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présente
en association avec RELATIVITY MEDIA
une production LARGER THAN LIFE
en association avec FRAMESTORE ANIMATION
Et la voix de
André Dussollier
dans la version française
Presse
Distribution Sylvie FORESTIER
Universal Pictures International France sylvie.forestier@nbcuni.com
21, rue François 1er assistée de Coralie BELPÊCHE
75008 Paris coralie.belpeche@nbcuni.com
Tel : 01 40 69 66 56 Tel : 01 40 69 66 56
www.universalpictures.fr
2
s éternellement heureux,
... un royaume enchanté, peuplé de gen
er chaque soir la soupe la plus
dont le plus grand plaisir était de dégust
accident enleva un jour la Reine
succulente du monde. Mais un tragique
i à jamais inconsolable. Sa fille,
à l’affection de ses sujets, laissant le Ro
ainsi que le bon peuple, soudain
la Princesse Petit Pois, se languissait,
privé de soupe…
une petite souris aux très
L ’espoir renaît lorsque vient au monde
D’emblée, celui-ci se distingue
grandes oreilles : Despereaux T illing.
rées. Despereaux rêve grand,
par sa bravoure et ses ambitions démesu
voit en chevalier, fer raillant
très grand au regard de sa taille. Il se
belles princesses en détresse.
contre d’horribles dragons et sauvant de
té sur le rêve. Notre héros n’a
Mais le monde des souris n’est pas por
soumise et conformiste. Banni,
pas sa place dans cette société craintive,
lumière ne pénètre jamais. Dans
il échoue dans le monde des rats, où la 3
il fait la connaissance d’un autre
cet univers fétide, cruel et malodorant,
histiqué et grand voyageur.
marginal : le rat Roscuro, gourmet sop
u’au jour où Roscuro, re-
Le rat et la souris deviennent amis jusq
chait l’amitié, se ligue avec la
poussé par la fille du Roi, dont il recher
Pois.
servante Mig, qui rêve d’évincer Petit
incesse ne
Enlevée par ce couple malfaisant, la Pr
it Despereaux.
peut compter que sur le courage du pet
au Royaume son
Ar rivera-t-il à la sauver et à rendre
éclat et sa joie de vivre ?
Un classique instantané
Cela se produit une fois par génération : Le réalisateur, producteur et scénariste
un récit pour enfants s’impose dès sa sortie comme Gary Ross (cité quatre fois à l’Oscar)
un classique et devient le livre de chevet de millions fut séduit par cette fable qui recoupe ses centres
4 de jeunes. C’est ce qui arriva en 2003 à Kate DiCamillo d’intérêt et son attachement à des héros hors
avec «The Tale of Despereaux», la fabuleuse histoire d’une normes : un quidam qui redonne sa dignité à la
petite souris qui refuse de se laisser dicter son destin. fonction présidentielle (PRÉSIDENT D’UN JOUR),
Mû par un idéalisme, une vaillance et un enthousiasme un homme qui se retrouve en devenant enfant
illimités, Despereaux Tilling échappe à sa société, rigide (BIG), un cheval blessé qui entre dans la légende
et timorée et s’aventure dans le monde ténébreux des (PUR-SANG, LA LÉGENDE DE SEABISCUIT).
rats. Il y devient l’ami d’un rongeur banni, tombe Lorsque sa femme, la productrice Allison Thomas
amoureux d’une princesse solitaire et redonnera son (SEABISCUIT), attira son attention sur
éclat au Royaume de Dor. «Despereaux», Ross sentit que ce conte
Le livre se hissa d’emblée en tête des de fées moderne pouvait devenir
ventes et figura… 96 semaines sur les un merveilleux film d’animation
listes du New York Times. Vendu à près de numérique. L’humanité du propos,
2 millions d’exemplaires en édition reliée le rôle dévolu au pardon et au rachat,
(et lu par environ 10 millions d’enfants), il a l’absence de «vrais» méchants furent
remporté de nombreux prix, dont la fameuse autant d’éléments qui décidèrent Ross
Médaille Newbery de Publisher’s Weekly. Son et Thomas à respecter pleinement
édition de poche est aujourd’hui best- la tonalité, le message et la
seller n°1 depuis 42 semaines. richesse du livre de Kate
DiCamillo.
La légende de Despereaux sur grand écran
Kate DiCamillo avoue volontiers avoir écrit «Despereaux» en Les producteurs choisirent pour les postes clés : le
souvenir des livres qui bercèrent son enfance et qui continuent réalisateur Sam Fell, le réalisateur, scénariste et animateur Rob 5
de l’enchanter : «Un bon livre Jeunesse est magique à tout Stevenhagen, le chef décorateur Evgeni Tomov, le directeur
âge. Il ouvre à son auteur quantité de voies qu’ignore la photo Brad Blackbourn et le studio d’effets visuels londonien
littérature adulte. J’ai voulu montrer dans cette histoire que Framestore Animation.
nous sommes des êtres terriblement compliqués, partagés entre le Sam Fell :
bien et le mal, et solidaires les uns des autres.» «En arrivant sur ce projet, j’ai eu le sentiment de découvrir
«Kate a su créer des liens intimes avec ses lecteurs», observe quelque chose de profondément nouveau, avec des personnages et
Gary Ross. «Allison et moi étions décidés à préserver cette relation une ambiance magiques - des qualités qui manquent cruellement
en donnant la même importance au personnage du Narrateur.» à ce que nous voyons en ce moment sur les écrans. La dimension
(Sigourney Weaver dans la V.O., psychologique est en outre beaucoup
André Dussollier dans la V.F.) plus riche que dans le cinéma
«Les contes de fées ont une d’animation courant.»
