-tt)si)))tSt'tHttr:tdict«H't'L'.<tt.trchtst<'nous est t'<'it)t[):tt'
tuit:tutôtcou)))u'un mystique, tantôt <t))ttnx'un cruumctde
droit t.)n)tnut).i~t':YttH)t't'dfct's!tsset'ti<ms<'()ntnm'cs.c'est
()m'r.mi)['(:hi-ct'itit))!n'HHttt)usu))('snrt''(tcr<tp():n'i[iou
dt')'u"tui!.i)t'n)'tk't'!HB'n'n)t~s(K'n't('(.dho)i<)t)c. Mais. outre
qt)('t'm))ui'.n''tft't't!)tt)'()t'mpd't)nMS<j<'ict('.f<')'<)<'e sans
d<'ntt'.)tt!tis)'u)i)'t't'.<'sti)))()ssi))tt'd'id('tttit!t')'t'htmntt<'tjui
<j))))))t't)u)i~tt'ttt:)tnt!tvi('()t'pss<'tn))ta))iHss(ms)'t'tupit'c
d'mx'fui )))t)f"))(h'tHt.~ii'un veut,d'une idée fixe d'tn'i~inc
r<[)L:i''t).n )t)"t':n')'tnif(uit.t conduit au critm'tKtr
r<fp)"'tit ti'))<'t)t<)< j<)UtS!tttt'<'st)<'t's<)nncHt's.'0'<tit)('u)'s.
A).)!t':))d)n's('tiv)(;)':t.i(~ri)ndst'th))'(';))tmt'd'rnoutt'er
le f<t//<~<<f<t/'d~s :ttt:u'c)nstcs. i/un a t'tt' tt(n'iced:t)ts un <:ou-
\'t'n(,ut)!tuh'c;.t')'<'aiU:()ttt'-=scd:nts'<t)t)cnfitttpe,mtt)'()isi'tne
t'tttit<'n'()tt)'tusj'it'itisnt('. Autimtde mystiques! M[!)i-<)c
S()n'i)i-t))f't)('c;)th'))i';i'.)))<'tt'<)nU')<'t)d<'c())<))tmt)c't)'t'~t)se
ci)H)')ti'tt)'<{ui fut toujours h~(uc))H[)j))tjts.cvcn'aux mys-
tiques )j))'.tux)'!(tit)U!distes,t'st.)ujuu)-dhuip)us<)tt('ja!n!)is
ft')i,:t)'')'du)nystit-i-.)tt(.Lt'ssu))('t'stiHo))shn'rativesdt'm)tt'(!
tft))p'')tf'pn)<;fd''ntn'h't'('du sentinM'nt profond qui dictait~,1
(<tTs')ni'f/rw<.w/w/<,ou:)t''6nctou!J~w'<<
.S'«f/f/<.
J~'faHatist))t'.s!)n'i)t'qm'Nfs~rant)sct'i)))''s anarchistes
Ke)'ait;))t))K'xj)fic:d)k's.!ts:t<'itt)!.('nfmd!)nsu!M'dm'hi)K'.n)ais
dans o'tt'spt'itd''secte')u<'S<'i))ionSi!ht'tun si tittentCttt
(tt'critt'tat'ffh.it'. <)ncnt)'<)m'<')'aitrt''}uir;)h')it.s!)tis()<)H)tc
chcx tes s';ctcs rcti~it'ust's de t'Uricnt ou (tu xv)'sit'c))', tuius
un !er('j)n'<mtn;t'ait itu-.sirhei'tus'.t't'tc.<p')))tiqtu's(ic notre
sit'ctcct ttnpn'n-dt'Ht. ).()n\'(.')t't)''i<chi.Ursin!t't Xt'bi-
)h)~rt's-;('tnht''))tt):)it))~t)rtraitu<ri<'t'ti'))~i«)!))o. C'est
i;t«tt''t))t')i.\it''d';)'id<'<'i))tj)))).<iY<J:ttnt'')M<'('tmit('s-:fd'))!'tt.
!)ans tons tt'stfmps. te (;)):')th)n'ttt dMf't'in)i)«')'.))u)))iq))f'H'h'
<t'(';trt'j);tt'tidic<))ar)t;s<'t'ttt)H)<'ts(tedruit<'mnnnH<.Last'ctc
)n'h<)'tist)')')))T'~<'tt'ntS7tapt'ut-ft)'<')n)t'uxvcrittt'cctte
toi )~)f ta !-<'ctf.tttarchiste ctmtcntpot'aim'. La secte uuti!<e)Mi-
ti<ju<;(j)iip)'))<'tcn)t'u)'trct'tprati'pK')c})i)):)~e:tvc<'unu
\X.UASK<. – !.TATtS))~tt: MOHU.K 4s!T
).tt)''t))"it')H~r(')\m'('')\t):tik~n'")~h~)!)th'j<i''stn'h)ht-
pi')tU'~t"t''t'-U!'St)urtiUt'ta)h~i'U~)n"j"Ub['h'm'c
)':tj!)m)~t.t'-t:tti'-ti'jtt'ri<nitt''H''d''t;t)ht"i'ttt't~n:tt)"t)-
M:t):n.<<)':ti)t'tt-.)'!n)'sut- )<-s)tti'")))-.tu's.)"u~S))m'
)'au<m')!t~:ts~-n"i!))n.:i.-mt;~t'')!t'))t'~it~u')t'-t''t'tui)ti-mt'
('utf'ht!~))!- t-t'ju'a''<)')"ittt')'!tt'thi~h<tt'h'«'it:nt)m't
tt'itn't'ittt)tt''tt.);<)"<.
).nn")t'-)''tn–(".h<tH)<-t)tj).t-)t)«'ri;t'ttp~)'u't''
tt)Nih-u)!'v;))i'n)t))t~jH~h't;t')tt.).t)ti)t;nii.ttn'tt(.t)'tn't~
tms)~f<r.ju<'htt-~)~mt))~t)x'jtt'))!H)-ft-jt<)')<'()''t:t;)'')).tx't).
(!H~;t!rs~!ntt:t)<-< .p. tu~ ).tt:tit<p!<yc))")'m~ttu!
dt'-)i"n''nLH)!t'i!Ht.in!p)'v"t))''('.i)'t'))t"ii~n.t)t<'<'u.tt":
<t~t-.)h~')))~)r''s)'n)tu'i'H)t)~tt)'')tt-.t.'t'HmitU)tit'~t'')'t'j').
'<'ttt'')r~t~Ht.Uh)')r:n')<)''H't)i'<[!t't')').K'tm'htsd'-i~
):tt''t!i")'U't')')tn~t''t"t')' 't
)"')'))).~i"!<)t~t'"
)'')u):d!t')ui~~)')'-)'ui-n~t''n)p-.t!tv.ti):!ht.)t.t)i)-d'-hth)t.
~t(n~)~-t'di'<!t)v('t<t.~r'ni~t)i)hht~hi'-<)')ui''h~'u)~)~<u:
ï't')f')t)!)'tt!tYi''t~'t)t'")i')u'titt;)V)'')..tntHun.tt').ttn[t')<'
t'nU''tM.)UX-j'Hf~<'U~U'h'r'.n'~U'-h)..t')H''ntt''jt!Uth'ht'')!U)U'
c~ti'):tt')')'Ht!<nu)~h".«!ht~'n).h". ti\n!autt":
t')tf<i!h-i'-itf')!<tttf)it)!')i)'t~")n')'t'>i"u).'))''tt-
<'))H')<t:ttn)')''ut'<'tt\')M.'ni'tU'!u.n:t)t)''ttt"i''<n't"n'
<)))'<) t~t'r~nH'-p:<i;tt'(~~N'ft~tfi'')n~t~)i'!n;ft't.tt'<'tt'f')-
!-i.mt<t'Ht''(tt't<['u'i:tctiu)itf~)n<')u'[')t~n"t)t'n''j"n'n~')tt
s'i")"~i')«'<'u)')'<j"tt)t(at!ttti~ututimt)'t')t[t'ttmn'<'hi!i'tti'j)t
)')it)ti)itr.
).'au~')«'h''r'')t'('mi.)''rt))t'-t.tm!)m<t"t''m:m~'t''tt'tmt-
~tmt'-rt))u)t)<t'm-t')))~nif't!tt~')'-rt)t)nn''h<xu''t)'<hu).<
!<')))*)<);')"")"t"U~t'ttirtt'ut-tm':i)'t[\du<t('tit '.))-'<*
<n<t't''t!t')<t')<'s<:hif)n".)'t.)UH)i--)!))<);t)t'-()')t)<ritnh)''))')''
l'It¡¡li. EII.' llli 1""11\1'1,It, 1111'11."11.:l'i,It'II"" !l'Cli,,l'ail;; 1:lII:aIlX
)')tati't:H''t)n)"'t)tt'-tt)<-))<t-t)r.))'~i~n~'tr"ts)'in)'-i:<n'ra)tx:
t' t.)' '-titm's ~L'xïr~)~ctvi-~cnt cutttttx; t:' t'');tj"tfttu)t', <t)t ttont
Ht! ).M't;<Ut:)ut.t".)~tH. )M'i)
mt nmti. )<<' ht f.<!)u)t:t)ttit't t:t Sici)'' t'!)c''tuis'it't)h'ttt p"< ')<- W))'. t(M);
~"f.<'ftt't)t)'t')'<<'fHtt('<«'')'<)t'ttt':t[')!<'t'<ttt't!<t"'rt't')ut
th"))).t).nti''St'tt))~rit'.(t't')t't)')'('))''t'.('t)tft;)tH)Htti~'rh-!)Vt'
t''tt''tni'*}'))\i~t"it)n''t['tudivi<)u'i.ttU<'st'n'<[;tt)nt«'tftj':tt'[<'
):undt'ht<tat:t!it't.h")ntm'd'th~)'tt:t[i'd't'-t'"r[t)<p"Ut'
'it''['-i'<'n''titu'.)th-.n~itn'.n):t);ttti'tHt'))t:))<"i.ttt-rt'<'ft<)ttm't''t:Ht
sn~tu't'utt'attt'.t''t;)Hxd''t!(n:)tatit'stt'ut'<'t:)tb't)ttm'Lt~aYcc
)':t<-t'is.nK'nt't<t)!)t)'u)ttt'')''<)"'t-"t)tt''<:
H').s'')))))' rut)tt'')'t)t"'<n" ")"))) :t)at)K')n'')"i')u''t''s
''tit)n"'c'!t)h'')''s)!<-t-nh"<'n.[it''()t)tt'i<'))t''t:nt\'t'')'))"ttticid<'
~'tph~~t''t!);)ttst'h:)ti'uS[t't')tt''d:t)tst'tt;[H'-dnX"nt.j'~t-
tun-t<-<'):t')tt'')'tif)t''<<<tt)~'i'tu~'m'uu))!ttt'.nutt)ht~'ux
fit utf)<t)i'i<f''<tftt~i))'-)('<)()''))) <')t)tt'-ttm')i~tj"'j'uf;)it')ffui))<
ttt~('tu[jj!r.
H.–)'SYt:mA))t)HKT.<TnttO)'Of.OmHCHtM<K):L).):
D' t'At.).t''t.E<:))S)n.
– Études sur te cerveau. Tt:h)u.tiun ).. t~-vi,
i vu).in-t2, j':m'-s.t'itt-f!,\'i,:ot fW'te' tSt)S.
< Le crinu))' t<)t'i:tt'r' fft M' s' Mjfjumht' ''ut~idtf'mbtt-tucnt
de )'.)ui)md~-nn' tjni t'~tchc lu .<ttm'(mt-t't'-r')')a)'' il ut'jxh'e
<)enouyao 't.'nx't)'* '-tt'tt''tm'ec't')')':t)'' 'tt"; t):tit!!)!)thr'h)<'<. ).e
ct't'vfMU df i h<'t)nn<' <h't~tm', :t)t c<'n)t'ftit't',s'ctoii;))''')<'):t t)u)')nc
ntoyf'))))''t):u)" uu'' <)«' tiun ttia<M'h':t)<'u)''nt nj~x')' t.'autfur
tt<*ces ti~Ot'i(p. Mt f)H)t)Mtt )<t)))Htm).).) th'M'ie
~Hf't'~ittm'tnf'ot
tomt'tu~it'nnf'htootit tt'a ('as un'' itt'~c t~"i ctnh't' sm' )'' dt'ut'te
tcn'ain de ta t'sychiiUn''et Jf t't)t)!tt"tnit'c'~t'Mk' uv'' i .))')'uides
dot)))'t'ste'! phts t't'-ct'ott'sth' t'<'tn)')'y't)))!;i'Mai~s'it «'' suit pas
Lot)))'t'')i. il m'tut))))'' j':n 'tans )< <f:tt:<'m)iu))s ttt-X<t-).:<- )-t )i<-nt
la folienMtittcp"ut' mx' <)it~ ttiot)ttt''n)u)tt)" «n j"'u) iui o'j'to-
chpr ttr pat'f'-t'<[<'
t'ct'ut<* tk' 'futiu '.tn' nut"non'-j'tisattt~u<tt;souci
de ):t dit!)))t' !:<i('))titit)uc aurait du lui itit''tt!itc. Mais j~m'juoi
t.on)b)'osua-t-it tUj't't'o':)~un jout )''< AH''))):tt)<)s des X'at'~tu-
un'os?1
L('tt)t-ttt"m'd<;<tiunt''da-Hu~<'t'ittint'n"t'tjn'indin'<;tt')t~'t)t)a
ct'itMhn't~n';)';t)[-u)dt'nu'cx.ttt)tn~ )):()-hti'ttK')ni du mpp'ulcnh'o
~i~Ut's d" titd'Mt''u~rL'9t;t.'u';f (pt:t,{it)c't'hitti'u.t't'hM)i)', otio'o-
c~p))!t)i<t't't'ttit)i~n'i'~)tti<ii)i.Mt',it)fa)ttiti-.)m\tc.)t'tt'attt\is))n'.
L':[nt"m~'t".tp!-uj'n-tt''ftm't'tasy)tth'd<-sthL-uties~(').')t)()n'mo
am'')tdt~)~n'St;t'Mit'tdt't!tth'ut'iL'dt'htttt')!~n't~'sc<'nce.i)tni)u<;t:
i" fjuc ):t d~i:th''t-t".cc))C<'mt )Mm-mi)'ux dire ):) ('titfs'.iou dtt c~c-
Y<'au:tn'c)''t't'n<t'Utt'tt'(tt')n~ttu<:tn)c:tmttmnit)upe[)'t'ut.sift)<'
t'~t)<< u)'!(v. t'ait-t' t')'Ht':)itn' )cs )':n':t'')')'s )'i(hcco)dfs dtms )a cou.
futtn:t)inn 'ht 't'~nt', de la nn'tcttuin', du sqm'tctt'? ft des nx'mhrcs
iuh~icm's 2" <)))'' t.t H~~t'<ian duc''t'yt'au est. ctn'x tes )'))c''s sup)'.
m'ut't" mt'' 'ns')u''ucf d~ sou t~'utution t'apid'' t'tdfson fcuctMn-
t~uK nt ~xc~sj-i)'. ).a ttt't)K' cans' qui pnn)uit j'ciik' in(et)cctu';tt<
pt'udnit itt'~it~h~'ttu'nt t'"t d'j!n't't'-s. Cctt< cim-c e!.H:( tutk' de ta
vit.'<.4du)tti)K'u.
)[ s\'n f.tut d'!tit)"u« tjth' tuus h"' j-t~tx": dc~n~t'atit' <;x)n')U)MHt.
tousu!t'- t'm)');n)ct.t)t'')c<i)hjuc:m'c ):tcutt.stitu)iun physique
df~!t))'t['sd''t'h"tmn').a{')M)Ktt~u))t()~<«Mct<ut'tp.'<pt)ndcHt
il un'* d't:n~t'("');otc<' )t'n*. (~" suot I)'s psychu~fs graves qui
s';t<<)tn)).')it)n'utd<i}:nfS()Hhc';t)!d'L'!mtt'ut'("-tim<'()Hct'mf:tn-
titio))' )'' r~tniniiism' )'!)t)d)in!ni!<)))~ rcpt-tdui'it'nt rhc!: rhutume
!H;tUc'))<< pr<'htift'sd<ff<?s <tt' t'<t<)tttiutt dc)'e~<
tH.–tUVHKS
<:)).)'):Ht!)!H,M&tcci))d.-sjtti~tos.– Du
tatouage chez les cri-
cri-
minels in ~<'('/«t'f.«<'fM//f)-~)«~)fC)-('MtMC/),
t~)))t)''<\ U"~t.
L!t.)Htt)tn''ttMt!tt''t)!)!:<-<'h'')!tt-s.-)i))tin<-)s!))':t«t'.).uru)n'
ttcs pn-mt-sd'; teut-ani)Ht<; aY(-ctes ~tn-n: Mitis.'st-«; ht une
v'itid't'* in'tuction ~ci.))ot!i.)n<- ?).c t;))«u!ti:f-:) c)x-)!tt's -)UY:)i!ns
's<MnditMnssf)d'd.~hi.-n.t.h-nnH~<.)))-)Mn.)!)utut~tt)i-.)))<
ù
).'i))tth)ttui)~tt')H)'t.-t)~-(!)tt.))!)))t!t')~-)<-tnt)..t'j))t't)t-)t))t-:)tt~).tt
'tu'it)';t)i))nit:tf)p:)ttit'nt.t:stun)it).:n)f)u,.))!,f.t,tt:,j.<.
'~t'.)t)!t' <:<)<'st-i)itinsith)t!)t')MM)t<' )Kntt's muO'ititt'uts!
j)t-:)<i.()t)'. '1
M.0). Pt'ttict-,mcd''cin'te tu['ti~tt deMo))tp''ni''t',ne
't".tnas)w)su
cx)')i. Ht'mt'ntcc probti-UK-. Mais te tuumoht- étendu ~u'it a )?t-rit~ur
M8 ).<Xf!H.m;t<tU)tit~)'E.m;t
la qucstiuM t-umc mt H'< nmod tt.~ttht')' d'ubst-(\!tt!ct)'; p~cis~
tttH))fUv<)tittd('t'A):ts~hUion.
L'ituh'm t-tUtttMt'' tt'ut~t-t) ):t MtjupncM t)u tatM):): t"st ainst
<)U'afitt!:tt''(htM)tmr.:tMOta))Mi-tt(:<'ntrat('!)t.<i)n'-<r<'ttr)'t--
tnfti' 899cf'n(t;m)))t'-<t .;<«'. -m-c'' nom)')' 3M.soit phtsdctO)). ttM,
<'tawnttatuu.M.i'cn-i'')'<<<)i\T':('t).:uitf'un<'d')ttht''<~)h)t':
<?tm)''tt:tti'.ti<ju'))tt')':t)'t)t)'~t:)t'n')):u'At!t')diti()ucivit<
pt-uf"sion <') ttute )<-)';)j)tw)'t dn ti)hm;)t:<'A ta r~-tttn't', <(mtt' th's
van~sJuta!t)n!tge<<Uth~Mbh'-))tM~ph'~tmri'St)t'i--u)t))i(')'
ainsi que ttt."<n~i~tts du <:«<ps cttt'i'
Les ubsftv:tttL'ns d'' M. t'fttiur ))uttM~!)t.t)<.«'))tc~ttdnite .'t uxe
sohttiontt''s''xdif!r''n(t't)<(.'t.'))(.'<('t<'t'<cu)<')t'tnbt~t).')t))'t)'')'t't)!tit
ju'u'ici a fah't* ))t't'vu)nit'. Les f'fi)t))<)ft<'s['t'ttfcsoKtux'). )Mt)i).')))')'i!,
rdix'eux, tjui de tf'h) r:)))["'t)''nuc<ttramtcitx'n) <'t'ux')<«)(.«'tt~'ofoot
lMS!tUYn~'s.~ntht'aUt'uupnu'h)-it)un)t!t'<-nxf)U'')<'<<'t))M<)tt''s
fa)ttai'.i'.t<u)~-('titjm's.tf'<iuiti!tt~<,t.fc.t<)'f,t:tt(itt:)){cdu<:m-
v!):!Ct".t'=<'<.mt,)<'t!tt<'u:([:ttun)Mtt':t)(('ur<'sti))t)h-i<tu<').
t.f);(t"u:)!p~ut'tn'cutH)~t~~)'a)t:')t.C'<!nttt('uxt:tit'i('()tt-
MXt"!'))n att''st<-nt t'ittthn-n'.c de !a j'tison '-t)t' t'tt'm)))' t. tnitinu
ff<M«MO~«t'tu mi''ux dftitti, c'est la pt'i'-c)). t.:t se pt'uduit uue
r'~t'e~siott .<ucia)e ou nK'ratc dt'tf't'[t)i)):t))tum.' n''ftf.ion ntt'ntHtc et
pt'ut-<~t)fune r'~t'c~iin~u phyi-iu)ot:i')uc.
