Professional Documents
Culture Documents
Introduction ………………………………………………………………………………2
II- Le reporting avec les normes IAS/IFRS : le concept de « juste valeur »…………10
Conclusion …………………………………………………………………………………27
1
Introduction
Le fait de rendre compte de ce que l'on fait (le reporting) semble la clef de voûte de
donateurs. Ainsi depuis le 1er janvier 2005, toutes les entreprises cotées doivent
d’une réforme comptable, ces normes constituent une véritable révolution en matière
désireuses de le devenir sur l’une des bourses européennes. Depuis le 1er janvier
présentation fixées par leur pays de domiciliation pour leurs comptes sociaux,
-Révolution Comptable, car la philosophie IAS, basée sur la juste valeur (valeur à un
charge de travail de la fonction comptable (comptes IAS en plus des comptes sociaux
2
actuels), une réduction des délais de production des états réglementaires et donc,
Ainsi dans ce rapport on va commencer dans une première partie par la présentation
d’un petit résumé des normes IAS et IFRS où on va s’intéresser aux caractéristiques
du projet IAS/IFRS ainsi que de ses impacts sur les entreprises. Ensuite on va voir
financier, c’est « la juste valeur ». Et enfin on va aborder un troisième point qui est
reporting.
3
I- les normes IAS/IFRS en bref
Les normes IFRS sont édictées par l'IASB, une structure implantée à Londres
et dont les membres sont nommés par un conseil d'administration situé aux Etats-
comptes, elles touchent déjà les PME. Dès le début 2005, les normes comptables
internationales IAS/IFRS ont été appliqués d'abord aux seuls groupes cotés en
terme du 1er janvier 2005. Ensuite les filiales de ces grands comptes, [environ 50
000 entreprises], puis les PME, sous la pression des échanges avec les banques ou
Les normes IAS ont pour but essentiel de proposer un référentiel comptable
En juin 2000, la commission européenne a annoncé son choix des normes IAS/IFRS
aux attentes des marchés financiers. Elles privilégient une approche "bilan" à une
dans les comptes des entreprises pour faciliter le travail d'évaluation des analystes et
des normes comptables internationales IAS/IFRS pour les comptes consolidés des
4
groupes côtés européens à compter du 01/01/2005 (avec un bilan d'ouverture au
financières internationales), c'est le nouveau nom retenu par les nouvelles normes
les IFRS concernent toutes les entreprises, quel que soit leur secteur d'activité et pas
o Obligatoire en 2005
Les groupes cotés et leurs filiales françaises étrangères de manière obligatoire pour
les comptes consolidés 31/12/ 2005, est en principe pour les informations financières
également un comparatif sur l'exercice 2004 aux normes IFRS. Soit 1100 sociétés
o Optionnel en 2005
les groupes non cotés publiant des comptes consolidés, car la France leur a offert,
sur options, la possibilité de publier leurs comptes consolidés en IFRS dès 2005.
Soit environ 8000 sociétés françaises ainsi que leurs filiales les impacts des normes
5
2. Ce qui change pour les entreprises
sur le juridique
Réduction des choix comptables (méthode unique imposée par les IFRS dans
Un plus grand niveau de détail dans les annexes, avec notamment une
6
Ce projet concerne l'ensemble des fonctions de l'entreprise pour produire
systèmes d'information.
La coexistence des normes nationales au niveau social (notamment pour des raisons
nombreux retraitements.
Comptabilité :
analytique) ; en effet ces pourra s'aller nécessaire de compléter les informations par
des données extraites d'autres systèmes pour satisfaire au reporting IFRS, les
Immobilisations :
On peut identifié ; dans ce cadre, dans les nouvelles normes ce qui est de nature à
7
Un double suivi des données de base pour une même immobilisation (coût
IFRS)
Information sectorielle
Trésorerie
gérant des couvertures de risque de change ou de risques de taux ont été les plus
impacts et, par contre les normes avaient assez peu d'impact sur les outils de gestion
quotidienne du cash.
On peu identifié, dans ce cadre, dans les nouvelles normes ce qui est de nature à
8
Un classement par famille des instruments financiers
Reporting/consolidation
normes IFRS, le système devra être capable de produire en parallèle des informations
selon les deux systèmes de normes PCG et IFRS. Il devra de plus permettre la
informations financières.
