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Réseaux

Réseaux et
et Télécommunications
Télécommunications

Diaporama séance 01

Introduction
Les
Les réseaux
réseaux informatiques
informatiques
RÉSEAUX:
RÉSEAUX: Quelques
Quelques définitions...
définitions...

• INFORMATIQUE :
– Ensemble de moyens et de techniques de transmission
utilisés pour permettre la mise en commun de
ressources.

3
Qu
Qu ’est-ce
’est-ce qu
qu ’un
’un réseau
réseau ??

• Il est conçu pour permettre la circulation…


– Des véhicules : Le réseau routier
– Des trains : le réseau ferré
– De l’électricité : le réseau électrique
– De la voix : le réseau téléphonique

… Et des données :

Le réseau informatique

4
Exemples
Exemples de
de réseaux
réseaux informatiques
informatiques

Réseau local

INTERNET Réseau local


PLANETAIRE

Réseau étendu

Réseau local
Réseau
téléphonique

Réseau local

Réseau
métropolitain

5
Exemple
Exemple réel
réel :: Renater
Renater
REseau
REseau NATional
NATional pour
pour ll ’Enseignement
’Enseignement et
et la
la Recherche
Recherche

NorOpale
Lille

Pir2
VikmanCaen Syrhano Champaitre
Compiègne
Russie
Rouen
Metz
Reims Strasbourg
Paris Lothaire
Nancy
Bretagne Rennes RERIF Osiris
OR PaysNantes
de Orléans
Dijon
Clonys
Loire RenaCentre Europe
Besançon

Etats Unis EBelin


RNI
Poitiers

Poitou-Charentes
Limoges Clermont-
Ferrand Lyon
Aramis
Bordeaux Grenoble
Cratère
AQUAREL
Nice / Sophia
3RLR R3T2
REMIP Montpellier
Toulouse . Marseille

OCTARES
La Réunion, Antilles, Guyane
Retecor

Pays méditerranéens

6
De
De la
la diversité
diversité des
des informations
informations à
à
échanger
échanger !!
INFORMATIONS

NUMÉRIQUE ALPHA NUM. GRAPHIQUE SONORE AUTRES

standard étendu voix musique

entier Exponentiel dessin image 3D analogique numérique

fixe animée

fixe animée

Et de la variété des contraintes qui s ’y rapportent !


7
La
La transfert
transfert des
des informations
informations ::
Les
Les problèmes
problèmes généraux
généraux

• Réduire les débits binaires


– Comprimer sans pertes (ex : Méthode Huffmann)
– Compressions avec pertes (Méthodes JPEG,MPEG)

• Assurer la fiabilité :
– Codes de détection d ’erreurs (ex : Parité, CRC)
– Codes de correction (ex : FRCS, code de Hamming)

• Préserver la sécurité :
– Algorithmes de chiffrement
– Méthodes d’authentification

8
Les
Les différents
différents »MONDES
»MONDES »
» réseaux
réseaux ...
...

• TÉLÉPHONE

• TÉLÉINFORMATIQUE

• TÉLÉMATIQUE

• RADIO & TÉLÉVISION

9
Le
Le téléphone
téléphone

• Parole
– Non fiable
– Connecté

• Commutation de circuits

• Analogique

10
La
La téléinformatique
téléinformatique

• Données
– Fiabilité
– Intégrité
– Confidentialité
– Connecté

• Commutation de paquets

• Numérique

11
La
La télématique
télématique

• Téléinformatique grand public

• Application communiquantes
– Interface graphique
– Normalisées
– Client/serveur

• Grand développement :
– Minitel en France
– Internet planétaire

12
L
L ’Internet
’Internet

• Réseau de réseaux

• Connectivité universelle

• Services de haut niveau


– Courrier

– Transfert fichier

– Forums

– WWW

• Applications basées sur ces services

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Radio
Radio // télévision
télévision

• Images et sons
– Non fiable
– Non connecté
– Fort débit

• Mode diffusion
– Évoluant vers l ’interactif

• Analogique
– Évoluant vers le numérique
– Connexion avec l ’informatique

14
Types
Types de
de réseaux
réseaux
• PAN Personal Area Network
Réseau individuel
– Ensemble d ’équipements domestiques interconnectés, au sein d ’un même foyer
• LAN Local Area Network
Réseau Local
– RLE Réseau Local d ’Entreprise
Ensemble d ’équipements informatiques interconnectés, situés sur un même site
géographique
– RLI Réseau Local Industriel
Idem, mais en environnement de production
• MAN Metropolitan Area Network
Réseau Métropolitain (de Campus)
– Ensemble d ’équipements informatiques interconnectés, dispersés sur un territoire
restreint.
• WAN Wide Area Network
Réseau Étendu
– Ensemble d’équipements informatiques interconnectés, couvrant un domaine
étendu, voire planétaire

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PAN
PAN Personal
Personal Area
Area Network
Network

Réseau Privé ou Domestique


• Ensemble d’équipements domestiques et informatiques
localisé dans la même proprièté privée qui communiquent
directement les uns avec les autres

– Ex. : Home PNA …

W-PAN = Wireless PAN, c’est à dire mise en œuvre de


technologies sans fils.

– Ex. : Bluetooth, Home RF…

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LAN
LAN Local
Local Area
Area Network
Network

– Réseau local, réseau local d’entreprise (RLE)


• Ensemble d’équipements informatiques indépendants,
géographiquement rapprochés, et qui communiquent
directement les uns avec les autres.
– Ex. : Ethernet, Token Ring …

– Réseau Local Industriel (RLI)


• Ensemble d ’équipement interconnectés sur des sites de
production et/ou de contrôle de process.
– Ex. : Token Bus,FIP …
W-LAN = Wireless LAN, c ’est à dire mise en œuvre de
technologies sans fils dans un LAN.
– Ex. : Wifi (802.11), HyperLan...

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MAN
MAN Métropolitan
Métropolitan Area
Area Network
Network

– Réseau métropolitain, réseau de proximité, réseau


de campus.
• Ensemble d’équipements informatiques indépendants,
situés dans un rayon de quelques dizaines de kilomètres.
Souvent il s ’agit d ’un réseau de LANs interconnectés
par un lien partagé, souvent fibre optique.

– Exemple : DQDB, FDDI...

18
WAN
WAN Wide
Wide Area
Area Network
Network

– Réseau étendu, réseaux longues distances.


• Ensemble d’équipements informatiques indépendants,
géographiquement éloignés et isolés par le domaine
public

– Exemple : Transpac, RNIS…

W-WAN = Wireless WAN, c ’est à dire mise en œuvre de


technologies sans fils dans les WANs.
– Ex. : GPRS, Iridium...

19
Autres
Autres formes
formes de
de réseaux
réseaux

– Nano-réseaux, Pipelines, Bus, canaux d ’E/S ...


• La plupart des moyens d ’interconnexion de composants
matériels, au sein des équipements de technologie
avancée sont réalisés avec le concours de protocoles
réseaux de types très variés

– Exemple : Automobiles, machines-outils, cartes-mères


ordinateurs, micro-processeurs…

20
Les
Les réseaux
réseaux de
de télécommunications
télécommunications
Réseau sous-marin
Réseau souterrain
Réseau hertzien
Réseau satellite
Réseau aérien Liaison
itinérante

Centre de transit

Commutateur
Répéteur local

Bornes
Radio-Lan Centre de
commutation Centre de transit

Liaison
itinérante
Liaisons
domestiques
Réseau Répéteur
local
21
Critères
Critères de
de Typologie
Typologie des
des Réseaux
Réseaux

Numérique ou Analogique
Connecté ou Non Connecté
Commuté ou Non Commuté
Circuits ou Paquets
Confirmé ou Non Confirmé
Isochrone ou Anisochrone
Bidirectionnel ou Unidirectionnel
Avec contrôle flux ou Sans contrôle flux

22
La hiérarchie des réseaux

Débit

pipelines
1Tbps

1Gbps Bus
Réseaux Réseaux Locaux
Réseaux Métropolitains
Privés
Canaux E/S Réseaux étendus
1Mbps

1Kbps

1cm 1m 10m 100m 1km 10km 100km


10cm
Distance

23
Les
Les Services
Services

• Mode CONNECTÉ
– Modèle : Le téléphone
. Circuit établi entre l ’émetteur et le destinataire qui
doit être présent. Le circuit est libéré en fin de
communication.

• Mode NON CONNECTÉ


– Modèle : La Poste
. Pas de lien direct entre l ’émetteur et le destinataire
. Coordonnées du destinataire (et de l ’émetteur sur
chaque envoi)

24
Comparaisons
Comparaisons entre...
entre...

CONNECTÉ NON CONNECTÉ

C.O.N.S. (Connection Oriented Network Services) C.L.N.S. (Connection Less Network Services)

CIRCUIT (Virtuel) DATAGRAMME

- Etablissement d’une connexion - Pas de connexion


- Paquet de communication sans adresse - Adresses dans chaque datagramme
- Libération de la connexion en fin de - Pas de procédure de libération
session - Datagrammes non séquencés à réception
- Réception de paquets séquencés - Présence destinataire non nécessaire
- Présence destinataire obligatoire - Diffusion aisée
- Diffusion difficile

Norme ISO 8473 pour I.P. (Internet Protocol)


Norme ISO 8205 pour X.25 (paquets)

25
Hiérarchisation
Hiérarchisation par
par niveaux
niveaux
Le
Le concept
concept de
de structuration
structuration par
par
couches
couches

ALLO ... Ici Jacques


Pierre à l'appareil Bonjour Pierre
Comment ça va ? Mieux... merci !

APPLICATION CONVERSATION TRAITEMENT

PRÉSENTATION en FRANÇAIS FORME

SESSION ORDONNÉE SYNCHRONISATION

TRANSPORT par le TÉLÉPHONE de BOUT en BOUT

RÉSEAU AUTOMATIQUE ACHEMINEMENT

LIAISON De NŒUD à NOEUD PAR TRONÇONS

PHYSIQUE En ANALOGIQUE D’un SIGNAL MODULÉ

sur MEDIA DIVERS

Exemple : Une conversation téléphonique ...


27
Hiérarchie
Hiérarchie de
de protocoles
protocoles

HOTE A HOTE B

PROTOCOLE de COUCHE N
COUCHE N COUCHE N

INTERFACE COUCHES N-1/N INTERFACE COUCHES N-1/N

PROTOCOLE de COUCHE N-1


COUCHE N-1 COUCHE N-1

PROTOCOLE de COUCHE 2
COUCHE 2 COUCHE 2

INTERFACE COUCHES 1/2 INTERFACE COUCHES 1/2


PROTOCOLE de COUCHE 1
COUCHE 1 COUCHE 1

MÉDIUM

28
Schéma
Schéma d
d ’une
’une liaison
liaison téléinformatique
téléinformatique

LIAISON de DONNÉES

CIRCUIT de DONNÉES

MÉDIUM de
TRANSMISSION

Source de Source de
Contrôleur Codage Modulation Démodulation Décodage Contrôleur
Données Données

de de

Puits de commu- Puits de


commu-
Décodage Démodulation Modulation Codage nication
nication
Données Données

E.T.T.D. E.T.C.D. E.T.C.D. E.T.T.D.

Jonction Jonction
STATION de DONNÉES STATION de DONNÉES

SYNOPTIQUE d'une LIAISON TÉLÉINFORMATIQUE

ETTD = Equipement Terminal de Traitement de Données ETCD = Equipement terminal de Circuit de Données

29
Réseaux
Réseaux et
et Télécommunications
Télécommunications

Diaporama séance 02

Modèles & Normes


Le
Le modèle
modèle OSI
OSI
Les
Les principaux
principaux organismes
organismes de
de normalisation
normalisation
Réseaux
Réseaux
• I.S.O. International Standards Organisation
- ANSI (USA)
- AFNOR (FRANCE -NF)
- DIN (ALLEMAGNE)
- BSI (ROYAUME UNI)
• U.I.T. Union Internationale pour les Télétransmissions- Ex CCITT
(Comité Consultatif International pour le Téléphone et les
Télécommunications). Attributs :
-T pour les Télécommunications
-R pour les Radiocommunications
Normes de type :
-V Transmissions données réseau téléphonique
-X Transmissions réseaux publics de données
-T Télématique
-I RNIS (Réseau Numérique à Intégration de Services) - ISDN
• I.E.E.E. Institute of Electrical & Electronics Engineers
Association particulièrement active en matière de normalisation de
matériels et de réseaux locaux.
- Normes 802.xx pour les réseaux locaux
32
OSI
OSI ISO
ISO

Open Interconnexion
Systems de Systèmes
Interconnection Ouverts

• MODELE CONCEPTUEL
– 7 Couches
– Protocoles
– Services

33
Le
Le modèle
modèle O.S.I.
O.S.I.
HOTE-A données HOTE-B

A-PCI A-SDU
APPLICATION AH données APPLICATION
A-PDU
P-PCI P-SDU
PRÉSENTATION PH PRÉSENTATION
P-PDU
S-PCI S-SDU
SESSION SH SESSION
S-PDU
T-SDU

TRANSPORT TRANSPORT
TH TH TH
T-PDU T-PDU T-PDU
N-PCI N-SDU N-PCI(2)
RÉSEAU NH NT RÉSEAU
N-PDU
L-PCI L-SDU L-PCI(2)
LIAISON LH LT LIAISON
L-PDU
P-SDU
PHYSIQUE 11111001110- - - bits - - - 0 11 101111 PHYSIQUE

H = Header (Entête) - provient de n-PCI

T = Trailer (Délimiteur de fin) - provient de n-PCI

34
Le
Le modèle
modèle O.S.I.
O.S.I.

IDU

COUCHE N+1
PCI SDU
N-PDU
SAP
INTERFACE vers
couche N
ICI SDU HDR SDU TER
COUCHE N autre
ENTITÉ
PCI

IDU (Interface Data Unit) : Unité de données d’interface


ICI (Interface Control Information) : Information de commande interface
PCI (Protocol Control Information) : Information de contrôle du protocole
SDU (Service Data Unit) : Unité de Données du service
SAP (Service Access Point) : Point d’accès du service
N-PDU (Protocol Data Unit) : Unité de donnée du protocole

35
Glossaire
Glossaire O.S.I.
O.S.I.
COUCHE : Ensemble des moyens permettant à deux
entités communicantes symétriques de
même niveau d’échanger des unités de
données
PROTOCOLE : Règlement des échanges entre entités
symétriques et correspondantes situées
dans une même couche
SERVICE : Ensemble des facilités offertes par une
couche à celle immédiatement supérieure
La prestation d’un service est faite par une
entité
INTERFACE : Point de passage obligé entre deux
couches adjacentes

36
Relations
Relations Service/Protocole
Service/Protocole
Glossaire
Glossaire O.S.I.
O.S.I.
IDU

PCI SDU
N-PDU

ICI SDU HDR SDU TER

PCI

S.A.P.
Service Access Point

Point où un service de niveau N est fourni à une


entité de niveau N+1

38
Glossaire
Glossaire O.S.I.
O.S.I.
IDU

PCI SDU
N-PDU

ICI SDU HDR SDU TER

PCI

S.D.U.
Service Data Unit

Unité de données du service, transférable à travers


le S.A.P. et contenant les données et paramètres
des primitives

39
Glossaire
Glossaire O.S.I.
O.S.I.
IDU

PCI SDU
N-PDU

ICI SDU HDR SDU TER

PCI

I.C.I.
Interface Control Information

Informations de contrôle entre entités voisines


d ’un même système.

Elles ne sont pas transmises sur le réseau

40
Glossaire
Glossaire O.S.I.
O.S.I.
IDU

PCI SDU
N-PDU

ICI SDU HDR SDU TER

PCI

P.C.I.
Protocol Control Information

Informations de contrôle du protocole contenant


les paramètres définissant le service.

C ’est le support du protocole de niveau N

41
Glossaire
Glossaire O.S.I.
O.S.I.
IDU

PCI SDU
N-PDU

ICI SDU HDR SDU TER

PCI

P.D.U.
Protocol Data Unit

Unité de données du protocole contenant :


Les données en provenance de la SDU

Les PCI (Entêtes et remorques)

42
Les
Les différents
différents niveaux
niveaux OSI
OSI
COUCHE
COUCHE »
»00»
» :: Niveau
Niveau MÉDIUM
MÉDIUM
Spécificités liées aux média
TYPES de SUPPORTS :
– Filaires
– Hertziens
– Fibre optiques
TOPOLOGIES et CABLAGE
TYPES de PORTEUSES
- Électrique
– Électro-magnétique
– Lumineuse
INCIDENCES SPÉCIFIQUES
– Vitesse de propagation
– Bruit
– Distorsion

44
COUCHE
COUCHE 1
1 :: Niveau
Niveau PHYSIQUE
PHYSIQUE
GESTION DES CIRCUITS PHYSIQUES
de nœud à nœud
CARACTERISTIQUES DES JONCTIONS :
– Mécaniques
– Électriques
– Fonctionnelles
ETABLISSEMENT/LIBÉRATION du CIRCUIT
TRANSMISSION DES BITS
MATERIELS :
– Modems & Codecs
– Répéteurs
– Connectique de jonction
• MULTIPLEXAGE PHYSIQUE

V90, RS232, X21, RJ45

45
COUCHE
COUCHE 2
2 :: Niveau
Niveau LIAISON
LIAISON

ACHEMINEMENT DE BLOCS D'INFORMATION ENTRE NŒUDS

DELIMITATION des INFORMATIONS TRANSMISES :


– La TRAME
– Fonctions de groupage/dégroupage
ÉTABLISSEMENT/LIBÉRATION LIAISON
FIABILITÉ & INTÉGRITÉ
CONTROLE DE FLUX
MULTIPLEXAGE PHYSIQUE

LAP-B, Ethernet, DQDB...

46
COUCHE
COUCHE 3
3 :: Niveau
Niveau RÉSEAU
RÉSEAU

ACHEMINEMENT DES BLOCS DE BOUT EN BOUT

STRUCTURATION des BLOCS :


– MESSAGES, PAQUETS, CELLULES
– Segmentation/réassemblage
– Encapsulation niveau/niveau
OUVERTURE ET FERMETURE DES CIRCUITS
ADRESSAGE, ROUTAGE
FIABILITÉ & INTÉGRITÉ
CONTROLE DE FLUX
MULTIPLEXAGE de VOIES

X25-3, IP ...

47
COUCHE
COUCHE 4
4 :: Niveau
Niveau TRANSPORT
TRANSPORT

TRANSFERT TRANSPARENT DE BOUT EN BOUT

STRUCTURATION des BLOCS :


– Messages, segments
– Concaténation/séparation
SÉCURISATION TRAFIC
QUALITÉ de SERVICE :
– Débit moyen
– (An)Isochronie
– Fiabilité
CLASSES DE SERVICE :
– 5 classes ISO

48
COUCHE
COUCHE 5
5 :: Niveau
Niveau SESSION
SESSION

ORGANISATION DU DIALOGUE

OUVERTURE & FERMETURE SESSION


– Identification
– Authentification

TOUR DE PAROLE
GESTION DES POINTS DE SYNCHRONISATION
GESTION du MODE D'ECHANGE
– Alternat
– Bidirectionnel simultané

49
COUCHE
COUCHE 6
6 :: Niveau
Niveau PRÉSENTATION
PRÉSENTATION

MISE EN CONFORMITÉ CONTENUS

REPRÉSENTATION de L ’INFORMATION
– Codage
– Structuration

CONTEXTE DE PRESENTATION
– Chiffrement
– Compression

PROTOCOLES D'APPAREILS VIRTUELS

50
COUCHE
COUCHE 7
7 :: Niveau
Niveau APPLICATION
APPLICATION

OFFRE DE SERVICES AUX APPLICATIONS

PROTOCOLES APPLICATIONS COMMUNICANTES


– Courrier (X400)
– Annuaire (X500)
– Transfert fichiers (FTAM)
– Appel de procédures (RPC)
– WWW (HTTP)
. . .
ENSEMBLE DE COMPOSANTS APPLICATIFS
– ASE (Application Service Element)
– API (Application Programming Interface)

51
Les
Les 7
7 couches
couches de
de ll ’OSI
’OSI
Synthèse
Synthèse

7 APPLICATION Sélection de services pour les applications

6 PRÉSENTATION Format de données commun aux applications

5 SESSION Synchronisation dialogue

TRANSPORT Qualité des transferts de bout en bout


4

3 RÉSEAU Acheminement ou routage des blocs

2 LI AI SON Transfert trames de nœud à nœud

1 PHYSIQUE Transmission bit à bit sur médium

52
Qu’est-ce
Qu’est-ce qu’un
qu’un protocole
protocole ??

Un PROTOCOLE RÉSEAU décrit pour un type de réseau


donné les échanges entre entités distantes pour un
niveau spécifié. Il est défini par :

1- La structure des données échangées entre ces entités,

2- Le type de dialogue mis en place entre ces entités, et


ce pour tous les types de qualités de services, et pour les
modes normaux et anormaux de fonctionnement.

53
Normes et divergences ...

OSI
OSI INTERNET
INTERNET
Applications & services Applications & services

&
Présentation
Présentation
Session

T.C.P. U.D.P.
Transport

Réseau I.P.

Liaison Liaison

Physique Physique

Médium Médium

54
La
La couche
couche application
application de
de l'OSI
l'OSI
La couche application comprend l'ensemble des fonctions nécessaires aux
applications réparties en complément des fonctions déjà réalisées par les
autres couches (1-6) du modèle OSI.
On désigne par application répartie les réalisations informatiques qui font
appel à des données et/ou des ressources de calcul situées sur plusieurs
sites.
Pour faciliter la réutilisation de certaines fonctions d'applications par
différents types d'applications réparties, les entités d'applications sont
structurées en trois types d'éléments :
- L'élément Utilisateur qui représente la partie du processus d'application
(programme ou humain) source ou destinataire des échanges. Le modèle
OSI nomme AP (Application Process) une tâche locale adressable sur un
site de réseau. Dans ces tâches, ce qui est du ressort des communications
est désigné par AE (Association Entity). Ces entités décrivent les besoins
de communication propres à l'AP. Un ASE (Application Service Element) est
un ensemble intégré de fonctions qui permet de réaliser le travail des AE.

55
Les ASE

Parmi les ASE on distingue :


- Les Eléments Communs de Service d'Application (CASE = Commun
Application Service Element) qui réalisent les fonctions utilisées de
façon générale par une variété d'applications :
– sur des machines de constructeurs différents.
– sur des systèmes d'exploitation différents.