':).)))h))~K(;-ftu.\
S't<()LOfm:)~:<~()Mt<~K
~"M.t'u~StMt.\Xt) 1)
abstraits
Mita do
(tn notre
nntt'P économie
~M)t)f)tni<) H)'~af)t)<* seulement.
présente <:nn)ntnnn) Les
t na thf'tnt'iM
théories
économiques d'Adam Smith et de son école sont toutes relat-
tives ettes portent cssentiettemcut sur une ecunontie de
t'échange. ~tais notre économie nationale est te résultat d'une
tondue évotutiou ou longtt'mps ont manqué les ptténomeues
caractéristiques de cette économie de ('échange. On fausse ou
on méconnaît tes phénomènes passes a ne les considérer qu'à
travers des cadresnon faits peureux t'ae saine méthode exige
qu'oftdistinguedes degrés de dévctoppemcntdcs stades d'évo-
lution économique. Mais il oc s'agit pas do retrucer avec une
étroite fidélité des périodes historiques; il s'agit de déter-
miner des ft/~M~tf~t<<f(«tdes régimes économiques, dont. ia
reatite historique, particuticre et comptexe, ne nous dounc
que dos formes coHfuscset toetees.
Cette détermination, pour être interne et orKanique, no
peut prendre d'autre principe que te rapport de ht production
des MeMSa tour coasoxxnatiou. M. thtcher distingue ainsi
trois stades économiques ic stade de « t'economie domes-
tique fe)')Ht'eM(~<c/(~M<w //«)««'«f«'/<tf/'f), ou les biens sont
consommesdans t'unite économique qui les a produits cctui
(te n l'économie uriMine .S<'f</t«'M<d«f/f;, où les tnens passent
sans intcrmediah'cde t'unite économique productit'e a i'uuité
consommi.trieo; celui de « t'economie nationale où tes
biens passent de lu production a ta consommation par une
série d'unités intermédiaires.
Le stade de t'cntt')M<<'f/<)M)<<!<<~«' est celui de l'unité éco-
nomique se suffisant a ette-memc te cercle économique se
limite a ta famitte ou à ta tribu. L'appropriation des biens aux
besoins de t hommes'accomplit tout entière dans ce cercle.
L'échange y est originairement inconnu et mente y répugne
<bicntoin que, comme le posait ~mitt) au début de son livre,
le désir de t'échange soit naturet a t'nomme La dépendance
du sol est étroite sans droit sur te sol, pas d'unité économique
se suffisantaette-meme. L'unité économiquecstordinairemeut
plus étendue que notre famitte actuette ctan< tribus, ~<'M<<
etc.). L'association et la division du travai). conditions d'une
mcifteure production et de ta naissitncp d'une ch'itisntiot!, ne
se développeraient cependant}!uere sans t'emptoi de deux pro-
cédés ce sont tes associations temporaires de travail pour
des Œuvres considérables ou extraordinaires (construction
d'une maison, d'une digue, récottes, etc. et ce sont surtout
les institutions de t'csctavage et du servage. La maison d'uo
44~ <xxt!H ':t)c(o).ot:tQm. t'<<
1.
riche nomaht, avec sa ))omb)'eusp/<tM</M,urbaine et rustique,
atteint &une division du U'avait fort avancée et pfttt produire
a Unterieur d'eite-meme de quoi satisfaire des besoins raf-
fines. L'économie téodate est tuute sem))!ab)e m:d~rë cer-
taines apt~arences contraires t'unite économique du moyen
âge est le vittajîc autour de la cour sei~ncuriatc; tes serfs ont
une certaine liberté personn''ite, mais non une indépendance
economnjm;; contre ta protection (tu seigneur, itsdottuettt des
redevances, des prestittions (tu! fom'nissfnt a tous k's besoins
de la vie teodaK'; i) n'y a !a ni s:))ain', ni prix. ni t''('t)at)f;c
conunerciat propronent dit. t.a production est niise en jeu par
lu consommationdans teceretede )a même muteet'onomique.
U se produit bica, dans ce renitne de l'économie domestique,
certaine eettan~cs. )e troc de choses respectin'meut super-
tlues, ou le commerce de speciaiiteii naturt-ttes ou ihdus-
trieUes; mais te'-choses d'usage journalier ne sont, uoratatc-
tnent. pas s"untiscs a i'ect)aut!< La monnaie est aiors moins
un moyen d'cchange qu'une mesure des vateurset un moyeu
de conservation, i) n'y a, dans ce régime, point d'entreprise
au sens technique du mut, po!ntde capita! proprement dit,
point de marchandises, de prix. point de circntation des
ricite~scs. point de répartition du revenu entre les divers
participants que nous connaissons, entrepreneurs, capita-
Hstes, sataries.
f.e stade de )'('f'x~))t< /w~t<'est c'')t!i de t'échange direct
et immédiat. La vitte (tu ntoyen a~c est a t'ori~ine nn /Y/,
une enceinte fortifiée où s'abritent un certain nombre de
gens. L'accroissement de poputatiot) fait ({tte ta ne de;, cita-
dins ne peut ptus etreassurec entièrement par teur proprepro-
duction. La ville ()''vit'nt nn ntft)'<;))t'qui appeHe tes paysans
d'un certain périmètre; la sécurité des transactiunsest~arantie
par une trêve spt'eiaie. Les bourgeois de la vitte deviennent
marchands au sens surtout d'acheteurs, ainsi que le prouve
leur nom d <'M/<< ou de A~M/f, au lieu que notre idée
du commerçant implique plutôt ta vente. A cette distinction
entre paysans et citadins. s'ajoutent des distinctions entre
divers métiers urbains. Mais le principe de cette économie
est toujours que ta ville produise pour ctte-memc chex ello
tout ce qu'it lui est possible, qu'aucun intermédiaire ne se
place entre le producteur et le consommateur a ta produc-
tion pour soi a succède la production pour le client. Lemétier
est une (onction etabUe pour te bien commun de la cité, et
v
AX.U.YSK: – (:«.\t:m'TK).'<
t)K).\ SC)KX<:K K 443
Kt:«SuMH;t
comme têt, i)pst soumisàdivers contrées.
Leveudeuretranger
reste une exception, entourée d'entraves et do surveitiance:)
!tt cite tache d'etabtir e)n'x ct)e tonte
production dont eite a
besoin. Le grand commcr'-e est un commerce ambutant et
forain portant sur des produits spéciaux. – Ainsi t'econonnû
urbaine proc&de par extension do t'ëconomie
domesth~p,
mais production et consommation sont encore etroitement
et immédiatement fiées. t) n'y a pomt )à de circutationdes
biens propt'unK'xt dite, de citpititt,
d'eutreprise, de crédit
i)H)Mo))itier tii mobitierau sens moderne de ces mots revenu
et fortune ne sont pas encore nettement disHunnes.
Cependant
apparaissent deux catégories de notre répartition moderne
ta rente foncière et h' satairc.
Le de\'e)oppement de t'econonic urbaine a été arrête en
A!)en)i){;neet en France par te développement poHtiqne des
seigneuries terriennes, et par ta naissance de )'abso)utistne.
L'eftort de l'absointisme a été d'étendre )e cercte de ]a viu
ëconontttjue a la nation: a une économie de maison, à une
économie de vitteon de province succèdeune économie d'Htut.
Le tiheraiisme, mâture tes apparenecs, a a{;i dans le même
sens que t'absotntisme, en travui))ant u détruire les restric-
tions de t'economie domestique et de t'economie urbaine. La
description du stade de i'wwnfMff ~f~«~. serait te cours
d'économie politique qui nous est enseigne. Sommes-nous en
tram de passer a nne économie mondiate? n semUe
ptutot
que nous entrions dans nne nouveUe p)u(se d économienatio-
nate dont te prohieme n'est plus seutement de couvrir la con-
sommation nationale par ta production nationate, mais est
d'assurer une equitabte repartition des produits et uue
par-
ticipation de tous a !a civilisation.
Ces trois stades économiques ne sont
pas dans la reaiit6
exetusifs tes uns des autres dans un état de société
do<UK',
!'))n de ces systèmes domine et parait aiors
normat; mais
juxtaposées ou meieesa iui se rencontrent des traces pinson
moins importantes des autres systèmes. La méthode d'abs-
traction deductive qui ies a constitues est
cependant neccs.
saire, si notre recherche scientifique veut aboutir, dans ta
complexité des phénomènes donnes, à déterminer des rap-
ports de causante, il être explicative.
Cette méthode doit être portée d.ms t'etudc de tous les
pro'
btemcs généraux ou spéciaux que uous
propose t econonie
soeiaie. M. Bûcher aborde ainsi )a question '/<< w~M~'ott/tM-
L'A~Hti.«)(:t<)t.tM)~-H.t8<))t
)) St.t-).jK.)..r:).)i.i
le .mif~t" .t'i.).). \V~tK-r~ ,)tt- </<f
w:ff
<< !p'tr!tt!tMrtn-)f. tk-rtiM. u. Urietw)).)s~.
Wit-}:!tM<tt
K. UntKMM.– .ttun'e fiociut.. M)
~'0 t.<);HS()t:))').Ut!)~)K.t)!M
.L 1.
rat prononce par M. Schmotteren octobre !8M HccAxfMc
/'A<'0«f«f(t«//t'ft'/<ctt~<' ))t</«'/tftffM
<Mt(,f&tf'<t'
f~t' Sf««~' )«~
So~t«~<s-f/t«/t<'M f«(f~~«' /t<'ttf~C~('«~t-Actb<~«'«'f«'/t~
~«' ~TtK'uncschuujtcuutcsct ventes stables dans tfdunmiue
(tc~ scifuecs poHtiqups et sucm)es et !u scH'MCfaUetnaude
actucUc de t'fL'ouumie somde<. L'auteur oppose priuctptde-
ment la conception mdh'idu:t!iste et ta conception soeiatiste de
t'conotnie, et en tnoutro tes dehmts respectits. t) k'ur trouve
toutefois un t'm-actère counnu)), celui d'être ptutot des resut.
tatsttc t)o)iti)tup ptati~ue. dcsMjit'essiutiS d'tHtO'ets idéaux
ou matcuets puisants que de~ recherches scientifiques et des
travaux bieu etabores. H mppeHGla conception scientifique
qui lui est chère la recherche (te vérités particutieres hieu
etubties ptutd que de titeories {{eneraies,mais avec cela le
souci constant des tendances religieuses et moralesdu temps,
et l'aspiration raisonnpc vers la reforme soeiate.
La lecture (te ces trois essais peut intéresser le sociologue
a ptus d'untitre. C'est surtout iadt'pexdanceetabne entre les
faits économiques et tes phénomènes retigieux, moraux, juri-
diques qui est a remarftuer et A étudier. l'our i'eeononustc
speciatement. est précieuse i'exprcssion ttteorique de la mé-
thode qui a inspire um' fouvre scientifique considerahte et
f<<;oude.
XOTtCHS
.4.–(:Hft)Ht.)T~
'n<'«ti')'(')Mt:)'-uhtt'tt:n:m'f<[fC<Mntt-.S))<tt<'t-t'.t.i'.[.n'
).Pf;t\)t'tHxd~rr)))t;.<hi<)m'i'j)n'ftrMttt'.tcapt'<'t'r<t~j):u')m<'
"hs<'t');t)i<.)t {tjtjjctttt- et t't'i~ c)
)'<tt'Mtt<- ))tru)')Mi))ttt))t')t'cs)'t')-tht'
~'xte))!-i'u t'uti)i'tti.)H
't''t'hiit"in',dc):)st:t(isti<ju'd'')H
t:)!taj')ti't:u))«)t)i'j[Mt-.pat t'in~Ut-titOt )nm!<')t~'t't:ni~t'.t.!t
.<ci<;n"nun)i'j)t') :tin'.i )'Mt'<'tt)rt)tr'')tco))h'ecttc)tu)iut) 'tuctt-s
.\X.\t.Y-.K-. (:<)Xt:Ht'TtuX
U): H ~[EXCHËt:uXf)Mt~t'H~t
<tt''i''n~dL'n)itif.'tt,d<'t.-m)'s,d.cin)i.sidi~tM)t)tp)-t)d'))t'-n(
'n''hh)es;.jMtntM)n!)m~))'c<t)):t!itt)).'))t:tS!it-;t)<)urt~<tttaw
t"t"x'")'u'.ittond'')".u))tt.d\')~:(fti-ui.m.4socia)< d'Uttih'
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"m~Mft<w)~X(m <;))(').tc.)mt'!n'<tis")t(')ttt'<'t'-s.n)tnn)i"<
"t)!'t<'s,~<:ond!'t-<)it)dm)ion.)i)<)itt)in'L-:t.nt-t.U;[\-<'i~
"dt-).)sci.-))Ct';)nai'))<-d'-mitn.to et su).[)t).m)<-td'st't-~t't)
)"h).'dt'st).'r)m-satt)))mr's.).t)t)H)i'-))!tU"))H)''aht'.i''t)h'))du<'
~uns''uh-)net)t~unuh':)u.)<)urtt'tt)tid:tn!td[~t-.<(ta\))mis('nt'ut-
t-t-t.-v(.<ru)u'tr:)diti~n!))t.-i'')uh'('t!.)).ci:().-nt'-utft-:tnr!us(-,)..m<.)-ciu)-
tnis)uu,t<)uim'!t)tt-Mt('.)u-ti'<it.tr.-t-)tdu<.(.\nh)itn'd.- .\tu!tt-
ch~a).L'ucunutni')!()iu)M)<)<htt''tn~<.tu-n)''))t)'h)t'-n-t'))ti.)))
t(c)ajtui.stu)Cf))u))ti.))tf-th))<)\t'u\n- '~nouti.jm'tk'tan.ttx')),
'-)~t'j<'t[c)'ith'iYi.tH!)ti~)n''<t)'i).s:tn<i:<.t;t'd<)\'it-Ut.-t''
'-u))cuUMdt'stt)itiath.'s)i).t-s).t.uts':tHK'rht.ur..usent<-ttt:n<t':t.;ti.m
'tcn:tuLHH~h'ttdata~.tti~t')uai'.p:tt'utte)t)tjtttu.tt'pt'u~<-))<<'
')'xp<!rimf.'ut:t(im)sm'i!))t'.
Laconc(-pUo)tde~sri.-n.'r<'cuuo)ui')ttt'Mit)siindi<)~t'('stinh''n~-
~:ut("i't))ott't'ch)')!m)tn.)it)'f)t)h'ti~(h't'<'))s<'it!n~n)<'nt~<)no)ui.)ttf-
ft':ntt;M)<M!t)ssH'idt''t't~-na(n)Mt~)it;wu'~t-)')'t\t'<jn"uti<')'~st')tt'
)t'(-t-)wit)t))OU)-t.t~t*t)))tusp-t)~)':))..f)w):(t)!)ti~t))-tta
)'")')))'iuci:t)<;auj"u)''t'ttuid.)n)iu:)))tt-,et .tt)<;)c.,p))~)t.'tt)"n' ('))).)-
ttti.tth'-iduh-ut, )).!())'~tt.'hit.n\t).tn't-()nsidt' (ht )!ui)tttt<uc
-m')Mt')''stimj"!tt;t))t'-)))t.utt-M<dt'Yuit'S<'<))!:)ittH't',)):H<h'<.
'hid'pendMnts<'tp.un~n)<)nconn)n<SM'M<;(hod'-t;s<n-
th-)h-n)en[swi.jt.~i.j)t).))t'u!)..[))i.'('()).<-ta UM~s<;i<n<-t.tt,)~.
"th)u<'p)-u))r<'t))<;n(:nah'.
C(-Yo)ttn)''t-t)u(h'nN.-<t)..isd)'t)th-)\-St':ntit'd.<)))-in<-i).t-d.'
swi.<)t)~it'. La t);))tit' V). /M.<~7<~)'~M a d~.i-'t ~t~ )m).)i.
('c(-/M«!t-<~MM,
il )~ut ta parti'' V)t. /w.<(~M<<'f«M ~)'H/«M;tM).j:, a pitm ~j) ~ti,.)~
~V~
t~nsc(-nt-d<-tni~p!~ti't'aut.-utt)<.u.;d'))tt)t-d'a))utdut)('vu.'
t:n'th' du t'evotution !ic n')i:n)t an syst~-t))''
t''<n)~tt)i~m' ("ut <'nti'-).
A)'r'savuh-pMnunc'-)t:))t:)<')~:ts''s)'tint-ij)<-s)asp<i.disi<tit'nd.
f.'ncUonAeUadiwi))ndu)ta~'Ln.nuUotcscah~)i<'SM('.))t<).
ttti')M''St:)a!!sh}m<s,))Mdm-)iu)),<ti-.t)it)utin)),<):))ft))jt)',<'n)ti-.)in-
!:t):tt)t unu )'r"dMc[i«u :tuxi)i:)m' dt-s mt)\-t;t)s
ptuducti.~t d~ pt-o.
dth-tixn!, une di'ih'i)'))<i')t) :))<):)))())- t't utt <hatM'' anxitiaitf
(i)th))t~di:m'cs, nt-m'n-df )i'di-.hit)Utim)ctdf)'ha))~').):e-.
)'h'))"tMf'n<:s -i~nt ~u-H'-ut~-Mmfm c~nstd' Mh~t tju'oH p.'m <
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mcnt~'ctmi~c:tu';uutitt~([t' ):tt)utn(')k')ith'-t:thtt'ei()!)nMttdc
(p.)-t92!:–unL~aihtthut'y'/(f'M-<f'</f'MfM~Ht.</t.j,h.
//n't'<. )'uhti.ntS;i8t'tte ()):;<(mm\nt~)M-:tu)!:–J.s'.
.< M''Mf~<-t'<wc ~'tM~MM/t'. )).)t:<nt'h' t8'i8. )<'j)t<tt)uita peu
f~-S S:tUS.;)):)t))f'-))X'tttS ().. :<U:t-t:i:)):– .Mt-t~ft-J'M~C~«f &(?«?-<
:)r(ii;)cin<<[it t)'.tM-t:})).–).< <-x)'t)'s"t~t.ms<'tut')<'c)i<'<
('td'ai)t''ut'i-!t.<sM~irht'-t)):ti)<s))<)<)ut();ttt')<'t)t't')t)it')'t's.fti):
u'')'hh)Ut's<jt'rt'u)in<it)t't'<mU'.)'t)''))i<)a)'hi<'dcMut)~'<tun<'
ii'.tcd'<'<;pMh)ic:niun~<~tt't')~t<<'nt't'
/<.– ).\THt:)Ht:)'t:).(.t:t'K
ALK~-AXtm"
<)U;).).). FilosoSa del MonopoUo. M)).tt)t'.))<.(-j))t.
tS9S.tt..).in-8'.x)-~Mp.H.
Se rattachp a t'ouvritcc sur)a)'(-('{') jet.; sm-iutc /.« /<)/o-tf<«Mfta~,
HtPpM,tMtt, 2 vot.in-8~. t':nt d'tmc vue ):eu''ratt- et phitosopitique
du)n<mu('nh'.)'~ut'))()st't't:({)tt'tiutttt'')av:t)<'ur,J'')!t''nu<('et
~n''s)u<-<h'htt;d''ttt-t)tuutitMU))t.'U)t'-t<)'it')))').~))tMUcdMtit
"v:t)cUttnutH)'i'j'm'vit)'t'h)tht''t)ft'titmtft)t')'<'t')'tt)'<)t)mK;r
tc'<'a'.tr:tj)j)tn-a)i'Mtpn''st')ttt'd'<'H~v.(tt'Ut'Ue'.)Ot.!y'hsdc
r<?t(.'tnh'«~tY)'-n')mu!)H.t)tt('())t')-tt'nt)<)t.
C<')h')'t'vu<'d<)')<'ttit)''<)')'i)h;ij~t)'d't\:)t''Ht'Uttt'm)''<'t:~si(!-
catiuu<')))h'n't<–t)uit.))th'-))''Ht(h't'')it)i)i\):t\.t)''Ut'.mhH\M)L''t
))t'ut'i'tt[ti)ititit't"i.).u)'r''nti't't))!t')t:)-t-d..m-t'nt)-m.tathMOt'n'
d<h\iur)-!tt't!<t))<<'t'i''c)a.<'h)m-.)t'A'~tn)Stnith.Hh'!H\t'),M:tC
Cu)ioc)t.S)n!)t).\ttHt-tt''<rnu(.')tt~).mt-)t!n''u)i''<.tu';untt~
['t'<'<tt)<-)i')tt.<'tusth-))t)'dh't't't'sctt't:.))<tt~ti!(tt-tt-'e)tT:tt-a;
)c!-ttu''<j)i'suci~)i--tt'r.t'h'Si'-ttt"mtt.)'[~Ut)h")). Uudttt'ttus.ft
M:trx;<'tt-ut!nyt'att!tch''t'th't).s'«.~)(hm''s.)mf"ut;)p[)c)M a
i'!)t".tH))-)K'<mt';)j.i(:)t.tt[t;tt.j~ft.).-tut!t"<'t.).-);td.'t)t!U)d'h:t
f:t'CUIISII' (I:ll'ISI.'l'CIIIUIItI·
S('umt~p:tt'tic)'etn~tt(t-tt')t~ SI':Ilmlnla.t'i.~iftnit't~))x)!t'[n'<'ut'<it:t.
