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1. meaning
Heroes under the waves c’est dans un sens le constat d’une génération.
Les modèles qui performent lors des photoshoot et videoshoot sont
exclusivement des jeunes qui ont entre 18 et 25 ans. Nous tenons, au
maximum, à collaborer avec des personnes qui ne soient ni acteur, comé-
dien ou encore mannequin. Nous cherchons à ce que les gens se décou-
vrent, se confrontent à eux même en dépassant l'objectif photographique
pour vivre pleinement leur expérience.
Parmi nos modèles nous avons des amis proches, des inconnus… L’idée
est qu’à partir de ce que nous connaissons du modèle, ou de notre ressen-
tit face à lui, nous créons un univers dans lequel nous le laisserons évoluer
en toute liberté. Il y a, entre cette personne et nous comme un pacte de
confiance. En effet le modèle est libre de commencer et d’arrêter quand
bon lui semble, tout comme de notre côté il accepte les contraintes que
nous lui imposons souvent à la dernière minute comme par exemple le
lieu qu’il n’a jamais vu au par avant. Les contraintes peuvent être de l’ordre
du maquillage (à base de vaseline ou de glycérine) ou du costume, ou
alors de devoir cohabiter avec un objet et devoir s’en servir, se créer une
histoire avec tout cela, être quelqu’un d’autre et ainsi se surpasser.
Lorsque nous arrivons sur le shooting nous annonçons une intention au
modèle; à lui ensuite d'évoluer dans l'espace qui est le sien, de la manière
qui lui convient autour de cette intention. Le modèle est alors libre de tout,
et nous capturons ces moments.
Le thème.
La post production.
Ce sont nos corps que se propose de ranimer le nouveau lieu d’une décoration intérieure selon un mode minimal, ironique
parisien, appartement et galerie, nommé sans ironie, le cube et réactif. Ainsi, les sculptures métalliques, structures vert
orange. Soit, un appartement avec son canapé, sa télévision, pomme de Renaud Layrac, membre du fameux groupe BP dont
sa cuisine (un cube orange qui donne le nom au lieu), ses Jean-Stéphane Jund montre pour la première des œuvres
chambres et ses hautes fenêtres ouvertes sur la Place des personnelles, épousent-elles une étagère ou scindent en
Vosges comme beau cadre de circulations, de rencontres et de l’épousant le canapé des visiteurs. Le « flipper fantomatique »
dîners organisés. Et galerie comme lieu de découvertes, réunis- de Philippe Touriol détourne l’objet de distraction par son énig-
sant, à l’initiative de Jean Stéphane Jund, pour cette première matique ligne blanche de néon, allusion à Dan Flavin comme
édition, une suite importante de peintures, dessins et sculpture au ready-made, comme ses peintures opèrent une suave
de Philippe Tourriol, des tableaux-collages de Xavier Theunis, distraction de l’art abstrait. Les peintures de Xavier Theunis
des installations de Renaud Layrac, des sculptures de Frédéric évoquent l’obsession décorative et le dessin d’architecture tout
Platéus et des vidéos du duo Pierre Larose et Florent Darthout.. en les maintenant à forte distance par l’humour et une sorte de
Les artistes, conscients de ce cadre mixte, ont inventé une placidité plastique.Les sculptures de Frédéric Platéus, affichent,
scénographie entre art, design et espace de vie, esquissé un elles aussi, ambiguïté et mutation d’objets domestiques et
drôle de compromis puisque « meublant » pour ainsi dire, en étrangers, son « Ajax revisited » prenant forme d’un drone
hôtes particuliers, cet appartement qui ressemble fort peu à égaré ou d’une table profilée alors que son miroir éclaté en
une galerie. Ici, il n’est pas question de confrontation, obser- vitrail de couleur altère son pouvoir réfléchissant. Enfin, un peu
vée dans des appartements de collectionneurs où les œuvres à part, mais diffusées ironiquement sur les murs d’une pièce de
signifient une rupture radicale avec l’architecture patrimoniale. bibliothèque, les vidéos de Pierre Larose et Florent Darthout
Mais plutôt d’un cadre de mimétisme pour ce groupe d’amis intronisent les remakes de l’exotisme et la chevauchée de héros
artistes qui ont en commun une réflexion sur l’objet et sur les travestis presque comiques dans une sorte de vidéothèque à
statuts ambiguë de l’œuvre d’art. Aussi, la fonction décorative, domicile. « Histoires de votre vie » dit le catalogue Ikéa 2011,
d’ordinaire si honnie, affleure. Elle s’exprime d’abord par la (qui pourrait bien être posé sur une table basse de cet apparte-
qualité de leurs œuvres, leur finition, leurs matériaux requis ment,) vantant, comme le font les artistes du cube orange, des
d’ordinaire aux objets, au mobilier ou à la construction, tels « objets esthétiques et fonctionnels »…
l’aluminium peint, les adhésifs vernis, l’aluminium thermola-
qué, la fibre de carbone époxy, plexiglass, miroir, peinture de
carroserie ou encore l’inox. Mais elles jouent aussi du déni Laurent Boudier, Paris, janvier 2011
Dans le cadre de l’exposition au Mexique, passage dans l’emission Dans le cadre du vernissage à la Pristine Galerie au
IMAGINARTE de la chaine nationale TELE NUEVO LEON. Mexique, interview lors du vernissage pour chaine de
tv GANTV
http://www.colettecalli.com/
Heroes.
