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CLIENTS

VTB Bank (France)

« Avec BusinessObjects Data Integrator, l’originalité est d’avoir banalisé


les applications en amont et d’offrir strictement la même lecture des
données pour tous les utilisateurs. Notre architecture semble peu
commune pour une structure PME telle que la nôtre. Mais elle est adaptable à n’importe
quel environnement. De plus, elle répondait à nos capacités d’investissement. Elle nous a
permis d’adapter la gouvernance de notre Système d’Information à notre gouvernance
d’entreprise. Le décisionnel prend sa place et les contraintes règlementaires sont respectées,
tout en étant aligné avec la démarche préconisée par la Banque de France dans le domaine
des données bancaires : Disponibilité – Intégrité – Confidentialité - Preuve. »
Philippe Le Dunff, Directeur Informatique et Logistique, VTB Bank (France) SA.

VTB Bank (France), précédemment BCEN-EUROBANK, est une banque


d’affaires française à capitaux russes. Son principal actionnaire est VTB
Industrie

Moscou, avec 87,04% du capital. Cet établissement de droit français est


Services financiers

placé sous le contrôle des autorités de tutelle françaises : la Commission


bancaire et la Banque de France. VTB Bank (France) allie la maîtrise des
Problématique

pratiques bancaires occidentales et russes, de même que la connaissance des


Evoluer vers une gestion plus
stratégique et globale
environnements de la CEI, notamment la Russie. Elle contribue au
développement des flux commerciaux et financiers avec la CEI et les autres
Intégrer les nouvelles
contraintes réglementaires

pays occidentaux. A la suite d’un audit conduit par la Banque de France, cet
établissement bancaire au profil PME, a su mettre en place une architecture
Pourquoi

décisionnelle à la fois robuste et parfaitement adaptée aux exigences de ses


Business Objects ?

autorités de tutelle. BusinessObjects XI Release 2, BusinessObjects Data


Un seul modèle de données

Integrator et Crystal Reports en sont les piliers.


partagé dans toute
l’entreprise
Respect des contraintes
réglementaires
Des sources de données hétérogènes
La caractéristique principale de l’architecture informatique à la VTB Bank
Augmentation de la
productivité
(France) est l’hétérogénéité de ses sources amont avec, comme applicatifs
principaux, le progiciel métier IBIS S2 de Financial Objects, Kondor + de
Business Objects

Reuters, l’applicatif NPA (Nouvelle présentation d’affaires servant de


produits et services

support aux décisions du Comité de Crédit) redéployé par VIVEO pour


BusinessObjects XI

notamment les calculs de rentabilité. Cette multiplicité des applicatifs amont


Release 2 :

se retrouvait au niveau des outils de reporting réglementaires ou métiers,


Un data warehouse central

chaque système applicatif ayant son propre outil : Crystal Reports


avec un référentiel de
données unique
embarqué dans IBIS S2 de Financial Objects, mais également des outils
propriétaires sur Kondor + et NPA, avec des extractions SQL, des fichiers
BusinessObjects
Data Integrator pour

Excel et beaucoup de retraitement manuel.


l’intégration des données
et des datamarts dédiés
Crystal Reports et Face aux nouvelles contraintes en matière de reporting règlementaire, il
Web Intelligence
devenait de plus en plus difficile d’intégrer de nouveaux applicatifs de type
150 utilisateurs à terme
Bâle II, ALM (pour les risques de taux) de la société Almonde, voire
d’intégrer un module additionnel d’édition d’états réglementaires ou de
type IAS et IFRS.
« Pour appliquer les « Best Practices » contenues dans le « Livre Blanc » de la
Commission Bancaire, il devenait aussi urgent d’intégrer ces nouveaux applicatifs,
que de pouvoir adapter notre gouvernance de système d’information à la
gouvernance d’entreprise en respectant les quatre critères fondamentaux de
Disponibilité, Intégrité, Confidentialité et Preuve applicables aux données »,
résume Philippe Le Dunff.