Ir:lll:llll 4't ;111\yl'v·otll'fil·llt'vItil·
)k'))<.uTu)i;"[t-iB<~))tditt;t<('msi'tth)it').t))h't-i'-t~')'utitite-
Hmitt'()t'<Uf''u)i~sd.-)~t!)tt<~)i)H:tH'th.tri<"i--t()'j<-<'th<
'')ttt')n".u)att)''n)!t):~)t<'s.–)/int'<'h\ui)Htn-)it-uxt~t'tottt!T
d\t)!n')ttun')t)''tu)t)p)''['-J')j'j!ut!-nthi-)t)rhju'(h'n'')M<
n~'Htt<-)'h'pt-"j;W'sd')ttn-tri)n":)t;H!<tt))'tucnttt))t~)t')n[in)Kt'!<,
sot't!t)ttt)'disru''simt-.t-td''sc)ithjtt'tnH)t)U)'('tn'n(dtatfft)~m'
<<))f<t')i'<)it<-r'.('<tt'AH~t't'i~ttit!h')i, ))«'-)«''admit''t('t,
n<'Y:tu()'n-)")tUtbtUsum'uhttiut)tt<-cuucf))t.t))'n:'uit~h')n''Mt
eMnj'ti'.f'ctt't'tM')'.
)tt5toti')U('mt'id')<')Mt)m".ti")t.)-:x)"j«~-(ctitttjtt<'()c!;(t<tcttines
C.–CATt')ttH:S)'('X"<U~);KS
.\rtidf'<ctitt"tMrh<(ti<)m~ta)').n:t)''n'')c:tHnhU(~)):H-tfpr<t-
hs'.ctn'M:n'shaHM):<)ti-:tn)'uti<'nct:tt'h:ttt~d:ms)<st'-)th'c~)n-
p)ct d'~cuttOtMt'' dont n a jus'jtt'ici fuit cuttuaitrc au pubtic um'
~4 ).x)iti-)Ct').,)~-);.t)i9)t
j')'t.'tni''t')':))ti'i'uLL'nK'nt.cc~ui.)Y!titfh'))nt'-n('u:'tt.h'sintet~)'
tatiun.<tn''x:(t't<'St)''<:t[)cns'
Ptwt. )'M').t. – An
attempt to anatyso thé concepts of
Strong and weak <)in their économie connection, T'AfA'
~Ht(cy~<«'«(t/,J')iH)H'J!<.
U.–Ët:')XOMtt:t)KSt')Et<'H:S!'tUMtTtt'
IVKAnLt!L'HC)H-:n.-DieWirtscha.ftderN&turv<Mker.
Vut'tr: ~'huttcn in derttUhe-Stiftun~xu t)t'es(icn:un )M.
noventher t~'n /<'f'no~)ttf'</<< ~<'<~)'<</c<)f<ft«'f,confc-
rencf!. t)['csdeu, v.Xahn u.JitOtsct), )??, t (:tse. in-S", 7) p.
Ces deux pssitis. hi)'n que peu cf))).si()''n)b)cs
d'aspect, sont
fort )'('tnarf)nabh's ici tant pouf t'ahondutK'edes faits dont ils
supposent )a con<t:tissan''c, fjnc pour la méthode vt'annent
soeiotu~t<)t)edont ils donnent un bunexetnptc.
Ln Uteoric f'conomiquc commencetoujours par se donner
une« nature économique" dethontmc, par admettre quête
principe dY-couontic rcchcrcttcr le ptus ~mnd plaisir possibte
pour le tnoitts de pein' n'~it la satisfaction de ses besoins.
Les hontnM's naturets ou p)in)iti(s commissent-its ou pra-
tiquent-ifs \raime)tt ce principe' C'est une recherche indue.
tive qui sente peut repondre. Les informations directes
manquent, il est vrai, puisque nous ue connaissons pas
aujourd hui de pcupiades sans un commencement de civiti-
\U.YSH<. – ~uXMUK HK.i)'KH').E~pnmtttK 45~)
.,OlltE Dk..1.
sahon, t'usée du (eu. t) faut néanmoins n'ctteretter tes traits
priucipnux de t'hottnnepntnitif d'après )es()hscn-atiott!iposi-
tives faites sur tes peuples sauvages que nous connaisson! en
se ~n-dant d'interprt'ter cctto vie pruHitive avec nos idées on
habitudes decivitises.
Les peuptades les moins t'tevt'es no présentent pas ces com-
munautés qu'on nous donnait pour primitives. Les hommes
vivent par petits j;t-oupesasscx instables. Le mode de satisfac-
tion de jcurs besoins :) pour caractères essentiels d'être indi-
viduel, et d'être anti-économique. Les traits dominants de la
psychologie de ces sauvages sont uu csoisme naturet et gêne-
ra), et une insouciance ou imprévoyance extrême. Chacun
cherche ta nourriture pour soi. Acet e~oïsmc se rnttact)ent
leur dureté pour les autres, et uotanunent pour les faibies, la
pratique fréquente de détruire tes enfants et d'abandonner tes
vicittard! Leur insouciance comptetc est bien des fois
prou-
vée, et aussi tem- incapacité de prévoir tes besoins du temtc-
main, de faire des provisions, d économiser. Leur indolence
extrême les empêche même d'accomplir un ctïort qui serait
largement compense. – A ce niveau, it est clair qu'it n'existe
pas pour eux de n biens au sens économique; les choses
n'ont pas de valeur proprement dite ils se détachent <!ps
choses avec ta même facilite qu'ils tes désirent, et
queUequ'en
soit d'aitteurs futilité ultérieure possible. ))e plus tes
pro~n'-s
dus soit au hasard soit a l'industrie d'un individu ne sub-
sistent pas et ne profitent pas il ta société pour en permettre
d'autres, par ta raison que tes biens 'animaux, armes, objets
de luxe, etc. périssent avec teur propriétaire.
Comment de cet état individuet<'t de cette négation de t'eco-
nonue s'esl fait te passade aux communautés pastorales ou
agraires dont est partie notre civilisation, et il ta pratique du
principe économique Laquestion, qui est le nteud de t'<'vo-
tution économique, est obscure. L'application de t'activite a
un but t'ommencejtar~tre jeu avant detre travaitiitest
très remarquable par exempte que ta première domestication
d'animaux est faite pour I'a}trément et non pour t'utitite.
L'imitation, les expériences ont du avoir un ~rand rote. – t)
est en tout cas fort important de constater, dans les sociétés
déjà plus avancées, tes traces de t'etat primitif, c'est-à-dire de
ta satisfaction individuettcdes besoins. Souvent chez tes
peu-
ptades demi-avancées, les deux sexes ont une vie économique
tout à fait distincte et tudepeadaute. Dans d'autres cas où il
4M ).XXHHSOt:)0).fn.)t."K.)M'!<
Si)).Mt[.h).tppii.)n..);t)n'th".t.~)!tti~i.)u.t)tX).)-.j))t.t)t(.),.
t~M~t~t~np~
'n~.st~:).;c:)t~t.n<t-pur t..srt)i)t-n"i t.) )~)t-u)s.t.)h.c<it)a
mr<hud<-<(uiuhs<-n-<s~:M:ttiqt).-ut<-ttt):<t.,)!()it.)')))) n).jt.t.);j;t<
tou~mct.snt.thisn.). Tutti r.~n-M!tt'-t-)it).(u~-(a)~it
fa
Ut.futht:t)t)<-))t:t~.)..r:tttt<-ttt')tt..)'httt<t;fni~).<itt.ith-cM[ )(.)
nh'r~t)ti<)n!ti'.u)t!:ttti..<t-s.-t..tt~=.h' ..t.jut-lt. ))).),()'('.);[-
f~t~t~j~
M.~hu'kct..j~.ndK'isitt)).))i.h-)!tt!H)unt.~t.).-h).!H..nt.ia
~nsthuuc!nt-ttt..i.))~)t<ti.'ft-<tM).fi.;s<-)~.n~.t..sh!t)'i(;)t)t..
't<'t:()')!U~U'")-!L!:t))i.ttiu))<t.)':)!j)i<-u)Htt'<)uiyt'<)'~t)<t;)e<Li-
hn~ntt.n)s~.<hMbhMntsd.h:utt[~ys(.U\utisati..)t).r~f~i..n-
n''n.)Mif.H)i'.snht.sn))'t.t-).ri)ttht(-nc(.-<nt).');)d'')t)~tit-:ttit)tt
.t<)))hn:tux.'trum).:u))m<\<.tt:.)n:t))t~t-)tH.-)..s.).-ux!t;-)t~
r.-().)!)).<
)..sS:tt;.t.t).tMyt~).ii".nr..tt..Mn')t:t).h-'<t~
.nn)j[wsiti.tnr..))fu..t' ''tt'taifmationitx'u~t.~t.t.t.thn;))..
f!nt)~s\u'n)th'-n-.tt)Ut!))t'UY.-ntun't-h-).th~ti.)..M.Muck~
<'t''ntuut'ts)<f:ti~utihsMb).ti!;tt:)t.i)ht)'hti.
).)~i)ut-[';t~.j)-.))~)).(~t.-v;)-.t.ft..n-ituit<'<tHt.<)m;~tH
tn)'up<-utA.-mut[v~i[!tt'ins.t.m'iruttm-i)tt)t)i.))t.aucu))-
t):n~<h'-nt<-t(.'<<.))r).(tn)t;ttt:(!Ju<t.'k-f'.t)!j<n'[)n!t<i()tt
[':t))"'tit~m()U)~'s.t-:tt'')t'!)dmn-)'n<'t'.t.tt)tittjn't-))tuH.)))tcuntt't''
t'tu<nt(,.t-it.'m')tttt'm-))K~)tn')t-sU';tt'dt.<-(!mti)Mut)i'.)))''
')Mn~rh~jh-)in~-a~).u)~-s.huti)nuu''t)t'-)th't:ypt.MMt.t)).
t'nAta).'it'tr.
d''Lttt.th:;tti..ntf.).)!tU('ffurtittt.t.tt))<):tCutK)u~ft
pu)'[!mk't:h)t'.<d<')\')'mtsitti~tt'L''jnutiti'ju<
A. –.Mfft<t'('M)t'H< <'<-t))t~)<(«/f<t')/««.<
~'<«)<~)t<
UKOttt:AhLHX. – DieSoziatreformim Attertum. AMmck
!tUS(ton /<H~<r';r<M~))<( ~t'<-S<«(~.<M'<.<.<f-<tJtt'/tf(/f<'M.
))~t;. V.
Cum'ad, Htster, L~xis, Loeni)~. Sujtjttonentband. Icm),
Fisehct-, )S!)'T,)(.ti.c., iu-X 'M p.
La tjuesHun sociate dans t':)t)titjmtc re~t surtout la torme
d uut; tutte pottr fa tt'rrf; c'est aut«Mt'()cla posticsi-MM et de
t'usM~' df ht tcn'f tjucsc font, dh'CKtftoftttou ixdin'ctmnettt,
les tnometOt.'ttts sociaux df ce tonps 'demande de ten'cs,
Ot~s a~t-aires. n-duction uu tibo'atioM t~s dettes
hyituthc.
cuires, tutte, cootre tes ~t'auds pt'oprietatres et tes fiches jn'e-
teurs, des petits depouiiiesuuexptoités, ctc. M. Adter étudie
s<t))))n:tit'e)))entk'~ mum'emeuts de cet m'dt'c chex les ancien!.
\X\t.Y!.t!<.–AXT~HTKt;t.<st~H M)t
r~l t_-
juifs. H s'étend davantage sur h) t.reee~a et )a
surpuputMtion
cotonisatiott, ) ottfanchissetnpHt dea pMysans atti~ues par la
reforme (te Soton. )cs reformes dans d'autres h:t.)ts grecs, la
poHtique sociate de ht tyrannie poputnire, la poHtique sociide
de ))) démocratie, ta tnouiu'ciue sociate et )a r<~or<ne agraire
u Sparte;. A Rome, il s'attache aux teotit-
pitrticntieremcnt
tives rftormatricGs des Ura<'qm's. il d'jcrit t t'titt df ta pt~bc
sous t'onpirc, rt'snttutdo tcm- M'hM pnm'))) etcircctfses ").
et il thtte pu tet-tHtMaMt ta
ptvpix'.tttou piu' t'onpire ro)))i)in
d'une nnttvcttc condition d'M~ricuttcurs. L'nc conctusion cri-
tique d~i~c les traits MU-Mctcristiqttes df fc tnom'ement
sociMt uutique t't tnotttt'e. t):tns <;<decixh'ncM de ta (irÈcc
puis
de ta puissance ronaiMP, tes const-qucttccs du rft.trd et du
refus opposes i't !it sotutiox de ces probtemes. M:d!!t-e ({m'ittues
dispositious.'U'ouptoidu vocabulaire etdo t'attusiot) moderne.
cet essai est Ht) bon travittt t'uc
d'fm'yctotM'die scientitutue'.
bibtiogmpttic y est jointf seton ) habitude de cette eneyeto.
pedie.
~h ht- Urne'' j'tt ne r'-t')'"duit )'< (nut r:trtn-k' 'tt- t'~M-W. </< t'.
'tt'ntier t'o ct~.t t~- M-tintih- )ms :( )'!u)tt.)ttitf. t) itt')t'(tt'' '-).otn' )<-M-);
du ntnuvom-ttt i«'<m) )tu t<t<'y<-n:'njt': tt'!<'ri~im'!< <h) )))t'Mt<'t)t«)t
prpapHt
'tatti t inttiYhhtutistht' <<')h'ttti<)))e .u ~tn"y!Htt ~uur te
dc«-)<~)))ct)tcut
<-<'))))<k'ta (tiver:' tmtrt-ft 'trtit'k-sdt' !o-t)vrc!. ):i<tu' il ))!)it< a\'M ')m-)<))tf
<')e)t')ue du tomnt'tttt'nt !ci:t) MuXtx*'<ic''tt'.
~M 'A'<f!iH~Htt.)t)!).~ti.H~)!
tt'ur Mnt-cde vit- ))\t:m-, t'utm-i~ Ubn-,t'imhhtt-n:).)~ tic)~ h-
p:um-(.Mtcj.H.<uttj~['f<'isdn.)dt'j')tt-t-tttt')ttt'ttu)ntt)U(.t.t
si!fn:t).-d.-s).t~t)t.t'm)ittt.t[~ututuh.r:tt sut'tt.'ithtrt)-)
't'it'n'ti")ttf~.c)i\aS).ftt'h-t.t:t.Uh.n.<,stnk-s)~mMM.
)'tt".3t)).)t..t);H!tit)t')b.n<.([tt.)).-)'as.h-t)"m'~uH~~h'
nupurtitt)t..s.httK'.Hi.t..t-U..)H,)~-mtJt~)t..x.-Ut))t.).
)"'Wt-)~ss.))tt.p~nN..)Ht~).~),t:t))c)tr.)a<iut.~i.utn.urc.-
)~?ck'us)')'t()<)j))!n))t)ti')\
J. "K'.UCH.–ZimstuM,<;asch:chtedes,i)nklagstschenAher
tum. //««</<<<Mt'/< <(~<<.r)'.<.<co.<(-<t.
Suj.ptt-o~n)
)tJ.,tr))a,t-'i.h'-t-.<8')~tOu2-tWS.
SWO)«)f). GrtecMsoho Kolonisation. /M- .s'/«~t<.t<-
<<w<w/).-M,Sttt.(.t.tt.).,t.tM,Fi.h.-t-.tS~.[.)t.
SCttt.'LTEX. Rûmische Kolonisation. ~"f«/«-.f~ .StfCt/.of't'Mftt-
wAn/i'M,:Suj')'t. )t.L,).n:). t-'i..c)).-r.
t8' Stt-5t;U.
S<'H:m' – Les théorie:
économiques do la Gr~oeantique.
t':tt-t.<,i.:))\t8')i.
Ce thr'-))'<)
{):~ un tr.)\.u).)'n).Hti.-)).mais .[)'t't'!U't))t
~cot)funist('d~tt~uH.run.nn~)u'~rr.~)m'u~in'rtitc<'ntt~
dans
h;s:ntt''u)si:L.-r.tY'Utt'nti.)Ut-h..un.t.tsin.:t'qui. il
v f ·
.'<tv)-:ti,)t'-si)tt)'rd)))):)s.)..M.tti:<-)-:)n.\rth'h'tu''t)t.<af')..)~< f
't')d'<S!)t)'i<-))))<
B. – ~f(K«!f~tOH M)~W.<
f<M<MO</('K
<~c.
)tt.DO!.tEHEns'A))T. – M&gistertum und Fr&ternitas.
Rine vcrwa)tungs!:esehichUiche Ditrstettungder Kntstehuug
des Xuuttwesett- Shmtsuod Socia)wissensct)afUic)tet-'ot's-
chungen. hss. von n. Schmotter'. Leipzig, Duncker u.
Uumbtot, )8t~. )vot. in S ~t) p.
CeHectudeveutcomb)cru)j)oh«:uue.Li)eorpor:)t!onse
)nonh-eaud''butduxnrs)ccteuneh)!.i).itt)tim)ct!)b)ie.t)'où
vient-eHe? Les rcchercttes jusqM'iRinntexctusivement portf
sur ta condition juridique nnturicm'e des membres
incorporfs.
Mais la corporation et)e m~mc,t'or~anisme de la
corporation
reste par la inexptique. La continuité des formes soeioto-
~iques interdit de croire a une création de toutes pièces et
conduit a rechercher une ot-i{;ine cvotutive dans
((Mct~ue
organisation antérieure. En reprenant dans ce dessem t'his-
\U.YSH<. ASTf~t K
)THt:).A-.<)~' 4K3
foire de métiers,
tiers. AL Eherstadt
Eberstadt aIl découvert
(tccom'pt't un K<c
ircut'c uroxt'f
propre
d'office, dinerant de t'oftice de com' autant que (le ta corpo-
ration, le ntajtisterium tnot qui prend uu sens très étroit a
partir d'une certaine date;, qui embrasse tous tes métiers de
vieux droit et de neitte organisation- H s'est efforce de con
ttattre mieux cette institution et il a trouv des documents
assez précis et assez concordants pour y reeonnattre une
forme caractet'i.st'-ed'organisation par ou sont passes ces
métiers eu Franco, a t'aris et dans quelques viiies !(i)e-
tntmdes. et d'où est sorti t'or~anistne corporatH. – fourl'
rendre compte maintenant de l'extension de cette organisa-
tion, il recourt il ht se''«nde (orme du lien professionnei au
moyen âge, a h' confrérie, ~f<<<'rM<<(«, ou du moins il ta
confrérie originaire, indcpondanto œt non a la confrérie
adjointe après coup a une eorporatiou, fortne(}ui se renc'oMU'e
postérieurement). Et enfin il s'cfïorce d'expliquer t'orit;ine do
t'obii~ation corporative – t)es sources inédites diverses
"ont annexées a ce votume. Ce travait est d'une méthode
sociotogique consciente et hieo appliquée, et tiendra une
bonue p)aee dans t:) coHection t'enxo'quabiedeM. SchtnoHer.
C. A'<'OMOM<«'
<«<n' (M)o~<'<t
<~<
– SOddeutsches BauerNiebenimMitteL
)' A. )t.\<.t:).ST.\X<:t:.
alter. L<'ip/.it!,
mm<k)-r x. Huttthtot.ts'M. i vo). t!r. i))-)- v)))-
iM )' M:),6U.)ti[h~ f))nshaut. )'. :tUC.
D. – A'COftOtMft'
t'WttWM'fM~t*
(MW~CM
«'
t) Tôt:.).'-<')tMKMt..U'.Verhehrswesem im doutschen Mittel-
alter. //<««/< il. A'tf«'~<(')f!<tt'M~c/«t/!f«.
t:")nad, Et&tt.'t',t~-xi!,
t~'nin! 2" SMjtj.~tttt-nt
ttd., t~na, t'i.ctx.-r,i~, p. MUtt?.
1 'XKt;tM:t<)).'WK'rH.))MM
')'coi~t..s..ntK.U~facitit~p~.
"s.t.-)ttuyt.u~~U.th-)'u~t)~n.u)t;ds.
A. Di. We~etbdef.
SULU) tt:. Konig Ludwigs do. H.i-
Ugen er.ten Kreuzz~e und ihro RoUe auf dom
von~inem ~Q~~
/Y~<<<s-
'Ms.)<.).)).n.,)));ti.tjnin.
''u).tt.n.tj,u,.riti~i.htr.dit:n),.)..y..)t~
H.–/j'(t'(T<.
.t"H!tS~(.tm.tm..)~8.tv.j.itt-x".n'
C. nHttt);. La socMMproveNtaie à la Sn du
moyen aeo
)':tr.P..ni),)(-tSHs,tv..). ,“.)).. y,
'V. – KCUXUMtH
MOUHKXH
Hr Ot.mnHXTAtE
A. –
~<Mf<f«tftWt~f«'.<.
Lt-.hne dotniuaut de nnH-e..eouotnic muderne
et occtdeu.
b'ie est te .ime de t'entreprise,
que I'MM.nie ..)ass:ue a
b.cu .uintysL.et uHet)eu sepi.re avec exactitude
)es ib..ctin..s du
~pttahste. de [e..trepr.'t.eut-efde ruun-iet-.Mais des .oditi.
eattons a ce r..sin)c type s~t teutees,
f)ui visent u <-).a..i;erla
(..«nation ou ta~ti~des(o,Ktiu..saupoi.)tdev..et:,nt
dehtpruducti.n..)uede)nn.partiti<u,(;suntiu~sun.eut
des exp.-neuces suciu).~iq,,e.s
qui. d-i.hord,sont étudier p,-o-
pren'eut, et .tui apparaitront peut-être ensuite hoMuesu (0. dcr
queique iuductiou.
tft~ti'ttt~~ttt~t.tt~tî.ttt~ .n.t't.