- Les Eléments Spécifiques de Service d'Application (SASE = Specific


Application Service Element) qui réalisent les fonctions propres à une
application déterminée.
On peut citer :
- Le file Transfert Access Management (FTAM) pour le transfert des fichiers
et l'accès aux bases de données et systèmes de fichiers à distance, en
temps réel (norme ISO 8571 partie 1 à 4).
- La messagerie X400 qui est un ensemble de normes développées par le
CCITT pour la messagerie (Message Handling System)

56
Évolution
Évolution des
des technologies
technologies WAN
WAN

Frame
Relay
RNIS

ATM

X25

MPLS
RTC

ÉMERGENCE CROISSANCE MATURITÉ DÉCLIN OBSOLESCENCE

57
Réseaux
Réseaux et
et Télécommunications
Télécommunications

Diaporama séance 03

Niveau Physique
Généralités
Généralités
Positionnement
Positionnement de
de la
la couche
couche Physique
Physique
• C’est elle qui va permettre de véhiculer les signaux pour un
médium donné

• La couche physique sera donc directement dépendante du


support mis en œuvre

• Elle doit être considérée comme placée hiérarchiquement


«au-dessus» du support physique (ou médium)

• La couche physique étant normalisée de niveau 1, les


média seront considérés comme étant de niveau « 0 » -
Note : Nous respecterons le « latinisme » du mot « médium » qui fait au pluriel « média »
dénomination personnelle non utilisée par ailleurs!-
60
COUCHE
COUCHE »
»00»
» :: Niveau
Niveau MÉDIUM
MÉDIUM
Spécificités liées aux média

TYPES de SUPPORTS :
– Filaires
– Hertziens
– Fibre optiques
TOPOLOGIES et CABLAGE
TYPES de PORTEUSES
- Électrique
– Électro-magnétique
– Lumineuse
INCIDENCES SPÉCIFIQUES
– Vitesse de propagation
– Bruit
– Distorsion

61
Le
Le SUPPORT
SUPPORT PHYSIQUE
PHYSIQUE
ou
ou «
« médium
médium »
»

SOURCE PUITS
De Données De Données

Emetteur Récepteur

MÉDIUM de TRANSMISSION

Bruit Distorsion Affaiblissement

62
Un
Un peu
peu de
de physique…
physique…
Remarques
Remarques concernant
concernant ce
ce niveau…
niveau…

• Comme le nom le désigne, nous sommes dans un univers


physique… et la physique y joue un rôle important pour la
compréhension de ce qui se passe à ce niveau.

...

• Une brève évocation de quelques concepts fondamentaux


rafraîchira la mémoire… de ceux qui les ont appris un jour.
Pour les autres, inutile de vous acharner!

64
Grandeurs
Grandeurs caractéristiques
caractéristiques (1)
(1)

VITESSE de PROPAGATION (CÉLÉRITÉ): métre/seconde


Vitesse propagation lumière dans la vide (Célérité)

C = 3 x 108 m/s
Première mesure en 1849 par Hippolyte FIZEAU

COEFFICIENT de CÉLÉRITÉ:
Rapport entre la vitesse de propagation des signaux dans le média et celle de
la lumière dans le vide .

Exemples : I(p) = 0.6 pour la paire torsadée


= 0.7 pour le coaxial
= 0.85 pour la fibre monomode

65
Les
Les supports
supports de
de transmission
transmission
Les
Les MÉDIA
MÉDIA de
de TRANSMISSION
TRANSMISSION

• Avec support matériel


– Paires filaires

– Coaxiaux

– Fibres optiques

• Avec support immatériel


– Radio

– Signaux lumineux
67
Les
Les MÉDIA
MÉDIA de
de TRANSMISSION
TRANSMISSION
Avec
Avec Support
Support Matériel
Matériel

La PAIRE TÉLÉPHONIQUE
Paire cuivre type AWG 24 ou 26

La PAIRE TORSADÉE ISO


Usage typique : Réseaux locaux, précâblage
6 Catégories
Débits jusqu ’à 10 Gbps

La PAIRE TORSADÉE BLINDÉE ou ÉCRANTÉE


Usage typique : Réseaux industriels en
environnement difficile
Débits jusqu ’à 200 Mbit / s 68
Les
Les MÉDIA
MÉDIA de
de TRANSMISSION
TRANSMISSION
Avec
Avec Support
Support Matériel
Matériel (suite)
(suite)

• La FIBRE OPTIQUE “Multimode”


( Réflexions multiples dans la fibre). Diamètre =
150 à 500 µ
- Débits maxima = 100 Gbit / s
- Distance max sans répéteur = 5 Km
- Emetteur par diode luminescente ou laser

• La FIBRE OPTIQUE “Monomode”


( Propagation quasi linéaire dans la fibre). Diamètre
= 8 à 10 µ
- Débit maximum = 3000 Gbit / s (par faisceau)
- Distance max sans répéteur = 60 Km 69
Les
Les topologies
topologies Lans
Lans fibres
fibres optiques
optiques

ORDINATEUR

PHOTODIODE LED

AMPLIFICATEUR

Anneau avec répéteurs actifs

ÉTOILE

Étoile optique passive


70
Le
Le soliton
soliton
C
C ’est
’est une
une onde
onde qui
qui se
se propage
propage enen ignorant
ignorant les
les lois
lois de
de la
la dispersion
dispersion
dd ’énergie!
’énergie!

• Cette onde se propage en excitant un effet non linéaire (puits de potentiel)


piégeant l’énergie, et compensant l ’effet normal de dispersion.
– Ce phénomène existe à l’état naturel sous de multiples formes (Mascarets,
tsunamis, foudre en boule …)
– Plusieurs type de solitons luminiques :
Temporel : Piège la dispersion chromatique
Va prochainement être utilisé pour les câbles trans-océaniques multicanaux.
Spatial : Piège la diffraction
En bille de lumière : Énergie lumineuse piégée dans les trois dimensions
Prédictibles au plan mathématique, impossible actuellement à
reproduire physiquement.

Les recherches actuellement en cours dans ce domaine sont très prometteuses. Le principal intérêt du soliton serait de
permettre avec des fibres optique des distances considérables sans répéteur(qui coûtent très cher et sont fragiles).

71
Les
Les MÉDIA
MÉDIA de
de TRANSMISSION
TRANSMISSION
Avec
Avec Support
Support Immatériel
Immatériel

Les ONDES RADIO


Basse et Moyenne fréquences
- Propagation non directive
- Peu d’absorbtion
- Réflexion sur couches ionisées (Heavyside)

Fréquences plus élevées


- De plus en plus directives selon la fréquence
- Absorbées par les obstacles
- Phénomènes de “fadding” dûs à certaines conditions
météo

Moins onéreux que la fibre en environnement péri-urbain, mais


72
Les
Les MÉDIA
MÉDIA de
de TRANSMISSION
TRANSMISSION
Avec
Avec Support
Support Immatériel
Immatériel (suite)
(suite)

Les transmissions INFRAROUGE


– Ondes millimétriques, large bande
– Omnidirectionnelles
– Mise en oeuvre simple
– Grande absorbtion
– Perturbation par rayonnement solaire

Les transmissions à FAISCEAUX LUMINEUX


(Lasers)
– Ondes micrométriques, très large bande
– Unidirectionnelle, concentrée
– Mise en oeuvre simple
– Perturbées par phénomènes météo et chaleur 73
Topologies
Topologies de
de base
base
Schémas topologiques
des réseaux étendus (1)
NOEUD

NOEUD NOEUD

Etablissement d’un circuit

NOEUD NOEUD NOEUD

TOPOLOGIE HIÉRARCHISÉE :
- Règles de commutation simples ( les champs adresses représentent le
trajet à réaliser)
- Un seul chemin possible entre deux entités d’extrémité désignées
- Sensibilité aux incidents : L’indisponibilité d’un nœud ou d’un segment
entraîne d’importantes dégradations de fonctionnement

75
Schémas topologiques
des réseaux étendus (2)

NOEUD

NOEUD
NOEUD

NOEUD
NOEUD

NOEUD

NOEUD

NOEUD

TOPOLOGIE MAILLÉE :
- Règles de commutation complexes ( l’adresse n’est pas représentative
du chemin)
- Plusieurs chemins possibles entre deux entités d’extrémité désignées
- Sensibilité aux incidents : L’indisponibilité d’un nœud ou d’un segment
peuvent être totalement transparents

76
Organisation
Organisation hiérarchisée
hiérarchisée du
du système
système
téléphonique
téléphonique français
français

CTP

CTP = Centre de Transit Principal

CTS = Centre de Transit Secondaire


CTS
CAA = Centre à Autonomie

d ’Acheminement
CAA
CL = Centre Local

____ Liaison principale


CL
_ _ _ Liaison de proximité

Abonné

77
Schémas
Schémas topologiques
topologiques
des
des réseaux
réseaux étendus
étendus

L’idéal : La HIÉRARCHISÉE-MAILLÉE…
- Tous les avantages des deux… mais la notion de hiérarchie impose des
structures topologiques et d’adresse très strictes (entre autres, mobilité
difficile)
- C’est le schéma de la plupart des réseaux à commutation de circuits

78
Concepts
Concepts généraux
généraux
Le
Le niveau
niveau PHYSIQUE
PHYSIQUE

PROCESSUS PROCESSUS
données
ÉMISSION RÉCEPTION

APPLICATION AH données APPLICATION

PRÉSENTATION PH données PRÉSENTATION

SESSION SH données SESSION

TRANSPORT TH données TRANSPORT

RÉSEAU NH données RÉSEAU

LIAISON LH données LT LIAISON

PHYSIQUE bits PHYSIQUE

Support de transmission

80
SYNOPTIQUE
SYNOPTIQUE d'une
d'une LIAISON
LIAISON
TÉLÉINFORMATIQUE
TÉLÉINFORMATIQUE
LIAISON de DONNÉES

CIRCUIT de DONNÉES

MÉDIUM de
TRANSMISSION

Source de Source de
Contrôleur Codage Modulation Démodulation Décodage Contrôleur
Données Données

de de

commu-
Puits de commu- Puits de
Décodage Démodulation Modulation Codage nication
nication
Données Données

E.T.T.D. E.T.C.D. E.T.C.D. E.T.T.D.

Jonction Jonction Jonction Jonction


STATION de DONNÉES STATION de DONNÉES

ETTD = Equipement Terminal de Traitement de Données ETCD = Equipement terminal de Circuit de Données

81
Rappels
Rappels terminologiques
terminologiques
• ETTD = DTE
– Équipement Terminal de Transmission de Données
– Data Terminal Equipment
Équipement gérant la mise en forme de la représentation
interne des données afin de les présenter sous la forme
exigée pour les télétransmissions à l ’émission (mode série,
bloc ou caractère, calculs de parité ou CRC …), et réalisant
l ’opération inverse à la réception.

• ETCD = DCE
– Équipement Terminal de Circuit de Données
– Data Communication Equipment
Équipement adaptant les signaux issus de l ’ETTD pour les
transmettre sur un réseau donné. (Compression, codage,
modulation), et réalisant l ’inverse en réception. 82
Codage
Codage &
& Modulation
Modulation
La
La MODULATION
MODULATION

PORTEUSE
+ MODULATION

TÉLÉTRANSMISSION

CARACTÉRISTIQUES FONDAMENTALES :
• Largeur de bande
• Débit
• Distorsion

84
La
La MODULATION
MODULATION

• BANDE de BASE :
– Transmission numérique directe ou codée
- Monopolisation du support
- Courtes distances, ou répéteurs
- ETCD = CODeur / DÉCodeur = CODEC

• BANDE LARGE :
– Modulation d’un signal analogique
- Longues distances
- Multiplexage possible
- ETCD = MODulateur / DÉModulateur = MODEM

85
Les
Les différents
différents types
types de
de modulation
modulation
PORTEUSE :
Onde sinusoïdale de référence servant de support à la
modulation. La plage utilisable (*) pour un média donné
est appelée la BANDE PASSANTE de ce média.
* nominalement à - 3 db d’affaiblissement

• MODULATION d’AMPLITUDE (A.M.) :


– Variation significative de l’amplitude du signal.
– Sensible au bruit
• MODULATION de FRÉQUENCE :
– F.S.K. = Frequency Shift Keying
Exemple : V21
• MODULATION de PHASE :
– P.S.K. = Phase Shift Keying
Exemple : V22 86
DÉBIT
DÉBIT &
& BANDE
BANDE PASSANTE
PASSANTE
• RAPIDITÉ de MODULATION :
– R = Nombre de signaux porteurs d’une modulation par
seconde
=> BAUDS

• DÉBIT BINAIRE :
– Débit binaire en fonction de la rapidité de modulation
D= R log 2 V

– Avec D= Débit binaire = BITS par SECONDE


R= Rapidité de modulation en BAUDS
V= Valence de la modulation

Soit : Pour une rapidité de modulation de 4.000 bd, et une


valence de 16, un débit binaire de 16 kbps
87
Modulations
Modulations Plurivalentes
Plurivalentes
• Modulations permettant de porter la VALENCE à des valeurs supérieures à 2 :

Exemple: Modulation TÉTRAVALENTE -> Valence = 4

déphasage Valeur
A4 Binaire
A3
A2 0° 0 1
A1
90 ° 0 0

180 ° 1 0

270 ° 1 1
00 01 10 11

TÉTRAVALENTE AMPLITUDE TÉTRAVALENTE PHASE

88
Modes
Modes de
de Transmission
Transmission
Des
Des mots
mots souvent
souvent confondus…
confondus…

… Pour
Pour des
des concepts
concepts fort
fort différents
différents !!

• Modes de transmission :
Asynchrone :
Pas de lien temporel entre les caractéres (mots)
Lien entre les bits d’un même mot
Mot encadré par des bits indicateurs (START / STOP)
Synchrone :
Regroupement d’un certain nombre de mots (bits) en blocs
Synchronisation de tous les éléments du bloc au niveau bit (et éventuellement
caractére)
Délimitation du bloc par caractéres spéciaux (Fanions)

• Qualité de service :
Isochrone :
Les mots ou blocs d’information doivent être transmis et reçus selon une
périodicité fixée (indépendante de la fréquence d’horloge)
Anisochrone :
Inverse de ci-dessus

90
Les
Les MODES
MODES de
de TRANSMISSION
TRANSMISSION
MODE ASYNCHRONE :
Un bit START et un STOP sont les séparateurs minima entre
caractères
STOP bit

ÉTAT CARACTÉRE
CARACTÉRE
REPOS

START bit START bit

MODE SYNCHRONE :
Un fanion de début et un fanion de fin. En cas de blocs contigus,
un seul fanion suffit

ÉTAT
BLOC de DONNÉES
REPOS

FANION début FANION fin

91
MODES
MODES de
de TRANSMISSION
TRANSMISSION

• SIMPLEX :
– Unidirectionnel
Ex : Diffusion : Télévision,
radio ...

• SEMI DUPLEX :
– Half Duplex
– Bidirectionnel alterné
Pb’s : Temps de retournement

• DUPLEX :
– Full Duplex
– Bidirectionnel simultané
92
MODEMS
MODEMS et
et CODECS
CODECS

Ordinateur

Commutateur

Câble de jonction Commutateur Codec


(Numérique)
...
MODEM
Local Boucle locale
Commutateur (analogique)
Boucle locale
(analogique) de Transit ... MODEM
Codec

Local

Artères Longue Distance


(Numériques)

Liaison téléinformatique via réseau commuté

93
La
La Commutation
Commutation
La
La commutation
commutation

Permet de recevoir de l’information d’un utilisateur


quelconque parmi N et de la redistribuer a un autre utilisateur
quelconque
– CIRCUITS: Établissement d’une liaison durant toute la durée de la
communication puis libérée en fin.

– MESSAGE : Réception, stockage, retransmission de nœud à nœud


de volumes important de données.

– PAQUET: Message de taille réduite, à longueur maximale définie.


Datagrammes: Paquets circulant selon des routes indépendantes (mode
non connecté)
Circuit virtuel : Chemin parcouru par tous les paquets d ’une même
connexion (mode connecté)

– CELLULES : Très petits paquets de longueur fixe


95
Types
Types de
de commutation
commutation

Commutation de Circuits
= mobilisation de la bande passante

Commutation de Paquets
= partage de la bande passante

96
Réseaux
Réseaux et
et Télécommunications
Télécommunications

Diaporama séance 05

Niveau Liaison (1)

Jean-Claude KOCH Révision A


Concepts
Concepts généraux
généraux
Le
Le niveau
niveau LIAISON
LIAISON

PROCESSUS données PROCESSUS


ÉMISSION RÉCEPTION

APPLICATION AH données APPLICATION

PRÉSENTATION PH données PRÉSENTATION

SESSION SH données SESSION

TRANSPORT TH données TRANSPORT

RÉSEAU NH données RÉSEAU

LIAISON LH données LT LIAISON

PHYSIQUE bits PHYSIQUE

Médium de transmission

99
COUCHE
COUCHE 2
2 :: Niveau
Niveau LIAISON
LIAISON

ACHEMINEMENT DE BLOCS D'INFORMATION ENTRE NŒUDS

DELIMITATION des INFORMATIONS TRANSMISES :


– La TRAME
– Fonctions de groupage/dégroupage
ÉTABLISSEMENT/LIBÉRATION LIAISON
FIABILITÉ & INTÉGRITÉ
CONTROLE DE FLUX
MULTIPLEXAGE de TRAMES

LAP-B, Ethernet, DQDB...

100
Les
Les différents
différents niveaux
niveaux de
de protocoles
protocoles
Exemple
Exemple :: Transpac
Transpac

E.T.T.D. E.T.T.D.
RÉSEAU TRANSPAC

X25 - Paquets
réseau réseau
LAP-B LAP-B
liaison liaison liaison liaison
X21 X21
physique physique physique physique

E.T.C.D. E.T.C.D.

101
Protocoles
Protocoles de
de Liaison
Liaison

Toutes les informations et données utiles pour le


protocole sont transportées par une structure unique :
LA TRAME

• Fonctions du niveau trame :


– Contrôle d'erreur
– Synchronisation
– Délimitation de l'information
– Intégrité des données
– Partage du support physique

102
Protocoles
Protocoles de
de Liaison
Liaison

• Les protocoles se distinguent par les services


qu’ils permettent:

– Service avec connexion


Établissement de la connexion
Transmission de données
Libération
Fiabilisation : Contrôle d’erreur et reprise sur erreur
Contrôle d’intégrité

– Service sans connexion


Avec ou sans fiabilisation

103
Fonctionnalités
Fonctionnalités
•Délimitation des trames
– Caractères spéciaux (START/STOP…)
– Séquences spéciales de bits (FANIONS)
– Séquences de codes invalides (VIOLATION)
– Comptage bits ou octets
Problème de la transparence: Ne pas utiliser dans l’information transportée, des
caractères de délimitation qui seront forcément des caractères ASCII ayant
signification

•Fiabilisation
– Détection d’erreurs (PARITÉ, CRC…)
– Correction d’erreurs (PARITÉ CROISÉE, code de HAMMING…)
– Contrôle d’intégrité (NUMÉROTATION, ÉTIQUTAGE…)

•Contrôle de Flux
– Avec RÉTROACTION
– Basé sur DÉBIT 104
Contrôle
Contrôle de
de flux
flux

Flux non régulé Flux régulé

Principe du contrôle de flux à rétroaction (Le feu est commandé par le destinataire)

Flux non régulé Flux régulé

Principe du contrôle de flux sans rétroaction (Le débit de la vanne est réglé par algorithme)

105
Les
Les variables
variables d
d ’échange
’échange

• MODULO
– Numérotation des trames sur m bits (modulo 2m)
• Numéro de la trame émise
• Numéro de la prochaine trame attendue

• TEMPORISATION T1
– Si au bout du temps T1, une extrémité ne reçoit pas une réponse attendue,
elle exécute une reprise.

• NOMBRE de RE-ÉSSAIS N2 :
– Après N2 essais infructueux, l’initiateur entame une procédure de
terminaison

106
Contrôle
Contrôle &
& détection
détection
des
des erreurs
erreurs
Protections
Protections contre
contre les
les erreurs
erreurs

• Codes détecteurs simples :


– Contrôle de parité
• Ajout d’un bit de façon à ce que le total des bits à 1 :
– Soit pair Parité paire
– Soit impaire Parité impaire (ou imparité)

Ne détecte que les nombres impairs d’erreurs

– 3 dont 2
• Relectures multiples d’une même séquence de données
• Si 3 ou 2 sont identiques OK, sinon erreur

108
Les
Les contrôles
contrôles de
de parité
parité
CONTRÔLE de PARITÉ SIMPLE
Parité paire : Parité impaire :
0 0 0 1 1 0 1 0 1 1 0 0 1 1 0 1 0
1
bit de parité bit de parité

CONTRÔLE de PARITÉS CROISÉES :


Exemple : On souhaite transmettre les lettres A , O , X en code ASCII

CODES TRANSMIS CODES REÇUS


A O X LRC A O X LRC
1 1 1 1 1 1 1 1
0 0 0 0 0 0 0 0
0 0 1 1 0 0 1 1
0 1 1 0 1 1 1 0<-ERR
0 1 0 1 0 1 0 1
0 1 0 1 0 1 0 1
1 1 1 1 1 1 1 1
0 1 0 1 VRC 0 1 0 1
î
ERREUR
Ce type de parité détecte toutes les erreurs simples, doubles ou triples, et
corrige toutes les erreurs simples.
109
Réseaux
Réseaux et
et Télécommunications
Télécommunications

Diaporama séance 06

Niveau Liaison (2)


Les
Les mécanismes
mécanismes d’échange
d’échange
(Suite)
(Suite)
Mécanismes
Mécanismes particuliers
particuliers
• Le « PIGGY BACKING »:
– Utilisé lorsque les deux entités communicantes échangent des
trames de données (mode duplex). Dans ce cas, au lieu de générer
des trames de supervision RR (accusé réception positif), on utiliser
le champs N(R) de la trame de données dans ce but.

• La FENÊTRE d’ANTICIPATION:
– Dans un contexte d’échanges fiabilisés, on utilise un mécanisme
d’accusés-réception. Pour les liaisons longue distance, attendre un
accusé réception pour chaque trame envoyée dégraderait
considérablement les performances. Pour éviter cela, on adresse
alors un seul AR pour validation de N trames. 112
La
La trame
trame HDLC
HDLC (LAP-B)
(LAP-B)
La
La TRAME
TRAME X25-2
X25-2

Format LAP-B = Link Access Protocol (IUT-T)


ou
HDLC = High level Data Link Control (ISO)

FANION ADRESSE TYPE CHARGE UTILE FCS FANION

1 OCTET 1 OCTET 1 OCTET N bits 2 OCTETS 1 OCTET

FCS = Field Check Sequence

114
Le
Le protocole
protocole PPP
PPP
Point
Point to
to Point
Point Protocol
Protocol (P.P.P)
(P.P.P)

• Échange de trames entre deux ETCD en liaison Point à


Point
• Dispose de protocoles complémentaires pour :

– Identification + Authentification par mot de passe - En clair -(LCP)


– Échange de clés (CHAP)
– Sécurisation par chiffrement de la charge (PPTP)

116
Place
Place du
du protocole
protocole P.P.P.
P.P.P.
P.P.P

BAIE
IP sur PPP Ordinateur MODEMS
& PONTS
individuel L
I
L
I
L
I
L
I
L
I
G G G G G
1N 2N 3N 4N 5N
E E E E E
L L L L L
I1 2
I I3 I4 I5
G G G G G
1N 2N 3N 4N 5N
E E E E E
L L L L L
I1 I2 I3 I4 5I

Jonction G
1N
E
G
2N
E
G
3N
E
G
4N
E
5N
G

E SERVEUR
Vnn
L L L L L

(numérique) 1I

1N
G
2I
G
2N
I3

3N
G
4
G
4N
I

5N
I5
G

...
E E E E E

1 2 3 4 5

Boucle locale
(analogique) R.T.C. MAC/LLC
IP sur LLC
Réseau local

ROUTEUR

IP sur XXX
Réseau Internet

117
Place
Place du
du protocole
protocole P.P.P.
P.P.P.

Baie MODEMS & PONTS


IP IP

PPP PPP LLC LLC


Vnn Vnn MAC MAC

RTC
Réseau local
PONT ROUTEUR

IP IP

Réseau Internet YYY LLC


XXX MAC

118
La
La trame
trame PPP
PPP

FANION ADDRESSE CONTROLE PROTOCOLE INFORMATIONS CRC

1 OCTET 1 OCTET 1 OCTET 2 OCTETS <= 1500 octets 2 OCTETS

• Protocole identique à LAP-B


– Fonctionnant en mode non numéroté (Contrôle = 03)
– Soit en mode numéroté (Contrôle idem LAP-B)
• Présence d ’un champ supplémentaire indiquant le type de
protocole de niveau supérieur. Exemples :
– LCP = C021h
– NCP = 8021h
– IP = 0004 h

119
Les
Les protocoles
protocoles IPCP
IPCP

• Servent à obtenir les paramètres pour l’établissement


d ’une session Internet en liaison Point à Point sous PPP :

– LCP pour la connexion au serveur et la négociation des paramètres


de connexion

– NCP pour l ’obtention d ’une adresse IP dynamique, ou les


paramètres de compression

120
RSX101
RSX101
Réseaux
Réseaux et
et Télécommunications
Télécommunications

Diaporama séance 07

Les Réseaux Locaux (1)


Les
Les topologies
topologies LAN
LAN
Les différentes topologies

•TOPOLOGIES de BASE :
–Le BUS
–L’ANNEAU
–L’ÉTOILE

•TOPOLOGIES COMPLEXES :
–ARBORESCENCES

… Dans les LANs, topologie–COMPOSITES


physique souvent différente de topologie logique !