On peut identifié, dans ce cadre, dans les nouvelles normes ce qui est de nature à
Ce qui donne au reporting ,selon les normes IAS/IFRS, une performance c’est que le
9
principe selon ces normes est que le résultat se trouve défini dans le framework et
par l’approche bilan. Ceci suppose de distinguer les capitaux propres et les dettes.
Mais, plus on introduit de nouvelles mesures (ex : juste valeur) plus on crée de
volatilité et plus les qualités prédictives sont différentes pour ceux qui lisent les
comptes. La solution est de faire deux colonnes : l’une intitulée «profit before
Autrement dit, ce qui change avec l’IFRS c’est que la première différence est
mais d’information financière. L’entreprise ne fait plus ses comptes pour un objectif
légal ou fiscal, mais pour rendre compte de sa performance économique à ceux qui y
ont investi.
l’entreprise dévoile son information sectorielle pratiquement comme elle est étudiée
en interne.
une information beaucoup plus riche sur certains points. Les instruments de
« Ce qui change avec les IFRS, ce sont donc à la fois des principes comptables
mais aussi des procédures de contrôle interne, de remontée d’informations depuis les
filiales, c’est donc l’organisation interne des services financiers et sans doute parfois
Il va de soi que ces impacts sont très différents d’une entreprise à l’autre, néanmoins
la transition se révèle être générale, avec des conséquences fortes sur les ressources
10
Adopter le référentiel international, c’est se doter d’une nouvelle grille de lecture de
reporting comme outil de gestion ainsi que de son exploitation. Par ailleurs on va
traiter les principaux points qui ont fait objet de nouvelles données pour l’élaboration
temps.
valeur »
tente d'harmoniser les règles comptables utilisées par ses États membres. Ainsi, les
internationales IAS/IFRS pour leurs comptes consolidés pour les exercices ouverts à
compter du 01/01/2005.
Ces nouvelles règles se sont appliquées dans un premier temps à environ 7 000
entreprises, dont près de 1 100 groupes français et 29 000 filiales. À titre optionnel,
elles pourraient également toucher les quelques 8 000 groupes français non cotés
1
Christophe Marion Fondateur de FinHarmony
2
Une information financière pertinente est disponible au bon moment pour prendre des décisions en
connaissance de cause.
3
Une information financière fiable est utilisable avec confiance car elle est ni partiale ni erronée.
11
établissant des comptes consolidés, ainsi que leurs filiales dès 2005. À terme, toutes
s'appuient sur des principes bien établis (coûts historiques, prudence, etc.). Elles
fournissent une mesure du résultat et des fonds propres légale mais souvent
ces deux piliers de l'information comptable, sur lesquels s'appuient des décisions
essentielles (en interne comme en externe), exige une approche renouvelée pour
accepter par l'Union Européenne une remise en cause d'un de ces principes
4 Le bilan moderne est un mensonge ! Il omet les actifs les plus importants…”. Par ces mots provocateurs, P.
Kotler (Les clés du marketing, Village Mondial, 2003) s'insurge contre l'absence ou la faible prise en compte des
actifs immatériels dans les comptes des entreprises. Pour lui, ne pas faire apparaître la valeur de la marque Coca
Cola à l'actif, alors qu'elle vaudrait de l'ordre de 70 milliards de dollars, ou la valeur de son personnel, de son
réseau de partenaires de par le monde,…serait une aberration.
5 Ainsi, aucune juridiction nationale en Europe n'impose l'enregistrement au bilan des instruments
financiers dérivés. De même, l'application du principe de prudence qui impose par exemple la prise en
compte des pertes latentes mais reporte celle des gains à la réalisation effective des transactions les
générant, nuit à la validité de l'information comptable produite.