La méthode statistique n'a pas été se uleentptoyep. La
méthode monographique s'y est utitement jointe. ttt'smono-
ë'raphies nous sont doutes (}uidécrivent certaines associa-
tions ouvrièresdeproductionet(.'e:'tainesentreprises de tonne
voisine depuis h?ut-origine jusqu'en i! t'ar le choix des
fntreprises étudiées ainsi. ou avuuiu montrer tes typesdivers
rencontrt'-s, même exceptionnel": et. en ne se' )imitantpas aux
ussofiations conformes .'<).) detUtitiui).tm a vouUt cchtin')' l'
les contins dnch.OMpd'pnqtt~)'et t))'))!)sc)L!t)ttit'(tes c!)~
gm'it's tr~j) )K'H.fsdans des pt)''tH)mfU).'s suciaux c'ntie))'
mcut cuntiuus t't se ctussiUttpm' d~'snuiofes p. )M
Apt-t~ )t's t.tbtcaux d('(ai))cs et (es t:tb)c:)ux du wcitpi-
'tutatiun a divers points de vt)e p. ;i3) .( ~H une :)tm)y.«'
subst:mtk't)cttK'))f\'idcncctt'sct)t)st!)(![Hunsa('un't(')m'<'(
)psrc'-uH:tts.')fn tirer. L'c)H)m''t''arceouun. en )SUÎi,)7~ asso-
PMUot~uuvtn'')'t'!}de pruductiuu du typf dctmi, et societc~
du typt's i)ppmc))f! Le dt'Vftoppemcntet) est peu mat'quc
cutrc k's ahtK't's t~iet )M~, tn.ti- n c-st p)u~consi<)'ruHcst
t'ou jtt'pud pour tcrtufs de (;otj)p:)rai~on!?) et )?)'
Que) est le toncttouuetnettt du j.rt'uup(' ()'n'-i()cii)tions
uuvriL-r)'sd<pradueti))t)ubs(.'n't:').'sca)8'Qut'))'cn<t
t'itttpm'tanc)' dans )'nsctnh)c <h' ractivitc indu~tt'k'Hc h':))i-
ç:ti~? Au puint <ie vue du p''r~[)ue), ce n'est encurc qu'ut~'
exo'ptim) te m))t)))redes sodctuin's ne dépasse pas )),t
p. XtOdu nombredes om-riers del'industrie et (tes transports:
le nombre moyen des trinaiffeot' associt' ou non, ne dépasse
pas "M p. )OU.L'h't'egutarite du travait ~nuds fe x'-suttat
obtenu par des upemtions assez eomptiftttecs ne doit être
t'etenn 'jtt'incc réserves, est ptus grande pour t'cnsembte (]ue
dans t'industrie ordinaire. n):nsnotabtement ntoins forte pour
les ouvriers sociétaires. – Le capital social, souscrit ou
verse, est connu avec exactitude, ainsi que hi repartition de ce
capital entre les diuercntes cotesories de propriétaires; et la
vateur de t'outiH:~c peut être appréciée mais, ces deux e)e-
meats n'étant pas connus avec le même fondement pour l'in-
dustrie fram.'aiscentière, aucune comparaison n'est ctaniie. –
Le salaire soubie plus eteve que la moyenne~eneraie, surtout
pour les sociétaires, mais ec resuttat n'est pas sans réserves.
– Lesbéneticcs, tes sommes
réparties, !'empioi des bénéfices,
les h'scrves. tes pertes sont analyse. avec précision.
~iats dinerentes décompositions de cet cnscmbte ont etc
faites a (th'ers poh'ts de vue. – L'n Kroupe peu nombreu
t'<t).t<K'–)~<!(«MtH~))));tt\HKT')':):U)K'<TA).H 4<!7
s
Xf)T)Ct-:S
) – f.A COOt'KKADOX
<f. –)))t');)f.
«. ).!Kt-'MA\X.
Dio Unteraehmerverbitnde r.<M««'<7jft-/t«/t't-/«.-
.t<t««~M<t./(-;t<t- /«~«-/<M) //«c/t.«-/<M/M. ).:).;t,.s ))).)')'. Fr(.-))m)'H'
i.-U..L"ij)i'i!~u.'nU.in:n.))u))t-,tH'.tT,)\o).itt.8",x))-t9').M.:i.
Ttttt!ti)tt<tt)tftt~<[itit~(cs-.Mttt.
)!. – C~ffMM
)!Ot'«(<M.
Le probtetne ~tterat (te la repio'tition sociale, aborde reht-
th'etneut aux pet-suuncs. cutt-aine ht distinctiott ~e ctasses
sociales divcrscmuttt définies. t)utt-('te';)i)niti)tious de
temps
et df fieu ttt'cMssitires<t t'onptui du la méthode
exttët-ttnea-
ta)c, des itbstractioxs de principe dh-et-s s'exerceut sur les
e~etnbit's sociaux ainsi )i)))itM itbsU-itetjoHset');) Ja
(jftoUtu
gt'nende du revetUt et les dittt'renciations tfui s y rattacheut
(<iistim-tiuuc)t ..cesses supérieures .'de ta société, <-ctasses
tnoyenacs-t.Kciasses inférieures.), "choses indigentes"
:tbstt-actiuu set'ot ht fonctio)) dans )a production 'ctasse
<tpi-
tatiste, ctitsse patronafe. classe out't'iere, itbsU-action se)o))
t.' nature du travait .ctasse a~-icote, ctasse
ittdustt-ieHe,
classe Mttttnerciate. ciasscsprofessioxneHes, branches indus-
tneHes seion t'or~anisatiou eu vue de !a repartitiou
(cnteutes,
.'ssoeiations., etc. ces diverses catégories Heuveutd'aiUeurs se
combiner entre eties.
AXU.YtKS. – KCtMttttU! MOOKHXK KT U<:UU)KXTA).K 473
3. HK)!<).tct)
W.\HNTtG. GewerMtche Mtttetsta-nds.
potitik. Kinc rGchtstnstor!sch-wit-(schaftspt))ittscheStud:e
auf Grmx! ')sterrpichispherQM<'Hpn~.«
~f<~w <) /.fr<'w
~<t'<«.<.«'Mt~'<N«-
«t'/<«tW~< Leipzig,i)u))(;kcru. Hutn-
biot, t8U8,)v.j). in-8", x- ~3 p.
Lf discours de M. Schntuttet' t-~ume ta
question de ti)cinsse
tnoyctutu et. tes données statistiques et historiques qui per-
mcHeut de ietudier aujourd'hui. L'auteur avait, il a
y vinst-
ciuq aus, coustate le mouvetueut croissaut (te dit~reuciatiou
aociate. Aujourd'tmi il constate un duubte courant le mouve-
mentttediorereuciationquieontinue.miti!; aussi un Mtom-etneat
ascend:n)tde tous les ch-nteuts vigoureux et
capables des ctas.
ses inférieure!:et do ta ctasse moyenne. C'est une
question de
fait. Ce sont les influences psychotonique!! et
morates((ni
s'opposent a t'inegatite ~-andissante. Une nouvette etasse
moyenne tend à se constituer. Si t'eioi~ucment croissant des
ctassesest te cote naturei du progrès de ta civitisation, te côte
iutettcctuct et morat en est te rapprochement dos
honnnes,
par t'etevationdes classes inférieures.
L'article de M. tticnnerest un e\pos" précis et informe de
la situation, des tentatives et des demandes de ta
classe
.moyenneindustriettu et de la classe moyenne connnercante.
L'ouvrage de M. WaGnti~traite un important sujet avecune
méthode excettente. La crise do )a petite industrie et du ira.
\'ait à ta main a été assurément un gros problème de t'econo.
mie et de la politique de ce siècle. Une
politique scientifique
eut du, avant de rien tenter, ou plutôt
pour tenter quoique
chose, on rechercher ies causes, examiner si te phetMmt&ue
~4 4 L'AX~)iK'"M:)u<.()t:)t.'r).tM)t!
était pathologique ce qui était loin d être acquis', et, s'it était
découvert norma!, recttcrciter des tnoyens d'atténuer des
enets factteux individuels, amenés pur uue évolution ueces.
saire et d'intérêt générât. Au contraire la
politique empirique
:t voulu ugir sur le pttenunu'ne sans te connaître, eu se
guidant
sur des jn'éjuges poputaires et mat {ondes. Le
gouvernement
autrichien, spécialement, a adopte nue politique ecoumuique
'jui sedonuait le Lut de a conso-ver ta ctasse tnoypMMe indus-
lrielle Au poiut de vue scieutifique, t'Autricito a ainsi
institue une expérience de politique
eeouotniquo qui est ¡\
auatyspt- et dont il peut ;-avoir a tirer pront.
DansUMCpremière partie. M. \aeutig étudie !n Naissance
et le devetoppement de lit potitique en tm-eur de la classe
t))oy<'fiu<~t.)is, p~H-eo rettdre compte eharexteut et couvena.
btetnent, it n-prend toute te\'olutiou de la politique iudus-
trielle autrichienuc au x<x' siècle ère de l'absolutisme,
an-ivaot a lu loi du ~) decctobre t~i'); ère du
tiberatisme,
politique de ta bourgeoisie, réaction complexe et refonne
mat venue de )8M. L'histoire ultérieure de ta politique
mdustriette est depuis conduite jusqu'à nos jours (antisémi-
tisme, socialisme.
Une seconde partie étudie les résultats
pratiques de cette
La
politique. documentation bien que parfois assezdimeiteest
donnée abondante. Ce sont spécialement les deux
principes
dominants de la législation nouvette dont l'application et les
euets sont recherches et détermines ta preuve
exigée de la
capacité professioanette tobtigation de prouver plusieurs
années d'apprentissage et plusieurs années d'aide, situation
de l'apprenti, situation du
compagnon, situation du maitro,
et la corporation obligatoire (transformation des diverses
forntes antérieure!} de groupement professionnel, état
pré-
sent de la corporation, et dans quelle mesure elle
remplit
les fonctions on on ta destinait).
Ces deux remèdes tentes ont
manque à leur but. Les
tendances puissantes de la vie économiquemoderne sont
plus
fortesqnc tes vetteitesempiriquesde ta reformeraà contresens.
M. Waeutig sait que ces conclusions seront discutées et
combattues pourvu que tes critiques se placent, comme lui,
sur le terrain positif, ce ne sera
que profit pour la science.
Le fondement positif est ici spécialementdiniciie assurer:
tes faits .t observer sont fort complexes, fort étendus et tout
contemporains. L'effort fait par M. Waentig pour les bien
– Kt:uxm))K
AX.U.Y-.K! MOXHttXK
ET 't(:t:ttM!:<r.U.E47S
fouuttttre
ttth'0 est considérable.
COnstdfï'aUf.Otmnt
Quant àA)'inh'rn<'t'h))inn
l'interprétation <tMfiti))t
des faits,
eUeest sociotogiquementintéressante ette donne un exemple
f'emarquabtf de t'impuissunce ou sont tes individus, mémo
muuis de l'autorité politique, à agir arbitrairement sur les
éléments économiques d'une cotteetivité, sur des phénomènes
sociaux.
M:]mtt*t~Amnnt <tn
Maistetement de htta ~~M~~t.~tt: :tjL~ –t
production qui intéresse ph)s apéciate-
meut le problème du salttiro est ta productivité du n'avait, et
par suite l'importance rotative de ta main.d ûjuvre. La cou-
centration de l'industrie et la transformation de ta petito
industrie en grande production et même en productiou
(teanto
sont les traits dominantsde ce mouvement industrie). Le rote
de ta machine croît eu raison. La productivité est considé-
rable. La grande étendue du marotte permet que cette ubou-
dancc soit économique. Ht cette procession continue
t'inveution 'stimulée sans doute par te haut prix de ta main
d'œuvt-e; se muitipticet s'ingénie, et t'outiH.~e nn-cattique se
t'enonvette rapidement et se perh'ctionne sans cesse. Le
pro-
duit parait, il est vrai. manquer de fini. Mais te mouvement
n'eu est pas enraye, non l'lus que par les
ptaiutes de lu
ctassH ouvrière.
Apres tes conditions industriettes de ta product.iou aux
Ktats-t'nis. sont rappetees les conditions sociales de
h répar-
tition. La it'sisiation dite socialeest un ctement important
dans les rapports outre patrons et ouvriers. Cette
te~statioo
est inégalement deve)op))ee dans tes divers Htats de t Union.
t-:tte portesurdes points~ent-raux ~amt'nasonentdes fabriques.
précautions contre t'incendie, accidents, paie, inspection du
travaih, sur les heures de travaii. sur le travaii des enfants,
sur l'apprentissage. t':iie se heurte parfois
a t objection d'être
iuconstitutiomte)te(tatihertédutr:)vait et ducontrat, eiiietitlue
en un certain sens, étant constitutionnette on sait
que les )ri-
hunauxamcricainssontju~'sdc ta constitutionnatit'.dcs fois).
– ii faut noter la rigueur de la discipline intérieure des ale-
liers.
t.'a autre ciement important est i't.tat de t'or~auisation
ouvriën'. La tiberted association étant )'e<-onnue,tes
syndicats
ou «MMM.< ont pu se dfveiopper. On retrouve tes types an~iais
de trade-unions unions tocatea, corporatives, natiooates et
internationatfs. A côte sont a considérer des organisations
spéciales comme les « Kni~tts of Lattor et les organisations
sociatist'-s. L innuencc unioniste s'exerce par une action sur
la consommation des produits unionistes,
par une pression sur
les ouvriers non unionistes, par des
négociations et des en-
tentes avec les patrons.
M. Levasse)))'aborde ators l'étude positive du sahure ~du
salaire exprime en monnaie, du salaire nominat). En
gros les
satah-esout, dans le temps considère, très fortemeut monté i
AX.U.YSH<.– ~:<)<(OMtH MOCHMXK KTM:(:))m-<T.U.E477
Ua(n<!))t.i))tBn«t<tKt):f.e,u..)~).
statiquomeut, Ua sont très divers seion tes < tieux. Une déter-
mination précise entrattto des di~cuttes et dos
réserves La
statistique des snhtiros eat sujette A des doutes. Aussi est-ce
avec précaution et avec(tes efforts de contrée
que des.cfnnres
de sataires nous sont présentes pour tes ouvriers des
diverses
induRtnps.os'ricuHttt-c. mines ot mctattur~ip, bUtunent, tra-
vaux pnbtics, tt-ansp~t-ts, aHtuettUttma, tt'xtites,
vêtement,
livre, métaux pn'ch'ux <Htconsidère «ussi ):) dh'orsitt'' des
M)!)h-esdans u)to motno indnsH-ie, ou duus uue n)6<ne
t'f~ion.
Une brève conpix-uison est fuite nvec d'autres
pays.
Le satun-e (tes fotnnes est costttte tjtudie.
L'OMptoi des
(Gtnmpsvorie be<tttcoup<n'ectes iodustries, tnnis
panttt erottre.
L'ittferiorité du sniuit-edes tetmnes sur celui des ))0)))n)es
est
considembte; et)u lie s'exptique pas entierooRttt de mitMiere
aetuniner ta eoocut-rencc entre les sexes. Les documents
per-
mettent d'utudier particutterement les sidaires Mtnitm~dans
diverses gt-nndos villes, et fm Alicht~u. J)e« chiures
'nt
donnés puut' les sitiaires des nMttutitctm-es,
pour les s:daires
de ta petite industrie; des documents sont (oumis
sur la
diversité des sahttt'es setoH les riions, et sm-
rft;!n'))e des
sataircs. La situation des fetmnes
doutestiques. tr. nom-
ttreusest-ptativemeut, est briëvoment étudiée. (Juetquc~t-ensei-
Ruemeutssur le saiith-edes enfants et une courte
conpitt-aisoM
avec d«utt-e-<pays s'ajouteut )'tces faits.
Ut)chapitre specia) est consacre il ce
système d'exploitation
)G
pi))' marchandise, uummcen aurais .M'<<fNt'/ .ft/«t. (.ni se
pratique surtout daus t'industrie du vêtement aux ~tatt.rnis
il pèse surtout sur (les unmiK''es nus~r.dttes.
Aux documents
connus sont joints dos observations personnelles de
fauteur
qui rappelle (-nsuite les essais de répression et )es causes de
pertistmtce du système.
Le prohteme (le )a concurrence des ouvriers entre
eux corn.
porte aux Ktats-Unis doux cas particutiers !a concurrence
p.t)-t'immit;ration europeenu<' ({rancaise et autre',
chinoise,
canadienne; et (a concurrent-e de teMmant noir fntain~
d œuvrenoire dans )e sud'. M. Levasson-
indique retat de ces
ffravesquRstions. La question du travait dans les prisons se
pose aussi aux États-Unis.
fuis sont décrites les dinerontes formes de tuUe entre
patrons
et nuvt-tcrs, pratiques qui caractérisent In
position et t'atti.
tudc de ta classe ouvrière. Les
principales grèves des dernières
années sont fappetces une mention
spéciale est faite de la
8 'X\t;H<.)t:)!)t.)Mi)'.))'K.H!<"t
~reve sympathique..~reved'un corps de m.-tier. sans griefs
P''oprcs. par simple ~otidariteav'cuu autre nn-tier'.pos.
sibteauxt-;tat$-).'uis~-a<'ea)a forte or~auisation déclasse. Le
droit de grève reste entier et t'usa~-n'en i:)nbtc
pas près
de o'sser.t.estockottts eu forment ta contre-partie. Mais
d'autn's procèdes encore Mut pratiques,
quoique plus ou
'"o'n-;defondus:te "boycott «(interdit entre tes adt~'rents
icK'surum'mui~)mumm'tat)Us~')n(.ut.te«p~trottinn~.<.n
Au~teterre « picketim; ~uet orsanis.. pour ~nn-ci)')ct-on
c'm)K.t;ht-t-c)'t-t:tinMat-tio))s.ht:)ddisti))it..fpt-oscripti()t)
d'un individu pin't'nteHtt'st'f'tctt.
t-'t)~h')))(.'))tnwss!th-epout'dc)i))irnnet'.)))t)iti())touvt'it'r<'
t'sUMcut)u:)i<'}!tucedes<'t-i~'st'tdut'h')U!)K't.L('v:)S!:cut-
t'app<'nt'k'spntMi))!d).'s'-n~(-t.!))t-t-i;t)t'n)(?nt):)(.t-i<cdGtM~.
Lt'docm)t'-))ts('xist:))tt.<!St)r)!t)):)tut-c<L-[sm-)'t-)t'nti))<'duc)h~
)n:)~esuu).t'ttsoitc ra)tpo)-tt''s:nmis ils rcsk'nt, omuae daos tes
autrMpay~Frnncp,))!;)')-<fct-th)suttis!)))tS!')(..n(-;t:t)))ir
unen<)tio))t))'t-is('.<'t.(.')[c'))-ep))t-Wnt)dpt'ttttect))))p!u-t)isun.
Tous ces fuits jusqu'ici r!)sscfn))h's pt'rmcnent (ic
poserl'
expcnnh'ntittetxcnt tcpt-otj~'toc th'~riqm- des causes du
s:))!)i)f. M. L'ass<'m-,(-nn))n)'itt':<f:n) pour d'autre! pro.
bK'tnes sofiaux, n-jf~e une exp)i'di')n
shnptistc. Le satiure
dépend d'ittntteuepStnuKiptGsct comptexesqui secotubinent
et s'cncath-cnt dans la toi ~'m''r:d<'de t'ottre et de la df-mandc.
La coutume et. ta h-aditiot). )' tari(s coutun~
<'t)rp~istr''c~
la productivitt' du trayait ~<)untt inituox'c f'st for) consid'
r:thtc. mais non cxctusivc. conone tcveutt'xt rertains tttuori-
eicns), te t-tHUde vie fqui.n'-snttat pour une part du salaire.
en est réciproquement cause, mai- ont) cause
unique), et
encore tecapitat plus ou moins rapide et ptus ou moins
pro-
preaeireuter innueuce<;uidont)eunepartde\eritc:tta
ttteoriu du fonds des salaires.. t'activite de production et t'ap-
crois~ement de consommation tels sont les
principaux fac-
leurs du salaire que t'anaty~c des faits
rapportes permet a
M. t.evasseurde reconnaître.
hCf.)'))"<tHt<aif')tt~hti )'<')<')M.CtMWt")t)tt"t)t')c)'t'<m'tniet)ntic-
)t.t)t.-t)!tUs)'!))tH't<'j<tU'<)Nt)t<;)h'p.t~
484 L'A\Xt;){St)t:t.)t.(M.)(n-H.)S''8
).A~ _~L.L.I. ~H.u!.l-
économie soci.de concrète, concrètement étudiée. ne se range
pas exactement daus ces cadres trop simptes et en son nu*
trop grossiers?
Quant ù t'aversion pour le sociatistne, elle est aversion eu
enet. et non pas, ainsi qu'etk' pense t'être, réfutation. Qu'unre.