dimension morale», poursuit Ross. Allison Thomas :
«Leurs personnages sont confrontés «Sam a une riche expérience, qui
aux grands problèmes de la vie. Kate va de l’animation image par image
n’a pas eu peur de s’aventurer sur ce aux longs-métrages numériques.
terrain délaissé par la culture pop. Son associé, Rob, le complète
Nous avons voulu restituer pleinement idéalement par un sens très fort
à l’écran son grand livre illustré du récit. Evguéni, quant à lui,
d’images enfantines inoubliables.» avait une idée claire du degré de
Cette approche ambitieuse sophistication visuelle auquel nous
détermina le style visuel, le aspirions, et Brad était prêt pour
graphisme des personnages, les écrire les programmes informatiques
couleurs, les éclairages, le style d’animation et d’interprétation qui émuleraient un tournage classique. Gary piloterait l’ensemble
de ce film budgété à 60 millions de dollars - le tiers ou la avec une approche très cinématographique de la mise en scène,
moitié d’une production animée d’un grand studio. du montage et de l’interprétation.»
Le style visuel :
l’esprit Le casting (v.o.)
des maîtres flamands Matthew Broderick, qui avait déjà prêté sa voix à plusieurs
films d’animation, dont LE ROI LION et BEE MOVIE, incarne
Despereaux Tilling.
«Matthew a une capacité phénoménale d’exprimer la joie,
l’optimisme, la curiosité, la noblesse, la faculté d’émerveillement qui
sont la marque de notre héros» note Fell.
Et l’acteur d’ajouter : «J’étais ravi de jouer ce petit être courageux,
obstiné et indifférent à l’opinion que les gens ont de lui. Lors de nos
premiers entretiens, Gary m’avait utilement mis sur la voie en me
décrivant Despereaux comme un jeune ado hypersensible, angoissé,
passionné, affichant des opinions tranchées sur le bien et le mal.»
Dustin Hoffman prête sa voix au brave Roscuro, un
rat qui assiste Despereaux dans sa quête. Roscuro
est sans doute le personnage le plus complexe
du livre, et celui qui éprouve les émotions les
plus contrastées, de la joie à la douleur de se
sentir rejeté, avant d’accéder finalement à la
sérénité. «Cet incompris a le goût de l’aventure»,
commente Stevenhagen. «Il se verrait bien en
pirate des 7 mers, alors que les gens ne voient
Les producteurs souhaitaient donner
en lui qu’un banal rongeur. Triste !»
6 à LA LÉGENDE DE DESPEREAUX la
La gracieuse Princesse Petit Pois a
texture visuelle dense et organique des
la voix de la jeune actrice britannique
illustrations de contes de fées. Or l’image
Emma Watson, bien connue pour ses
numérique est, par nature, aussi «lisse» et
participations à la franchise HARRY
satinée que la peinture au pistolet – tout
POTTER. «La Princesse est une adolescente
le contraire des qualités ici désirées.
d’aujourd’hui, une fille moderne, bien éloignée
L’équipe, unissant ses talents à ceux du
de ses homologues féeriques, et tout sauf
chef décorateur Tomov, s’en alla chercher
froide et distante. Seule dans ce vaste et
son inspiration du côté de Vermeer,
triste château, avec pour compagnon un
Breughel et autres maîtres flamands.
vieux père ronchon, elle n’aspire qu’à un
«Le monde de Dor pourrait sortir d’une toile
peu de liberté.»
médiévale», explique Tomov. «Jugeant que
Comique virtuose et polymorphe,
l’animation numérique pèche souvent par sa
Tracey Ullman a inventé et imité des
froideur clinique, nous voulions que l’image
dizaines de personnages. Elle prête ici
de LA LÉGENDE DE DESPEREAUX ait
sa voix à Mig, modeste fille de ferme
du cœur ; qu’elle ne soit pas seulement belle,
qui rêve de devenir princesse, comme
mais émouvante ; qu’on puisse s’y immerger
sa maîtresse. Un rêve impossible qui
comme dans les illustrations d’antan. Nous
la conduira à commettre une grave
avons choisi une palette subtile, qui s’accorde
erreur.
avec l’ensemble de nos options visuelles. Là
Kevin Kline et Stanley Tucci
encore, nous avons évité les teintes saturées
interprètent respectivement le chef
d’origine clairement numérique.»
André et le génial cuisinier Boldo, deux
personnages qu’ils eurent la chance de
jouer côte à côte en studio et d’enrichir
de quantité de gags improvisés.
Le storyboard
L’animatique (montage des storyboards
parlants, sonorisés et mis en musique) est une
étape clé dans la fabrication d’un dessin
animé. Avant de dessiner le premier de ces
storyboards, Stevenhagen, Fell,
Ross et le responsable layout Brad
L’animation Blackbourn eurent de nombreuses
LA LÉGENDE DE DESPEREAUX s’appuie avant réunions en vue de dresser la liste détaillée
tout sur ses personnages, leurs émotions et leurs des plans. Cette approche, héritée du cinéma
relations. «Nous avons passé beaucoup de temps avec traditionnel, aboutit à un inventaire minutieux
nos animateurs pour trouver un style relativement discret, et détaillé de chaque plan, y compris les axes et
mais assez parlant pour permettre au spectateur de focales envisagés. Cette charte fut ensuite remise
comprendre ce qui se passe dans la tête de nos au service «Déroulement de l’histoire», supervisé
héros», explique Fell. par Stevenhagen. Elle assura l’unité thématique et
Les animateurs tirèrent le maximum artistique, la cohérence de cette histoire complexe
de profit du travail vocal des comédiens où s’entrecroisent quatre lignes narratives distinctes :
et se filmèrent aussi eux-mêmes durant la Despereaux, Roscuro, Pea et Mig. Elle permit aussi de
préparation des scènes pour disposer des références raccourcir de plusieurs mois la phase de développement,
visuelles les plus appropriées aux situations. économie appréciable pour un film au budget serré.