123
Topologie des réseaux locaux

Coupleur réseau
Bouchons

Câble coaxial Té

Réseau de type Bus : ETHERNET

124
Topologie des réseaux locaux

Réseau de type Anneau : TOKEN RING


125
Topologie des réseaux locaux

Paire torsadée Coupleur réseau

Concentrateur

Réseau de type Étoile : STARLAN

126
Topologie
Topologie physique
physique &
& topologie
topologie logique
logique

• Souvent divergentes, essentiellement pour satisfaire aux impératifs du


PRÉCÂBLAGE qui impose le plus généralement un câblage en étoile
(du moins pour les câblages en paires torsadées... D’où nécessité de
mettre en place des équipements qui « trompent » les protocoles.

• Topologie de base en BUS vers architecture


ÉTOILE :
• Le HUB ( Moyeu )

127
• Topologie de base en ANNEAU vers architecture
Topologie
Topologie ARBORESCENTE
ARBORESCENTE

STATIONS HUB STATIONS

STATIONS HUB HUB STATIONS

HUB HUB HUB

Topologie en arbres d ’étoiles (Stars Tree)

128
Topologie ARBORESCENTE (Suite)
Topologie ARBORESCENTE (Suite)

STATIONS

RÉPÉTEUR

STATIONS

RÉPÉTEUR

STATIONS
RÉPÉTEUR

STATIONS

RÉPÉTEUR

STATIONS

RÉPÉTEUR

STATIONS

BACKBONE

STATIONS

Topologie en arbres de bus (Bus Tree)

129
Architectures
Architectures MIXTES
MIXTES

STATIONS

STATIONS HUB STATIONS


Bouchon

STATIONS
PONT
PONT

RÉSEAU FÉDÉRATEUR

PONT

STATIONS STATIONS

Topologie mixte autour d ’un anneau fédérateur


Ce type de configuration nécessite la mise en œuvre d’organes d’INTERCONNEXION

130
Les
Les différents
différents média
média
Les
Les média
média de
de transmission
transmission
·TYPES :
·Câble coaxial
·Paire torsadée
·Fibre optique
·Ondes à transmission directe
·Transmissions radio
·Rayons infrarouges
·Rayon laser

·PARAMETRES intervenant sur la distance et la


bande passante :
·Impédance : exprimée en ohms - distorsions pour les
courants alternatifs
·Affaiblissement : perte d'énergie du signal en fonction
132

d l di t td l f é
Les
Les Coaxiaux
Coaxiaux
·ETHERNET :
·THICK (épais), RG11 - 50 ohms – Le câblage originel,
aujourd’hui totalement disparu! Conducteur central +
isolant + blindages + gaine PVC, diamètre 10mm.
·Gaine PVC couleur vive (jaune)
·Borné aux extrémités par un bouchon d'impédance
·Connexion par prise vampire (ou prise robinet)
·Longueur max segment 500m
·THIN (fin, CHEAPERNET ), RG58 - 50 ohms - Tombé en
désuétude, mais encore largement présent
·Diamètre réduit de moitié (5mm)
·Gaine PVC couleur sombre (brun ou noir) ou grise
·Borné par bouchons d ’impédance
·Connectique BNC et raccords en T
·Longueur max segment =250m

·CATV : Câble type Télévision 133


La
La paire
paire torsadée
torsadée cuivre
cuivre

•CATÉGORIES ISO - EIA/TIA 568


·Catégorie 3 : Bande passante jusqu'à 16 Mbps
·Catégorie 4 : Bande passante jusqu'à 20 Mbps Catégorie 5 : Bande
passante jusqu'à 100 Mbps
·Catégorie 6 : Bande passante jusqu'à 1.000 Mbps
·-Pour toutes ces catégories, longueur max segment=100m
•TYPE
¸UTP (sans écran) - non blindée - UNSHIELDED
¸FTP écrantée - FOILED
¸STP blindée - SHIELDED
•IMPEDANCES
¸100 ohms ATT ISO 11801
¸150 ohms IBM (diverses catégories) 134
La
La Fibre
Fibre Optique
Optique

•UTILISATIONS :
– Anneaux fédérateurs
– Rocades
– Liaisons longues… et même courtes !

•CARACTÉRISTIQUES :
– Fibre multimode à gradient d’indice
– Atténuation 3,75 db / km
– Indice de propagation ~0.75

•MISE en OEUVRE :
– Topologie = Bus, anneau ou étoile passive 135
Les
Les topologies
topologies fibres
fibres optiques
optiques

ORDINATEUR

PHOTODIODE LED

AMPLIFICATEUR

Anneau avec répéteurs actifs

ÉTOILE

Étoile optique passive


136
Les
Les Lans
Lans radio
radio

•Caractéristiques :
–Bande des 900 Mhz ou 2.4 Ghz
–Débits binaires de 721 kbps à 11 mbps
–Portée de 10 à 700 m, 15 km pour modems sans fils
•Utilisations :
–Picot-réseaux (max 8 Units) … Pouvant être regroupés
en « nuages » (Scatternets) avec éléments nomades
–Réseaux Locaux (avec éléments nomades)
–Modems sans fils
–Acquisition données
•Technologies :
–Bluetooth 137
Le
Le WiFi
WiFi (Wireless
(Wireless Fidelity)
Fidelity)

•802.11a
–Débit variable selon la distance, avec un débit théorique de 54
Mbps maximum, pour une portée d'environ une trentaine de
mètres. La norme 802.11a s'appuie sur un codage du type
Orthogonal Frequency Division Multiplexing (OFDM) sur la bande
de fréquence 5 GHz et utilisent 8 canaux qui ne se recouvrent pas.
–Ainsi, les équipements 802.11a ne sont pas compatibles avec le
équipements 802.11b. Il existe toutefois des matériels «dual band».
Relation débit/distance :
–54 Mbits/s 10 m 48 Mbits/s 17 m 36
Mbits/s 25 m
–24 Mbits/s 30 m 12 Mbits/s 50 m 6
Mbits/s 70 m

•802.11b
–La norme 802.11b permet d'obtenir un débit théorique de 11 Mbps,
138
pour une portée d'environ une cinquantaine de mètres en intérieur
Réseaux
Réseaux sans
sans fils
fils ou
ou Wlan
Wlan (Wireless
(Wireless Lan)
Lan)

• HyperLan (High performance Lan)


– Communication par bornes radio
– Bandes de 200 Mhz autour de 17 Ghz (HyperLan 2)
– 10 à 20 mbps
– Protocole niveau 1 : EY-NPMA (Elimination Yield
None Priority Multiple Access)
– Protocole couche 2 : CAC (Channel Access Control)
et LLC

• IEEE 802.15 (BlueTooth)


– 3 classes de puissance (< 10m, <50m, <100m) 139
Autres
Autres techniques
techniques de
de transmission
transmission
sans
sans support
support
•Les transmissions INFRAROUGE
• + Ondes millimétriques, large bande
• + Omnidirectionnelles
• + Mise en oeuvre simple
• - Grande absorption
• - Perturbation par rayonnement solaire
• Périphériques d’entrée et de pointage, LAN sans fil

•Les transmissions à ONDES LUMINEUSES


(Lasers)
• + Ondes micrométriques, très large bande
• + Unidirectionnelle, concentrées 140
Interconnexion
Interconnexion via
via Laser
Laser

Un équipement d’interconnexion de LANs (Portée 1.5 à 2 km)

141
ETHERNET
ETHERNET
Présentation
Présentation

•Réseau local initialement conçu par Xerox en


1970, puis par le groupe DIX (Digital, Intel, Xerox)
en 1978
–Plusieurs versions :

•Ethernet V1: (Livre Bleu [Blue Book] 1980)

•Ethernet V2: (Livre Bleu [Blue Book] 1982)

•Normalisation IEEE 802.3 (1985)

–Evolutions des spécifications de départ :


143

•Câblage (coax fin paire torsadée fibre optique)


Réseaux
Réseaux Locaux
Locaux

• Localisation des protocoles

OSI

3 RÉSEAU

LLC 802.2
2

802.3 802.4 802.5 802.6


MAC
ETHERNET TOKEN TOKEN
DQDB
BUS RING
1 PHYSIQUE

• M.A.C. : Medium Access Control


144
• L L C : Logical Link Control
Caractéristiques
Caractéristiques générales
générales

•Interconnexion de matériels
•Peu nombreux (< 1000)
•Variés (serveurs, microordinateurs, imprimantes,
fax, scanner ...)
•Espace géographique limité
•Partage de ressources
•Matérielles (CPU, mémoire, périphériques)
•Logicielles (programmes, données)
•Buts recherchés
•Modularité
•Débit élevé
145
Comité
Comité 802
802 de
de l'IEEE
l'IEEE
Institute
Institute for
for Electrical
Electrical &
& Electronics
Electronics Engineers
Engineers

• Normalisation des réseaux locaux


• Token Ring 802.5
• Token Bus 802.4
• Ethernet 802.3
• Et multiples autres normes (protocoles IR, WL…)

• Distingue 2 couches pour la couche 2 du


modèle OSI
• Couche MAC: Medium Access Control
– Gère l'accès au médium (propre à chaque type de
réseau)
146
– Chaque station a une adresse unique = @ MAC
Principes
Principes de
de base
base initiaux
initiaux

• Réseau organisé en segments (mais nombre limité de

segments)

• Les données échangées sont structurées en trames

• A un instant donné une seule trame circule sur le réseau

• Toute trame émise est diffusée vers toutes les autres

stations 147
Caractéristiques
Caractéristiques spécifiques
spécifiques

– Mais…
– pas de notion de priorité

– pas de full-duplex (dans le standard de base)

– pas de régénération du signal par les stations

– non déterministe

– Caractéristiques techniques initiales


– topologie logique : bus

– support de transmission: câble coaxial


148
technique de transmission: bande de base
Niveau
Niveau Médium
Médium
Dénomination
Dénomination des
des différents
différents Ethernet
Ethernet

• <V> <T> <D>

Distance ou type de support


Transmission (Base = Baseband)
Débit binaire en Mbit/s

• 10 Base 5 : Thick Ethernet


• 10 Base 2 : Thin Ethernet (ou cheapernet)
• 10 Base T : Ethernet sur paires torsadées
• 100 Base FL: Ethernet sur fibre optique
• 100 Base T et 100 Base VG: Ethernet 100 150

Mbit/
Thin
Thin Ethernet
Ethernet 10
10 Base
Base 2
2

• Topologie physique bus

• Débit 10 Mbit/s

• Transceiver intégré dans la


carte

• Distance minimale entre deux


stations = 0,5m

• Longueur maximale d ’un


segment = 185m

• 30 transceivers par segment

• 3 segments maximum avec 2


(IRL)
151
• Inter Repeter Link
Thin
Thin Ethernet
Ethernet 10
10 Base
Base 2
2

• Câble RG58
• Simple ou double blindage
• Impédance = 50 Ω
• ∅ 4,6 mm
• Rayon de courbure = 5 cm
• Atténuation 4,6 dB/100m à 10 Mhz
• Coefficient de célérité = 0,65
• Connecteurs BNC:
– raccord droit
– raccord en T
– prise à souder ou à sertir
152
bouchon de terminaison 50 Ω
Ethernet
Ethernet 10
10 // 100
100 Base
Base T
T

• Topologie physique en étoile

• Débits 10 / 100Mbit/s

• Topologie logique en bus grâce à


un équipement spécifique : le HUB
(Fonctions multiport & répéteur)

• Distance maximale d ’une station


au hub = 100 m

• Liaison de la station au hub en


paires torsadées blindées ou non -
Catégorie 5 (10 Mbps) ou 5 + (100
Mbps)
153
Ethernet
Ethernet 10
10 // 100
100 Base
Base T
T

•Interconnexion des hubs


–En cascade par un port RJ 45 de
cascade, ou par un port RJ 45 normal
avec fils croisés (nombre de cascades
limité ≈ 4)
–Sur un backbone à 100 ou 1000 Mbps;
le hub compte alors pour un transceiver

•Hub manageable (agent SNMP)


–Surveillance et configuration à
distance

•Hubs empilables ("stackables")


–Interconnectés par un bus propriétaire
154
–Ne comptent que pour un seul au
Ethernet
Ethernet 10
10 // 100
100 Base
Base T
T

• Câble de paires torsadées


– une paire en transmission
– une paire en réception
– blindées ou non (UTP)
– torsadées pour limiter la
diaphonie
• Impédance = 100 Ω
• ∅ 0,4 à 0,6 mm pour chaque
conducteur
• Atténuation max 10 db/100m
entre 10 et 100 Mhz 155
La connectique type RJ45

Cordon droit Cordon croisé

1 1 1 1

2 2 2 2

3 3 3 3

4 4 4 4

5 5 5 5

6 6 6 6

7 7 7 7

8 8 8 8

156
Ethernet
Ethernet sur
sur fibre
fibre optique
optique

•FOIRL (Fibre Optic Inter Repeater


Link):
•Liaison point à point uniquement
entre 2 équipements optiques
actifs:
–Entre répéteurs: IRL (Inter
Repeater Link)
–Entre ponts
–Entre un répéteur et un
transceiver
–Entre deux transceivers
•∅ cœur = 62,5 µm et ∅ gaine =
125 µm
•Longueur d'onde 850 ηm 157
Niveau
Niveau PHYSIQUE
PHYSIQUE
Eléments
Eléments du
du réseau
réseau

• Topologie logique = le BUS

– Câble coaxial puis

– Paires torsadées et maintenant

– Fibre optique

– Raccordement au médium

– Carte réseau Ethernet sur la station

– Connectique : BNC , RJ45 ou ST - SC 159


Les
Les collisions
collisions

Station A

COLLISION
CAS LIMITE

Station B

160
ETHERNET
ETHERNET Haut
Haut débit
débit
Évolution
Évolution vers
vers les
les Hauts
Hauts débits
débits

•Les options :
–Fédérer des réseaux Ethernet par des réseaux plus

rapides (MANs)

–Augmenter la vitesse de base d ’Ethernet (Ethernet

100Mbps puis 1 Gbps et 10 Gbps)

–Garantir à chaque station une bande passante

indépendante de la charge (commutation)

–Augmenter la capacité des échanges (full duplex)


162
Ethernet
Ethernet 100
100 Mbit/s
Mbit/s

• 100 BASE T : méthode d ’accès CSMA/CD


– Adaptation du traitement des trames à 100 Mbits/s

– 2 versions : 100 base TX et 100 Base 4

– BUT : augmenter les débits en assurant la compatibilité


10 Base T

• 100 BASE VG (VG : Voice Grade) IEEE 802.12


– Méthode d ’accès priorisé

– BUT : augmenter les débits en garantissant les temps 163


de
Ethernet
Ethernet 1000
1000 base
base T
T

• Norme Ethernet Gigabit : 802.3z


– Objectifs :
• Backbone fédérateur
• Concurrence ATM plus complexe et plus côuteux
• Conservation de la méthode CSMA/CD (avec qq
améliorations)
– Câblage :
• 1000 base TX (UTP catégorie 6)
• 1000 base FX (Fibre multimode)
164
La
La couche
couche MAC
MAC
Paramètres
Paramètres de
de transmission
transmission

–Caractéristiques de transmission à 10 Mbps:


•les octets du préambule en tête pour la synchronisation

•pour chaque octet: bit de poids faible en tête

–Longueur d'une trame (hors préambule):


•Minimum : 64 octets ( = 6 + 6 + 2 + 46 + 4)

•Maximum : 1518 octets ( = 6 + 6 + 2 + 1500 + 4)

–Taille du champ de données:


•minimum : 46 octets (utilisation de bits de bourrage si

nécessaire ("padding") 166


Format
Format d'une
d'une trame
trame MAC
MAC Ethernet
Ethernet

préambule Préambule 7 Octets à AAh et un octet à ABh

@ destinat. @ MAC du destinataire sur 6 octets

@ source @ MAC de la source sur 6 octets

identifie sur 2 octets la longueur de la charge


Longueur ou type
ou le type de protocole niveau 3

Charge utile (Trame LLC)


charge 46 octets minimum (bourrage si nécessaire)
1500 octets maximum

FCS séquence de contrôle sur 4 octets sur totalité de


le trame (hors préambule)

167
La
La trame
trame MAC
MAC Ethernet
Ethernet

•L'en-tête (8 octets):
–7 octets de préambule : 10101010
–1 octet délimiteur : 10101011
•Adresse MAC (6 octets) :
–Chaque station possède une @ MAC unique et figée
par le constructeur de la carte Ethernet (chaque
constructeur se voit attribuer une plage d'@ MAC)
–Chaque trame contient
–l'@ MAC de la station destinataire
–l'@ MAC de la station émetteur

–Addresse particulière de diffusion ("broadcast") 168


La trame MAC Ethernet

• Le champ longueur ou type (2 octets) :


– Rfc 1042 : Indique la longueur de la trame (le type est
reporté en trame LLC)
– Rfc 894 : identifie le protocole de niveau 3 utilisateur de
la trame (il n ’y a plus de trame LLC)
– Exemples de valeurs fixées par le RFC "Assigned Number »
(0800=IP; 0806=ARP; 8035=RARP; 814C=SNMP...

• Le champ données (de 46 à 1500 octets) :


– Contient la trame IP ou le PDU du protocole de niveau 3
– Utilisation de bits de bourrage sans signification (padding)
169

i t ill d l PDU < 46 t t P d'i t fé i 3


La
La méthode
méthode d'accès
d'accès CSMA/CD
CSMA/CD

•Principes généraux
–Toute station doit attendre le silence sur le bus
avant d'émettre
–Ö CS = Carrier Sense
–Le bus est une ressource commune à toutes
les stations
–Ö MA = Multiple Access
–Il peut y avoir collisions, c'est-à-dire
superposition de signaux d’émissions
simultanées de plusieurs stations
–Ö CD = Collision Détection
170
Principe
Principe de
de réception
réception trame
trame par
par la
la
station
station
•Norme 802.3 non commuté
•Toutes les stations reçoivent la trame émise
(diffusion)
–Pour toutes les stations :
•-Si la trame est trop courte (collision) Ö ignorer la trame
•-Si l'@MAC destination de la trame reçue n’est pas sienne, et
n’est pas une adresse de diffusion Ö ignorer la trame
–Pour la station destinataire (adresse reconnue) :
•- Si le champ FCS est incorrect Ö ignorer la trame
-- Si la longueur de la trame reçue est incorrecte (défaut de
préambule, de longueur, nombre d’octets non entier) Ö ignorer
la trame
171
•- Sinon décoder la trame
RSX101
RSX101
Réseaux
Réseaux et
et Télécommunications
Télécommunications

Diaporama séance 08

Les Réseaux Locaux (2)

Jean-Claude KOCH Révision A


Le
Le Protocole
Protocole LLC
LLC (802.2)
(802.2)
Réseaux
Réseaux Locaux
Locaux

• Rappels concernant la hiérarchie dans les


LANs
OSI

3 RÉSEAU

LLC 802.2
2

802.3 802.4 802.5 802.6


MAC
ETHERNET TOKEN TOKEN
DQDB
BUS RING
1 PHYSIQUE

D’ou des dispositifs d’interconnexion ne portant que sur les couche 1 et 2 OSI

• M.A.C. : Medium Access Control 174

L L C : Logical Link Control


La
La couche
couche LLC
LLC

• LLC 1 : Mode datagramme


– Non connecté

– Non fiabilisé (non acquitté)

• LLC 2 : Mode transfert


– Contrôle d ’erreur

– Contrôle de séquencement

– Contrôle de flux

• LLC 3 : Mode datagramme acquitté


– Pour réseaux industriels 175
Interconnexions
Interconnexions de
de niveaux
niveaux 1
1&&2
2
Localisation
Localisation des
des interconnexions
interconnexions
réseaux
réseaux
SERVEUR

CLIENT
BAIE
L
I
G
L
I
G
L
I
G
L
I
G
L
I
G
MODEMS
1N
E
L
2
N
E
L
3N
E
L
4
N
E
L
N5
E
L
& PONTS
I1 I2 I3 I4 I5
G G G G G
1N 2N 3N 4
N N5
E E E E E
L L L L L
I1 I2 I3 I4 5I
G G G G G
1N 2N 3N 4N N5
E E E E E

...
L L L L L
1I 2I I3 I4 I5
G G G G G
1N 2N 3N 4
N N5
E E E E E

TRANSPAC 1 2 3 4 5

R.T.C.

Réseau local

Réseau Internet ROUTEURS

Interconnexion matériel-réseau
Interconnexion Inter-Réseaux
Interconnexion Intra-Réseau

177
Hiérarchie
Hiérarchie des
des passerelles
passerelles

Niveaux 4 à 7
PASSERELLES

Niveau 3 ROUTEURS

Niveau 2 PONTS & COMMUTATEURS

Niveau 1 REPETEURS & HUBS

178
Les
Les équipements
équipements de
de raccordement
raccordement

•Généralement nommés COUPLEURS (*)

•Permettent de raccorder au réseau divers

matériels

•Dans les ordinateurs se présentent généralement

sous forme de carte d ’extension à insérer sur un

bus de l ’Unité Centrale.


–Le dispositif peut être inclus sur la carte mère pour

certains modèles, dont de nombreux portable (Pb 179


Les
Les équipements
équipements de
de raccordement
raccordement (2)
(2)

•Peuvent être inclus dans n’importe quel


équipement pouvant être accédé en mode
partagé dans un réseau.
–Imprimante, scanner, sauvegarde, tour CD…

•Ces dispositifs incorporent généralement un ou


plusieurs protocole(s) de bas niveau
–Au minimum le niveau 1 (Accès au médium)

–Souvent le niveau MAC

–Parfois LLC et/ou IP (équipement périphériques) 180


Les Coupleurs
•SITUATION dans le RÉSEAU : Terme désignant le dispositif de bas
niveau permettant le raccordement d ’un équipement au réseau.

COUPLEUR
Médium (Carte réseau)

Concentrateur

•SITUATION dans le SYSTÉME HIÉRARCHISÉ :

ÉQUIPEMENT
MAC COUCHE 2
Phy COUCHE 1
Réseau
181
Les
Les Passerelles*
Passerelles*

COUCHE OSI

• REPETEURS, HUBS, CONCENTRATEURS……………..

• COUPLEURS……………………………………………………..