{:imesociatistenait jamais existe, c.'est une affirmation d'ordre
scientinque, car elle est susceptibJe d'une preuve de fail, si
i on suppose une information suffisante. Mais qu'un t'aime
socialiste lie puisse exister est nue :)ffirmntioud'ordre senti.
tneutat (c'est-u-dire la simjtte expression d'une aversion si
la science sociate est une science experimentate car rutnr-
mation d'une impussibitite n'est, pu toule rigueur lie méthode.
pas te~itime dans nue science experimentate. J entends )'a)nr*
mation d'une impossibilité absolue notre induction atteint à
des itnprobahititcs extrême: mais non u des intpossibi)ite8
absolues, n'étant jamais assurée d'avoir embrasse toute hypo-
thèse. Mats,s'it agit eu t espèced'une impossibnit~ retath'e,
il est probahte qu'entre adversaires et partisans du sociatisme
il y a divergence sur le principe mOne ù teuir pour assuré, et
f'adtx'siott a un parei) principe est aussi d'urdrc sentttneHUtL
Au demeurant l'important est que cette prévention n'ait
point atteré ta sincérité de l'observation socioio};ique, et ce
semble être le cas en etiet pour M. Levasseur.
11reste donc que ces réserves de mctttode présentées lais-
sent entier le mérite comme l'utilité de ce travail sur un
sujet aussi étendu, aussi divers, et aussi diuicitc.
!L –– Ut~He
<JueHeest
est ht /~Ht'fwf< de m'ttc
cette <wonimtifn)
ht /Mtt'fM<t <)f
orsanisation ? Le trade-
unionisme se donne pour but générât de tnaiuteniret. d'âme.
Horertasituationsociatedesesndherents.AtaisHs'assi~ne,
dans cette vue, connne tins plus précises. d'atteindre a cer-
taines <<'«ff'<tf<(f<o<t.< capabtes il stm sens d'assurer A ses
n)emt)res«t'etatof) de vie-.jut!couvenaUe. pour arriverail
~'csnnsnfntptoie~ouaetnptoye diverses Mft'~w~qu'iUuut
d'abord passer en revue.
La première est ht méthode de t'«M«<-t<tt(-c )«~tf~< L'assn-
riun'e tumulte est.en etM, dans tu h-Mdcunion, un
muyfM
pins ()u'une fin. Sinon, '-omotent expti'fnet' que les ouvriers.
s i)s fitcrehaient seutctnent tes av:Utta~es(t'uue société de s)'-
cuurs tnutuets, ue s'adressent pas p)utôt aux
fr«w/~.M<-<'('<ff.s
la
qui présentent g-arantied'une administration responsabte et
sun'ei))ec? etque d'autre partie tradeunionistne donne tou-
jours l'avantage, CMitnjtortaMceet en urgence, au seenm-sde
citôma~e .fjui écarte ia concurrence désastreuse des ouvriers
sans travail sur tes secours de et de vieittesse" C'est
'(U'en ellet pour le trade-unionisme ta protection contre ies
misères indhidueUes est retaUvement accessoire, au lieu
que
le maintien des conditions KcneraJesdu travai)
professionnel
est t'ei-sentict. ii n'a fait qu'apjtiiquer p)us conscienttnent cette
tnethode. tursquc dans certains cas it a entpt'tye )a Mgrève de
dotait .<
tedepartunaundesouvricrsd'unpatronrehctie.
avec une f'ntente empêchant le patron de trouverates ron-
['taeer ~tnis ce procède n'est utilisable que daus uu métier
très restreint, très speciatisc, et très organise. Lu met))ode
t:enerate de )':tssurance t-st ('ga)cmcnt insnfnsante eiie tte
prête pas il ta discussion des conditions, ni il l'entente entre
patrons et ouvriers, et etie présente encore d'autres incouve.
nients.
L~méthode du M~-«/ t-~(-(-/t/'est supérieure. Aux divers
d~rés, dans les divers ellets possibtes du contrat cottectit,
quel en sera le tnecanistue? par qlli seront représentes tes
contractants" qui traitera au notn de t'L'nion?tes pouvoirs
locauxou centraux'' tes îouetionnaires ordinaires ou les déte-
nues spéciaux? H faut distinguer nettement entre lit conclu-
sion de contrats nouveaux,et t'apptication dccontratsetabtis:
au second cassuttisentdes (onetiounah'es
experts et une action
presque mécanique au premier sont nécessaires des repré-
sentants accrédites et influents et un talent
diplomatique. Les
essais d'entente régulière entre les
groupements patronaux
ASU.YSKS. – &:)jXuM)K M'~)KH'iR K't' <)<:):t))H.ST\t.H 4t)t
les ouvriers
riffa d'un métier aspirent
<ft nn ttin~tinf *tan!t*t L~t~t
t('(;itimement A -t
a maintenir
tem-!<t«Hf<(t~ o~t/'c, it8en déduisent to~tuement la néeesitité
d'une reste ~"érate, puis collo d'un taux minimum du
sataire, etc. La seule ditticutté, qui n'est pas résotuc com-
ptétement par t'unionisme, est de faire que le satairo ainsi
maiutenu soit le salaire réct et non simptement le sataire
nominal.
La demande du ~t«- MOt'H)a< est t't'tativement récente dans
l'unionisme; c'est qu'etten'apris tout son seuseMenet «u'avec
le (tevetoppetnent du truvaH en fabrique. Une
r~te co))))uune
de la durée du travail étant ici nécessaire, il reste a savoir
comment et par qui elle sera fixée.
L'uuioxistttequi se pro-
pose essentieUetueMtde maintenir un même sataire pour un
tnOne eHort, a une attitude assez complexe ici, variant selon
que ia durée irr'-guHereou iUinntee du travail parait ou non
abaisser le taux du sataire et les conditions de vie dans le
métier et dans les circonstances coMider~es.
L'historique du
mouvement montre et explique ces variat:ons. Uu
objecte à
une re~ementMti<mde la journée qu'ette est une entrave mn-
sibteat'ouvrtermetne.siiesbeures supplémentaires suntpavees
avec prime. Mais i'cxperienec semble
apprendre que i'ouvrier
est nna)ement tesé, l'aHon~emeut
exceptionnel de ta journée
devenant peu à peu norma), la dcpeosc de forces croissaut
outre mesure, et le taux du salaire tendant est sotnme a
nécttir. La thnitation n'est etticuce que si elle est
précise et
rigoureuse. ti est à noter que ta demande du jour normal,
étant par sa nature forcément simple et
égaiitaire, réunit
t'unionisme à l'ensemble de la ctasse ouvrière.
Le trade-uniouisme a porté assez tard ses demandes sur
t'tM~nc <'f /«wcMn/f des ouvriers, se contemant eu quetque
sorte de compensations en salaire éteve ou en journée raccour-
cie. Maisle danger subsistant pour
t'état physiqueet morat de
la classe ouvrière fut aperçu et
aujourd'hui tes exigences des
unionistes a cet éj;ard sont unanimes. Certaines
rentes de
confort même sont souvent posées.
L'opinion des'dasscs
moyennes ici comprend et ne redoute pas le besoin d'amélio-
ration, et se montre favorable au grief ouvrier. La tentation
a suivi le mouvement d'opinion, mais
fragmentah-ement etau
jour le jour, selon la méthode anglaise. Le droit an~ats a eu
beaucoup de peine à établir une responsabilité des entrepre.
neurs envers leurs ouvriers ctuécarter des artifices
permet.
tant de tourner la loi une fois acquise. La sanction reste vaine
'<Kt:S)K:h)).Otit).)rK. ))<)';)
nombre de rlurtrnc
ra trn t'
règles t't'pondent a co rlnneniu
dessein. XI,11.
Mais cette régle-
meutaUon n'a pas réussi a assurer aux ouvriers ua pleiu
travai) ni un plein salaire pour toute semaine de f'aunee. C'est
(lue le trade-unionisme, &tort ou a raison, a admis, avec les
patrons, que l'entreprise manquait d'emplois parce qu'elle
manquait de travail, et qu'ainsi le chômage tenait il un
manque d'adaptation entre l'otire et ta demande. Seulement
il nie que le rentfde citer aux patrons, l'abaisseme'tt du prix,
soit efficace, et qu'en tout cas la diminution des salaires soit
acceptable danscctte intention; et il cherche ta solution dans
une restriction de ta surproduction; et, par tes divers moyens
qu'il préconise pour ré~le)' la production, il tendu un mono-
pote de métier, presque digne du moyen a~e.
Le trade-uttiouisme passe aussi pour vouloir remédier a la
concurrence ouvrière par une diminution du nombre des ou-
vriers. par uue réglementation de l'fNf/c'c </«;<)<«w'/«'y. – La
régtementation de t'~MVK~Mf!~ est de tradition dans t uuiu-
nisme. Mais a côte de l'apprentissage proprement dit <onti{;a-
tion d une certaine éducation auprès d'ouvriers [urmeset sous
certaines conditions~, se rencontre te droit du père d intro-
duire ses fils dans le métier ces deux systèmes sont même
associes dans certains métiers. Maisen somme, dans le monde
unioniste actuel, uue réglementation de l'apprentissage (sous
l'une ou l'autre forme) n~esten fait appliquée que pour une
minorité (principalement les constructeurs de chaudières, les
métiers de SheUleld, les maçons de pierre). Divers exemples
montrent pourquoi les t'ttionsoutdu renoncer a imposer aux
patrons d'exiger ht preuve de l'apprentissage, et renoncer
même a l'exiger pour leur propre recrutement les trans-
formations industrielles permettent souvent le dévelop-
pement de centres de production hors de l'influence unio-
niste, et souvent aussi l'exécution du travail par d'autres
catégories d'ouvriers. L'apprentissage, n'étant plus la condi-
tion nécessaire et suffisante de l'admission a un métier fermé,
est déserte. En dépit des regret-, possibles, ce mode de for-
mation, qui n'est ni démocratique, ni scientifique, ni écono-
mique, est destine à disparaître. L'ne (orme plus moderne
est la limitation de l'M~o< J''< <'H/(«t~,devenus souvent sus-
ceptibles d'éliminer les adultes. Ktte s'est établie dans le
métier de ta chaussure, mais non sans restriction. Kt en efïet
les exigences de l'industrie la rendent pou praticable. Quant
a une limitation par la loi, elle n'aurait pas aujourd'hui de
~M 'AXX)!KS))(:)))).t«;))~-K.t!'UX
uuart !)utt)'iiHumt'metauues. – un trouve, (tans certaines
Unions do métiers propres aux adultes, une rentementa-
tion (le la ~t'of/t'f'M/n~~!H<t~t' Mtt'fi'ft'.Cette pratique {ait
que
le métier n'est pas en somme un métier ouvert, et pourtant
nenmHG nuttonent le nonbre totat dmouvriers ni
i~xpan-
sim)de t'industrie. ("est ta sans doute la pratique do l'avenir
dans ta d<<tnoet'!)tie indush'iettf (il est à noter qu'a h ditïe.
renée de )'ud)ninist)'uHon civUeet tnititah'H. Funionisjne ne
reeunnidt pusht seule aucietniete cumme un mérite). – Kntin
)'uniuuisn)e a souvent posù en reste t'Mt'ft«!«)M (<<~'tttttx' Les
iiahitudes soci:()eset le souet de ht )nor:tUt6y ont eu leur pitrt.
~t:tistar:tist)nprincipiUe est sans duuto la concurrence des bas
sataircs et d'un etaton de vie intérieur. !t sonbte que t'uniu.
nistne présent cherche, ptutot qu'a eHmmer les {enunes. A
les speciati~er dau< un travail de dejîrt: intertcur,
di~ue par
suite d'un taux de salaire moindre itisseurs de coton), écar-
tant ahtsi lalconcum-uce par une entité véritable de traite-
ment a travait egat sahtit'e)')t),desortnais indépendante du
sexe.
On Mvu des L'nions tte métiers voisins eug~er et soutenir,
à proposd'' prétextes souvent (utites, des disputes et des
luttes considérâmes, souvent funestes a t'unionisme, pour ta
délimitation de leurs domaines respectifs de travail. C'est que
cet acharnement procédait d'une force morate, de la convic-
tion traditionnctte d'un <fro<f</t'««''(«'r.Mais t'evotutiou indus-
trielle s'est plu a confondre et à meter tes tnetiers ancun
caractère de distinction commode ne subsiste, ni la tradition,
ni la qualité de t'outit, ni ta nature des matériaux. Une deti-
ntitation ne peut être qu'arbitraire; et d'antre part laisser à
t'entrepreneur te soin de choisir les ouvriers a employer peut
compromettre, par la concurrence d'un taux .de salaire infé-
rieur, ta situation acquise de telle Union,tt semble que ce soit
ici un domaine propre à t'arbitra~, à un arbitrage régulier et
organisa entre les ditïérentes unions de métiers concurrents.
Maisau lieu de chercher, avec beaucoup de peine et de con-
nits possibles, a quelle catégorie d'ouvriers attribuer exclusi-
vement tel travait particulier, ces fédérations d'L'nious
devraient plutôt, daecurd avec les employeurs, détermineraà
quel taux de salaire rester ce travail, quetsque soient les ou-
vriers employés. Le trade-unionisme sauvegarderait ainsi le
taux du salaire, objet de ses euorts, sans recourir à un mono.
pôle anachronique de métier.
~.U.~H- – t!<:<tXOM)t:
)K't'):)tXEHTm:t:)t)KXT.U.K4!)7
e~atemeotirr~sotule probteote
(t~LMtnu!!tyittcMMtaiot.'ntd'enHeur!)
<)))cttùttMjfc.
!M)0 L'AXXtiH t8)'X
.(M;t')t.<Mit~tt!.
~1'la..ao.
qu'elle n'importe pas aux questions d'heures de travail et
d'hygiène. parait inexacte une étude générale et précise est
à (aire; tci n'a pu être entreprise qu'une étude particulière
il est vrai, mais elle est signittfittive avec ta prospérité
croissante d'une grande société de secours tnutuet:: diminue
le nombre rotatif des secours pour couches. – Les écono-
mistes présents, par leur analyse uouvette de ta répartition
(théorie de ta distribution, de ta rente au sens étendu) avouent
que le contratde salaire est théoriquement indéterminéet que
le résuttat du débat du prix est imprévisible. L'unionisme,
déctarent-iis, parait eu somme élever tes salaires.
Le ~f<f ~'( ~<'<.f<!)«'/<'<t«(rc/<t'(}ni re~te tes conditions du
travail ouvrier, suppose une série de contrats, outre je contrat
entre t'ouvrier et le patron industriet les contrats outre i'in-
dustriel et le comntissionnaire eu t!os, entre te conunission-
naireet le detaittant, eutrece dernier et le consommateur. –
Entre l'ouvrier et l'industriel, t équilibre de t'o)!re et de ta
demande même supposé, t'avantage est au patron tant au
point de vuedes conséquences de t'atteroative négative, qu'au
point de vue de la connaissance des circonstances si t'oHre
est inegate it la demande, et que cette inégatite soit contre t'ou-
vrier, il est réduit sidiscrétion, au lieu que t'inverse n'est pas
vrai. L'obligation de l'ouvrier est d'autre part beaucoup ptus
arbitraire et moins simple que celle du patron. Pourtuutte
patron améliorerait volontiers les salaires s'il n'étaiUui-tnéme
tenu. –Dans le débat entre t'industriet et le commissionnaire
en gros. c'est pour ce dernier que le danger de l'alternative
est moindre et la connaissance du marché supérieure l'in-
dustriel est donc forcé de baisser son coût de production et
tenté d'y réduire la part des salaires tes rivalités peuscrupu-
leuses y contraignent les meilleures volontés. – Entre le
commissionnaire etle détaillant, le premier est pluspuissunt,
mais le second connatt mieux la demande du consommateur;
de plus les grands magasins de détail, qui se passent ducom-
missionnaire, pèsent sur lui. Entre le détaillant et lecon-
sommateur, le premier a une meilleure connaissance de
l'objet, mais le second a une liberté extrême de ne pas con-
tracter or it se règle sur le prix plus que sur la qualité, qu'il
se sent incapable de rcconnattre, et il va au meilleur marché,
ne pouvant savoir à qui, de t'ouvrier, du patron ou des inter.
médiaires. profiterait la dinérencede prix. -Ainsi dans notre
système complexe de production et d échange, t'acheteur fait
– )!(;')X))MtH
AXAt.Y-H! HT"m:)t')!XTA).K 80i
M(H)H)t\H
ta loi au vendeur d'un bout a l'autre, et ce régime dit do
liberté manque remarquablement d'égatité et do fruternite.
Contre cette pression collective et irresponsable chaque
classe d'intéressés s'est eiïorcée d'étabiir des remparts. Ainsi
ta classe patroMate s'est (ait protéger par la toi (te diverses
manières ((.'Aa~'n' brevets d'invention, etc. Chaque pro-
ducteur s'applique il s'emparer et a jouir d'ut) monopole (tes
gros bénéfices passent d nue industrie il une autre avec le
temps. mais it en existe toujours à ctmque moment dans
quelque industrie). La marque de fabrique et la « spécialité
sont des procèdes pour atteindre la demande du consomma-
teur sans l'aide du détaillant. La vente au détail est organisée
directement par de grandes productions. Ou encore certaines
industries ont réussi a faire supporter par l'ouvrier tout
t'avitissement des prix (<!<c<'a~H<y.tt/Mt). Au lieu donc de la
liberté idéale des contrats, l'observation positive rencontre
un monde de monopoles plus ou moins complets, de droit
ou de fait. Mais l'indépendance conquise par le patronat ne
profite guère ou pas du tout à l'ouvrier, surtout dans t'entre-
prise anonyme. La classe ouvrière, pour se détendre elle-
meme, oppose d'abord surtout un sentiment instinctif, mais
obstiné, d'un certain état de vie nécessaire. Tous les écouo-
mistesont observe qu'on ue réussit guereà baisser les salaires.
Mais ce sentiment, qui strictement éliminerait les etiets
fâcheux de ta concurrence, est vague, et le patronat profite do
cette imprécision il necbit ordinairement dans une lutte
sérieuse et enfin il ne s'éiève pas avec tes propres possibles.
Le trade-unionisme a été en somme l'expression consciente et
organisée de cette résistance à la pression économique au
nom d'un état de vie déHni.
Mais cette interprétation ~éuérate du trade-unionisme ne
sufnt pas il fonder un jugement critique de l'économiste, sur-
tout a l'égard de ses ctïets sur ta puissance totale de la
nation. Les <'<«'a<'yt't'M<t<~«' de t'uniunisme sont a
M'f~<~)t'(/t«')!
étudier dans le détail. tJes deux grands objets où ont été
ramenées les réglementations unionistes, la restriction du
nombre et t'étabtissemeut, d'une a rfgtc commune M, to pre-
mier a t'inconvéuient pour le rendement industriel, de sup-
primer la sélection des plus capables et d'abaisser par suite
le niveau des travaitteurs et celui des inlellecluels du métier
pour t'intcrét du consommateur, de ne pas développer la
production. Mais il a t'avantage de maintenir t'état de vie
SOS ).'tXX~t!SOt;tf)t.M)~t')!.tS9)!
et ntus
et plus nteinc. en t)ft'['tonn:)nt
pleine, en )pnr!! faeuttesaecrueacten
devetoppant tcurs h)f<t)t/'s nM* satis-
faisant ptusdedesirsmuttipties )« setection des meitteurs "et
« adaptation fonctionnette Mdoivents'entendre ici parrappurta
cette tendancemême' mois un tout autre ideat do viepeutyêtre
oppoM*'par exempte ta limitation bouddhiste desdesirf~. et
enlever tout sens a ces conclusions 'p. '?<?. not<').L'ue fois <'e
postulât ap(juis. c'est bien a ta science socioto~ique, et non a
un empirisme irrent'chi, qui) appat'tiettt de detertntuer avec
prudence les conditions de t'efdisation. L'expërience est mat-
hourpusonent, par tes difticnttes qn'ctie presento eu cette
matière, assez limitée. Les auteurs out voulu apporter une
contribution au grand prohtème démocratique et sociat. par
t'etude scientifique d'une manifestation caractéristique et
ej:etnphtire de t'esprit démocratique des études semHabtes
seraient à entreprendre sur d'autres formes de t'or~anisation
démocratique, sur d'autres phénomènes de lu vie sociale. )
Ainsi fonde sur une observation méthodique de faits
sociaux, pratiquant t'indnction et ta ~cneratisation avec )
cette prudence et ces réserves toutes scientifiques, cet ouvrage t~
paratt ctre un veritubte modute d'étude socio)')Kiquo en
matière économique et sociate contemporaine. Ce n'est pas te
lieu ici de discuter toutes tes questions de fait ou de méthode
qu'it souteve. tt suffira d'avoir si~naie ta très K'de vateur
et t'influence souhaitabte de t'ensembte de t'muvrc.
XOTtCH.S
t. – )'At;t't'))tSMH
"{
– Thé State and Charity. t.ontto)),MMcmititm, IJ
TaoxASMACKAY.
).S98.itt-X".vm-~Ot).. 2 <. t)tt.
l
(:<'touvritjzchit par)! d'un'* ';o)t<'rtiun ())' t))!)nu<')< !t
':i\-x{u<'s.
est ttoncde caractt'-rcf'xot'i'tup. )t r''t)':)t-f!')tis(<jirp
<)<-la .jucstinn
du pfmp'Ktn)-.o) .\t):)(-[''t-n'(t:msla doctrine ut tt:)t)<)'-t'itit:t'.tn-
ci''nne ))'ri')<)c,ht th~ot-it;
<t<~~conufnistcsft <t<;'fm~<'(, la tMxde
en.)u<tc<'tse'!t-csujta):h's )«).<nuuvt'ttps,t't )''))-«.mis!tti~)t t-untott. <
pontim-'-t pr~ente de ta ch:n-itt' !)<-s t'ai)-!nsscxncodu'cux<'(;)s.<c)t n
pr'ci~ «jnt n'-uoisttuus.(- [x-titvotuomt;t t't'xpnsitittuen t~ chmc.