«Pour rendre les personnages plus crédibles, nous
avons marié en quelque sorte animation et prise de 7
vue réelle», indique le superviseur de l’animation
Gabriele Zuccelli. «L’interprétation vous donne à voir
des personnages réels, confrontés à des situations réelles.
Elle est subtile et plus retenue que celle de la plupart des
films d’animation, qui pèchent souvent par leurs excès. Nous
avons banni les effets théâtraux, les pantomimes grimaçantes,
les trucs et clichés accumulés au fil des ans par les animateurs. Nous
nous sommes focalisés sur l’essentiel, en privilégiant les regards et
les expressions.»
Gary Ross :
«Sam (Fell) est un directeur d’animation phénoménal qui a inventé
des détails, des touches subtiles et des nuances dont l’authenticité
rivalise avec le cinéma traditionnel.»
Le style narratif
Le layout, supervisé par le directeur
photo Brad Blackbourn, fut conçu dans
une optique «cinéma live» : «Nous y
avons indiqué les emplacements de caméra,
les focales, la profondeur de champ, les
principales sources lumineuses, les marques
des personnages – le tout dans l’espace 3D
d’une caméra virtuelle.»
Cette approche originale dicta un style de
montage proche du cinéma traditionnel et augmenta
de 30 à 40% le nombre de plans initialement prévu.
«La chorégraphie, les évolutions des personnages entre les
plans, les mouvements d’appareil, les passages d’un personnage
La lumière est un thème majeur de LA LÉGENDE DE à un autre dans des décors distincts demandèrent une vigilance
DESPEREAUX, «au point d’être la star de plusieurs séquences», particulière en matière de continuité», souligne Blackbourn.
nous dit le chef éclairagiste Ryan Michaels. «Nous ne pouvions pas nous contenter de vérifier quelques plans
Au lieu d’éclairer artificiellement la totalité du cadre, à la suite, nous devions penser «séquences» et contrôler à chaque
comme il est de règle dans le dessin animé numérique, les fois de 100 à 150 plans. Plus nous fignolions les détails, plus la
producteurs optèrent pour des lumières naturelles émanant charge de travail s’alourdissait. Mais ces efforts se sont révélés
logiquement de sources identifiables : fenêtres, lampes, etc. extrêmement payants.»
Les ombres sont tranchées, mais légèrement adoucies, et les Les réalisateurs cherchèrent aussi à immerger totalement
personnages intégrés de façon organique à leur environnement. le spectateur dans l’action : «Lorsque nous tournions un plan avec
La répartition de la lumière varie considérablement en fonction les souris, nous essayions de nous faire aussi petits qu’elles et de
du décor. Les extérieurs du royaume de Dor sont, dans un nous imaginer dans la peau d’un de ces rongeurs en train de filmer
8 premier temps, inondés de soleil, et les intérieurs baignés ses congénères avec une minuscule caméra», dit Blackbourn.
par une lumière douce et diffuse. Le monde des rats affiche «Nous espérons ainsi embarquer le spectateur dans ces univers,
en revanche des couleurs très vives et des ombres profondes en passant du monde humain à ceux des souris et des rats, et en
à la Bosch. L’ambiance lumineuse du monde des souris est étant au plus près des personnages.»
quasi constante alors que celle du monde des rats, discontinue,
engendre une certaine tension.
«La lumière est vivante, complexe, évolutive et nuancée – comme
l’histoire, car aucun de nos personnages n’est entièrement blanc ou
noir», conclut Tomov.
9
La musique
C’est le compositeur/arrangeur William La scène où le Roi de Dor célèbre la mémoire
Ross qui fut chargé de mettre en musique de sa Reine bien-aimée est un bon exemple
LA LÉGENDE DE DESPEREAUX. Celui- d’utilisation d’un instrument d’époque.
ci développa en collaboration avec son Originellement, le roi devait jouer de la
quasi homonyme Gary Ross une partition guitare ou de la mandoline, s’abandonnant
orchestrale exaltant le courage, la curiosité, à sa mélancolie au point de ne pas entendre
la bravoure du jeune Despereaux et les appels de Despereaux. William Ross et
exprimant les émotions contrastées des l’équipe optèrent dans un second temps pour
créatures qu’il croise durant sa quête. le lut, qui est à la fois plus approprié à l’époque
«Peu de gens sont capables aujourd’hui et à la tonalité mélancolique de cet épisode.
d’écrire une musique aussi riche», commente Pour renforcer le contraste entre le monde
le réalisateur. «Bill a des dons exceptionnels. ténébreux et angoissant des rats et celui,
Il a apporté une contribution majeure à ce film très hospitalier des souris, Ross donna au
d’une grande complexité narrative.» premier une aura sonore «tribale» au moyen
Orchestrateur de longue date, William de tambours japonais Taiko et de djun djun
Ross se fit un plaisir d’utiliser des africains. La harpe fut utilisée à plusieurs
instruments très divers : flûtes, luts, etc., qui reprises de façon ingénieuse pour attirer
lui permirent de créer «un environnement l’attention du spectateur sur certaines actions
sonore haut en couleur. maléfiques.
10 Créatures et décors
Le Royaume de Dor est un lieu magique, aussi scintillant
qu’un joyau, et célèbre à travers le monde pour la qualité
de… ses soupes.
La Fête Annuelle de la Soupe est LE grand jour de l’année
– celui où le Chef André dévoile sa dernière création.
«Avec ses vieilles rues pavées et ses places exiguës, Dor rappelle
à la fois Bruxelles et certaines villes d’Italie et des
Balkans», explique Fell. «Nous avons pris un
grand plaisir à le créer.»