L’approche data warehouse avec


BusinessObjects Data Integrator
VTB Bank (France) a entrepris la construction d’une nouvelle architecture
décisionnelle. Pour ce faire, elle a choisi la plate-forme BusinessObjects XI
Release 2 placée dans un environnement MS Analysis Services de Microsoft
et DB2 d’IBM. La première étape fut de « banaliser » toutes ces sources de
données amont, en mettant en place un data warehouse central, référentiel
unique de l’entreprise avec un dictionnaire de données, pour une définition
partagée entre tous les applicatifs. Data Integrator contribue directement à
la mise en œuvre de cette démarche en facilitant l’intégration des données,
les transformations complexes et les contrôles.
« Notre préoccupation principale était de construire un référentiel bancaire
unique sur lequel reposerait l’intégralité de nos reportings tant métiers que
réglementaires », précise Philippe Le Dunff.
Data Integrator assure tous les flux vers le data warehouse central et vers
les datamarts. Dédiés métiers ou orientés réglementation, c’est dans ces
datamarts que s’opèrent les calculs, les transformations, les analyses de
données. Le développement des datamarts se fait de manière progressive.
Les premiers opérationnels sont ceux de Bâle II (Almonde), ALM (Risques
de Taux) et Contrôle de gestion. Ceux des IAS/ IFRS et la reprise
automatisée des risques de marchés sont en cours de construction.
Toutes les restitutions se font via Crystal Reports, ou Web Intelligence pour
le contrôle de gestion. La diffusion du reporting et les rafraîchissements se
font automatiquement et en mode push. Les utilisateurs disposent des
rapports sous la forme qu’ils désirent : en format Excel, PDF et dans leur
présentation préférée. « Avant, modifier un état pouvait prendre plusieurs jours
avec y compris les risques d’erreurs liés aux traitements manuels ; aujourd’hui, il
peut suffire de deux heures pour mettre un état modifié à la disposition de
l’utilisateur. La rentabilité n’est en rien comparable », souligne Philippe Le
Dunff.

Disponibilité, Intégrité, Confidentialité et Preuve


Le dictionnaire des données, référentiel unique de l’entreprise, fournit une
définition partagée entre tous les applicatifs. Tous les utilisateurs ont la
même lecture de chaque donnée existant dans le Système d’Information.
Les données sont disponibles à tout moment et de manière totalement
sécurisée. En effet, les alimentations se font à des périodicités et des
fréquences définies en fonction des besoins des utilisateurs. Elles peuvent
être systématiques, comme la production d’états réglementaires mensuels,
ou ponctuels comme la production d’états de contrôles à J-1. par exemple.
« Dans le cadre des états de contrôles sur les opérations de transfert, nous éditons
des états de suivis de tous les mouvements supérieurs à 7 600 euros, tant en
fractionné qu’en consolidé. Par ailleurs les utilisateurs du Contrôle de Gestion
peuvent aussi élaborer des états de simulation ponctuels à valeur J-1 », illustre
Philippe Le Dunff.
Aucun calcul, aucune modification de donnée, aucune intégration ne peut
se faire au niveau du data warehouse. Objectif ? Garantir l’intégrité des
données : lorsqu’un effet reste impayé, au bout de 90 jours, il passe en
« douteux » et est automatiquement provisionné. Dès lors, il est impossible
de modifier les informations relatives à cette situation. Lors des rares
interventions sur les données, pour des simulations par exemple par le biais
de masques de saisie spécifiques, le système fournit toute la traçabilité
nécessaire : qui a transformé telle donnée ?, selon quelle règle ?, dans quel
objectif ?, à quelle étape ? Ainsi, pour tous les éléments constituant les
dossiers de crédits en cours, dont certains utilisateurs demandent des
extractions sous forme d’états spécifiques, les informaticiens du secteur
maintenance disposent d’états de contrôle à trois niveaux : une valorisation
des données présentes sur IBIS, une seconde au niveau du data warehouse ;
la troisième enfin au niveau du datamart concerné. La « piste d’audit » mise
ainsi en place permet de connaître l’état de chaque valeur, à chacune de ses
étapes. Tout delta est donc rapidement identifié et corrigé. Toujours dans un
esprit de traçabilité et de « piste d’audit », tous les états produits sont
conservés sur le serveur de reporting.