Mais )'it)~pi)':ttio))
en est cunfot-mna i:t h'itdition<)<-s c'cmh'mist'
<:tas~i(;ne~.
– Die
P..J. ASOHtftTT. Entwichehmg des ArmenweMns in
EmgtamdseitdemJahre 1888. -~«Ar&«c/t /t:<-CMC~My.
AXAUO:– ~«X'tMfB MnttHHXH KT <)Ct:)nK\fU.H SOT
C<'n<)titK)ti«))t)f-)''n)n':)i{t'.j~)':t))t'')))'MU't<'j)!Utf"ns))t"ttAt)t:tt'-
tcrn-,it.t)th<ts'atn'.(!titat~).'ittt.'tt(mth)t)..s). hnt.i..m<i :m~i
<-t'')n)u)'<'(;)))'!St!)i!i't(M;t.t)))~t))<)t)(-t.t ta t'))ti<)u<'sm~it )'M)"t-
'tt<'))h')tt. l.
Esn.MH:XSTKHt<t:(t(:Berioht<lb8rdiel?.JahresveraammtuNg
desDeutsohoaVerehiefarArmenpaegouNdWoMth~tigkett.
~«~t'tMf/t /'M)-Cwf~f&tM, t't'ff~MM.~ M. t'«M<t«'~Xt'Af</?.
))i!)f.
v.<t)(n).<))ct-,XXt),)).~)t.0).p~
"nt-t.tumft ht
.-o))))'tt'))t' (t<'r!iut(!ttt'<):tt).!tt-s<jttt".)t.<ns.)..
(MtUf~t-i~ttM' (-! tt'.js.sistfu)L-f.. C') ;))-tick- <<t tu) t'x)'<«.
)n-ri.< t-). ct'i-
ti'))n*.
t. <:))AK..K..
tH-t)t-:«S<)X. Das Armanweaen in den Voroi-
atgteo Staatea vonNordamerUta. -~f/<tt<c/t<-<f«- .V~tM~
~<<'t'f<.Sf.<f~<)):;i;.<)tt-!t.t,\v.t(j.u)\)t-rt8U!t).)).ts..n.
a. t'. t'KA)!Ut)Y. – Das ArmoawosMt ih den
Vereimi~ten Staaten
voaNordamerUta. – //<f<t<~M'h-<-tMt-/t
f/M' .~ttt<!)t't<Mf'o«-/)M/<t'M.
C.)nt'ad.t-:t..))-t-i!n),)tt.-)n<-))t)M)).t,).hm,t''i..ch'-)',ts~.)..)3~-
l.i i.
<~s.t<.ux!)~)c)<'sttut-)<-ntsut't<utt<ut'rur!i))i~ti<))t(.t)~)~i-.ta-
ti~n<t':t'.si!!(!)nc(':mx~t:)ts-t'ui-
tt'').t)i"t)<)t't'!i'')n(ttu))<nt')ubr'')tSt')!m-u))dt~t')t'[')M')nt'Mtnon-
n':tUt'iittt'ru.(tttdntt'it\ti)f~mitmt:ithnt(''))).t'uh:(itt')'t:tfn))
t)))n:ttt)'n.
Su(t'.ut)''r"'m'')t')'\)"!sitiun)iH'm'(-t)'itt")'uemtr'm')
t)'~))~'t-v:)ti<)H<tt)iti;tht<
:}.–0!u.t~T)"X)'K~h)!XKt.).K
Atti'')'-tt'itnp''rt:mtr''ttM.ut);tVt't'))t'i<i"t)t't<t':)ptr-.t)<')'nnt".
!.t~m't-~tt'Hf"n~-)))''n(.-Yth)ic;tt.)))'"))<)) )st):i,<-n!t't~m).)'ui!. en
)MU')ifu)it'rp"ur<-hat-m)(h".Htat-i:.Ut''tnMt:))'<t):mtt<)tt'tinfnf'.
A))H'i.-h'St)i-;S)',t''t'!U)Ct-.)t'')ë"t'Ht'!)ft)tdt'.it!'tB'.U:tm-H).Ln){Jtu'
sic.m:tts-).ai".
t.–tt)\t:H-
U.–J~M'Mft-r.
).–)XH)KM\T)U\MKT)tnst'K<:Tt\K
X'T)CHSS
dut<'tt)j'('t)u'nst-ntt')))''))H'tn'itth'i'tU'u"tish'dn)ittt(H)!))tt
j't':)ti~n't'tt:u")"
f.–S')'T)-Tt<t'K)'i))t'<t)tH:).).Ki!T'*MU)KtSt').'<X)ih).M
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d'obs'')mtmn<.
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Mtiti"')) Wanderungen. Anbau und Agrarrecht der Vûtker
EuropasnOrdUohder Atpen. ï. AbtoUtmg. –7a/«A. <Mf<f.
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L':u'ti~')fCt)['n'-jiotn)!Hit'[ut')''mi''t'wt)tn)<'d<'t'Kn<'y'))))t'()it'
sY'tuit:tt't(''t~at<M;tht)tsh'pt~nth'['t"ni('<)tt.u))[t)''nn')t[nn('))ti"c
au cout'unt innit eh'' jhitf- pum t')t':)tt.'tf:t)'- ici c't'st, av'' '(Ht'i'jues
ct'tnptOneots-m i'.Uk'ntit~tt' ht toi-.)'au ~<u)!t))tJ'' h) ~intic '-[t:u)-
~rc .justju'ro )sU~}).<)m t-~nju'.tut ).t <ttatuk'-tttt;t;)m~ i'AutticttC.
htHunf<rie.);)Suis~):tt'rauc<t;Utt-t!:iqm-.t:tnu)t.tndt'.)<-[.ux<ut.
bout't!.i'ttMtif.)t't)!tn'')))!H)<.)aS))<d<)a'<')tv't:c.):tHns':i')a
Houm:nm:. )'ËspH,!))e et h' Purtu~a!, tf. Ht.tt-t-'xis d'~tuct'~jtH.
(L'Austt'aiic et h!&cotouies btitautH~tu'A ne s~nt f'~ t'ahuMS.)
t*. )'tt:. – Etude critique de la loi du 9 avril 1898 sur les aoci.
dents du travail. /f<'t«<'<t'<wtuMt«'f/<Mt', t898. juitt.
~.–t'KUJKTtKT~TUO)'
3. – A'iSCHAXCK'!'<U.E''
Ë. – /)0('tH<< .<!Oft«<«<M.
XUTtCES
~i
Htud'iat')'s'<~)t~'<tvtYat)tt:mt.t.cuf~'<'ptio)):ui'=t')cr:tti'{Ucet).t
t'"tn'tiuttd'tnocraH.)t)t't)'-ia~'i.tt'<m')t')'H)K-ij!t't'tt\t:ttttcta
dcht'~t';d)t'~ci:dt.'fttUt-h~pt'<h~tn''s['utiti<)ucst)ttt!;cp~s''))ti)n
sut.ittti~ne.
h''c)u'ittt\tu'((";)not)"~Mp))i')U'ut'din'r('t)ts"p)'urs''m'.<~
du s<K'i:)ti-)ur;)ttxx\tr ''( x\tn ~i;(' )nistn'-< Armttt'tm. Xicutas
Gu<'udt'Yi)t<tij~i:[)!:))t-(.t"t.tHo~)![!t'tHtt'i'u.).itt!Ut't.Ch:tttt'
Uctu't't <i')-'=c)iu,Jc:m~:);[udt'Ch.tp;'uis.Juhti U'-<mtd.!f ~'tn'-rat C:tt'-
h)t'p)tidut-'u).).
– Rotr'- )''s tt~mht~'tx tt'a\'aux wnstituant t'~vututMnnu la <'<itique
duntat'is)rtt'<'nj"'utcitt'r:
X"TtC)':S
F. – &'e<c<t<'<:
<*<~<</«/<oM //jt<!)ic<'e)'<
)''tt)tt).At))t't'tuH'')"'t'.tttM.)t~).in-.S'u-:<;i)t )'.)..)".
)<ft~)it<'imj)«!tat)h.-m't\n)t')))'.ith'-t'ah)'t)')'u~d''M.tti''<t
Satt'ruo.
Htttt[<-st)~ta)'it"<()t'i')n))"'t't!tt)(t')"h'i<'tn'd'')'u)iti')ucf!nan-
ci<tfii).'ti)m't.nt'Autticht'.
SC))t )))J:H. – L'ïmpût sur le revenu on Prusse, t'a) is. ).i.n't <'t
)tti'«-. tMs.j~-s.
<;ut)t))h'-n)<'ntth-rat-tic!c('m".))und<m!d)'t'Km'(')u)'t''t)if'.T[a\tit
d<
rfrntu''jua)'t' ru))))))'' ta j!)t))!!))'t m' c'-Hc Kt)cyc)t'))''dic
:))'()<;)<<
<;di<iu))cutxMttt' M))<tf:<itn').
fdut)( )it<)';U.\i<-)))('
S)X)KMt-:SHCT)OX
MOKI'nOLOt.IESOCtALH
)'ar)t.K.t)L'ttK)tt;)M
t. – Mt')U'MOL'H; Ut~MALH
ne s'arrête pas une fois pour toutes au point précis que lui
ont assigne tesdiptomates. Les forces intérieures qui font sa
vie avancent ou rectiteiit sans cesse, suivant qu'ettcs croissent
ou décroissent, et ta frontière reettc (ait de même. t'our la
même raison, elle consiste reettetneut non en une ti~ne. maia
eu nue zone plus ou moins étendue. Car elle correspond à ce
fait que lu rencontre de deux corps ~sociaux ou non~'tonne
naissance a des phénomènes périphériques très différents de
ceux qui se passent a i'intérieur et de t'uu et de l'autre. Or
ces phénomeuet demandent un certain espace pour se déve-
lopper. C'est cet espace qui est ta frontière véritable. C'est
donc parce qu'ette est quoique chose de vivant qu'ette il de
l'étendue et qu'ette est sans cesse en voie de transformation
'p. 44M-.M7).MOttoce qui précède u'i)!dif(t)'' pas tous les
mouvements qui jouent un rote dans la genèse de ta frontière.
Outre cette tendance à t'isotcment qui pousse tes peuples en
contact à se reptier sur eux-mêmes, il y a une tendance !')se
meter, à se confondre, a faire des échanges. La frontière est
un compromis entre ces deux tendances antagonistes. Ku t
même temps qu'ette sépare, elle sert de lieu de passage
(~:K)). –C'est même cette xonc-frontierequi existe seule à
t'ori~ine. Elle consiste dans un espace désert que ta tribu
laisse inoccupé et inexploité autour d'ette, et qui fait le vide
entre elle elles tribus voisines. C'est seulement à mesure que
ta voteur du sol est mieux appréciée, que !a société s'étend
jusqu'à ta limite extrême ou elle peut parvenir, c'est-à-dire
jusque ce qu'ette rencontre une autre société; ainsi, ta zone
frontière devient moins étendue, et. le besoin de la déter-
miner aidant, on en arrive au concept abstrait de ta frontière
linéaire ?6 et suiv. ).
H y a des dispositions de la surface du ~)obe qui font que
ta vie physique s'arrête a certains points de ta croûte terrestre
sans pouvoir s'étendre au deta ou. du moins, sans pouvoir
s'y
étendre d'une manière continue, et cela indépendatnment des
innuenees que peuvent exercer les groupes humains. Ainsi
elle était impuissante a dépasser te cap nord ators metn<;que
les hommesn y étaient pa:} parvenus cette qui se dévetoppo
sur lui versant, des Atpes ne rejoint pas cette qui se dcve-
loppe surt'autro versant, et il y a ainsientre le nord et le sud
de t'Hurope une séparation qui serait ce qu'ettc est, ators
memequete eoutineut ne serait pas habitf. Or, les mêmes
dispositions peuveut mettre obstacle & l'expansion de la vie
E.Un'KM)u.–AHnL-es..ci~t..t<t 3t
?? ).tX\);).<t)t:))t)."):[')'K.)!
sociate et etuUir une discontiuuite outre les groupes hmnaius
comme elltl'c'tes ntanifestatious de !:t vie physique. Quand tt
y Il ainsi coïneidencf entre les frontières poHtiques e~ ces
limites naturettes, on dit des prenneres aussi qu'étiez sout
««f<f«'<. t'ne frontière de ce ~nre n donc m'cessim'emeut
pour eftetdf créer un vide, ptus ou tnuins t'«n))))ct. Ghh'f les
peujftt-s. puisqu't'Ut' a pum- cut'itck't-istKjm.'df ~'ndt'c le sol
i))))!t))it!djk'tauùdtffst sin~< Aussi la ft-untio-cuaturette
parfiutc ne se tt-ou\'e.t.t't)<'qu'aux burucs cxh-~nx'sdc ta tfrre
habitabtc ;)';))-,p:n-tuu( aittcur! (psnhstiK'h'Stjui s'opposent
à i\p:'t)siot) tics sut'K't<sht' .ut)t ff))ft-f);t)t~ et profisoircs.
A itttt't'k'm' de cf-; thuitHS. il o'y :t pas de [rcoti'-n.'s natu-
retk's qui sui'nt cutnptctett~ut mfnmcitissattk~ ''t a travt't's
tesqucttcs t~'s pcuptfs n'an'h-cut a set-cjoindt't' M~ftsuiv.).
{)'<)(')l'.tutcut' f'ofichtt que la v:t)em' soria~' des ffontict't's
nitturctius est ~'fmdititc t't a ett' tt-upsm'{;<itc M!)).
Aift-i t'')tt<;uc,)afr<mti)'')-fpt))ith)Uf est un v-'titabtf organe
!{ociai:c'fst unw;Mnc p't'ipht'n')tn'.tntimctucntHc('.t toutce
qui se produit il i'intft-ifu)' (te t.t sucit'-tt', elle t-<'i!ctftout ce
qui s'y pas&e.Elle avance mt rt'cuk st'tott <)ttc la société e?t
envoie d'' cn'ih'e on d~cfoitM: sm- ics points ou h's {tH-ccs
sociatt's s'portent avec nue intcnsitc partk-ntiÈt-c.oa la voit
s'eufoncfr connue un coin (tans k's fronti~'t's voisines et, au
contt'itin', (.nhiir ta où ta vie est moindre, etc. Ce sout tous
ces tnouvcntents qui d'-to-tninext la (ornx' tcn'itot'iatt' de
i'Htat :;3~ et suiv.). Hntin. comme tout organe, ette a sc~
fonctions, fonction de pruh-ction, tonction déchantes avec
les nations t-tr:utKet'es,et< pourtesqm'ttesde~arraniremcnt:;
spéciaux sunt at-cessaire~ ~tjet suiv.).
~ou.s n'' ?:))')). p;)sdt' ftutres ~{.'tetu'.s~'o~t'.tpftiq'x-sdont
il est traite (tans ta suite de t'ouvra~ L'autf'U) étudie succes-
sivetncut, toujours du metne point df vue, tes dispositions
du sol qui scn'ent d<' passa}:)'entt'e ia t''rrc et ta )ncr (les
cotes, les presqu'Ues, ies Hcs p. ii;{)-<) te monde de
t'ean, tners, neuves,etc. 'p. ?M:i-t!4t;,et entin tes montagnes
et te-; ptaines p.oH-7t)<)L Ce qui pt-ecede sut)itaindiquet-
quel est t t'sprit du livre.
Si riche qn'it soit en aperçus, eu t'approchcmentsdc touto
sorte, ce qui e)t doit être surtout retenu, c'est ia conception
gcnerate. !) s'agit t<ien, on a pu s'en assurer, de constituer une
scit'ucc nouvctie. Sans doute, ta ~'o~rajmie poHtique ne date
pasd'ttier: mais, de toutes les parties de la geogr.tpiuM,c'était
– M'«U'H'tU«.m
AX.UA-i.KS. (.ÉXKK.U.t: {Htl
)':tU~)'rn-:f-))))'t''SU)'i'nu'-<t'-M.tt.tt~'t.t.'t).)u<)).)!t)'-mrttt
sur'fVt~A't;/<<<<< t.))tt"u)'t):h'")''j!t;tn')''t-t'!)))'t la
~ot:r:(j'hi'')"~iti')'t'un'i ~n~h)~
~u~d~j~w~n~~
~t'')tt'r;)):dt'-t~tti)in<')'))ruc't'<t'hn~'s)in;t)ii)))).[ut)) )'))<')ti~p.).e.
L'))'J!'t'tt*t;t'tt<*St:i''a'=<ti\'i!i!'n'sitt')t')mn'nt'.<)t'r'h''t'h';
St' )'t'nh'at )t:m' ct't .uti'')<' av' m~' jL'tt'num;tti'jn n'unt
qu'i!s
)~t-:tt'U)..tn.t)tm.)tt''t!).<t'[H-)'tr(n)t'd'-M.tt:U.tt').t.sc.mct'))-
tiun~f~m).mt'-ut.)!ttt.-i~th'ntmu'~))t-)t!r!(t)tt''j'n''t;i'-iut).M.
-.t'))ttt'r.h~-tn<')Ut!t)u''c'ih'-t)t-t)~(ittH')<"i(ti\');M<jt'f)\'s<)'-ta)t<.
– Studiesinpolitioatareast.two-t'
)tAt'X):).. y"«)-«.u/t-t~
UuV.t~).1.
AX.U.YSt!<.
– U.H ETCEXStTÉ
Sum.U.E 533
U. – HAS'.KKT C)!i<StTÊSOctAt.E
111. LHSCHOUt'HSUXUAtXS
HT t.Kf)< ÉVOt.O'toX
tV. – tnVHKS
<j<ttt<t'f'<t;<'tt~
(Ft"f«/t'ummM)tKt<<ft,;(. ~«~t't'fff. /«<'<fft'
f/MA«&~«~t««~.)
~tudt'm-!at)))t:);)H')nt't!.<'s<-utn))ti«ns~ut!t'!)phi<)uc.).'autt'ur
<~ab)i[difr)'-rt-))t'!r!tp)'o)-t<<)tt(-h'.<n)uu<<-tt)t'n)-.iut<~i'-ur<t't'
nM'trsduMrttU~:)))t)'n~)'<'ntt'p.tsn't''tHi~<'pi)s~(.<0).Le
(hht-)uj'p<'M)('tt)duc<)tn)t)ct't-h)i(t('tM-.ph'r('iit't)j;)'a)))ti<)m'ot)t)no
.)'.t'?~.ct')mtt<*)tt(-ivi)i~ti"t),[''<<'t):)ttft'tttt'))t!<t)!mst<'sc!tt':n-)t-)'f!i
dt)':o),d:n)'i)t"i('hu!:t'<t'()t's))t'u['t('<t-))vi)'K)t))!mt<,i'«Uj;)))<'nt!tti<'n
dt't'c.<t):n;t't':trcu)tn),(t')).'s-.tU)ttt's)'M<<J<(<'t'mm:m~(.<n)"u-
y('m<'))t'i)nim'a'oin's.t't)!:)'t~j)r):t)tt,t)oi('))tt''ntjn''tim)i()t)t'ct't''
j'tus eu t))us<-o)tsc«'nt-.t'[t'ah'tth'i. Aj'n's:n-oit'(''t!tt)tic''s )ui~,t'uutuur
't'~t'-fMitH'tfs cur:)ch''rf-i constants d<'s ttit~n')))' sork-s de tnum-c.
n)f))t'! de ta jx'putation il tt-aitc ttchfuit'' p.3t)<;ttt<tadef:nt< 'te
['c.<tcnsion )):u- dhisiu)), d'' lu t)-;m<pmtati"n ~!tt' un pcuptc vain-
'jttt'ur.t'tL'.
HtttdM-U)')M)notn('t))<'ntstnif:rnt))it'('!ij!t)t~)'Oc'tnit'('U'~tt)o-
ncsie,uiv!tnttt't)t'it)ci))usJ(')'~co))'t!u)<Mt!:t');d~[)')))nneteuM
')tt!t'St.'t.t'umUtious.
K.UXUL.– Haus und Hof bei Huzulen (&t B<t' j«)' //a<M-
/wt't'/fKMyt'o ~M~vft'e/t). Viftinc, Hutth't', t807.
DtY!:hS
t. Kïnot.ocn: non.HCTtVE
)'nrm).).)')E(tJ)mK))K)M
Ut.–L'AKTUHuPOSOCtOLOtitt:
t'ttrM.O.MtftAX~.