Avant la mort tragique de sa souveraine,
Dor était un pays lumineux et baigné de
soleil. Depuis ce drame, son ciel s’est
couvert d’épais nuages, et la grisaille est
omniprésente.
Le monde des souris (Mouseworld)
La cuisine royale, jadis si animée, est devenue un lieu Mouseworld a poussé très
sans vie. Mais, si vous y regardez d’un peu plus près, vous loin le système D et l’art de
remarquerez, dans un mur, un trou de souris donnant sur un la récup’ en adaptant les
univers magique : Mouseworld… ustensiles humains à ses
«Mouseworld est une société besoins : un couteau de
industrieuse où tout est réglé comme cuisine fait office de banc
du papier à musique», explique public, une saucière a été
Stevenhagen. «Elle semble à transformée en mare, une
première vue très accueillante, tasse de thé en puits, des
mais se révèle terriblement tiroirs en immeubles, etc.
contraignante. Le Conseil Qui habite donc cette ville ?
des Souris a édicté des Vous y rencontrerez d’abord Despereaux, la petite
commandements souris aux grandes oreilles, improbable héros aux
stricts auxquels per- nobles idéaux.
sonne n’ose se dérober. Mais aussi :
L’individualisme est banni,
les initiatives personnelles mal
vues. Despereaux est le seul à rejeter
ces contraintes, car il est trop curieux, trop
avide de vivre pleinement sa vie.»
Furlough,
le frère de
Despereaux,
Son père, un empoté qui
le timide se targue de La vieille souris
Lester, qui lui donner le aveugle Hovis, un Sa mère,
voudrait voir bon exemple. des rares citoyens Antoinette,
Despereaux de Mouseworld à aussi nerveuse
devenir une comprendre les et farouche
souris modèle aspirations de que Lester, et
– craintive, Despereaux. encore plus
soumise, conformiste.
conformiste.
La Princesse
André est le cuisinier du roi, et Petit Pois mène
le roi des cuisiniers, qui invente Gregory, le depuis la mort
chaque année une nouvelle mystérieux geôlier de la Reine une
soupe pour ses concitoyens. Le du château, a vie solitaire.
roi ayant mis un terme à cette Boldo, vécu une épreuve Tenue à distance
Mig veut être princesse. Elle l’exubérant tragique en
ne comprend pas que ce titre charmante coutume, André par un père
sombre dans la déprime. Son assistant renonçant à l’être inconsolable,
soit réservé aux jeunes filles d’André, est un qui lui était le
de la famille royale, et croit nouvel ami Despereaux lui elle espère voir
rendra-t-il l’espoir? génie qui aidera plus cher. Mais son peuple
naïvement réaliser son rêve Despereaux dans tout est-il
en devenant la servante de sortir enfin
sa quête. perdu? du marasme,
Petit Pois.
et trouvera en
Despereaux
un ami et un
héros débordant
d’enthousiasme
et de gentillesse.
La conclusion revient à Gary Ross : «Les meilleurs films
d’animation ont une dimension universelle qui leur permet de
s’adresser à des gens d’âges et de conditions très divers. L’adulte y
retrouve la part d’enfance qui est restée en lui ; l’enfance y appréhende
l’adulte qu’il aimerait devenir – à l’instar de notre vaillante petite
souris qui rêve d’être un chevalier, un gentleman et de se surpasser.
Chacun de nous peut se retrouver dans une histoire aussi classique,
qui touche et émeut autant les jeunes que les moins jeunes.»
15
ARTISTE INTERPRÈTE CINÉMA AIE 1981 LE BEAU MARIAGE
Sophie Fillieres Eric Rohmer
Long métrage LES ACTEURS 1979 EXTÉRIEUR NUIT
2009 UNE AFFAIRE D’ÉTAT Bertrand Blier Jacques Bral
Éric Valette 1998 LES ENFANTS DU MARAIS 1978 PERCEVAL LE GALLOIS
2008 MICMACS À TIRE-LARIGOT Jean Becker Eric rohmer
Jean-Pierre Jeunet 1997 ON CONNAIT LA CHANSON 1975 LE COUPLE TÉMOIN
2007 AFFAIRE DE FAMILLE Alain Resnais William Klein
Claus Drexel Prix Louis Delluc 1973 TOUTE UNE VIE
LEUR MORALE ET LA NÔTRE Prix Méliès du Meilleur Film de l’Année Claude Lelouch
Florence Quentin 7 Césars dont celui du Meilleur Film
et du Meilleur Acteur pour André Dussollier 1972 UNE BELLE FILLE COMME MOI
LE CRIME EST NOTRE AFFAIRE François Truffaut
Pascal Thomas 1996 QUADRILLE
Valérie Lemercier
MUSÉE HAUT, MUSÉE BAS
1995 LE ROMAN D’UN JEUNE HOMME PAUVRE Documentaire cinéma
Jean-Michel Ribes
Ettore Scola 2007 LES ANIMAUX AMOUREUX
2006 CORTEX Laurent Charbonnier
Nicolas Boukhrief 1994 LE COLONEL CHABERT
Yves Angelo
16 LA VÉRITÉ OU PRESQUE
1993 LES MARMOTTES ARTISTE INTERPRÈTE THÉÂTRE
Sam Karmann
Élie Chouraqui
CŒURS 2005 LA CHÈVRE OU QUI EST SYLVIA
Alain Resnais 1992 LA PETITE APOCALYPSE de Edward Albee Adap. Jacques Fieschi
Costa Gavras Msc. Frédéric Belier-Garcia
LE MAS DES ALOUETTES
Paolo et Vittorio Taviani 1991 UN COEUR EN HIVER 2003 LES ATHLÈTES DANS LEUR TÊTE
Claude Sautet de Paul Fournel Msc. André Dussollier
MA PLACE AU SOLEIL Lion d’Argent,
Éric de Montalier Théâtre du Rond-Point
Lionceau d’Or du Meilleur Film, Reprise au Théâtre des Mathurins
UN TICKET POUR L’ESPACE Prix de la critique Internationale, et à la Gaité Montparnasse(2003-2004)
Éric Lartigau Ciak d’Or du Meilleur Scénario
puis Tournée(2007)
au Festival de Venise 1992