1 & (2)

• PONTS ( BRIDGES) & COMMUTATEURS (SWITCHES)

2
182
• BROUTEURS (BRIDGE-ROUTERS)
Dispositifs
Dispositifs d’interconnexion
d’interconnexion niveaux
niveaux 1
1
&
&22
• Permettent de raccorder entre eux :
– Plusieurs équipements d ’un même réseau
– Plusieurs segments d ’un même réseau
– Différents sous-réseaux d ’un même réseau
– Différents réseaux entre eux

• Portent un nom différent selon chacune de ces


fonctionnalités, et le niveau hiérarchique auquel
ils agissent :
– Répéteurs
– Hubs 183
Les
Les Répéteurs
Répéteurs (niveau
(niveau 1)
1)

•Outils de connexion : Dans un même réseau


local, liaison entre segments
–Régénération du signal
–Reconstitution du préambule (Synchronisation)
–Participation à la gestion des collisions
–Déconnexion d’un segment défectueux
(partitionnement)

•Types de répéteurs
–Simples : - Deux ports
• - Même type de câblage

• Mixtes : - Deux ports 184
Les
Les Répéteurs
Répéteurs

• Les répéteurs :
• - Relient 2 segments (augmentent la distance)
• - Ne considèrent pas l'@MAC
• - Régénèrent le signal
• - Reforment si nécessaire le préambule
• - N’effectuent aucun filtrage
- Ont des fonctions spécifiques :
- - Padding» (bits de bourrage)
– - Jamming (renforcement de collision)
– - Jabber (trames trop longues tronquées)

185
Les
Les Répéteurs
Répéteurs
•SITUATION dans le RÉSEAU

Segment 1 Segment 2
RÉPÉTEUR

•SITUATION dans le SYSTÉME HIÉRARCHISÉ

répéteur
Phy 1 Phy 2 COUCHE 1
Segment 1 Segment 2

186
Les
Les Hubs*
Hubs* (Niveau
(Niveau 1)
1)

• Les hubs
- Fonction principale : Adaptation de la topologie
physique étoile en topologie logique bus

- Ne se préoccupe pas de l’adresse MAC et


fonctionne en diffusion sur tous les ports de tout
ce qui est reçu

- Autres fonctions :
• - Répéteur

• - Détecteur & amplificateur de collisions

• - Multi-interfaces (RJ45, BNC, AUI, ST fibre…) 187


Les
Les Hubs
Hubs
•SITUATION dans le RÉSEAU

HUB

•SITUATION dans le SYSTÉME HIÉRARCHISÉ

HUB
Phy 1 Phy 2 COUCHE 1
Segment 1 Segment 2

188
Les
Les Commutateurs
Commutateurs (Niveau
(Niveau 2)
2) --
Switches
Switches

•Les commutateurs

–Mêmes fonctionnalités que les Hubs, plus :

–Analyse des trame (adresse Mac), et envoi sélectif

vers port destinataire (commutation)

–Amélioration des débits pour communications entre

ports d’un même équipement. La bande passante

reste nominale, quelque soit le nombre de ces

connexions entre couple de stations (Cut through) 189


Les
Les Commutateurs
Commutateurs
• Décodage des trames • Filtrage
• Mémorisation • Auto apprentissage
• Multiports
@ MAC

C D
Port 1 station port Port 2
A 1
B 1
C 1
D 2
E 2
F 2

A B E F

A B STOP Table de brassage STOP E F


ou de commutation

190
Ethernet commuté (simple)
Ethernet commuté (simple)

191
Les
Les Commutateurs
Commutateurs

• Spécificités des équipements récents :

– Savent émuler les fonctionnements Multicast et

Broadcast

– Peuvent commuter tout un segment au lieu d’un port

(dans ce cas le Cut Through est impossible)

– Permettent de regrouper les stations suivant certains

critères pour créer des réseaux locaux virtuels (VLAN)

– Peuvent intégrer la prise en charge des Wlans 802.11 192


Ethernet Commuté (lourd)
Ethernet Commuté (lourd)

193
Les
Les Ponts
Ponts (Niveau 2) -- Bridges
(Niveau 2) Bridges
•SITUATION dans le RÉSEAU

Réseau 2

Réseau 1 PONT

•SITUATION dans le SYSTÉME HIÉRARCHISÉ

PONT
MAC 1 MAC 2 COUCHE 2
Phy 1 Phy 2 COUCHE 1

Réseau 1 Réseau 2

194
Les
Les Ponts
Ponts
• Interconnexion au niveau 2 de réseaux locaux
– Liaison entre deux (ou plusieurs) réseaux
– Stockage temporaire des trames et reèmission
– Pas de connaissance des adresses logiques

• PONTS DE BASE
– Ecoute de toute l’activité
– Retransmission sans modification (Transparence)

• PONTS MAC
– Non transparent : modification de trames
– Lien entre réseaux de couche Mac différentes : (802.3 avec 802.5)

• DEMI-PONTS 195

I t i à di t i tà i t
Les
Les Demi-Ponts
Demi-Ponts ou
ou Ponts
Ponts Distants
Distants

• Liaison transparente pour l ’utilisateur

Un seul réseau logique

Liaison
à Distance

1/2 PONT 1/2 PONT

196
Les
Les Demi-Ponts
Demi-Ponts ou
ou Ponts
Ponts Distants
Distants

•Diverses solutions
– Lignes analogiques
– Lignes spécialisées
– Numéris
– Transpac
– ATM
–Relais de trames
• Différences de débits LAN / WAN
– Utilisation des compressions 197
Un
Un Pont
Pont Distant
Distant via
via Laser
Laser

198
Interconnexion
Interconnexion de
de Réseaux
Réseaux Locaux
Locaux

A 2
1
B

3
D C
E
F

4 5
G

Problèmes :
- Comment aller du réseau N au réseau N’ ?
- Comment éviter les boucles ?
- Que faire en cas d’indisponibilité d’un pont ?

199
Le
Le Token
Token Ring
Ring

Jean-Claude KOCH
Présentation
Présentation

– Réseau local initialement conçu par IBM en 1972,


puis normalisé par l ’IEEE en 1985

– Plusieurs versions

• Token ring V1 : Anneau à 4 Mbps


• Token ring V2 : Anneau à 16 Mbps
• HSTR (High Speed Token Ring : 100 Mbps
• Gigabit HSTR : Sur fibre optique

– Interconnectabilité inter-protocoles totale

201
Caractéristiques
Caractéristiques

– Topologie
– Logique : Anneau
– Physique : Étoile
– Possibilité de double anneau
– Connexions
– MAU (Multistation Access Unit)
– 33 maximum interconnectables
– Maximum 260 stations
– Prise hermaphrodite (IBM) ou RJ45
– Logique
– Un seul jeton par anneau
– Gestion des priorités
– Une station monitrice
– Comportement déterministe

202
Caractéristiques
Caractéristiques

– Avec M.A.U (Multistation Acces Unit)

MODES de RACCORDEMENT des MAU's


afin de préserver l'anneau logique

203
Caractéristiques
Caractéristiques

– Huit stations par MAU


– 33 MAU maximum
– 200 m maximum entre MAU si UTP
– 750 m si coaxial
– 2.000 m si fibre optique
– 2.5 m minimum entre MAU et station
– 45 (150) m au maximum

204
Techniques
Techniques du
du Jeton
Jeton

– Introduites par NEWHALL (1971)


• Nombreuses variantes
– Dont Token Bus & Token Ring

• Principe
– Faire circuler un JETON
– Capturé par un station voulant émettre
– Le possédant, cette station émet
– Elle rendra le jeton dans 3 conditions :
» Dés la fin d’émission
» Dés retour de sa trame et après contrôle
» Lorsque le nombre de prises de jeton est dépassé

205
Techniques
Techniques du
du jeton
jeton

STATION STATION

Écoute Émet

Écrit Lit Écoute

STATION STATION

206
Le
Le protocole
protocole 802.5
802.5

– Élection d ’une station MONITEUR (Claim token)


– Émission jeton libre par moniteur
– Capture jeton par station désirant émettre
• Selon priorité
– Transmission trame sur l ’anneau
– Capture par station destinataire
• Copie la trame
• Reémission de la trame en modifiant le dernier champ
(FS)

207
Gestion
Gestion du
du Token
Token Ring
Ring

– Fonctions du moniteur :
• Plus de jeton => Création
• Mauvaise structure => Régénération
• Trame orpheline => Destruction
• (1 tour sans trouver destinataire)
• Ajuste contenance anneau par buffer de correction
• 24 bits (Taille jeton) < Contenance anneau
• Affecte les priorités jetons
• Gère les quanta d ’émission par priorité

– Election moniteur :
• Quand une des station constate absence, elle se
propose
• Si sa trame lui revient, elle devient moniteur
208
Les
Les Réseaux
Réseaux Locaux
Locaux Virtuels
Virtuels
(VLAN)
(VLAN)
Réseaux
Réseaux Locaux Virtuels (V.Lan)
Locaux Virtuels (V.Lan) de
de
niveau
niveau 2
2

•Objectifs :
–Réalisation de groupes d’hôtes sous-ensembles du
réseau global

–Transmission sélective des trames au sein des


groupes

–Gestion administrative globale

• Moyens
–Utilisation de Ponts Filtrants
210
Un
Un Réseau
Réseau Local
Local Virtuel
Virtuel
Une
Une vision
vision administrative
administrative sélective
sélective

Les bleus ne causent qu’aux bleus,


Les rouges ne causent qu’aux rouges
Les beiges causent à tout le monde…

211
Les
Les V.Lans’s
V.Lans’s …
… Comment
Comment ??

– Solution 1 - Par identification des ports


– Solution 2 - Par identification des adresses
MAC
– Solution 3 - Par identification des adresses IP
A
A quelles
quelles conditions
conditions ?
?

– Solution 1 : Interdit la mobilité


– Solution 2 : Administration contraignante
– Solution 3 : Enfreint la règle d’indépendance des
couches
La
La solution
solution :: Une
Une nouvelle
nouvelle norme
norme de
de niveau
niveau 2…
2…
212
RSX101
RSX101
Réseaux
Réseaux et
et Télécommunications
Télécommunications

Diaporama séance 09

Niveau Réseaux

Jean-Claude KOCH Révision A


Le
Le niveau
niveau RÉSEAU
RÉSEAU

PROCESSUS PROCESSUS
données
ÉMISSION RÉCEPTION

APPLICATION AH données APPLICATION

PRÉSENTATION PH charge PRÉSENTATION

SESSION SH charge SESSION

TRANSPORT TH charge TRANSPORT

RÉSEAU NH charge RÉSEAU

LIAISON LH charge LT LIAISON

PHYSIQUE bits PHYSIQUE

Support de transmission

214
COUCHE
COUCHE 3
3 :: Niveau
Niveau RÉSEAU
RÉSEAU

ACHEMINEMENT DES BLOCS DE BOUT EN BOUT

•STRUCTURATION des BLOCS :


–MESSAGES, PAQUETS, CELLULES

–Segmentation / Réassemblage de niveau 3 de / vers


niveau 2 ou 4

–Encapsulation niveau 3 dans niveau 3

•OUVERTURE ET FERMETURE DES CIRCUITS

)ADRESSAGE, ROUTAGE

)FIABILITÉ & INTÉGRITÉ

)CONTROLE DE FLUX 215


Protocoles niveau RÉSEAU

• CONNECTÉ • NON CONNECTÉ



• C.O.N.S. (Connection Oriented Network • C.L.N.S. (Connection Less Network
Services) Services)

• CIRCUIT (Virtuel) • DATAGRAMME

• - Établissement d’une connexion • - Pas de connexion


• - Tracé d’une route formelle • - Adresses dans chaque
• - Paquet de communication sans datagramme
adresse • - Routage individuel de chaque
• - Libération de la connexion en fin datagramme
de session • - Pas de procédure de libération
• - Réception de paquets • - Datagrammes non séquencés à
séquencés réception 216
Le
Le Routage
Routage
Le
Le Routage…
Routage…

Problèmes :
- Quel est le meilleur chemin de A vers B ?
- Selon quels critères ?
- Comment éviter les boucles ?

218
Caractéristiques
Caractéristiques des
des Routeurs
Routeurs

•Travaillent sur adresse LOGIQUE

•Dépendent du protocole de la COUCHE 3

•Certains routeurs sont MULTIPROTOCOLES

•Certains routeurs sont aussi des PONT pour


différents LAN ’s (B-ROUTEURS)

• Attention : Souvent le terme « gateway » est utilisé qui signifie 219


passerelle :
Les
Les ROUTEURS
ROUTEURS (niveau
(niveau 3)
3)

•Fonctionnalités:
–Acheminement des paquets avec choix du chemin
(Routage)

–Analyse des paquets et modifications si besoin


(translation d ’adresses)

–Connaissance de l’adresse logique (réseau + station)

–Lié à un protocole réseau. (Possibilités de connaître


plusieurs protocoles)

–Structuration de l’ensemble par un découpage


220

logique du réseau
Place
Place des
des Routeurs
Routeurs
•SITUATION dans le
RÉSEAU:
Wan R Lan

R RR R

Lan R Man

•SITUATION dans le SYSTÉME HIÉRARCHISÉ


ROUTEUR
RES 1 RES 2 COUCHE 3
LLC 1 LLC 2
COUCHE 2
MAC 1 MAC 2
Phy 1 Phy 2 COUCHE 1

Réseau 1 Réseau 2
221
Paramètres
Paramètres de
de routage
routage

•Distance

•Temps de transit
•Débit
•Coûts
•Charge moyenne ou instantanée
•Distance
• … & quelques paramètres non
techniques :

•Passage imposé
•Passage interdit 222
X25
X25 (Transpac)
(Transpac)

Réseau de Transmission de paquets


TRANSPAC*
TRANSPAC*
• Protocole d’accès à un réseau en mode Paquets
• conforme à l’avis X.25 du CCITT (UIT-T)

• X.25 définit trois niveaux de protocoles :

– Niveau 3 - Paquet (Gestion des C.V.) X.25-3


– Niveau 2 - Trame (Contrôle transmission) X.25-2
(LAP-B)
– Niveau 1 - Physique (Jonction) X.21

* « Transpac » est le nom commercial donné par France-Télécoms au réseau de paquets de norme X25
• CIRCUIT VIRTUEL -> Relation logique 224
Le
Le Circuit
Circuit Virtuel
Virtuel

E.T.C.D.
E.T.T.D

E.T.C.D.
E.T.T.D

Chaque connexion entre nœuds (ou extrémité et nœud) gère une table de commutation
logique mettant en correspondance des voies logiques numérotées.. L’ensemble des voies
logiques forme un circuit virtuel identifiable par la suite des voies logiques empruntées.

C.V. - C = Circuit Virtuel Commuté

C.V. - P = Circuit Virtuel Permanent

Note: Le service CV-P est dénommé « Transfix » en France

225
Le
Le CIRCUIT
CIRCUIT VIRTUEL
VIRTUEL MULTIVOIES
MULTIVOIES

ABONNÉ
B
ABONNÉ 1
A
VLaaa C
VLaaa V
ABONNÉ
3 VLxxx C
C VLyyy
VLzzz
TRANSPAC VLbbb
VLbbb 1
V VLbbb
C
V
VLccc
1
VLccc ABONNÉ
C D
V

Illustration de fonctionnement d’un circuit multivoies de 3 CV

226
Mécanismes
Mécanismes de
de fractionnement
fractionnement
•SEGMENTATION / ASSEMBLAGE
–Découpage d'un PDU de niveau N+1 en plusieurs SDU (SEGMENTS)
et ajout de PCI de niveau N

•FRAGMENTATION / DÉFRAGMENTATION
–Découpage du SDU de niveau N+1 et portage dans plusieurs PDU
de niveau N avec reprise du PCI de niveau N+1 dans chaque
fragment.

•GROUPAGE / DEGROUPAGE
–Regroupement de plusieurs SDU en un seul SDU de même niveau

•CONCATÉNATION / SÉPARATION
–Regroupement de plusieurs PDU de niveau N dans un même SDU
de niveau N-1, avec ajout d ’un PCI de niveau N-1
227
Différents
Différents types
types de
de fractionnement
fractionnement

(n+1) PCI (n+1)-SDU

n-PCI n-SDU n-PCI n-SDU n-PCI n-SDU

Segmentation / Assemblage
n-PCI n-SDU n-PCI n-SDU n-PCI n-SDU

n-PCI n-SDU

Groupage / Dégroupage
(n+1)PCI (n+1)-SDU

n- PCI n-PDU n- PCI n-PDU n- PCI n-PDU

Fragmentation / Défragmentation
n-PDU n-PDU n-PDU

(n-1)PCI (n-1)-SDU

Concaténation / séparation

228
Notion
Notion «
« d’encapsulation
d’encapsulation »
»
• Un peu de vocabulaire…
– En réseaux, le terme « Encapsulation » est normalement
réservé à une opération d ’intégration, à même niveau
(souvent 3), d ’un PDU d’un réseau donné dans un SDU
d ’un autre réseau (avec ou sans fractionnement). Il est
malheureusement également
Exemple: Encapsulation souvent
IP (Niveau utilisé
3) dans X25 (Niveaude
3) manière

générale pour désigner l ’opération d ’ajout des PCI au


SDU àIPtous niveaux.X25 X25 IP

LAP-B

229
Les
Les accès
accès asynchrones
asynchrones
Destinés à permettre aux ETTD non « Paquets » de se raccorder à Transpac

X.29M

MINITEL

X.3
TRANSPAC
ETTD-C P.A.V.

P.A.D.
MODEM

V.24

X.28

230
RNIS
RNIS (numéris)
(numéris)

Réseau à Intégration de Services


RNIS,
RNIS, ISDN,
ISDN, NUMÉRIS*
NUMÉRIS*

•RNIS ISDN

•Réseau Integrated
•Numérique à Services
•Intégration de Digital
•Services Network
* « NUMÉRIS » est le nom commercial donné par France-Télécoms au réseau à Intégration de Services

232
L
L ’aberration
’aberration du
du RTC…
RTC… en
en téléinformatique
téléinformatique !!
Ordinateur

Commutateur

Jonction
(numérique) Commutateur Codec
...
Boucle locale Local Boucle locale
(analogique) Commutateur (analogique)
de Transit ... MODEM
Codec
Jonction
(numérique)

Local

Artères Longue Distance


(numériques)

Liaison téléinformatique via réseau commuté


Les signaux numériques de l ’ETTD sont convertis en analogique par le modem, puis recodés en numérique dans le réseau
opérateur pour être recodés en analogique à la sortie, puis démodulés par le modem pour être recodés en numérique !

233
Caractéristiques
Caractéristiques du
du RNIS
RNIS
•Gestion d'une signalisation élaborée :
•En mode message
•Liaison sémaphore sur Canal D
•Présentation d'appel
•Contact permanent
•Sélection des terminaux …
Séparation fonctionnelle et physique entre :
–La signalisation - Canal D en mode non connecté
–Le transfert d'information - Canaux B en mode
connecté
•Universalité de raccordements pour :
–- Téléphone - Télécopieur - Minitel
–- Ordinateur - Imprimantes - Visiophone…
•Pour de multiples services :
–Voix - Données - Vidéotex
–Télécopie - Images fixes - Son 234
Principe
Principe du
du raccordement
raccordement RNIS
RNIS

SIGNALISATION

COMMUTATEUR

D DONNÉES D

B B
COMMUTATEUR Terminal
Terminal

RÉSEAU RNIS

235
Configuration à bus passif

S S S

TNR RNIS

S S S

adaptateur
Domaine de responsabilité
de l ’opérateur
Fax groupe 3

236
Configuration à bus unique

Interface
T

S S S

TNA TNR RNIS

S S S

Domaine de responsabilité
adaptateur Télécopie de l ’opérateur
groupe IV

237
Configuration à étoile de bus
Terminaux classiques

Interface
T

S S S
Commutateur
NUMERIS TNR RNIS
ou PABX

S S S

audioconférence Domaine de responsabilité


(avec CODEC) de l’opérateur
Télécopie
groupe IV
238
RNIS
RNIS interface
interface T
T

•Accès de Base 144 Kbits/s (débit utile) *


•1 Canal D
-Signalisation - Paquet - 16 Kbits/s
• 2 Canaux B
-64 Kbits/s - Information - Circuit

–Groupement d'accès de base 1 à 6

•Accès primaire 1984 Kbits/s (débit utile)**


•30 canaux
* 192 Kbits/s au total B 64 Kbits/s** 2048 Kbits/s au total
•1 Canal D 64 Kbits/s
239
Couche
Couche Physique
Physique
Prise
Prise RJ
RJ 45
45

•Origine : Western Electric (ATT)

•Interface ISO 8877 8 fils (RNIS)

•Câble de paires torsadées


–une paire en transmission

–une paire en réception

–blindées ou non (UTP)

–torsadées pour limiter la


diaphonie

•impédance = 120 Ω

•∅ 0,4 à 0,6 mm pour chaque


conducteur

•Affaiblissement = 18 bd/km à 1
241
mhz
RSX101
RSX101
Réseaux
Réseaux et
et Télécommunications
Télécommunications

Diaporama séance 10

Internet (1)
Historique
Historique
INTERNET

244
INTERNET
INTERNET @
@
Le
Le réseau
réseau de
de réseaux
réseaux

•Ensemble de réseaux et de passerelles


– Qui utilise la famille des protocoles TCP/IP
– Et qui fonctionne comme un réseau virtuel unique

•INTERNET assure :
–Une connectivité universelle

–Trois niveaux de service


•- La remise non fiable de datagramme en mode
245
sans connexion
Le réseau de réseaux : INTERNET @
vers dorsale canadienne Vers dorsale Est

Vers dorsale DORSALE U.S. DORSALE U.E.


asiatique

Vers dorsale
méditerranée

Réseau WAN
Réseau WAN Réseau WAN

Réseau MAN Réseau MAN Réseau MAN

Réseaux LAN ’s

Accès individuels

246
Renater
Renater
REseau
REseau NATional
NATional pour
pour ll ’Enseignement
’Enseignement et
et la
la
Recherche
Recherche
NorOpale
Lille

Pir2
VikmanCaen Syrhano Champaitre
Compiègne
Russie
Rouen
Metz
Reims Strasbourg
Paris Lothaire
Nancy
Bretagne Rennes RERIF Osiris
OR PaysNantes
de Orléans
Dijon
Clonys
Loire RenaCentre
Besançon
Europe
Etats Unis Poitiers EBelin
Poitou-CharentesRENATER
Limoges Clermont-
Ferrand Lyon
Aramis
Bordeaux Grenoble
Cratère
AQUAREL
Nice / Sophia
3RLR R3T2
Toulouse .
Montpellier
Marseille

La Réunion, Antilles, Guyane REMIP


OCTARES
Retecor

Pays méditerranéens

247
HISTORIQUE
HISTORIQUE INTERNET
INTERNET :: organisation
organisation

• 1969 ARPANET - Réseau pour le DOD US


• 1970-75 Création de l ’Internet Working Group
• 1976-80 Création de l ’Internet Configuration
Control Board
• 1981-85 Séparation ARPANET et MILNET, ICCB
devient Internet Activity Board
• 1986-90 NSFnet remplace ARPANET, et Création
de l’Internet Architecture Board
• 1991-95 Internet SOCity intègre IAB
• …2.000+ Explosion du WEB, Problèmes
d’adressage, de sécurité, d’éthique, de qualité de
248
service d’information pléthorique
Historique
Historique Internet
Internet
naissance
naissance des
des principaux
principaux protocoles
protocoles
• 1970 Network Control Protocol (Novell)
• 1972 TELNET
• 1973 File Transfer Protocol (FTP)
• 1974 Fondements de TCP/IP par V.CERF
• 1974-80 Mise en forme TCP/IP
• 1982 Simple Mail Transfer Protocol
(SMTP)
• 1989 Simple Network Management
Protocol (SNMP)
• 1990 Internet Relay Chat Protocol (IRCP)
• 1991 GOPHER
• 1992 Hyper Text Transfer Protocol (HTTP)
249