_t.·s
elle s'est _a. _h_
constitua comme m_
hrancite distincte ({'études depuis
)e couri}libre professe :t Moutpettier par M. de Laponne tui'
même. de IMUa t8M, et depuis la puhtication eu Attema~ne,
eu t890, des recherches d'Ammon sur les conscrits Hadois'.l,
)t. do Litpou~o detittit t'Msniteun certain nombre de ternK's
anthropoh~iques, déjà connus (tes teetcurs de t'.tKKf~.s'wfn~-
~t</t<t' esquisse )H r~jtartitiuu ~f}!)'h'f[~ des deux t~c.
meuts dutuiuattts fu Hurope /«/'o~<-Mifet /t~<«MA'
rAu~tetfrrc. i'AHona~ncduXurd, t:) Ho))andG,htSeaMdi)m-
vie, les Etat~-Uuissottt pcuptes df A''«'n~tt')Md'unetnattiere
predomiuaute /t~«t«f) donnne eu t''tanee, en Suisse, dans
J'itafie du Nord, t'AXemasoe du Sud, t'n Autriche, daus )a
Péninsule Hatkaniquc, en t'oto~ue, t'u Asie Mineure, en Arn)t'-
nie et dans le Caucase. Danste midi de t'Hurope, des étefncnts
très divers, <}tt!))ifMi,prot'ison-entent de Méditerranéens.
viennent se mëh'r aux deux étemeuts principaux.
A ta suite de cet expuse, M.de Lapuu}f'' (urmute les princi-
pales lois de i'Anthroposuciuto~ie, en précisant pour chacune
l'aire d'applicalion actuetteinent connue.
Loi </<<<'Mft'</<'t'f«t'
– Dans les catégories des travailleurs
intellectuels, les dimensions absolues du craue et particuuc.
rentent la tur~eur sont plus élevées.
A<i.\).t'*H'<.–).*tXmM)tt'().StM:HH.U'i)H S7t
8~ ). AXX~HSttMMUXi~LK. 1(!M8
p. )).
() t.apoujf<S<'<<*<)')M.<<'«'tft<t'.<.
t!<.U.MM. – t/AXTHtMMfMMMMMt! 87~
M.W.)U)t)~y.j'turt'ft.'))t-t)'In'![iH)ttt'' t<'c)u)'))u::i<'(h')to~ton
M:t-.M'hn<<'Hs).:tt)«''s:n"h'<'tHt~'M'm'i<'n<t'))n')t)tt'<'tt''iHi(tH)s)c't
t)')cutttt')))';<;Ktnnt'tn')':))tttn''))'<ftt't;i)'()(")();)nt!))i')t)s<')tt't'))wtm('
n<jus[)t~cnh'ttatt'it't.'t<jm'[':)~'uu('.<t)tt('<h'y))t)h't~"in~u)tats
««(ttis. ''t't<'<))n'f()'tfd'ns'')tt)'t('<t'')!tt')Ktt-)itm))~(Mr:t-
)')ti'jU''d<<)-M<'t'4)'ttKur~p~.t)n)<Htjuc)Mn-(uut )<uut'c(;d'u))t'c!.
tt's<ttu'Ht'i)n':t<:ti))'t'c<j)ti})t't')n('U''t'ontr''<)<
<f(nt''ut'intti')ttL'm'Ht'n)rttt!iUt't'sc!u'(<"t)Mdit~t')h'('nh-<')M
duHt')tu~)'hN)<<)f')!n:c tm''dik')'):ttt'<*)m)',ht uns et d<;p<'titctmHt'.ft
t''<d")i':))u'j'tt!d''sdnu<!n)tt''i'Kut't)))<i()otnts(;t<h'h:)utt'tam<
:tyan( )t'ur nirt' ~'('xpnnsiun et) ScuntHmnit' <'t pn .\n)ih?tc)'r('. t.<'s
t)t:n't)y<)t:))''< .«' )"c:di.<c))[''Mtn' tt's dcux, et )cu)- ))!)))!(:))M~'c)'
t:tf'M-t)t'rut)('')infj)ti))!tt'tit!ti)'t';)'Etu't'))('nt-i<'nt!.t)t',j)u<s)'raitj':u'-
d'su~ ics Atpf'~et ')<i)tt ta fointo serait Vt't A)< t'yt~nt''t's. ).)i<
tna,:nt't'st)tu)n-!mtsittit<n-))<;v!(t-.u)'t;t)i~)n'dc))at'ta):cdt"tt!tc)'i!;
!sud(".t())us)'t'a';ttyc~[!hft)(';)(~))t)t'd,ptt)!<dutic)tuct''j'))!t)('.t'm'
t'!Ht''J~)(ij)h'y.('):mis)'))''t'Mj"'ttt''t';<'ht'n'montn'cmn)nt;nt)<i
hrnchi''<ph:[tf's (')«'<)?<'<')). ~c ruttachfttt aux btnchyc~phnk's n~in-
ti')))').<))t!n')tyt'<)hM)p.s'L-tcmh'ntt'ntm('naj))x'd''))tt).;<')))th)!!
):tt'Hcan)f'u)'u'<)t)!tvan''<'v(')')'Ot'i<'nt.t.'it)'tt'p!<Yt'<'))cot'cp))
.i(.))OU)'aHeim)rt'~t))naxitnun)t)itn~t'it'ct'))(mh'.t'uis,it it
.'<t)Musst'(Ic)M)tt<)n{tm<'sur''<))t''t'u)).ttM))<.eYfr:it('ii''t''t''sd);
t Occan t'acittqo' L )nde et t'.U'attie sout en Asie les st'tttcs n'-gions
<L')i')t"c'('hatc!
Ajoutons <)U<* )(;t<'xt<*de )ti)')<'y c'.t PXtu'tti tt'ttt) (!)':)ttdxontbtc de
~))ututyj)it'<.n')m<duis!)nt)(.)')incijMU)xtyp''At)U)))Mi)t< ():())!!tourtes
(taysd'Kurope.
)~u~n~t~j~~)~
dn~~sp~~)~
Ut.-t<'nu.~T<-<).< tt.tt)),<J!'tr.'t))'ni<));tt-MM.
dt.).!)tM)U)tt.<.t
U~t~M~t~p~
n~~s~M~Y~ it
n.<tM(.U.-()ui<i.t)h')n)x div.-rs.-s r:tcc<nn'dn.-rmn.Mt)''),.
))~T:t)Unh'-n'~ntd..c.)nq.i)n'r:'ts.-s(-(,n..tusi.))t.<c<-)).)u(.f.)nt-.
n~t.utdt.sstatist~)UMd'nn!~tn.urdr.parMe)))[.)t.)a!,t.(ti-:ti.)U(:
'tcnmh)tdn~cih')):n-M.'i!t-t)')'tt!t.;tuti.,)i<jtte((.'t!tvi.')))t.t'tt))t-
dM~)MdHKrc~p:tys.H~Mtk.d'hi)r~s.-it.sp!t.-)!~M..uc
~n~~nccdt-n)()tnichh.dMnsutt.-)tU))u):)tiun<.stt;)tt-:tis.<ninw).s('
dt-)apn'p<t)'ti<'ndf)s<)t)!;Mt'y<'tt ()<)'<')!<)ti.-nt;t'~ttt)t'st)!ttioM'<
)' j'tus t-iches ..). t'.t~<n<-nk (tutit-ttu.-rjthut~ ht.xt.t-)ui tout-t)i<st-ot
)<-t)~indr<-c(.))tit.t:tttjass~i.).s ..( )..s Mt'"Uj.<t.t..),s .t.iK)~s
")t Aot~t-ifjttt.,ctmMt-tfnt ;.v. «tx
t itpttht.).~ct-inlin'-)).. sjx'chttf M
~HrpMysd'ur)Mht<u)aisn~n-)h-m<'u[uss(-x.t!tt!t:tvct;))ut-~)ni-
-.t't-c.'th.sttmit'uttt'dcf.ttic.
t.'tn.stitut )Mt<-t-))!~i.)n.t)
d.. Stittisti.)m' a dr<'s.~ et) t898 UMustati~-
H.)')Hindi.tuaot tavip pt'uhitt'tccth tit. M..y(.ntn'.t:)MSiu~ditï~rt.t.ts
pays. Voit-:t)m'h)m'< c))in'<c'!d'ttj'rt.s );<tnwt;(m.; cut)st:tt<!t't.t) t)j8<
;'11~91
:wt<Mt.XotTi'):)<'me)))iMmi<(Htr
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MÉMOIRES ORIGINAUX
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ANALYSES
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MttoriqMs. <M
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seetatea itS
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Bar Nttt<T
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UondttaMdaMtehacheetan). 9~
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SMMtfov
VetgaetdehKama. 3~
6<M TABLEBHSMATtÈHEt
V. LEMAtttAtiH
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t)n)n)e''diYe)'tp~yi!.). Mt
–
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Tm'<)uie). ïït
–
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tUt.–f)at)tM.–Um)Ui. 3t3
\)t. t.R)')<(J[T
t'ÉXAt.)['ar)131.)-\cœx)«T
et U''MM)tt).
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pénuidanxmatUtMCttj. 3iM
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p<!tr<n)" 3M
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S.tt.<!t).u:~–L'IndMdnaHB<tiondetapeine. 3M
MACAHEWtcz. – Evolution de la peine 3C4
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it!<)i<'n~ 365
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Cutdschntitit.– ite ttiMrasserte. – ttecttu'euit. 3<!U
\)t).-t.AtHi~)'ONSAM)).tTf:tmrM.t'ttCM!<tH).
A. – Y.«~eit/)e<MM&tH/~
/x'M<f.
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SoncE!).– LtMt. – Cattter. – StMUttter. 309
TAMU!
BBSMATt&HKS {M3
U. – ~M/XMfMMfM <-)<'<'<<
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S*t.t:t)j.tis.
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IX, OtUiAXMATtnX SO<:)At.K)!Tt'OUWf! f~r H)).M..M.L*n.. Omm..).
ftot. DieSochb OHederungim nerdantUichentnd!ettMBtt<tdh<t'B
Zett().'<'<'ganiMtion!!afi<t)edanst'tti<ic(t<tX~fd.Etf; gjM
U)!)..tG)tA!!)!):)ttK.–L'EtttttédeMttt. 389
CAVAouEx). Fantitent puMiche e attt amministrativi (FuncUoM
pubtxjUMctactcx'tdmmistnttih).
SonctB.–Gtbt-hct.–Metchinft.–Otdenberj! 993
X. tt)\ Ë)(Sf(.MMM.Ltr.t t.t tttMMm).
LtTOt.MMt.. rEvetation de t'edoeaMon dans tM diverses races
huttMinM.
STKtXNm. OH aattcht :eoattiah giaridtci centro i debtteH
(Moyettsprttumh ttc cuereitiou contre les df'MteuM) 3M
NoTMM. Dedion. t'fatr. – Cot~ioM.– Ytottet. Tnftort.
Ft-cmm). He\-i))oMt. Mayf)-. – Cicotti. We~terM~rek.
Mord. – Atxira.– 8)Muck t)ur(;rottgc. – Uernhoeft.–
~yrnpp MO
QUAT)t!)HME
SECTtOX. Sociologie cn~neMe
(pitrM.C.Hto~Mttt.
Avant'propM.
t. SOCfû).omE
KR!Ht'<EU.f!
t!T~TATMTMUE
MORALE
A. .Ut'</to~e.
Bosco. La ttat:<t!ea civile e penate. etc. (Lastatistiquecivile et
ne.
na)e,etc.).
B. – Fo)-Ma<tOH
</« ~<w)H~. C..tMh)a<iM fM/anH/f.
–
At.MXEL. Étttda BtatttttqM sur ta* entaata traduits en {Mttce. M!
MMtt. D!e}angatan und die zttetten Verbrether fConiM-rjt!. et y,
tcraM du crhno). ~Q
XoTtcM.–Cttn-erot. ~g
C. –p<e<'M<HMH)c~coHem<~t«c«a erf)K)Ha<M.
thMO). VMbMchenund ProaUtuttem ah Matah Krankhettter.
tchttnungen (Le crime et ta prostitution co)n)nemanifeatathtM
sociales morbide)).
NMM'cM. La deUnquenM :n Sarde~M <).. tmninaHte en SarL
daigne)
NtMpM..-Cr!miMMta t.dtzteae economische in SMMa (Cri-
minalitéet condttMM eMMmiquM en Sicile) 4it
FoMAMn.m Ymct:. Le morti par paMagr., a!et.Utm.. B~
CtdMin ttatia tL<-smnrt!!.t.teoit ta ptXn~e. A MfnnXione et au
suicide en Uaiie). 411
884 DESMATtÈHE:.
TAMLE
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</<*<«Ct'tM)i<)<t<<M.
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– Si~heff.
t). M AXTXHOt'Ot.'X.tH
f~'UXtATMtH CH)M)!fBH.E
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criminels et prostituées) 42!!
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GtUfM)!D*-K)!out!)«.–SuHa d:gn!ta mo'Mejttea de! segnt dett! de-
generathd (Sur la valeur nturphoi~ique des signes dits d~g<i)t6-
rat:h) M3
Ze:tMhrNtMrMmtMtanthMpetc3te M~
NoTtce.–Starr. 435
)t). tMVEMS
FsoHt. – La justice pénale 435
PMMtitt.– Dn tatouage chez tee ertmtneb. 4:<T
). t)EtJt i~CttMCE
C'MCEtTMX ËCOXOMXJUK
NceHomff.~H~-«<<e< t/~en~Mf.
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t'ëtonotniexatioMto). 440
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qMe!quMquMtioMfnn)htmFnt)tte!)depoMi')aewcittte,et< 4M
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NoTtcm. –Bunge.– Sherwood. – CarcUi. Petit. Stroever.
–
–Caronna. – Marchai). Savatier. Watras. – Pantateoni. <&9
HL HTM"YKX
C).ASS)U':H
ASTtUUtTK AUK UCCtUHXTAf.
A. – .M<)Mt'eM<'M< </HMjt
AttHOMtx~M)' ~'«M~tjftttM.
Aft.tiK. – Dte SecMMterm tm Attertum 'L<tn'fuftne itocintedans
t'tUttiquM). 4M
–
X"TM:t! Mcyer. Weber. – Sotaf). Betuch. – Souchua.
Swoboda.–Sehutten. Mt
M. – Ot-faMMOt")))
</M))!<*t<f)'N
«MMtpyeM
~<
EeKmMfT. MtgtBterinm und Fraternita* 462
XoTtMs.–Uamt'ifMio. tti3
C. – ~cottuMttea.t<'teo~f(wo~pMd~f).
SwK)! – tta~ehtM~e. – Ua* Mt<ret. 4M
B. ~cwtomtccomawcta~e ftnoyen 4){e).
XoTtCM.– Sommcrtad. – Schnube 463
E.–«"
XftTtMs.–Sf'hni.–Dettibbc. 4M
t\ f:t:OXO!mK
MHOHttXt!
ETOcat))!STA).H
~). – Mt.tMMt;C<JXOM~t-KS
OfHcodutrovoit.–LatMtoeiationeouwtiAMBdepredMtien. 464
Travauxdivers !.u)'la coopération(\axwei)er. Vantaer. Mer-
tin. –Einhaueer. –Coutare). –Bureau). 4W
K))T)CKS
t.–taCeop~'M/tOtt.
Crtieger.– t.evetu!t. – Kockttt. liancel 4'!)
2. Divers.
t.iefmann.–SchaeMe. 4T!
B. – (:t.ASSesSOCIALES
ScMuon.M. MtEttMtx. WAKXTtc.– (Sur )a ctassc moyenne) 4!3
L~MssMft.– !oav)'ter américain. n5
L.-M.8*mox.–DemetUcMrwice (Service utmtMtique). 484
KAHo.KM.OMindewMena Cetinderecht in DeateeMand 'Uotoe:-
ttcité et droits des domestiquesen AHema~nc 4S4
S. et B. WMB. – ladustrial demecMcy fDentotmtie ioduittrieUe.. 486
XM1~M
< – t'<!M~Mm<. o
Machay. AKhroM.–MttctMtorbtrj;.– ttendeMon.– Penbody.–
Yun CaH. Lueuing. Parturier. MO
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2. –t'/f<~
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3. – Uf'/ftM<«<«««! /<f"fMf«<fM('fj'.
BtCftucf. – Munan~eï. – t:untet. – Kynmrd Mt)
4. – M'<M.
<jut.MM)'f.–BernfB~Uederung und Reiehtum O'i'itrit'utit'ndesfotn:.
Uo)tSM''(momit)m-~ftrichcMe. Mt
Boiico. – La Sottiavitu 'Sur ffictuva~; Mf
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\OTtt;ËS. – t-uiex. – f)t;s(::tt<-uts. – M<t!tni<'r. ~te
S. – .<<<t~M/t'~Mf
<tf(/<M~'«'</t'<)fU/t'M<un<tFM<
KoU)))Hnn. – \'uM Scheet. – (.r~'t~r. 5))
– t'tf </f ~< /M'M</«<'<f'un f~ <M</<~<f)'<<t.nfrMMC.
Mf/<'«'u~<'
ti<ttt<!d.– ).r"tnnnn. – Ho~h'rt. – K~tfmtmtt. – ttadu. – X'ib-
bono oH
t. – .W«Mr<'<«f«<
)««;«;
A)dfi<-h. – (!rcp)t<iU. –BienuM. – t-'runftce. – Kuteotimn. !)t2
– Ltt.tSt.~Ttux sm.t.tt.)!
Douh. – Die Virkung der Schut~beBtimtnungea Mr die jagendti-
chen und weiMichen Fabriharbeiter Ktrets (t< tt~~ort's )'r«)''K.
trict-s cuncernattt )e travait dM fL-uuttei et dus cnfaxtsj 3t3
XnïtcKS
2. –– ~'f~< W P/Mt/f.
Pic ?t B)f'uith<!t. – Lambert. – ttist. – S.:)mi<-d)and. !.)?
3. – .<t~s~M.
Zacher. t*. Vivier. M6
R. – )to<:THt\):<!
'«'a.UJiiTM
Mettard. – Uestr~e et Vandprvetde. – .\)<-ftint'. – t'totter. – Liehtcn-
ttcr({er.–Cr"Kc.–\VenKk!!tMr<).–S)«ni')Mki.–Efrert: ?tt?
– S':ttX(:E ST ).KCtSt.ATX(X
HX.tf!:t<;tt)!
Kict'a Sa)enm. – Myrbat-h. – (totdbcrxer. – t'i<;);r' – Tra:)tsch.
– Uct"w. – Scttuhter. – Wtber. – Snyuus. – Lexn )&
TAMLK
DMUATt&RK't N87
t.–MORt't)0).0(i)Rf!t'!)ÈRAt.K
tU~KL. – PoUtiMhegéographie (C<-<'gr~phi<;
poHtiquc: M2
MoTtCM.–idtt)dcht)tac))o.–HttMt.??
)Y.-t)tYHKS
– Lo Mitnppo deHa reta terrcwiahe de~U St<tUUait!
BAttXKMts.
~.edt'vett'j)[n'nu'ntd)'!Y"icsfcrr''es'mxf:tut!i-L'niit; MO
MATMt..– Der UMprttag und das Wander der Veatkar (Origineet
nugrati')M<)''<)'eHp)e!!). MO
XuT<ct:s.– Mahk'r.– K.tufttmnn.–))itn)et<))'. – Knindt. – ttunker.
–ttoMt'ittttn.Mt
)tt.-t.'AXTtHt()t'<)SUUMt.Oti)t-)at.M.))rmM).
M)!LAfocuB.– Travauxdivere tar tee tcie de rantbrepeeedotegie. M&
– Ecotiert et payeant de Saint-Meuc.
M).tfA!t<i. KO
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C~fe~/t'~Mf. tnuuence
C~oa~ep/t'~Mf. tnOuence du facteur ~)<<~t..)t.MiteJe)'M7.L'-
~x'<M~
–Mtrt'evotutMOMtiate.SK. ct)retMt)tte.i!70.
Gt~t'~Me. t'afticutttnone de la fett- /M<v. ).' – cotnMte Moyen d'atU-
gion–f. rer la bonne fortune, K)!
M~t-ft. Les – en divers pay~t. ;it2. ~Ht't'M<<e<t.
L' – dam la vie iiuciatu.
Les aux Ëtah-Unix. t'f7. itU. t.'– sot'tate et la tffhittation,
)7".
t<t'<tt</if<«ft)<< /«<t<t«t«<t. t'uiMawe
tttfttctive des –, pfcportifnneHe /<«~MM. Lf!t peuples dits –. M3.
&teuruM!0,3M. ~««tMMtf. XMpportx du avec le
Mtt&t~oM. L' principe des rap. )touttdhisM)e,i')<i.
p()r)<s"ci(tU!(,4N').).'–tte!ttn. jM~tt-f. X..)ionjutvc <)eta–.36U.
diens Puebh't. M). DivMt'euBei-
fruaitMiUe de t'&yt'ntt, mi.
gnetneot* sur les –, Nut-K' t'iM ideate de la –p~attte, H)C.
M<'<'<7<f<w. Lf! – <Htt~ et it /'n't/ dam
tedftdtumsuhMtm.Mt. AotoM. Le* – en (terumnie. 23S.
MMottf. Caractefea jtmpre!) de t' –.
i~.).tt<t<w-io)uxie,tt:i.tt.)e /<«'/M'/f. Origittt'i! soeititt'* du –t
des individmtHK' des i'tee~ daMx *!?.
)'–)?. t'hitumphieder–.tti). La – M<ci<t)e<tttxËtat!t-
/.<«'<«<<wt.