Rassurants et rigoureux, les Global Services


ont validé la faisabilité
La coopération avec les équipes Business Objects s’est développée en
plusieurs étapes. « Après un premier contact pris pour valider les niveaux de
versions existants sur Crystal Reports, je leur ai fait part de mon souhait de mettre
en place un data warehouse et des datamarts spécifiques à l’aide d’une solution ETL
suffisamment répandue sur le marché pour être facilement accessible à nos
développeurs. Ils nous ont alors présenté Data Integrator, puis nous avons réalisé
une étude de faisabilité. Bien que cette architecture soit peu commune pour des
structures telles que la nôtre, c’est elle qui répondait le mieux à nos attentes et nos
possibilités d’investissement. Business Objects a confirmé le bien fondé de nos
choix ». Tout au long du projet, trois experts Global Services de Business
Objects ont accompagné VTB Bank (France). Celle-ci a assuré la Direction de
projet avec un comité de pilotage rassemblant tous les éditeurs impactés,
dont Financial Objects et Business Objects. L’éditeur a également assuré la
formation de l’équipe informatique à Data Integrator et Crystal Reports
« J’ai également commencé à faire former les utilisateurs qui travaillent sous
Crystal Reports. Ils peuvent désormais produire leurs propres états, sans être
informaticiens pour autant » apprécie Philippe Le Dunff. « Nous avons apprécié
chez Business Objects la grande rigueur de gestion. Les équipes ont un mode de
fonctionnement très clair. Chaque phase du projet fait l’objet d’une pré-étude, d’un
devis séparé, d’un contrôle rigoureux des consommations de ressources. C’est très
important pour une petite structure comme la nôtre ».

Vers un vrai pilotage


A terme, la plupart des utilisateurs auront accès aux différents datamarts
selon leurs besoins. Philippe Le Dunff envisage déjà de mettre en place
BusinessObjects Dashboard Manager pour un pilotage serré des principaux
indicateurs de performance de la banque… Un audit récent du système
d’information effectué par un des plus importants cabinets experts a
souligné la pertinence et l’efficacité de la nouvelle architecture décisionnelle.
A propos de VTB Bank (France)
Banque française à capitaux russes, VTB Bank (France) SA est un
établissement de droit français placé sous contrôle des autorités de tutelle
françaises, la Commission Bancaire et la Banque de France. Depuis sa
création en 1921, la BCEN-EUROBANK devenue VTB Bank France allie la
maîtrise des pratiques bancaires occidentales et la connaissance de
l'environnement de la CEI et plus spécialement de la Russie.
Suite à la décision prise par le Conseil National Bancaire Russe, par le
Gouvernement de Russie, et avec l’accord de la Commission bancaire, les
actions de la BCEN-EUROBANK détenues précédemment par la Banque
Centrale de Russie ont été acquises par Vneshtorgbank Moscou aujourd’hui
VTB (deuxième banque d’Etat Russe). Cette acquisition a eu lieu le 28
décembre 2005. Depuis cette date, VTB Moscou est l’actionnaire principal de
BCEN-EUROBANK, devenue VTB Bank (France) avec une part du capital
de 87,04 %.
Ses atouts, tant en France qu'en Russie, lui permettent de concrétiser avec
les entrepreneurs et les investisseurs russes et occidentaux un partenariat
unique, exhaustif et fiable, dans le développement des flux commerciaux et
financiers avec la CEI et les autres pays occidentaux.

Imprimé en France - Décembre 2006

www.businessobjects.com
www.france.businessobjects.com

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