12
L'évolution la plus significative, et la plus discutée, apportée par les mesures
coût historique, imposé pour l'évaluation des actifs et passifs avec les conventions
Cette décision signifie qu'une orientation nouvelle a été prise. En effet l'IASC
a défini la juste valeur comme « le montant pour lequel un actif peut être échangé ou
un passif émis entre deux parties volontaires et bien informées dans le cadre d'une
transaction à intérêts contradictoires ». Cette « juste valeur » est donc une valeur
d'échange qui n'implique pas nécessairement l'existence d'un marché pour l'élément
concerné, ce qui la rend de portée générale. Elle n'impose pas une méthode unique
conforme à celui-ci. Ainsi, lors de l'entrée d'un actif dans l'entité, la juste valeur
l'échange accepté par les parties. Pour les évaluations ultérieures, l'objectif sera de
être retenues (par exemple pour un actif détenu à des fins de transaction, le prix du
pour favoriser la présentation des comptes aux autorités de contrôle que la prise de
décision des investisseurs. Ainsi, elles s'avèrent inadaptées pour faire face, par
13
exemple, aux risques encourus par l'utilisation croissante d'instruments financiers
de plus en plus complexes alors que les marchés subissent une forte volatilité. Elles
ont de même révélé leurs limites lors des graves défaillances d'institutions
pas permis de révéler à temps leurs situations critiques sur des produits dérivés qui
même utiliser de façon opportuniste les cessions d'actifs recelant des plus ou moins-
values latentes.
valeur est censé apporter de « meilleures » solutions pour accorder plus de crédit
aux évaluations des actifs et des capitaux propres. Dans les normes IAS, il concerne
d'interrogations et tardent à être adoptées par l'UE. La norme IAS 39, qui prescrit
la juste valeur6 tout au long de leur détention, est très critiquée par la communauté
6 Avec cette norme, dont l'application en Europe a été repoussée, certains actifs sont comptabilisés à la juste
valeur, d'autres au coût historique. Par exemple, les actifs détenus à des fins de transaction, les actifs disponibles
à la vente (titres de placement, titres de l'activité de portefeuille,…) et les produits dérivés sont évalués à leur
juste valeur (actuellement, les produits dérivés n'apparaissent pas au bilan pour les entreprises européennes alors
qu'ils représentent des montants considérables pour certaines). En revanche, les prêts et créances émis, les
passifs financiers doivent être évalués au coût amorti.
14
financière7, d'autant plus que l'IASB souhaiterait l'étendre dans le cadre de
l'application du concept de full fair value (juste valeur généralisée à tous les niveaux
du bilan). Ce dernier, qui est pour l'instant mis en sommeil, étendrait l'usage de
l'évaluation à la juste valeur à tous les actifs et passifs financiers, quelle que soit
l'intention de leur détention, afin d'améliorer les suivis de l'exposition aux risques
interentreprises.
dans les états financiers l'incertitude affectant les prévisions de flux financiers et les
opportunités d'investissement.
valeur, n'est pas aisée. À défaut de prix de marché observé, l'évaluation à la juste
valeur sera déterminée soit par la valeur d'échange sur laquelle s'accorderaient deux
parties indépendantes, soit par le prix de marché d'un élément aux caractéristiques
proches, soit encore par le calcul de la valeur actuelle nette des flux futurs générés.
15
Ainsi, l'application, pourtant limitée à ce jour, du principe de juste valeur crée une
inquiétude certaine auprès des praticiens qui redoutent autant les difficultés
techniques et les coûts qu'ils auront à surmonter qu'ils contestent son intérêt réel. La
fronde des banquiers européens en 2003 face aux normes IAS 32 et IAS 39, qui
concernent les instruments financiers9, fait craindre des oppositions voire des
ce brutal changement. Non pas que les banquiers, comme les assureurs d'ailleurs,
valeur10. Leur argument est que ce concept de juste valeur, qui induit l'existence
d'une valeur de marché, est en fait théorique puisque aucun marché n'est réellement
risque, liquidité, etc.). Il n'est donc pas d'un grand soutien à la comptabilité dont
l'objet est aussi de réduire l'asymétrie d'information entre les agents sur les marchés.
l'IASB est inconfortable car les incidences de ses propositions ne sont pas totalement
d'obtention, une volatilité accrue des données comptables et des difficultés pour
évaluer et comparer les actifs non négociés sur des marchés efficients. Le nouveau
permet à ce jour de montrer une supériorité du modèle conçu sur la juste valeur par
bourse.