• 1993 Multipurpose Internet Mail


250
Instances
Instances Internet
Internet

•ISOC Internet Society : Promotion et développement


–IAB Internet Activity Board : Organe de contrôle

–IESG Internet Engineering Steering Group : Pilote


l’ingénierie du réseau
•IETF Internet Engineering Task Force : Spécification et
implantation des protocoles et élabore les RFCs (Requests For
Comments)

•IRTF Internet Research Task Force : Recherches à long terme

•ICANN Internet Corporation for Assignement Network Numbers:


Organisme de droit américain qui délègue la gestion des adresses
aux différents NICs
251
Les
Les Principaux
Principaux Protocoles
Protocoles de
de l’Internet
l’Internet

• ARP / RARP ((Reverse)Adress Resolution Protocol) :


Association des adresses physiques et des adresses
internet
• FTP (File Transfer Protocol) : Programme de transfert
de fichiers
• HTTP (HyperText TransferProtocol) : Tansfer de
pages Web
• ICMP (Internet Control Message Protocol) : Echange
de messages de contrôle et de supervision entre
noeuds du réseau
• IGMP (Internet Group Management Protocol) :
252
Gestion des groupes d ’échange (Forum)
Les
Les Principaux
Principaux Protocoles
Protocoles de
de l’Internet
l’Internet
(suite)
(suite)
• NFS (Network File System) : Accès transparent à
des fichiers partagés sur le réseau (Système de
fichiers virtuel) - Créé par SUN
• NNTP (Network News Transfer Protocol) : Gestion
des diffusions d ’informations
• SMTP (Simple Mail Transfer Protocol) : Courrier
électronique
• SNMP (Simple Network Management Protocol) :
Gestion et administration de réseaux hétérogènes
• TELNET (Remote Login) : Mécanisme de terminal
virtuel permettant à toute station de se connecter
à un hôte 253
Place des Protocoles de l’Internet

Applis HTTP TELNET FTP SMTP RTP/RTCP DNS NNTP

4 TCP UDP

3 ICMP IP IGMP
X25-3
ARP/RARP

PPP
2 LLC
AAL LAP- RNIS LAP-B PQT
SLIP
MAC Réseaux hôtes
Couche physique
1 LANs Couche physique WANs Serial

254
Adressage
Adressage Internet
Internet
Internet
Internet et
et sa
sa cascade
cascade d
d ’adresses...
’adresses...

Utilisateur =
Adresse URL

Réseau Internet =
Adresse IP

Matériel =
Adresse MAC

256
Système de noms symboliques
URL
URL =
= Uniform
Uniform Ressource
Ressource Locator
Locator
• C’est un format de nommage universel pour désigner une ressource
Internet. Il est composé de :

• Nom du protocole: Le protocole le plus largement utilisé sur le WEB


est HTTP (HyperText Transfer Protocol). De nombreux autres
protocoles sont toutefois utilisables (FTP,News,Mailto,Gopher,...)
• Identifiant et mot de passe : Permet de spécifier les paramètres
d'accès à un serveur sécurisé. Cette option est déconseillée car le
mot de passe est alors visible dans l'URL
• Le nom du serveur: Il s'agit du nom de domaine de l'ordinateur
hébergeant la ressource demandée (il est possible d'utiliser
l‘adresse IP du serveur, par contre l'URL est moins lisible.
• Le numéro de port: C’est le numéro associé à un service permettant
au serveur de savoir quel type de ressource est demandée. Le port
associé par défaut au protocole HTTP est le port numéro 80. Si le
service Web du serveur est associé au port 80, le numéro est
facultatif.
Mot de passe Nom du N° de Port
• Le chemin(déconseillé)
Protocole d'accès à la serveur
ressource : Cette
(facultatif si 80) dernière partie permet au
Chemin d’accès sur serveur
serveur de connaître l'emplacement auquel la ressource est située.
Exemple:
http: Mon password www.demo.fr :80 /manuel/pageaccueil.php

257
Système de noms symboliques (suite)
(suite)

• Nommage du serveur selon hiérarchie


– « sous domaines. Domaine. TLD » TLD = Top Level
Domain

• Quelques valeurs courantes de TLD :


– Types d ’organisations :
• .com commerce .edu éducation
• .gov gouvernement .int institution
internationale
• .mil militaire .net activités
réseau
• .org organismes divers
– Codes nationaux :
• .au Australie .de Allemagne .jp
Japon 258
Système
Système de
de noms
noms de
de domaines
domaines
(Domain
(Domain Naming
Naming Services)
Services)
Racine

Top Level Domains

... .com .gov .mil .edu .org .net .it .fr .jp .de ...
Zones génériques .mit .univ Zones géographiques

.ing .res .eci .polytech

rob .srv .jessy


rob@res.mit.edu

http://www.portail.polytech.univ.fr

Exemple d ’un espace de nom DNS

259
Internet
Internet // intranet
intranet

L ’adressage IP V4
32 bits

0 ID-RES. ID_ORD. @ Classe A

10 ID-RES. ID_ORD. @ Classe B

110 ID-RES. ID_ORD. @ Classe C

1110 adresse de diffusion multipostes @ Classe D

11110 réservé @ Classe E

Format des différentes classes d ’adresses

260
Internet
Internet // intranet
intranet
L ’adressage IP V4
Nombre max.
Nombre max.
CLASSE @ réseau @ réseau d'ordinateur
de réseaux
la plus basse la plus haute s Masque réseau

A 0.1.0.0 126 . 0 . 0 . 0 126 16.777.214 255 . 0 . 0 . 0

B 128 . 0 . 0 . 0 191 . 255 . 0 . 0 16.384 65.534 255 . 255 . 0 . 0

C 192 . 0 . 0 . 0 223 . 255 . 255 . 0 2.097.152 254 255 . 255 . 255 . 0

D 224 . 0 . 0 . 0 239 . 255 . 255 . 255 N/A N/A N/A

Plages d ’adresses correspondant à chaque classe et notion de masques


Attention : les adresses réseau & ordinateur « tout à 1 » & « tout à 0 » sont réservées !

32 bits

10 ID-RES. ID_ORD. @ Classe B

sous @ Classe B
10 ID-RES. réseau ID_ORD.
avec sous-réseau

111 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 Masque

261
Mode
Mode de représentation
représentation décimale
décimale de
de
l’adresse
l’adresse IP
IP
•Soit une adresse IP exprimée sous sa forme
décimale :
–131.248.193.3
•Les valeurs entre les points sont exprimées par octets, elles
sont donc nécessairement comprises entres 0 & 255(*)
•Sous la forme binaire elle deviendra :
–13110 = 1000 00112
–24810 = 1111 10002
–19310 = 1100 00012
–00310 = 0000 00112
–Soit, sous forme complète : 1000 0011.1111 1000.1100
0001.0000 0011
•On peut donc en déduire :
-Qu’il s’agit d’une adresse de classe B 262
Utilisation
Utilisation du
du masque
masque
• Soit la même IP exprimée sous sa forme décimale,
accompagnée d’un masque :
– 131.248.193.3 masque : 255.255.192.0
• Ce qui devient, sous la forme binaire :
– Adresse : 1000 0011.1111 1000.1100 0001.0000 0011
– Masque : 1111 1111.1111 1111.1100 0000.0000 0000
– Bits de sous-réseau : - - - - - - - -.11- - - - - -.- - - - - - - -
– Adresse hôte : - - - - - - - - - - - - - - . - -00 0001.0000 0011
– bits de sous-réseau
• On peut donc en déduire :
- Que quatre sous-réseaux différents peuvent être créés
(2 bits)
- Que l’adresse hôte dans ce sous-réseau est : 0.0.1.3
263
Que le nombre maximum d’hôtes dans chaque sous-
Les
Les résolutions
résolutions d d ’adresses
’adresses dans
dans
ll ’Internet
’Internet

•ARP/RARP (Address Resolution Protocol)


–Mise en correspondance dynamique entre :

– ADRESSE LOGIQUE ADRESSE PHYSIQUE

– I.P. (Niveau 3) MAC (Niveau


2)

•DNS (Domain Naming Services)


–Mise en correspondance statique

– ADRESSE LOGIQUE ADRESSE


SYMBOLIQUE
264
Routage
Routage
Le
Le routage
routage Internet
Internet

WAN

192.31.60.1
LAN LAN

F2
Routeur avec 2 adresses IP Routeur avec 2 adresses IP
RÉSEAU MAN
FÉDÉRATEUR
F1 F3

Sous-réseau IP 192.31.65.0 Sous-réseau IP 192.31.63.0


192.31.60.4 192.31.60.7
1 2 R R 3 4

192.31.65.7 192.31.65.5 192.31.65.1 192.31.63.3 192.31.63.4 192.31.63.8

Adresses MAC Adresses MAC

266
Le routage Internet (suite)
EGP FÉDÉRATEUR EGP

IGP IGP IGP

RES. RES. RES.


1 2 3

• Un groupe de réseaux et passerelles relevant d ’une même


responsabilité administrative au plan routage est appelé système
autonome.
• Le routage entre systèmes autonomes est réalisé par des
passerelles dites externes. Les protocoles correspondants sont
nommés EGP External Gateway Protocol)
• A l ’intérieur d ’un système autonome, les protocole utilisés par 267
Protocoles
Protocoles de
de routage
routage
•Type IGP (Internal Gateway Protocol) : Peu de stratégie
de routage, résolution d’adresses
–OSPF ( Open Shortest Path First ) - RFC 1247
•Le plus récent (1990) - Efficace mais lourd
–RIP ( Routing Information Protocol )
•Le premier, mais dépassé par les grands réseaux
–IGRP (CISCO)
•RIP amélioré

•Type E.G.P. ( External Gateway Protocol) : Stratégies de


routage évoluées basées sur différents concepts formels,
et sur considérations politique, sécuritaires &
économiques.
–BGP ( Border Gateway Protocol)
•Le plus utilisé
–IS-IS - ISO 10589 268
La
La hiérarchie
hiérarchie Internet
Internet

PROCESSUS PROCESSUS
données
ÉMISSION RÉCEPTION

APPLICATION AH données APPLICATION

Segmentation éventuelle

TRANSPORT TH charge TRANSPORT

INTERNET IP charge INTERNET


fragmentation éventuelle
LH charge
RÉSEAU-HOTE RÉSEAU-HOTE
PH charge

bits

Support de transmission

269
Segmentation
Segmentation
Découpage du message applicatif pour portage dans plusieurs structures de
données de la couche TRANSPORT, sans reprise de l ’entête APPLICATION
dans chaque segment.

Exemple : une page HTML de 2000 octets dans deux segments TCP
(Longueur maximale champ de données = 1500 octets, entête HTTP= 100 octets)

EntêteHTTP Données page WEB (HTML)

100 octets 1400 1999


0

Entête TCP Entête HTTP Segment 0-1400 SEGMENT n° 1

SEGMENT n°2 Entête TCP Segment 1401-1999

270
Fragmentation
Fragmentation
Découpage du datagramme IP pour portage dans plusieurs trames de niveau
LIAISON, avec reprise de l ’entête IP dans chaque fragment.

Exemple : un datagramme IP de 4.000 octets dans trois trames LLC


(Longueur maximale champ de données = 1.500 octets, entête IP= 20 octets)

Entête IP Données datagramme

20 octets
0 1479 2959 3999

Entête LLC Entête IP Fragment 0-1479 TRAME LLC n° 1

Entête LLC Entête IP Fragment 1480-2959 TRAME LLC n° 2

TRAME LLC n° 3 Entête LLC Entête IP Fragment 2960-3999

271
Encapsulation
Encapsulation

Découpage du datagramme IP pour portage dans plusieurs structures de


données de la couche RÉSEAU (Wan), après segmentation.

Exemple : un datagramme IP de 600 octets dans trois paquets X25


(Longueur maximale champ de données = 256 octets, entête IP= 20 octets)

Entête IP Données datagramme

20 octets 599
0 235 490

Entête PQT Entête IP Segment 0-235 PAQUET n° 1

Entête PQT Segment 236-490 PAQUET n° 2

PAQUET n° 3 Entête PQT Segment 491-599

272
Le
Le Protocole
Protocole IP
IP
Le datagramme I.P. V4

32 bits

0 31

VER IHL SERVICE LGR TOTALE

IDENTIFICATION FLG DÉPLACEMENT

DURÉE VIE PROTOCOLE CONTRÔLE

ADRESSE IP SOURCE

ADRESSE IP DESTINATION

OPTIONS BOURRAGE

... DONNÉES ...

Longueur totale maximale : 65535 octets


MTU par défaut : 1500 octets (charge Ethernet)

274
Le
Le datagramme
datagramme I.P.
I.P. V4
V4
• Longueur maximale : 65535 octets (par défaut 576
octets)

• VER : Version IP (4 actuelle)


• IHL : Longueur entête(en mots de 32 bits)
• SERVICE : Type de service (délai, débit, fiabilité,
coût : pour routeurs)
• LGR TOT : Longueur totale datagramme
• IDENT. : Identifiant pour tous les fragments
d ’un même datagramme
• FLG : Suivi de la fragmentation (Autorisée ou non &
dernier frag.)
• DÉPLAC. : Décalage du fragment par rapport au bit
0 (OFFSET)
• DURÉE VIE : Durée de vie restante du datagramme
275
• PROTOCOLE :Type de protocole de niveau 4
Principe
Principe des
des sommes
sommes de
de contrôle
contrôle
Somme sur 16 bits en complément à 1
(revient au calcul d ’une parité verticale)

Entête émise Entête reçue

1101 0111 + 0110 1010 1101 0111 + 0110 1010


0110 0001 + 0101 1000 0110 0001 + 0101 1000
1010 1001 + 1110 0010 1010 1001 + 1110 0010
1001 1100 + 1000 0101 1001 1100 + 1000 0101

= + 1101 0110
Mot de contrôle
1101 0110 Contrôle OK ! = 0000 0000

Entête émise Entête reçue

1101 0111 + 0110 1010 1101 0111 + 0110 1010


0110 0001 + 0101 1000 0110 0101 + 0101 1000
1010 1001 + 1110 0010 1010 1001 + 1110 0010
1001 1100 + 1000 0101 1001 1100 + 1000 0101

= + 1101 0110

1101 0110 ERREUR ! = 0000 0100


276
Type
Type de
de Service
Service
8 bits

0 1 2 3 4 5 6 7

PRIORITY D T R UNUSED

•PRIORITY : Priorité datagramme


– 0 = normale 7 = supervision réseau

•D, T, R :Type de qualité de service recherchée


– D = Delay (le plus rapide)
– T = Throuput (le plus fort débit)
– R = Reliability (le plus fiable)
277
Contrôle
Contrôle de
de la
la fragmentation
fragmentation
32 bits

0 31

IDENTIFIER FLAG OFFSET

• IDENTIFIER : Entier aléatoire identifiant le


datagramme

• FLAG :Indicateur de dernier fragment (00x) ou


d ’interdiction de fractionner (0x0)

• OFFSET :Numéro du premier octet du fragment


(égal à 0 pour le premier fragment) 278
Durée
Durée de
de vie
vie

• Générée pour chaque datagramme


– Pour empêcher l’engorgement du réseau par des
datagrammes errant éternellement

• Initialement exprimée en secondes


– … Mais traitement utopique car :
• Temps de transits de chaque segment inconnus
• Pas de synchronisation des horloges

• Décrémentée de la façon suivante :


– Chaque passerelle retire 1 si le transit est normal
279
– Décrémente du nombre de secondes s’il y a eu attente
Options
Options
32 bits

0 31

CODE LONGUEUR DONNÉES OPTIONS BOURRAGE

•Code : Sur 8 bits, indiquant


–Niveau de secret du datagramme
–Type de routage choisi
–- Routage strict : Chemin spécifique imposé par la source
–- Routage lâche : Passage obligé par certains routeurs indiqués
seulement
–- Routage libre : Aucune contrainte de route
–Relevé route :Chaque routeur indique son adresse IP, dans
l ’ordre de passage
–Horodatage : Idem, mais avec en plus l ’heure de passage dans
chaque routeur
280
Le
Le protocole
protocole I.P.
I.P. V6
V6

•OBJECTIFS :
–Augmenter le nombre d ’adresses
disponibles

–Amélioration de la sécurité

–Permettre différentes qualités de services

–Améliorer la gestion de la diffusion


multipoints

–Permettre la nomadisation des adresses


281

O rir à d ’a tres é ol tions


Petit
Petit historique
historique IPV6...
IPV6...

• 1992 Premières réflexions au sein IETF

• 1994 Premières recommandations

• 1996 Spécifications intégralement

définies

• 1998 Premières expérimentations (R6-

Bone)

• 2001 Prise en compte par les


282

équipementiers
Le
Le datagramme
datagramme I.P.
I.P. V6
V6
En-tête de base IP V6

32 bits

0 31

VER Priorité ETIQUETTE FLOT

LONGUEUR CHARGE Entête SUITE Nbre de SAUTS

ADRESSE IP SOURCE (128 bits)

ADRESSE IP DESTINATION (128 bits)

…Autre entête IP ou Charge Utile ...

283
Le datagramme I.P. V6

• Longueur maximale : 2 16 octets

• VER : Version IP (6)


• PRIORITÉ : 0 à 7 débit modulable; 8 à 15 débit garanti
& Isochronie
• ÉTIQUETTE FLOT: Offre la possibilité d ’ouvrir plusieurs
pseudo-connexions selon les qualités de service
souhaitées
• LGR CHARGE : Longueur charge utile (Longueur
totale pour V4)
• ENTETE SUITE : Identifiant de l ’entête suivant (Soit
un IP additionnel, soit le protocole de niveau 4)
284
• Nbre de SAUTS: Équivalent durée de vie de V4
Les
Les entêtes
entêtes d
d ’extension
’extension I.P.
I.P. V6
V6

N° Type entête Description

1 Pas à pas Information pour routage

2 Routage Route totale ou partielle

3 Fragmentation Contrôle de la fragmentation

4 Authentification Vérification identité émetteur

5 Confidentialité Contrôle chiffrement charge

6 Options Informations pour destinataire

285
Autres
Autres Protocoles
Protocoles de
de Niveau
Niveau 3
3
Le
Le protocole
protocole ARP
ARP (RFC
(RFC 826)
826)
Address Resolution Protocol

• Recherche d’une adresse physique correspondant à une


adresse logique fournie

• Encapsulation en trame MAC


• Champ « Type » MAC = 0806
• Adaptation à différents types d’adresses et de réseaux
• Interrogation en mode Diffusion (Broadcast)

• Note : ARP/RARP sont remplacés par les fonctions ND (Neighbor 287


Di ) d ICMP IP V6
Le
Le Datagramme
Datagramme ARP
ARP

32 bits

0 31

Ident. adresse Physique Ident. adresse Logique

Lng. @ Physique Lng. @ Logique Code

Adresse Physique …

… de l’émetteur Adresse Logique …

… de l’émetteur Adresse Physique …

… du destinataire

Adresse Logique du destinataire

L’adresse destinataire de la trame de la trame MAC « porteuse » est FF:FF:FF:FF:FF:FF

288
Le
Le paquet
paquet ARP
ARP

•Identificateur adresse physique :


–Code spécifique selon réseau. Exemples : 1 = Ethernet,
15 = Frame Relay…
•Identificateur adresse logique :
–Code spécifique selon protocole. Exemple : 0800 = IP
•Longueur adresse physique :
–Selon réseau, exprimée en octets : soit 6 pour Ethernet
•Longueur adresse logique :
–Selon protocole, exprimée en octets : soit 4 pour IP V4
•Code :
–Nature du paquet : 1 pour request (Who-has) 2 pour
reply (is-at)
289
•Champs adresses (Emetteur & destinataire) :
Le
Le protocole
protocole ICMP
ICMP (RFC
(RFC 792)
792)
Internet Control Message Protocol

• Ensemble de services pour les besoins internes des


réseaux sous IP

• Découverte des routeurs (IRDP)


• Mesures des temps de transit (PING - Packet Internet
Gopher)
• Redirection des trames si anomalie aval
• Indication d ’erreurs, dont :
– Destination impossible (Unreachable destination)
– Durée de vie écoulée (Time exceeded)
– Anomalie paramètre (Parameter problem)
– Ralentir source (Source quench)

• Les messages ICMP sont transportés via datagrammes


IP 290
Le
Le protocole
protocole IGMP
IGMP
Internet Group Management Protocol

• Envoi de datagrammes en mode multipoints



• Utilisation classe D d ’adresses
• Messages périodiques de contrôle
• Gestion dynamique du groupe
• Tout message émis d’une station est transmis à
tout le groupe

291
INTERNET
INTERNET @
@

… Les
Les évolutions
évolutions en
en cours
cours

•Configuration automatique des routeurs :


–Gestion des noms & adresses
–Routeurs à apprentissage (IGP)

•Hauts débits :
–Meilleures utilisation des charges utiles
–Amélioration des temps de transit
commutateurs
–Orientation vers la commutation IP

•Routage :
–Adresses sur 128 bits (V6)
–Priorité et isochronie

•Fiabilisation : 292
IP
IP «
« Forwarding
Forwarding »
»
(Acheminement)
(Acheminement)
Station A Réseau IP Station B

Routeur X Routeur Y

Table de Routage
dest hops next
B 2 Y
- - -

Station A Recherche @ dest. dans TdR Station B


Retransmet vers suivant
Couches
Supérieures
Routeur X Routeur Y

Couche IP
Couche LIAIS
Couche PHY

@A => @B @A => @B @A => @B

293
IP
IP «
« Switching
Switching »
»
(Commutation
(Commutation IP)
IP)
Station A Station B
Réseau ATM

Commutateur X Commutateur Y

Table de Commutation
Label Label
entrée sortie
55 121
- -

Station A Station B
Recherche label dans TdC
Retransmet vers suivant
Couches
Supérieures Commutateur X Commutateur Y

Couche IP

Couche LIAIS

Couche PHY

55 121

294
Routage IP

•FORWARDING •SWITCHING

•Travail sur la couche 3 (Adresses) •Travail sur la couche 2 (Labels)


•ROUTAGE •COMMUTATION

• - Niveau Liaison
• - Niveau Réseau
• - Travail sur Trames
• - Travail sur Paquets
• - Labels locaux aux commutateurs
• - Adresses globales du réseau
• - Unités de données fixes et
• - Unités de données variables
réduites
• - Adresses seulement consultées • - Champ Label systématiquement
• modifié 295
L
L ’Internet
’Internet du
du futur…?
futur…?