2005 NE LE DIS À PERSONNE Grand Prix de l’Académie du Cinéma 1993 2001 MONSTRES SACRÉS, SACRÉS MONSTRES
Guillaume Canet Prix Méliès du meilleur Film Français 1993 Msc. André Dussollier Maison de la poésie
2004 MON PETIT DOIGT M’A DIT César 1993 du Meilleur Acteur dans Théâtre de la Gaité Montparnasse (2002-2003)
Pascal Thomas un Second Rôle pour André Dussollier Tournée (2004)
1990 BORDER LINE Prix «Plaisir du Théâtre» pour André Dussollier
36, QUAI DES ORFÈVRES
Olivier Marchal Danièle Dubroux 1995 SCÈNES DE LA VIE CONJUGALE
1988 MON AMI LE TRAÎTRE de Ingmar Bergman
LEMMING 1998 Adap. Jacques Fieschi
Dominik Moll José Giovanni
Msc. Rita Russek et Stephan Meldegg
2003 UN LONG DIMANCHE 1987 FRÉQUENCE MEURTRE Théâtre de la Madeleine
DE FIANÇAILLES Elisabeth Rappeneau
1989 LE CHEMIN SOLITAIRE
Jean-Pierre Jeunet 1986 MÉLO de Arthur Schnitzler
AGENTS SECRETS Alain Resnais Msc. Luc Bondy
Frédéric Schoendoerffer Prix Grégory Chmara du Meilleur Acteur Théâtre Renaud-Barrault
TAIS-TOI pour André Dussollier Prix Dominique de la mise en scène
Francis Veber 1985 TROIS HOMMES ET UN COUFFIN 1988 LA MOUETTE
Coline Serreau de Anton Tchekhov Msc.
2002 EFFROYABLES JARDINS Prix de l’Académie Nationale du Cinéma
Jean Becker André Konchalovsky
César du Meilleur film en 1986 Théâtre de l’Odéon
2001 TANGUY César du Meilleur Scénario 1986
Étienne Chatiliez 1985 LOVE
1984 L’AMOUR À MORT de Murary Schisgal
2000 VIDOCQ Alain Resnais Msc. Michel Fagadau
Pitoff 1984 LES ENFANTS Théâtre de la Gaité Montparnasse
UN CRIME AU PARADIS Marguerite Duras 1983 TRAHISONS
Jean Becker Mention Spéciale au Festival de Berlin 1985 de Harold Pinter
LA CHAMBRE DES OFFICIERS 1983 L’AMOUR PAR TERRE Msc. Raymond Gerome
François Dupeyron Jacques Rivette Théâtre Montparnasse
César du Meilleur second rôle pour André Dussollier 1982 LA VIE EST UN ROMAN 1981 FAISONS UN RÊVE
1999 SCÈNES DE CRIME Alain Resnais de Sacha Guitry - Msc. Jacques Sereys
Frédéric Schoendoerffer Prix Louis Lumière 1984 Théâtre de l’Athénée
1980 L’AIDE MÉMOIRE Téléfilm RENSEIGNEMENTS COMPLÉMENTAIRES
de Jean-Claude Carriere • 1er Prix de Comédie Classique,
Msc. Yves BUREAU 2007 LA MAISON DOMBAIS ET FILS
Réal. Laurent Jaoui Comédie moderne et Comédie étrangère
Théâtre Saint-Georges au concours de sortie du Conservatoire.
1979 LA FRAÎCHEUR DE L’AUBE 2003 SUZIE BERTON
Réal. Bernard Stora - FRANCE 3 En 1972, il devient pensionnaire
de Herb Garner de la Comédie Française.
1980 Msc. Raymond Rouleau 2000 LA DETTE
Théâtre de l’Athénée Réal. Fabrice Cazeneuve • Prix Gérard Philipe pour
Prix Gérard Philipe pour André Dussollier 1994 NOTRE HOMME «La fraîcheur de l’aube» 1980
1977 TROIS LITS POUR HUIT Réal. Elisabeth Rappeneau • 7 d’Or du meilleur acteur pour
de Alan Ayckbourn 1989 LE PIÈGE «Music-Hall» de Marcel Bluwal 1985
1978 Msc. Pierre Mondy Réal. Serge Moati
Théâtre Montparnasse Prix de la critique Internationale • César du Meilleur Second Rôle dans
Théâtre de la Madeleine au festival de Monte Carlo 1990 «Un cœur en hiver»
1976 LE BAIN DE VAPEUR de Claude Sautet 1993
1988 POUR UN OUI POUR UN NON
de Roland Dubillard Réal. Jacques Doillon • César du meilleur second rôle pour
1977 Msc. Roland Dubillard et Philippe Cherisey «La chambre des officiers»
Théâtre de l’atelier 1985 MUSIC HALL
Réal. Marcel Bluwal de François Dupeyron 2001
1974 PAR-DESSUS BORD
de Michel Vinaver
7 d’Or du Meilleur Acteur pour André Dussollier • César du Meilleur Acteur dans 17
1975 Msc. Roger Planchon 1984 L’AIDE MÉMOIRE «On connaît la chanson»
Théâtre National Populaire Réal. Pierre Boutron d’Alain Resnais 1998
1973 LE BOURGEOIS GENTILHOMME 1983 AMPHITRYON 38
de Molière Réal. Claude Barma
Msc. Jean-Louis Barrault 1981 L’ÉPREUVE
Comédie Française Réal. Claude Santelli
1973 LA CRITIQUE DE L’ÉCOLE DES FEMMES Prix Albert Olivier
Msc. Jean-Laurent Cochet 1977 LE CAPITAINE ROSSEL
Comédie Française Réal. Serge Moati
1972 LA GRANDE MURAILLE UN OURS PAS COMME LES AUTRES
de Max Fish Réal. Nina Companeez
Msc. Jean-Pierre Miquel 1972 LE PLAISIR DE ROMPRE
Théâtre National de l’Odéon Réal. Jean-Marie Coldefy
ALLISON THOMAS
Productrice WILLIAM SARGENT
Allison Thomas est associée de la société Larger Than Life,
basée chez Universal Pictures. Productrice exécutive de PUR- Producteur exécutif
SANG : LA LÉGENDE DE SEABISCUIT de Gary Ross, elle a William Sargent est cofondateur et PDG de Framestore qui
coproduit pour celui-ci PLEASANTVILLE. LA LÉGENDE DE s’est imposé comme l’un des plus grands studios d’animation
DESPEREAUX est la troisième collaboration du couple. et effets visuels du monde. Né à Dublin, élevé à Rio et dans
Avant de devenir productrice, Allison Thomas dirigea son Irlande natale, Sargent a aussi dirigé la fameuse émission
pendant plus de vingt ans des sociétés et fondations à but non satirique «Spitting Image», ancêtre de nos «Guignols de l’Info»,
lucratif œuvrant dans le secteur de la haute technologie, avec qui fut diffusée à la télévision britannique pendant 17 ans.