16
Avantages recherchés Limites – Difficultés – Craintes
Pour le normalisateur
Accélération de l'harmonisation Coexistence des normes nationales
des normes internationales, pour les comptes individuels et des
début de standardisation des normes internationales pour les
comptes consolidés. comptes consolidés, d'où un volume
plus important d'informations à traiter.
Amélioration de l'objectivité, de
la neutralité, de la transparence, Divergences entre le PCG et les normes
de la pertinence et de la fiabilité IFRS pour les immobilisations
des informations comptables, (amortissements, crédit bail,…)
donc de leur crédit. entraînant un double suivi.
17
Pour l'investisseur et l'analyste financier
Meilleure appréhension de la Manque de recul et d'études sur les
réalité de l'entreprise en tentant avantages réels et les conséquences du
de rapprocher sa valeur principe de juste valeur, surtout sur le
« bilantielle » et sa valeur de long terme.
marché.
Perception difficile de la signification
Approche plus économique de économique des gains et pertes latents,
la performance et de la valeur du suivi dans le temps des actifs et
de l'entreprise (résultat par passifs, de la rentabilité opérationnelle
destination, analyse sectorielle incluant des éléments exceptionnels.
et géographique, réévaluation
des postes du bilan,…). Ambiguïté de la performance de
l'entreprise mesurée à partir d'une
Informations financières plus variation entre deux exercices du
riches et plus nuancées, résultat en juste valeur.
prévisions facilitées.
Changement des habitudes des
Comparaison des entreprises professionnels et complexité de la mise
plus aisée y compris à en œuvre.
l'international.
Pour l'entreprise
Pilotage de court terme de Coûts élevés de l'obtention des
l'entreprise plus aisé. informations en juste valeur et de la
formation des professionnels.
Discipline imposée aux
dirigeants en matière Interprétation difficile de la
d'opportunisme relatif aux plus signification économique des gains et
ou moins-values latentes et de pertes latents.
création de valeur partenariale.
Plus grande part laissée à
Application aisée pour des l'interprétation par les dirigeants ou les
actifs dont les valeurs sont auditeurs dans l'évaluation.
observables sur des marchés
liquides. L'objectif d'un dirigeant n'est pas
seulement d'accroître à court terme la
Analyse simplifiée des comptes valeur de marché de son entreprise.
des concurrents.
18
III- Le reporting : l’information sectorielle selon la norme IAS 14
financière sectorielle. Plus précisément, elle vise à décomposer les grands groupes en
Cette norme doit s’appliquer aux entreprises cotées sur un marché organisé, ainsi
qu’à celles dont les titres de capitaux propres ou d’emprunt sont en cours d’émission
sur un marché public de valeurs mobilières. Une entreprise peut également décider
14. Dans ce cas, elle devra bien évidemment se conformer à toutes les dispositions de
la norme.
Définitions
La mise en oeuvre de la norme IAS 14 nécessite auparavant de préciser certaines notions. Ces
notions, définies par le référentiel international IAS / IFRS, sont celles de secteur d’activité et
de secteur géographique. Un secteur d’activité est une composante qui, au sein d’une
entreprise, est engagée dans la fourniture d’un produit ou service unique ou d’un groupe de
produits ou services liés, et qui est exposée à des risques et à une rentabilité différents
des risques et de la rentabilité des autres secteurs d’activité. Les facteurs qui doivent
19
être pris en compte pour déterminer si les produits ou services sont liés sont
le type ou la catégorie de clients auxquels sont destinés les produits ou services, les
méthodes utilisées pour distribuer les produits ou fournir les services. Quant au
une rentabilité différents des risques et de la rentabilité des autres secteurs d’activité
contexte économique et politique, les relations entre les activités dans les différentes
zones géographiques, la proximité des activités, les risques spécifiques associés aux
Selon la norme IAS 14, les risques et la rentabilité d’une entreprise sont donc
La norme IAS 14 a pour objectif de fournir une meilleure vision des résultats
des entreprises, de leurs risques et de leurs potentiels. Elle vise à décomposer les
doivent donner lieu à des informations dans les notes annexes ; ils constituent alors
nature, caractérisés par des risques et des niveaux de rentabilité distincts de ceux des
20
la nature des produits et services,
le type de clientèle,
les risques particuliers associés aux activités dans une zone donnée,
son caractère primaire ou secondaire. Les segments primaires sont tous, soit des
secteurs d'activité, soit des zones géographiques. De même, les segments secondaires
sont tous, soit des secteurs d'activité, soit des zones géographiques. Lorsque
l'entreprise se caractérise par des risques et potentiels plutôt associés aux secteurs
caractérise par des risques et potentiels plutôt associés aux zones géographiques,
primaires repose sur le reporting interne établi pour les besoins du management ou
21
lorsque le reporting interne relève d'une approche matricielle - les risques et
les niveaux de rentabilité sont alors fortement différenciés tant par zone
lorsque le reporting est effectué par entité juridique. Il est alors nécessaire de
mettre en place une communication externe par secteur d'activité et par zone
résultent :
soit de l'implantation des actifs, c'est-à-dire des zones de production des biens
et services,
ventes.