M«Mt<t't</f. L ht)p")stun –, ttC. L – Lttis. Hfi. État de )!i – sot'iate,
ettttnn'e.M~. !it;i. La – iodustrieUect te trade-
unioniMtx, ttt.
h<tt<af"<M.t4Tet)ï(). te«)'<' </<* cAMM'/c.Jlistuire de la –.
/<Mmtjiff«<foM. Causes et ct!e)s de r– MO.
uftMtne,~t&. /.<'t'ttt~. Traces du – dan: lu te-
~OMXt~tM f/< f<)M< Croyances de t:cnde de Mnetope, i!ti).
la (irece relatives A l' –, ~t5. )ns- t~MM/At-o~tf. La – et la txetemp-
tHuiiontt'urretpundunt il CM )tyeo!)<t!ti9.
efoyant'e<,2)&. jM«c/<t~f./<<f (/p <M–. tTU.
/He«<)<«i'<'fM.!)S. .Mn~te. La – et la rctt{;)OM.2M. La
//)ce«<f. t't'uhtbition! de tnariage –aUaby)nne.ï)ï.))i!!tuifedettt
pour enuse d' dans te dn'it ot- –. ~0!). Explication psyrhut"-
n'm, X4t. L' – chet les Tchen: fti~ttt' de ta –. ftM. h[!tttf)itance de
tt)tM<')).!tï)).L'–ct)acf«iM- ''ettecxpticatiot),2t).
mettt,3)t. i. .M~h/Mf.t-'urxtutes -)eur ta-
ht~tc'f<'t'«f~t'/M< ).' – setun te3 nt- ttMetM-e.~tti.
ttttxtex, !i«t!-S69.Aet'Mbaetnent de .Wa««a' ).c – dans te droit rotoain,
)'–au t'oufs de)'h)stt)ire. 5tiT. :)?!. Le – en Gertnanic. Ntt!. Ça-
7<)~)t<f/<<. )/ ettaM-iete. )77. 183. mcifre aarraotentaire du dans
Rûtedc)'–d!tM)a<-u))et'thit< rË)t)!M;<aiti8;ui)ifat)n)).:M').t))-
~ttt.Education de l' et ivolu- tcrdifttont du – d'acres tes nn-
tiondct'eiipece.na. neesde mbstmce des epoox. ÏOS.
<<t<<«'MK«tM«<f«H. L' – de la peine, M)e des mtcrmediaires dan): te
:<'?. t.'–de la peine fondée sur –)H. )t)te!tct<'<))tttm)etdu
h<<'M"t<Wff.N:i9. tMarx~e, ~7. N60. :a), :)3t et3M.
/H<<<t'K~M«~MM)< L' et la n'gle- La ctasst' <'a))it'dixte et le txo.
nx'ntationMcbue.tM. JM«'.tcH.Type de la dans tes vil-
/<toftt''(<MH<e.tntt-r'~t de t'–et in- ta~cs allemands, 3ut. La ett
térèt de )aMt'iete,)'i:). Weittphtttie. ~60.
~)</<M<t'<f.l.es ntodea de l' –. tM- .Won/M)f</<f. Le – aux Ètat~-Uata.
4tt.nt!H'iredet'–.&)0.«Mt()ire HT.
de ta~rande–en France. 5t0. Dé. te6. i!M.
.Vf<M<'t<t~MM)f/tM<ot-t~«f,
terminattHn do la pettte –, 4tS. .Mah'~M«n«t<. Mégimc–.SM.Lc
L'–<~rieutc.3M. fe~itoe – dans tes villages aUe-
~)/<!«<t<e. t~uM* de la erituinatitc tnandt. :M.
-,<t0.4n. Jtfatft'MMo*<7.Le –, 23S.
MBtCt CM;
~a~wMt. tnttueMe du – sur les N~xMt. Lex d'E~tt~, :M. Les
retigtuns de l'Asie. tM. païen!) et ehfeticBt. Mt.
AffMf. t.a chrétienne. 9t)T, M9. ~f/f. Le maladie du t'M~gei
NMtO'c. La – des objets collectifs, Ma. Les fonctton< Meiotogtqueo
SN'. du S4T: Baw rihten~ du –.
Af<«M/<
La – nsy<'t)oge<t''tit)ue en ~ts. Happurt des – avec )'en-
s~-i.)tu)!ie. t0t. La – graphique "e)))bt' de ta civitiMMun. XM
en suciniogjc, tj}t. La – stafjs <tWt-ta Bt-iencedu tempa. NN. Les
ti'~te et ta monogmphtfjMe en – x«r la vie et la t))<tft chM les
fccnutnip, tW. TeherCuti~M!). ~').
?/«-< Les Cot-pt de –H). L<' .M~/A~Mfjr. Les t)~)odiea –; 202.
mt-tier ()(tM l'économie urbaiMe.
«Ï. Ortfttniftitan des – dans le .YoMf.Vertu du –. Mt. Les dl-
tt'tde-nniuniamc. 489. tMgtemen. viM; leur ))erM)n))tf)f<Hten,29!.
tatinn de ta pM~M!!ion dans le –, .\<'M)f«/M'Mt< Le et le lien terrlto-
t'Jti. rm). SXt.
JX~tft/utt~.MuttYetnettts–ettOeea- .Vomt<w. Le* petits et leun va.
nie et ttutone~ic, Nht. r~ttone. Mit.
~<i/tf~t'ot«. Les intérieures et tf .VoMemM.M~. )(ifpB tttttt;if)ue<taon-
développement des \'it)e)). U7. cernant les :<))t. Exposition
Rapport des internes et ex- de* a ttotoc. ??.
ternes, MO. Les – (teo peuples et A'«/<<<~o. [''«nnoUttis – des difM.
leurs conditions. Mt. rent!)peupte<. 331. BenÉdiction–
Militaires. Distribution des vocu- chrutienne. ~U.
tions – en ttatif. !ift. A'«/!<«)M;t. Ls~es – on TMftute,
<f(tt<'<t<w. CoudatHnationi) de dtttts 3!M des anciens Luaitunions, XM.
la Seine. iMt. X'xnbre 'ies – pr<
terves 'joi retotnhext. 408. Part t)t'<;M</MMW Ot ~tt't/MMf, :'09.
des anciens cieve! en correc. O~XMt~mi. )/ – dalls les h)ts so.
tinn. dans ta population des mai- fi'tux. tt7.
sons centrales. 10U. tMtita prin- 0~/aMMMtfoosociale. L' des Oma-
cipaux des –, tt)t. tnftm'nce de has. ~U7; de< tMdipntOM~ea.SM;
t'instruction snr in crimioatite en M~httteitio. :<3.
des-.ief.. Otf/ftMtwf?. Les -–sociaux et les-
JtfoKac/fMmf.Le – occideiatat. ~Tt. tudividueti. tH.
Expiit'ation du –. 27(i. OfptMMf. Kapport! de)' –avec les
Jfottatf/ttf. t:voiuti"n de t'idee de '-r"yttncp~ il t'itttmortatite de
t82. t'Ame. ~)7.
J<Wttt<«'e.I.Différentes sortes de –, OMt-'wt-. t.' aux États.L'ni! 4T&.
45S. Caractère religieux de MMCtwx.AatOt'iatium–de ptoduc'
cer.
tains objets de–. tM. La –in- ti"t). 4''t. Le: assocMtit'n* –aux
terieure et la extérieure. t;<((. ~taUf-Cnis. 4T(i. Organioation
La – dans t'ceonotnic h'odate, <tj. inttjrnatixttnk. ut3. t.e~ a~ocia-
La – (taM ta tribu. M7. Appari. tiom–en t'mMce depuis t7M.SM.
tion de la – en Attemapne. <)tK).
J)foM09)-f</)/t~)«'. La tnt'tb'Mte – en ff«<'M/< X<n)))'nctatt)rei de –. 329.
snciototfie erimineiie. tt&. S<m Traces de – cottectfve chez les
ittsuftisaMe, <(). T'-h~renti~se~, :HO. t.a – artif)-
~(Mte/M/f. j'biinsophie ~i. du –. M: <'i<*))ett)M les Slaves, S!t. Au
Jth"t«<AcMH«.f'ormation du – Jah- Caurase, 330. La artiMciette
veistc. ~M. quant au mariaj;c. 3ï(i; chez les
Jtf~/te/o'/tf. La – sooate en quoi Tt;her<itt)i!tte!t. ~).
elle consiste. S2t. t'Mt-MtH. ttnportaMe des fonetions
j)far/. Croyanfes sur la –enOnne. du 30t.
295. t'<«'~c(/<a/'o<t. La – aux beneBcea.
JMot' Culte des – mis a tt base de M7. tTO.
t'evntution religieuse, ifï. f'a~c''«f. Le regune et ses con-
E.t)t;tt):M)!tH.-A)tnfcoocM.,iM8 ss
S94 MMX
dttioM, tM. FormaOondes eom- ~vMf. XatManeedela –, 4M.
)nunauMB–,4M. M~aMmeauSian).905;au
Pefft-oeHe.Puissance 3!7. mort.ÏM.'fraMfonnatim) d'une
fa<)'ta)'<'a<. Caractère – (te l'orga. collective CM– individuelle,
nisation famitiate et feudate en ÎOti.
ChtM.&Mi. <'<w<;< Caractère du <?. Ka-
fo'ona~f. Le mdmtriet en Amé- turc du
anti-economtque -–. <?.
rique, t8). Scrtation des en rhatMura.
PttMpM~Mf. Le en An~teterre. eh'. son inexactitude, 4M.
MO.M7 aux État~-L'uM.SOT en t'rtJMH.La – dM< le droit catton.
Autriche. 507. 337.
fo~f/M <!mtw.tdëes id(,earelativesau-
retath-es au – ~fCfMKf~oMte dtmt'ttaMtaten,itM.
MtUféee, 2<!). t'<'ot/Mcf!w). Httpportt de )<t – a h
fo~aH. Situation du att tttoyen fonton))n<tHon, ttt. f:t<ttde la –
âge, 307. industrielleet agricole, 5tt.
Peine. La – d'aprt! l'école ita' ~'t'o/f~tCMH~.Keceo'entent en
lienne, 3S9. La n'a pa!. pour At)cnMt!"<'tStt.
but l'expiation, 36!. tndividuaU. t't'ogt'M. Le – ioeiat,
sation de la 3M. Coaceptiott: ~'<~<< broit de –, S93.ttbU'ire
primitives de ta –, 372. La et de la –, ïH!. La grande – dans
les cotnpo~itioasp<!cunia!)'es.36t. t'emptre romain. Mit. Originede
Les patriarcales, MS. !)!?. la ~rfUtdo–. 349. La sociale,
tente* origines de lu –, 30t. t'ac. :)M.PMM):<'de[a–con)M<uneaIi
)cu)'religieux de la –. 30! E\'o- – indh'iduette. 8Ï5. hrcit de
–
)uti"n de la 43'i. htdeterntina- à ttume, XT2.Probteme de ta –,
tion des dans le droit canon. 4M.
3S(i. La – canunhjMereste une ~'e~f/M~f.Formation de la dans
vengeance, !Mi7. la société moderne, U3.
Mnat i)Mit – derb-t!du droit pu- <'t'tM<)'<«fm/t La en Attentagnc,
–
k)M'.Mt. Uruit et mnrate. !)?. 3tt. tfbtaire de ta –. 4~. t-rtoet
PfHt~KM.ttistoirc de ta –, 273. La diversesde la –, 4&
dans le druit canon, 3S7. ~-utwtM.Les – ({racketta yic
Mt-f. hruit du – sur la vie de t'en' économique, Hit. Etudes diverses
faut it )<<))))€. 327. sur )t': –, ?9 et !<uh'.
/'<'«h ptt~. ttaison dVtte des –, ~<M/o'y<f. Speciticitedcta– in-
!.iM. dividtielle, <M. La et ta soMio.
7'f«~/e. Qu'est-ce fju'un – XM. tofie. t4' <M.tXt. t!iC.t6)!.
M)M<tjy«' et science des re)ij{tcM. ~c/)M<oatf yKt/t<a'<'< La – et
Stt. t'anthropott'giecriminelle, 431.
f/tt'/oMN/ttt sociale. Histoire de la ~c/to/o~tyMF. Fondetxenb – de
-,)03. ta société, ttiX. La vie et 'n-
t'f~tvM.Cultedes theï les TfM- ciate.)7t.
remisM!), ~ tt. fM~fur. Evofutiundes idées reta-
t'o~fe. Origines de )a –, Mt. La – tives&ta-.SM.
en
poputafre AOeHMffne. Kap- 306.
ports(le la – avec la tHythoto~ie. ~MM<teM Mfxtte. La « ta tumiere
2tX. S!:)!. de la philosophie.)C2. La–dant
M<h/«e. L'et-otutiun –. <St. SM. )'anti(tt)it<460.Le~–enAM)e.
Origines du pouvoir 2a< Di' rifjue.tM.
ter.<ite des idées en Tunisie.
?!<. Hf'fc. ExpUcatioades faits sociaux
Traces du – dans ta
Mit/AfMMte. parta–, 4t9. t.ee et tctdh'ene*
Hibfe. ?9. <-h't)iBatioB*deT))«iMe,S57.Repa)'-
f<~M~<otoMO~MM. Origines de la tition des- en Europe.!iM.La
349. méditerranéenne, :M. CapaciM
inconnue dan: t'Ha-
t'fe'eWp<wt, econnmiquedes – c«rop6ennM.
masen, 3!H. La vie moyenne et les –, !'75.
~Mx 89S
WfMtf" Rapports de la – avec ta être représente par ce taux. 478.
cruuiaametufimtite.HO. Le – des femmes, H7. Le* –
/Mc«/ft'M<f. fiente (tu–,ttg. axrit'oiesautnoyenaKe.aOS.
H<'h)cft)'«afte<t.t)"ctrinc de ta –.
.m/B6.
i!t«. .So<MfHm<M. Sature des –, S3S.
Mf<t<'Mt<LtH!de)'evotution- .~h-c/t'oo. La – en soelologle, 181.
tW. .~M~Mt-c. La – en Chine: son ea-
Sciencede ta – sa me'
Mt'/tOtt. raMtorefauuiiat. ÏM.MS.
thode, tM; t9)t. La science des .SMM. Ketatiou des – dttne te*
est utte sciencedhUnde. <i!!t vitta);e< atfeuMOd).XOS. MfBUfo
sa méthode,t89. tnHuencedc< – relatives au tomMert-e des –,
prttttith'f*Iur ta vie tiocmte.!!00.Ktt. Vie économique dechaque
La – d<!fh'<:e <ieta t'oasciencf per-
– chei! les pr:n):tih, 4~' tHvi.
Mnnette. )<)7. Type~de-J'apf&x '<n du travail entre teS~, <SU,
TieteJW. Le< –cnTuni!io. Mf. -SMMfMp. Evotutinn de la tHoratiM
Latth'cnitedeit–pnTnnMe –.3)2. CritniMUK–,t]!T. Mœur<
n'cxptiqnepa! la diverait)-des fi. – chez te! 'rch~~toi~te!. 320.
yitiMtn'M.M' "t<t«t<MM< .~of/t'ap/t~M~.– ttt))ttence
Mp<t<v<<tuM ('o'~c, dcrivtp de la vea.
de )'t sur la vie sociale, SM.
geance privée, !tS. tnnuence de la selun qu'elle
Ke~oMwtMM.Etftnentt différents est centrale <'u périphérique,!)~.
de l'idée de –. :UiO.Cuncpjttion .Sot-fatMMtC. Le de la chaire, tt9.
spiritualistede ta–. Sait.Théorie .ot'Mt/Mf/f.LesdoctriHes – couune
de la partielle, ?9. Théorie faitstMt'tMx.XtC.
dftt'r)ninittodcta–)!.La– ~off~f~ <'e~<e<MM <e<<'t'<M. SOC,M~:
des anh)taux. N!. La des lia. Ma~TX.
rent! dans le trime de trahiioo. .HCtefua'f. Specifteitcde la –, Ht.
~h'.La–d[H)!)edrnitcMnn, La fritnmette et ta – compa-
?*). La penatf. :Mi9.La – pe. ree.M3.
t)a)et't)a–rivi)e.:<6't.La–ci. .So(t~H)-W. – tunnaine, tOC.
vile et tafaute.ïH.!)~ Theu-
.oMt't'm.Cuttc des –. 2ïC.
rio,objecti\e de ta -civile, 3TL
.7<!t<f~~fM<'K</< t?t.
La du fait des choMit,3M. La .S<<t<M/t~M< La et la méthode
–detictueUe rnmenée a ta–-
ntu))f'){rapMf)ue,W'. La – et ta
contractuelle,X7S. La – et ta science juridique. tM7.La – ne
tht'orfedu ri!')ue, 377. La des constitue pas une science, S:i&.
entrepreneurs daM le droit an. .S<<tt'M<'«o''<tf<.La–ett'an-
t!)ai:. M3. tttropotngie cnttfinetie. Ma. Mé-
?<<. Le–derh'eda mythe parthode de ta –, Mï. La – et la
Brinton.Mt. diversité des législations, <0t.
Ht<t-«M.r. MegreMiondes groupe- -S/n/M~tM ~ft«/c. Comparaisons
H)ent<– en France, SU. intefMatiunntesdans ta –, 40t.
~<t<«M <~ </x*K~.Coutume d'en'
nattât. Caractère du sabbat sa <'hat)ter)cs-3i.
j!Ct)emfite.S6S. SM~îf~f mf«t<. Xaturc dH–, Mo.
~acrf/!cft. Les – che!!te* Tchere- .s««;«/c. Les – de créanciers. t23.
))))S!e:,SM. MutedesfemtMMdans La vie domestique suurce de
ces 2S8. Le~ – de cfw)ruc- 4!:3. Les couvents bouddhistes et
tion, !!30. le –, 4M. rapports du avec
.aiHf-.S)M)()<)M)))<Sur)o't9S. retnteco)M<ni<jue, 49t. Fréquence
~«Mx. Etude potitive du –. <?. du – en Chine. 4Ï3. Ueiit et –,
(~Me=.dtt-.t7S. Le réel. <M. 128, Le – cite::les Stavcs. !?(!.
t'roMemedu nounna) et du – .SM~«'~ff<fo<M. Les – des juiht ottn.
recl, 475. tHttueafe du ret{iM)e mans.2t:<.t~:s–dans la méde-
protecteursur les –, t)M. Les cine popuiaire. 9)4. tunuence des
dans la dome'ticMe. <?. Taux sur tes crimes, 3M.
etotundu –, 49!. t)f({rede bien. ~M<Hc«<.Le mouvement –, SOS.
t~MX
Le tuuttveutcut – dans t'M~'icu).
Le)UuttYemMut–(tM)tt'M~-icu).
IYYYw~ <.cuu«M)
MuuotUMjUMdfta famitte -)«).
turefrttncKi~,M)i. Apparitiou tat-dho de to famUte
–. ït<i. Xbtoire de h fntUttte –.
'r<fto<M.BM<t.
?'<««< h)t)u<ueH des conditions M. 3:<U. Kapportjt de )t)itttino –
<n'eeJe<h)m'tit.)~()t'rc)tttitWt3i!)!.
cmtett:urh–,u?). 1.
'rntceKtietHiKtit~–rhe~tM
r<(<oM~M. Kmde st.tU)itn)Me sur tew ~.< 'M,t.r.,)t,iMM.
"nmha.t.ïSt;
–, 4~. ).cttr t'MMftf-re intth'iduc)
<'hM les cruttiaf)! ~dMek'vten)t<)rt'itdeLa
HX. MMCtjtM.Mj.
rfMtWf. )'ty<-h«h)!:ie<)tt –.Ht-m.
r<'<'t't'<o<'(«<.
Les furmet – et leur
)'«<M)'h'!ur6deht–.)M.))oc.
<;vt<tuti.)tt. 5~t. trittM sur )a –) tM.
ï'<'jt/«<iNjtu<-p. L'tnhmtiuu – et t'ht-. <<'M</<tM«,j)it. 1.
rédi MO. tf't~.t.a-ttMtta tribu.t57.
?'«<<'M~ serait potterteuf aux t<'Mtf. SacrUtce do ta en dhine
groupes tarriterinux, :'))!. !M.
!t'm<Mtf.Mt.2M.j~.a:tO. )'MfcoMomff/Mf.)-'urmes diverses de
T~tf/e-MttfUMwnf.n<dyse scienti- ta est TuMiiiic. K5S.
)if;ne du tXU. t-'unctidtï )tn –, ) tMtf'/ft. Le* types de vi(ht:e.< nOe.
~!)U. Sotl ur~HtU!'Mth')) d'-tUOCM-
)u.-md!i. :Wi. Mœuf!) dam t~
Hquc.W.tiune~httiua.W.jH- induu~. 309.
ftetttent sur le tM'J. t'<MM. Oriftine e) miMH d'~tfc des
ï<'« M«<.La division du –,HH. t/as- 5:!S. Oritfine (tox en AUe-
MK'iati~.ndtt–.Hu. ))t'~nc.M7. )tù)edt!!nuarrhë!t datH
ï'~pfttta/mM. Ufjjfittes t-ctiK'euMs ta furnMtion des – 'ttionaudeit,
d<:ta-.i2t3. M' tthtiactiou tle )a vieille villu
tYtt:CX,<Mt')(tM):)tt)!Ot:<:ttA))).t:~t)t)ttS!)RY