des clients comme NeXT Computer, Pixar et RealAudio. Il présida la principale société de production de logiciels de
Thomas a aussi mené une carrière politique très active jeux vidéo jusqu’à son rachat par Sony en 2005.
20 auprès du Président Jimmy Carter, du Gouverneur Jerry Créé il y a une vingtaine d’années, Framestore travaille
Brown et du Sénateur Alan Cranston. Elle a siégé aux conseils avec de nombreux studios hollywoodiens et réseaux de
d’administration du California Women’s Law Center, de télévision ainsi qu’avec la plupart des grandes agences de
Para Los Niños, de la Children’s Community School, de la pub. Son équipe, forte de 700 membres, a remporté, entre
Los Angeles Public Library Commission et de la Women’s autres prix, l’Oscar et le British Academy Award pour À LA
Foundation of California. CROISÉE DES MONDES – LA BOUSSOLE D’OR, ainsi
Elle a reçu en 2006 l’Abby J. Liebman Pursuit of Justice que deux Oscars techniques, trois autres British Academy
Award du Women’s Law Center. Awards et 13 Primetime Emmy Awards. Parmi ses plus
récentes contributions : THE DARK KNIGHT, LE MONDE
DE NARNIA CHAPITRE 2 – PRINCE CASPIAN, MAMMA
DAVID LIPMAN
produit en 2007 le film indépendant JUST ADD WATER,
réunissant Dylan Walsh, Jonah Hill et Danny DeVito.
Également musicien, formé aux Universités du Maryland et
Producteur exécutif d’Oxford, il a composé et interprété des chansons pour divers
films, dont les trois titres précités et THE BIG LEBOWSKI.
David Lipman a rejoint en 2006 Framestore Animation
en tant qu’associé et responsable de son nouveau département
longs-métrages animés. Framestore, le plus grand studio
d’effets visuels d’Europe, signe avec LA LÉGENDE DE
DESPEREAUX sa première production.
EVGENI TOMOV
Entré chez DreamWorks Animation en 1997, Lipman
en codirigea le service production pendant quatre ans avant Chef décorateur
d’exercer les fonctions de coproducteur exécutif sur SHREK. Evgeni Tomov a travaillé de 1999 à 2002 comme
Il a aussi produit SHREK 2 (qui devint le plus grand succès chef décorateur sur le dessin animé LES TRIPLETTES DE
de l’histoire de l’animation) et produit et écrit le court BELLEVILLE. Présenté en sélection officielle au Festival de
métrage «Shrek 4-D», présenté au Parc à Thème des Studios Cannes, le film a été cité à l’Oscar du meilleur dessin animé
Universal. et primé dans de nombreux festivals.
Avant de rallier DreamWorks, Lipman travailla comme Illustrateur, concepteur et chef décorateur de longs métrages,
producteur superviseur et chargé de production chez Hanna- séries animées et courts métrages, Tomov a été formé à l’École
Barbera, où il produisit 52 épisodes de 30 minutes de «The des Beaux-Arts Nikolai Pavlovitch de Sofia (Bulgarie), où il
acheva ses études en 1986. Diplômes en proche, il travailla Spheeris, le film IMAX THE YOUNG BLACK STALLION. Il
d’abord comme illustrateur freelance et comme enseignant a adapté la musique original de John Williams pour HARRY
avant de se fixer à Montréal, où il travailla pendant 14 ans POTTER ET LA CHAMBRE DES SECRETS et orchestré plus de
comme illustrateur et directeur artistique pour diverses agences 100 films, dont BODYGUARD, LA MORT VOUS VA SI BIEN,
de pub locales. Durant cette période, où il eut notamment LE PERE DE LA MARIÉE, L’ARME FATALE et L’ARME FATALE
pour clients la Royal Bank, l’Orchestre Symphonique de 3, UNE LUEUR DANS LA NUIT, 58 MINUTES POUR VIVRE,
Montréal et Lotto Québec, Tomov occupa aussi le poste LA MORT VOUS VA SI BIEN, BLOWN AWAY et FORREST
d’assistant directeur artistique sur le court-métrage «The Old GUMP. On lui doit en outre les musiques additionnelles de
Lady and the Pigeons» (cité à l’Oscar) ; de peintre-décorateur TREMORS de Ron Underwood et ROBIN DES BOIS, PRINCE
sur la série TV «Fennec le Détective» ; de designer en chef à DES VOLEURS de Kevin Reynolds. Lauréat de l’Emmy pour
CINAR Animation, où il développa les séries TV pour enfants la musique de l’épisode «Fields of Honey» des «Tiny Toon
«Animal Crackers» et «Mona the Vampire». Adventures» de Steven Spielberg et la direction d’orchestre de
Tomov a aussi travaillé comme directeur artistique sur les la 79ème cérémonie des Oscars, il a été sélectionné au Prix
jeux vidéo «Fas Antiquitas» et «Circus Tycoon» ; comme chef Pulitzer pour «Truman Suite For Speaker and Orchestra», un
décorateur Développement sur le film d’animation numérique hommage musical au Président Harry S. Truman.