296
RSX101
RSX101
Réseaux
Réseaux et
et Télécommunications
Télécommunications

Diaporama séance 11

Internet (2)
Le
Le niveau
niveau TRANSPORT
TRANSPORT

PROCESSUS données PROCESSUS


ÉMISSION RÉCEPTION

APPLICATION AH données APPLICATION

PRÉSENTATION PH données PRÉSENTATION

SESSION SH données SESSION

TRANSPORT TH données TRANSPORT

RÉSEAU NH données RÉSEAU

LIAISON LH données LT LIAISON

PHYSIQUE bits PHYSIQUE

Médium de transmission

298
COUCHE
COUCHE 4
4 :: Niveau
Niveau TRANSPORT
TRANSPORT
TRANSFERT TRANSPARENT DE BOUT EN BOUT

•STRUCTURATION des BLOCS :


–Messages, segments
–Concaténation/séparation
•SÉCURISATION TRAFIC :
–Contrôle de flux
•MULTIPLEXAGE :
–Niveau Transport
•QUALITÉ de SERVICE :
–Débit moyen
–(An)Isochronie
–Fiabilité
–5 Classes de service OSI
299
Internet
Internet TCP
TCP
Le niveau Transport de l’Internet

Applications HTTP TELNET FTP SMTP RTP/RTCP DNS NNTP

4 TCP UDP

3 ICMP IP IGMP
X25-3
ARP/RARP

PPP
2 LLC
AAL LAP- RNIS LAP-B PQT
SLIP
MAC Réseaux hôtes
Couche physique
1 LANs Couche physique WANs Serial

301
Le
Le protocole
protocole TCP
TCP
Transport
Transport Control
Control Protocol
Protocol

• Fonctionnalités
– • Segmentation re-assemblage des messages
– • Rétablir ordonnancement des paquets
– • Multiplexage vers plusieurs applications (numéro de
port)
– • Service orienté connexion
– • Transfert de données exprès
– • Contrôle de flux
– • Détection des paquets erronés et perdus
– • Récupération des erreurs par ré-émission 302
Le
Le protocole
protocole TCP
TCP (2)
(2)

•Protocole de transport fiable en mode


connecté

•CIRCUIT VIRTUEL :
–Établissement, maintien et fermeture
connexions
–Mode Point à Point en Uni-directionnel
–Bi-directionnel simultané par double
connexions

•CONTRÔLE de FLUX :
–Fenêtrage dynamique
–Temporisateur adaptatif 303
Le
Le protocole
protocole TCP
TCP (3)
(3)

• GESTION des FLUX :

– Flot d’octets non structuré ( Découpage selon

containers IP )

– Rétention octets pour optimisation transferts

– Forçage émission segment non plein si besoin (Push)

– Possibilité d’émission en mode Urgent

– Notion de ports, via SOCKETS (Mise en relation des 304


Le
Le protocole
protocole T.C.P.
T.C.P.

• Protocole de transport fiable en mode connecté


32 bits

0 31

PORT SOURCE PORT DESTINATION

NUMÉRO de SÉQUENCE

NUMÉRO d'ACCUSÉ RÉCEPTION

LNGR N.U. CODE FENÊTRE

F.C.S. URGENCE

OPTIONS (Facultatif) N.U.

... DONNÉES ...

Le segment T.C.P.

305
Le
Le segment
segment TCP
TCP
• ENTÊTE (20 octets) :
– 2 octets : Port application source
– 2 octets : Port application puits
– 4 octets : Numéro de séquence émission (en octets)
– 4 octets : Numéro d ’accusé réception (octets reçus + 1)
– 4 bits : Longueur entête + options (multiple 32 bits)
– 6 bits : Non utilisés
– 6 bits : Code type segment
– 2 octets : Fenêtre d ’anticipation dynamique, indiquant
également la taille du tampon de réception.
– 2 octets : Somme de contrôle
– 2 octets : Pointeur urgence

• DONNÉES :
306
– Options diverses (Variable)
Le
Le segment
segment TCP
TCP

•CODE (sur 6 bits)


–Indique quel est le type du segment (Plusieurs bits
peuvent être positionnés simultanément ):

• x----- URG Données urgentes


• -x---- ACK Accusé réception
• --x--- PSH Segment associé à un « push »
• ---x-- RST Réinitialiser connexion
• ----x- SYN Établissement connexion
• -----x END Libération de la connexion

•FENETRE (2 octets)
–Sert à la fois pour la gestion des buffers, de 307

l ’ ti i ti td é é ti T ill
segment
segment TCP
TCP

• FCS (2 octets)
– Somme de contrôle établie de la façon suivante :
• Somme en complément à 1 par 2 octets (16 bits)
• Résultat enregistré en complément à 1
• A la réception, idem y compris champ contrôle. Le résultat
doit être nul, sinon erreur

• URGENT (2 octets)
– Pointeur indiquant la position des données urgentes
par rapport à la position courante
308

Si le code URG est présent


Notion
Notion de
de PORTS
PORTS (Sockets)
(Sockets)
• Liens entre processus distants leur permettant de
communiquer entre eux, et permettant d ’identifier les
éventuels flux simultanés vers plusieurs applications, ou
différents niveaux applicatifs ou système

• Entier positif compris entre 0 et 5000


• Ports réservés :
– 0 - 215 reservés TCP
– 216 - 1023 réservés UNIX

• Pour établir la communication, l ’émetteur doit fournir


– L ’adresse IP
– Le numéro de port
– La connexion Port
estX unidirectionnelle
réseau Port Y
Processus Processus
A B

309
Processus
Processus de
de connexion
connexion TCP
TCP

310
Gestion
Gestion d
d ’une
’une connexion
connexion TCP
TCP

SOURCE A DESTINATION B

Connection request SYN (SEQ= x)


(SYN = 1; ACK=0)
SYN (SEQ=y, ACK=x+1) Connection accepted
(SYN = 1; ACK=1)
SYN (SEQ=x+1, ACK=y+1)
Connection confirmée
(SYN = 1; ACK=1)

Echange données Echange données


(SEQ=Vs, ACK=Vr+n) (SEQ=Vr, ACK=Vs+m)

END (SEQ=v)
Clear request
(END=1,ACK=0)
END (SEQ= 0, ACK=v+1) Clear confirm
(END=1,ACK=1)

- Les valeur initiales X, Y et V sont aléatoires, fixées par l ’horloge


- Les connexions sont unidirectionnelles; elles doivent être établies dans les deux sens pour une
communication duplex
311
Gestion
Gestion des
des échanges
échanges T.C.P.
T.C.P.
SOURCE A DESTINATION B Tampon Réception
0 8k
SEQ=2048
Envoi 2 k vide

ACK=2049, Fen=6144 2k

SEQ=4096
Envoi 2 k

SEQ=6144 4k
Envoi 2 k

6k
Envoi 2 k SEQ=8192

plein
L’émetteur sait que
L'application
le tampon est plein et
prélève 4 k
part en temporisation ACK=8193, Fen=4096
4k

Envoi 1 k SEQ=9216

SEQ=10240 1k 4k
Envoi 1 k

2k 4k
L'application
préléve 2 k
ACK=10241, Fen=4096
2k 2k

312
Internet
Internet UDP
UDP
Le
Le PROTOCOLE
PROTOCOLE U.D.P.
U.D.P.
User
User Datagram
Datagram Protocol
Protocol

• Protocole de transport non fiable en mode non connecté


• PAS de CONNEXION :
– Envoi de messages de bout en bout avec minimum de
fonctionnalités.

• PAS de CONTRÔLE de FLUX :


– Pas de garantie d ’arrivée
– Pas de contrôle de séquencement

• SÉCURISATION :
– Somme de contrôle (Dont pseudo-entête) 314
Le
Le PROTOCOLE
PROTOCOLE UDP
UDP

32 bits

0 31

ADRESSE IP SOURCE
Pseudo
ADRESSE IP DESTINATION
Entête
RÉSERVÉ LONGUEUR UDP

PORT SOURCE PORT DESTINATION

LONGUEUR MESSAGE TOTAL CONTROLE

... DONNÉES ...

Message UDP = DATAGRAMME UDP


315
Le
Le datagramme
datagramme UDP
UDP
•PSEUDO-ENTÊTE (12 octets) :
–( En provenance de l ’entête I.P. )
–4 octets : Adresse source
–4 octets : Adresse Destination
–2 octets : Pour mise au point
–2 octets : Longueur totale UDP (Dont pseudo
entête)

•ENTÊTE UDP (8 octets) :


–2 octets : Numéro de port source
–2 octets : Numéro de port destination
–2 octets : Longueur datagramme (entête +
données) en octets 316
Autres…
Autres…
Le
Le protocole
protocole IGMP
IGMP
Internet Group Management Protocol

• Envoi de datagrammes en mode multipoints


–Utilisation classe D d ’adresses

–Messages périodiques de contrôle

–Gestion dynamique du groupe

–Tout message émis d ’un station est transmis à


tout le groupe

318
Intégration
Intégration TCP(UDP)/IP
TCP(UDP)/IP dans
dans le
le Réseau
Réseau
Local
Local

Hôte A Hôte B

APPLICATION APPLICATION
RÉSEAU LOCAL
TCP (UDP) TCP (UDP)
IP (Datagrammes)
IP IP

LLC LLC

MAC MAC MAC MAC

physique physique physique physique

319
Internet
Internet sur
sur Ethernet
Ethernet
• Trame IEEE 802 (Rfc 1042) - IP dans LLC
Préambule Adresse Adresse Longueur LLC 1 CHARGE UTILE CRC
destination source

8 OCTETS 6 OCTETS 6 OCTETS 2 OCTETS 3 OCTETS 38 à 1492 OCTETS 4 OCTETS

• Trame Ethernet (Rfc 894) - IP dans MAC

Préambule Adresse Adresse Type CHARGE UTILE CRC


destination source

8 OCTETS 6 OCTETS 6 OCTETS 2 OCTETS 46 à 1500 OCTETS 4 OCTETS

• La trame RFC 894 est la plus usitée. Cette RFC impose des datagrammes
IP de 1500 octets maximum (MTU), et recommande des tailles TCP évitant
la fragmentation.

320
RSX101
RSX101
Réseaux
Réseaux et
et Télécommunications
Télécommunications

Diaporama séance 12

Les Réseaux Haut Débit


Les
Les évolutions
évolutions Réseaux
Réseaux
Les
Les évolutions
évolutions réseaux…
réseaux…

•Objectifs recherchés:
–Grands débits
–Meilleurs temps de transfert
–Mais aussi…
–Qualité de service
–Surveillance réseau
–Suivi coûts et imputations
–Adaptation aux besoins
–Sécurité
–Interopérabilité 323
Le
Le suivi
suivi de
de la
la Qualité
Qualité de
de Service
Service

• Via des Engagements de Service (SLA - Service Level


Agreement). Ceux-ci garantissent niveau de débits, délais
d’attente, temps moyen de réparation, priorités de trafic
ainsi que QoS.

• Les réseaux à haut débit modernes permettent de


respecter ces contraintes.

• Les protocoles Internet anciens ne savent pas satisfaire à


ces exigences, une nouvelle génération d’ IP VPN sait y
remédier. 324
Aménagements
Aménagements TCP
TCP
• La QoS initiale de TCP est insuffisante.
– Pour satisfaire aux exigences précitées, il requiert au
niveau Réseau, l’intervention d’un protocole RSVP:
Ressource Reservation Protocol
• – Permetde réserver dans les routeurs des ressources
permettant de
• garantir un débit, délai de traversée...
• – C’est le destinataire qui est à l’origine des réservations en
fonction de la
• QoS attendue
• – Nécessite des échanges de paquets de signalisation
• – Différentiation de service (DiffServ) avec définition de classes
de services de qualités différentes
• – Marquage des paquets et traitement prioritaire dans les
routeurs 325
Le
Le «
« Priority
Priority Queuing
Queuing »
»
• La fonction QoS du Priority Queuing est de plus en plus
fréquemment incluse dans les caractéristique de base des
routeurs.
• Cela consiste en une mise en files d'attente par priorités
(priority output queuing) permettant à l'administrateur de
réseau de définir quatre ou cinq niveaux de priorité pour
les flux réseau : haute, normale, moyenne, basse ou
aucune pour chaque interface et chaque protocole.
• Tout paquet entrant dans le routeur est affecté à l'une de
ces files d'attente. L’ordonnancement des ces files est fait
de façon à assurer le respect des débits, y compris durant
les périodes de congestion. Les données de priorité haute
326
Traitement
Traitement des
des priorités
priorités

• Files multi-niveaux sans retroaction


– Priorité croissante par niveaux (4…0)
– Priorité reste fixe à chaque niveau
– Tq = Quantum = nombre de paquets prélevés à chaque tour
– Quanta différents par niveaux, définis par administrateur
– La valeur du quantum peut changer en cas de congestion, de façon à
satisfaire les priorités les plus élevées, et pour la file à priorité nulle, les
paquets seront alors souvent détruits.

Priorité max 4 Tq = a
3 Tq = a/n1
2 Tq = a/n2
1 Tq = a/n3
0 Tq = a/n4

327
Techniques
Techniques de
de gestion
gestion des
des priorités
priorités

• Les outils de gestion de la bande passante


permettent d'allouer en priorité la bande passante
aux flux critiques, interactifs, pour le "métier" de
l'entreprise en diminuant en compensation la
priorité des flux non critiques. Certains produits
combinent plusieurs fonctions pour mettre en
oeuvre cette gestion de priorités avec une charge
minimisée pour l'administrateur réseau, en
mettant en œuvre certaines techniques:
– Reconnaissance des flux par signature applicative
(niveau OSI 7) pour allouer la bande passante aux
applications identifiées comme critiques et non aux
328
Exigences
Exigences et
et niveaux
niveaux de
de services
services

Type de flux / Qualité Service Fiabilité Tps Transfert Isochronisme Débit


Téléconférence forte faible fort fort
Audio moyenne moyen fort fort
Téléphonie faible fort fort moyen
Session Client/serveur forte faible nul moyen
Accès Web moyenne moyenne nul moyen
Transfert fichier forte faible nul moyen/fort
Courrier Electronique forte faible nul faible

•Classification ISO
–5 Classes de débits
•Isochrone exigent (faible gigue), débit fixe

•Isochrone lâche (gigue tolérée), débit variable

•Débit variable

•Débit sporadique
329
•Débit aléatoire
Le
Le plan
plan unique
unique du
du modèle
modèle OSI
OSI (rappel)
(rappel)

Applications

Présentation

Session

Transport

Réseau

Liaison

Physique
Médium

Ce modèle a été élaboré à une époque où les flux étaient essentiellement de type données
alphanumériques, sans impératifs autres que le débit (et encore!)...

330
La notion de Plans Multiples du modèle
UIT-T

PLAN CONTROLE PLAN GESTION


Surveillance et signalisation Sécurité
Qualité de service

PLAN USAGER
Transport de l'information
APPLICATION

PRÉSENTATION
Aujourd’hui, avec l’avènement du
multimédia, les exigences sont
tout autres…
Il en va de même pour les LIAISON
multiples aspects de maintenance
et de gestion, ce qui accroît PHYSIQUE
notablement les variétés de
Médium
protocoles à mettre en œuvre.

331
Le
Le plan
plan usager
usager

•Transport de l ’information
–Couches basses :
•Modulation
•Accès au médium

–Couches moyennes :
•Gestion circuits
•Fiabilisation de base
•Fragmentation

–Couches hautes :
•Gestion sessions
•Connexions applicatives
•Présentation de base 332
Le
Le plan
plan gestion
gestion

•Qualité de Service
–Fiabilité
–Priorités
–Débits
–Synchronisations

•Sécurité
–Authentification
–Confidentialité
–Tunneling
333
Le
Le plan
plan Contrôle
Contrôle

•Routage
–Choix des algorithmes
–Équilibrage
–Optimisation
•Fonctionnement
–Signalisation
–Surveillance
–Mécanismes de repli
•Trafic
–Contrat usager
–Imputations 334
A
A .. T
T .. M
M ..
Présentation
Présentation

Jean-Claude KOCH
A
ATTM
M

• Aspects Techniques:
– Commutation de "paquets" de taille fixe et réduite :
• les CELLULES (53 Octets : 5 d’entête + 48 de
charge)

– Multiplexage temporel asynchrone indépendant du débit


du canal
– Mode connecté (chemin virtuel)
– Haut débit (jusqu'à 155 millions de bit/s sur paire
torsadée)

336

A li ti
Historique
Historique ATM
ATM
• Examen et rejet de la commutation de circuit :
débit fixe pas souple
• Examen et rejet de la commutation de paquets :
non isochrone

• Choix de la commutation de cellules :


– Simplicité (longueur fixe) : émulation de circuit
isochrone possible
– Flexibilité : connexion virtuelle multiplexable, débit
adaptable
• Allègement des protocoles (fiabilité des lignes)
– Simplification du traitement des erreurs et du contrôle
de flux 337

( d ll l é )
Les
Les Multiplexages
Multiplexages STM
STM // ATM
ATM

1 2 3 29 30 31

TRAME

STM = Synchronous Temporel Multiplexer

29 3 29 1 3 31 2 30

TRAME

ATM = Asynchronous Temporal Multiplexer


(Multiplexage Statistique)

338
Principales
Principales caractéristiques
caractéristiques
•En tête de cellules réduit (5 octets)
–Identification de la connexion logique
–Mécanisme de détection d'erreur dans l'entête
–Fonctions de maintenance
–Contrôle de flux élémentaire (autorisation suppression
cellule si congestion)
•Routage en mode Connecté :
–Établissement d'une connexion logique avec
réservation des ressources
•Universalité du réseau :
–Nombreux niveau de Qualités de Services
•Simplification des protocoles :
–Pas de protection contre les erreurs sur les données ni
contrôle de flux. (Report en couches supérieures si 339
Temps
Temps de
de transferts
transferts comparés
comparés
Exemple de temps comparés avec 3 segments et 4 nœuds

Te Tt Mode «PAQUET»
1

3
Tp
4
T1
Mode «CELLULE»
1
Te : temps émission paquet
Tp : temps de propagation
2 Tt : temps de transit commutateur
T1 : temps de transfert paquet
3 T2 : temps de transfert cellule

4
T2
340
Architecture
Architecture ATM
ATM

Couches B Couches
supérieures supérieures

AAL AAL
A
ATM ATM ATM ATM
physique physique physique physique

A Délimitation unités de données, B Segmentation, ré-assemblage,


Détection d ’erreurs (entête) Traitement d ’erreurs (pertes
Commutation cellule de cellules)

341
Couche AAL :: Atm
Couche AAL Atm Adaptation
Adaptation
Layer
Layer
Composée de 2 niveaux entre les couches "Utilisateurs" et la couche de
transmission ATM

•Sur ATM : SAR (Segmentation And Reassembly)


–Indépendante des services. Segmentation en cellule
(numérotation et bourrage ) et réassemblage.

•Niveau supérieur : CS (Convergence Sublayer)


–Synchronisation de bout en bout selon prestations
demandées.
–Classes de services/ classes de débits
•AAL1 : émulation de circuit : Isochrone débit fixe : Voix
•AAL2 : émulation de circuit : Isochrone débit variable : Vidéo
compressée 342
Répartition
Répartition des
des classes
classes de
de débits
débits

U.B.R. A.B.R.

V.B.R.

C.B.R.

CBR : émulation de circuit : Isochrone débit fixe


VBR-rt : émulation de circuit : Isochrone débit variable
VBR-nrt : émulation de paquet : Débit variable
ABR : émulation de paquet : Débit sporadique
UBR : Aléatoire

343
La
La relation
relation classes
classes SERVICES
SERVICES // classes
classes
DÉBITS
DÉBITS
CLASSES DÉBIT
CBR VBR-rt* VBR-nrt* ABR UBR
FONCTIONALITÉS

Isochronisme oui non

Débits fixe variable

Mode connecté Au choix Non connecté

Voix/video Voix/video Transfert Interco. Internet


Utilisation
interactive compressée données réseaux web

AAL AAL1 AAL2 AAL3 AAL4 AAL5

Contraintes isochronisme fiabilité

* rt = Real Time (Temps réel) - nrt = Not Real Time

344
Le
Le RELAIS
RELAIS de
de TRAMES
TRAMES
Présentation
Présentation

Jean-Claude KOCH
RELAIS
RELAIS de
de TRAME
TRAME
(Frame
(Frame Relay)
Relay)

•Concept de base :
–Simplification des protocoles au niveau des nœuds en
minimisant les contrôles et en portant le routage au
niveau 2.

•Dans les nœuds (Noyau, assimilable à couche


MAC)
–Vérification par FCS, et élimination si erreur (Pas de
reprise)
346
Routage par lien virtuel au niveau 2
RELAIS
RELAIS de
de TRAME
TRAME
Architecture
Architecture

EOP EOP
Liaison A Liaison
Noyau Noyau Noyau Noyau
physique physique physique physique

A Délimitation unités de données, B Acquittements


Détection d ’erreurs Traitement d ’erreurs (reprises)
Routage par liens virtuels Contrôle de flux

347
Contrôle
Contrôle de
de flux
flux

•Souscription d ’un contrat :


–De «Débit Moyen Garanti» et «Débit Maximum
Autorisé»
–(CIR - Committed Information Rate)

•Respect du contrat par :


–Transmission de toutes les trames comprises dans le
«débit moyen garanti»
–Destruction éventuelle si engorgement des trames au
dessus de ce débit et d ’une valeur maximale autorisée
–Destruction systématiques des trames au dessus de
ce maximum autorisé. 348
Contrôle
Contrôle de
de Congestion
Congestion (Suite)
(Suite)

DÉBIT

Trames systématiquement supprimées

DMA
DMA

Trames supprimées si engorgement

DMG
DMG

TEMPS

349
Utilisation
Utilisation du
du Relais
Relais de
de Trames
Trames

• Interconnexions longues distance de réseaux


locaux
– Jusqu ’à 2.048 kbps
– Trames de 4096 octets maximum

• Bien adapté aux réseaux virtuels


• Cohabitation facile avec
Au lieu autres
de (exemple X25) réseaux

niveau 3 IP IP IP X25 X25 IP


• Évite l ’encapsulation IP :
niveau 2 Relais de Trame LAP-B

350
• Ces deux types de réseaux seront étudiés plus
en détail dans une autre U.E.

• Seuls les principes de base seront à retenir ici,


pour une meilleure compréhension de certaines
évocations dans les chapitres suivants, et une
préparation à l’étude plus approfondie de
l’évolution des réseaux 351
RSX101
RSX101
Réseaux
Réseaux et
et Télécommunications
Télécommunications

Diaporama séance 13

Boucle Locale & Satellites


La
La boucle
boucle locale...
locale...
• Ou comment accéder aux réseaux étendus depuis
son lieu d’activité… Où qu’il se trouve!
– Aux meilleures conditions de performance
– De fiabilité
– De coût (d’installation et d ’utilisation)
• Plusieurs solutions possibles
– La paire téléphonique standard
• Elle est partout, mais ne sera performante que sur de
faibles distances avec le point de raccordement réseau
– Le câble TV
• Lorsqu’il arrive dans le lieu considéré
– Le raccordement à l ’énergie électrique
• Dans le même tuyau, l ’énergie et les données.
Séduisant…lorsque la politique le favorise...
– Les ondes hertziennes
• Qui permettent de s ’affranchir des contraintes 353
Modem
Modem analogique
analogique
Le
Le Réseau
Réseau téléphonique
téléphonique commuté
commuté (RTC)
(RTC)

• Conçu pour véhiculer la voix. Caractéristiques :


– Transmission analogique jusqu’à l’abonné
– Bande passante limitée à 4 KHz
– Liaison entre correspondants en mode commutation
de circuit.

• Conséquences
– Information numérique issue de l'ordinateur
transformée en signal analogique, via un modem
– Débit maximum d'information est théoriquement limité
à 34 Kbps environ (théorème de Shannon)
– Canal de communication bloqué et généralement mal
355
utilisé
La
La boucle
boucle Locale
Locale Analogique
Analogique

– Le raccordement utilisateur-réseau se fait via un modem


• Comment fonctionne un modem ?
– A l'émission, le modem génère une porteuse de fréquence fixe,
qu'il module en phase et en amplitude. A la réception, le signal
est démodulé.
– Les technique de modulation en treillis sont couramment
appliquées.
– Grâce à ces techniques et quelques autres, on atteint des débit
maxima de 56 Kbps.