fournir pour ces secteurs, et surtout quelles sont les conséquences sur la politique
générale de l’entreprise ?
capitaux investis, ou encore la rentabilité économique. Mais, dans le même temps, les
ressources ont été affectées par secteurs d’activité et secteurs géographiques, avec en
dans la nature de l’information fournie qui risquent fort d’avoir des conséquences
22
sur les orientations stratégiques futures. Ainsi, une firme comptant plusieurs secteurs
question, c’est l’équilibre général de son portefeuille d’activités qui paraît être remis
Après les scandales financiers du début des années 2000 en Europe et aux
des investisseurs. Ce vaste mouvement s’est traduit par l’adoption d’un ensemble de
confiance des investisseurs sur les marchés boursiers, mise à mal ces cinq dernières
années par des scandales à répétition et par l’explosion de la dette des entreprises.
plus stratégiques, beaucoup plus tournées vers l’investisseur que vers le prêteur ou
d’une part sur la juste valeur et d’autre part sur le coût historique, au routage
23
analytique différentié des écritures comptables…etc. » 11
ensemble avec la fonction comptable devront élaborer les « business plans » et les
impairment » (dépréciation) sur les différents actifs, y inclus les créances, élaborer
des bilans, comptes de résultats, états de variation des capitaux propres et des flux
de trésorerie, suivant une fréquence trimestrielle voir mensuelle pour ne citer que
Il est clair que le passage aux IFRS nécessite d’autres compétences pour toute la
par ligne de métier sur une base plus détaillée, produire les états de flux de
sur une comptabilisation basée sur le principe de la valeur actuelle des flux futurs
pour ses emprunts bancaires et obligataires et ses opérations de crédit bail et de prêt
justifier et d’expliquer tous les mouvements intervenus dans les capitaux propres et
11
Bernard Lhoest. http://www.iasb.org
24
l’entreprise. La densité du projet et le niveau de technicité qu’il requiert semblent
plusieurs années. Ils savent appréhender les différentes interprétations et définir les
Les principales évolutions engendrées par IFRS touchent aux exigences de reporting
telle. Basée sur la juste valeur (valeur à un instant T de la société sur le marché
financier), la logique d'IFRS est bien différente de celle mise en oeuvre jusqu'ici en
12
Bernard Lhoest. http://www.iasb.org
25
Voici les principales normes traitant le reporting
26
Conclusion
l’on a expliqué dans ce rapport, pour harmoniser les principes et les règles
sociétés. Aux dire de ces sociétés, le reporting opéré selon les dites normes n’apporte pas
une grande valeur ajoutée. Ceci pour plusieurs raisons à savoir que les normes IAS/IFRS
conviennent uniquement pour les grandes sociétés qui exercent des activités diversifiées,
que les comptes annuels établis selon les normes IAS/IFRS ne sont compréhensibles que
pour un utilisateur averti , que l’application des normes IAS/IFRS donne lieu à des
résultats volatils qui sont difficilement comparables dans le temps , que l’application des
normes IAS/IFRS peut entraîner des distorsions de concurrence vis-à-vis des sociétés non
cotées, compte tenu des informations à fournir et enfin que la primauté du principe de la
27
bibliographie & webographie
Bibliographie:
Economica, 2001.
Webographie:
http://www.aef.asso.fr
http://www.iasb.org
http://www.efrag.org
http://www.finances.gouv.fr/CNCompta
http//:www.focusifrs.fr
28