«Beaks» et sur «Barbacoa» ; comme designer environnement Ross a également collaboré aux séries «MacGyver», «La
du long métrage d’animation THE ILLUSIONIST, pour Pathé Belle et la Bête» et «Matlock» et composé avec Lee Holdridge le
Pictures International. thème musical des Jeux Olympiques de Calgary. Il a collaboré
avec des artistes aussi divers que Barbra Streisand, Céline
Dion, Andrea Bocelli, Josh Groban, Whitney Houston, Kenny
G., Michael Jackson, David Foster, Quincy Jones, Babyface,
MARK SOLOMON Bette Midler et Jennifer Lopez
Chef monteur
22
Mark Solomon a contribué à plusieurs grands succès du
cinéma d’animation, dont CHICKEN RUN, SHREK, GANG DEBRA ZANE
DE REQUINS et SPIRIT : L’ÉTALON DES PLAINES. Il a
aussi monté des films indépendants comme UNBEATABLE Directrice du casting
HAROLD et DATING GAMES PEOPLE PLAY. Née à Miami Beach (Floride), diplômée du Sarah Lawrence
Solomon a décrit le premier les défis du montage numérique College de Bronxville (New York), Debra Zane rejoint après
en animation, dans un chapitre du livre «Transitions : Voices ses études l’atelier d’art dramatique de William Esper à New
on the Craft of Digital Editing». Il a produit et réalisé le York avant de se fixer à Los Angeles.
documentaire «Himalayan HealthCare», consacré à une Engagée comme assistante du directeur de casting David
expédition médicale au Népal et produit la version américaine Rubin, elle en devient l’associée et travaillera pendant sept ans
d’une biographie russe de Tolstoï. à ses côtés. Cette fertile et heureuse collaboration s’achèvera
Il est actuellement directeur intérimaire de la section sur des succès comme GET SHORTY et MEN IN BLACK.
montage de la London Film School. Depuis qu’elle créa en 1996 sa propre agence de casting,
Debra Zane a collaboré régulièrement avec Sam Mendes
(AMERICAN BEAUTY, LES SENTIERS DE LA PERDITION,
JARHEAD), Gary Ross (PLEASANTVILLE, PUR-SANG : LA
WILLIAM ROSS LÉGENDE SEABISCUIT), Ridley Scott (LES ASSOCIÉS,
KINGDOM OF HEAVEN), Steven Soderbergh (L’ANGLAIS,
Compositeur TRAFFIC , la franchise OCEAN) et Steven Spielberg
(ARRÊTE-MOI SI TU PEUX, LE TERMINAL, LA GUERRE
William Ross a notamment écrit les partitions de DES MONDES, INDIANA JONES ET LE ROYAUME DU
MON CHIEN SKIP et PIÈGE DE FEU de Jay Russell, CRÂNE DE CRISTAL).
TIN CUP de Ron Shelton, MY FELLOW Membre de la Casting Society of America, Debra Zane
AMERICANS de Peter Segal, A SMILE LIKE a obtenu 9 citations à leur Artios Award, qu’elle a décroché
YOURS de Keith Samples, ALLO, MAMAN, pour AMERICAN BEAUTY, TRAFFIC et DREAMGRILS.
ICI BÉBÉ d’Amy Heckerling, POUCELINA Elle a été nommée Casting Director of the Year en 2004 au
de Don Bluth, LES CHENAPANS de Penelope Hollywood Film Festival.