356
Modems
Modems &
& Codecs
Codecs
Ordinateur

Commutateur

Jonction
(numérique) Commutateur Codec
...
Boucle locale Local
Commutateur Boucle locale
(analogique)
de Transit ... MODEM
Codec

Local

Artères Longue Distance


(numériques)

Liaison téléinformatique via réseau commuté


(les signaux analogiques provenant du modem sont codés pour être transmis en numérique !)

357
Quelques
Quelques Normes
Normes de
de Modems
Modems Analogiques
Analogiques

• 1970 V 21 : 300 bps sur RTC


• 1975 V 22 : 1.200 bps sur RTC
• 1982 V 22 bis : 2.400 bps sur RTC
• 1985 V 27 : 4.800 bps sur LS
• V 27 bis : 4.800 bps adaptatif avec
repli 2.400 bps
• V 27 ter : 4.800 BPS pour RTC
• 1987 V 32 : 9.600 bps pour RTC
• 1991 V 32 bis : 14.400 bps avec replis
jusqu’à 4.800 bps sur RTC
• 1993 V 34 : 28.800 bps sur RTC
• 1997 V 90 : 56.000 bps sur RTC 358
Norme
Norme V92
V92

• Temps de connexion (jusqu'à 40 % plus rapide)

• Mémorisation des paramètres de négociation de la

connexion avec le FAI lors du 1er appel..

• Fonction « Hold On» pour prise de communication

téléphonique et mise en attente de la connexion Internet.

• Compression optimisée qui réduit le temps de

téléchargement des pages HTML. (Norme V.44 au lieu de

V.42 bis) 359


Connexion
Connexion type
type au
au RTC
RTC

Modem Modem

... RTC ...

CLIENT
SERVEUR

360
Architecture
Architecture protocolaire
protocolaire type
type d’une
d’une
connexion
connexion RTC
RTC

ETTD
SYSTEME
SYSTEME
UTILISATEUR
UTILISATEUR
Internet
IP
Modem PPP

Boucle V90 (92) V90 (92)


R.T.C. Locale

Note : La connexion Modem/ETTD de type V90 est en fait réalisée via le driver, à l’aide d’un
langage de niveau supérieur (commandes Hayes, déjà évoquées lors de l’étude de la couche
physique).

361
x.D.S.L.
x.D.S.L.
Les
Les techniques
techniques xDSL
xDSL
Digital
Digital Subscriber
Subscriber Line
Line

• « Dopage » de la paire téléphonique standard.


Différents préfixes pour :

– Asymetrical … : Flux montant & descendant de débits

différents

– High data rate … : Symétrique haut débit

– Single line … : Une seule ligne

– Very high … : En cours de développement 50Mbps 363


Performances
Performances xDSL
xDSL

ADSL SDSL HDSL VDSL RADSL


Mode de transmission asymétrique symétrique symétrique asymétrique asymétrique
Nombre de paires 1 1 2 2 1
Débit descendant (Mbps) 0,536 à 6,1 0,768 1536 à 3072 13 à 51 0,160 à 4,6
Débit montant (Mbps) 0.016 à 0.640 0,768 1536 à 3072 1.536 à 3072 1,016 à 1536
Distance max (Km) 5,5 3,6 5,5 1,5 5.5 à 1.5

•Techniques utilisées :
–Traitement du signal
–Compression statistique

364
Connexion
Connexion ADSL…
ADSL…

• Conditions nécessaires (mais non suffisantes!)


pour pouvoir bénéficier de l’ADSL:
– Être situé à moins de 5 km d’un autocommutateur
– Être abonné au téléphone
– Être dans une zone de dégroupement

• Pour qu’elles deviennent suffisantes, il faut de


plus:
– Avoir souscrit un abonnement ad hoc
– Avoir la configuration matérielle adaptée
– Avoir installé et paramétré sa configuration logicielle365
Qu’est-ce
Qu’est-ce que…
que…

• … Le Dégroupage ?
– Indispensable pour pouvoir bénéficier de l’ADSL!
– Cela signifie :
• 1/ Que l’autocommutateur téléphonique desservant la zone
locale est équipé d’un DSLAM (DSL Access Mode), c’est à
dire des équipements nécessaires à la fourniture du service
xDSL.
• 2/ Que le propriétaire de l’autocommutateur (qui peut être
différent de celui du DSLAM) accepte de déconnecter
physiquement de ses réglettes les paires cuivres desservant
les abonnés pour les raccorder à celles du DSLAM.

366
Les
Les techniques
techniques ADSL
ADSL

• Distribution des bandes passantes :


Puissance

Canal Canal Canal


téléphonique montant descendant

Fréquences

1khz 10khz 100khz 1Mhz 10Mhz


0 4khz 150khz 0.4Mhz 2.3Mhz

16kbps 640kbps 1.5Mbps 8Mbps Débit binaire

367
Architecture
Architecture réseau
réseau ADSL
ADSL
Serveur
R.T.C.
LAN
Pont/Routeur

Réseau ATM B AS
... Abonné 1
Switch Modem
ATM

DSLAM
MUX N lignes

@
ADSL abonnés
Routeur
IP

... Abonné N

Modem

POTS
R.T.C.
BAS = Broadband Access Service
DSLAM = DSL Access Module
POTS = Plain Old Telephon Services
368
Architecture
Architecture protocolaire
protocolaire d’un
d’un ADSL
ADSL (1)
(1)

SYSTEME
UTILISATEUR ETTD

Internet
SYSTEME
OPÉRATEUR MODEM IP

DSLAM AAL5 PPPOE PPPOE

ATM ATM MAC MAC

SDH ADSL ADSL Ethernet Ethernet

Vers FAI Boucle


Locale

Schéma d ’une liaison Utilisateur/DSLAM


369
La
La trame
trame PPPoE
PPPoE
Point
Point to
to Point
Point Protocole
Protocole Over
Over Ethernet
Ethernet (rfc
(rfc 2516)
2516)

32 bits

0 31

VER Type Code ID Session

Longueur charge Type protocole niveau 3

CHARGE

Trame « Session » de PPPoE

370
La
La trame
trame PPPoE
PPPoE
Point
Point to
to Point
Point Protocole
Protocole Over
Over Ethernet
Ethernet (rfc
(rfc 2516)
2516)

•Fonctionne en 2 étapes protocolaires


–Phase de découverte (Discovery Stage) pour
identification et négociation des paramètres de session
P2P (Port to Port)
–Phase de session (Session Stage) pour les échanges
•Champs :
–VER = version (actuelle 0_1)
–Type = Type trame (0_1 actuellement)
–Code = Pour phase de découverte, 0_0 pour trame de
session
–ID Session = Généré lors de la phase de découverte. 371
Architecture
Architecture protocolaire
protocolaire d’un
d’un ADSL
ADSL (2)
(2)

SYSTEME
SERVEUR
PONT/ROUTEUR Internet
BAS
IP IP IP
DSLAM
AAL5 L2TP L2TP PPPOE PPPOE
ATM ATM Relais Relais MAC MAC
SDH ADSL ADSL Trames Trames Ethernet Ethernet

Réseau ATM

Schéma d ’une liaison Serveur/DSLAM

372
Connexion
Connexion ADSL
ADSL avec
avec partage
partage IP
IP

Téléphone
analogique

@
INTERNET

Réseau ADSL

Filtre
ATM ADSL Modem Routeur
ADLS
Ethernet

Hub

373
La
La Télévision
Télévision via
via ADSL
ADSL

374
La
La B
BLLR
R
Les
Les Boucles
Boucles Locales
Locales Sans
Sans Fils
Fils

•Les RADIOMODEMS
– - Bidirectionnel - 2 canaux simplex sur
fréquences différentes
– - Bande des 2.4 Ghz
– - Portée 10 à 20 Km
– - Débit 20 à 50 kbps
– - Client type : ligne dédiée

•La BLR (Boucle Locale Radio) ou LDMS (Local


Multipoints
•Distributed Services) 376
La
La Boucle
Boucle Locale
Locale Radio
Radio (BLR)
(BLR)

Station
de base

Station
locale

PABX
TÉLÉPHONIE

ROUTEUR

RÉSEAUX LOCAUX

Réseau Opérateur

377
Le
Le D
DEEC
CTT
(Digital
(Digital Enhanced
Enhanced Cordless
Cordless Communication)
Communication)

•Ancêtre du CPL, la technologie DECT, créée par


les Suédois dans les années 70, permet des
liaisons radio résidentielles.

•Essentiellement destinée à la connexion avec


un PABX d ’entreprise, il s’est également
largement répandu chez les particuliers
(téléphone « mobile » domestique)
– - Bidirectionnel - 2 canaux simplex sur 378
Les
Les Satellites
Satellites
Les
Les Satellites…
Satellites…

• Difficile de les classer, car il peuvent être vus à


la fois comme :

– Réseau Étendu (cellulaire)


– Réseau Métropolitain (de vaste dimension!)
– Boucle locale (mais souvent uniquement en
diffusion!)

380
Les
Les SATELLITES
SATELLITES

LEO (Low Earth Orbital) : 300 à 3.000 km


MEO(Medium Earth Orbital) : 3.000 à 36.000 km
GEO (Geosynchronous --- ) : 36.000 km (*)
HEO (High Earth Orbital) : > 36.000 km

(*) Les satellites Géostationnaires doivent de plus être sur orbite équatoriale… Ce qui fait
que les places commencent à y être chères!
381
Les
Les SATELLITES
SATELLITES

•Géostationnaires ou à défilement

•10 à 50 transpondeurs à flux combinés

•Spots variant de qq km à plusieurs miliers selon

altitude

•Délais de transmission variant selon altitude


382
Les
Les constellations
constellations satellitaires
satellitaires

Iridium : 66 satellites à 700 km - Sauvé in extremis !


GlobalStar : 48 satellites à 1.000 km - En mauvaise passe !
ICO : 10 satellites à 10.000 km
INMARSAT : 3 satellites à 36000 km

383
Galliléo...
Galliléo...

Future constellation européenne (ESA = European Space Agency)


pour le positionnement terrestre et maritime:
- 30 satellites MEO
- Opérationnel en 2008 ?
- Précision : 2 m

384
RESEAUX
RESEAUX SATELLITES
SATELLITES
•TYPE DE SATELLITES :
•HEO (High Earth Orbital)
•Orbite a plus de 36 000 km de la terre
•GEO (Geosynchronous Earth Orbital, Géostationnaires)
•Orbite a 36 000 km de la terre
•courbe de rayonnement : 120 degrés
•Temps de propagation aller-retour : 0,24 seconde
•Bandes passantes 4-6, 12-14, 20-30 GHz
•MEO (Medium Earth Orbital)
•Orbite : 5000 à 25000 km
•LEO (Low Earth Orbital)
•Orbite entre 500 et 2500 km
•Plusieurs satellites a défilement
•Temps de propagation : quelques millisecondes
385
•Bande passante : 1 à 1,6 GHz
RESEAUX
RESEAUX SATELLITES
SATELLITES
Méthodes
Méthodes dd ’accès
’accès

•1 - ACCES ALEATOIRE
–ALOHA (Hawaï) et améliorations
•2 - MULTIPLEXAGE
–Fréquenciel :
•AMRF : Accès Multiple à Réservation de Fréquence =
•FDMA : Frequency Division Multiple Access
–Temporel :
•AMRT* : Accès Multiple à Répartition dans le Temps =
•TDMA : Time Division Multiple Access
•CDMA** : Code Division Multiple Access (Partage
dynamique)
– 386
LES
LES SERVICES
SERVICES
•STATIONS FIXES
•Diffusion (sans retour) :
–Point-Point
–Point à Multi point
•Acquittement (éventuel)
–Par voie terrestre
–Par satellite
•Organisation
–Mondiale INTELSAT
–Europe EUTELSAT
–France TELECOM II (France Télécom)

•STATIONS MOBILES 387

O i ti INMARSAT (GEOS)
TELECOM II (1991)

• Remplacement de Télécom I (1984) par deux


satellites géostationnaires (2A et 2B) :
– un seul actif à la fois
– une trentaine de canaux (TV, Téléphone, Transmission
de données, Radio)
– accès : AMRT
– débit : de 2,4 à 2048 K bits/s

• Service TRANS DYN (France Télécom)


– Liaison spécialisée numérique utilisant Télécom II
388
Permanentes temporaires ou à temps partiel
Le
Le système
système VSAT
VSAT
(Very
(Very Small
Small Aperture
Aperture Terminal)
Terminal)

SATELLITE
SATELLITE

HUB

VSAT
VSAT

• Système VSAT (Very Small Aperture Terminal : Micro-stations mobiles


aisément déplaçables. Ces stations font appel à une station HUB fixe
pour effectuer les relais (délai de transmission alors doublé ! ). Les
satellites sont de type MEO.
• Ce systéme est également largement utilisé en WAN aux US et dans les
pays vastes et de faible développement structurel en moyens 389

classiques (Pays de l’Est moyen Orient ) Le HUB est alors raccordé


Sur
Sur les
les retards
retards français...
français...

… cependant
cependant en
en train
train de
de se
se combler
combler !!

• ADSL : Jusqu’en fin 2001, opposition de F.T. aux


conditions de dégroupage et retard
technologique interne initial.

• Satellites : Une constellation est d ’un prix


inabordable pour un seul pays comme France.
Projet européen en cours (Galliléo).
390
RSX101
RSX101
Réseaux
Réseaux et
et Télécommunications
Télécommunications

Diaporama séance 14

Les Réseaux Métropolitains


La hiérarchie des réseaux

Débit

pipelines
1Tbps

1Gbps Bus
Réseaux Réseaux Locaux
Réseaux Métropolitains
Privés
Canaux E/S Réseaux étendus
1Mbps

1Kbps

1cm 1m 10m 100m 1km 10km 100km


10cm
Distance

392
Place
Place des
des Réseaux
Réseaux Métropolitains
Métropolitains

RÉSEAU LOCAL
RÉSEAU LOCAL

PONT
ROUTEUR
PONT
ROUTEUR

M.A.N.

ROUTEUR
PONT

RÉSEAU ÉTENDU

Accès
individuel

393
Pourquoi
Pourquoi des
des MAN
MAN ’s
’s ??

•Limites des Lans :

–Limitations en distance

–Limitations en nombre de stations

•Limites des Wans :

–Limitations en débits
En France, les réseaux métropolitains explosent depuis que les communes sont
autorisées à jouer le rôle d’opérateurs
–Coûts élevés

394
Caractéristiques des Réseaux
Métropolitains
• LOGIQUE : Fédération de réseaux locaux ou d’utilisateurs isolés
• PHYSIQUE : Anneau ou étoile… Ou maillé
• DISTANCE : Jusqu’à plusieurs dizaines de kilomètres
• DEBIT : Au moins 1 Gbits/s
• PROTOCOLES :
- FDDI - DQDB - Seront simplement abordés car obsolètes
aujourd’hui.
- BLR – N’a pas eu un grand essor dans notre pays, car nécessité
d’une licence opérateur très onéreuse.
- CATV - Très développé dans certains pays, moins en France, mais
en expansion constante.
395
ETHERNET C’est l’explosion dans ses versions à haut débit sur
Les
Les «Anciens»
«Anciens» MAN
MAN

• Les quelques diapositives qui vont suivre font un


panorama rapide de deux technologies qui ont eu
leurs heures de gloire comme réseaux MAN ou
Fédérateurs : FDDI & DQDB.
• Ces deux technologies sont aujourd’hui obsolètes, car
dépassées, trop complexes et trop onéreuses.
• Il en demeure néanmoins encore quelques vestiges…
et certains aspects y sont intéressants à connaître,
notamment en matière de premières tentatives de
396

respect de QoS
Le
Le réseau
réseau FDDI
FDDI -- 2
2
Fiber
Fiber Distributed
Distributed Data
Data Interface
Interface
FDDI
FDDI :: Généralités
Généralités
•Normes ISO 9314
•Principe de l’anneau à jeton temporisé
•Interconnexion native avec protocoles 802.n
•Couche LLC compatible 802
•Double anneau contra-rotatif
•Repli automatique sur dégradation
•Définition initiale à 2 x 100 Mbps
•Première évolution à 155,52 Mbps (FDDI-2)
•Évolution vers 2 x 2.5 Gbps (FFOL- Follow On Lan)
•Distance max entre raccordements :
–2 km sur fibres multimode
–60 km sur fibres monomode 398
Topologie double boucle en contra-
rotation
RACCORDEMENTS RACCORDEMENTS
type A (DAS) type B (SAS)

CONCENTRATEUR En mode dégradé avec


CONCENTRATEUR type DAC reconfiguration automatique
type DAC

CONCENTRATEURS
type SAC

STATIONS
type A (DAS)

STATIONS
type B (SAS)

En fonctionnement normal

399
FDDI : Variantes

• FDDI 2 :
- Service asynchrone et isochrone (voix & multimédia)
- Mode : paquet ou circuit (

• FFOL (FFDI FOLLOW ON LAN)


- Très hauts débits
- Interconnexion possible avec ATM

• PDDI Twisted Pair Distributed Data


Interface
- CDDI Copper DDI : paire torsadée non blindée 400
Les
Les protocoles
protocoles FDDI
FDDI -- 2
2

OSI

3 RÉSEAU

• LLC : Logical Link Control LLC


2
• DLL : Data Link Layer DLL

MAC
• MAC : Medium Access
Control PHY
PL
1
PMD
• PHY : Physical Layer
• PL : Physical Layer
• PMD : Physical Medium
Dependant
401
La
La couche
couche physique
physique (P.L.)
(P.L.)

• Sous-couche PMD (Pysical Medium dependant)


– Accès au médium :
• Sonet
• Fibre optique multi ou mono-mode
• Paire torsadée
– Norme ISO 9314.3

• Sous-couche PHY (Physical Layer)


– Synchronisation / échantillonnage
– Codage / décodage 4B / 5B
– (4 Bits données = 5 Bits NRZI)
402
Norme ISO 9314 1
Le
Le codage
codage «
«44B
B // 5
5BB»
»

•Du fait d’un codage en bande de base, pour éviter la désynchronisation


des éléments terminaux de niveau physique, on doit éviter les suite trop
importantes de bits d’une même valeur.
•En 4B5B, on assure une transition au minimum par groupe de 4 bits.
Pour ce faire, on rajoute un bit supplémentaire, et l’on bâtit une table de
codage sur 5 bits assurant la présence de cette transition.

–Table de codage 4B5B :


– 4B 5B 4B 5B
– 0000 11110 1000 10010
– 0001 01001 1001 10011
0010 10100 1010 10110
0011 10101 1011 10111
0100 01010 1100 11010
0101 01011 1101 11011
0110 01110 1110 11100
0111 01111 1111 11101
403
La
La sous-couche
sous-couche PHY
PHY

• Gestion du partage du médium:

– Trames isochrones : Gestion du protocole


d ’attribution pour respect de l ’isochronisme à raison
d’un trame toutes les 125 µs.

– Trames asynchrones : Gestion du protocole


d ’attribution pour respect du débit moyen.
404
Gestion
Gestion trames
trames synchrones
synchrones

• Trames synchrones :
– Conçues selon hiérarchie plésiochrone :
• 8.000 trames par seconde (125 µs entre trames)

• 16 canaux T2 par trame

• 1 canal T2 = 4 x T1 = (4 x 24) IT = 96 octets

• 16 canaux T2 = 16 x 96 x 64 Kbps = 98,304 Mbps

– Canal synchrone type circuit (réservé jusqu ’à


libération)

– Masque en tête de trame indiquant les IT libres


405
Gestion
Gestion des
des trames
trames asynchrones
asynchrones
• Principe du « Jeton Temporisé » :
– A l’initialisation de l’anneau, le protocole détermine selon
quel délai moyen chaque station doit recevoir un jeton, et
quel est la durée moyenne de rétention (d’émission) en
fonction du débit négocié.
– Si le jeton tourne plus vite, la station diminue son temps
d’émission,
– S’il arrive moins vite, elle augmente ce temps,
– S’il tarde trop, elle émet un nouveau jeton…
– Le tout géré par des compteurs détenus par chaque station
(contrôle réparti) :
• TRT (Token Rotation Timer) : Temps de rotation du jeton (à
Note : Nouscompter de pas
ne rentrerons réception du précédent)
dans le détail de cet algorithme complexe… et si peu utilisé!
• THT (Token Holding Timer) : Quantum de temps de transmission
accordé à la station. Calculé selon débit négocié 406
La
La couche
couche liaison
liaison (D.L.L.)
(D.L.L.)

• Sous-couche MAC ( Medium Access Control)


– Norme ISO 9314.2
– Assez proche de 802.5 (Token ring) disent certains…
Sauf que :
• Full duplex au lieu de alterné
• Les trames ne font pas la rotation complète
• Les priorités sont gérées comme en 802.4
• Il existe une notion de Qualité de Service
• Les quanta sont temporels et non en trames
• Il peut y avoir plusieurs jetons sur anneau
• Il y a 2 types de trames (asynchrones et synchrones) 407
Le
Le réseau
réseau DQDB
DQDB
Distributed
Distributed Queue
Queue Dual
Dual Bus
Bus
DQDB
DQDB :: Généralités
Généralités

•Norme 802.6
•Double bus ouvert en opposition de sens
•Cellules de 53 octets (Compatibles ATM)
•Émission permanente de trames
•Débit de base 155,52 Mb/s (SDH STM1)
•Évolution vers 2,488 Gb/s (STM 16)
La technologie DQDB est souvent considérée comme « pré-ATM »…
•Full duplex
•Modes asynchrone & isochrone
409
DQDB
DQDB évolutions
évolutions

• Double anneau avec reconfiguration


automatique

Configuration anneau initiale Configuration repli en mode bus

• Évolution réseau maillé avec commutateurs ATM

ATM
PONT
DQDB PONT
/ATM ATM DQDB
/ATM

ATM

410
Principe
Principe d
d ’accès
’accès au
au médium
médium (1)
(1)

•Deux type de cellules :


•PA = Pre-Arbitrated = Trains de cellules isochrones
•QA = Queued Arbitrated = Trains de cellules asynchrones

LLC- Service LLC- Service Service LIAISON


sans connexion avec connexion Isochrone

QUEUED ARBITRATED PRE-ARBITRATED


MAC

Accès Médium Accès Médium

Mise en ouvre
médium PHYSIQUE

411
Gestion
Gestion des
des trames
trames

• Transferts isochrones :
– Gérée par tête de bus par protocole spécifique (Q 931)
– Établissement d’un lien virtuel (VC) – Mode connecté
avec attribution d’un VCI (Idem ATM)
– Émission toutes les 125 µs d’une cellule de 48 octets
de charge

• Transferts anisochrones (asynchrones) :


– Mode non connecté (identifiant VCI = 1---1) ou
connecté
– Accès déterministe par gestion de files d’attentes 412

lti i (Ch t ti té i ll l
Hiérarchie
Hiérarchie DQDB
DQDB
Sa complexité a été son pire ennemi !…

RÉSEAU
NPDU PAQUET

LLC LPDU LH TRAMELLC LT

I I
IMPDU TRAME MAC
H T
MAC

D D D D D D
DMPDU SEGMENT SEGMENT SEGMENT
H T H T H T

PHY
PHY PPDU P P P P P P
CELLULE CELLULE CELLULE
H T H T H T

•IMPDU = Initial Mac PDU (Peripheral Data Unit)


•DMPDU = Derived MAC PDU
413
Le
Le câble
câble TV
TV
Le
Le câble
câble TV
TV

• Support de type CATV


– Câble télévisuel = Coaxial de type descente d ’antenne

• Multiplexage spatial et temporel combinés


– Spatial produisant des « sous-bandes »
– Chaque sous-bande réservée à un canal analogique
– Ou à plusieurs canaux numériques en multiplexage
temporel
– Initialement en mode diffusion seul

• Pour l ’Internet, réservation de deux sous-bande


415
– L’une montante
Le
Le Réseau
Réseau TV
TV câblé
câblé

Rocade coaxiales
Station Étoiles
satellite optiques

Station
diffusion

Station répéteurs
hertzienne

Réseau fibre optique Liaisons


coaxiales

416
Le
Le CATV
CATV :: Principe
Principe de
de multiplexage
multiplexage
Spatio-temporel
Spatio-temporel
Analogique
(Spatial seul

Sous-bandes numériques
(Multiplexage spatial)

Canaux numériques
(Multiplexage temporel)

Canaux
Canaux Canaux TV numériques Réservé
montants (descendants) descendants Extensions futures

5 50 500 750 Mhz


Répartition des bandes de fréquence en CATV

417
WIMAX
WIMAX
Wimax (Worldwide
Wimax (Worldwide Interoperability
Interoperability for
for
Microwave
Microwave Access)
Access)

•Arguments en faveur de WiMax au sein des réseaux


métropolitains :

–Technologie plus aisée à mettre en œuvre que la


fibre optique

–Grande adaptabilité dynamique des débits

–Utilisation de modes modulation variables selon


distance

–Lien avec 802.11 aisé (WLAN)


419

Ch i d l lité d i (Q S)
Wimax -- Généralités
Wimax Généralités

• C’est une norme technique basée sur le standard de


transmission radio IEEE 802.16
• Le Wimax est développé par le consortium Wimax
Forum, qui rassemble aujourd'hui plus de 200
industriels, FAI et opérateurs téléphoniques.
• Assure les liaisons fixes de point à point, (domicile à
borne de connexion), et doit évoluer vers la mobilité
(portable à borne de connexion ou autre portable).
• Avantage vis à vis de Wi-Fi: un mécanisme d'allocation
de bande passante à la demande (Grant/Request
Access). Alors que Wi-Fi souffre souvent de collisions 420
WiMax
WiMax =
= Normes
Normes 802
802 pour
pour opérateurs
opérateurs

Quelques Micro-ondes de plus dans nos neurones!