contact@pierreetflorent.com
www.pierreetflorent.com
http://pierreetflorent.tumblr.com/
http://twitter.com/PierreetFlorent
Le modèle.
Heroes under the waves c’est dans un sens le constat d’une génération.
Les modèles qui performent lors des photoshoot et videoshoot sont
exclusivement des jeunes qui ont entre 18 et 25 ans. Nous tenons, au
maximum, à collaborer avec des personnes qui ne soient ni acteur, comé-
dien ou encore mannequin. Nous cherchons à ce que les gens se décou-
vrent, se confrontent à eux même en dépassant l'objectif photographique
pour vivre pleinement leur expérience.
Parmi nos modèles nous avons des amis proches, des inconnus… L’idée
est qu’à partir de ce que nous connaissons du modèle, ou de notre ressen-
tit face à lui, nous créons un univers dans lequel nous le laisserons évoluer
en toute liberté. Il y a, entre cette personne et nous comme un pacte de
confiance. En effet le modèle est libre de commencer et d’arrêter quand
bon lui semble, tout comme de notre côté il accepte les contraintes que
nous lui imposons souvent à la dernière minute comme par exemple le
lieu qu’il n’a jamais vu au par avant. Les contraintes peuvent être de l’ordre
du maquillage (à base de vaseline ou de glycérine) ou du costume, ou
alors de devoir cohabiter avec un objet et devoir s’en servir, se créer une
histoire avec tout cela, être quelqu’un d’autre et ainsi se surpasser.
Lorsque nous arrivons sur le shooting nous annonçons une intention au
modèle; à lui ensuite d'évoluer dans l'espace qui est le sien, de la manière
qui lui convient autour de cette intention. Le modèle est alors libre de tout,
et nous capturons ces moments.
Le thème.
Heroes under the waves c’est dans un sens le constat d’une génération.
Les modèles qui performent lors des photoshoot et videoshoot sont
exclusivement des jeunes qui ont entre 18 et 25 ans. Nous tenons, au
maximum, à collaborer avec des personnes qui ne soient ni acteur, comé-
dien ou encore mannequin. Nous cherchons à ce que les gens se décou-
vrent, se confrontent à eux même en dépassant l'objectif photographique
pour vivre pleinement leur expérience.
Parmi nos modèles nous avons des amis proches, des inconnus… L’idée
est qu’à partir de ce que nous connaissons du modèle, ou de notre ressen-
tit face à lui, nous créons un univers dans lequel nous le laisserons évoluer
en toute liberté. Il y a, entre cette personne et nous comme un pacte de
confiance. En effet le modèle est libre de commencer et d’arrêter quand
bon lui semble, tout comme de notre côté il accepte les contraintes que
nous lui imposons souvent à la dernière minute comme par exemple le
lieu qu’il n’a jamais vu au par avant. Les contraintes peuvent être de l’ordre
du maquillage (à base de vaseline ou de glycérine) ou du costume, ou
alors de devoir cohabiter avec un objet et devoir s’en servir, se créer une
histoire avec tout cela, être quelqu’un d’autre et ainsi se surpasser.
Lorsque nous arrivons sur le shooting nous annonçons une intention au
modèle; à lui ensuite d'évoluer dans l'espace qui est le sien, de la manière
qui lui convient autour de cette intention. Le modèle est alors libre de tout,
et nous capturons ces moments.
Le thème.