Le maire
Despereaux
MATTHEW BRODERICK FRANK LANGELLA
Le proviseur
Roscuro
DUSTIN HOFFMAN RICHARD JENKINS
Hovis
La Princesse Petit Pois
EMMA WATSON CHRISTOPHER LLOYD
Pietro
Miggery Sow
TRACEY ULLMAN CHARLES SHAUGHNESSY
La Récitante
Andre
KEVIN KLINE SIGOURNEY WEAVER
23
La Reine
Lester
WILLIAM H. MACY PATRICIA CULLEN
Ned/Smudge
Boldo
STANLEY TUCCI SAM FELL
Louise
Botticelli
CIARAN HINDS JANE KAREN
Le crieur public
Gregory
ROBBIE COLTRANE BRONSON PINCHOT
Le prof
Furlough
TONY HALE MCNALLY SAGAL
Antoinette
FRANCES CONROY
Réalisateurs DEAN ROBERTS DONALD PAN Directeurs techniques effets
SAM FELL SHARON SMITH TIM SCHNELLBECK ADRIAN BELL
ROB STEVENHAGEN DARREN VANDENBURG ROMAIN SEGURADO MICHAEL GAISER
Producteurs TIM WATTS PENN STEVENS CLEAR MENSER
GARY ROSS GABRIELE ZUCCHELLI ADAM THORNTON-DEWHIRST JEAN-CLAUDE NOUCHY
ALLISON THOMAS PAUL TIMPSON Foules
MONTAGE
D’après le livre Monteuse associée Modélisation, Surfaces & Textures JUSTIN ROTOLO
“The Tale of Despereaux” de CLAIRE DODGSON Superviseur modélisation Directeurs techniques foules
KATE DiCAMILLO Ré-enregistrements BEN LAMBERT JE-REN CHEN
Scénario CHRIS JENKINS Superviseur traitement des surfaces JAN NATARAJAN
GARY ROSS XAVIER BERNASCONI
Sujet original
FRANK A. MONTAÑO Mattes
Sound Design et Supervision Superviseur textures Superviseur
WILL McROBB & REBECCA MELANDER
LON BENDER JASON HORLEY
CHRIS VISCARDI Layout
Superviseur dialogue et synchro Peintres
Producteurs exécutifs CHRIS JARGO Administratrice de production
WILLIAM SARGENT RON BOWMAN
DANIELLE LEGOVICH HYE YOUNG COH
RYAN KAVANAUGH ÉQUIPE ROYAUME-UNI Layout initial
DAVID LIPMAN Directeur de production NATHAN HUGHES
LAURENCE ANDREWS
ROBIN BISSELL FREDERICK LISSAU SOEREN BENDT POST-PRODUCTION
Coproducteur Productrice associée GAVIN BOYLE Superviseur
TRACY SHAW CELIA BOYDELL JORGE DEL VALLE NANCY MACLEOD
Chef décorateur Régisseur KRIS KAPP Sound Designer
EVGENI TOMOV HELEN JONES RAVINDER KUNDI JON TITLE, MPSE
Directeur artistique en chef Superviseur préproduction Layout final Monteur effets sonores
OLIVIER ADAM BUGS HARTLEY CYRILLE CARON PAUL AULICINO
Superviseur animation ÉQUIPE ÉTATS-UNIS OLIVER CARROLL Monteuses synchro
GABRIELE ZUCCHELLI REBECCA COLES
Superviseur effets visuels Producteurs associés ANNA MACKENZIE
PEIYU FOLEY JAMES HARMER MICHELLE PAZER
BARRY ARMOUR DEBBIE LANGFORD
Directeur de la photographie CASEY CROWE Mixeur synchro
JAMAL MCLEMORE JUSTIN LONG DOC KANE
BRAD BLACKBOURN HELENA MASAND
FRAMESTORE ANIMATION NIGEL STONE
24 Chef monteur
Producteur délégué EOIN MURPHY Bruiteurs
MARK SOLOMON THOMAS PICKFORD
TRIPP HUDSON JIMMY MORIANA
Musique JORGE PIMENTEL
WILLIAM ROSS Direction technique personnages JEFF WILHOIT
Superviseur Directeur technique DIANE MARSHALL
Casting ANDY ROWAN-ROBINSON
DEBRA ZANE, CSA NICO SCAPEL
Animation MUSIQUE
Superviseur technique
DESIGN MARK WILSON Animateurs principaux Superviseur musical
Designers personnages BART BOIROT KATHY NELSON
Superviseur visages
NIKOLAY NEYKOV LAURIE BRUGGER RAHUL DABHOLKAR Monteur musique
EVGENI TOMOV Superviseur costumes PHIL DALE PETER MYLES
TIM WATTS SYLVAIN DEGROTTE PEPE DE LUCAS Orchestrations
NELSON YOKOTA Assemblages PETE DODD CONRAD POPE
Dessins originaux EMMANUEL SEYNAEVE MATT EVERITT WILLIAM ROSS
SYLVAIN CHOMET and Directeurs techniques personnages JEREMY LAZARE JEROME LEROY
EVGENI TOMOV RICCARDO ALBIERO MICHAEL SCHLINGMANN Enregistrement et mixage
Designers environnements FELIX BALBAS TIM WATTS ARMIN STEINER
DAVID ALCARRIA YAKOV BAYTLER Administratrice de production Génériques de début et de fin
DEREK CARTER VALENTINA ERCOLANI AMANDA DAVISON PACIFIC TITLE
MATTHIEU GOSSELIN MORGAN EVANS Directeur technique Création générique
PIERRE-HENRY LA PORTERIE MATTHIEU GOUTTE DIEGO GARCIA HUERTA BRUCE SCHLUTER
HERVE LEBLAN DAVIDE LA SALA Éclairages
ALFRED LLUPIA SEBASTIAN POTET Chef éclairagiste ALBUM DE LA BANDE
ESTEBAN MARTIN SAGAR RATHOD RYAN MICHERO ORIGINALE SUR
Superviseur Couleurs & Textures WADE RYER Superviseurs éclairages BACK LOT MUSIC et INTRADA
ALEXEI NECHYTAYLO NICO SANGHRAJKI BERTRAND BRY-MARFAING
Designers accessoires DOROTA SIKORSKA DAVID FISH
PEDRO BASCON IGOR STEFANOVIC HOWARD FULLER
AURORA JIMENEZ DIEGO VIEZZOLI DAVID HIRST
ROUJA KOLEVA Directeurs techniques vêtements NIKOLA MILOSEVIC
DÉROULEMENT DE L’HISTOIRE EMANUEL DRUCKMAN PAUL OAKLEY
Directeur d’écriture RADFORD HURN Superviseur compositions
ROB STEVENHAGEN JOHN MARTIN SEAN DANISCHEVSKY
Écriture DANIEL WARDER Effets spéciaux
ARSHAD BAIG LUCA ZAPPALA Superviseur
CHRIS BUTLER Directeurs techniques finalisation DAN SMICZECK
GARY DUNN MATT BELL Directeurs techniques en chef COPYRIGHT © 2008
BRENDAN HOUGHTON FARAZ HAMEED JACOB CLARK UNIVERSAL STUDIOS
LEN MORGANTI RICKY KNIGHT-TREMBATH NOAH TAYLOR Tous droits réservés