421
Concept
Concept de
de cellules
cellules à
à tailles
tailles variables
variables

Cette hiérarchie, basée sur la distance, permet d’offrir des débits variable selon l’éloignement de la
station de base. Dans le cadre de l’Ethernet 802.16, seule la couche physique est modifiée pour permettre
des valences de modulation de poids de plus en plus faible selon la distance.

422
Les
Les cellules
cellules à
à taille
taille variable
variable en
en 802.16a
802.16a

•Rayon approximatif des cellules


•Mini-cellule = 5 Km
• Cellule = 25 Km
• Macro-Cellule = QPSK = 50 Km

•Type de modulation
•Mini-cellule = QAM 64 = 6 bits/baud
• Cellule = QAM16 = 4 bits/baud
• Macro-cellule = QPSK = 2 bits/baud

•Débit par cellules


•Mini-cellule = 150 Mbps 423
WiMax
WiMax :: Quelques
Quelques aspects...
aspects...

• Disponibilité fin 2004 (pour opérateurs)

• Norme IEEE 802.16a

• Bande des 2 à 11 Ghz

• Portée jusqu’à 50 km

• Débit modulé selon distance, jusqu’à 70 Mbps

• Respect QoS

• Prévisions de déploiement : Canada et Nord USA 424


Note…
Note…

Ce sujet sera approfondi, de même que toutes les autres formes

de Réseaux Radio à travers une UE complémentaire :

RSX 103 – Compléments réseaux & Applications

425
Le
Le C.P.L.
C.P.L.
Le
Le C.P.L.
C.P.L. ou
ou P.L.C.
P.L.C.
Courant
Courant Porteur
Porteur en
en Ligne
Ligne ou
ou PowerLine
PowerLine
Communication
Communication

• 2 Utilisations :
– En longues distances
• Porteuse à 20 Mhz
• Débits actuels 4 Mbps, à 20 Mbps selon opérateurs
• « Hubs » de distribution de 250 points à distance maximale de
1000 m.
– En local
• Multiplexage fréquentiel entre 15 & 30 Mhz
• Redondance de transmission multicanaux (pour récupération
en cas de « brouillage »)
• Débit 11 Mbps
• Distance maximale : 300 m 427
Le
Le C.P.L.
C.P.L.
Schéma
Schéma fonctionnel
fonctionnel «« Longue
Longue Distance
Distance »»

Réseau

TRANSFORMATEUR
M.T. RÉSEAU ELECTRIQUE B.T.

Compteur

Alimentation
MODULATEUR
INTERNET

secteur
Réseau +
Réseau
optique local

POSTE de ABONNÉ
TRANSFORMATION

428
Le C.P.L.
Schéma
Schéma fonctionnel
fonctionnel «
« Réseau
Réseau Local»
Local»
Réseau
Connexion ETHERNET
@ ADSL
...
Deux modes de raccordements
possibles :
Modem Commutateur
ADSL Ethernet
Prise Prise
CPL CPL

Prise Prise Prise Prise


CPL CPL CPL CPL

Prise Prise
CPL CPL

Vers un WAN via modem ou routeur Vers un LAN via commutateur ou pont

429
Les
Les coupleurs
coupleurs CPL
CPL

430
Les
Les réseaux
réseaux MAN
MAN Ethernet
Ethernet
Les
Les réseaux
réseaux Métropolitains
Métropolitains Ethernet
Ethernet

Giga bit

Modèles de base validés en septembre 2003 par le Metropolitan Ethernet Forum

432
L’Ethernet
L’Ethernet Optique
Optique
•Arguments en faveur d'Ethernet au sein des réseaux métropolitains
(OEoF=Optical Ethernet on Fiber):

–Technologie simple offrant une meilleure granularité de service


ainsi qu'une installation rapide
–Familier aux administrateurs et apprécié pour le confort
d'utilisation
–Large éventail de produits Ethernet performants et à bas prix
–Rôle déjà important dans les technologies de transport par
commutation de paquets, du trafic de données en général et en
particulier du trafic IP
–Les applications haut débit se développent (consultation
Internet, la vidéo sur demande-VoD et la voix sur IP-VoIP)

•L'OEoF est également idéale pour le déploiement de services de


données auprès de l'utilisateur résidentiel, grâce aux extensions 433
Principales
Principales caractéristiques
caractéristiques

• Débit modulable de 10 Mbps à 10 Gbps

• Normes Opérateurs : Vlans 802.1Q

• Deux solutions de base :


– Ethernet natif sur Fibre optique (OEoF) (max 70 km)

– Ethernet sur SDH (non limité)

434
Sur
Sur les
les retards
retards français...
français...

• CÂBLE : Réseau câblé de très faible couverture

chez nous vis à vis de certains autres pays

européens.

• BLR : Fréquences confisquées par militaires

(Partiellement libérées en 2001).

• CPL : Suite à désaccord concernant le partage


435
RSX101
RSX101
Réseaux
Réseaux et
et Télécommunications
Télécommunications

Diaporama séance 15

Interconnexion Réseaux
Interconnexions
Interconnexions Niveau
Niveau Réseau
Réseau
Hiérarchie
Hiérarchie des
des passerelles*
passerelles*

Niveaux 4 à 7
PASSERELLES

Niveau 3 ROUTEURS

Niveau 2 PONTS & COMMUTATEURS

Niveau 1 REPETEURS & HUBS

* Passerelle «Gateway» est un terme générique qui désigne souvent l’ensemble des moyens
d’interconnexion dans les réseaux. Pour les niveaux bas (1 à 3) des désignations
spécifiques existent pour chacun d’eux… Utilisons les!

438
Les Passerelles (Rappel)
Les Passerelles (Rappel)

• COUCHE OSI

•REPETEURS, HUBS, CONCENTRATEURS 1

•COUPLEURS 1 & (2)

•PONTS ( BRIDGES) 2

•COMMUTATEURS (SWITCHES) 2

•BROUTEURS (BRIDGE-ROUTERS) 2&3

•ROUTEURS (ROUTERS) 3
439
Interconnexion
Interconnexion Réseaux
Réseaux

•Ce sont les dispositifs qui permettent de raccorder


entre eux :
–Différents sous-réseaux d ’un même réseau
–Différents réseaux entre eux
•De façon généralement hétérogène :
–Réseaux locaux différents
–Réseaux étendus différents
•En cherchant à respecter les critères de :
–Fiabilité
–Performance
–Sécurité 440
Les
Les Routeurs
Routeurs
•SITUATION dans le RÉSEAU

réseau R réseau

R RR R

réseau R réseau

•SITUATION dans le SYSTÉME HIÉRARCHISÉ


ROUTEUR
RES 1 RES 2 COUCHE 3
LLC 1 LLC 2
COUCHE 2
MAC 1 MAC 2
Phy 1 Phy 2 COUCHE 1

Réseau 1 Réseau 2
441
Les
Les Routeurs
Routeurs (niveau
(niveau 3)
3)

•Acheminement des paquets avec choix du chemin


(Routage)
•Analyse des paquets et modifications si besoin
(hétérogénéité, translation d ’adresses)
•Connaissance de l’adresse logique (réseau + hôte)
•Lié à un protocole réseau (Routeurs multiprotocoles)
•Structuration de l’ensemble par un découpage logique
du réseau
•Équipement complexe
• - Processeur, mémoire, interface 442
Interconnexion
Interconnexion de
de Réseaux
Réseaux
Hôte
X

Routeur G Routeur F

Réseau 01 Réseau 03 Réseau 04

Routeur C Routeur D

Routeur A
Routeur E

Réseau 02 Réseau 05

Routeur B Y

Problèmes :
- Quel est le meilleur chemin Réseau 03(X)->Réseau 05(Y) ?
- Comment l’établir ?
- Comment le faire connaître ?

443
Le
Le Routage
Routage
•Les TYPES:
–Par accrétion de circuits virtuels (mode connecté)
–Par choix d’une route propre à chaque datagramme
(mode non connecté)
•Le ROUTEUR traditionnel :
–Table de routage élaborée hors ligne (Routage statique)
–Table de routage élaborée par dialogue inter routeurs
(Routage dynamique)
•Le ROUTEUR par labels (MPLS):
–Routage préliminaire selon méthode traditionnelle, puis
–Établissement d’un chemin virtuel selon le mode
connecté
•LES MÉTHODES
–Centralisées : 444
Paramètres
Paramètres de
de routage
routage
•Paramètre courants:
–Débit
–Temps de transit
–Coûts
–Charge
–Distance
–Qualité de service
–…

• …& quelques paramètres non


techniques :
– Passage imposé 445
Algorithmes
Algorithmes de
de routage
routage

•Algorithmes non adaptatifs (routage statique) :


–Tables de routage établies hors ligne puis transmises
par inondation
–Routage par le plus court chemin, sur les flux ou
autres critères

•Algorithmes adaptatifs (dynamiques) :


–Routage à vecteurs de distance basé sur une table des
meilleures distances mise à jour dynamiquement . Les
algorithmes RIP (Routing Information Protocol) du
réseau Internet et IGRP (Cisco) sont de cette famille.
446
Routage
Routage dynamique
dynamique

„Basés sur le nombre de sauts (Distance Vector) :


–Diffusion périodique (30 à 90 secondes) de l’ensemble
des informations de routage
–Minimisation du nombre de sauts. (Algorithme de
Bellman-Ford)
–Temps de convergence important avec surcharge du
réseau
•Exemples : IGRP Interior Gateway Routing Protocole
• RIP Routing Information Protocol

„Basés sur le «Poids» de chaque saut :


„- États des liaisons (Link State). Poids : débit, temps
traversée, charge, coûts etc..
–Constitution de tables, mises à jour partiellement en
447
cas de changement
Le routage Internet

EGP BGP FÉDÉRATEUR BGP EGP

IGP IGP IGP

Système autonome

LAN LAN LAN


1 2 3

• Un groupe de réseaux et passerelles relevant d ’une même responsabilité


administrative au plan routage est appelé système autonome.
• Le routage entre systèmes autonomes est réalisé par des routeurs dits
externes, les protocoles correspondants sont nommés EGP (External Gateway
Protocol)
• A l ’intérieur d ’un système autonome, les protocole utilisés par les
routeurs sont les IGP (Internal Gateway Protocol)
448
•A la frontière entre système autonome et un autre réseau se trouvent des
Le
Le «Tunneling»
«Tunneling»
Le
Le «Tunneling»
«Tunneling»
Réseau
d ’entreprise

Réseau Réseau
d ’entreprise d ’entreprise

RESEAU ÉTENDU

Réseau Réseau
d ’entreprise d ’entreprise

Réseau
d ’entreprise

Ou comment constituer des regroupements de réseaux à travers un autre ?


(Création de réseaux Virtuels)
450
Qu’est-ce
Qu’est-ce q’un
q’un réseau
réseau Virtuel
Virtuel ??

RESEAU ETENDU

…C’est un réseau vu comme une entité administrative unique, mais constituée d’éléments
disséminés interconnectés via un ou plusieurs autres réseaux

451
Le
Le mode
mode «
« TUNNEL
TUNNEL »
»

Protocole natif Encapsulation Protocole natif

RÉSEAU
multiprotocoles

multiprotocoles
Routeur

Routeur
Réseau Réseau
TUNNEL
Local Local

D’INTERCONNEXION

452
Deux
Deux types
types de
de Tunnels
Tunnels
• Mode Tunnel niveau Réseau :
– Négocié et appliqué de bout en bout. Efficace en cas de
mode connecté.
• Mode Tunnel niveau Liaison :
– Négocié par segment réseau (de nœud à nœud). Plus
facile en cas de mode Mode
nonLiaison
connecté.

Mode Réseau

453
Une
Une solution
solution mixte
mixte :: Le
Le MPLS
MPLS

• Les routeurs MPLS sont équipements qui ont la


particularité :
– De fonctionner en routeur (de niveau 3) pour
l ’établissement du chemin
• Avec toutes les subtilités possibles au niveau tracé de route

– Puis de travailler en commutateur (de niveau 2) pour


la suite des échanges
• Avec performance et respect QOS possibles à ce niveau
grâce à une étiquette (label) placé en entête des paquets 454
Le
Le principe
principe du
du MPLS
MPLS

Station A Station B
Réseau MPLS

Commutateur X Commutateur Y

Table de Commutation Table de Routage


Label Label dest hops next
entrée sortie
55 121 B 2 Y
- - - - -

Station A Après établissement route : Por création route : Station B


Recherche label dans TdC Recherche @ dest. dans TdR
Retransmet vers suivant Retransmet vers suivant
Couches
Supérieures
Commutateur X Commutateur Y

Couche IP

Couche LIAIS

Couche PHY

55 121 @A => @B

455
Le
Le VPN
VPN IP
IP
Réseaux
Réseaux Privés Virtuels (V.P.N.*)
Privés Virtuels (V.P.N.*)
à
à travers
travers ll ’Internet
’Internet

• Réalisation des interconnexions de réseaux

locaux à travers l ’Internet

• Réalisation d ’Intranets «étendus»

• Connexion de stations nomades


* V P N = Virtual Private Network

• Sécurisation des transactions sous Internet 457


Réseaux
Réseaux Privés
Privés versus
versus Virtuels
Virtuels

• Réseaux Privés :
– Ensemble de ressources interconnectées via des
média privés
• Coûts

• Distance

• Certitude d ’exclusivité

• Réseaux Privés Virtuels :


– Ensemble de ressources interconnectées via des
média publics 458
Qu’est-ce…
Qu’est-ce…

• …Qu'un VPN IP ?
– Le VPN IP apparut dans les entreprises fin des
années 90
– Un VPN IP est tout simplement un réseau
privé virtuel qui fonctionne sur un réseau IP.
– La technologie sous-jacente est généralement
ATM (et parfois Frame Relay), mais le réseau
est considéré comme VPN IP car il opère au
niveau de la couche IP et l'interface présentée 459
Le
Le VPN
VPN IP
IP

Protocole natif Encapsulation Protocole natif

RÉSEAU
multiprotocoles

multiprotocoles
Routeur

Routeur
Réseau Réseau
TUNNEL
IP IP

D’INTERCONNEXION

460
Évolution
Évolution des
des tunnels
tunnels VPN
VPN

OPÉRATEURS PUBLICS

OPÉRATEURS PRIVÉS

1990 ÉPOQUE 2005

461
Tunnel
Tunnel à
à cœur
cœur ATM
ATM
• Il existe trois types d’interfaces :
– • Les interfaces réseau utilisateur (UNI - user-network interface)
connectent les systèmes terminaux d’ATM (tels que les hôtes et
les routeurs) à un commutateur ATM.
– • Les interfaces de nœud inter-réseau (NNI- network-network
node interface) connectent des commutateurs ATM
– • Les interfaces large bande inter-opérateurs (B-ICI - broadband-
inter carrier interface) connectent des réseaux ATM publics.
• ATM est un service à commutation de paquets orienté
Circuits Virtuels.
• Les ressources sont partagées par multiplexage
statistique.
• Utilisation cellules de longueur fixe (53 octets) pour le
transfert d’informations. L’existance de niveau de
services garantit une adaptation possible à diverses
exigences. 462
Les
Les Interfaces
Interfaces de
de ll ’ATM
’ATM

UNI
Commutateur Réseau ATM
ATM public
public
DXI

B- I
I
Réseau ATM -IC

CI
B
public

I
UN Réseau ATM
public

ic
bl
Réseau ATM pu

UN
privé NN
I

pri

I

I
UN

ée

Réseau ATM

e
priv
priv

ée privé
Utilisateur
Utilisateur ATM
ATM

463
Tunnel
Tunnel à
à cœur
cœur Frame
Frame Relay
Relay
• Équipement d’accès : FRAD - Frame Relay Access
Device
• Un réseau Frame Relay offre un service orienté
connexion.
• Cette communication utilise un circuit virtuel
• Les standards du service définissent deux types
principaux de circuits
• logiques :
– • Les circuits virtuels permanents (PVC - Permanent Virtual
Circuit) définissent des
– connexions permanentes utilisées pour des transferts de
données volumineux et
– fréquents. La communication n’exige pas de configuration
d’appel et se trouve toujours à l’état de transmission ou 464

d’ tt t
Configurations
Configurations hybrides
hybrides

• • Frame Relay est bien adapté à de nombreuses


applications, dont l’interconnexion de réseaux locaux
(LAN), la migration SNA (Systems Network Architecture),
et l’accès distant.
• Cependant, d’autres applications telles que les
communications multimédia avec qualité de service
(QoS) garantie, sont mieux servis par des réseaux ATM.
• • Une vaste gamme de débits peut être supportée, de 64
Kbit/s à 622 Kbit/s.
• • Les clients ATM peuvent bénéficier des connexions
Frame Relay lorsque le nœud ATM n’est pas disponible,
et vice versa. 465
VPN
VPN IP
IP &
& QoS
QoS

•VPN IP QoS et VPN Internet


– L‘infrastructure IP qui délivre le service VPN IP peut être un
réseau IP privé ou bien l'Internet public. L’offre de nombreux
fournisseurs fait cette distinction entre :
a) Les services qui utilisent l'Internet public, et de ce fait,
transitent par plusieurs réseaux de fournisseurs de services
b) Les services qui n’utilisent que la partie de l'Internet public
qui dessert le fournisseur de services VPN IP.
– Cette seconde solution peut garantir une certaine qualité de
service (QoS)

– On appelle VPN IP QoS les VPN IP qui s'exécutent sur un


réseau privé.
466

A t ti d l'I t t bli ’ i d
MPLS
MPLS et
et VPN
VPN sécurisés
sécurisés

• VPN IP MPLS et VPN IP IPsec


– Deux technologies se sont récemment imposées, qui englobent
désormais la quasi-totalité des services VPN IP. Il s'agit de la
commutation multiprotocole avec étiquetage des flux (MPLS,
Multi-Protocol Label Switching) et de la sécurité IP (IPsec, IP
Security).

– MPLS est un protocole d'acheminement utilisé dans la plupart


des réseaux VPN IP privés.

– IPsec est un protocole de tunnellisation, qui permet de sécuriser


les échanges. Il est employé dans la majorité des VPN IP basés
sur l'Internet public.
467
Un
Un réseau
réseau MPLS
MPLS typique
typique

468
Les
Les mécanismes
mécanismes de
de
fractionnement
fractionnement

Où il
il est
est question
question de
de vocabulaire…
vocabulaire…
• Dans les réseaux, il se trouve de multiples endroits où
l’on doit «découper» les structures de données d’un
certain niveau, d’un certain réseau, pour les mettre dans
les structures d’un même ou d’un autre niveau ou
réseau… Et bien sûr tout reconstruire à l’autre extrémité!

• Tout cela parce que chaque niveau de chaque réseau à


son propre MTU (Maximum Transfer Unit), c’est à dire
une taille maximale à ne pas dépasser.

• Comme souvent en informatique où n’existe aucun


organisme de normalisation du vocabulaire, différents
auteurs, à différentes époques font dire des choses
différentes aux mêmes mots, ou parfois nomment les
même choses par des mots différents… Et c’est bien le 470
Différents
Différents types
types de
de fractionnement
fractionnement
(n+1) PCI (n+1)-SDU

n-PCI n-SDU n-PCI n-SDU n-PCI n-SDU

Segmentation / Assemblage
n-PCI n-SDU n-PCI n-SDU n-PCI n-SDU

n-PCI n-SDU

Groupage / Dégroupage
(n+1)PCI (n+1)-SDU

n- PCI n-PDU n- PCI n-PDU n- PCI n-PDU

Fragmentation / Défragmentation
n-PDU n-PDU n-PDU

(n-1)PCI (n-1)-SDU

Concaténation / séparation

471
Mécanismes
Mécanismes de
de fractionnement
fractionnement

•SEGMENTATION (ASSEMBLAGE)
–Découpage d'un PDU de niveau N+1 en plusieurs SDU
(SEGMENTS) et ajout de PCI de niveau N

•FRAGMENTATION (DÉFRAGMENTATION)
–Découpage du SDU de niveau N+1 et portage dans
plusieurs PDU de niveau N avec reprise du PCI de niveau
N+1 dans chaque fragment.

•GROUPAGE (DEGROUPAGE)
–Regroupement de plusieurs SDU en un seul SDU de
même niveau

•CONCATÉNATION (SÉPARATION)
–Regroupement de plusieurs PDU de niveau N dans un472
même SDU de niveau N-1 avec ajout d ’un PCI de niveau
Encapsulation
Encapsulation // Désencapsulation
Désencapsulation

C’est l’intégration, en un ou plusieurs segments, de la structure de donnée de


niveau N (souvent 3) d’un protocole, dans la charge de même niveau d’un
AUTRE protocole.

Exemple : un datagramme IP de 600 octets dans trois paquets X25


Longueur maximale champ de données (MTU = 256 octets, entête IP= 20 octets)

Entête IP Données datagramme (600 octets)

20 octets 599
0 235 490

Entête X25 Entête IP Segment 0-235

PAQUET n° 1 Entête PQT Segment 236-490

PAQUET n° 2 Entête PQT Segment 491-599

PAQUET n° 3

473

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